Il y a quelques semaines, Shaïra avait pris d’assaut un fort reculé (http://img110.xooimage.com/files/2/e/b/sam-hou-21-5433738.jpg). Elle avait judicieusement attaqué, profitant du moment où la garnison locale était affaiblie. Le seigneur local avait en effet mobilisé une bonne partie de ses troupes pour une lointaine croisade diligentée par l’Ordre Immaculé. La Lamia y avait vu l’occasion de s’établir un peu. Elle était une redoutable Lamia de type echidna, soit une Lamia nomade et sauvage, mais, parfois, elle aimait aussi s’établir dans un nid douillet. Elle avait donc attaqué ce fort, s’y infiltrant pendant la nuit, abattant les sentinelles, avant de débarquer au beau milieu de la cour seigneuriale. Préalablement, Shaïra avait pris soin d’empoisonner les vivres de la garnison, et avait fondu sur le seigneur local. Même en ayant planifié son coup à l’avance, la bataille avait été intense. Shaïra avait reçu de multiples flèches, des sortilèges magiques, des coups d’épée, mais avait finalement laissé derrière elle bien des morts, avant de tuer le seigneur local, l’étouffant dans sa queue, broyant finalement tous ses os.
Cette victoire n’était cependant que la première partie de son plan. Si Shaïra avait fait ça, c’était aussi parce qu’elle était en pleine période de nidification. La Lamia voulait des bébés, et, après ce coup de force, elle s’était rendue au village local, et avait menacé de tuer les villageois. Pour faire bonne mesure, elle avait tué le suzerain local et ses quelques miliciens, et avait ensuite imposé à ces derniers un lourd tribut. Elle voulait une femme par mois, peu importe laquelle, tant qu’elle soit féconde. Les villageois avaient bien tenté de se révolter, d’aller vers d’autres villages, mais Shaïra était vigilante, alerte, et avait réagi en conséquence, tuant les cavaliers. Ils avaient été enfermés, isolés du reste du monde, et, maintenant, Shaïra avait régulièrement des amantes.
Malheureusement, elles n’étaient pas très résistantes, et c’était le cas de la paysanne (http://img110.xooimage.com/files/4/3/a/la-paysane-5433748.jpg) se tenant devant elle.
« Hnnnn... Gnnnnnn... »
La jeune femme n’était pas vierge quand Shaïra l’avait prise, mais même elle était bien loin d’avoir les reins solides pour combler la soif de la Lamia. Les trois quarts de son corps disparaissaient dans l’épaisse queue reptilienne de Shaïra, qui la baisait depuis maintenant plusieurs jours presque sans relâche, la fourrant avec ses deux grosses verges. Cette femme avait atteint un record de durabilité... Ou peut-être était-ce juste que Shaïra devenait moins sauvage avec ses partenaires ? La Lamia l’avait régulièrement empoisonné pour l’empêcher de tomber dans le coma, mais, même malgré ça, la paysanne était peu à peu en train de succomber. Son esprit était à bout, tout comme son corps, mais rien n’empêchait Shaïra de la prendre, tant elle était affamée, assoiffée.
« Hmmmm... Petite... Petite sssssssalope... »
Shaïra continuait à la labourer, tout en se demandant quand même quand viendrait une femme ayant les reins suffisamment solides pour supporter son insatiable soif sexuelle... Pour l’heure, comme aucune de ses amantes n’arrivait à terme, Shaïra était en réalité de plus en plus frustrée !
Shaïra était une terrible Echidna, une Lamia particulièrement forte. Il existait plusieurs races de Lamias, et les Echidnas étaient connus pour leur puissance, leur dangerosité, l’épaisseur et la résistance de leurs écailles, et la qualité de leurs poisons. Elle avait beau être féminine, Shaïra était, comme la majeure partie des Echidnas, une femme hermaphrodite, qui pouvait engrosser ses partenaires. Elle nidifiait toujours, veillant sur les communautés de Lamias, et ce fort reculé était un endroit parfait pour elle. Elle savait que cette région s’était appauvrie, qu’elle était éloignée. En tuant les cavaliers, elle s’était assurée que les villageois aient du mal à prévenir les autorités supérieures, et, même si elle ne pouvait exclure cela, la Lamia savait qu’elle pourrait en profiter pour quelques semaines, avant qu’un ost ne soit réuni pour tenter de la chasser de là. Elle en profitait donc pour multiplier ses amantes, comme cette pauvre paysanne qui, malgré le poison circulant dans ses veines, approchait de la limite, de son point de rupture.
Toute concentrée au fait de la besogner, Shaïra ne vit pas la voyageuse entrer. Elle ne l’entendit que quand celle-ci entra dans la salle du trône. La Lamia était là, s’écrasant sur la paysanne, qui couinait encore faiblement… Et, quand elle ordonna à la Lamia de s’arrêter, celle-ci siffla, et sentit alors un double orgasme la traverser, foudroyant… Tandis que sa queue caudale, qui serrait le corps de la paysanne, serra malheureusement trop fort. Des bruits sinistres de craquements se firent entendre, et la paysanne cessa de hurler, ses yeux se révulsant définitivement dans ses orbites, puis s’effondra mollement au sol, les os désarticulés, définitivement morte, du sperme suintant de son vagin et de son cul.
Shaïra respira lourdement, puis releva alors la tête, sifflant en voyant la femme.
« Hmmm… Une visiteuse… Kssssss… »
À moitié nue, la femme aux cheveux de feu se tenait devant elle, avec une épée et un bouclier. Shaïra restait éloignée, prudente, se désintéressant totalement du corps désarticulé de sa proie. Elle ferait maintenant un bon repas pour ce soir, car Shaïra n’allait pas laisser sa chair chaude pourrir.
« Et plutôt belle… Kssss… Shaïra espère que tu seras plus résistante que les faibles femmes de ce village. Trop maigres, pas assez endurantes pour supporter l’appétit de Ssssshaïra… »
Elle sifflait longuement avec sa langue, se déplaçant lentement, sa queue glissant sur le sol. Une seule femme contre elle… Mais Shaïra sentait quelque chose de très particulier chez elle, une sorte de force profonde, d’énergie latente, ce qui ne manquait pas de l’intriguer fortement. Qui était donc cette femme ? La Lamia continuait à tournoyer lentement autour d’elle.
« Viens-tu offrir ton appétissant corps à Sssshaïra, femme ? » s’enquit-elle.
Était-elle une magicienne ? Shaïra n’aimait pas la magie, mais elle ne voyait aucun bâton magique accompagnant cette femme, une femme magnifique, à tel point que Shaïra n’avait pas à rétracter sa verge, et avait d’ailleurs une belle érection.
D’une manière ou d’une autre, elle engrosserait cette femme !