Alix avait finalement succombé à ses pulsions profondes. Doutzen l’avait senti dès le début, et elle sourit malicieusement en la voyant se déshabiller, ôtant sa culotte, exhibant ainsi sa belle trique. Oui, elle le savait par expérience. Les vantards, les femmes fortes et inutilement agressives... Tout ça dissimulait souvent une propension à la soumission. Au moins, Alix l’admettait plutôt facilement. L’être humain n’était qu’un ensemble de paradoxes, après tout. Tout comme l’homophobe qui avait des pulsions homosexuelles refoulées, le dominateur violent était souvent un bien mauvais dominateur, car désirant secrètement être soumis. Alixa avait eu le choix, et s’effondra sur place. La belle fille aux cheveux bleus se mit même à genoux devant Doutzen, qui était assise sur le rebord du lit, et la jeune blonde écarta les jambes, laissant le visage d’Alix se faufiler entre ses cuisses, déposant un baiser sur sa culotte.
En retour, Doutzen se mordilla les lèvres, sentant un délicieux frisson d’excitation la traverser. Ce spectacle était très appétissant, et elle gémit lentement, avant de se dandiner sur place, et remonta sa main, caressant doucement les cheveux de la femme.
« C’est bien, c’est très bien d’être honnête avec soi-même. Moi aussi, tu sais, j’aime me soumettre à des amants forts, virils, et brutaux... »
Tout doux, tout tendre... Puis, brusquement, la main de Doutzen, qui caressait délicatement la tête d’Alix, serra fortement ses cheveux, les tirant, et lui arrachant un gémissement. Doutzen reprit alors, en se penchant légèrement en avant :
« Mais ce n’est pas ton cas, pas vrai ? Toi, tu es une petite salope, une chienne qui aboie plus qu’elle ne mord... Je suis sûre que tu fais la fière devant les hommes, mais que tu t’effondres devant les filles... »
La voix de Doutzen se faisait tout d’un coup plus sèche, plus dure, et elle tira en arrière, jetant Alix au sol, la faisant atterrir sur les fesses. Doutzen se redressa alors, dominant la femme de toute sa stature, jambe à gauche et à droite, et sourit alors, avant de retirer son pied d’une de ses bottes... Et le posa sur le torse d’Alix. Elle appuya alors dessus, forçant un peu le passage, faisant gémir sa partenaire, et sourit encore, malicieusement.
« Tu aimes quand une fille te marche dessus, hum ? »
Le pied de Doutzen se déplaça ensuite, ses orteils caressant la peau d’Alix, jusqu’à ce qu’elle ne sente, contre son talon, le mât d’Alix. Une queue bien dressée, contre laquelle elle appuya son pied, frottant son talon de haut en bas, avant de remonter suffisamment pour que son pied passe au-dessus de son membre. Doutzen le fit alors descendre, tirant un peu sur ce sexe, et sentit même son collant se coincer un peu, le membre d’Alix formant comme une série de plis sur le collant, tendant ce dernier, avant de le relâcher. La trompe d’Alix tressauta sur place, libre pendant quelques secondes, avant que les orteils de Doutzen ne caressent ce sexe, glissant dessus...
...Puis, brusquement, Doutzen appuya en avant, et écrasa la queue de sa partenaire sous son pied, souriant à nouveau de manière très perverse. Elle serra fort, puis relâcha la pression, répandant une puissante onde de douleur dans le corps d’Alix.
« Je vais te traiter comme une chienne toute la nuit, Alix, tu n’as pas idée de ce que ta Maîtresse peut te faire... »
Doutzen rajouta ensuite, tout en continuant à caresser le sexe d’Alix avec son pied.
« Et c’est ce que tu veux, hein ? Te faire battre par une jolie fille, te faire humilier, insulter, fouetter le cul, et baiser toute la nuit par une cruelle Maîtresse ? Tu es ma petite salope rien qu’à moi, Alix... ! »
Oh, Doutzen jubilait à cette idée !