I'm Lose, help me [PV : Elvein et Abandonné]

Les contrées du Chaos étaient un endroit peut recommandable directement, mais je dois me l'avouer que je m'en foutais légèrement. J'étais là et j'y reste point barre et voilà toute façon ce que je pensais. Je regarde donc les alentours avant d'arrivée sur une terre qu'ils appelaient les landes dévastées. Un endroit où rien ne pousse et le sombre est là pour toujours, voilà ce que je me dis et voilà ce que je pense. Je regarde donc les alentours, mais rien, rien du tout, tout était mort. Aucun villageois, aucun voyageur, tout simplement seul au monde comme on dirait. Je soupire longuement en me disant que je vais devoir donc partir de cet endroit qui ne possède rien...

- Au secours, aidez-moi !! Madame !! Madame !!

Je me retourne et je regarde l'enfant foncer vers moi, heureusement que je sens les auras et je les vois partiellement, elle était accrochée à moi, je me mets à genoux donc venant sourire faiblement, une main sur sa tête pour la rassurer, je soupire légèrement venant donc la regarder et au vu d'une tête qui semble surtout interrogative, elle vint pleurer toujours, mais me parle. La jeune fillette ne devait avoir qu'environ cinq ou six ans, pas plus que cela puis elle semblait posséder une sorte de petit doudou que je déduis en le touchant tout simplement.

- Je suis perdue...

Je la regarde longuement avant de hocher la tête, j'allais la reconduire donc chez elle. Je la pris dans la main et je retournais donc dans les landes, elle me parla d'une grande forteresse accompagnée par une sorte de pont en pierre enfin, je n'avais pas très compris, mais je la suivais donc quand tout à coup, j'arrive devant au loin une grosse forteresse, cette dernière était gigantesque, et impressionnante. Elle me lâcha la main pour partir quand je sentis plusieurs auras s'approcher de moi, ils grondaient tout simplement et étaient dangereux pour moi.

Je me redresse donc, levant mon bras en retirant mon anneau et mon bandage et voilà qu'une épée se forme tout simplement. Et je viens me battre donc contre eux, je tapais, ne restant même pas quelques secondes sur la même place, je bougeais tout le temps, je donnais des coups tout simplement, parait, où esquivait. En quelques minutes, je venais donc terminer mon combat contre l'armée qui se battait quand je sentis une aura s'approcher, je me reculais donc de ce dernier prêt à partir, mais je n'aimais pas être dos à un potentiel ennemi...

- Je n'ai fais que ramener l'enfant perdu...

Spoiler: Formation de son épée (cliquer pour montrer/cacher)

Sentant les auras affluer dans la zone, il ne réagis pas en premier lieux, se contentant de siroter un verre contenant un étrange liquide. Puis, il senti les auras tourmenter, un combat avait éclater,et ses gardes des cryptes faisait  leurs offices... Et bien de garde pardi. Mais ils s'étaient fait avoir en beautés. Soupirant, il se dirigea vers le lieux des combats, ne cherchant pas à enjamber les carcasses, il marcha simplement dessus, dans un fracas d'os brisés. Il observa l'actrice de ce carnage, de la tête au pied avec intérêt. Une magnifique albinos. Mais... Il avait entendu parler d'une albinos de par son réseau d'information, une créature très rare, et très puissante. Intéressant, il ne pensait pas tomber sur elle de si tôt, mais pourquoi pas après tout, cela lui épargnerais un temps fou. Il leva la main, les soldats squelettiques se calmant et cessant l'assaut pour se retiré dans l'ombre.

- Tu es plus doué que je n'aurais cru, Changelin... Mais voit-tu, te battre contre mes gardes des cryptes est peine perdue.. Tue en un, dix reviendront donc le choix est tien... Ou tu reste ici à combattre jusque l'épuisement, ou tu me suis à l’intérieur et nous discutons autour d'un bon verre de vin, alors, que dit tu ?

Il la regarda calmement, les mains plongées dans ses poches, il ne dégageait aucune hostilité, néanmoins il continua de s'avancer d'un pas lent, les soldat décharnés s'écartant sur son passage, le visage vers le bas. Il se figea devant son "invitée", la regardant, la détaillant même. Il était plus que clair qu'elle était magnifique, et avec une tenue bien étrange. A vrai dire, au moindre petit coup de vent, ses sous vêtements étaient parfaitement visible, ce qui ne manqua pas d’attirer l'intention du démon.

- Je suis connu sous le nom de Velkias dans le monde extérieur, seigneur de ces terres et de cette armée.. Et toi, qui es-tu ? Dois-je continuer de t'appeler Changelin, ou me donneras-tu ton nom ?

Il sourit, attendant la réponse le plus calmement du monde, espérant qu'elle ne tente rien de stupide, il serait dommage d’abîmer une créature si rare et si belle.

Ils continuaient tout simplement à venir et je continuais à les taper, voilà comment cela se résumait. Mais ces derniers semblaient laisser la personne s'approcher et voilà qu'il lui parle en s'en foutant complètement, toute façon, des créatures, ainsi, était quelque chose qui se croyait tout simplement supérieur. Je levai mon épée en sa direction quand j'entendis qu'il parla de changelin, très peu de personnes savaient ce que j'étais. Et s'il savait ce que j'étais, je devais faire plus qu'attention donc.. Il n'avait pas l'aura néfaste, mais les gens pouvaient facilement cacher cette aura donc, autant faire attention. Je ne lui dis rien pour l'instant, mais je restais ainsi, méfiante.

- Peut être pour vous mais, j'aurais continuer à me battre encore et encore jusqu'à en mourir s'il le fallait..  Mais pourquoi, devrais-je te suivre ? Surtout que tu sais ce que je suis..  Alors je dois faire plus attention... Donc désolée mais j'aimerais plus de réponse.. Sinon, c'est Misty.. Velkias.

Je reste là donc, en faisant attention aux auras menaçantes, l'armée de squelettes. Je n'appréciais pas son ton de voix et si j'aurais eu le choix, j'aurais fais directement demi-tour mais là, ce n'était pas possible alors autant rester en silence, mais je ne pouvais pas arrêter de me poser plusieurs questions sur cet homme qui est un démon, je le sentais bien. Et je n'aimais pas beaucoup la tournure de ce moment mais je voulais savoir comment il connaissait ma race et qu'est-ce qu'il me voulait, je finis par me répéter.

- Je suis juste venue rendre la fillette à son chez elle, démon. Je ne cherche ni l'hospitalité ni qu'on soit clément avec moi, alors laissez moi repartir et nos chemins seront à jamais sombres car je ne compte pas revenir. 

Il la regarda, se figeant devant elle avec un sourire en coin, tendant sa main droite vers elle, la paume vers le haut, il répondit avec calme.

-   Je sais tout ce qu’il y a à savoir Misty… Il serait dommage que tu fuis, car je t’offre une chance en or, celle de ne plus devoir te cacher, ni fuir. Je sais à quel point ta race est puissante, et à quel point les gens désirent posséder un changelin. Je te propose une maison, un but… Une vie. N’es-tu pas las de devoir te cacher ? De devoir fuir à chaque fois que des rumeurs se rependent sur toi ?

Peu à peu, les soldats squelettiques disparaissaient dans les ombres, ne laissant au final plus qu’Elvein et la femme. Il la voulait dans ses rangs. Elle était, en plus d’être unique, puissante. Cela ne faisait aucun doute, quelqu’un de moins fort ce serait déjà fait déchiqueter par ses gardes mortuaires. Il en ferait bien une générale, peut-être même lui offrir le commandement de ses armées, ou d’une partie tout du moins.

-   Je t’offre l’occasion d’exploiter ton potentiel, de montrer au monde ta valeur.. D’offrir un sens à ta vie, tourneras-tu le dos à cela, toi qui te voit plus mort que vivante ? Tourneras-tu les dos à une personne qui t’offre une raison de vivre, aussi risible soit elle ?

Il sourit et se pencha, lui murmurant calmement dans le creux de l’oreille.

-   J’ignore ton passé, mais je ne me doute pas qu’il à dût être difficile, alors, qu’en dit tu ? Reste donc avec moi, et montrons au monde que tu n’es pas qu’un changelin, mais une personne à part entière. Ou bien vas-tu fuir cette proposition et continuer de te lamenter sur ton sort et le flou de ton futur ?

Je sentais toujours cette aura qui s'approchait de moi jusqu'à être tout simplement devant moi, il leva une de ses mains, comme pour se rendre avant de venir me parler. Il me parla d'une offre que je ne devrais plus fuir ni me cacher, je sentis ensuite les autres auras, ceux que j'avais combattus, partir tout doucement. Et voilà qu'il s'était approché de moi pour venir ensuite me murmurer, j'abaisse mon arme et petit à petit, mon épée devient du bête sang et revient ensuite dans ma main. Je mets le bandage puis le petit anneau donc, il avait essayé de me convaincre en me retirant mes ennemis, je me devais montrer bonne également, comme on dit, c'était donnant-donnant.

- Quel sera le prix d'une vie ainsi ? Il y a toujours un prix, chaque chose à un prix n'est-ce pas ?

Je me retournais donc avant de venir dire quelque chose avec moins d'animosité, essayant donc de paraître gentille en quelque sorte. Je soupire longuement, remettant une mèche dans mes cheveux en essayant de garder une distance d'environ un mètre afin de respecter les distances, pas trop proches ni trop loin, voilà la bonne distance. Je restais ensuite muette, ne sachant quoi répondre à la suite, je réfléchissais à sa proposition. C'était sûr que c'était quelque chose de très tentant, mais quelque chose, ainsi, avait toujours un prix à payer et je le savais trop bien, donc autant de ne pas trop, s'en réjouir d'avance.

- Le prix ? Il es simple, joint toi à moi, obéit moi, combat à mes côtés et prouvons à ce monde que nous somme là, et qu''ils regretteront de nous avoir blesser d'une quelque façon que ce soit. Mon "prix" est donc des plus ample : Ta loyauté. Je ne te demanderais pas de tuer tes proches pour me la prouver, mais juste de ne pas me tourner le dos si l'un d'eux est contre mon idéologie.

Il sourit en la regardant.

- Tu auras tes quartiers, à moins de vouloir partager les miens, ce que je comprendrais, les cadavres dont d'excellents soldats, mais pas très bons hôtes.
 J'ai déjà eût bien du mal à faire qu'ils ne s'approchent pas de mes appartements, mais pour ce qui est des "invités"...

Il rit un peu, voulait détendre l'atmosphère avec un peu d'humour, il comprenait bien qu'être accueillit par des squelettes armées jusqu'aux os (sans mauvais jeux de mot) n'était pas le meilleur moyen de se détendre.

- Voilà donc ton prix.

Le pris d'une telle vie était donc la vie d'un petit chien de compagnie qui aboiera et attaquera pour son maître pour avoir un panier et de la nourriture, voilà ce que je voyais. Une cage dorée tout simplement, je le regarde donc en croisant mes bras donc en le laissant parler. Et même peut être une baise, et bien bravo. Je reste pour l'instant muette quand même mais c'était clair que ce n'était pas quelque que je cherchais, une cage dorée pour un toutou. Je soupire longuement détournant même la tête en analysant tout autour de moi avant de venir lui dire.

- Tu veux un toutou, tout simplement. Demande à des démons où humain. Un toutou qui attaque pour son maître pour un panier et de la nourriture, voilà ce que je vois surtout.  Chose que je ne cherche pas. Je ne cherche pas à conquérir le monde entier..

Je le regardes une seconde fois en soupirant marchant un peu dans les alentours, je trouvais cela tellement idiot cette question, le prix serait ma loyauté ? Ce n'est pas vraiment cela le prix, c'est juste d'avoir un toutou de compagnie un peu putain sur les bords, voilà comment je voyais la chose et voilà comment je veux refuser une proposition aussi tordue que cette dernière. Il veut parler, très bien parlons, je lève ma main comme une gamine un petit sourire.

- Soit tu me laisse partir et on repart chacun faire ce qu'on a faire, ou alors tu m'offres cette vie et avec un peu de chance, je viendrais t'aider, mais ne compte pas que je devienne ton petit chienchien.

- Je ne te demande pas d'obéir à chacun de mes ordres,  juste de ne pas me poignarder dans le dos et tout iras bien.

Il s'étira un peu et la regarda, souriant en coin.

- C'est dans tes capacités ça ?

Il rit un peu, sa provocation ayant plus pour but de la détendre un peu que l’énerver, il supposait qu'elle avait compris cela.

Je l'écoutais une nouvelle fois, il semblait vraiment vouloir que j'accepte sa demande, je commençais vraiment à réfléchir, donc pour son idée, ce serait une cage dorée contre tout simplement que je ne le poignarde pas dans son dos, je le regarde donc une nouvelle pendant que ce dernier rajoute en plus si c'était dans mes capacités de faire cela. Je le regarde longuement me posant bien entendu quelques questions en silence, mais que je gardais pour moi, je croisais mes bras donc avant de venir, soupirer longuement et venir tout simplement lui déclarer.

- Je me dois de réfléchir, mais comme je sais que tu es un démon, je veux créer le pacte de non-violation. Le pacte est que je vais chez toi, je mange, boit avec toi, aucun drogue ne sera user pour me faire changer d'avis et si je ne change pas d'avis et que je refuse, tu me laisses tout simplement partir, si tu fais cela et que tu acceptes, peut être bien que j'accepterais de vraiment y réfléchir, mais désolée, je dois m'assurer qu'aucune embrouille sera fait à mon égard. En contre parti, SI j'accepte, je ne te trahirais pas, ce qui ne veut pas dire que je deviendrais ton chien chien.

Je le regarde et tendis mon bras, s'il le prenait donc et qu'on se touchait les poignets, le pacte sera fait et je sais qu'il sera inviolable, c'est simple, si ce dernier est rompu à cause de quelqu'un, il sera gravement blessé voir même la mort. Je connaissais un peu trop ces pactes et d'un autre côté, je connaissais donc la puissance et surtout, le fait que personne n'a jamais violer le pacte, c'est du suicide pur et simple.

Il la regarda calmement. Elle était maline, du moins assez pour se méfier du démon qu'il était, peu importe a quel point sa proposition était alléchante. Et ça lui plaisait. Il faut dire que, les morts, bien que de bons soldats, font de piètre tacticien, et.. Disons seulement qu'ils sont loin d'être des exemples d'intelligence. Il saisi donc le poignet de la femme en la regardant dans les yeux avec un sourire en coin.

- Je crois que je commence à vraiment t’apprécier.. Un combattante forte et intelligente.. Qui ne se laisse pas embourbée dans de belles paroles, et garde la tête froide..  Une femme aussi bien forte sur le champ de bataille que mentalement.. Si la perfection existait en ce bas monde, tu en serait surement ce qui s'en approche le plus. DONC, nous somme d'accord ? Tu te lie à moi par ce pacte, en échange de ta liberté d'action ? Soit mais permet moi d'émettre une petite condition. En échange du logement, du couvert et de ma compagnie... Ainsi que ta liberté d'action, je te demande de l'aide pour mon effort de guerre, qu'elle soit directe, ou non. Je me fiche de comment tu m'aide. Si c'est en t'occupant de moi le soir après une rude bataille, en assassinant mes opposant, en allant directement sur le champ de bataille ou même en m’amenant de nouvelles troupes. Comme tu l'as si bien dit, tu ne veut pas être mon chien, certe, mais un prêter pour un rendu. Nous avons donc un accord ?

Je restais là, il étirait son sourire comme s'il était satisfait de la réponse et voilà qu'il venait de me saisir le poignet, on pouvait sentir donc une sorte d'onde de choc les parcourir pas violemment mais assez pour le ressentir. Une marque se firent sur la fin du pouce, une marque de chaîne en marquant donc les deux initiales des deux personnes, je retire donc la main en l'écoutant donc avec un petit sourire, il venait donc le dire... " Si c'est en t'occupant de moi le soir après une rude bataille " bien que ce n'était pas forcé, mais il en avait quand même pensé.. .. Je referme donc ensuite la main et vient de me dégager de ce dernier avant de croiser mes bras.

- Si j'accepte donc de rester, je viendrais donc sur le champ de bataille pour venir aider donc tes troupes à réussir un combat où je donnerais une stratégie mais ne t'attend pas à autre chose de ma part. Et comme je viens très bien le dire : SI j'acceptes...

Je marche donc en direction de son "château" pour prendre un verre et donc parler si j'accepterais ou non bien entendu, comme c'est toujours d'actualité, elle regarde donc le chateau en soupirant, continuant sa marche vers ce dernier en espérant que ce dernier la suive.

Il regarda son poignet, vaguement intéresser par ce qu'il venait de se produire.. Un lien magique ? Spirituel ? Il n'avait aucune certitude en cette heure, mais ce qu'il savait en revanche, c'est que les "négociation" avançait. Il emboîta ensuite le pas à la femme, les mains plongées dans ses poches, il marcha d'un pas lent et calme derrière elle, les morts se dressant derrière lui pour reprendre leurs poste de garde.  Un nécromencien, et une changelin.. Voilà qui ferait un duo plus que prometteur en cas de conflit à grande échelle. Peu importe comment on voyais les choses, le combat serait des plus intéressant à analyser.

- Oh crois moi, on prend vite goût aux conflits à grande échelle, encore plus quand tes stratégies fonctionnent à merveille. C'en est presque... Jouissif.

Il sourit en coin et murmura un mot en language démoniaque ancien, suite à cela, les lourdes portes de fer sombre s'ouvrir dans un crissement sinistre, laissant place à un interieur sombre et, étrangement, plutôt beau, malgré la froideur des lieux et la décoration plutôt macabre.

Je le regardais un petit moment venant le suivre avec un petit sourire sans rien dire, voulant rester silencieuse sur le moment, les morts que j'avais tués et re-tuer nous suivait de près pour se remettre à leurs boulots, je l'écoutais ses dires en roulant légèrement les yeux sur le fait qu'on peut prendre gout aux conflits à grande échelle et que c'était presque jouissif. Je ne dirais rien à ce qu'il disait quand tout à coup, j'entendis des mots en langage démoniaque, je le regarde et je l'écoute car je le comprenais le langage des démons que cela soit leurs nouvelles langues ou anciennes. Mes ennemis avaient essayer de jouer avec moi et avaient essayer que je sois le réceptacle d'un démon majeure.. Je ne disais rien comprenant que c'était pour ouvrir la porte avant de venir hocher la tête et je m'approchais de sa maison.

C'était un endroit sobre, légèrement à tendance gothique et mortuaire mais il avait bon gout, un intérieur sombre mais légèrement design, je devais le reconnaître. Je marche en silence et je regardais les alentours, mes sens étaient toujours en alerte, je savais que je ne devais jamais faire confiance aux inconnus et c'est pour cela que j'avais presque ordonné mon sceau, c'était un moyen simple et efficace que j'avais trouvé pour pouvoir m'échapper en cas de pépin. Je me redresse en baillant et m'étirant légèrement en silence avant d'attendre qu'il me conduise chez lui, je ne connais rien donc...