Barbarisme [PV]

La proie ne se doutait de rien, c'était parfait. Le piege était depuis longtemps tendu il n'y avait plus qu'a le refermer sur la proie. Don l'ignorait bien sur encore, mais si les colères de Cream provoquait en elle des montées de lait elle n'aurait pas fini d'être en colère après ce qui allait lui arriver. Il allait donc très prochainement pouvoir réaliser cette promesse qu'il s'était faite et goutter Cream au goulot. Directement depuis cette poitrine lourde et voluptueuse. Ca faisait un moment qu'il statufiait là dessus, mais c'était maintenant où jamais qu'il allait conclure son affaire...Une fois que cette discussion très interessante au demeurant serait achevée

"Malheureusement les animaux sont des propriétés, ils n'ont pas de liberté propre chez l'homme et appartiennent toujours a des éleveurs, c'est le cas pour les terranides. De nombreuses personnes débattent encore du fait que vous ayez une âme ou non. Je trouve ça ridicule."

Fit Don en se levant, évidement qu'il trouvait ces débats ridicules : les terranides ont des âmes, et c'est comme ça qu'ils sont plus interessants a posséder ! Quel interêt de revendre des créatures dépourvues d'âme ? Quand elle lui dit qu'elle était partante pour tenter le coup et les libérer, il eut envie de rire mais lança sobrement

"C'est risqué, si vous êtes prise ils pourraient vous faire mal."

Lui pour sa part ne frappait ses terranides que lorsqu'ils s'opposaient dramatiquement a lui, et il tentait de ne pas leur faire de mal dans le cas contraire, après tout la marchandise ne se vent pas si elle est abimée ! Il se leva et lança a Cream

"Vous devez être fatiguée je vais vous montrer votre chambre a coucher."

Fit il en l'accompagnant vers une des chambres de sa batisse, c'était une belle chambre avec un lit a balledaquin et un coffre, elle semblait plutôt vide a première vue, il y avait une porte fenètre donnant sur la ville mais elle était fermée (a clef).

Don laissa rentrer Cream et la regarda un peu disposer des lieux pendant qu'il fermait discrètement la porte derrière elle au moment où elle ne le regardait pas. Il rangea les clef et avança comme de rien n'était

"Et donc, vous êtes fanfaronne de nature?"

Fit il en s'avançant près de Cream avant de lui mettre sans vergogne la main aux fesses

"Fanfaronnez vous toujours si je vous dit que vous vous êtes faite avoir ?"

Un peu qu'elle était fatiguée. Pas seulement de la fatigue de ne rien faire, comme on dit si bien, mais de la fatigue normale, après avoir marché avec Don dans la boue et la poussière... et le bain l'avait légèrement assoupie... les discours du marchand d'esclaves, mêmes s'ils avaient été bienfaiteurs, n'aurait pas fait plus d'effet à la terranide, qui baîlla en guise de réponse, en montant voir la chambre.

Elle jeta un regard satisfait à la pièce, s'approchant de la porte vitrée pour regarder l'extérieur. Pas plus anormal qu'un extérieur japonais, elle s'en désintéressa assez vite, et entendit Dorian lui parler, dans son dos.

"Et donc, vous êtes fanfaronne de nature?"

Puis elle le sentit s'approcher, et poser quelque chose sur une des jolis fesses fermes de la vachette. Une main, probablement. Cream, comme n'mporte quelle femme, sursauta. Mais elle évita de paniquer. Elle se sentait assez calme, à vrai dire.

Il fallait dire que quelques mois auparavant, elle s'était fait accoster en douceur par un jeune homme un peu émeché, et une situation de ce genre s'était produite... elle s'en était tiré en acceptant d'abord ses avances, du moins en apparence, puis en prenant la fuite au dernier moment.
Elle pouvait bien essayer comme cela, ce coup-ci. Après tout, peut-être n'était-il qu'un type de la même augure...

"Fanfaronnez vous toujours si je vous dit que vous vous êtes faite avoir ?"

La ushi ouvrit ses yeux, et tourna légèrement sa tête, suffisemment pour que Don voit son beau visage, et surtout le sourire entendu adapté à la situation, enfin, d'après elle.

« Bien sûr. Je vous l'ai dit, je fanfaronne toujours, c'est dans ma nature. »

Elle parvenait à se maîtriser avec de plus en plus de difficulté, mais son caractère lui imposait de prendre la chose avec calme, presque avec amusement. Elle chercha l'autre main de Don avec la sienne, pour la poser sur son autre fesse, sans trop appuyer, quand même. La terranide ne dit mot, elle souriait, simplement.

La capture des esclaves, le fait qu'elle pourrait en devenir bientôt une, lui avait totalement sorti de la tête, concentré qu'elle était sur son petit rôle. Elle se croyait tout simplement toujours sur Seikusu.

Il s'attendait a beaucoup de réactions a de la part de cream, des pleurs, des cris, de la violence, mais c'était bien la première fois qu'il voyait une terranide réagir de manière aussi sereine mais aussi aussi docile a ce qui allait bientôt lui arriver, rien que celà ne fit qu'accenter son désir et son envie de la posséder. Rendez vous compte, une terranide qui l'avait elle même acceptée en temps que maître ? On disait des ushi qu'elles étaient paysibles et faciles a vivre, mais il ignorait que ça serait aussi simple, pas de dressage ni rien, cette femme obeissait au doigt et a l'oeil...En même temps tout ça était super louche...Elle venait de la terre non ? D'où venait son pacifisme, Don sourit et en profita pour palper un maximum le derrière rebondit de Cream avant de passer devant l'Ushi, il lui lança

"Dans ce cas deshabille toi pour moi."

Lança le marchand d'esclave avec un large sourire, il regarda l'Ushi, et s'assit sur le lit où elle devait aller se coucher, elle pourait toujours essayer de fuir, mais les issues étaient bloquées, et en quelques minutes il l'aurait rattrapée, il connaissait cette maison mieux qu'elle. Il allait obtenir d'elle un service exemplaire pour une esclave.

"Vas y doucement et essaye d'y mettre du tiens, après tout tu es mon esclave maintenant, tu me dois obeissance."

Lança Don qui attendait le spectacle avec impatience

Il tripotait sans aucune retenue, le bougre. Cream soupira discrètement en pensant que décidement, les hommes étaient vraiment tous les mêmes. En plus, il fallait qu'elle lui fasse un strip, maintenant ?

Bah, c'est pas comme si elle alalit en mourir. Elle trouverait d'autres fringues sur le chemin, quite à assommer un glandu qui passerait par là.


« Comme vous voudrez, Messire ♪ »

Elle attendit qu'il eut posé ses fesses sur la couverture du lit à badalquins, pour commencer à se rapprocher un peu, son fameux sourire toujours au coin des lèvres. Bizarrement, les lumières de la pièce semblaient un peu tamisés, et l'effet sensuel s'en retrouvait accentué.

Elle commenca par passer ses mains doucement sur sa poitrine, pour venir titiller les boutons du haut, qui semblaient sur le point de craquer d'ailleurs. Ils s'enlevèrent sans problème, à la vitesse que la vachette leur imposa. Le tissu glissa, et le décolletté ne fut plus, laissant voir le haut des sous-vêtements de l'uniforme, alors que le tissu continuait de glisser, grâce à la merveilleuse loi physique que l'on appelle la pesanteur.

Alors que Cream s'amusait avec le soutien-gorge, le pincant entre ses doigts, faisant mine de le faire glisser, elle secoua ses hanches doucement, et ce maudit uniforme trop serré partit entièrement par terre. On voyait à présent la seconde partie de la lingerie noire, et la queue de vache de l'ushi qui frétillait dans l'air, come ses oreilles.

C'est alors que, lorsque l'adolescente se tournait pour s'amuser encore avec la ficelle du string, et aussi dévoiler ses fesses à l'air, qu'elle entendit le mot si tabou dans son esprit.

Esclave.

Ce mec était définitivement le contraire de ce qu'il avait voulu montrer. Mais alors... il n'était pas comme le type que Cream avait réussi à tromper. Il devait disposer d'un grade beaucoup plus haut, c'était sûr.

Et les portes, et la porte-fenêtre, devaient être fermés à clé depuis longtemps.

Malgré la panique qui commençait à monter en la terranide, ainsi que le lait dans ses seins, elle tenta de rejouer le jeu tout de même, au cas ou elle se tromperait. Et surtout pour ne pas péter un câble.

La ushi se rapprocha donc du lit, avant de s'y laisser tomber, arborant encore son affreux sourire de fille facile, pas aussi affreux que celui qui envahissait le visage de Don, quand même.

« C'est moi qui te fait autant d'effet que tu ne sais plus ce que tu dis ? »

Elle se releva un peu avant de mettre son derrière presque sous le nez de Don, essayant de contenir sa queue qui, quand elle remuait trop, annonçait son anxieté.

« C'est pas comme si tu me voulais pour autre chose que t'envoyer en l'air. »

Bah si, justement.
Et ça, Cream l'avait très bien compris. Mais mieux valait ne pas y penser.

Evidement qu'il avait dit ce qu'il était en train de dire, il n'était pas un marchant d'esclave pour rien. La petite vie tranquille de Cream allait bientôt devenir un enfer, et elle aurait tôt fait de finir par devenir une bonne petite esclave obeissante, il lui briserais son esprit si particulier, si unique, ça le changerais un peu, Cream avait beaucoup d'esprit, il pouvait le voir, et elle n'en serait que plus amusante a briser que les autres, elle résisterais surement plus longtemps, mais il avait confiance, des filles au tempérament bien plus brulant que celles ci avaient fini par lui manger dans la main au bout de quelques jours a peine, et si jamais elle résistait eh bien il pourrait toujours embaucher des gens pour la traire et la violer régulièrement jusqu'a ce qu'elle donne naissance a une fille qui serait surement plus coopérative qu'elle. Don ne faisait pas dans la dentelle. Cream faisait comme elle le voulait parce qu'il n'était pas là pour l'encadrer, une vie de soumission et de plaisir lui apprendrais sa place dans l'ordre social une bonne fois pour toutes. Après quoi elle serait aussi docile que la vache qu'elle était, une séduisante vachette qui allait lui rapporter gros...Il l'observa faire pendant qu'il méditait là dessus, et plusieurs choses lui vinrent a l'esprit.

Cream n'en était surement pas a son premier rapport sexuel, c'était pour ça qu'elle était si décontractée, elle ne pensait pas qu'il pourrait faire mieux que ses précédent amants, elle se trompait, il allait les surpasser en cruauté. Il ne pourrait pas utiliser le traumas de la perte de la viginité pour la dominer, et secondement elle faisait un strip tease comme une reine...Elle pourrait surement être bien plus qu'une simple vache a lait, il allait devoir la rentabiliser un peu plus...Et il voyait bien ce qu'il allait faire. Elle sembla tilter quand il l'appella esclave, les terranides étaient si faciles a lire, leurs oreilles et leur queue bougeaient anormalement quand ils étaient surpris, la nature était bien faite, les animaux n'avaient pas le bluff facile, les humains si. Don allait répondre mais s'abstient quand il se trouva nez a nez avec le derrière de Cream

Sans demander son reste, il remonta celui ci au niveau de sa bouche et écarta ses jambes avant de lécher son intimitée, introduisant sa langue en elle et la "buvant", il lança avec sarcasme après quelques coups de langue

"J'aimerais savoir lequel de ton lait est le meilleur, celui du bas, ou celui du haut..."

Il se dégagea et commença a se rapprocher de son oreille où il lui murmurra

"Et tu m'a très bien entendue..."

Le collier de fer se referma sur le cou de Cream

"Esclave."

Beaucoup de rencontres, en effet... Cream avait oublié depuis longtemps qui, quand et comment on l'avait défleuré. Elle avait connu des tas de mâles, humains ou terranides, et même ce qui lui avait semblé être un vampire sous ses baisers... et la nature de chacun variait. Un homme doux aujourd'hui, un plus violent le lendemain. Si la vachette passait ainsi de corps en corps, c'était pour son propre plaisir, bien entendu, mais aussi pour perfectionner ses connaissances en la matière. Elle espérait ainsi pouvoir satisfaire celui qu'on appelle couramment "le prince charmant".

Même si elle ne le montrait pas, Cream y croyait, à ce garçon parfait. C'était romantique et niais, mais plein de bons sens pour la terranide. Un homme qu'elle apprécierait, avec qui elle ferait connaissance, et qui n'exigerait pas de coucher trois jours après.
Elle connaissait suffisemment bien les hommes pour savoir que l'amour leur ôtait automatiquement leur bestialité naturelle. Un homme amoureux était un homme faible. Plus faible que sa femme.
C'était pour ça que la majorité n'espérait pas trouver le grand amour avant d'être suffisement mûr.

Finalement, l'homme était lâche. Et celui qui s'occupait de l'entrejambe de Cream à ce moment précis ne devait pas être différent. C'est pour cette raison qu'elle se laissait faire, confiante. Elle croyait l'avoir dans ses griffes, le dominer grâce à son apparence. Ses jambes s'écartèrent d'elles-mêmes, sous la pression, et la langue qui s'occupait de ses lèvres secrètes parcourait le terrain avec beaucoup d'expérience, ce qui ne faisait qu'accentuer les petits soupirs discrets de la terranides.

Mais ça s'arrêta d'un coup, et elle en fut étonnée. Depuis quand on arrêtait quelque chose de ce type avant d'avoir terminé ? Frustrée, Cream ouvrit ses yeux pour adresser un regard chargé de reproche à Don... mais elle n'en eut pas le temps.

La sensation du métal froid sur sa peau brûlante de désir, figea la ushi comme une statue antique. Ses yeux s'écarquillèrent, en s'apercevant qu'elle ne pouvait plus continuer son petit manège.
Elle en fut plus que frustrée, elle en fut révoltée, en colère contre elle-même, et contre le monde entier. Son beau visage plein de rage se tourna vers celui du marchand d'esclaves, à quelques centimètres du sien.

« Espèce de... »

Elle ne trouva pas de terme assez fort pour désigner l'individu qui se tenait derrière elle, et qui venait de goûter sa saveur, en toute impunité, avant de lui passer ce maudit collier, comme à un animal. Les mains de la vachette attrapèrent le collier par réflexe, tirant de toutes ses forces pour essayer de l'enlever. Mais malgré sa constitution robuste, et sa force supèrieure à celle d'une terranide normale, le métal ne bougea pas, et elle ne parvint qu'à se faire saigner les doigts.

Sous l'effet d'une soudaine angoisse, l'air commenca à manquer. Cream n'osait même plus se retourner, par peur de perdre tout sang-froid et faire n'importe quoi.

Don se contenta de sourire d'un air mauvais, a présent Cream lui appartenait, elle n'irait donc pas plus loin, mais elle allait être soulagée de savoir qu'elle allait être traitée avec les égards du a un esclave de luxe. Si elle avait été entre les mains d'un autre marchand d'esclave ça ferait longtemps qu'il serait déjà en train de la prendre, peut être même sur cette même place du marché où ils s'étaient rencontré, et que son dos serait couvert de coups de fouets pour ne pas avoir obeis plus vite, qu'en plus de son collier elle porterais de lourdes chaines encombrantes qui lui laboureraient la chair et crerais des marques rouges qui en plus de donner un effet inesthétique allait tout simplement finir par saigner au bout d'un moment. Ici on était aux petits soins pour elle, elle n'avait déjà qu'un collier, et celui ci n'était pas trop serré, juste ce qu'il fallait pour faire mal sans pour autant abimer la précieuse marchandise, et bientôt elle ne voudrais plus se débattre. Pas après ce qu'il allait lui faire, elle avait certes eu beaucoup d'amants mais il finirait par la faire craquer d'une façon ou d'une autre et après quoi elle ne serait plus qu'un animal soumis a sa volonté et qui obeirais, de peur de se voir punir par son maître, l'esclavagiste regarda un peu Cream se débattre et lui lança a l'oreille

"Que se passe t'il ? Tu panique maintenant? Ca ne sert a rien, tu va abimer ton superbe corps."

Fit Don avec un air mauvais alors que ses mains caressaient les cuisses de Cream, impatient d'en venir au fait, il lui flatta un peu la fesse droite avant de lui lancer

"Et maintenant tu es a moi. Tu es ma possession, ma chose. A quattre pattes, comme la vache que tu es, tu va me rendre riche."

Fit L'homme alors qu'il caressait son intimité de sa main pour la faire gemir et soupesait un de ses enormes seins avec gourmandise. Don attendait ce moment depuis tellement longtemps, couché sur son dos, alors que sa bouche léchait son oreille se mettait a la mordre.

"Et comme si ça ne suffisait pas tu es belle a en mourir..."

Fit il alors qu'il pressait un des seins de Cream, impatient de voir ce que celà allait donner.

"Qu'a tu as dire a ton maître a présent, terranide ?"

Il s'était mis à la toucher, avec une force de plus en plus intime, et la vachette voyait à présent ça d'un tout autre oeil... ce n'était plus un simple baiseur de bas étage. C'était une véritable menace. La colère qu'éprouvait Cream en voyant ce visage prés d'elle, ces mains qui caressait sa peau, surpassait une quelconque peur encore enfouie en elle. Elle cessa de s'acharner sur son collier, tandis qu'elle sentait Don la faire se mettre à quatre pattes de force. Comme un bovin qu'on s'apprêtait à traire. Ou à abattre...

Mais il ne l'abattrait pas. Car d'après ce que l'adolescente avait compris, elle valait plus cher qu'une autre espèce de... terranide, si le terme était bien celui-là. Mais ce n'était jamais qu'un terme. Elle était humaine, humaine de sa chair jusqu'à son coeur et son esprit, elle le savait très bien. Et ce n'était pas cet abruti qui flattait son derrière qui allait la faire changer d'avis sur le sujet.

Selon Cream, il était complètement fou, et essayait de l'embobiner pour la garder auprès de lui. Quel serait, en effet, l'interêt de la vendre, si elle était si précieuse ? Tant que cet homme penserait avant tout à son propre plaisir, il montrerait de la stupidité en parlant esclavage et vente.

Elle allait lui déballer cette petite théorie avec narcissisme, comme elle l'aurait fait en temps normal, mais c’était sans compter les caresses qui descendait de plus en plus bas. Elles eurent l’effet voulu, mais le gémissement de la terranide s'arrêta juste à temps, quelque part dans sa gorge. La sueur coulait le long de son visage, alors qu'elle se retenait de gémir, ouvrant les lèvres sans qu'aucun son n'en sorte.

Il était primordial de résister. Sinon, il allait gagner.

Malgré tout, elle ne pouvait retenir le lait qui montait le long de ses tétons, et finit par descendre sous la pression de la main de Don. Quelques gouttes jaillirent, s'échouèrent sur le sein à présent dénué de son soutien-gorge, pour partir dans une course lente sur le ventre de Cream.

Ses yeux caché par une frange épaisse et blonde, celle-ci se rendit compte de la réaction de son corps, et se sentit découragé.

Il avait raison sur un point, finalement. Elle n'était pas humaine. Ele était une terranide. Une femme aux attributs de bête.
Mais elle était beaucoup plus femme que bête.

« Je n'ai rien à te dire... »

Sa réplique la fit sourire sous la sueur et la honte, et elle reprit légèrement contenance, retenant toujours ses gémissements sous la main baladeuse.

Elle n'avait toujours pas peur.

« ...l'humain. »

C'était a lui de la passer d'humaine a bête, c'était a lui de la rappeller a ses instincts primaires qui étaient de lui obeir, comme tout bon Terranide qu'elle était il la pousserait a se soumettre, les animaux sauvages ne méttaient pas longtemps a ploire sous sa volonté, il allait la briser, au cours de cet acte et au cours de ceux qui allaient suivre, il avait joué avec elle et son coeur et maintenant qu'il le tenait au creux de sa main il allait l'éclater.

 Chaque humain avait une santé mentale qu'il tentait de préserver. Plus celui ci était intelligent, plus les actes dégradant qu'il allait lui infliger allait la miner car elle pourrait en comprendre toute l'étendue de la perversité, et moins celui ci était intelligent, plus le mécanisme primaire de l'acte reprenait ses droits. Au final il était gagnant dans tous les cas.

L'humaine se soumettrait, et l'animale serait disciplinée. Tout ce qu'il avait a faire...C'était agir comme d'habitude, il était né pour faire ce métier, et cette petite allait accroitre encore plus sa fortune. Tout ce qu'il aurait a faire, c'est l'entretenir régulièrement, avec de la chance elle allait lui donner des gamines rapidement qu'il pourrait atteler a coté de sa mère pendant que la machine a traire absorberais leur lait.

C'était ça le triste destin qui allait attendre Cream. Mais plus Don y pensait, plus les autres talents naturels de Cream montrait qu'elle ne méritait pas d'être juste attachée a une machine a traire, il devait trouver un moyen de mettre ses talents a profit, ainsi il aurait surement des enfants plus rapidement. L'homme a la large musculature retourna Cream sur le sol alors qu'il lechait les gouttes de lait sur son ventre, descendant doucement vers son entrejambe, il lui lança avec un ton plein de sarcasme.

"Vraiment ? Tu devrais pourtant, puisque tu va passer le reste de ta vie a mon service, tu n'aura pas beaucoup de discussion..."

Fit l'esclavagiste alors qu'il léchait l'entrejambe de Cream, il avait bien vu comment elle résistait a ses assauts, si ça se trouve il la lobotomiserais avant même qu'il ne l'aie prise...S'appliquant, il allait la faire craquer ou il n'était pas le plus grand marchand d'esclave de Nexus.

Cream n'était peut-être pas la terranide la plus brillante du monde, mais elle était assez maligne pour comprendre que cet homme était l'un des plus cruels qu'elle ait jamais rencontré. Un véritable modèle de bestialité. Pour lui, c'était sûrement un synonyme de masculinité. Mais, au fond, quelque soit la race, l'homme avait gardé son côté bête. Il le prouvait chaque fois qu'il faisait l'amour, avec des coups de reins violents, et des grognements... Le culte de l'amour était resté le même depuis des millénaires.

Et la terranide n'aurait pas aimé qu'il en soit autrement. Sauf... Ce coup-ci.

" Va te faire voir, avec tes discours moralisateurs. Je n'y crois pas une seule seconde. "

La vérité telle qu'elle ne l'aurait pas impressionné il y a quelques heures, mais maintenant, la femme-vache préférait tout nier en bloc. Elle pourrait reprendre conscience quand elle serait sorti d'ici.
Quand ce putain de collier aurait fini de labourer son cou...

" ...!!! "

En se couvrant la bouche avec sa main, Cream évita le soupir de passer ses lèvres. Elle essayait vainement de refermer ses cuisses, dont la peau se couvrait doucement de lait et de sueur. Le lait continuait de couler de sa poitrine, les glandes excitées par les émotions de l'adolescente : la colère... L'excitation forcée... Et une pointe de crainte, dés à présent.

Instinctivement, la terranide avait glissé son autre main sur un de ses seins, pour le malaxer doucement. Le puissant désir qui grandissait en Cream ne pouvait être calmé qu'ainsi. Elle sentait cette langue visqueuse et humide se glisser entre ses lèvres intimes, tracer un parcours narquois en insistant sur les parties sensibles, s'insinuer dans l'entrée de son vagin. Ce cunnilingus presque parfait -il y manquait la douceur- faisait divaguer la vachette, et l'humidité qui l'envahissait lui donnait envie de hurler.

Don s'amusait un peu pour le moment, Cream semblait être très réactive a ses traitements, un mauvais point pour elle assurement si elle comptait lui résister. En tout cas ce n'était pas ce qu'il appellait une résistance active, sa tête avait l'air de vouloir, pour le reste de son corps eh bien sa poitrine devait lui faire mal tellement celle ci était gorgée de lait en ce moment, et quand a lui il allait avoir du mal a penser a s'occuper d'elle et allait surement d'une minute a l'autre s'occuper de lui. Se faire plaisir avait toujours été la priorité N°1 dans les actes, a chaque fois que Don ajoutait une nouvelle esclave a sa collection il s'efforçait d'en tirer tout le sel et la laissait ensuite a la vente une fois que l'esprit était brisé. Lui même n'était pas un grand consommateur de ses marchandises, une fois que celles ci étaient completement dressées il en prenait parfois quelques unes pour s'occuper de lui quand il s'ennuyait, mais les relations avec ses esclaves déjà dominés l'ennuyait au plus haut point. Quel interet ? Elles n'étaient plus que des marionettes libre d'obeir a ses ordres. Il pouvait leur demander ce qu'il voulait, il l'aurait. Elles n'étaient plus que des pantins qui obeissaient a toutes ses volontés. Et si il s'agissait de jouet de choix pour la noblesse, il n'aimait pas ne pas rencontrer de résistance.

En réalité il ne se sentait bien vivant qu'une fois qu'il avait réussi a briser quelqu'un, il y avait des gens comme ça, certains atteignent la félicité en aidant son prochain, en réalisant des oeuvres artistiques ou en se consacrant a une vie pieuse. Don lui aimait voir des femmes saines ploire sous ses assauts pour ne finalement devenir plus que des loques qu'il revendait usagées, il était un tigre, dévorant les morceaux favoris de sa proie et laissant les morceaux aux charognards qui se delectaient simplement des restes. Prédateur, c'est ce qu'il était, la chasse, c'était ce qu'il préférait. Un fauve, ni plus ni moins, attaquant un herbivore sans défense et en l'entrainant jusqu'a sa tanière. Parfois il s'attaquait a des herbivores capables de se défendres, et pour ça il se camouflait pour frapper au moment où on l'attendrais le moins. Parfois il s'attaquait a des bêtes bien plus fortes que lui, mais grâce a la ruse il arrivait également a les dévorer. Cream n'avait pas idée de combien d'entitées magiques, maléfiques ou bénéfiques surpuissantes avaient cru affronter un simple humain et combien avaient fini a la vente aux enchère. Ce n'était pas pour rien qu'il était le plus grand prince marchand de Nexus, rares étaient les chasseurs qui pouvaient se vanter de ramener des espers de grande puissance ou des anges a leur stand.

"Inutile de résister je t'imagine très bien crier de toute façon. Pourquoi te retenir ? Tout celà est naturel, il est naturel que ton maître sache comment te rendre heureuse, après tout tu es une terranide, tu es née pour être une esclave"

Lança l'esclavagiste alors que sa langue remontait jusqu'au niveau de son ventre avant de se retirer, il saisit Cream par la taille et la serra contre lui.

"Regarde toi, incapable de me résister, incapable de résister a ta nature profonde, tu es un animal, tu es faite pour être domestiquée."

Lança Don en léchant la nuque de Cream de sa langue rapeuse et en lui mordillant l'oreille, sa main passa sous son aisselle et saisit un de ses larges seins qu'il se mit a malaxer doucement, ne voulant pas faire sortir le lait pas tout de suite...

Il se pencha alors par dessus son épaule et approcha l'extrémité du sein de sa bouche pour le sucer, le pressant également pour que le liquide sorte dans sa bouche, il suçait le sein, parfois il le mordillait un peu. le tout pour provoquer un peu plus la folie chez Cream. Combien de temps avant que celle ci ne craque?

Cream aurait préféré se jeter du haut du toit de son lycée en culotte que de l'admettre, mais le traitement de Don lui paraissait moins culotté qu'il n'avait paru aux autres filles dont il s'était occupé. Elle avait été habitué à tellement de situations dans ce plan-là, dans sa vie sexuelle, que celle-là ne lui paraissait pas différente des autres... son esprit ne digérait pas le fait qu'elle se retrouverait attaché à une machine à traire avant la fin de la journée. En gros, elle sous-estimait largement Don, et pensait, elle aussi, à son plaisir avant tout. Ils avaient ça en commun, sans être pareils. La vachette n'irait jamais aussi loin dans les extrêmes. Elle était chasseuse de proies, vigoureuses et vivifiantes, mais un chasseur trouvait toujours plus fort que soi.

Le contact qu'il lui procurait lui faisait donc du bien. Quoiqu'elle puisse en dire, sa résistance n'était pas efficace.
Elle aimait trop le sexe pour ça.

« Si... je suis une esclave... alors toi, tu es un monstre. »

Un véritable monstre, encore plus inhumain que celles qu'il qualifiait de bête.

Elle avait arrêté de se couvrir la bouche, et haletait, les yeux fermés et crispés. La terranide n'avait pas l'intention de lui faire plaisir en commençant à gémir comme un animal. Ça ne ferait que renforcer ses dires. Qui voudrait de ça ?

« Nnhg... »

Elle serra les dents en sentant la langue parcourir son corps, de son ventre à sa nuque, pressant un de ses seins. Il se disait sûrement que ce lait, SON lait, lui appartiendrait bientôt... quel égoïsme. Même s'il ne comptait rien en faire, c'était tout de même à elle. Sa propriété. Le lait avec lequel elle nourrirait un enfant, un de ces jours... ou peut-être plutôt qu'elle ne le pensait, visiblement.
Finissant d'haleter sous les actions de Don sur son sein, elle finit par lâcher la première chose qui lui venait à l'esprit.

« Ferme-la, et baise-moi. »

Cette simple phrase marquait l'armistice : ses défenses seraient vaines, de toutes façons. Mais avec ses paroles, la vachette pouvait peut-être espérer en finir vite. Mais il y en avait un qui ne semblait pas être d'accord là-dessus. Surtout que la phrase ressemblait à un ordre, de la part de Cream.

Elle continuait quand même de lui saisir les cheveux, pour l'écarter de sa poitrine, en serrant les dents. Futile résistance. Mais pas la dernière, si jamais il ne l'écoutait pas.

L'esclavagiste se régalait du bon lait fourni par Cream et qui, il en était sur, devait en être très fier, il avait un gout unique et plaisant, il en prendrais tous les matins désormais. C'était une bonne façon de commencer son ranch. Don éclata de rire a la réponse de Cream, comme si il s'agissait d'une bonne blague qu'il se ferait un plaisir de lui raconter un peu plus tard pour voir sa réaction. L'homme en lacha le sein de Cream alors qu'il passait a nouveau sa langue le long de son épaule, de son cou puis il lui moridillait l'oreille doucement avant de lui murmurrer avec tout le sadisme dont il était capable.

"Un monstre ?! Décidement tu ne connais pas ton bonheur, je t'ai évité l'humiliation publique et les coups de fouet, les membres tranchés et les punition pour ton insolence ! Au contraire, je suis le vendeur le plus humain de Nexus, mais je te pardonne ton esprit d'animal est embrumé par ton refus de voir la réalité en face, et je suis un homme après tout, je suis la définition vivante du bien, la preuve : je ne te demande même pas d'être reconnaissante de donner un sens a ta vie, trois repas par jour et un toit. Vois a quel point je suis bon. Ne devrais tu pas me remercier pour ce que je t'ai offert ? Remercie moi."

Ordonna t'il avant de claquer sa fesse droite comme on eperonne une bête pour qu'elle obeisse. aux ordres. Elle finit néanmoins par lui demander d'aller plus loin, l'esclavagiste leva un sourcil perplexe

"Oh?"

Fit il avec douceur alors qu'il posait Cream sur le lit derrière lui et qu'il portait les mains a son pantalon, le faisant tomber et présentant son membre imposant a la vache

"Occupe toi de moi avec ta bouche et je penserais a y consentir. Bien sur si tu me mords il va sans dire que je te tords le cou"

Fit il alors qu'il tirait sur sa chaine d'une main pour approcher le visage de cream de lui et que de l'autre il lui appuyait son extrémité contre la joue

"Allez, prend le entre tes seins."

Il l'énervait, à toujours tenir des discours aussi moralisateurs. Il se prenait sûrement pour son père, un géniteur au service de son bien-être... sans doute tenait-il les mêmes propos à toutes celles qui étaient embobinés. Et de plus, en lui tenant de tels propos, il ravivait comme une flamme le souvenir de la place du marché, de toutes ces chaînes et de ce qui y était enchaîné.

Sous un choc soudain, deux grosses perles coulèrent sur le visage d'habitude moqueur et rieur de Cream. Elle les essuya rapidement pour éviter que Don ne les voit, et le regarda avec un profond dégoût.

« Tu ne connais même pas les vraies valeurs de la vie... c'est pitoyable. La liberté est bien plus précieuses que tout ce que tu viens de citer... Ah ! »

Elle tressaillit en sentant la main s'abattre sur sa fesse droite. Ses cuisses tremblèrent quelques instants, le reste de son corps suivit. Elle se sentit ensuite soulevé, posé sur une surface plus douce, mais elle n'en avait vraiment que faire : rien ne risquait d'être doux dans les prochaines minutes.

La talle de son membre ne l'impressionna pas : elle esquissa même un léger sourire, posant ses yeux verts, semblables à des joyaux, dans ceux de Don.

« J'ai déjà vu mieux, tu sais. »

Simple petite remarque, simple petite pique. En étant forcé d'avancer, Cream regarde de nouveau ce membre offert, prêt, devant sa bouche. Une idée lui vint à l'esprit, mais elle fut contré par les propos de Don. Pas question de le mordre donc.
Par contre...

Elle posa doucement le sexe du colosse entre la naissance de ses seins, pour commencer à le masser doucement, entre ces deux grosses masses qui plaisait tant à tout les hommes qu'elle avait croisé... Sa langue se posa sur la peau tendue et chaude, pour l'enrober de salive. Elle le prit bien vite en bouche sans que l'on le lui demande, ne fermant pas les yeux, ne quittant pas non plus ceux de Don du regard. Sa bouche s'était transformée en caverne chaude et humide, uniquement pour le bon plaisir de cette saleté qui en profitait juste au dessus d'elle...

Finalement, après quelques minutes, la vachette se décida à tenter quelque chose de moins plaisant... sa main glissa vers la base du sexe de Don, et se ongles s'enfoncèrent dans sa peau, pas entièrement, mais juste assez pour que ce soit désagréable au goût de l'homme...
Elle ne comptait pas se laisser faire aussi facilement. Titiller sa patience, voilà ce qu'elle comptait faire. Si il la frappait, elle pourrait toujours lui rappeler que son lait pourrait tourner.

Don haussa un sourcil circonspect alors que Cream continuait a opposer de la résistance, celà ne durerai surement qu'un temps mais tant qu'a faire il allait s'occuper de son carractère rebelle. Après tout Cream ne l'avait pas juste interessée pour son corps, qui était un pré-requis des plus souhaitables, mais également pour sa personnalité si particulière qui lui permettait de ne lui resister encore en ce moment là. Si elle tenait, c'était par sa force de carractère, car en elle l'humaine et l'animale étaient en train de s'affronter pour savoir laquelle devrais controler ce corps, pleurait elle déjà ? Il l'avait déjà cassée ? Apparement pas parce qu'elle continuait a lui répondre malgré ça. Don sourit. Elle continuait a résister ? Mais ils n'en étaient qu'au début et la fin était encore loins devant elle. Don se demandait si elle tiendrais toute la séance où si il devait attendre de lui exposer sa nouvelle vie pour qu'elle le comprenne ?

"Et pourtant, et pourtant, tu fond entre mes doigts, si tu tiens a ta liberté pourquoi ne pas me résister ? La vérité, c'est que tu préfère le sort que je te reserve, tu es simplement trop fière pour l'admettre, mais je vais remedier a ça, ne t'en fais pas."

Vint alors le commentaire, il éclata de rire a cette remarque et répondit

"Si tu savais le nombre de personnes qui m'a déjà dis ça. Mais celà ne m'importe pas, dans ton cas tu n'aura plus vraiment l'occasion de voir mieux, alors je te conseille de t'y habituer."

Elle se mit alors a le masser tout en s'occupant de lui avec sa langue et Don soupira, il n'y avait rien de mieux que ça, et la large poitrine de Cream ne rendait que le traitement meilleur, poussant un soupir de satisfaction, Don se laissa faire et fixa le regard de la vache, pleine de rebellion, elle attendait surement le moment idéal pour le mordre, mais il n'allait pas lui laisser le temps de faire ça, aussi lorsqu'il sentit sa main sur le bas de son entrejambe il saisit brusquement Cream par les cornes

"C'est pratique ça."

Fit il alors qu'il utilisait les cornes pour s'enfoncer encore plus profondement dans la bouche, etouffant presque la terranide, profitant de la surprise pour accellerer les coups de reins dans sa bouche.

*Il faut que je me retienne de venir*

Alors qu'il se sentait partir il se dégagea de la bouche de cream, ne laissant couler au fond de sa gorge qu'un filet de semence alors qu'il se reculait