La traite dura quand même un bon moment... Cassandre, comme dit précédemment, était une grosse productrice de lait, il ne fallait donc pas s’étonner qu’elle... Et bien, qu’elle produise énormément de lait... Donc, la vachette était contente de bien faire son travail. Le plus grand avantage de notre Cassandre, c’est que non seulement elle produisait énormément de lait, cela, vous avez bien compris... Mais qu’en plus, elle donnait un très très bon lait. Le lait de Cassandre était un lait excellent, un brin sucré, qui avait un grand succès chez les consommateurs. On pouvait même dire qu’il fallait absolument en récupéré le plus possible ! Les vachettes pouvaient être traites 24h/24, quand elles étaient préparés à cela, mais c’était souvent suivant les choix des producteurs...
Néanmoins, toutes les bonnes choses avaient une fin, il fallait bien l’avouer. Donc, une fois que ses seins terminaient de donner leurs laits... Et bien, elle eut une nouvelle mission. En effet, maintenant, sa propriétaire voulait en apprendre plus, en savoir plus sur cette fois l’arrière train de la vachette. Elle demanda donc, chose relativement logique, que la fameuse vachette se mettent à quatre pattes. Elle accepta sans aucune difficultés. Beaucoup de vachettes avaient l’habitude de ne vivre quasiment qu’à quatre pattes, à la demande de leurs maîtres ou leur maîtresses. Elle ne savait pas encore ce qui allait se passer.
On pouvait dire qu’elle ne s’y attendait ABSOLUMENT pas. Alors qu’elle attendait, elle sentit la main de sa maîtresse s’enfoncer dans son anus. Cela fit mal au départ, elle ne s’y était absolument pas du tout prévue, et en plus, rien n’avait été lubrifiée... Donc, en toute logique, cela fit mal. Elle poussa un gémissement de douleur, mais peu à peu, elle s’habitua à la douleur. Les vachettes, vivant à l’extérieur, et pouvant être prise par des vrais taureaux, faisait qu’elles étaient bien solide, prête à endurer des sévices importants. Quoiqu’il en soit, son anus fut trifouillée, sans aucune pitié, pour vérifier qu’il n’y avait aucun problèmes... Peu à peu, elle commença même à renssentir du plaisir, avec du lait qui en coulait de ses seins... Et de la cyprine de son sexe...
« J'en ai plein les doigts Cassandre, enlève moi ça. Avec ta langue ! »
Elle s’exécuta alors. Ce ne fut pas spécialement agréable pour elle, et elle n’apprécia pas spécialement. Même si le goût de la cyprine lui plut quelques peu, le passage de la main dans l’anus de la vachette, fit que ce ne fut pas spécialement agréable niveau goût. Mais elle était une bonne vachette... Donc, elle acceptait de le faire. Après tout une bonne vachette était obéissante, et faisait ce que sa maîtresse ordonnait ! Quel vachette ne serait pas obéissante à ce point ? Une mauvaise vachette ! Une fois cela fait, elle fut amenée par sa nouvelle maîtresse, à l’intérieur de la maison. C’était un grand privilège ! Bien souvent, les vachettes n’avaient pas le droit dans les maisons de leur propriétaire. Elle suivit cette dernière, d’ailleurs,
«Tiens, c'est pour toi. Tu m'appartiens et j'ai envie que tout le monde le sache. Donc mets-le et ne le retire jamais, sinon ta maîtresse ne sera pas contente ! »
C’est alors qu’elle reçu un beau nouveau cadeau ! Quel gentillesse ! Ca cadeau était un collier, entièrement noire, qui allait remplacer le vieux collier temporaire qui lui avait été donné le temps que justement, elle soit amenée ici. Mais le collier n’était pas uniquement un collier, bien utile si on voulait lui mettre une laisse. Non, c’était également un pendantif, qui lui, servait donc à montrer à qui elle appartenait ! C’était très important. Les plus gentils maîtres et maîtresses se contentaient de cela, mais beaucoup, aussi, marquaient leur vachettes, pour être sur que tout le monde sache bien à qui elles appartenaient. D’ailleurs, d’autres maîtres et maîtresses faisaient les deux. C’était ça le plus sur après tout. D’un côté, on marque, de l’autre, on met le collier. Comme ça, aucun risque quoiqu’il arrive... Bref, quoiqu’il en soit, une fois cela fait, elle devait maintenant rejoindre sa maîtresse dans la chambre.
« Me voilà, maîtresse ! »
Elle n’eut pas trop de difficulté à trouver donc là où elle devait être. Je dis bien « pas trop », car Cassandre était parfois un cas désespérée. Mais là, c’est bon. Maintenant, elle avait retrouvée sa maîtresse, elle se demandait quoi faire. Elle connaissait mal ce que devait faire une vachette, autrement que donner du lait. Elle était parfaitement passive et obéissante, donc, ses capacités à faire des choses elle-même était... Et bien proche de zéro.
« Que voulez-vous faire donc, ma chère maîtresse ? »
Cassandre s’installa alors sur le lit, sans attendre l’autorisation de sa maîtresse. Elle avait un peu mal aux pieds, donc, elle se permettait à s’installer. Après tout, elle ne voulait pas le soucis, non ? Bref, quoiqu’il en soit, elle regardait, toute contente, sa maîtresse. Elle avait un peu mal aux fesses, bien sûr, mais globalement, cela allait. Elle pensait qu’elle était vraiment chez une bonne maîtresse, qui était contente d’elle. C’était le principal, après tout ! Une bonne vachette, c’était une vachette obéissante ! Mais si elle était obéissante, parfois, elle oubliait les règles, et là, elle avait sans fait exprès oubliée une règle. Une bonne vachette ne va pas sur les lits, enfin, pas sans l’autorisation de sa maîtresse... Mais bon, elle était sans doute, sa chère maîtresse, une femme qui pardonnait sans problème, non ?