Déesse VS Prêtresse ♥ [PV Elosia Darwell]

Despina ressentait une énorme frustration en présence d'Arès. Tout d'abord elle était clouée au sol, observant la scène, et voyant qu'il était fâché, vraiment fâché. La déesse avait prit soin de ne rien abimer, même pas la prêtresse, elle l'avait juste attaché, pour lui clouer le bec quoi. C'est vrai que la salon était pas très approprié pour se battre, mais bon. Elle l'avait vraiment cherché, la peste.. Certes elle n'était pas sa maîtresse, mais en tant que Déesse, elle avait tout à fait le droit de punir qui que se soit du moment que cette action était légitime, et cette règle, elle la tenait d'Anytos, qui la tenait de Poséidon. Elle avait reçu les enseignements du titan, sous les ordres de son père, et elle ne douterait de ses principes. Elle n’arrivait pas à décrocher la mâchoire, car l’aura d’Arès était trop puissant pour elle, il la paralysait, et il la savait, il en profitait. Elle se rendit compte que toute sa vie, si elle la passait à ses côtés, elle serait dominée et prisonnière, à sa merci. Il fallait qu’elle réagisse, même si cela pomperait tout son énergie, elle se concentra, ses yeux se couronnant de rouge. Elle dit alors, d’une voix faible et pleine de haine :

« Ta prêtresse, est peut-être la tienne, mais elle m’a manque de respect. »

Elle força et réussit à faire quelques pas, se retrouvant tout près d’Arès, son cœur palpitant comme jamais. Les effets de l’amour la rendaient furieuse, elle se sentait faible de sentir son cœur battre la chamade pour un homme, car jamais cela ne lui était arrivé. Elle avait deux choix : refouler ses sentiments, ou se laisser aller à cette horrible sensation qu’est d’être amoureuse. Le premier choix lui ressemblerait, mais était très dur, presque illusoire. Bon, il fallait réagir, et maintenant. Elle passa ses bras sur la taille du Dieu, sans s’y arrêter, juste pour avoir son contact, car en fin de compte, elle essayait juste de s’accoutumer à cette sensation sentimentale fatale. Elle devait parler, et encore, pour faire comprendre au maître de cette peste qu’elle avait agit légitimement. Elle ouvrit la bouche, attendant qu’un son en sorte, et la seule chose qui en sortit fut un cri fort et strident, comme si elle se libérait. Elle reprit alors son souffle et dit :

« Si jamais je l’ai ligoté, c’était pour lui faire comprendre, que la Déesse, c’est MOI. »

Elle soupira et partit vers la porte, où elle s’arrêta pour se retourner et elle regarda l’homme qu’elle aimait, le regard plein de haine et mélancolie. Elle devait sûrement se retirer, car cela serait mieux, et refouler ses sentiments lui prendrait du temps mais elle en était capable, rien n’était impossible pour La Maîtresse, même aimer, alors.. Elle resta plantée à la porte, l’attraction sensationnelle qu’exerçait Arès sur elle l’empêchant de partir. Elle se sentait comme poussée vers lui, et résister devenait dur, et affaiblissant. Elle soupira et dit, d’une voix des plus faible et épuisée :

« Je t’aime.. »

Puis elle s’évanouit au sol, la force de l’aura divine du Dieu l’ayant achevée. La faiblesse qu’elle ressentait alors, les yeux fermés, était insupportable, et plus elle luttait plus elle s‘affaiblissait. Elle lâcha prise, les yeux fermés, la tête contre le marbre du sol, les larmes sortant de ses paupières qu’elle était incapable d’ouvrir avec le peu de forces qu’il lui restait.

La petite prêtresse, ben oui elle se trouvait minuscule en présence d'Ares, laissa la puissance de son dieu la soumettre à sa volonté devant la demande d'explication, l'humaine baissa la tête, tout essayant de cacher son sentiment de honte, mais elle ne pouvait pas cacher le moindre sentiment à son amour. Elle n'osait pas relever la tête pour croiser les yeux d'Ares qui montraient une colère que n'aimait pas voir Elosia, car dans cette état un mauvais mouvement, une mauvaise phrase et la punition serait revu à la hausse. Encore toute pâle, elle murmura.

- Désolée maître c'est ma fautes, je suis la seule fautive.

Puis l'humaine se fit réprimandé par le dieu de la guerre et la pauvre dit d'une voix faible et emplit de crainte.

- Vous me l'avez apprit maître, c'est moi qui ne l'est pas appliquée. Aussi je me plie à la moindre de vos ordres et je suis prête à en subir les conséquence.

Elosia vit la scène que Despina et ne put réprimer une moue dégoutée, pourquoi les déesses avaient cette faculté de tous dramatiser, pour paraitre misérable et s'attirer aussi facilement les regards. Elle l'avait pensée, son dieu devait donc être au courant, ainsi que la sincérité de la petite prêtresse sur le moindre de ces dire, elle ne pouvait pas dire qu'elle aimait sont dieu, cela aurait être encore en conflit avec Despina, même si elle était sur le carreau. Aprrès avoir murement réfléchit à ce qu'elle avait fait, Elosia dit avec tout l'amour qu'elle avait pour son dieu.

- Si vous voulez que je quitte l'olympe sur le champ je le ferais. Je ne me déroberait pas à votre jugement divin.

Les deux protagonistes etaient desormais plus calme par la force des choses. L'aura du Dieu ne cessa de se rependre dans la piéce, sur le palais tout entier tant il sentait sa colére monter a la vue de cette mascarade inutile. Le Dieu Guerrier regarda alors la Déesse tenter de s'approcher, faible, si faible sous la puissance divine, mais il reconnu bien la la ténacité de Despina, qui continua de progresser lentement vers lui, tentant de ce justifier pour son attaque sur Elosia. Il sentait sa haine, il s'en nourrissait méme, n'etait ce pas ainsi que commencer les guerres? Il l'analysé, prenant le temps de compendre ce qui l'avait poussé a venir ici, a tenir compte des dires d'une sois disant simple humaine... Alors, il comprit, quant elle lui attrapa la taille de ses deux mains faibles, au bords de l'inconscience... Il comprit par ce touché, par son regard, qu'en elle commencait a naitre des sentiments puissants, tout aussi incontrolables... Il serra les dents, n'ayant pas prevue un tel renversement de situation... Despina etait une farouche Déesse, tout les hommes finissaient dans son lit, entre ses bras, pour étre rapidement abandonné le lendemain, sans demander son reste. Mais ici, tout etait differant. En avait il conscience? Etait il lui aussi atteint de ce syndrome etonnant qu'etait l'amour?... Possible. Il sentait bien un certain pincement au coeur, en la voyant ainsi souffrir, mais il etait le méme quant il regardait l'humaine agenouillé tout prés... Despina finit par sombrer, des larmes roulant sur ses joues, face contre terre...

Il tourna alors ses yeux sur Elosia... Elle aussi etait apeurée.. Non de la sentence, il la savait suffisement brave pour subir cela sans broncher, mais par une autre punition qu'il ne parvenait a lire dans son esprit. Approchant de la Prëtresse, il s'arreta au bout de quelques pas, s'accroupissant aux cotés du corps de la Déesse.. Il fit cesser son Aura, laissant le calme peu a peu tomber dans la salle... Sa voix grave parla alors avec autorité...

"Tu ne quittera pas l'Olympe Elosia... Ta faute est grave, tu as attaqué une Déesse, une femme importante a mes yeux, tout autant que tu ne l'es toi..."

Doucement, dans des gestes qu'il ne se connaissait méme pas, il prit la Déesse dans ses bras, la soulevant du sol froid, pour la serre tout contre son torse, et se redresser avec elle... Il ajouta sans regarder l'humaine...

"Viens avec moi Elosia..."

Il marcha doucement, au travers du palais, franchissant les quartiers reservés pour son propre usage, et qui en aucun cas ne devait étre visité sans son autorisation. arrivé a sa chambre, il ouvrit grand les rideaux par force divine, et deposa avec douceur le corps inconscient de la princesse des Mers, qui etait toujours en plein sommeil... Finalement, il se tourna vers Elosia, le visage grave, approchant de se Pretresse, pour se stopper net a quelques centimétres d'elle...

"Tu va subir la pire des punitions... Et ainsi apprendre une nouvelle leçon importante... De tes ennemis, tu apprendra a t'en faire des amis..."

Il lui montra d'un geste le corps de la princesse des Mers sur le lit.

"Tu va t'occuper de mon invitée de marque, prendre soin d'elle, jusqu'a son reveil. Quant elle s'eveillera, tu me fera prevenir. Et tu continuera tes bons soins tant qu'elle demeurera en cette maison, suis je clair, Elosia?"

Il ne laissa pas d'echapatoire... Mais avant de partir, il posa ses lévres sur son front, dans un doux baiser, et quitta la salle, en attendant que la Déesse s'eveille...

( Je suppose que comme Despina est endormit, je dois faire la suite)

Elosia sentit l'aura de son maître baisser et redevenir normal, la rassurant un peu, mais elle eut un pincement au cœur en voyant Ares prendre Despina dans ces bras, mais elle refoula ce sentiment en elle, pour ne pas laisser son dieu voir sa douleur. Aussi la prêtresse suivit son dieu vers un lieu qu'elle connaissait très bien, la chambre d'Ares en personne.

Elosia vit son dit pauser la déesse encore inanimée sur le lit, je préféra penser à autre chose et c'est à cet instant que le dieu de la guerre donne la punition à la jeune humaine, il était vrais que cette punition était terrible pour elle, car c'est comme-ci elle était devenue l'esclave de la déesse avec laquelle elle a combattu, mais Elosia en tant que bonne servante du dieux s'inclina pour montrer qu'elle acceptais la tâche que son dieu lui avait confié. Une fois le dieu partie, elle alla vers un robinet pour remplir une bassine, contre les évanouissement, une serviette mouillée était le meilleur des remèdes, elle mit une couverture sur la déesse et la serviette trempée sur son front. A cet instant Despina sourit, la prêtresse constata avec un certain choque que dans cet état elle ressemblait plus à une humaine que à une divinité, aussi elle vérifia souvent si la serviette restait humide et si sa température était correct. elle sembliat un peu chaude, mais rien de bien dangereux. Elosia parla à voix haute.

- Dire que au réveille je vais me faire traiter de tous les nom par mademoiselle.

Justement un petit bruit sortant de la bouche de Despina annonçait son réveille progressif, Elosia demanda à un messager d'appeler Ares, alors que Depsina reprenait connaissance, la prêtresse lui tendis un verre d'eau.

- Tenez cela vous fera du bien.

Pour la première fois Elosia montra de la gentillesse envers la déesse, ce n'est pas que l'humaine soit tous le temps méchante mais elle est très jalouse.

HG - Désole de l'énorme retard, je viens de me rendre compte que vous aviez rep, et comme personne me l'a rappelé ^^' - HG

Music box ? : Lady Gaga - Love Games XD.

Despina était plongée dans le noir, elle n'arrivait même plus à ouvrir les yeux tellement l'aura d'Arès l'avait drainé. Elle entendait, mais ne voyait pas ni ne pouvait bouger. Elle l'entendit infliger "la pire des punitions" à sa prêtresse : s'occuper d'elle. Elle aurait voulu pouvoir ouvrir les yeux et lui dire qu'il était bête, qu'elle n'allait pas l'embêter plus que ça, mais lorsqu'elle le sentit la prendre dans ses bras et que le contact entre se poitrine et son torse s'établit, elle se calma et se laissa porter, les yeux clos, la respiration faible. Même Elosia ne souffrait pas autant de cette force que répandait partout ce Dieu, et elle se demandait si la cause de cet affaiblissement n'était pas les sentiments. Lorsqu'elle se sentit posée sur un matelas, l'odeur qui imprégnait les draps lui firent tourner la tête, à présent, elle ne pouvait même plus respirer, tellement l'odeur de celui qu'elle haïssait d'amour lui faisait palpiter le cœur.

Elle entendait Elosia dire qu'elle allait se faire insulter lors de son réveil, mais Despina était à présent calme, et l'aura et l'odeur répandue dans la pièce ne pouvaient que la sédater, la paralyser. Lorsqu'elle ouvrit doucement les yeux, elle vit la prêtresse lui tendre une verre d'eau, elle le prit et lui offrit même une sourire, car c'était la seule chose qu'elle pouvait faire. Surtout qu'elle comprenait qu'Arès l'aimait aussi à elle, elle avait entendu le bruit du baiser lorsqu'elle avait les yeux clos. Elle but l'intégralité du verre puis le rendit à la prêtresse. Elle se redressa doucement, ne quittant pas l'humaine des yeux, elle se sentait bête à présent, car son évanouissement la faisait passer pour une comédienne dramatique, une femme si sensible qu'à la moindre émotion elle s'évanouit. Elle posa une main sur son front et vit que sa température avait augmenté, et pourtant, elle avait froid, terriblement froid, au point d'en frissonner.

Elle passa son autre main sur le drap couvrant le matelas, l'agrippant dans son poing, comme elle aurait agrippé les vêtements de son amant. Elle savait qu'Arès allait revenir, et elle devait parler avec Elosia avant qu'il ne revienne, car s'il entendait quoique se soit, cette fois, elle mourrait son la pression de son aura, à coup sûr. Elle laissa un moment de silence, pour écouter les bruits dans le palais, entendant une cadence de pas régulière raisonner dans le grand couloir, en direction de la chambre, il revenait. Elle regarda alors Elosia et dit :

"J'espère que tu as comprit la leçon Elosia, et que la prochaine fois, tu ne provoqueras pas une déesse. Car si tu ne m'avait pas irrité, je n'aurais pas combattu."

Puis elle lui sourit, comme pour lui exprimer que tu es oublié, que cela devait lui servir de leçon, et qu'à l'avenir elle devait avoir plus de respect quand elle ne connaissait pas les gens, et même si elle les connaissait, une déesse reste une déesse. Ensuite, elle se leva du lit et marcha vers la grande fenêtre qu'elle entrouvrit pour respirer l'air frais de l'extérieur, l'odeur d'Arès lui faisant vraiment tourner la tête. C'est alors qu'il réapparut dans la pièce, son aura était plus faible, mais Despina ne put que tourner la tête pour le regarder, d'un air de marbre, sans aucune expression sur le visage.