Amour interracial [PV]

Depuis maintenant plus d’un siècle, le royaume elfique d’Ellonwë était en paix avec les peuplades orcs. La guerre était encore dans toutes les mémoires, car elle avait été longue et fratricide. Elle avait duré des siècles, avant que les elfes ne parviennent finalement à un accord avec les Orcs. Un accord laborieux, mais qui avait été conclu, et prévoyait l’annexion des clans orcs au royaume d’Ellonwë. En échange de cette annexion, les Orcs avaient accès régulièrement à de la nourriture elfique, et s’engageaient, en contrepartie, à cesser les raids, et à aider la défense du royaume contre les monstres, et les autres nations rivales. Les Orcs étaient de redoutables ouvriers, avec leurs épais muscles. Les factions naines d’Ellonwë n’hésitaient pas à les utiliser pour construire leurs mines, édifier des forteresses, des carrières... Une sainte harmonie qui avait permis à Ellonwë de se reconstruire, et de prospérer considérablement. Le royaume était depuis l’un des plus puissants du continent, suscitant bien des convoitises, et les Orcs gagnaient peu à peu en reconnaissance. Plutôt que de les affronter inutilement, les elfes tentaient de les éduquer, instaurant des écoles, des missions, et permettant surtout aux Orcs de venir travailler et étudier dans leurs écoles. Évidemment, il y avait toujours du racisme, des hostilités, des conservatismes, mais, de manière générale, la civilisation orc était également en train d’émerger.

C’est dans ce contexte que la jeune Princesse héritière du royaume, une magnifique elfe rouquine répondant au doux nom d’Evelyn, avait obtenu le droit de bénéficier d’une garde du corps très particulière, une puissante Orc guerrière qui était célèbre chez elle. Pour renforcer les liens entre les elfes et les Orcs, il avait été décidé d’affecter à la protection de la famille royale un Orc. Les Orcs prenaient cela très au sérieux, et organisaient une compétition entre clans, consistant en un tournoi violent, le gagnant ayant le droit d’être le garde du corps de la future Reine. Evelyn était très heureuse de voir que celle qui avait gagné était sa favorite, Abzug. Une puissante Orc femelle, que la jeune elfe connaissait très bien.

Quand Evelyn était petite, elle s’était rendue dans les peuplades orcs, pour inaugurer l’ouverture d’une école, et y avait passé quelques temps. Elle était alors une jeune fille chétive, et y avait fait la connaissance d’Abzug. Même petite, l’Orc était déjà très impressionnante, et avait surtout protégé Evelyn, cassant la figure d’autres Orcs qui voulaient l’embêter. Depuis lors, les deux femmes avaient toujours été proches, bien plus proches que ce que les parents d’Evelyn savaient. Et, d’ailleurs, s’ils apprenaient à quel point Evelyn se confiait à Abzug, ils en auraient été profondément énervés. Certes, il fallait un rapprochement entre les deux peuples, mais avec, tout de même, quelques réserves. Evelyn avait appris à Abzug à lire et à écrire, et lui avait souvent confié être amoureuse d’elle. Ses lettres étaient soigneusement cachetées, et elle se débrouillait toujours pour les envoyer en s’assurant que personne ne puisse les lire. Le plus grand rêve d’Evelyn était d’attendre son couronnement pour pouvoir épouser Abzug. De quoi donner des sueurs à ses parents, qui essayaient désespérément, mais sans succès, de la caser.

Evelyn avait donc insisté pour qu’Abzug réussisse les épreuves, et, maintenant, la belle Orc arrivait dans la capitale ! Dans la salle du trône, Evelyn, accompagnée de son père et de sa mère, l’attendait impatiemment. Et, quand l’intéressée arriva facilement, le Roi se leva pour la saluer.

« Guerrière Abzug, la Couronne vous félicite sincèrement pour vos victoires dans les Fosses ! J’ai cru comprendre que les combats avaient été redoutables ! Vous avez durablement impressionné la famille royale, et ce fut un régal de vous voir vous battre ! »

Evelyn et ses parents avaient assisté aux matchs, bien sûr, et Evelyn s’était débrouillée pour voir Abzug aux vestiaires, entre plusieurs combats, lui volant quelques baisers, et lui intimant de gagner Elle en avait d’ailleurs profité pour voir d’elle-même les résultats des mutations qu’Abzug avait subi pour être en mesure d’engrosser proprement Evelyn, et en avait mouillé sa culotte pendant toute la durée du match...

« Nous vous souhaitons la bienvenue à la capitale ! J’espère que vous avez fait bonne route, et que vous êtes prête à mener avec brio la tâche qui vous incombe... Veiller sur la santé et sur les intérêts de ma chère fille ! »

Evelyn sourit légèrement en entendant son nom, ne se faisant guère de soucis là-dessus.

Au sein du palais royal, c'était une procession fort peu commune qui s'avançait dans les grands halls, en direction de la salle du trône. De multiples soldats elfes escortaient une orc, seule, mais nullement prisonnière, car il s'agissait là bel et bien d'une escorte. Abzug était nerveuse, même si elle parvenait sans peine à le cacher derrière ses "airs" d'orc, en ayant un visage sérieux au possible, afin d'être crédible lors de cette entrée, et de sa prise de fonction...gardienne de la princesse héritière du trône.
Abzug avait été désignée pour cette tâche à la suite de grands affrontements contre de multiples autres représentants de la race orc, qui était depuis près d'un siècle une part intégrée du royaume d'Ellonwë. Abzug faisait partie de cette nouvelle génération d'orcs, qui n'avaient rien connu d'autre que la paix avec les elfes. Tout n'était bien entendu pas parfait, il demeurait des animosités de part et d'autre, mais le fait qu'une orc aie été choisie pour la protection de la princesse était en soit un signe fort de la part de la famille royale. Les orcs servaient déjà massivement en tant que main d'oeuvre de chantiers, et dans l'armée, où leur force et leur résistance faisait des merveilles aux côtés des terrifiants archers elfes. Mais Abzug était là à une place hautement honorifique, et son affectation n'avait pas manquée de faire parler à la cour...elle pouvait le voir, rien qu'à la manière dont plusieurs nobles la regardaient. Certains avaient hurlé au scandale, argumentant que seul un elfe pouvait être digne de protéger la princesse, même si d'autres avaient mis en avant la carrure des orcs, et leur récente éducation comme étant assez bonne pour être valable.
Difficile de juger quand à l'éducation d'Abzug, mais là, en marchant, la féroce guerrière faisait bien preuve qu'elle avait la carrure pour cette tâche. L'orc faisait aisément deux mètres de haut, et possédait une musculature qui ne laissait aucun doute quand à la puissance des coups qu'elle pouvait porter, et dont elle avait fait la preuve en gagnant face à des dizaines d'autres concurrents.
Mais au delà de l'honneur qu'on lui faisait, Abzug était aussi très heureuse car celà lui permettrait d'être avec la princesse. C'était un secret hautement bien gardé, mais Abzug et Evelyn partageaient...un début de romance. La princesse avait à de multiples reprises déclarée sa flamme à l'orc, elles se connaissaient après tout depuis qu'elles étaient toutes petites, et ce qui n'avait été au début qu'une idylle tout à fait platonique risquait fort d'évoluer, maintenant qu'Abzug n'allait plus quitter la princesse d'une semelle, et ellait être sa deuxième ombre. Heureuse...et en même temps nerveuse, car Evelyn semblait également ne pas prendre au sérieux le côté risqué d'une telle relation, surtout au vu des oppositions qu'il y avait eu lorsque la famille royale avait annoncée qu'un membre de la race orc se chargerait de la protection d'Evelyn.

*Ce sera à moi d'être vigilante...mais ça fait partie du job, après tout.*

Abzug arriva finalement dans la salle du trône, vêtue de son armure, portant à la ceinture un katana adapté à sa taille, qui faisait donc aisément la taille d'une épée à deux mains. Puis, elle posa un genoux au sol, tout en portant fermement son poing sur sa poitrine, là où son coeur se trouvait.

Majesté, c'est un grand honneur pour moi de me trouver ici. Je me montrerais digne de la confiance que vous portez, en moi, mais aussi envers vos sujets orcs. Je jure de protéger la princesse Evelyn, au prix de ma vie si nécessaire. Ceux et celles qui tenteront de lui faire du mal, connaîtront ma furie, et mes poings. Je le jure, par mon sang, par mes ancêtres, et par les traités qui unissent nos races.

On était à loin, très loin des orcs que les elfes avaient combattu durant des millénaires. Mais derrière cette facade, Abzug tâchait aussi de cacher son excitation grandissante. Elle était bien évidemment amoureuse d'Evelyn, et la voir dans sa belle robe blanche, qui ne manquait pas de suggérer les courbes délicates de son corps...
Et bien disons qu'heureusement qu'elle portait une large armure, qui permettait de cacher le fait que son sexe commençait à se dresser.

Dans sa belle robe blanche fine, Evelyn était très belle. C’était une robe légèrement transparente, et très ouverte, à la limite de la provocation. En effet, la robe était ouverte sur les jambes, remontant jusqu’à ses cuisses. Elle avait aussi un très beau décolleté, avec un collier brillant, mettant en valeur ses seins. Evelyn observait Abzug en se mordillant les lèvres, crispant ses doigts sur les accoudoirs, ne pensant qu’à ce soir. Elle croisa le regard de l’orc, et sourit très légèrement, ne parvenant pas à dissimuler ses rougissements. Fort heureusement, ses parents n’en virent rien, et se satisfirent du serment prononcé par Abzug. Au milieu de la pièce, elle était entourée d’elfes, mais aussi de quelques autres Orcs.

Le Roi d’Ellonwë se redressa alors, et hocha la tête, l’air grave. Il regarda brièvement sa femme, puis Evelyn, et enfin son connétable. Ce dernier s’approcha alors avec une médaille, mais le Roi remua légèrement la main, désignant Evelyn, qui se releva à son tour.

« Très bien ! Championne Abzug, la Couronne a entendu votre serment, et décrète qu’il sera fait procès-verbal de celui-ci. À partir de maintenant, Championne Abzug, vous êtes la Gardienne et la Protectrice de la Dauphine d’Ellonwë. Princesse Evelyn, veuillez remettre à la Championne Abzug la Croix d’Ellonwë ! »

C’était la récompense la plus prestigieuse d’Ellonwë, une belle étoile de cristal. Evelyn la récupéra, et s’avança tranquillement vers Abzug. Impossible pour elle de dissimuler le sourire qu’elle avait sur les lèvres, ou la joie radieuse qui inondait son visage. Elle rejoignit la femme, et parla d’une voix forte, en posant ses mains sur le plastron de la femme.

« Championne Abzug, c’est un immense honneur de vous avoir comme Gardienne ! »

Elle posa la croix sur l’armure, et cette dernière s’y accrocha. Elle en profita pour avancer légèrement son genou, et le glissa pendant quelques instants entre les cuisses de l’Orc, caressant ainsi ses testicules, qu’elle devinait massives. Elle se retira ensuite, une lueur malicieuse brillant légèrement dans les yeux, puis il y eut un tonnerre d’applaudissements. Ce faisant, le Roi intima le silence, puis reprit :

« Mes chers invités, nous organiserons, comme le veut la coutume, un banquet ce soir en l’honneur de la Championne Abzug ! Vous êtes naturellement conviés, et je vous invite à nous retrouver au Hall des Fêtes ce soir à 20 heures ! »

Un banquet, la fête pour les Orcs, car il fallait bien admettre que les elfes avaient une excellente gastronomie. Et puis, avec les nains qui fournissaient la bière, les Orcs attendaient très clairement ce moment. Néanmoins, Evelyn avait une autre priorité en tête. Profitant des applaudissements et de l’effusion générale, elle se rapprocha de l’oreille d’Abzug, en se hissant sur la pointe des pieds, et murmura quelques mots dans son oreille :

« Je suis en train de mouiller ma culotte... » chuchota-t-elle.

Ensuite, les vivats, puis Evelyn se retourna vers Abzug, parlant à haute voix :

« Championne Abzug, voudriez-vous m’accompagner pour vérifier l’état des quartiers qui dépendront de votre surveillance ? »

Une bonne idée, estima le Roi, et Evelyn fila donc avec Abzug, qui reçut les acclamations des chefs de clans orcs. Mine de rien, ce genre de cérémonie était assez important pour les Orcs, car elle permettait à l’un d’entre eux d’être très proche du futur souverain d’Ellonwë. Evelyn fila ainsi dans un escalier, avec Abzug derrière elle, mais, dès qu’elles arrivèrent dans un couloir isolé, la jeune elfe se retourna brusquement... Et embrassa goulûment Abzug. Son corps se colla contre le sien, ses bras s’enroulant autour de sa nuque.

Ses lèvres se collèrent aux siennes, et elle l’embrassa énergiquement pendant quelques secondes.

« Tu m’as tellement manqué, Abzug, si tu savais... »

Elle rompit le baiser, puis fila vers sa chambre. Il y avait deux gardes, et elle passa, en compagnie d’Abzug, rejoignant ainsi ses quartiers. Evelyn se retourna vers Abzug, et lui sourit à nouveau.

« Ma robe te plaît ? minauda-t-elle. Tu sais, j’attends ce moment depuis tellement longtemps... Je ne peux pas attendre jusqu’au banquet, Abzug ! Et puis, tu as juré de me protéger, et là, j’ai besoin qu’on me protège... Contre mes propres pulsions, qui me font faire des folies, jusqu’à caresser ton sexe en pleine cérémonie officielle... »

Evelyn était très joueuse, mais était surtout très en manque.

« J’ai juré que je m’offrirais à toi, Abzug... Et j’ai tenu ma parole. Mais je ne peux pas prétendre que je ne me suis pas souvent caressée en pensant à toi... »

L’elfe lui sourit encore, rougissant sur place, ce qui allait à merveille avec ses cheveux châtains.

Les mutations qu'avaient subi Abzug pour se doter d'un sexe masculin étaient très récentes, quelques mois tout au plus, et dataient du moment où l'annonce avait été faite qu'un ou une orc serait choisi pour être garde du corps de la princesse. La testostérone qui circulait depuis dans le corps de la redoutable orc lui avait permis de prendre beaucoup de muscles, et elle était globalement devenue plus forte...mais elle ne maîtrisait pas encore bien les pulsions qui venaient avec. Même si elle se forçait à ne pas lancer de regards trop suspicieux sur Evelyn, Abzug ne pouvait néanmoins pas s'en empêcher, et à vrai dire elle était presque certaine qu'Evelyn l'avait fait exprès. Une certitude qui se confirma au moment où la princesse vint elle même lui remettre la croix d'Ellonwë, et en profitant de cette proximité, la princesse glissa un de ses genoux entre ses cuisses. Heureusement, Abzug possédait une discipline de fer, qui lui permit de ne faire comme si rien ne s'était passé, évitant ainsi de vendre la mèche. Néanmoins, elle avait senti le délicat genoux de l'elfe caresser durant un bref instant ses bourses...et si les circonstances avaient été autres, il était probable qu'Abzug aurait enchérie pour aller plus loin.
Cela faisait concrètement des mois qu'Abzug était semblable à une cocotte minute sous pression, une pression qu'elle était jusque là parvenue à maintenir à un niveau convenable en se masturbant plusieurs fois par jours. Mais elle connaissait suffisamment Evelyn maintenant pour savoir que l'elfe pouvait être de nature "joueuse"...et qu'elle était probablement autant en manque qu'elle. De par le caractère sacré de sa personne, Evelyn était rarement approchée physiquement par d'autres personnes que ses parents. Abzug et elle, même si elles étaient amoureuses depuis maintenant des années, s'étaient finalement assez peu vues, et encore moins "touchées". Une frustration qui s'était amplifiée avec les années, qu'Abzug avait pu extérioriser lors de sa vie de militaire au service de la couronne...mais moins depuis qu'elle possédait un sexe massif entre ses cuisses, et Evelyn n'allait sans doute pas arranger les choses.
Durant les applaudissements, Abzug reçût le coup de grâce de la part de la princesse, cette dernière profitant du brouhaha pour lui déclarer qu'elle était en train de mouiller sa culotte. Elle resta stoïque...en apparence, mais sous son armure, la puissante orc avait maintenant une sacrée érection. Sans doute consciente que sa protectrice devait commencer à perdre ses moyens, Evelyn inventa une excuse crédible pour leur permettre de s'éclipser toutes les deux, ce dont Abzug fût intérieurement reconnaissante.

Et enfin, au détour d'un couloir, elles se retrouvèrent seules assez longtemps pour qu'Evelyn vienne l'embrasser.

Hmmm...

Abzug prit garde à ne pas faire trop de bruit, mais il lui fut impossible de résister à l'envie de poser ses grandes mains sur le corps de l'elfe, qui faisait parler durant ce baiser toute sa frustration. Bien que plus petite et frêle qu'Abzug, Evelyn débordait de jeunesse et d'énergie.

Moi aussi princesse...mais ne restons pas là.

Abzug tenait à impérativement rejoindre la chambre. Personne ne les avait vues, mais dans le cas contraire, les conséquences auraient été désastreuses pour les deux femmes, chose qu'Abzug ne pouvait pas s'ôter de la tête malgré son excitation. Et quand enfin elles atteignirent la chambre, qui était vu la situation sinonyme de soulagement, Abzug pu enfin respirer un peu...mais pas trop. Evelyn, maintenant qu'elles étaient seules, que personne ne pouvait les voir et les entendre, se lâcha. Elle avoua qu'elle ne serait pas capable d'attendre jusqu'au banquet, et qu'elle lui manquait, suite à quoi l'orc s'approcha de la princesse, puis posa ses deux mains sur les hanches de l'elfe, qu'elle souleva aussi aisément qu'une poupée de chiffon, et l'embrassa. Rien à voir avec le baiser bref qu'elles avaient échangées dans le couloir non, là, Abzug y allait franchement, à tel point que quelques filets de salive dégoulinèrent de leurs bouches respectives avant qu'elle ne se retire.

Hmm...pardon princesse mais...le moins que l'on puisse dire, c'est que vous m'avez chauffée tout à l'heure. Avec ta robe et tes caresses...tu devrais faire attention Evelyn. Heureusement que je portais cette armure, sinon toute l'assemblée m'aurait vue bander face à toi.
Maintenant...excuse moi, mais il faut "vraiment" que je la retire.

Abzug déposa en douceur la belle princesse, puis entreprit immédiatement de se défaire de son armure. Malgré la multitude de sangles, elle y allait très vite. Elle était même habituée à dormir dedans, alors elle était également habituée à la mettre et l'enlever très rapidement. N'y tenant plus, la guerrière orc se mit carrément nue, et poussa même un grognement de soulagement quand elle fit enfin glisser son pagne métallique le long de ses épaisses jambes. Là, un fier mât vert se dressait, soutenu par deux grosses testicules qu'on pouvait très aisément imaginer chargées d'une bonne quantité de sperme.
A la respiration lourde d'Abzug, il y avait peu de doutes quand à son envie de se planter longuement dans le corps de la princesse.

Confidence pour confidence, je me suis également...beaucoup caressée en pensant à toi. J'ai envie de toi Evelyn, mais tu es certaine de vouloir le faire ? Je n'ai pas envie de te faire du mal, et depuis que j'ai ce...truc, je deviens plus impulsive.

Evelyn donnait extérieurement l’apparence d’être une elfe chaste et vertueuse. En même temps, pouvait-on imaginer les elfes être différents ? C’était là une grande erreur, car, sous leurs travers calmes et paisibles, les elfes pouvaient se montrer très coquins. Et la perversion d’Evelyn, elle l’avait entretenue à travers de multiples livres érotiques. Mine de rien, la littérature érotique elfique était assez nombreuse, et curieusement très variée. Comme quoi, si le sexe interracial choquait encore la noblesse, il y avait bien longtemps que les auteurs avaient développé les romances entre elfes et orcs. Evelyn s’était même renseignée sur la vigueur sexuelle des Orcs, et savait que ces derniers pouvaient se montrer... Particulièrement endurants. Tout comme elle savait aussi que, derrière l’hypocrisie locale, il était fréquente que les elfes utilisent les Orcs comme gigolos. Et, même si Evelyn essayait de ne rien en montrer, tout le monde savait qu’elle était favorable au rapprochement des deux peuples, et à ce que les elfes cessent de dédaigner les Orcs. C’était son cheval de bataille, pour ainsi dire.

Elle se retrouva donc seule avec Abzug, et, très rapidement, l’Orc l’embrassa. Evelyn frémit, bien consciente qu’elle avait insidieusement « torturé » son amante pendant toutes ces heures. De légers attouchements, mais elle connaissait suffisamment son amante pour savoir qu’elle était du genre impatiente. Cette fois, Abzug l’embrassa énergiquement, et Evelyn frémit en sentant ses bras puissants serrer son corps, l’étouffant à moitié, témoignant de la poigne redoutable d’Abzug. Même avant de subir les mutagènes l’ayant doté d’un phallus, elle était déjà très musclée, avec une carrure carrée, et sa verge n’avait rien changé. Abzug fourra sa langue baveuse dans sa bouche, et Evelyn gémit, frissonnant en sentant les deux dents proéminentes de l’Orc heurter ses lèvres, glissant sur sa peau, la faisant frémir.

« Hmmm... »

Evelyn continuait à mouiller, consciente que le moment qu’elle attendait tant était enfin arrivé ! Abzug se retira ensuite, et expliqua qu’elle n’en pouvait plus. Evelyn se mordilla les lèvres, les yeux pétillants de malice, et répondit en jouant la fausse ingénue :

« Oh, vraiment ? Je vous excite à ce point ? Je n’ose imaginer les pensées que tu dois avoir, Championne Abzug... »

Curieusement, aussi guerrière et énergique pouvait-elle être, Abzug était paradoxalement enchantée par leur relation. Elle l’aimait, mais elle avait très peur qu’elles se fassent repérer. Pour l’heure, Evelyn ne pouvait malheureusement pas faire grand-chose, mais elle comptait bien changer la loi, et être la première Reine à se marier avec une Orc. Elle en avait déjà parlé à Abzug, et elle avait été surprise de voir à quel point, sur certains domaines, elle se montrait bien plus entreprenante qu’Abzug même !

En tout cas, Evelyn se mordilla les lèvres, et savoura ce « strip-tease » improvisé. Un strip-tease très rapide, car Abzug se dépêcha de retirer son armure, détachant les sangles, provoquant des chocs sourds quand elle retirait les épaulières, les cuissardes, le plastron. Elle vit ses bras musclés, les longs tatouages noirs ornant son biceps, ses seins généreux, ce corps musclé et finement charpenté... Et loucha bien évidemment sur sa trique monstrueuse. Une queue énorme, massive et volumineuse, qui l’assécha sur place.

La respiration d’Abzug était lourde, et elle demanda à Evelyn si elle était sûre de son fait. L’intéressée, qui fixait sa queue, releva au bout d’un long moment son visage... Et défit alors les bretelles de sa robe. Dessous, elle ne portait rien, si ce n’est une fine culotte blanche, très légère, retenue par des ficelles. Elle se retourna alors, et Abzug put voir qu’il n’y avait que des ficelles à hauteur des fesses, formant un léger nœud.

« Abzug, tu me prends encore pour une poupée de porcelaine... S’il y a bien une chose dont je suis sûre, une chose qui fait que j’ai repoussé tous les prétendants qui se sont prosternés devant moi, au point de me dresser contre mon père, c’est toi... Je te l’ai dit, Abzug, je l’ai juré devant les Esprits et les Dieux, je t’épouserai, et je porterai ta semence en moi. »

C’était son grand rêve, qui inquiétait Abzug, ce qui amena Evelyn à se diriger vers une commode. Il y avait là une potion qu’elle avait préparé.

« C’est une potion contraceptrice. Elle fonctionne plutôt bien. Je ne veux prendre aucun risque, Abzug, car tu vas me baiser maintenant, jusqu’au banquet... Et tu me baiseras ensuite encore. Et ça, ce n’est pas une option, c’est comme ça que ça va se passer. Tu vas me faire mal, tu vas me déchirer, et je vais adorer ça. »

Pas de doute, pas d’hésitation, et elle avala le contenu de la fiole. Ceci fait, elle se retourna ensuite vers la femme, et se mit à genoux devant elle, puis commença à caresser son sexe.

« Et je ne veux plus que tu te masturbes, Abzug... Désormais, c’est moiqui m’occuperai de ton sexe. Chaqsue fois que tu auras envie de baiser, tu devras m’en parler, et je te sucerai... Je caresserai ta grosse queue... Comme ça. »

Tout en parlant, Evelyn s’appliquait, donnant des baisers, ou caressant cette trompe de haut en bas, la grattant parfois avec ses ongles, reniflant ce sexe, humant son odeur, cette exquise et jouissive sensation... Elle lécha encore ce sexe, et descendit jusqu’à ses testicules, les embrassant également, les suçotant.

« J’ai tellement rêvé de cette queue... Et toi, tu me demandes si j’en ai envie ? Ma chérie, je n’ai pensé qu’à ça depuis des semaines... À ce moment où tu feras de moi ta pute. J’ai vu ta combativité, ton agressivité... J’aime tellement t’imaginer te battre en pensant à moi, avec cette trique-là... Comme ça doit faire mal dans ton armure... Et tu voudrais me priver de ce plaisir ? Jamais ! Ta queue est mienne ! »

Et ce ton ne souffrait aucune réplique...

Abzug eut très rapidement une réponse car, sans aucune hésitation, Evelyn se déshabilla à son tour devant elle. L'orc loucha naturellement sur ce joli corps svelte, la princesse n'était pas, et de loin aussi musclée que sa garde du corps, mais ses formes étaient douces, fines et grâcieuses, et Abzug sembla sentir sa queue se tendre encore un peu plus en voyant la robe de la princesse tomber. C'était désormais inévitable, elles allaient faire l'amour, et ce serait une première fois pour toutes les deux. Si elle s'était déjà masturbée à plusieurs reprises depuis que les mutagènes l'avaient dotée de cette verge, Abzug ne s'en était encore jamais servie à proprement parler. Elle demeurait hésitante, se demandant si Evelyn serait vraiment capable de supporter ses assauts, la différence de carrure entre l'elfe et l'orc était tout de même très notable...
Et puis, il y avait aussi le fait que ce qu'elles étaient en train de faire risquait de leur coûter très cher à toutes les deux, si leur relation venait à se savoir, sans compter également le risque qu'Evelyn tombe enceinte. Abzug n'était en effet absolument pas stérile, et la semence des orcs était connue pour être très fertile, surtout qu'Evelyn lui avait déjà dit à plusieurs reprises qu'elle comptait, à terme, porter son enfant.
Abzug "voulait" être raisonnable, mais celà signifiait à la fois lutter contre la volonté de la princesse, qui avait un talent certain pour obtenir ce qu'elle voulait...mais aussi lutter contre ses propres sentiments. Abzug était amoureuse de la belle elfe qui, en étant plus jeune, lui avait appris à lire et avait jouée avec elle. Alors résister, alors qu'Evelyn s'offrait pleinement, et volontairement à elle, était du domaine de l'impossible, surtout quand la princesse se rapprocha d'elle pour s'agenouiller.

E-Evelyn...

Les mots commençaient à manquer à Abzug. Evelyn venait même de lui ôter une partie de ses doutes en buvant, devant elle, une potion de contraception. Une nécessité absolue, car il était certain que si Abzug venait à jouir dans l'intimité d'Evelyn sans ça, la princesse tomberait enceinte à tous les coups. Le sperme orc était très spécial, dans le sens où lorsqu'il se trouvait dans l'intimité d'une femme, il générait une série de réactions chimiques, imperceptibles, mais qui forçaient une ovulation immédiate, de façon à ce que les spermatozoïdes rencontrent nécessairement un ovule. Celà expliquait le fort taux de natalité des orcs, mais ces réactions se produisaient aussi en cas d'accouplement avec d'autres races comme les elfes, et comme les métisses étaient encore mal vus, nombre de pratiques de contraception avaient vu le jour.
Le fait était qu'Abzug avait bien mins d'excuses pour se justifier...et elle n'en avait plus envie. En grognant, elle posa l'une de ses mains sur la tête de la princesse, qui était en train d'embrasser et de lécher ses couilles emplies de sperme, avec sa douceureuse petite langue. Et elle lui parlait, lui disant des choses salaces, comme le fait qu'elle attendait depuis longtemps qu'Abzug fasse d'elle sa pute, ou qu'elle refusait que l'orc se masturbe à nouveau à partir de maintenant...tant de choses qui ne pouvaient que contribuer à pousser d'avantage la terrible garde du corps à céder...de fait, elle avait déjà cédé.

Alors j'espère que vous êtes prête princesse...vous m'avez tellement chauffée ces derniers temps...

Abzug demeurait après tout une orc, impatiente et impétieuse au fond. L'éducation et la discipline qu'elle avait appris au cours de ces années avaient une limite, et c'était le cas de tous les orcs. La suite logique aurait été qu'Evelyn commence à la sucer, mais Abzug avait une autre idée en tête. L'orc s'abaissa, et saisir à nouveau sa belle princesse dans ses bras pour la soulever, et la plaquer contre elle, sauf que cette fois elles étaient toutes les deux presque nues. Seule Evelyn portait encore ses très longues bottes à talons, ainsi que sa petite culotte très fine, contre laquelle Abzug ne résista pas à l'envie de se frotter. En effet, l'orc fourra sa queue entre les cuisses de la princesse, et pressa le bout contre sa culotte, juste à l'emplacement de son intimité, mimant un début de pénétration qui n'était interrompu que par la résistance du tissu. Ainsi, Evelyn allait clairement pouvoir sentir à quel point ce chibre serait gros dans son vagin.

Il y a intérêt à ce que ta chambre soit bien isolée...

Le message était clair, Abzug allait lui faire l'amour à la façon des orcs, sans ménagement. Mais avant ça, même les orcs connaissaient l'importance des préliminaires, qu'ils avaient appris peu à peu des elfes. Sans difficultés, Abzug retourna donc Evelyn, qui se retrouva la tête en bas, ses longs cheveux pendant vers le sol, et surtout le visage juste à hauteur de sa queue, dontle bout ne manqua pas de taper contre le petit nez de l'elfe, déposant dessus une grosse goutte de liquide séminal. Abzug maintenait le corps d'Evelyn tout contre le sien, son bras l'entourant au niveau de son dos comme une solide ceinture de muscles, et elle usa de son autre main pour arracher sans ménagement la culotte de la princesse. La voie était dégagée, et sans plus attendre, Abzug alla goulument fourrer son visage entre les cuisses de l'elfe, pour aller lécher sa moule dégoulinante de cyprine.

Evelyn était extrêmement sérieuse. De fait, elle avait longuement eu le temps de réfléchir à cette situation. Des amants, elle pouvait en trouver beaucoup parmi les elfes, ils se pressaient au portillon. Mais il n’y avait qu’Abzug qu’Evelyn aimait. Elle n’aimait que sa Abzug, et elle voulait vivre avec elle. Et, au cas présent, sa queue lui avait vraiment manqué ! Evelyn se frottait contre cette dernière, la léchant de nouveau, déposant plusieurs baisers supplémentaires, avant de finalement sentir les puissantes mains de l’Orc la soulever. Abzug la maintint debout, et la serra contre ses lourds bras, faisant frissonner la jeune elfe, qui se tortilla sur place, avant de se mordre les lèvres en sentant l’épaisse trique d’Abzug taper contre sa culotte. Elle frémit, rougissant, sentant ce fin morceau de tissu retenir ce sexe, qui se tortillait contre elle, contribuant bien évidemment à la faire mouiller.

« A-Abzug, haaa... »

L’Orc se débrouillait très bien, prenant aussi tout son temps, consciente qu’il était sans aucun doute très excitant d’échauffer ainsi la petite elfe. Et Evelyn n’était évidemment pas contre, car, même si elle avait très envie de coucher avec Abzug, elle savait aussi que ce serait très brutal. Elle était donc, en réalité, partagée, car, si une grande partie d’elle-même attendait de s’offrir à l’Orc, il y avait toujours, en elle, cette petite fille terrorisée par le fait de passer à l’acte. Pour autant, en sentant le pilon de l’Orc caresser sa culotte, Evelyn avait très envie de passer aux choses sérieuses.

Se mordillant donc les lèvres, elle n’était toutefois pas au bout de ses surprises, car, soudain, elle sentit les bras d’Abzug se serrer sur son dos, la décollant du sol.

« A-Abzug, mais qu’est-ce que tu... ? »

Elle poussa alors un petit cri de surprise quand Abzug la souleva et la retourna. Il fallait bien avouer que, pour l’Orc, la jeune dauphine était un poids plume. Abzug n’eut donc aucune difficile à la manœuvrer, à la retourner, et à amener son visage contre son sexe. Surprise, Evelyn se retrouva donc la tête en bas, et, instinctivement, posa ses mains sur le sol, en appui, avant de comprendre ce que la femme avait en tête. D’un coup sec, Abzug arracha sa culotte. L’Orc pourrait ainsi voir que l’intimité d’Evelyn était très proprement épilée, et qu’elle mouillait effectivement beaucoup.

Dans cette position, Evelyn déglutit lentement, et releva ses mains, les posant en appui sur la peau de l’Orc. Ses jambes étaient tendues en l’air, avant de se plier progressivement, apaisant ainsi le corps de la femme.

« Abzug... » répéta encore Evelyn.

Sa main se déplaça, et se posa sur le sexe de la femme. Elle cligna encore des yeux. Heureusement, Evelyn avait toujours été assez agile et souple. Une souplesse qui contrastait avec la musculature de son amante, et qui allait prouver toute son utilité en ce moment, où elle était dans une position des plus inattendues. Elle s’y fit, toutefois, et ouvrit sa bouche, avançant sa tête, et commença à attraper ce sexe. Les joues rouges, et ne sachant pas trop comment faire, Evelyn déglutit un peu. Cette queue était... Vraiment très grosse ! De fait, elle sentit rapidement une sensation d’étouffement, et souffla fortement avec le nez, tout en filant d’avant en arrière, sentant le plaisir croître furieusement en elle.

Elle avait enfin la verge d’Abzug en bouche !

Abzug aurait pu tout à fait rester dans la simple position debout, et d'avoir la princesse à genoux en train de lui sucer la queue, mais malgré son excitation, l'orc savait bien que cette position présentait un léger danger pour le moment. Abzug n'était encore pas du tout familière avec toutes les sensations que son mandrin pouvait lui apporter, et rien que lorsqu'Evelyn s'était mise à déposer de léger baisers dessus, Abzug avait dangereusement senti une furieuse impatience, couplée à l'envie  fugace de forcer la princesse à directement prendre toute sa verge en bouche. Les orcs n'étaient guère connus pour être doux, et encore moins lors de leurs endiablées parties de jambes en l'air, un accouplement de deux Orcs était même à certains moments semblable à un combat. Mais Abzug ne voulait pas prendre le moindre risque avec Evelyn.
Si cette dernière pouvait parfois se plaindre que sa nouvelle garde du corps la considère comme une fragile petite poupée, Abzug elle trouvait celà parfaitement justifié, car l'elfe ne se rendait pas "vraiment" compte de toute la puissance que l'orc pouvait déployer depuis qu'elle avait subi ses mutations. En comparaison, la princesse était toute frêle, une magnifique beauté, mais qu'Abzug devait manier avec précautions. Du temps de la guerre entre elfes et orcs, les prisonnières elfes qui avaient le malheur de tomber entre les mains d'orcs en rut survivaient rarement aux viols qu'elles subissaient, c'était un simple constat, un orc pouvait aisément casser des parties entières des corps des elfes, même sans spécialement y faire attention.
Mais dans cette position, Abzug devait concrètement juste faire attention à ne pas serrer trop fort la princesse dans ses bras, qui lui entouraient le dos en la maintenant fermement contre son corps musclé, sans aller jusqu'à l'étouffer. Evelyn pourrait rapidement se rendre compte qu'elle ne risquait pas de tomber, Abzug prenait garde à chacun de ses gestes, à chaque pression qu'elle exercait sur le corps de l'elfe, et après avoir trouvé le juste milieu...elle pu pleinement se concentrer sur le fait de prodiguer à Evelyn un peu de plaisir.

Grrmmmm...

Abzug fourra sans aucune gêne son visage entre les cuisses d'Evelyn, y trouvant le merveilleux spectacle de sa chatte absolument imberbe, et ruisselante de cyprine, qu'elle ne tarda en effet pas à goûter. Les deux canines proéminentes de l'orc s'enfonçaient contre l'aine de la jeune princesse, tandis que ses lèvres se fourrèrent contre ses lèvres intimes, et surtout, elle lécha avidement, en se concentrant sur le clitoris de l'elfe, mais sans négliger d'autres zones.
La poigne d'Abzug se raffermit brièvement, avant de se désserer à nouveau, quand Evelyn, passé la surprise de se retrouver ainsi la tête vers le bas, commença à rendre la pareille à sa garde du corps, ce qui ne manqua pas de lui arracher de multiples grognements tandis qu'elle léchait de plus en plus avidement la moule de sa protégée. Son sexe lui faisait terriblement mal, car elle avait bandé durement depuis qu'elle était arrivée à la capitale, et tout le long de la cérémonie. Mais maintenant...maintenant Abzug était en train de se faire sucer par Evelyn. Lors de bien de ses rêves, où elle s'était ensuite réveillée avec une forte érection, Abzug avait imaginée ce que celà donnerait, mais les rêves étaient loin d'égaler la réalité. Même si Evelyn n'avait évidemment aucune expérience, sa bouche était si délicate, si douce, qu'Abzug ne pouvait que fondre. Et tandis qu'elle lui léchait son intimité, l'orc commençait aussi à se rendre compte à quel point Evelyn était aussi chaude qu'une bouilloire. Son con était humide à souhait, tout chaud, tout doux, et aussi probablement très étroit...et la simple idée de glisser sa queue en elle...

Grrrrr...HmmmgnnnnnAAAAAAAAARGGGGG !!!!!!

Soudainement, après quelques temps de ce petit manège, Abzug ne parvint plus à se retenir. Elle était excitée depuis des heures, Evelyn l'avait tellement chauffée, en étant aussi belle, aussi coquine...et le contact de sa petite bouche fut de trop pour l'orc, qui se déchargea alors qu'Evelyn continuait à la sucer.
Son sexe se mit subitement à tressauter, et une imposante vague de foutre épais, presque crémeux, fila dans la bouche de la princesse, suivi immédiatement d'une autre, et encore, encore. La grosse verge d'Abzug tressautait à chaque fois, et ses bourses se rétractaient sur elle même, pompant à chaque coup de belles quantités de ce sperme, qui innonda bien vite la bouche d'Evelyn. Cette dernière, inexpérimentée, se retrouverait sans doute rapidement bien incapable de gérer tout cet afflux de la semence d'Abzug, et sa seule option serait alors de se retirer, pour prendre le reste de cette jouissance directement sur son visage. La princesse elfe aurait alors droit à une belle faciale, aisément comme si plusieurs hommes de sa race venaient de se décharger en même temps sur sa belle petite tête. D'épais filaments de foutre heurtèrent ses lèvres, son cou, ses joues et son front, et du fait de la gravité, le sperme coula rapidement vers le bas, mâculant la base de bien des mèches de ses cheveux.
Abzug s'était pendant ce temps retirée de sa moule, ne voulant pas risquer de mordre accidentellement Evelyn. Une fois qu'elle fût calmée, elle retourna la princesse pour l'avoir à nouveau dans ses bras. Abzug elle respirait lourdement, mais avait l'air vraiment heureuse, même si un peu concernée....des doutes qui se dissipèrent rapidement en voyant qu'Evelyn elle aussi semblait aux anges.

Désolée, je n'ai pas pu me retenir.

Étais-ce toutefois si grave ? Evelyn pourrait vite se rendre compte que ce qu'on disait sur l'endurance des orcs n'était absolument pas des rumeurs sans fondements. Même si elle venait de jouir assez de sperme pour remplir quelques verres de table, Abzug ne débandait pas, absolument pas, son sexe étant toujours aussi dur, prêt à l'emploi, et toujours aussi assoifé. Abzug porta alors la belle princesse jusqu'à son lit, qu'elle posa sur le rebord, avant de s'agenouiller devant elle.

Là...laissez moi vous nettoyer princesse.

Avec un large sourire, Abzug posa une de ses mains contre la nuque d'Evelyn pour la maintenir en place, tandis qu'elle entreprit de lui lécher son visage. Elle récupéra peu à peu le sperme qui mâculait son beau visage, avant d'aller régulièrement l'embrasser, fourrant alors son sperme dans la bouche d'Evelyn, afin qu'elle l'avale. Son autre main elle, se fourra délicatement entre les cuisses de la princesse, et ses doigts s'approchèrent de son intimité, sa délicate fleur, qu'elle commença à caresser.

Si Abzug se mit à jouir vite, Evelyn, elle, jouit instantanément. Elle aurait presque pu jouir quand Abzug lui arracha sa culotte. Encore vierge, Evelyn avait l’appétit d’un ogre, avec l’expérience d’un petit insecte. Elle s’offrait totalement à elle, et, du fait de sa grande impatience, qui avait pris le temps de mûrir pendant des années, le contact de la langue d’Abzug déclencha au bout de quelques secondes un premier orgasme. Les couinements d’Evelyn étaient toutefois étouffés par la grosse verge de son amante, mais ses mains, elles, ne manquèrent pas de se crisper sur la peau ferme d’Abzug. La femme avait une peau solide, à la fois douce et puissante, musclée et tendre. Evelyn eut donc un premier orgasme, et sentit sa mouille dégouliner de son corps, tombant sur elle, heurtant son visage, le sol... Pendant qu’Abzug se régalait. Des frissons traversaient également le corps de la femme au contact des dents pointues d’Abzug sur sa peau. L’Orc était une amante exceptionnelle, particulièrement exigeante, qui ne cessait de prouver à Evelyn combien elle était endurante et énergique.

Tout en laissant Abzug lécher son sexe, provoquant chez Evelyn des sensations d’ivresse de plaisir, elle-même léchait sa queue, qui ressortait toutefois souvent de ses lèvres.

« Mmmhmm... !! »

Impatiente et énergique, Abzug continuait à serrer ses puissants bras sur son petit corps, et c’est dans ces circonstances qu’Evelyn sentit la queue de l’Orc jouir. Non contente d’user de ses lèvres, l’elfe usait aussi de ses mains, masturbant cette épaisse trique, la secouant vigoureusement, la branlant énergiquement, sans relâche, avec une passion décuplée. Son amante ne pouvait guère y résister, et c’est sans doute tout ça, outre le contexte actuel, qui l’amena à jouir... Et quel orgasme ! Evelyn sentit des vagues de sperme éclabousser son visage, l’amenant à fermer les yeux. Le membre d’Abzug se vida contre elle, et l’Orc sembla ensuite enfin se calmer, reprenant un rythme cardiaque normal.

Toutefois, sa queue restait toujours aussi tendue, et tout ce sperme avait quelque peu anesthésié Evelyn. Nageant dans le bonheur, elle se retrouva finalement sur le lit, et rebondit dessus, avant de se redresser. Les jambes dans le vide, elle déglutit et rougit en voyant Abzug s’installer à côté d’elle, la puissante Orc venant alors lécher son visage.

« Haaa... »

Evelyn répondait bien volontiers à ses baisers appuyés, avalant le sperme de la femme, et couina encore quand ses doigts se glissèrent en elle. Elle écarta les cuisses, et crispa ses mains sur la nuque d’Abzug, serrant ses cheveux, se tortillant contre elle, sentant le plaisir affluer dans son corps, se déversant dans ses veines. Sa langue joua avec celle de son amante, et ses ongles s’enfoncèrent légèrement dans sa chair. Elle sentait le corps massif d’Abzug contre le sien. Toutefois, aussi puissante soit-elle, sa belle peau-verte faisait aussi preuve d’une étonnante douceur. Tout ce mélange de sensations excitait énormément Evelyn, qui profitait de chaque pause pour lécher les deux dents proéminentes de l’Orc.

C’était quelque chose qu’elle avait toujours aimé chez Abzug : ses deux difformités dentaires. Si certains avaient pu se moquer d’elle à cause de ça, en la voyant comme un monstre avec des « dents-de-vampire », Evelyn, elle, avait toujours adoré ça... Et elle le prouvait en ce moment, en les léchant tendrement et affectueusement. Toutefois, plus le temps passait, et plus...

« A-Abzug, haaa... ! »

Ce qui devait arriver arriva finalement : Evelyn, dans un ultime couinement, se mit à jouir ! Tout son corps se relâcha, et elle gémit longuement, se relâchant contre les doigts d’Abzug dans le plus grand plaisir qui soit... Evelyn était définitivement amoureuse !

Abzug prenait de grandes précautions à chacun de ses gestes, bien trop consciente de sa propre force...mais cela ne l'empêchait pas de pleinement profiter de ce qui était en train de se passer, sentir la bouche, et les mains, de la princesse sur sa verge avait été...bon, juste tellement bon qu'elle n'était pas parvenue à se retenir bien d'avantage. Evelyn toutefois n'avait guère fait mieux, lorsque sa garde du coups avait commencé à lécher son intimité, cette dernière l'avait fait jouir presque instantanément, juste quelques secondes après. Pour Abzug, il était très important qu'Evelyn soit préparée au mieux, avant de sentir ce sexe massif s'enfoncer en elle.
C'était la raison pour laquelle, après avoir joui, Abzug ne s'était pas directement allongée sur la princesse pour aller la pénétrer, un peu plus de préliminaires ne ferait pas de mal se disait-elle, et puis...elle aimait explorer le corps tout fin, si doux, de la princesse. Abzug lécha goulument les épais aglomérats de sperme qui se trouvaient sur le visage d'Evelyn, et partageait ensuite avec elle des baisers très humides, où l'orc envoyait alors son sperme de sa bouche à celle de la princesse, afin qu'elle l'avale. Si sa majesté comptait régulièrement sucer sa garde du corps, alors autant qu'elle s'acclimate au goût particulier et fort de sa semence. Tout en faisant ça, Abzug, qui s'était assise aux côtés d'Evelyn sur son lit, avait également glissée l'une de ses puissantes mains entre les cuisses de l'elfe, afin d'entreprendre de la caresser en même temps. Même si Abzug n'avait pas beaucoup d'expérience, le sexe fonctionnait de la même manière chez les elfes ou les orcs, et elle savait donc à peu près comment stimuler le clitoris de la jeune princesse.

Et tandis qu'elle faisait ça, Abzug sentait son pénis l'élancer de plus en plus. Aucun doute n'était permis, elle allait faire l'amour à Evelyn sous très peu de temps...le contraire la pousserait dans ses derniers retranchements, car après tout, les orcs n'étaient pas connus pour faire preuve d'une patience à toute épreuve. Abzug eût le signal dont elle avait besoin quand elle vit, et sentit, la princesse se crisper pour avoir un nouvel orgasme, et sentit ses doigts se couvrir d'une bien jolie couche de cyprine toute chaude, ce qui ne manqua pas de stimuler encore d'avantage l'orc.
La peau verte attendit qu'Evelyn se soit complètement relâchée, avant de retirer délicatement sa main de l'entrecuisse de la belle elfe, ses doigts couverts de son liquide de plaisir.

Hm...j'ai déjà eu l'occasion de le goûter princesse, à votre tour...

Abzug ne lui laissait « presque » pas le choix, mais en vérité, Evelyn allait-elle passer à côté d'une opportunité de sucer le doigts de son orc favorite ? Abzug porta ses doigts près de la bouche de l'elfe, et la laissa sucer ses doigts...tandis qu'elle approchait son visage du creux du cou de la princesse, l'embrassant ça et là, avant de descendre progressivement. L'orc se retrouva bien vite à hauteur d'un des seins de la princesse, qu'elle suça pendant quelques temps.
Elle aurait bien aimé continuer ainsi encore un peu plus longtemps, mais la vérité était qu'à ce stade, Abzug n'en pouvait plus. Ainsi, dès qu'Evelyn termina de lécher ses doigts, Abzug usa de son poids pour la pousser délicatement, l'allonger sur le lit, tout en venant se positionner au dessus d'elle. Sa belle verge se posa sur le ventre de la princesse.

Je vais y aller, Evelyn. Si jamais ça te fait trop mal, dis moi d'arrêter, d'accord ?

Elle lui donna alors un dernier baiser sur la bouche, long et langoureux, avant de se redresser légèrement pour empoigner son sexe d'une main, tout en se maintenant dressée à l'aide de l'autre bras. Délicatement, Abzug guida le bout de sa verge vers la fleur intime de la princesse...et commença à s'enfoncer.

Grmmmmh....Aaaaah...

Comment ne pas fantasmer devant Abzug ? Evelyn enchaînait les orgasmes sans pouvoir se retenir, battant en brèche cette idée faussement répandue sur l’absence de libido des elfes. Elle, elle avait clairement le feu au cul, et elle comptait sur sa belle Abzug pour l’éteindre, pour la baiser avec toute l’énergie dont elle était capable. Et la tâche serait loin d’être facile, vu l’ardeur de la Princesse. Très nerveuse, Abzug amusait beaucoup Evelyn. Quand elle combattait dans les fosses, ou allait affronter des monstres, elle était beaucoup moins délicate. Ses doigts épais et osseux remplissaient alors pleinement leur office. Et là, en sentant les doigts massifs d’Abzug titiller ses lèvres, Evelyn frémit. Abzug venait de la faire jouir avec ses solides doigts, et l’invita maintenant à les suçoter. Obéissante, Evelyn obtempéra, et ouvrit bien haut la bouche, observant les doigts humides de la femme, recouverts d’un liquide transparent.

« Abzug... Hmmm... !! »

Curieusement, jouir ne semblait nullement calmer Evelyn, bien au contraire. Là, elle voulait vraiment goûter à la grosse queue d’Abzug, elle voulait vraiment que la femme la baise, et elle le témoigna volontiers, en allant jusqu’à mordiller son gros doigt, observant la femme avec son regard concupiscent. Toute émoustillée, Evelyn voulait passer aux choses sérieuses, et s’amusait à remuer lentement son corps, de haut en bas, de manière à sentir la grosse queue d’Abzug se frotter contre elle. Et, pendant ce temps, elle continuait à produire des bruits de mastication forts et salaces.

Le regard d’Abzug témoignait de sa soif, et, bientôt, même l’Orc ne put plus attendre, et se redressa. La femme la poussa, et Evelyn s’étala au milieu du lit, avant d’écarter les jambes, et s’empressa de se masturber. Elle s’était très proprement épilée en prévision de ce moment, et, les joues rouges, observa Abzug, qui approcha sa grosse trique.

« J’ai toujours aimé me masturber devant toi, Abzug... Mais, là, je crois que je vais tout simplement adorer ta grosse bite ! »

Entendre Evelyn parler de manière si populaire, elle qui était habituée à écrire de la poésie et à s’exprimer de manière très sophistiquée, ça devait être particulièrement délicieux pour Abzug. Se pinçant les lèvres, Evelyn écarta ses doigts, et frémit encore, se mordillant les lèvres en sentant la queue de l’Orc tapoter ses lèvres intimes. Encore une fois, son amante manifesta son inquiétude pour elle, et Evelyn sourit.

« Arrête de prendre les elfes pour des fragiles, Abzug ! Je croyais t’avoir dit que les elfes adorent embaucher des Orcs pour se faire baiser. »

La réputation sulfureuse des femmes elfes n’était plus à refaire. Beaucoup d’Orcs devenaient dans les grandes citadelles elfiques d’intenses gigolos. Evelyn le savait très bien, et détestait cette hypocrisie. Mais, en attendant, c’était à son tour. Même si elle était très excitée, la jeune elfe restait quand même un brin nerveuse, puisque c’était là sa première fois. Et, à voir ainsi Abzug se dresser devant elle,  Evelyn se pinça les lèvres, toute émoustillée.

« Vas-y... Allez, viens ! »

Le membre d’Abzug se plaça à l’entrée de son antre, et elle frémit. Evelyn sentit alors le bout de la queue taper en elle, et sentit une immense vague la traverser.

« Hnnnnnnn... !! »

Là, là, ça... Ça n’avait VRAIMENT rien à voir avec un simple doigt ! Evelyn poussa un nouveau gémissement, très long, et hurla ensuite, en sentant son hymen être percé par l’énorme queue de la femme. Elle ferma les yeux, griffa le lit, et se tortilla sur place, puis, n’écoutant plus qu’elle-même, clama soudain :

« BAISE-MOI, PUTAIN !! »

Abzug était très excitée par tout ça...outre le fait d'avoir la princesse nue face à elle et lui offrant son corps, il y avait aussi le contexte. Pour n'importe quel orc, les elfes étaient de vraies beautés, tandis que les elfes trouvaient chez les orcs des amants infatiguables, malgré le côté encore très tabou de telles relations interraciales. Mais Abzug ne faisait pas que coucher avec une elfe, ou avec une princesse, elle couchait avec Evelyn. Même si sous ses airs de grosse brute Abzug pouvait sembler, de prime abord, peu encline à de tels sentiments, la réalité était qu'elle était très attachée à Evelyn. Elle n'avait pas fait serment de protéger sa vie au prix de la sienne à la légère, car l'orc était terriblement amoureuse d'elle, en plus d'être d'un naturel très protectrice. L'elfe aurait beau lui dire de ne pas la considérer comme une petite fleur fragile, c'était plus fort qu'elle, Abzug se haïrait si elle venait à faire du mal à Evelyn, même par mégarde.
Néanmoins...il était désormais indéniable que certains de ses instincts primaires allaient refaire surface, maintenant qu'elle commençait à s'enfoncer dans la délicieuse intimité de la princesse.

Grmmmmh...E-Evelyn...

Elle tentait encore de se contenir, elle avançait lentement son bassin, de sorte à s'enfoncer progressivement dans son vagin très étroit...mais bordel, c'était de plus en plus dur. Plus sa queue s'enfonçait, et donc se faisait envelopper dans ce délicieux cocon de parois chaudes et humides, plus l'orc ressentait d'intenses pulsions la traverser. Rapidement, Abzug sentit la très fine membrane de l'hymen d'Evelyn contre le bout de sa queue. Il n'y aurait pas de retour en arrière après ça, elle était sur le point de prendre la virginité de la Dauphine. Abzug aurait pu encore hésiter à ce stade, mais en voyant le visage d'Evelyn...Abzug sentit ses dernières résistances fondre comme de la glace sous un soleil de plomb, et elle donna un bref coup sec, qui lui permit d'ailleurs de s'enfoncer enfin complètement dans la chatte de la princesse.
Quelques petites gouttes de sang devaient couler, mais elles étaient presque invisibles face à la quantité de cyprine qui était sécrétée par la princesse. Cette dernière donna d'ailleurs le meilleur encouragement dont Abzug aurait pu avoir besoin pour continuer, elle lui hurla de la baiser. Grognant alors, Abzug entreprit de commencer de lourds va et viens dans le vagin de la belle princesse et...et Abzug n'aurait jamais cru que ce serait aussi bon !

Raaaaah !!! A-GRAAAAAAAH !!!!!

Incapable de vraiment former le moindre mot, Abzug grognait férocement tout en empoignant elle aussi fermement les draps du lit, ses mains étant posées de part et d'autre des épaules de la princesse. Abzug remuait son bassin, donnant des coups qui augmentaient en intensité, s'enfonçant à chaque fois au plus profond de la chatte d'Evelyn qu'elle était, littéralement, en train de fourrer. Abzug ressentit rapidement le besoin de s'allonger d'avantage sur le beau corps de la princesse, il semblait si frêle en comparaison du sien, ais beaucoup plus grâcieux. Les imposants seins de l'orc se plaquèrent contre ceux de l'elfe, les recouvrant totalement, et Abzug s'allongea donc bien sur elle, pour sentir au maximum le contact de cette délicate peau contre la sienne, plus rugueuse et musclée. Naturellement, son visage se rapprocha du sien, et Abzug ne résista pas à l'envie d'aller une fois de plus embrasser la princesse, un peu plus...langoureusement qu'avant, car là, l'orc était clairement en train de prendre son pied.
De plus en plus, Abzug remuait vite, profondément, sa queue était si grosse qu'elle rentrait vraiment de justesse dans l'antre intime de la princesse, mais elle s'enfonçait volontiers et avec plaisir jusqu'à la garde, la bourrant bien comme il le fallait. Et puis, assez rapidement, pas plus de quelques minutes plus tard, Abzug ressentit une vague la submerger et remonter le long de sa queue. Il était clairement heureux qu'Evelyn aie pris au prélalable une potion de contraception, car jamais l'orc n'aurait été capable de se retirer.

Hmpf...HMMMMMGNNN RAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHH !!!!!

Elle accéléra encore subitement la cadence, au point de faire craquer le lit, au point de devoir poser une de ses mains sur la tête d'Evelyn pour éviter qu'elle ne remue de trop, jusqu'à ce que, finalement, l'orc ne se décharge en elle. Elle eut un orgasme, et quel orgasme ! Si Evelyn ne s'était déjà pas sentie remplie par la verge d'Abzug, alors sentir de véritables torrents de foutre s'en échapper ne manquerait pas d'achever le travail. Impossible pour la princesse de s'y soustraire quand bien même elle l'aurait voulu, Abzug appuyait de tout son poids sur son petit corps, et se déchargeait en elle, encore et encore, semblant ne jamais devoir s'arrêter de jouir. Au bout d'une bonne minute, Abzug sembla enfin se calmer, et c'est avec la respiration lourde qu'elle se redressa, le tout en glissant ses mains sous les aisselles d'Evelyn pour la soulever elle aussi. Concrètement, Abzug prit une position assise, en tailleur, sur le lit, et Evelyn à califourchon sur elle, toujours empalée sur ce sexe qui n'avait toujours pas débandé.

Alors...ça a été ? J'ai eu un peu de mal à me retenir sur la fin...tu es tellement belle et excitante.[/b]

Evelyn se pinça doucement les lèvres, avant de frémir devant les rugissements de l’Orc. Elle avait souvent entendu les Orcs rugir, notamment avant de se battre entre eux. Ils se défiaient ainsi, se jaugeant du regard, et leurs terribles hurlements gutturaux... Cette femme était tout simplement incroyable, et l’elfe aurait pu jouir rien qu’en l’entendant hurler ainsi. Ses grosses mains serraient son petit corps, et elle sentait cette impérieuse verge en elle. Oh ! Quelle énergie ! Quelle force ! Evelyn se tortilla sur place, et sentit soudain le lit craquer encore, le corps d’Abzug venant emplir son espace visuel. La femme s’allongea alors lentement contre elle, et un nouveau frisson supplémentaire traversa le corps de l’elfe.

« A-Aaaaaaaaaaabzuugg, haaaaaannn... !! »

Elle sentit le corps massif de l’Orc s’abattre sur elle, faisant craquer le lit. Usant de l’une de ses mains, Evelyn agrippa les cheveux de l’Orc pendant quelques secondes, et se débattit encore sur place, sentant les puissants coups de reins de la femme la ramoner. La douleur la fit encore hurler, mais d’un hurlement silencieux, quand elle sentit le membre immense d’Abzaug s’enfoncer dans les tréfonds de sa chair. Écartant les jambes, Evelyn les déploya, et déplaça encore ses mains, les posant sur le bas du dos de l’Orc, sentant ses belles fesses musclées qu’elle titilla, tout en sentant encore sa monstrueuse verge lui défoncer la chatte.

C’était sa première fois, et Evelyn n’aurait jamais imaginé que cela puisse être aussi intense ! Difficile de dire, à ce niveau, ce qui dominait vraiment en elle. Douleur ? Plaisir ? C’était assurément un terrible et sulfureux mélange des deux. Tout son corps était en chaleur, et elle continuait à gémir, et à hurler même. Hurler devenait d’ailleurs une nécessité, car il fallait qu’elle libère ce trop-plein, toute cette énergie accumulée en elle, tout ce mélange d’émotions, cette incroyable et vibrante intensité qui la prenait par les tripes. Son corps entier était en feu, réagissant en osmose avec les épais coups de trique de la femme.

« Haaaa... »

Abzug continuait à la prendre, sans ménagement. Le corps d’Evelyn rebondissait d’avant en arrière, remué dans tous les sens par le corps massif de l’Orc. Dans ces conditions, Evelyn ne put qu’avoir un nouvel orgasme, se relâchant encore contre la femme. Puis elle sentit alors l’Orc jouir en elle... Et... Et... Evelyn en perdit le fil de sa pensée, sentant une tornade de foutre exploser dans son corps. Elle se souleva et s’abaissa pendant l’orgasme incroyable de la femme, pinçant durement ses fesses en la sentant jouir. L’Orc jouit donc abondamment, répandant sa semence dans le con de la femme, puis Evelyn soupira encore.

Rien ne semblait devoir arrêter la tempête verte, la queue monstrueuse d’Abzug continuant à se répandre en elle, sans relâche, laissant Evelyn pantoise, surexcitée. Elle cligna ensuite des yeux, ses bras s’étalant finalement sur le lit. Son corps avait accompagné les mouvements de l’Orc, et, quand l’Orc se releva, elle se déplaça, et s’assit en tailleur en soulevant Evelyn, sans aucune difficulté. Soupirant lourdement, Evelyn tourna alors la tête vers elle, et esquissa un léger sourire, en venant se  lover contre elle, remuant doucement sur place, frottant son visage contre sa poitrine, embrassant ensuite son cou délicatement.

Même maintenant, Evelyn remuait encore très doucement. Elle avait tellement joui qu’elle s’accommodait maintenant à cette belle queue. Ça ne voulait pas dire qu’elle n’avait toujours pas mal, mais cette douleur était maintenant diffuse, et la faisait doucement soupirer.

« Hmmm... Non, ça n’a pas été, Abzug. »

Evelyn la regarda alors, avec un air de reproche, et laissa planer quelques secondes :

« Je n’ai eu que cinq orgasmes avant que tu ne jouisses... Enfin, je crois. C’est bien trop peu ! Tu sais depuis combien de mois, si ce n’est d’années, j’attends ce moment ? Toutes les nuits, je rêve de toi, et, depuis que tu m’as montré ta queue il y a des mois... Hmmm... J’adore la sentir en moi ! »

Evelyn l’embrassa alors goulûment sur les lèvres, enroulant ses bras autour de sa nuque.

« Pour être honnête... J’ai adoré ce moment, Abzug. Chaque minute, chaque instant, chaque seconde. Crois-moi, ma belle, tu n’as pas idée d’à quel point tu déclenches le feu en moi... »

Il était quand même important qu’elle le réalise !

Abzug sembla se décomposer sur place, l'espace de quelques instants, lorsque la princesse lui déclara qu'elle avait bel et bien quelque chose à redire quand à leur première fois. L'orc sur le moment sembla pour le moins perdue, surtout alors qu'Evelyn semblait avoir vraiment adorée ce qui s'était passé...jusqu'à ce qu'elle comprenne que l'elfe était en train de se jouer d'elle.

Ne me fait pas peur comme ça, j'ai cru que mon coeur allait s'arrêter !

Bien sûr elle même aussi plaisantait, et il était même d'ailleurs intéressant de voir à quel point les deux avaient développées une complicité au fil des années, qui atteignait son paroxisme maintenant qu'elles étaient en train de faire l'amour. C'était là tout au plus une brève pause qui n'allait pas durer très longtemps de toutes façons, Abzug avait juste tenu à s'assurer qu'Evelyn allait bien, et qu'elle appréçiait ce qu'elle était en train de vivre. Mine de rien, s'accoupler avec des orcs était un vrai exercice physique, vu la constitution et la force des peaux vertes. Evelyn pouvait d'ailleurs en avoir un bel exemple car, alors qu'elle était confortablement assise à califourchon sur Abzug, sa verge toujours bien plantée dans son intimité, elle pouvait sentir qu'elle n'avait pas débandé ne serais-ce qu'un seul instant.
Evelyn et Abzug échangèrent alors un délicieux baiser, tandis que les mains de l'orc serraient fermement ce délicat corps contre le sien. La peau d'Evelyn était douce et chaude, les courbes de son corps harmonieuses, et surtout, la princesse se révélait pleinement comme étant une perverse, qui appréçiait de se faire enfin prendre par Abzug, ce qu'elle ne manqua pas de dire à l'orc qui s'en sentit très flattée.

Merci...mais crois moi c'est réciproque.

Les mains d'Abzug, qui étaient posées dans le dos de l'elfe, glissèrent alors jusqu'à ses fesses pour les empoigner fermement, d'un coup, puis elle enchaîna en allant mordiller le cou de l'elfe, lui faisant sentir ses deux excroissances dentaires contre sa peau, une chose qu'elle adorait de son propre aveu.

On a encore quelques heures avant de devoir de préparer pour le banquet de ce soir, et on va baiser comme des bêtes pendant ce temps. Après tout, il faut bien que sa majesté soit rassasiée non ?

Usant de ses mains, posées sur les fesses de l'elfe, Abzug souleva Evelyn, avant de la faire s'abaisser à nouveau le long de son mandrin dressé. Puis encore, et encore, lentement au début, Abzug accélérait toutefois progressivement le rythme. Son sexe était encore très à l'étroit dans la chatte de sa belle princesse, et il fallait l'entraîner à le recevoir sans que celà ne soit trop douloureux. Mais heureusement, Evelyn était bien lubrifiée à ce stade, et son sexe coulissait de plus en plus aisément même si, du fait de sa longueur, la verge d'Abzug tapait jusque tout au fond de son vagin.

Grmmmm...T'es...si étroite...Haaaaaarrrr...

N'y tenant plus, Abzug alla fourrer son visage contre la poitrine tendue d'Evelyn, qui se trouvait juste à la bonne hauteur, et alla goulument sucer l'un de ses seins, en suivant le mouvement du corps de l'elfe qui se levait et s'abaissait en rythme. Evelyn se faisait donc allègrement empaler sur le sexe tendu d'Abzug, qui coulissait désormais plutôt bien dans sa petite chatte très trempée, au point que d'intenses bruits spongieux s'échappait de ses cuisses écartées.

Taquiner Abzug était toujours un grand plaisir pour Evelyn. Sincèrement, c’était une grande joie de voir son amante se décomposer sur place à l’idée d’avoir pu faire quelque chose de mal. Tout cela transpirait le profond amoure qu’Abzug ressentait pour elle. Leur relation était très atypique, même malgré le rapprochement de leurs races respectives. Evelyn, en tout cas, comprenait maintenant très bien pourquoi les Orcs étaient si populaires dans les orgies elfiques. Quelle énergie ! Quel appétit ! Abzug la mordilla dans le cou, faisant doucement gémir l’elfette, et ce en lui promettant de la bourrer encore longuement et avidement. De tels propos ne manquèrent pas de faire frissonner Evelyn de part en part. Papillonnant des yeux, l’intéressée observa son amante, et couina quand les mains fermes d’Abzug se posèrent sur ses fesses, soulevant son petit corps fragile contre le sien.

Naturellement, Evelyn en profita pour enrouler ses jambes autour du bassin d’Abzug, s’appuyant dessus, et posa également une main sur sa nuque, empoignant ses cheveux. Son autre main se posa sur son épaule, et elle se crispa dessus en sentant la massive virilité de l’Orc approcher de ses cuisses. Sa mouille glissa dessus, et elle se pinça les lèvres, rougissant de plaisir.

« Quelques heures ne suffiront pas, Abzug, même avec ta queue monstrueuse... Ce n’est qu’un acompte, je compte bien que tu me baises encore toute la nuit ! »

Toute la nuit, oui ! Evelyn était, soit folle, soit gourmande, soit un mélange des deux. Elle était en tout cas profondément amoureuse, et aussi amoureuse que perverse. Oui, elle avait fortement envie de sentir Abzug la prendre, la labourer violemment, lui défoncer le corps, et la faire hurler comme une folle, hurler à s’en casser la voix ! Rien d’autre ne la motivait en ce moment, et, tandis qu’elle y songeait, elle frémit en sentant la queue de l’Orc s’enfoncer lentement en elle. Les lèvres d’Evelyn se serrèrent. Dire qu’elle avait longuement anticipé ce moment, sa première fois... Elle l’avait craint, redoutant de ne pas sentir le plaisir qu’elle était supposée ressentir. Et, finalement, ce qu’elle ressentait allait très nettement au-delà de tout ce qu’elle avait jadis pu s’imaginer ! Un plaisir unique se déversait en elle, et elle gémit encore longuement, couinant sur place, avant de sentir la queue d’Abzug filer profondément.

Certes, elle venait de la prendre, mais les lèvres intimes d’Evelyn n’avaient pas eu le temps de s’habituer à un membre aussi énorme. Ce mandrin l’écartelait délicieusement, répandant en elle une vague conjointe de douleur et de plaisir, le tout se mélangeant dans un sentiment exquis et jouissif. Evelyn gémit encore, les joues rougies par le plaisir, et se tortilla lentement sur place. Ses jambes se crispèrent sur les cuisses de l’Orc, et elle remua son bassin, accompagnant ses mouvements. Son visage se releva, et elle soupira encore en sentant la langue d’Abzug, râpeuse et grosse, lécher son sein, glissant sur le téton, arrachant à Evelyn des soupirs supplémentaires.

« Haaaaaaa... !! » gémit-elle alors.

Le plaisir continua à croître, remontant dans son corps. Ses joues rougirent davantage, et elle griffa les épaules d’Abzug.

« En-Encore, hnnn... ! Encore, haaaa... A-Abzuuug, hmmm... !! Continue, haaaa... !! »

Evelyn soupira longuement, et se pinça les lèvres, laissant le plaisir éclater en elle. Oh, que c’était bon, que c’était bon ! Evelyn adorait tout ça, chaque minute, chaque seconde, chaque instant !

« Ouuuiii, Abzuuug, haaaa... »

La sensation d’être ainsi remplie par ce mandrin était... Hum ! Evelyn ne voyait pas quel mot était suffisamment fort pour exprimer le bonheur immense qu’elle ressentait, et elle se tortillait donc sur place, accompagnant les mouvements puissants et prononcés de son Orc adoré et aimé.