Je n'avais de cesse d'analyses les réactions de la petite, un vrai passe temps. Et comme des milliers des personnes étaient passée dans ce fauteuil avant elle, je pouvait détailler chaque petite variante. Elle était complètement désorientée, mais pas moins curieuse. Visiblement, apprendre qu'une inconnue ne veuille rien d'autre que la violer, dans un but de reproduction ou non, ne lui semble même pas être déplacé. En un sens, je devrais m'intéresser à où elle vivait, nul doute que la potentielle progéniture soit relativement bien éduquée par la-bas.
Mais toute cette curiosité emmagasinée par la petite lapine, additionnée par la connaissance du fait qu'elle ne risque pas de finir cuite semblait l'avoir rendue totalement docile à mon égard. Dommage. Si je l'avais emportée sans dire un mot jusqu'à la maison où je l'aurais attachée et violée directement, sans les connaissances qu'elle aurait pu acquérir elle aurait fait un jouet intéressant par sa résistance. Je retiendrais ça pour de prochaines tentatives. Mais voilà que je propose d'aller au lit, ce qu'elle me répond avec enthousiasme :
- Oui Ahri, d'accord !
Une fois à l'étage, comme je m'attendais en arrivant dans la chambre, la petite fut comme paralysée, médusée par la taille impressionnante du lit qui se tenait devant elle.
- Ça être juste pour toi ?
Ce à quoi je lui répond, avec un sourire :
- Il m'arrive parfois de prendre de grands jouets, voire des groupes entiers de jouets, et je déteste manquer de place pour mes jeux. ♥
Un tic de langage que je garderais pour encore très longtemps est de nommer les esclaves comme mes jouets, et mes jeux sont tous d'ordre sexuels, mais la petite comprendra très vite, si elle ne l'a pas déjà saisi.
La petite resta sage et obéissante en se rendant sur le lit pour s'y déshabiller. Je pouvais la voir se retenir de jouer comme une enfant devant un lit de cette ampleur mais je me désintéresse momentanément d'elle pour m'intéresser à mes divers jouets que je pourrais prendre pour m'amuser avec la lapine. Bien entendu, une verge en silicone fait toujours partie intégrante du plateau, mais j'ai aussi pris divers médicaments, des pilules change-sexe et des aphrodisiaques entres-autres, en plus d'un large bandeau noir, j'avais aussi pris quelques muselières au cas où la petite se déciderais de mordre, ou dans le cas où je lui ferais une surprise de mon crû.
Ce plateau fut analysé par la petite, qui se demandait bien ce que je pourrais faire de telles choses, mais elle n'eut pas non plus l'occasion d'avoir un cours sur l'utilité de chacun de ces jouets, si je voulais m'amuser avec elle devant son incompréhension, lui faire comprendre avec des mots ruinerait mon jeu.
J'évitais donc complètement d'aborder le sujet en m'approchant de la petite, non sans m'être dévêtue en quelques secondes avant, La couchant gentiment, la tête sur l'un des nombreux oreillers, et me posant sur elle, à peu près dans la même position que précédemment dans le fauteuil.
Elle lança un faible cri, éloignant ses bras de son corps, me laissant profiter complètement de la vue de son corps à nu. L'odeur d'une lapine sans défense me feraient saliver à grosses gouttes si je ne parvenais pas un minimum à contenir mes vieilles pulsions de renarde. À défaut, je ne peux m'empêcher de sourire en lui disant:
- La maîtresse va de nouveau t'embrasser avant de continuer les caresses, ma petite. Ouvre un peu la bouche et sors la langue. ♥
Ce à quoi elle obéit... À peu près. Disons qu'elle n'ouvrit pas 'un peu' la bouche, mais bien grand ouvert. Je pouvais au moins remarquer qu'elle n'avait pas de problème de dentition en particulier.
- Oui ! Moi vouloir caresses, et embrasser encore... aaaaahhh.
Je reste stoïque un moment, confuse entre une envie de la punir où de simplement la corriger. Mais au lieu de ça, je profite du fait qu'elle aie la bouche grande ouverte pour récupérer une des pilules que j'ai posé sur le plateau au pied du lit avec une de mes queues.
- Tu me surprend un peu, petite... Mais ne bouge pas et laisse la maîtresse faire. ♥
Je récupère la pilule tant attendue et je lui pose dans la bouche, puisqu'elle l'a gardé grande ouverte, il m'est facile de lui glisser directement dans le gosier. Je lui susurre:
- Bien, bien. Avale donc, ma petite. Ça va aider ton corps à s'habituer à ce que je te prépare. Tu va te sentir chaude dans peu de temps.
Je lui laisse le temps d'avaler correctement, il serait dommage qu'elle s'étouffe juste avant que je continue de jouer avec elle. Une fois fait, je lui indique comment ouvrir la bouche d'une manière acceptable pour recevoir un baiser.
-Je n'ai pas besoin de voir toutes tes dents si je veux t'embrasser, petite, juste un peu ouvert ainsi, la langue un peu sortie, et c'est très bien. ♥
Pendant que je lui explique, une de mes queues s'en va chercher le ruban noir sur le plateau. Une fois ce ruban rapproché de moi, dans l'angle mort de la petite, j’entreprends de l'embrasser amoureusement. Quand bien même le baiser ne laisserait qu'un souvenir insipide, elle avait un arrière goût un peu sucré, sûrement dû à l'aphrodisiaque tout à l'heure. Je profite du baiser pour attraper avec deux de mes queues ses bras par les poignets, et les ramener en douceur vers les colonnes de part et d'autres proche du mur. Deux autres queues récupèrent les menottes glissées à proximité des colonnes et s'en vont les glisser sur les poignets de la petite, l'immobilisant comme il le faut. Je cesse le baiser, et je la laisse prendre conscience de son nouvel état. Anticipant son incompréhension plus que probable, je lui précise, en souriant:
- Tu te rappelles que, tout à l'heure, tu as porté un coup à ta maîtresse? J'ai pour habitude de punir autant d'audace, mais fort heureusement pour toi, je suis de bonne humeur...
Mes queues caressent son corps à nu et désormais sans défense, se glissant avec aisance ses les parties sensible de la petite, qui, n'oublions pas, doit commencer à ressentir les effets de l'aphrodisiaque qu'elle a avalé peu avant. Je prend le ruban noir dans les mains avant de lui passer autours de la tête, je cherche à bander ses yeux, afin qu'elle ne puisse voir.
- Voici la punition, ma mignonne. Tu ne peux plus empêcher la maîtresse de jouer avec ton corps, et tu ne peux plus voir, jusqu'à ce que la maîtresse décide de te libérer. ♥
Je retire mes queues de la petite et recule un peu, me mettant à l'abri d'un éventuel coup de pied qui pourrait toujours être possible, ses jambes n'étant pas restreinte. Je laisse, l'espace d'un instant, la petite 'libre' de ressentir le calme avant la tempête. Je reste silencieuse le temps de lui laisser apprécier ce moment.
Puis, du bout d'une queue et toujours dans le plus grand silence, je chatouille le coté droit de son ventre. La sensation est ténue, mais comme rien d'autre ne chatouille la petite, elle peut le sentir aisément. Une autre queue vient lui chatouiller sous l’aisselle gauche. Je commence ensuite à aller plus sérieusement, en lui glissant un bisou dans le cou, avant de lécher son corps en partant du cou jusqu'à son sein gauche. Ma main gauche s'empare de son sein droit, le malaxant avec entrain. Je cesse un instant de la lécher pour lui dire:
- Une dernière chose, ma petite, je te déconseille fortement d'essayer de donner des coups de pieds, même si tu en as envie... En revanche, crie de plaisir autant que tu le peut. ♥
Je recommence à la caresser un peu partout, lui laissant deviner ce que je lui prépare, je lui lève une jambe et lui fait un bisou sur le coté du genou, puis j'enchaîne de nombreux bisous en me rapprochant inexorablement de son entrecuisse. Je relève son autre jambe au même niveau que la première et, dans cette position, mes visage est juste devant l'entrecuisse de la lapine. Avec une impatiente à peine dissimulée dans la voix, je lui dit :
- Il est temps pour moi de m'amuser plus sérieusement. ♥
Les effluves émanant de la lapine m'empêchent de penser à autre chose, et sans plus dé cérémonie, je commence à lécher cette délicieuse intimité si gentiment offerte. Un vrai délice. Je commence les léchouilles comme un chien le ferait, en léchant le maximum de surface possible sur l'intimité, histoire d'humidifier un peu ce qui sera trempé dans peu de temps. Puis, à l'aide d'une main, j'écarte les grandes lèvres de son intimité pour lui lécher avec bien plus de précision, alternant entre les caresses de sa perle d'amour d'une main et glisser ma langue à l'intérieur de l'intimité de la lapine et entre les léchouilles de son clitoris en glissant deux doigts dans son intimité, le tout en caressant le haut du corps des queues qui ne sont pas encore à lui entraver les jambes.
Plus le temps passe et plus je me laisse emporter dans mes caresses et léchouilles frénétiques, n'attendant que de voir combien de temps la lapine résisterait avant de jouir. J'ai l'intention de lui laisser voir ce que je lui fait avant qu'elle n'entame le grand saut, il m'est donc important de repérer ses moindres signes, fort heureusement, j'étais expérimentée dans ce domaine et je devinais la petite sur le point de céder.