Orgie végétale [Anya Nyan]

Un petit regard en direction de cette femme, qui me rendait toute chose, je ne savais comment réagir sous ses attaques et sous ses demandes. Elle était si maternelle et d'un autre côté assez sensuelle voulant tout doucement m'inciter à tomber dans la luxure. Je ne pouvais m'empêcher de regarder cette tentacule que je trouvais très étrange, jamais je n'avais trouver ni vue cette tentacule dans mon monde.. Je gardais ce rouge sur mes joues tandis que Pamela me parlait encore et me posait quelques questions. Elle m'avait confirmé en quelque sorte que je confirmais que ce n'était pas de l'urine et puis elle me surnommait avec des petits surnoms comme on dirait à une enfant. Je me sentais défaillir complètement avant qu'elle me pose quelques petites questions pendant que les mains de Pamela me caressait mes fesses tout en m'embrassant.

- Je n'ai toujours pas de prétendant et je n'en cherche pas un forcément et mes parents sont assez libre sur le coup, ils ne "me forcent" pas à trouver quelqu'un et mon père est prêt à accepter mes choix... Donc pas vraiment, il y a bien mon garde du corps, Makoaï qui est mon meilleur ami mais c'est le seule homme que je fréquente régulièrement et c'est encore logique.

Je pensais à Makoai, ce dernier était un "amour", il faisait tout pour me faire plaisir et me protégeait comme il le pouvait. C'était surement quelqu'un ainsi que j'aimerais avoir comme mari. Un homme doux, calme, protecteur, fidèle, romantique.... graouuuh..

Cette petite Terranide était tout simplement trop admirable pour qu’Ivy ne la câline pas comme elle le faisait. Affectueuse et maternelle, elle n’avait nulle envie, en pareil moment, de se montrer cruelle... Perverse, en revanche... Mais elle prenait tout son temps avec Anya, la savourant comme on le ferait d’un délicieux gâteau. L’avaler trop vite, ce serait risquer l’indigestion. Une femme comme Anya se savourait, se dégustait avec passion, et c’était là tout ce que Pamela souhaitait faire. Elle multipliait donc les baisers, tout en commençant à faire parler ses tentacules, qui poussaient depuis le sol, ou descendaient depuis l’arbre, venant caresser les jambes d’Anya. Toujours aussi troublée, et devant très certainement commencer à ressentir une pointe d’excitation, Anya lui parla alors d’un certain Makoaï, son garde du corps, ce qui ne manqua pas de faire sourire Ivy.

*Et tu te déplaces sans ton garde du corps ? avait-elle envie de lui demander. Voilà qui est guère prudente, jeune Princesse...*

Mais, si elle le disait, Anya le prendrait peut-être mal, et Ivy, comme dit précédemment, n’avait aucune velléité à son encontre. Elle la savourait, tout simplement, appréciant sa beauté, sa virginité, sa naïveté... Cette innocence délicieuse, qui se mariait à merveille avec sa magnifique beauté basanée. Pamela l’embrassa une énième fois sur les lèvres, déplaçant ses mains de ses fesses pendant quelques secondes, caressant ses hanches, et remonta sur ses seins.

De ses doigts, elle retira le soutien-gorge de la femme en tirant sur le bout, à hauteur du diadème doré situé au niveau de son torse. Le vêtement tomba rapidement sur le sol, dévoilant une magnifique paire de seins, que la femme s’empressa de malaxer. Ses deux mains les massèrent, et elle sourit à nouveau.

« Fort bien... Mais, ici, il n’y a pas de Makoaï, ma chérie... Il n’y a que toi, moi... Et eux. »

Eux ?! La réponse vint d’elle-même quand Ivy décala ses mains, et laissa deux tentacules verts venir s’enrouler autour des seins de la femme, la pointe des tentacules titillant ses tétons. Les membres verts compressèrent alors les seins de la femme, en tirant dessus, les écartant l’un de l’autre, relâchant ensuite la tension, avant d’appuyer encore, comprimant la poitrine d’Anya, et diffusant en elle un plaisir exquis et jouissif.

« Est-ce que tu les aimes, ma chérie ? Car eux, ils t’adorent déjà... »

Je regardais la jeune femme, cette dernière continuait de me faire tant de baisers puis voilà que ses tentacules venaient s’amuser avec mes cuisses, j’en rougissais tout simplement sentant les mouvements très agréables, je devais l’avouer. Rapidement, Pamela retira mon soutien-gorge. Je rougissais tout simplement en voyant ma poitrine retombé légèrement bien qu'elle resta ferme, c'est juste que ces dernières reprenaient leurs vrai formes. Elle n'avait plus le temps de dire quelque chose que son hôte dans la forêt commençaient déjà à malaxer ces derniers. Je continuais de gémir malgré tout en essayant de me retenir mais ce n'était pas vraiment possible, je gémissais toujours venant bouger légèrement et retenir mes petits cris. Elle retira ses mains en me parlant donc et voilà que des tentacules venaient prendre place, faisant le même boulot que faisait la femme en remuant plus fortement également..

- C'est surtout étrange, les aimer seraient un gros mot, je ne les connais pas du tout quel espèce animal seraient et surtout feraient ces sortes de choses mais oui, sinon, c'est très agréable, chaleureux...

Je me mordillais la lèvre inférieur avant de venir faire un câlin à Pamela malgré l'excitation qui montait. Je gémissais tout simplement venant bouger toujours en sentant ces tentacules venant toujours enlacer Pamela, je me sentais bien avec elle, je l'aimais beaucoup...

La petite Anya était doucement en train de succomber. C’était avec plaisir qu’Ivy la voyait s’écrouler devant elle. Elle tenta même de retenir ses délicieux cris. Elle avait une magnifique voix, très douce, parfaite pour gémir, pendant quel les tentacules commençaient à se caresser. Pamela estimait l’avoir assez préparé, maintenant... Et puis, toutes ces caresses, tous ces baisers, tous ces élans de tendresse, ça la mettait, elle aussi, dans une situation intenable. Elle frémissait sur place, consciente de ce qui allait suivre. Les tentacules pressaient ses seins, et, entre plusieurs soupirs, Anya s’exprima de manière assez confuse, indiquant qu’elle ne savait pas si elle pouvait les aimer ou non, ignorant à quelle race animale ils appartenaient. Ivy, en retour, se mit à sourire, et gloussa même légèrement.

« Oh, ma douce, ce ne sont pas des animaux... C’est la flore qui s’exprime par mon intermédiaire. Ces tentacules sont des êtres végétaux. »

Anya se pressa alors contre Ivy, qui sourit, et caressa en retour très tendrement ses cheveux, avant de l’embrasser sur le front... Puis une nouvelle fois sur les lèvres. Et, pendant toute la durée de ce baiser, Anya put sentir quelque chose taper brusquement contre ses cuisses. Le baiser d’Ivy se fit même plus sauvage, et se termina par un mordillement sur les lèvres d’Anya, pendant que les tentacules se retirèrent de ses seins.

« Voilà... Regarde ce que tu as fait sortir, ma chérie... »

Entre les cuisses d’Ivy, un membre venait de pousser... Un magnifique phallus verdâtre, qui se dressait fièrement en hauteur. Ivy aurait pu la prendre avec juste les tentacules, mais, pour une première fois, elle se disait qu’Anya préférerait sans doute le contact d’une verge. Ivy soupira alors, la respiration plus profonde, maintenant.

« Je suppose que tu n’en as encore jamais vu, hein ? On appelle ça... »

Elle s’approcha de l’oreille de la jeune fille, et lui murmura un terme indécent, juste pour le plaisir de la faire rougir, et de la perturber :

« ...Une queue ! »

Un sourire supplémentaire se dessina ensuite sur ses lèvres, et elle poursuivit :

« Agenouille-toi, ma chérie, découvre cet organe, que ce soit avec tes mains ou avec ta bouche... Profite-en bien, surtout ! »

Elle se faisait presque comme une furie mais restait tout simplement en douceur, j'avais hochée la tête quand Pamela lui parlait et comprenait donc ce qu'était les tentacules juste des végétaux. Je la regardais toujours en me posant quelques questions dessus sans vraiment le montrer puis voilà que quelque chose se tape contre mon entrejambe ou plutôt mes cuisses. J'avais sursauté d'un coup avant de voir le membre vert à la place du vagin de la jeune dame, j'en rougissais tout simplement, me sentant gênée à cette vue et me demandant surtout comment cela se faisait mais à vrai dire, je ne voulais pas non plus m'éternisée dessus et je regardais donc Pamela qui me précisa son nom.

Queue, verge, bite, plusieurs noms pour dire la même chose, je restais là, silencieuse me demandant donc comment cela se faisait qu'elle était ainsi, dans un plaisir constant, je ne sais pas pourquoi mais je venais de l'obéir, je venais donc me mettre à genoux en espérant qu'aucune tentacule vienne me prendre ma virginité tandis que le membre, en face de moi était assez gros ou vert. J'en avais jamais vue même sous les gardes où j'avais essayer de passer inaperçue, jamais aucun ne s'était montrée totalement nu, une serviette recouvrait facilement ce membre et voilà que j'en ai un en face de moi, comme si ce n'était rien...

D'une main hésitante, je venais délicatement touché le membre, de mes doigts, le bout des doigts touchèrent donc ce membre, je rougissais, détournant le regard continuant à toucher, c'était dur et en même temps mou, l'odeur qui en dégageait n'avait pas spécialement d'odeur étrange comme celui de l'urine ou macérer dans les vêtements de la femme, je touchais donc, tout simplement, prenant tout doucement un peu plus confiance venant utiliser totalement mes doigts pour toucher le membre...

C’était la première fois qu’elle voyait une verge… Ivy aurait pu la pénétrer, là, maintenant, tout de suite, et elle savait qu’Anya aurait adoré ça. Mais, avant de le faire, Pamela voulait l’éduquer, la former. Elle voulait y aller calmement, délicatement, monter progressivement en puissance… Parce qu’Anya le méritait. Pamela sourit en la voyant se mettre à genoux, totalement absorbée par ce membre. Ivy se recula de quelques centimètres, permettant ainsi à Anya de mieux voir sa verge. C’était indéniablement une belle pièce, une verge qui se dressait en décrivant une légère courbe. Si on la plaquait contre le corps d’Ivy, elle irait au-dessus de son nombril, signe que Pamela, en ce moment, était plutôt bien excitée. La grosse verge se tenait donc devant elle, et Anya, dont un chat semblait avoir avalé sa langue, observait cette belle queue sans rien dire.

« Elle ne va pas te mordre, tu sais… » sourit Ivy.

La première fois… Toujours un moment magique, mythique. Pamela s’en pinça les lèvres, se rappelant elle-même comment elle avait été, jadis, la première fois qu’elle avait fait l’amour. Contrairement à Anya, Pamela avait été pénétrée rapidement, par un amant inexpérimenté, aussi enthousiasmé qu’elle. Là, Anya avait de la chance, celle de coucher avec une femme très expérimentée, qui pouvait se retenir, et la laisser découvrir… Ce que la jeune Terranide fit en approchant ses mains, et en venant palper sa queue.

« Hmmm… »

Sous le contact des délicieux doigts de la femme, la queue de Pamela se mit à tressauter, se redressant fièrement, sous les délicieux doigts de la femme.

« Oui, Anya… Profite-en, ma chérie… Caresse-là, palpe-là, hmmm… Mais… Ne te contente pas juste de la verge, n’oublie pas… Les testicules. Ni… Ni ta langue, ma beauté. »

Il n’y avait pas que les mains, et, peu à peu, Pamela continuait à l’entraîner. Tôt ou tard, elle la pénétrerait, et elle la prendrait dans tous les sens, et elle la ferait hurler, hurler à s’en casser la voix tandis que sa queue la labourerait furieusement… Mais, pour l’heure, elle se contentait juste de sentir les délicieux doigts d’Anya, et d’observer la scène, en souriant… Et en étant de plus en plus excitée.

Je restais là, je ne savais vraiment pas quoi répondre, le membre de Pamela était là devant moi, je l'avais commencé à le toucher, c'était légèrement dur et la verge était d'une belle taille, je devais l'admettre, mais plusieurs questions se posèrent tout comme la plus basique, est-ce que le membre rentrera en elle ? Est-ce que vraiment le membre va pouvoir rentré, en ayant calculé légèrement, il manquerait des centimètres mais bon, je suppose que si l'utérus et le vagin peut faire sortir un nouveau-né, je pense qu'il pourrait l'accepter bien que je sens que j'allais douiller. Elle me parla et je hochais la tête la regardant une nouvelle fois avant de me proposer d'utiliser ma langue.

Je la regardais donc et je me rapprochais doucement, mes oreilles de félins commencèrent à se baisser, pas de mécontentement, mais d'inquiétude, de peur, mais également de désir et je devais le dire et l'avouer, oui de désir également. Ma queue dorsale rejoignit rapidement ma cuisse gauche s'enroulant autour comme si elle avait peur de l'oublier, mes yeux se fermèrent délicatement quand tout doucement, la bouche s'ouvrit de quelques centimètres, laissant tout doucement la langue pendre en dehors de sa cavité, des petits picot dessus car ma langue était bien entendu râpeuse. Je posais ma langue sur le membre vert et voilà que je commençais tout doucement a léchouiller le membre, je posais finalement une de mes mains vers les boules qui pendaient au membre pour venir doucement les caresser et les palper de peur de lui faire mal si je serrais trop fort...

Anya allait maintenant découvrir davantage l’impact du sexe, au sens physique du terme. Devant son beau visage, une belle verge se dressait. Souriant lentement, Pamela la regardait s’approprier ce membre, en devinant très bien les questions qui devaient lui traverser l’esprit. Les questions que toute jeune femme en pleine fleur de l’âge ne pouvait que se poser devant une telle situation. Ivy aurait pu la rassurer, lui dire ce qu’il fallait dire, mais, d’après son expérience, en la matière, il était aussi bon de laisser son partenaire découvrir par lui-même ce qu’il y avait à découvrir.

« Lààà… Vas-y, ma choupette… »

Pamela pouvait se montrer très tactile quand elle le voulait, et très maternelle. Ses deux mains caressaient délicatement les cheveux de la femme, glissant notamment sur ses oreilles, les frottant avec une tendresse infinie. Elle sentit ensuite la langue de la jeune Anya caresser son sexe, remuant sur le chibre, tandis que ses doigts, très délicatement, vinrent presser ses testicules, faisant frémir l’Empoisonneuse. Ivy se pinça les lèvres en gémissant, et bomba le corps vers l’avant, crispant involontairement ses doigts sous la masse chevelue d’Anya.

Elle prenait tout son temps, exactement comme Ivy le souhaitait. Sa langue glissa ainsi le long de son sexe, remontant sur son chibre. Pamela ferma les yeux longuement, frissonnant également au contact des doigts de la femme. Anya agissait avec délicatesse, avec lenteur, comme si elle avait peur d’endommager le corps de Pamela…

« Voilà, oui… Lèche-le bien, Anya, donne des baisers… Sur les testicules aussi, haaaa… Familiarise-toi avec ce membre, avec cette texture, cette peau, hmmm… »

Ce moment était très important pour Anya. C’était son initiation sexuelle, et Pamela savait combien cette étape était centrale et cruciale. Pamela se pinçait donc les lèvres, gémissant encore, à plusieurs reprises, car les attouchements d’Anya ne manquaient évidemment pas de l’exciter. Et tout ça, pour le dire simplement, c’était… Très excitant !

« Encore, hmmm… En-Encore… ! »

Le soleil déclinait tout doucement, très lentement vers l'ouest. J'étais toujours à genoux, le membre vert proche de moi tandis que moi je l'embrassais, je continuais les lèches sur le membre, les léchouilles et les baisers sur les testicules tout simplement. Une main sur la cuisse gauche de Pamela tandis que l'autre malaxait tendrement les bijoux de famille de cette dernière en restant toujours muette, le bruit de mes gémissement se font tout de même entendre ainsi cela permettait de casser un peu le blanc de la forêt. Les ronronnements se font également entendre, des ronronnements tendres, pas vraiment "violent", juste tendre, venant tout doucement animer la forêt tout simplement. j'avais bien entendu envie, la cyprine me coulait légèrement du vagin pour couler au long de mes cuisses et arrivés tout doucement sur le sol. Les pointes de ma poitrine étaient légèrement tendus, faisant des petites boules sur les deux monts qui compose mes seins  mais je ne disais rien, je restais là, les yeux fermer à lui faire du bien, je voulais lui faire du bien. Ses petits gémissements, ses petites demandes, je ne pouvais lui refuser, je continuais.

Je léchais toujours le membre, tout en faisant des petits gémissements de plaisir, elle m'avait demandée de ne pas oublier les baisers sur ses boules, ce que je fis également, je lui obéissais, j'avais plusieurs questions mais je ne savais quoi dire alors je restais avant de voir le membre pulser tout doucement, je le regarde faire tout en continuant de léchouiller le membre sur toute la longueur sans jamais le prendre dans ma bouche. Je restais tendre et douce, je ne voulais pas être brusque et c'est pour cela que j'aimais faire cela. Être douce et écouter cette femme qui me faisait tourner la tête si facilement.

- Comme Sha ?

Si obéissante, si docile… Anya était charmée par ce qu’elle voyait, et réagissait en conséquence. Elle parlait peu, et agissait beaucoup, le visage devant la magnifique verge verte d’Ivy. Une belle queue bien dressée, qui frémissait à chaque baiser d’Anya et à chaque léchouille. Elle s’attardait à suivre les instructions de Pamela, qui ferma encore les yeux, et s’adossa contre le tronc de l’arbre, gémissant longuement. Yeux clos, elle se tortillait sur place, avant de sentir à nouveau les lèvres de la belle femme, qui se posèrent sur ses testicules, s’enfonçant dessus, les léchant tendrement. Tant de douceur, ces lèvres qui remuaient pendant plusieurs minutes…

« Hmmmm… !! »

Anya n’était pas la seule à être excitée par ça. Ivy avait pourtant de l’expérience, mais elle se sentait malgré tout de plus en plus fébrile, sa queue commençant à lui faire mal, tant elle était gonflée et durcie. Elle offrait à Anya tout le temps nécessaire pour s’approprier son phallus, mais le corps d’Ivy commençait à en vouloir plus.

« Hooo, ma chérie, hmmm… Tu… Tu ne réalises pas dans quel état tu me mets, haaaa… »

La jeune femme finit par relever la tête, délaissant le sexe de Pamela, qui resta bien dressé. Ivy soupira encore, sentant, le long de l’arbre, des tentacules se rapprocher, la caressant à hauteur des jambes, comme si l’arbre, en sentant la frustration de sa Maîtresse, venait tenter de la soulager. Anya lui demanda si elle s’y prenait bien, et Ivy sourit, en la regardant de nouveau.

« Il te suffit de regarder dans quel état tu me mets, Anya… Regarde comme ma queue est tendue, durcie… »

Anya étant proche de son membre, son visage glissait délicatement dessus, ce qui contribuait encore à exciter Pamela. Cette dernière déplaça ses mains, et les posa de nouveau sur la tête de la femme, bien décidée à passer, maintenant, à la suite.

« Pose ta main sur la base de mon sexe, en appui… Et abaisse-le vers tes lèvres. Maintenant que tu l’as bien léché… Suce-le. Fais glisser ta langue dessus, aspire l’air en le prenant, et remue d’avant en arrière. Suce-moi bien comme il faut, ma chérie… Et tu auras ta récompense. »

La voix d’Ivy était lourde, marquée par le désir qui pulsait dans sa poitrine, et qui ne demandait qu’à s’exprimer… Ce qui allait bientôt pouvoir se faire.

Je ne savais pas comment réagir, Pamela semblait être frustrée quand j'avais arrêté car des tentacules essayaient tout simplement de soulager le membre et de sa frustration. Je me sentais tout simplement gênée et j'avais surtout l'impression d'être une putain, une simple putain alors que je suis une princesse.. Et pourtant cela ne me dérange pas vraiment, enfin, je pense que je pourrais être gênée si quelqu'un qui me voit me verrait ainsi et là, dans ce monde, personne ne me connaissait et commençait à me dévergondé en quelque sorte. Mais de la façon qu'elle était frustrée, je ne sais pas pourquoi.. Je me suis remise à genoux et je commençais tout simplement à reprendre mes caresses en entendant les compliments qu'elle me faisait. Puis voilà qu'elle pose ses mains sur ma tête et qu'elle m'explique ce que je vais faire...

Je voulais lui faire plaisir, alors je posais délicatement ma main sur la base du membre et j'appuyais tout doucement pour qu'il soit totalement horizontalement. La façon qu'elle m'ordonne de prendre le membre, je ne sais pas pourquoi mais voilà que je le prend tout simplement dans ma bouche, j'essaye de faire attention aux dents qui peut être désagréable pour Pamela et je viens doucement sucer les  quelques dix centimètres au début, aspirant l'air, aspirant ce membre avant de venir doucement m'avancer sur son membre et faire des petits vas et viens avec ma bouche. Je ne sais pas quoi répondre, je tremblais tout simplement, je tremblais de peur légèrement de peur, mes oreilles de félins bougeaient tout doucement tandis que ma queue dorsale se resserrait sur ma cuisse. Je fermais les yeux en toussant longuement quand le membre était trop loin dans ma gorge.

Tout doucement, je viens prendre ma main libre vers mon ventre et tout doucement, je le descendais vers mon pubis et je commence à me toucher, mon clitoris était entre mes deux doigts en appuyant légèrement, et étrangement, je commençais même à couiner de plaisir tandis que je continuais ma tache avec le membre de Pamela. Je continuais de me toucher tout simplement, tremblante de plaisir encore plus. Ma cyprine coule de plus en plus entre mes cuisses.

Anya était terriblement douée. Ça, Pamela ne pouvait pas le nier. Elle la léchait et l’embrassait avec timidité et nervosité, mais avec une envie palpable, et assurément excitante. Pour Ivy, rester calme devenait en fait de plus en plus dur, ce qui expliquait pourquoi elle empêchait Anya de trop s’écarter. Quand on délivrait autant d’attentions sur un sexe, il fallait bien s’attendre à ce que la patience soit mise à rude épreuve. C’était typiquement le cas pour Pamela, dont la respiration s’alourdissait profondément, au fur et à mesure que son amante continuait à la prendre en bouche. Elle posa une main sur la base de sa verge, et l’avala donc, remuant d’avant en arrière, prenant le membre de Pamela en bouche, en soupirant lentement. Et, en sentant cette belle bouche se poser sur sa hampe de chair, Ivy crispa ses doigts sur ses cheveux, en soupirant, ouvrant bien fort la bouche, et donnant un léger coup de reins en avant, accompagnant très délicatement les mouvements d’Anya.

Bien sûr, elle ne voulait nullement la brusquer. Tout devait se faire avec son aval, mais Anya était désormais prise dans ses pattes. De fait, Ivy sentit le plaisir croître en elle, surtout quand Anya approcha sa main de ses cuisses. Mais ça, Pamela n’allait pas l’accepter. Très rapidement, un tentacule se déplaça, et s’enroula autour du poignet d’Anya, venant soulever sa main, l’éloignant de ses cuisses.

« Non, non, ma chérie. Toi, tu poses tes mains sur mon corps, et moi… Moi, haaaa… Je m’occupe de… De ta chaleur. »

Et, tandis que la main d’Anya retournait en position, des tentacules s’enroulèrent autour des chevilles de la jeune fille, et se glissèrent entre ses jambes. Ils étaient petits, et s’ouvrirent à leur extrémité, libérant de multiples petites langues qui s’enfoncèrent dans sa chatte. Sans briser son hymen, ils léchèrent et caressèrent ses parois intimes, et s’approchèrent délicatement de son bouton de plaisir, venant le titiller et le lécher.

Pamela serra alors ses mains sur la tête d’Anya, et commença à délicatement remuer sa queue en elle, filant d’avant en arrière, soupirant lentement. Le plaisir croissait de plus en plus dans le corps de Pamela, remuant dans son être, et la faisant frissonner et gémir.

« Hmmm… Ouii, Anya, haaaa… Pose tes mains sur mes fesses, ma chérie… Appuie-toi là-dessus, pince-les, serre-les, hnnn… »

Qu’elle découvre son corps, qu’elle le palpe, qu’elle en profite ! En sachant qu’elle allait sûrement atteindre très vite un orgasme, vu son manque d’expérience en la matière…

Je ne sais pas ce que je devais dire, je ne sais pas de quoi je devais faire, mon corps agissait tout simplement. J'étais chaud, mon corps étaient chaud, j'avais envie, j'avais tout simplement envie, tout ce que je pensais c'était d'abord de me faire du bien, j'avais envie de me caresser, j'en avais tellement envie. Je voulais ressentir tant de plaisir et surtout j'en avais follement envie. Je voulais jouir, ressentir cette extase que j'ai tellement lu encore et encore sur ce sentiment que je ne connaissais pas encore mais que je voulais ressentir. Je ne pensais qu'à cela et à faire du bien à cette femme que j'allais commencé à me caresser qu'une de ses tentacules m'en empêcha et je la regardais presque d'un air suppliant et surtout, je ne comprenais pas  pourquoi elle refusait que je me fasse du bien puis voilà qu'elle m'expliqua la raison.

Soudain, je sentis plusieurs tentacules qui s'enroulèrent sur mon corps et s'ouvrir pour m'offrir une vision de plusieurs langues et voilà que ces derniers s'enfoncèrent en moi, je gémis de surprise venant serrer mes mains en essayant de resserrer mes cuisses comme pour les empêcher de continuer bien qu'au fond de moi, je voulais qu'ils continuent de faire ce qu'ils faisaient, voilà qu'en plus Pamela avait décidé de bouger d'elle-même pour se faire du bien, je reste là, venant poser mes mains sur ses fesses et voilà que je les serres légèrement, en oubliant pas de faire attention à mes griffes quand même mais je griffonnais sur les fesses de cette dernière tandis que je la regardais tout en couinant de plaisir.

Pamela n’allait tout de même pas laisser cette jeune fille se caresser elle-même, quand elle disposait d’une armada de tentacules pour le faire à sa place. Elle voulait l’aider, la former, et s’assurer, surtout, que rien ne vienne la déranger, ne vienne la perturber, pendant qu’elle s’initiait au plaisir sexuel. C’est pour cette raison qu’elle utilisa les tentacules, et incita ses mains à retourner sur son corps. Elle voulait qu’Anya découvre toutes ces sensations sans se restreindre pour d’autres raisons. C’était sa façon de voir les choses, et elle savait que c’était la bonne. Anya se tortilla un peu, comme si la présence des tentacules la dérangeait, mais il s’agissait plus d’une réaction-surprise que d’un véritable rejet, car elle se mit rapidement à se laisser aller, tant les tentacules la caressaient précisément et délicatement. Une délicieuse orgie de plaisir, pendant que ses mains se crispèrent sur le fessier de Poison Ivy.

Se pinçant les lèvres, Pamela soupira ensuite en sentant les griffes d’Anya heurter sa peau, la faisant trembler sur place, et elle continua à la prendre. Baissant la tête, elle planta ses yeux sur la vision du corps d’Anya, avec sa magnifique bouche qui filait d’avant en arrière, glissant le long de sa hampe de chair, remuant sur son vit, désormais bien tendu.

« Hmmmm... Haaaa, ma belle, c’est... C’est très bien... »

Les tentacules se crispaient également sur le corps d’Anya, et dans son corps, continuant à la malmener délicieusement, à l’exciter en titillant son clitoris, et en la stimulant, encore et encore.

« Plus vite, Anya, haaa... Plus profondément aussi. Enfonce ma queue dans ta bouche, et.. Tiens aussi longtemps que possible, ma beauté... Et... Ne retiens pas ton plaisir, ma puce, je veux que tu jouisses ! »

Il était bel et bien temps qu’Anya découvre ce plaisir sacré... Et aussi qu’elle finisse par goûter au sperme d’Ivy, un sperme qui était bien plus sucré et bien plus agréable à boire que le sperme ordinaire.

Je continuais à lui offrir ce plaisir intense tandis que cette dernière faisait pareil également. Je continuais toujours à gémir et ressentir ce plaisir avant de venir donc lui obéir et essayer donc de garder le membre en bouche le plus longtemps possible, ne disant rien et restant là, à crisper ses mains sur ses fesses. Tandis que le plaisir grandissait toujours, je n'avais jamais ressentit autant de plaisir à faire et à ressentir ce que je ressentais et je faisais. J'en gémissais toujours venant me crisper un moment en ressentant une vague de plaisir m'envahir d'un coup. En lisant des livres et des magazines, je savais que je venais de jouir... Je tremblais de plaisir venant regarder Pamela, mon ventre semblait explosé de bonheur ne voulant plus tenir sur place, c'est comme si ce dernier était dans un état euphorique. je n'avais plus le membre dans la bouche, j'étais restée à genoux, les mains contre mon corps et le regard en la direction de Pamela avec un léger sourire, je n'avais pas crier mais le plaisir était là, je sentais comme des flots de plaisirs m'envahir peu à peu.

Il fut de tel que ma cyprine coulait plus fortement qu'avant, venant me mouiller l'intérieur des cuisses, et tombant sur le sol, par réflexe j'avais poser mes mains sur mes cuisses récoltant tout doucement la cyprine en petite quantité venant ensuite regarder Pamela, me couchant sur le sol. Mon instinct félin voulait reprendre le dessus et j'ai l'impression qu'il réussissait à merveille. J'écartais mes jambes venant ensuite ouvrir mes lèvres intimes pour laisser voir l'intérieur le vagin, venant réclamer du plaisir en moi. Je gémissais longuement venant la regarder et je me sentais comme la plus vilaine des putains. Je réclamais inconsciemment qu'elle me prenne venant me faire jouir de plaisir, je me sentais honteuse, je regardais les alentours cherchant à fuir le regarde de Pamela.

Je me sentais vraiment honteuse, gênée de comment je réagissais, ce n'était pas normal.. Et pourtant le plaisir me changeait légèrement...