Cette vision appétissante que m’offrait Lucie, ainsi étalée sur le lit, ses cheveux d’argent dessinant des motifs sur le matelas, lascive et totalement abandonnée, me fit monter le sang à la tête. Je me mordis les lèvres pour résister à l’envie de la pénétrer sans pitié et de la faire crier. Tout de même, l’idée n’était pas de lui faire mal.
« Oh j’vois, c’est une sorte de test. » Ma main libre continuait à masturber nos deux verges ensemble, mais même si ce geste était vraiment délicieux, il était de temps passer à la vitesse supérieure.
Seulement, il fallait vraiment que je ne sois pas trop prévisible, et pour ça, je devais légèrement revoir mes plans. Mon sexe était prêt à l’emploi, lubrifié par nos plaisirs conjoints mais contre toute attente, je ne m’en servis pas. Non, je devais vraiment surprendre Lucie ! Si elle s’attendait à ce que je la pénètre directement, il fallait que je la fasse mariner.
Ma résolution prise, je me penchai entre ses cuisses pour engloutir sa queue entièrement dans ma bouche un bref instant avant de la lâcher. Ma main vint aussitôt la remplacer pour la masturber pendant que j’aspirai ses bourses, les léchait avec gourmandise pour leur faire connaitre la chaleur de ma langue. Mais l’assaut n’était pas fini, oh que non, j’étais carrément trop affamée pour ça.
Mon poignet jouait de mouvements langoureux autour de sa tige, surtout au sommet, y récoltant tout ce qui y dégoulinait. Relevant un peu ses jambes pour avoir accès à ses fesses, ma langue abandonna pour brusquement ses bourses pour se glisser par surprise dans son petit trou. Ah, j’espérai qu’elle ne s’y attendait pas à ça ! Bon, évidemment, je n’avais pas l’opportunité de lui demander sur le moment.
Mais tant pis, ma langue était trop occupée à s’introduire dans ce conduit étroit que je lubrifiai à souhait sans pour autant laisser la paix à son membre. Celui-ci devait d’ailleurs, être horriblement sensible si bien que je m’occupai principalement de chatouiller son gland. Mon nez collé contre ses testicules, je laissai l’imagination de Lucie partir en vrille sur mes intentions tandis que ma langue se promenait langoureusement entre ses fesses.Continuant ainsi encore un petit moment, je me relevai brusquement pour la regarder bien en face.
« C’est l’heure de l’attraction principale… » A nouveau, je collai mon sexe contre le sien, utilisant ma main pour les tremper l’un à l’autre avec une idée bien précise en tête, qui d’ailleurs, devait se voir au sourire coquin que je lui adressai.
Sans la prévenir le moins du monde, je dirigeai ma queue vers ce joli cul pâle qui me faisait envie, et la pénétrait d’un coup sec. Et comme c’était mon objectif depuis le début, j’avais bien assez humidifié le passage et mon sexe pour qu’il puisse s’y aventurer de moitié.
« Hmm… Tu sais que ça m’faisait envie depuis au moins ce matin ?... » Ouais en fait, j’avais un peu fantasmé sur elle. Un peu beaucoup même. Je commençai à sodomiser Lucie lentement, très lentement, même trop. J’allais lui faire payer ce qu’elle m’avait infligé en inversant complètement les mouvements. C’était dans ce but là que je l’avais installé sur le dos, pour avoir un accès plus aisé à la totalité de son corps aux courbes délicieuses.
Je commençai par de langoureux mouvements de bassin, d’une lenteur exaspérante pour m’enfoncer progressivement en elle. Simultanément, ma main masturbait rapidement son sexe facilement accessible avec une frénésie tout particulière, ne lui laissant pas le moindre temps de repos. La voir ainsi, complètement offerte à moi, avait le don de me faire durcir plus encore, au moins autant que de m’être soumise comme précédemment.
Ma dernière main libre attrapa l’une de ses jambes pour la plaquer contre ma taille. Je lui adressai un clin d’œil, les joues rougies d’excitation. « Serre-moi bien fort, j’fais que commencer. »