Un chaton à la recherche d'un emploi. (PV Elysia)

J'avais finit par retrouver ce monde que je connaissais très bien et passa une semaine dans le parc à entrainer ce corps, je découvris toutes les limites de ce corps, il étai effectivement très rapide et agile, je développais aussi la natation dans le lac, comme personne n'allait se baigner, je pouvait nager toute la journée et dormir dans cette eau réconfortante.

Mais voilà l'argent allait devenir un problème, je devais me nourrir et le vol finissait par me ronger de remord, aussi depuis bientôt trois jour je cherche un boulot, mais sans papier et encore moins de diplôme, on ne va pas loin, il y avait bien un boulot, mais faire la prostituée ne me plaisait pas, je en voulais plus avoir aucun rapport sexuel avec qui que se soit et  je ne me lierais plus avec personne. Ce qui posais surtout problème c'est que je ne parlais pas beaucoup, à part les phrase de politesses, les noms et les bruit de félin rien d'autre ne sortais de cette bouche. C'était mon choix, je pouvais toujours écrire ce que je voulais dire, même si c'était rare de me voir communiquer avec quelqu'un ou tous simplement aller à leurs rencontre, je restais un chat sauvage qui fuyais toute âme s'approchant de moi.

Je vis une annonce qui ne demandait pas de diplôme particulier. Je souris … moins en voyant l'adresse du demandeur, c'était Élysia elle même. Mon ventre gargouilla et je savais ce que mon subconscient voulut me dire. Si j'avais demandez un corps c'était pour pouvoir vivre un peu avec elle et notre fille, je me faufila discrètement dans une sombre ruelle et monta sur un conduit d'évacuation d'eau, quand je me baladais en ville, je prenais tous le temps le chemin des toits, on ne rencontrais personne.

Cinq minute de course lente furent suffisante pour rejoindre l'hôtel, mon cœur battait la chamade, je ne voulais pas que Eva me reconnaisse, peut être qu'avec de la chance, elle ne s'apercevrait de rien, cela aurait été  génial. De cet manière je n'aurais pas envie de fuir, c'était ce qui me faisait hésiter d'entrer, une personne ouvrit la porte, me poussant sans ménagement, au contact du sol un miaulement sortie de ma bouche. Le client continua sa route sans me demander si tous allait bien de sont coins de l'œil je vit qu'il me regardait avec des regards disant que ma place n'était pas là mais dans la rue.

J'ouvris la porte et fut subjuguée par la beauté des lieux, mais non j'étais là pour travailler. Je me présenta à l'accueil où une belle demoiselle me regarda avec des yeux pleins de gentillesse, je voulut faire un pas en arrière, mais mes jambes ne réagir pas. C'était la première fois que j'entrais dans un bâtiment et remplit de monde, le demoiselle voyait bien que je n'était pas à l'aise.

- Puis-je t'aider en quoi que se soit ?

Je lui tendis l'annonce, elle sourit en voyant que j'avais marqué mon nom et mon prénom : Rose Beloutsa, pouvant se traduire par Rose Blanche .La demoiselle passa de l'autre côté du comptoir et me dit avec douceur.

- Tu sembles assez jeune, tu dois savoir que c'est  Élysia, notre patronne qui prend en charge ce genre de chose, aussi si tu ne vois pas d'inconvénient, je vais t'amener dans une salle où elle a l'habitude de traiter les emplois, si tu es gentille, je suis sur qu'elle te trouvera quelque chose.

A ces mots mes oreille gigotèrent deux fois, ce qui pouvait se traduire par un merci. Elle me conduisit dans un bureau et je m'assis sur une chaise, attendant le moment qui me faisais tellement peur, mon aura avait changée, tout avais changez en moi, il n'y avait aucune raison qu'elle me reconnaisse, par contre Eva si, car mon âme était la même.

Les jours se faisaient très longs. Je travaillais à l'hôtel jour et nuit, sans quérir l'argent de la fortune familiale, seule. Eva faisait très bien son rôle de mascotte et attirait, par son charme de gamine enjouée et enthousiaste, beaucoup de clientèle, mais j'espérais surtout qu'elle attire une personne en particulier. Je voulais qu'elle m'amène sa seconde mère, mais elle ne s'était toujours pas pointée, pour mon plus grand malheur. Je voulais vraiment la revoir... revoir Diane... parce que j'étais vraiment amoureuse d'elle, mais je ne l'ai jamais revue. Eva me posait de plus en plus de question en voyant des hommes se faire appeller papa par leurs enfants. Il est donc venu le sinistre jour ou mon enfant m'a demandé où était son papa à elle. Je lui ai dit son nom, lui ai expliqué que son papa était en fait une femme, mais je ne savais pas qu'Eva rencontrait régulièrement Diane et si je l'aurais su, je crois que j'aurais fondu en larmes, parce que j'aurais immédiatement pensé que Diane n'avait nullement envie de me voir et ca m'aurait brisé le coeur.

Enfin, bref, je me levai du lit que je partageais avec ma petite raison de vivre de quelques pieds, posant un petit baiser sur sa tête. L'innocence d'un enfant en plein sommeil me rendait toujours très maternelle envers elle. Je n'ai pas envie, mais vraiment pas envie, qu'elle grandisse, j'aimerais qu'elle reste enfant toute sa vie, que je puisses la cajoler, la serrer dans mes bras, la bercer, la rassurer et la protéger jusqu'à la fin de ma vie, mais les enfants devaient grandir et contrairement à moi, elle n'a aucune apparence cachée, parce que sa seconde génitrice est humaine. Je songeai vraiment à cette fille sans cesse. Je quittai alors ma chambre en me dirigeant vers le rez de chaussée. On m'annonça alors qu'une personne voulait venir travailler pour moi, je souris à la belle soubrette, celle-ci emmenant un homme vers sa chambre. J'avais le permis pour cette sorte de pratique dans mon établissement, mais je n'en étais pas franchement fière. J'avias surtout peur que ma fille ne tombe sur une de ses "amies" en plein ébat, ce qui provoquerait un grave traumatisme chez elle. Je me dirigeai vers mon bureau. C'est alors qu'une odeur me parvint au nez, l'odeur d'une âme que je reconnaissais et aimais. J'entrai alors, heureuse comme jamais, mais je vies alors une personne tout à fait différente de Diane. Mon coeur se serra affreusement et je ne pus retenir des larmes de déceptions. J'essuya mes yeux, qui, à cause du frottement, devinrent rouge. Je m'assis alors devant la demoiselle, sur le coussin devant la table basse qui me servait de bureau et je souris, tant bien que mal, malgré que l'odeur habitant la pièce me donnait envie de m'enfuir pour aller pleurer l'injustice qui pesait sur moi.

-Bonjour, mademoiselle... on m'a dit que vous recherchiez un emploi -ma gorge était si serrée que j'avias du mal à parler- chez moi... Alors, si vous êtes intéresseée...

J'attendis bien dix minutes, pendant lesquels  j'écoutais le moindre bruit, je perçut des pas, une femme au vue de la durée séparant un pas. Elle se mit devant moi et à ce moment là je retint mon envie de fuir en courant, seul ma queue se figea deux seconde, puis je me calma et écouta calmement Élysia. De mon habitude à ne pas parler, il fut dure de formuler ma phrase, montrant bien que je n'était pas quelqu'un de bavarde.

- Oui mademoiselle. Cela fait trois jours que je cherche et j'ai lus dans un agence que vous recrutez, même sans diplôme.

Je stressais et mon tic se mit en route, mon oreille droite se mettait à se baisser et se relever très rapidement et ma queue foutait l'air avec nervosité. Élysia me faisait un peu peur, mais elle et Eva était les seule personnes avec qui je pouvait parler et approcher sans trop être effrayée. Si une personne entrait pendant l'entretient il ne ferait aucun doute que je me planquerait derrière l'armoire près de la fenêtre.

- A vrais dire je n'ai pas de carte d'identité, car je vient de l'étranger et je n'ai pas de diplome, bien que je soi un peu instruite.

Pourquoi dire cela ? sans doute pour montrer ma franchise, puis je sentis des petites mains prendre ma queue et j'entendis une voix de jeune fille dire.

- Minou !

Je sursauta en émettant un miaulement de surprise, puis regarde derrière moi, c'était Eva, elle s'amusait avec ma queue et ne semblait pas m'avoir reconnue, ouf. Je prit une mine gênée et fit bouger ma queue pour jouer avec elle, cela me clame bien et en plus je ne put retenir une rire, quand Eva tomba sur le côté avec ma queue en main, bon elle s'amusait à la lécher ce qui faisait frémir ma queue à chaque coups de langue. Je sentais un peu mon instinct maternel ressurgir, ces lechouille me fit ronronner.

- Minou content !

Je repris mon sérieux, comme c'était un entretient à l'origine, je devais montrer une certaine rigueur, même si c'était dur pour quelqu'un qui avait peur des humanoïde et des créatures non naturel.

- Qu'est-ce que vous pouvez me proposer comme poste.

C'est en voyant ma fille jouer avec l'inconnu qu'elle m'a piquée dans l'oeil. Jamais aux grands jamais Eva n'entrait dans mon bureau. Elle ne l'avais jamais fait que pour ses connaissances personnelles. Je m'approchai de la demoiselle et je la regardai dans les yeux. Eva avait reconnu une personne que je ne lui avais jamais présentée. Même si elle ne le savait pas, son coeur le savait. Juste à me rapprocher de la neko, mon coeur se mit à battre la chamade, des larmes perlaient des mes yeux et mes mains allaient caresser tendrement le visage de la jeune femme. Ce n'était pas son visage, ni sa bouche, mais ses yeux reflètaient l'âme de la personne que j'aimais le plus dans ce monde.

-Di...a..ne...

Je serrai la tête de la demoiselle contre mon coeur. Je ne pouvais pas me tromper, il s'agissait contre tout doute de Diane. J'y croyais dur comme fer et s'il s'avérait que je me suis trompé, que mes yeux m'ont encore fait faut bon, je m'enlèverai la vue. Je parlais encore une fois, tremblante.

-Par pitié... dis-moi que c'est toi... je t'en supplie...

Élysia ne répondit pas à ma question et de rapprocha de moi, ce qui me fis assez peur, avait-elle réussit à me voir malgré mon changement ? Est-ce que Eva aurait fait quelque chose qui m'aurait trahit ? Tous ce que je savais c'est que au vue de ces larmes, la démone espérait de tous son cœur que ce soit moi.

Elle me serra dans ces bras, sentant son cœur battre contre une de mes oreilles, elle étati en proie à une émotions forte, ma queue avait arrêtée de bouger quand elle me supplia de lui dire la vérité. Eva voyant que je n'était pas dans mon assiette caressa ma queue en disant.

- Minou malade ?

Je en savait pas quoi répondre, serait-elle heureuse de savoir la vérité, me repousserait-elle, ma laisserait-elle la vie suave ou au contraire elle me tuerais, ce qui aurait été tous à fait légitime. JE pris une bonne inspiration et dit.

- Oui c'est moi et en même temps non.

Effectivement, j'avais changé d'identité, j'étaie Rose Beloutsa, prêtresse de Poséidon. je ne savais pas comment dire que j'avais changée, comment ma vie étais maintenant soumise à des contrainte, mais qui était un prix à payer pour la sentir près de moi. J'avais l'impression d'avoir une vrais mère qui me tenais, qui me cajolerais.

En entendant sa réponse le coeur m'en fit huit bonds. Je l'avais attendue pendant deux années, deux longues années ou j'ai été seule. Au travers de mon kimono, je la sentais dans mes bras, une émotion que je n'ai pu sentir qu'une fois. Je reculai un moment et j'observai ses beaux yeux, prenant son visage dans mes mains. Eva lâcha à ce moment-là la queue de la neko, stupéfaite. Comment aurait-elle pu soupçonner que ce minou était sa papa? Je lui avais un jour dit le vrai nom de son père, elle avait déjà du mal à comprendre comment une maman pouvait avoir un bébé avec une autre maman. Croyez-moi, je ne lui ai jamais fait le cours sur la sexualité, elle est tombé sur un livre parlant de la naissance et elle a découvert tout en regardant les images. Dylan le lui a arraché juste après qu'elle ait vu ce qui se passait entre femme et homme, ce qui était fort malheureux, mais elle en a rit, plutôt qu'en être choquée.

Je posai alors un geste que j'ai toujours voulu faire depuis qu'elle m'a repoussée, il y a deux ans. J'approchai son visage du mien et je l'embrassai avec amour, langoureusement. Dylan, entré depuis peu, cacha les yeux de ma fille, à ses grandes protestations. Je serrai tendrement Diane dans mes bras, peu importe qui elle était aujourd'hui. Je réalise qu'elle m'a beaucoup plus manqué que ce que je me permettais de croire. Je fermai les yeux, savourant ce baiser qui faisait maintenant battre mon coeur à la chamade, car je craignais qu'elle me repousse, goûtant la douce saveur fruitée de la langue de celle que j'ai attendue. Le destin l'a ramenée sur ma route et j'en étais si heureuse que je pourrais en crier de joie. Mon voeu de former une vraie famille allait peut-être se réaliser...

-Diane... Si tu savais... à quel point... Je t'en veux...

Je la serrai une nouvelle fois, avec force. Je lui en voulais de m'avoir laissée seule malgré que j'ai mis son enfant au monde alors que j'étais si jeune et sans support, je lui en voulais de ne pas être venue me voir tout ce temps, je lui en voulais d'avoir changé d'apparence, comme si elle voulait faire sûr que je ne la reconnaisses pas, je lui en voulais... pour tout, mais j'étais trop contente de la serrer contre moi, maintenant... Je savourais enfin son retour puis, je me pinçai un bras, je voulais faire sur que je ne rêvais pas et que je n'allais pas me réveiller à nouveau en larmes. Non... elle était bien réelle. Je la serrais encore plus fort, y mettant tout mon amour.

Je m'attendis à tout les possibilités, surtout les pries à vrais dire et je frémit au contact de ces mains sur mon visage, allait-elle utiliser un sort de démon ? J'avias fermée les yeux en attendant la sentence et des lèvres douce se firent sentir, je rouvrit mes paupière et vis, Élysia m'embrasser, mais son baiser prouvait quelque chose, elle ne m'en voulait aps du tout, à ce moment des larmes de joies coulèrent sur ma joue.

La petite Eva se mettait à crier contre Dylan

- Veux serrer Papa-Rosalie-Minou moi aussieuh !!!!!!!!!!!

C'était vrais qu'en tant que fantôme je m'étais présenté sous le prénom de Rosalie. Je devais lui dire ce qu'il c'était passé, l'étreinte fit craquer des os du dos. un petit miaulement de surprise sortie de ma bouche, je ne l'attendais pas à ce qu'elle m'enlace si fort.

- S'il te plait déserre un peu, j'étouffe.

Une fois libre de mes mouvements, Eva me sauta dessus en triturant mes oreilles, ma queue se chargea de l'empêcher de mes les arracher à la place c'était l'appât qui souffrait, mais bon ce la la faisait rire, tant mieux.

- Pour tous te dire, j'étais là pendant un mois, mais j'étais un fantôme, comme j'avais peur de ta réaction, j'ai juré à Eva de ne pas te parler de mes visites, je ne voulais pas briser les bons moments que vous avez eut toutes les deux. Si j'ai ce corps c'est parce que la divinité des eaux, Poséidon, a bien voulut m'accorder cette faveur, maintenant je suis une de ces prêtresse et je dois passer 8 heure dans l'eau, sinon ce corps de nymphe disparaitra et moi avec, et à vrais dire je ne tient pas trop à redécouvrir la joie de devenir un fantôme.

Un rire nerveux sortie de ma bouche, j'avais tous dit d'une traite, en espérant que Élysia comprenne tous.

Je regardai Diane, essayant de me convaincre que tout cela était réel. J'avais tant de mal à y croire, c'était trop beau pour être vrai. Mes jambes ne me supportant plus, je m'assied sur un des coussins sur le sol, les mains dans le visage, me remettant à pleurer. Voyant que le surplus d'émotions était toujours à l'intérieur, Dylan s'approcha, s'agenouilla derrière moi et me serra pour me calmer. Je laissai aller ma tête contre son torse et je m'excusai de ma faiblesse avant de me retourner vers Diane, des cernes rouges autour des yeux indiquant que je n'avais pas feint de pleurer pour l'atteindre. Je me relevai et je pris doucement sa main, l'obligea à se lever et je la serrai doucement contre moi. Après avoir écouté son récit, j'avais besoin de comprendre un peu plus ma Diane pour qu'elle puisse être heureuse avec moi... quelque chose qui semble m'avoir manqué la première fois.

-Je crois qu'on a des choses à se dire... toutes les deux... seule à seule.

Je l'emmena alors hors de la pièce. J'ai rencontré beaucoup d gens qui faisait battre mon cœur à vive allure, mais avec Diane, je me sentais mieux qu'avec quiconque. Je me sentais bien, juste à tenir sa main dans la mienne me réchauffait de l'intérieur. Je me sentais légère, encore plus qu'à l'habitude, je n'arrêtais pas d'en avoir les larmes aux yeux. J'étais devenu beaucoup plus sensible, depuis notre séparation. Je lui tenais la main si étroitement que j'en avais les phalanges blanches, comme si j'avais peur qu'elle disparaisse une nouvelle fois. Je sortis du restaurant, toujours aussi tendue. Je traversai les jardin, passant sur le petit pont au dessus de la rivière et je me dirigeai vers ma résidence personnelle, ouvrant la porte puis la fermant derrière nous. Je tremblais un peu plus, mais tout allait pour le mieux. J'entrai dans ma chambre puis je m'arrêtai. Je me tournai vers Diane et je souris:

-Pardonne-moi pour cela...

Aussitôt, je me collai brusquement à elle, la plaquant au mur, tenant doucement ses poignets pour ne pas qu'elle me repousse sur le moment et je l'embrassai passionnément avec un amour contenu depuis plus de deux ans. J'en avais le corps tout tremblant sous la force de l'émotion que je ressentais. Diane m'avait tellement manqué que j'avais du mal à ne pas la violer comme mon corps m'ordonnait de le faire. Mes bras finirent par l'enlacer avec un amour. J'étais un peu plus petite qu'elle, mais je paraissais si imposante quand je voulais quelqu'un ou quelque chose que rare était ceux qui me refusaient ce que je demandais. Je la serrai ensuite tendrement. Je décollai mes lèvres des siennes et je réfugiai mon visage dans son cou pour recommencer à pleurer.

-Pourquoi n'est-tu... pas venue me voir, Diane? Pourquoi être venue voir Eva et pas moi? Est-ce que je te fais si peur que tu n'arrives plus à me supporter et que tu me fuis? Ai-je été si horrible ou suis-je laide à tes yeux?