Doutzen se livrait à un vrai sport, une véritable danse. La jeune femme la sodomisait sans vergogne, avec une énergie phénoménale, qui témoignait de l’évolution de la jeune femme. Jadis, la belle blonde avait pourtant été très timide, et n’aurait jamais cru pouvoir, un jour, se retrouver dans cette position, à sodomiser une jeune femme membrée en la tirant par la laisse. C’était pourtant ce qui se passait ! Et, de son côté, Alix avait aussi très clairement basculé. Son aboiement témoignait du basculement, du fait qu’elle avait franchi la ligne, et fait sauter toutes ses réserves. Doutzen la félicita bien entendu en la giflant, sa main retournant s’abattre sur sa croupe. Son autre main tira également sur la laisse, soulevant le haut du corps d’Alix, l’étranglant aussi probablement un peu.
Exultant de joie, Doutzen était partie dans son rôle, comme un train fou lancé à vive allure, filant sur les rails de la passion, sur le lit du désir. Elle était embarquée dans un train à grande vitesse et ne pourrait se calmer que quand elle aurait atteint le terminus. Elle gifla donc encore le délicieux cul d’Alix.
« Ouiii, ouiii, ma chienne, haaaa... Tu dois bander comme un taureau, hein ?! Tu aimes que ta Maîtresse te défonce ton petit cul de traînée, hein ? Hmmm... !! »
Doutzen soupira encore longuement, crispant ses mains sur le corps d’Alix. Elle relâcha la laisse, et la tête d’Alix retomba au sol. Doutzen en profita pour déplacer sa main, et sentit ainsi la virilité de la femme. Elle sourit en constatant que, comme elle le pensait, sa queue était bien dure, témoignant du fort plaisir qu’Alix ressentait. Doutzen aurait pu la masturber tout en continuant sa sodomie, mais elle préféra poser sa main sur ses fesses. Ainsi, Doutzen prenait appui avec ses deux mains sur le cul de la femme, et recommença sèchement à la bourrer.
La belle adolescente avait un bon rythme, ainsi qu’une impressionnante endurance. Il fallait bien admettre qu’elle avait de l’expérience, de l’entraînement, et qu’elle pouvait donc tenir le rythme. Elle prenait donc longuement Alix, dont le cul était bien dilaté, enfonçant sa virilité en elle, s’y plongeant avec un grand plaisir, s’enfonçant jusqu’à la garde. Sentir cet espace étroit autour de sa queue, la chair interne qui se refermait sur sa queue, la restreignant, la forçant à agir plus vite, à la faire sortir de ses gonds... Il y avait clairement dans le sexe un hurlement, une manière de briser toutes les conventions sociales, de laisser parler une sorte de violence intuitive et primitive, innée et propre à l’Homme, qui s’exprimait en ce moment.
« Ohhhh... Ma chérie, haaaann... »
Comme elle aimait ça ! Elle n’allait pas se lâcher rapidement, mais, à force, même elle ne pouvait pas retenir ce plaisir qui montait en elle, cette vague qui la transperçait. Doutzen se pinça encore les lèvres, et, après plusieurs longues minutes de ce traitement, de cette rude sodomie, elle pinça les fesses de la femme, enfonçant ses ongles dans sa peau. Ses muscles se crispèrent, son corps se banda, et, dans un long gémissement, Doutzen sentit la vague la traverser. Sa queue, qui lui faisait mal, se relâcha donc, et elle se pinça les lèvres, se dressant, cambrant légèrement sa tête en arrière, et jouit généreusement. Son foutre remplit le gosier d’Alix, et Doutzen se laissa pleinement aller, se répandant à chaque secousse, gémissant avant de se calmer progressivement, rouvrant les yeux en sentant sa queue dégrossir.
Reprenant son souffle, Doutzen conserva ses mains sur le fessier de la femme pendant quelques instants, et sourit.
« J’espère que tu n’as pas joui trop fort, ma chérie... »
Elle donna un léger coup en avant, conservant encore sa verge en elle, sentant son sperme contre sa queue, et se dépêcha de récupérer un plug, avec une queue poilue à l’extrémité. Autant qu’Alix assume son rôle jusqu’au bout, et, pour éviter que le sperme ne s’écoule, Doutzen glissa rapidement le plug dans son fondement.
« Parce que, tu vois, ta Maîtresse aussi a envie de sentir ta queue dans son fondement ! Alors, j’espère pour toi que tu n’as pas joui sans l’autorisation de ta Maîtresse... »
Dans le cas contraire, la punition serait à la hauteur de l’impudence d’Alix !