Un cour à la Luhimi (PV reservé)

Blablabla, c'est fous ce que les cours sont toujours chiant, surtout quand c'est une vieille peau qui utilise les cour de l'année précédente. On étudiait la Révolution Française, en quoi cela nous aide d'apprendre que des villageois on mit la pagaille et on finit par couper la tête à leur roi qui ne faisait rien d'autre que de fuir comme une tapette.

- Luhimi je te prierais de bien vouloir t'assoir correctement.

Et elle voulait se prendre des beigne en plus. Je faisais pourtant rien de mal, j'étais au fond, la place de ceux qui ne voulaient pas en foutre une ramée, les pieds sur le bureau et  la chaise sur ces deux pied arrière, ma veste entrouvert dévoilant un haut clair, qui cachait bien mon bandage, mes mains dans les poche, au passage j'avais mes gants, et ma croix en argent au bec.

Je dit à cette instite de bas étage le fond de ma pensée, c'était comme cela que j'étais connut dans le lycée, plus d'une fois je devais aller voir la dirlo, mais j'avais toujours un prétexte d'avance pour y échapper.

- Je suis bien comme ça et si vos cours étaient moins barbant on pourrait plus s'intéresser, j'en voie deux qui dorme, quatre là bas qui fond du morpions et six lèche cu qui font semblant de s'intéresser, bien sur il y en a qui arrive à supporter cette torture historique qu'est votre cour et suivent.

Elle remplissais ma fiche de suivit, connaissant cette pie elle allait mettre comme commentaire,  '' N'a pas daignez vouloir faire preuve de respect et ce croit tous permit, je demande donc quatre heure de colle comme punition où il pourra méditer sur ces actions'', j'avais rien à redire la dessus, ce n'est pas ma faute si elle n'aime pas que l'on lui dise la vérité en face. Quoi qu'il en soit elle continuait son cours qui aurait sans doute fait retourner les acteur de cette Révolution historique dans leurs tombes. Pour moi apprendre l'histoire d'autre pays n'apporte rien. Je sortie mes mains de leurs poche et les fit craquer, un élève très réactif, comprit ce que j'allais faire et voulus m'en dissuader.

- Dit Luhimi, tu ne compte tous de même pas la frapper, cela peut t'attirer des ennuis, tu es au moins au courant de ça ?
- Oui je sais et si je dois aller voir la dirlo j'irai la voir, pour l'instant mettons un peu d'ambiance dans ce cour très soporifique.

Je bascule ma chaise et me lève en me dirigeant vers le milieu de la salle avant de dire.

- Qui veux que je jette la prof hors du cours ?

Pas de réaction immédiate, mais je vois que la plupart avaient cette idée en tête, aussi je prend le col de la dadame et lui met mon piepied là où je pense la faisant ouvrir en grand la porte et courant en pleurant vers l'administration, au mieux le comité de discipline auraient le droit de me faire passer une sale quart d'heure, au pire je serais convoqué chez la dirlo, je ne savais pas pourquoi mais je ne pouvais pas blerer cette directrice, un pressentiment.

Je me place au tableau et efface ce que cette incompétente de prof avait écrit, puis me tourne vers les élèves, cela ne changeait pas trop quand je parlais avec ceux de mon gang.

- Ceux qui veulent prendre une pause vont dehors, ceux qui veulent étudier quelque chose qui serait nouveau reste et le dise. Quand à ceux qui veulent faire du Strip-poker c'est au C.D.I comprit ?

Ni une ni deux la moitié de la classe se barre, reste l'autre moitié dont certaine personne levaient la  mains pour prendre la parole, ce geste de respect me fit rire aussi je roule une clope pour l'allumer et le savourer.

- Comme je suis le prof je dit ceci, ceux qui veulent parler parle sans attendre qu'on leurs donne la parole, exprimez-vous, nous avons bien trente minutes avant que quelqu'un ne met fin à ce jeu de rôle.

Le lycée de Seikusu. Encore une fois, je m'y retrouvai. Pourquoi? Parce que j'en ai envie et parce que Mistile m'avait dit qu'il s'y trouvait quelqu'un qui pourrait avoir une certaine importance dans ma croisade, supposément quelqu'un que je connaissais. Portant une veste à fermeture éclair à capuche blanche, un débardeur noir en dessous et un pantalon de même couleur, j'ai un tantinet soudoyée la directice Nasira-sama d'une manière que je ne citerai pas car c'est un secret pour infiltrer un cours d'histoire en me faisant passer pour un stagiaire. Le prof était vraiment nulle. L'histoire n'était pas ma matière de prédilection, mais j'étais sur que cette idiote nous menait en bateau. Lorsque j'entendis le nom de Luhimi, un sourire naquit sur mes lèvres. Même avec l'apparence d'un mec, elle avait la même âme et le même sale caractère qu'il y a cinq ans, même si son sang avait mon odeur favorite, soit celui de Fiela. Il s'agissait donc du sang de nymphe. Je souris, elle avait vraiment bien changé son physique, mais elle aurait du axer sur son agissement... et elle était trop mignonne pour être un mec -_-'

Enfin bref, il ne restait plus que moi, une jeune demoiselle et douze autres mecs qui dévisageaient cette dernière, sauf deux-trois, trop timides pour faire comme les autres, le reste s'étant dirigé vers le Strip-poker. Je créai alors une illusion juste pour eux. L'espace d'un moment, rien n'arriva, mais les machos finirent part trembler et s'enfuir en hurlant, dessinant un sourire des plus cruellement amusé. Les autres garçons, haussant les épaules, se remirent à travailler. Pour attirer l'attention de Luhimi sur moi, je parlai:

-Tu comptes nous apprendre quoi, Luhimi-chan.

Je crois bien être le seul homme à l'avoir appelée ainsi et à avoir encore la tête sur ses épaules pour être capable de le répéter avec un sourire trop content pour passer comme une offense. Je la fixai de mes yeux émeraudes, me demandant si elle se souviendra de moi.

Je vis des costaud se barrer en courant, comme si ils avaient le diable en personne au cu. bon il restait trois demoiselle et trois, non quatre garçon l'un d'eux prit la parole et je ne pus m'empêcher de répondre.

- Je vais déjà voir si des personnes ici ont des idée inter ...

Cette façon de me parler et cette intonation dans le "chan", je le reconnaissait et fit semblant de ne pas y faire attention, si c'était Kamui, il saurait me faire réagir en me proposant la suite de ce que l'on avait commencé il y a bien longtemps. Je continua mon intervention

- Je disait donc que si personnes n'a d'idée et ne veulent pas participer, qu'ils quitte cette classe.

Le résultat fut radical, il restait la personne que je suspectais d'être Kamui, d'ailleurs je me demandait comment il avait bien réussit à me découvrit, je n'avais pas énormément de point commun avec mon ancien moi, sauf si il avait obtenu de nouveaux pouvoir, cela serait intéressant à savoir. Il y avait aussi une demoiselle.

- Bon vous me proposez quelque chose ou l'on attende que le comité m'embarque ?

Andrea Romanxe

Romanxe était assise dans le fond de la salle, quand ses yeux virent ce qui se passait, elle ne put même pas résister qu'Andrea prit le dessus. Alors qu'il ne restait plus que deux personnes, le certain Luhimi, et un autre homme qu'elle n'avait jamais vu. Andrea se leva, le sourire aux lèvres et vint directement s'asseoir sur le bureau de la prof qui était partit, elle croisa ses jambes, laissant apparaître ses portes-jartelles. Elle regarda alors l'homme qui se prennait pour le prof et n'arrivait pas vraiment à croire que c'était un homme, peu importe, elle dit, d'un ton plein de sous entendus :

"Et si on laissait tomber le tableau, apprendre en pratiquant serait un peu mieux."

Elle sourit alors, regardant ses deux camarades de classe et elle se leva, marchant vers la porte de classe, ses talons claquant sur le carelage, elle vérouilla la porte et vint s'asseoir sur une table au fond de la classe, regardant le physique de Luhimi, le regard plein d'envies.

Quel ne fut pas mon plaisir de voir tressaillir l'ange déchue. Elle m'avait donc reconnu à ces simples mots. Elle se reprit et nous assistâmes aux départs de tous, sauf une des demoiselles. Celle-ci, nous adressa la parole avant de verrouiller la porte et d'aller s'asseoir au fond. Pour ma part, je m'approchai de Luhimi, l'enlaçant quand elle fut dos à moi. Je me penchai sur son oreille droite que je mordillai sensuellement, influencé par ce penchant transmi par mon épouse, et je lui chuchotai doucement à l'oreille d'une voix mielleuse:

-Je ne suis pas d'un naturel rancunier, mais tu m'as laissé d'une trop belle manière pour que je puisses te le pardonner, maîtresse.

En effet, elle m'avait laissé dans une situation plutôt gênante, il y a un moment de cela. Je posai mon regard sur l'autre demoiselle et de petites flammes vertes se mirent à danser dans mes yeux. Je dégageai une aura d'une attraction difficilement résistible à en rendre les succubes jalouses, un truc que Fiela m'avait involontairement donné. J'avais deux buts en tête et j'avais bien l'intention de les satisfaire. Premièrement, reprendre les choses ou on les avaient laissée et réclamer mon titre de vassal et détrôner les dieux ou les anéantir s'ils ne se soummettent pas... ah, que j'ai hâte.

La demoiselle fit quelque chose d'inattendue, elle vint vers moi et se mit dans une position qui offrait à mes yeux le plaisir de voir ces forme et sa tentative de séduction. Si j'avais été un humain je n'aurais eut aucun scrupule à lui passer dessus, mais je devais garder ma place de dominante et pour cela je ne fit qu'un sourire qui montrait ma compréhension de ces envies. La demoiselle ferma la porte et la dérouilla, pour ensuite attendre la suite, sur une table, elle voulait être rapide cette humaine, soit elle apprendrais quelque chose de rare, que derrière Luhimi se cache une femme qui peut lui offrir les délices de la débauche.

Kamui me surprit en profitant que je lui tourne le dos, pour m'enlacer et commencer à me chauffer, d'ailleurs mon pénis commençait à se tendre, tous ça à cause de l'odeur de la demoiselle et de l'idée d'une partie à trois. Sa remarque me fit sourire et une réplique sortie de ma bouche.

- C'est vrais que tu restes mon vassal, tu as de la chance d'avoir prêté allégeance à une femme comme moi.

Je ne me rendis, que trop tard, de l'erreur que j'avais commise, si cette demoiselle ne se doutait pas de ma vrai nature, c'est qu'elle était d'un bêtise inqualifiable. Restait a savoir si c'était le cas et dans le cas contraire, si elle apprécierait d'avoir une femme avec un membre masculin, comme camarade de jeux.

* UNE FEMME COMME MOI ?! Andrea, c'est une fille !*

"Et alors c'est une fille ? J'aime bien les filles moi !"

Andrea se rendit compte qu'elle parlait seule, et que les regards étaient tournés vers elle. Pour ne pas garder le silence, elle commença à marcher dans la pièce, ses talons résonnant à chaque contact avec le sol, elle regarda les deux autres personnes, voyant qu'ils se connaisaient. Elle sourit puis dit, d'un air arrogant :

"Puisque vous vous connaissez, je vais vous laissez entre vous."

Puis elle s'approcha d'eux, avec un étrange sourire, Andrea était vraiment folle, et cela se voyait.

*Andie, arrête ! Sort d'ici !*

"Romanxe, ferme là !"

Elle avait à nouveau parlé seule et se demandait comment ses deux autres camarades allaient le prendre, et ce qu'ils allaient faire.

Mon attention fut centrée sous la réaction de notre demoiselle, une humaine ayant plusieurs facette ? Le jeu en devenait très palpitant, rien de mieux qu'une femme de ce genre pour amuser encore plus la galerie, sans compter que son autre côté ne semblait pas très ravie de savoir que j'étais une femme. La belle humaine s'approcha de nous et dit qu'elle allait nous laisser, laisser partir un perle comme-ça, oh que non.

- Nous avons fait un peu connaissance dans le passé, effectivement et j'ai du partir alors que notre "discussion" prenait de bonne tournure.

Je me libéra de l'étreinte de Kamui, pour m'approcher avec une pas typique des femmes voulant du plaisir. Je continuais de m'approcher et fit le tour de la demoiselle, la regardant sous toute ces coutures, pour finir par enlacer mes bras autour de son cou, tout en frôlant de mes mains sa poitrine. je lui susurra à l'oreille.

- Que tu le veuilles ou non, tu restes ici. J'aimerai aussi m'amuser avec celle que tu appelles Romanxe.

Ma fin de phrase fut ponctuée par un petit rire, qui promettait à la schizophrène de bon moment. je continuais de caresser la poitrine de cette femme, qui était très alléchant, tout en  lui déposant un baser sur le cou, pour la demander de rester.

Luhimi avait donc repéré une nouvelle proie, se dégageant de moi pour l'approcher. Je souris et je la suivis, ce penchant pour le vice me poussant à entrainer la demoiselle dans nos jeux. Luhimi se mit à la caresser et tout. Moi, je souriais, amusé. Je crois que je vais bien m'amuser. Luhimi était originale et avait un style bien à elle, mais je dois avouer que la demoiselle m'intéressait aussi. Mais dans ce monde, il y a énormément de lesbiennes et je devais me rappeler que rares sont celles qui acceptent un homme dans leurs ébats. Je l'observait cependant. Elle était très bien formée. Jolie poitrine, des hanches attirantes, de bonnes jambes... elle avait de quoi faire fantasmer n'importe qui. En plus, elle était schizophrène, ce qui était assez plaisant, car avec deux personnalités, ça voulait dire deux manières de réagir, donc deux fois plus de plaisir.

-Moi aussi, j'aimerais jouer avec toi ^^

Évidemment, j'avais ma propre version du mot "jouer". Tout doucement, je m'approchai et la regarda dans les yeux. Mes yeux virent en elle une immense quantité de vice qui avait tout pour me plaire. Amusé par cette découverte, je la léchai doucement dans le cou, la découvrant douce comme le satin et si tendre que je n'aurais même pas besoin de forcer pour y enfoncer mes crocs... Je me mis ensuite à embrasser la peau de la demoiselle. Si l'instinct de Luhimi l'emmenait à cette demoiselle, il y avait peut-être une bonne raison.

-Ca me donne envie de te mordre, juste ici... Mais tu as une peau qui goûte si bon que je préfèrerai ne pas la souiller de sang... Tu dois certainement avoir un nom qui va avec cette perfection toute à toi.

Enfin ils s'interessaient à elle, Andrea en était flattée. Et ce qui la flatta le plus fut que l'homme voulait la croquer, elle éclata de rire et vit apparaître ses crocs pour lui répondre :

"Fais attention que ce ne soit pas l'effet inversé, j'ai soif moi aussi."

*Andrea, arrête tes conneries !*

"Romanxe la ferme ! Donc je disais, je m'appelle Andrea, et celle qui me parle dans ma tête c'est Romanxe."

Elle passa sa main sur le bras de cet homme dont elle ne connaissait pas le prénom remonta jusqu'à son cou où elle passa ses ongles délicatement, cette peau était à souhait. Andrea n'était une vrai vampire conventionnelle, mais elle aimait s'abreuver et ses cannines lui en laissaient souvent l'occasion. Elle se retourna vers Luhimi, un sourire aux lèvres et dit :

"On dirait que ma poitrine t'intèresse.."

Elle se colla à elle, l'attirant par les hanches, et passa ses mains sur ses fesses, dans son dos, sur sa poitrine, s'y attardant un long moment avant de toucher sa joue pour attirer le visage de Luhimi et passer sa langue sur ses lèvres, tout doucement avant de la lâcher et de se reculer pour observer les deux personnes avec qui elle allait sûrement bien s'amuser durant les heures qui suivent.

J'étais ravie d'avoir cette demoiselle, si une divinité devais incarnée cette femme, se serais celui de la luxure, sans aucun doute, elle maniait l'art de la séduction avec un aisance inhumaine. Aussi fus-je contente d'attendre son nom et celui de son double, qui d'après ces dires, ne semblait pas ravit de nous connaitre. Je la vit draguer Kamui avec des gestes qui pouvaient se traduire facilement par une invitation.

Puis se fut à mon tour de subir ce test, car pour moi c'était un test pour nous jauger, dommage pour elle, car mes bandages combiné à ma lotion ne permettait pas de sentir de poitrine, juste de quoi faire penser à des pectoraux. Aussi je la laissa me tenter avec sont corps et lui fit un sourire. si elle voulait voir ma poitrine autant ne pas le lui cacher plus longtemps. Elle se recula pour nous observer.

- Je vais te laisser admirer ma poitrine, même si elle n'est pas aussi bien fournit que la tienne.

Je fit glisser ma veste sur une chaise et retire ma haut, laissant voir des bandages; Je les défait et passe un lotion de couleur bleu sur ma poitrine, qui reprend petit à petit du volume. elle avait grossit depuis que Kamui l'avait vue, mais était deux fois moins profonde que Andrea. Impudique, je reste torse nue, provoquant un peu cette demoiselle à venir plus près et faire la même chose.

- J'ai une question, Romanxe serait-elle partante elle aussi, il serait dommage de ne pas l'inviter.

un sourire naquit sur mes lèvres, voulant dire à Andrea si sa double serait su genre à nous divertir. si elle n'était pas partante, elle ne serait qu'une pauvre innocente prit dans ce piège, et ça, Andrea le savait certainement.

En voyant Luhimi dénuder sa poitrine, je compris que n'était pas que des bandages qui empêchaient les seins de se faire savoir, mais aussi une lotion à base d'éniver (le nom actuel de cette plante m'échappe, je ne me souviens que du nom en Éden) qui pouvait comprimer la poitrine de la demoiselle. Elle retira ensuite le haut de notre nouvelle partenaire de jeu ainsi que son soutif, dévoilant une paire de seins fort satisfaisantes. Même si les protubérances mammaires de l'Ange Déchue étaient plus grosses qu'auparavant, celles d'Andréa leur faisait de l'ombre. Souriant et amusé, je me glissai à nouveau derrière Luhimi, retirant ma veste et mon débardeur, déposant dans sa poche arrière une lettre que je lui ferai lire plus tard, puis, caressant son dos, je la contournai pour me placer derrière Andrea et je l'enlaçai gentiment. Je mordillai son oreille droite, dévisageant Luhimi, un air provocateur sur le visage. La connaissant comme je la connais, elle aimait bien jouer avec ses proies de jeu.

-Je me demandes jusqu'où tu peux te rendre avec la belle quantité de vice que tu caches dans ce corps, belle Andréa.

Je passai doucement une langue tendre de la base de son cou jusqu'à la petite bosse que faisait sa mâchoire. Un homme est naturellement doté de tous les vices, mais je sentais en ce moment même les changement que l'assimilation d'une partie de l'essence de Fiela avait opérée en moi. Le vice et la luxure exacerbaient mon pouvoir. Plus j'étais proche d'une source du vice, plus puissant j'étais moi-même. J'eus un sourire sombre, un sourire qui, j'en étais sûr, plairait à la jeune femme qu'était Luhimi. Je chuchotai à nouveau à l'oreille de la demoiselle.

-Fais nous voir ce vice que tu caches ^^

Les deux personnes avec qui Andrea se trouvait étaient fort bien vicieuse, à son plus grand bonheur. Elle se laissait mordiller l'oreille par l'homme, dont elle ne savait toujours pas le prénom, et comparait inconsciemment sa poitrine à celle de Luhimi, qui était plus petite mais bien plus belle. L'homme demanda qu'elle dévoile tout son vice, cela allait être un jeu d'enfant, mais elle aimat jouer et allait se faire désirer. Elle se libéra de l'étreinte qu'il excerçait et marcha vers Luhimi, le bruit de ses escarpins résonnant dans la salle vide, elle marcha et la poussa doucement par les épaules jusqu'au tableau où elle saisit ses poignets et les plaqua au dessus de sa tête. Langoureusement, sa langue dévala la joue de la femme, rencontra sa machoire, fit un crochet vers ses lèvres qu'elle mordit avec apétit avant de venir dans son cou passer quelques gracieux coups de langue. Elle colla son bassin à celui de la demoiselle et lui libéra les mains avant de descendre vers sa poitrine, traçant un sentier de baisers brûlants. Arrivé là, elle vit qu'elle avait du terrain et commença par passer sa langue sur la surface gonflée, s'approchant lentement des pointes encore détendues de Luhimi. Sans vraiment pouvoir s'en empêcher elle passa sa langue dessus et y posa ses lèvres, pour suçoter une des pointes, la mordant doucement de temps à autre. Elle se décida à remonter, une de ses mains descendant vers l'entre-jambe de sa camarade, sa bouche se dirigeant vers son oreille, dont elle mordilla le lobe avec désir avant de dire :

"Romanxe n'aime pas trop les filles, je ne pense pas qu'elle se mêlera à nous, elle observera de par mes yeux ce qu'elle rate. La pauvre ..."

Un sourire ravageur envahit le visage d'Andrea, elle lâcha sa proie et vint attraper l'homme qui lui servirait d'amant pour la fin d'après-midi par les hanches, elle laissa alors Romanxe prendre le contrôle, elle dit alors pour se manifester :

"Me voilà, puisqu'il y a un homme, je vais m'amuser, moi aussi."

Romanxe était d'un naturel beaucoup plus doux, elle se contenta de passer ses mains dans le dos nu de cet homme avant de descendre dans son cou déposer quelques baiser, puis sur son torse avant de remonter à la comissure de ses lèvres, y déposant un baiser démarqué.

Kamui m'étonnait vraiment, j'étais surprise de voir comme il avait acquit en sensualité depuis notre dernière rencontre. Il était devenu, comment dire, un peu plus sauvage et remplie de désir, ce qui ma donnait envie d'en savoir davantage, mais je n'en eus pas le plaisir, car notre belle compagne, voulut s'amuser avec moi, elle s'avança vers moi et me poussa en arrière, j'offrit de temps à autre un peu de résistance, pour la forcer à se montrer un peu plus dominante, une fois que mon dos toucha le tableau, elle me prit les poignet avec douceur pour me mettre en position de dominé, comme j'aurais fait avec une proie. Sa langue fit des mouvements assez déroutante, ce qui fit grossir mon membre masculin. Voilà un des inconvénient quand on se fait greffer un pénis, il réagit au stimulation, le chirurgien m'avait dit en gros que mes éjaculation serait composé de ma cyprine, je n'avais pas les bourses avec, trop dangereux et trop sensible. Quoi qu'il en soit tous son manège avec tendue ma verge.

Puis je pus souffler, elle était vraiment redoutable comme humaine, Andrea devait avoir beaucoup d'expérience dans le domaine, pour avoir réussit à m'excitée de cette manière, d'ailleurs je me sentais mouiller, encore plus en voyant que Romanxe s'amusait avec Kamui, cette fille était une source de luxure à elle seule et cela me fit penser à une chose. J'attendrais qu'elle est finit de donner son cour de baiser pour lui dire.

- J'aimerai savoir une chose depuis quand toi et Andrea vous vous êtes adonnée aux plaisirs et qu'elles sont vos expérience respective.

c'était pour moi un moyen de savoir si la suite serait amusant ou pas, car si elles avaient beaucoup d'expérience, elles m'en feraient profiter, pour améliorer encore plus mes techniques.

En voyant la jeune femme dominer Luhimi, j'eus un sourire. C'était plutôt étonnant de voir l'ange déchue se laisser ainsi faire dominer. Elle avait nettement plus une allure de dominante que de soumise, mais un truc attira mon regard... mais elle avait un pénis!? La surprise s'imposa dans mon regard, mais aussitôt apparut que disparu, je repris mon air habituel dans la situation présente. Lorsqu'Andréa revint vers moi, je compris qu'elle était maintenant Romanxe. Je lui souris, amusé, puis je la laissai me toucher, les mains sur le pupitre, face à elle. Mes yeux verts brillaient de malice alors que nous nous embrassâmes, des yeux que je fixais sur Luhimi. Me ployant vers l'arrière, je forçai à moitié la demoiselle à grimper sur moi et je l'embrassai encore plus passionnément, laissant un bon point de vue sur les fesses de la demoiselle à l'hermaphrodite. Mes mains parcouraient ses cuisses et ses mollets, gardant mes lèvres sur les siennes, presque moqueur devant la situation. Cette femme était pleine de surprise, et ça me plaisait grandement. Doucement, je caressai, pour embêter Luhimi et pour la pousser à agir à son tour, les fesses de la demoiselle de manière sensuelle. Je goûtai la langue de la demoiselle et sourit, elle était bien savoureuse. Je la collai à moi et je murmurai à son oreille, décollant ma bouche de la sienne:

-Je crois bien qu'on va avoir beaucoup de plaisir, aujourd'hui, ma belle Romanxe.

Je baissai donc la tête pour aller saluer convenablement la poitrine de la demoiselle, prenant délicatement un de ses mamelons en bouche en me mettant à sucoter la boule de chair comme si je m'attendait à ce que du lait en sorte, le mordillant en plus. .