Oriana prenait les devants, même si la bête adorait le faire, voir une femme aussi magnifique prendre sa queue et la mettre entre ses seins le rendait tout excité. Les épais obus de la jeune fille, serrait très fort le sexe de Thorin, il adorait cette sensation, c’était à la fois doux et chaud ; d’autant qu’elle s’amusait à la sucer avec envie, de la bave due surement au liquide pré-sperme coulait le long de ses lèvres puis de ses joues. C’était trop excitant, la bête ne pouvait plus se retenir et déversa plusieurs salves de sperme à l’intérieur de la bouche, puis sur les seins d’Oriana. Elle continua de la branler. Mais ne pouvait s’empêcher de sentir une odeur de fraise s’installait de plus en plus dans la petite de chambre de l’auberge, il regarda Oriana, occupée à sucer et frotter ses énormes seins contre le sexe du minotaure.
« C’est toi qui échappe une odeur de framboise ou de fraise ? » dit-il songeur.
Il connaissait que très peu de créatures pouvant laisser échapper une telle odeur, il s’agissait par exemple des Fées, mais elle ne pouvait pas être une fée, elles vivaient bien loin d’ici, que ferait une fée dans une forêt si vaste, à quelques pas d’une auberge très mal fréquentée. En effet, les Fées étaient des créatures rares, elles étaient très recherchées pour leur pouvoir magique, ainsi que leur métabolisme, elles ne vieillissaient jamais, et étaient, comme la présente Oriana, très jolie. Qui plus est, si elle avait le malheur de tomber sur un bandit, les Fées sont des créatures qui valent très cher à la revente, elles étaient donc capturées puis revendues à des riches, leur valeur était inestimable, elle variait surtout selon la beauté de la Fée et aussi de la grosseur de sa poitrine … Etait-ce le jour de chance de Thorin ? Lui, le chasseur, celui qui ne fuyait devant aucun contrat lucratif, avoir cette créature à sa portée et qui plus à qui il était en train de faire l’amour. Non non, le Minotaure ne faisait pas parti de ce genre de personne, il n’était pas un bandit et il avait pour habitude de bien traiter les jolies femmes, en dehors d’un lit évidemment.
Son sexe rentra une dernière fois dans la bouche d’Oriana et fit descendre son sexe jusqu’à l’entrejambe de cette dernière. Il la frotta avec son sexe puis la rentra complètement d’un coup sec. La trentaine de centimètres de son phallus était à présent aspirer pour le vagin d’Oriana. Il la souleva, la prit dans ses bras, les seins de la jeune femme étaient au niveau du visage du Minotaure, il en profita pour les lécher, les mordre et sucer leurs tétons. Thorin se savait fort, mais oubliait parfois que la personne avec qui il faisait l’amour n’était pas forcément assez solide pour encaisser sa puissance, car, Thorin plaqua Oriana contre un mur, ce qui fit tomber les tableaux accrochés, ainsi qu’une lampe à côté du lit. La tête toujours dans la poitrine voluptueuse d’Oriana.
« Je vais te pilonner la chatte, comme on ne t’a jamais pilonné ! » dit-il de la façon la plus mesquine qui soit.
Il serrait le cul rebondit d’Oriana tout en la pilonnant.