Ivy était en train de prêcher une convaincue. Anya aimait le sexe, et il ne suffisait plus de grand-chose, estimait-elle, pour l’amener à vraiment se lâcher. C’était le drame des personnes timides comme elle. Quand on les voyait, si nerveux, on n’avait qu’une envie, les faire
craquer, et leur faire découvrir de nouvelles expériences fascinantes qui briseraient à jamais leur timidité. Mais, pour l’heure, Pamela revenait labourer Anya, la prenant à même le sol, ondulant d’avant en arrière, enfouissant son membre dans son vagin. Elle avait senti le désir d’Anya, son envie de faire encore l’amour. Comment aurait-il pu en être différent, au milieu de cette grande forêt ? Le désir hurlait en elle, et Pamela ne la loupait pas, lui faisant à nouveau redécouvrir ces magnifiques sensations.
«
A-Anya, haaaa... !! »
Pamela retourna l’embrasser, collant ses lèvres aux siennes, fourrant sa langue dans sa bouche, pinçant l’un de ses seins avec sa main, tirant sur le téton. Ivy la malmenait délicieusement, avec tout l’amour dont elle était capable, jusqu’à approcher de l’orgasme. Elle se répandit dans le corps de la jeune femme, balançant des filaments de foutre. Ici, au centre de son pouvoir, Ivy se montrait encore plus sensuelle, encore plus
perverse. Concrètement, ceci signifiait qu’elle jouissait plus vite, ce qui valait aussi pour les autres. Mais, paradoxalement, cette capacité à atteindre rapidement l’orgasme s’accompagnait d’une vigueur sexuelle renouvelée.
L’Empoisonneuse remplit donc le bassin d’Anya, et se releva lentement. Elle s’écarta alors d’Anya, et se colla contre un arbre, en écartant les bras. L’arbre comprenait une sorte de mousse végétale qui se dilua sur le corps d’Ivy. Ce qui se passait pouvait paraître surprenant, mais, en réalité, Pamela ne faisait qu’exploiter le liquide naturel de cet arbre, un hévéa, recouvrant ses bras et son buste de cette substance, qui continua à évoluer, jusqu’à former un scintillant latex vert.
«
Haaaa... Voilà ! Je me sens mieux ainsi ! »
Il fallait bien une tenue pour marquer son statut de Maîtresse des lieux, et c’est précisément ce qu’elle venait de faire, enfilant
un costume en latex vert sombre, recouvrant son buste et ses bras. Néanmoins, une ouverture s’était formée à hauteur de son sexe, laissant son membre masculin pointer à l’air libre, devant Anya. Dans cette tenue, Ivy était encore plus impressionnante, plus
majestueuse encore, et sourit malicieusement à Anya.
«
Allez... Viens sucer la queue de Maman, Anya... Sois une gentille petite fille comme Maman les aime, et obéis à Maman... »