Servante chaton dévouée à la maîtresse des poupées [Evangeline et Echo]

Karuta n’avait pas été chez beaucoup de maîtres et de maîtresses depuis qu’elle était devenue esclave, mais depuis qu’elle était arrivée chez Evangeline, la maîtresse des poupées, elle n’avait plus besoin ni envie de partir. Sa nouvelle maîtresse était une femme merveilleuse, autoritaire et manipulatrice, qui avait su la toucher droit au cœur, et lui faire découvrir les plaisirs de la chair. Elle passa sa première nuit au manoir dans le lit de sa maîtresse, lui servant de peluche contre les cauchemars. Après ça, elle était passée au dressage animalier entre les mains des serviteurs d’Evangeline, qui lui apprirent à se comporter comme un vrai chat en la faisant vivre comme tel, mangeant dans une écuelle, dormant dans un panier, recevant des caresses et apprenant à miauler et à ronronner avec réalisme. Elle eut la chance d’avoir un dressage doux et patient, là où certains esclaves étaient brisés physiquement et émotionnellement. Et maintenant elle était un parfait petit chaton, capable de changer de l’état d’humain à celui d’animal en une fraction de seconde. Elle avait appris à faire son travail tout en profitant des différents plaisirs offerts par le manoir : les filles attachées dans la salle de bain, se détendre dans son rôle de chaton… Mais surtout, coucher avec sa maîtresse.

La journée débutait à peine et Karuta assurait le service du matin, dépoussiérant et astiquant le mobilier avec rigueur. Rien ne pouvait la distraire de son travail, hormis la présence d’Evangeline, qu’elle s’était mise à aduler comme une déesse. Et justement, alors qu’elle faisait le ménage dans l’entrée, sa maîtresse arriva en descendant par le grand escalier. Elle interrompit son ménage pour s’incliner sur son passage, et sa maîtresse demanda alors à jouer avec son petite chaton. Dans la seconde qui suivit, Karuta posa son plumeau et se mit à quatre pattes pour aller se frotter contre la cuisse de la dame en miaulant et ronronnant.

« Nyaaa… mmrraaww… »

Sa tenue de maid était si courte que, une fois à quatre pattes, on pouvait voir sa culotte, une fine culotte en dentelle blanche faite pour donner envie. Un cadeau de sa maîtresse, qui la voulait la plus désirable possible.

Evangeline profitait d’avoir peu de travail dans la gestion de son territoire pour faire le tour de ses esclave et voir le travail qu’il restait à faire. Elle avait fait son tour terminant par ses favorites du moment. Elle venait d’attaché Rosa sa démone à un mur avec des vibromasseurs dans ses orifices. Une punition pour son comportement envers une poupée gardiennes qu’elle avait refusé de servir. Maintenant c’était au tour de la dernière Kurata. Une esclaves ressente qu’il avait fallu dressé et éduqué surtout dans le sexe et son souhait d’être animalisé.

Accompagné de ses deux filles adoptives Marie et Marion, Evangeline arriva dans le hall où se trouvait justement Karuta occupé au ménage.

-Bonjour Karuta, viens là mon petit chaton.

Elle regarda cette dernier posé son matériel et se mettre alors à quatre patte  et venir se frotté dans ses jambes. Son apprentissage c’était montré efficace, car elle imitait très bien le chat. Marie se pencha pour venir lui mettre un sert tête avec des oreilles de chat, alors Marion sa jumelle, viens profiter pour lui relever sa robe. Elle profita de l’ouverture arrière qu’offrait sa culotte pour y rentré, un peu de lubrifiant et elle glissa une série de perle anal qui permettait de lui faire tenir une queue féline. Les deux sœur se relevèrent et reviens se mettre prés de leur mère adoptive.

-Suis nous ma petite chatte.

Evangeline s’avança vers la porte d’entrée et sortie avec le petit groupe de jeune fille. Il y avait un carrosse qui l’attentait avec deux cavaliers. Un homme impressionnant qui faisait guerrier et une femme sombre qui semblait plus fragile. Tous les deux étaient des poupées gardienne qui était là pour assurer leur protection. Il arrivait qu’Evangeline fasse une tournée de son territoire, pour voir de plus près ce qu’il y avait encore à faire et l’avancé de ses projet.

-Tu vas venir avec nous, ma petite chatte. On va en profiter pour faire le point sur ton éducation et tes préférences. Aller monte.

Evangeline s’installa sur une banquette, ses filles sur celle d’en face et Karuta à leur pied. Une fois tout le monde monté, le carrosse commença à traverser l’aller du manoir.

Karuta ronronnait en se frottant contre les cuisses de sa maîtresse, et se laissa docilement faire quand Marie et Marion, ses filles adoptives, vinrent lui ajouter quelques accessoires pour parfaire son rôle : un serre-tête avec des oreilles de chat et une queue de chat tenant grâce à un plug anal lubrifié. La sensation de se faire insérer des choses dans la rondelle lui était particulièrement agréable.

« Nyaaannn ! »

Une fois équipée, elle suivit le groupe jusqu’à l’entrée du manoir, où attendaient un carrosse et deux poupées gardiennes. Evangeline allait procéder à une inspection de son domaine, et elle voulait que son chaton soit du voyage.

« Nya nya. »

Karuta monta dans le carrosse et se coucha sur le sol tandis que ses maîtresses prirent place sur les banquettes. L’engin entama sa course, et c’était parti pour rejoindre la vallée d’Ancarla. Sur le trajet, Evangeline donna l’autorisation à sa soumise de parler pour lui dire comment elle se sentait depuis son dressage.

« Je me sens bien, très bien même. Pouvoir être un animal est un bonheur pour moi. Je reçois des caresses, on joue avec moi, et parfois je peux même faire l’amour sous cette forme. Et j’adore tout ça. »

La jeune esclave vint ronronner contre les pieds de sa maîtresse pour recevoir de l’affection, car c’était bien là tout ce qu’il lui fallait pour être heureuse : qu’on reconnaisse ses qualités et qu’on lui donne des câlins en récompense. Le reste lui importait peu.

En un éclair, le carrosse arriva à destination, et tout le monde descendit. Karuta, toujours à quatre pattes sur le sol, leva les yeux et fut émerveillé. Après tout, c’était la première fois depuis son arrivée dans la région qu’elle allait visiter ce domaine, et c’était encore meilleur parce qu’elle allait le faire avec sa maîtresse et ses deux filles adoptives.

Forteresse Nord-Ouest :

Le trajet pour rejoindre la forteresse n’était pas très longs en soit en peine une heure. Pendant le trajet Marie et Marion, s’amusaient avec Karuta, la caressant, l’excitant, la faisant lécher leurs pieds. Evangeline se contentait de les regardés de temps en temps, elle était surtout concentré sur le paysage qu’elles traverser. L’intérêt du voyage était quand même de voir l’état de son territoire. Arrivé à la forteresse, il était déjà midi et le soleil éclairait parfaitement la vallée. La forteresse était l’une des entrées et se trouvant en haut des montages, elle offrait une vue parfaite sur tout le territoire. On voyait parfaitement la rivière qui la traversait, la grande ville en son centre avec le manoir un peu plus loin en hauteur, on pouvait aussi apercevoir plusieurs villages plutôt récents. La vallée n’était pas immense, mais avait une protection naturelle par la chaine de montagne et les fortifications qu’avait fait construire Evangeline. Envahir se territoire n’était pas à la portée de n’importe quel puissance.

Une fois arrivé à la forteresse Nord-ouest, Evangeline descendit avec ses filles et son chaton. Elle lui laissa le loisir d’observé son territoire avec Marie et Marion qui lui décrivait ce qu’elles voyaient. Evangeline elle regarda plutôt la forteresse. C’était un bâtiment construit entre un passage creusé naturellement dans la montagne. Un peu à l’image d’un barrage, la route était ouverte par deux immense porte, il y avait en permanence un bataillon qui veiller à surveiller qui rentrait sur le territoire diriger par deux poupées gardiennes. Plusieurs soldat était au garde à vous depuis leur arrivé, elle leur fit signe de repartir au travail.

-Alors Karuta, que penses-tu de mon territoire ? N’ai-je pas raison de le protéger et de le développer comme je le fais ?

Elle se rapprochât d’elle et lui fit un sourire. C’était surement la première fois qu’elle avait le loisir de le voir aussi bien, à son arrivé elle n’avait même surement rien put voir.

-Rentrons à l’intérieur, si marcher à quatre patte te fait trop mal, tu peux te remettre debout.

Après tout ici c’était purement de la roche et l’intérieur de la forteresse n’était pas prévu pour le confort, mais le côté pratique militaire. Evangeline suivit des filles se dirigea vers un bureau plutôt sombre par le peu d’ouverture sur le jour et éclairé que de quelque flambeau.

En bon petit chaton, Karuta restait à quatre pattes sur le sol, même si ça lui faisait un peu mal, elle devait jouer son rôle au mieux. Marie et Marion lui décrivaient ce qu'elle voyait autour d'elle, et elle observait sans en perdre une miette. A son arrivée ici, quelques mois auparavant, elle avait fait tout le trajet dans une calèche aux vitres foncées, et n'avait donc rien vu du paysage. Maintenant, elle pouvait enfin admirer le domaine de sa maîtresse, contempler sa grandeur et sa beauté. On lui demanda même son avis sur ce territoire.

« C'est magnifique. L'un des plus beaux endroits que j'ai vu de ma vie. Et il doit être très bien protégé grâce à vous. »

La maid ne savait pas parler autrement à Evangeline qu'en la couvrant de compliments. Pour elle, ce n'était même pas de la flatterie, juste la vérité.

Le petit groupe rentra à l'intérieur de la forteresse qu'il fallait inspecter, Karuta eut le droit de se remettre à marcher debout pour ne pas se faire trop mal. Elle entra après ses maîtresses dans un bureau assez sombre, presque sans ouverture pour laisser entrer la lumière, juste éclairée par quelques chandelles. Evangeline s'installa à ce bureau pour travailler, la maid eut pour consigne de rester tranquille pour le moment. Elle se coucha donc au sol, près de sa maîtresse, laissant ses filles adoptives jouer avec elle.

Karuta n'était qu'une simple servante, elle ne comprenait pas la portée significative du travail accompli par Evangeline pour gérer Ancarla. Tout ça lui passait au-dessus de la tête, elle n'était là que pour suivre les consignes. Et ça lui importait peu de devoir attendre ici à ne rien faire pendant des heures, si c'était ce qu'on lui demandait, elle le ferait. De même, si on lui demandait aide ou son avis sur une question, elle aiderait de son mieux, même si elle ne voyait pas à quoi elle pourrait bien être utile.

Evangeline était assise au bureau et commençait à lire différent papier et à recevoir différent membre du personnelle de la forteresse. Pendant qu’elle s’occupait de ça, Marie et Marion jouait avec Karuta comme un vrai chat. Au bout d’un moment les deux commençait à trouver le temps un peu long, elles demandèrent alors à Karuta de les suivre pour aller dans chambres. Evangeline les laissa sortir après tout elle en avait pour un petit moment.

Arrivé dans la chambre en question, chacune s’assirent sur le lit les jambes pendantes.

-Un chat, ça sait utiliser ça langue.

-Tu sais bien lécher les pieds, maintenant montre nous comment tu sais lécher les minous.

Chacune soulevèrent légèrement leur robe montrant d’élégant dessous blanc. Les deux leur fait un petit sourire cherchant à l’attiré à elle ,curieuse voir par qui elle vas commencé.

Karuta aurait pu rester à sa place durant des heures, ayant juste besoin de se dégourdir les jambes de temps en temps pour ne pas avoir de courbatures sur ce sol en pierre, mais Marie et Marion ne furent pas aussi patientes. Elles entraînèrent la maid jusqu’à une chambre, et s’installèrent sur le lit avant de lui demander d’utiliser sa langue sur leurs minous.

« Tout de suite maîtresses. »

Évidemment, la demoiselle n’allait pas se faire prier, mais par où commencer ? Chacune de ses jeunes filles était une beauté, affichant une belle culotte blanche sous le bas de leurs robes, et leur sourire était très attirant. La demoiselle hésita un moment entre les deux, puis décida d’approcher de Marion et de passer sa tête sous sa robe. Face à son intimité couverte par le tissu finement travaillé du sous-vêtement, elle se remémora ses leçons de sexe pour donner le plus de plaisir possible.

Karuta commença par attaquer le minou de Marion alors qu’elle portait encore sa culotte pour attiser son plaisir sans pour autant le précipiter. C’était la première leçon qu’on lui avait enseigné : donner du plaisir sur la durée et ne pas presser les choses. Elle se régalait des couinements sonores de la demoiselle, et cela l’excitait à son tour. De petites gouttes de cyprine commencèrent à tomber de sa culotte, et elle glissa ses mains contre les cuisses de sa jeune maîtresse pour caresser sa peau, lui procurant de délicieux frissons. Seconde leçon : toujours attaquer sous plusieurs fronts en même temps.

Après quelques minutes, Karuta décida de passer à la vitesse supérieure, et retira la culotte de Marion pour aller lécher son minou à même la peau. En même temps, ses mains allèrent roder près du postérieur de la femme pour presser ses belles fesses. Elle s’était souvenue qu’Evangeline avait aimé se faire tripoter les fesses, ses filles allaient peut-être l’aimer aussi. Troisième leçon : faire monter le plaisir graduellement mais passionnément, pour que le partenaire devienne accroc.

Les deux sœurs regardait Karuta leur faire face attendant de voir sur laquelle des deux jumelles son choix allait se porté. Après une hésitation, elle s’approcha s’occupé de Marion. Cette dernière la laissa donc faire, mais remarquant qu’elle ne s’occupait que d’elle, elle se tourna vers Marie et l’embrassa glissant une main sous sa robe. Pour elle il était hors de question que sa sœur n’est pas droit à son propre plaisir également. Forcément Marie était curieuse de savoir ce que la maid était capable de faire. Elle détacha donc les lèvres de celle de sa sœur.

-Elle fait ça bien ?

-Hum oui, il faut que tu y goute aussi. Occupe-toi donc de ma sœur maintenant.

Pour ne pas laisser refroidir Marion, Marie remplaça la langue de la servante par ses doigts. Les deux sœurs avait l’habitude de prendre du plaisir l’une avec l’autre et se connaissait par cœur, seul leur mère était capable de faire mieux que sa sœur pour leur fournir du plaisir. Marie laissa donc Kurata s’occupé aussi d’elle.

-C’est vrais qu’elle est un jolie chaton, je comprends pourquoi Mère la classe dans ses favorite du moment. Tu es bien chanceuse ça tu le sais ?

Après un petit moment aussi à profiter de la langue de la chatte, les deux se regardèrent une idée en tête.

- Petite chatte, déshabille-toi, garde juste tes accessoires de chat, et viens de coucher sur le lit.

Karuta faisait un travail merveilleux sur Marion, elle l’avoua elle-même, mais très vite, la sœur voulut avoir droit au même traitement, Du coup la maid changea de place pour aller lécher l’intimité de Marie, et s’y appliqua avec autant de précision qu’elle l’avait fait avec Marion. En contentant les deux sœurs, elle espérait bien obtenir en retombée le contentement de sa maîtresse, et rester parmi ses esclaves favorites. Après tout, c’était là sa seule vraie source de bonheur.

En quelques minutes, Karuta parvint à donner autant de plaisir à Marie qu’elle en avait donné à Marion, qui continuait à se doigter à côté d’elle. Elle aurait bien voulu s’occuper des deux sœurs en même temps, mais elle n’était pas très douée pour gérer plusieurs partenaires à la fois. Alors tant que les demoiselles ne le lui demandaient pas, elle continuerait à s’occuper d’elles l’une après l’autre.

« Oui maîtresse. J’ai beaucoup de chance d’être une des favorites de maîtresse Evangeline, et je ferai tout pour le rester. »

Alors qu’elle était en plein cunni, les mains en appui contre les fesses de sa jeune maîtresse, la maid reçut l’ordre de se déshabiller pour ne garder que ses accessoires de chat, et de venir se coucher sur le lit. Pour rendre ça plus excitant, la demoiselle se tourna pour leur faire dos, retira lentement sa robe et ses collants, laissa les jeunes filles reluquer ses belles fesses un petit moment, puis leur fit à nouveau face, enleva son soutien-gorge et sa culotte, et vint s’allonger sur le matelas. Elle n’avait plus que ses oreilles et son plug anal sur elle.

« Nyaaannn… alors, mes maîtresses veulent-elles jouer avec leur petit chaton ? »

Les deux sœurs venaient de gouter au plaisir de la langue de Karuta la petite chatte de leur mère. L’une après l’autre chacune doigtant sa sœur quand elle n’était pas léché tendrement. Les deux s’accordaient à reconnaitre le talent de la jeune fille. Elles avaient même du mal à imaginer qu’en réalité ça faisait si peu de temps qu’elle avait été initiée au sexe.

Maintenant qu’elles étaient suffisamment excitées,  Marie et Marion demandèrent à Karuta de se déshabiller et de venir s’étendre sur le lit. La jeune fille accepta faisant ça sous forme d’une petite démonstration qui prouvait qu’on lui avait appris même à travailler le désir en se déshabillant. Sa façon de retirer ses vêtements était très agréable à regarder surtout avec ses jolies fesses d’où sortait une petite queue féline. Puis comme demandé ensuite, Karuta s’allongeât sur le lit.

Avec un sourire adorable et aussi un peu pervers, Marie monta sur le lit, lui passant par-dessus  et s’allongea à côté d’elle, tandis que Marion s’allongea de l’autre côté. La petite chatte était entourée des deux adorables jumelles.

-Le petit chat sait donner du plaisir.

-Il savoir lui rendre aussi.

Chacune se tournèrent venant alors posé leurs lèvres sur les siens de Karuta, chacune commençant à jouer de leur langue sur ses tétons. Puis avec une synchro impressionnante, chacune approchèrent une main entre les jambes de Karuta, venant caresser ses lèvres intimes avec délicatesse. Jusqu’à à la sentir suffisamment humide pour chacune lui glissé deux doigts en elle et lui offrir un doigté synchronisé.

-Elle est toute belle notre petite chatte.

-Elle est toute douce aussi.

Allongée en long sur le lit comme un bon petit chaton, Karuta observa ses jeunes maîtresses s’allonger à côté d’elle pour finir entourée. Elle écouta les compliments de Marie et Marion avant de frémir en sentant leurs bouches se poser contre ses tétons, jouant de leur langue. Et elle ne put retenir un miaulement quand elle sentit leurs mains glisser le long de sa peau pour arriver jusqu’à son intimité, la caressant délicatement pour la préparer avant de la pénétrer de leurs doigts agiles.

« Nnnyyyuuunnn… aaahhh… »

Puisqu’elle tenait son rôle de chaton, la maid se força à ne pas prononcer un mot, juste quelques miaulements et ronrons de plaisir pour ravir les oreilles des filles d’Evangeline. Son corps était piégé dans un sandwich de plaisir, et elle se laissait de plus en plus aller à ces délices corporels.

« Mmrraaww… hhhmmm… »

Karuta sentait ses tétons et sucés à l’extrême, et les doigts entre ses cuisses s’agiter nerveusement pour la faire couiner. Son plaisir grimpa, encore et encore, jusqu’à atteindre le point culminant.

« NNNYYYUUUNNN ! »

Dans un cri, la maid envoya sa mouille contre les doigts de Marie et Marion, puis son corps tendu retomba d’un seul coup. Le contrecoup de l’orgasme diffusait en elle de doux frissons, qui la firent ronronner comme un moteur tandis que ses maîtresses la caressaient.

« Nyuuu… merci maîtresses. Que voulez-vous… que je fasse… maintenant ? »

Elle trouvait normal que, en réponse au plaisir qu’on lui avait donné, elle en donne à son tour à ces deux jeunes demoiselles. Elle eut également une pensée pour Evangeline, se demandant ce qu’elle faisait et si elle allait les rejoindre plus tard.

Chacune allonger d’un côté de la petite chatte, Marie et Marion s’occupait d’un de ses sien avec leur bouche et la doigté d’une main. Les jumelles faisant ça ensemble à la perfection, comme si le faire ensemble était leur meilleur performance.

Elles restèrent comme ça un moment savourant les ronronnements de Karuta observant à quel point son dressage était réussi à ce niveau-là.  C’était un vrais plaisir à entendre jusqu’à la faire jouir une première fois.

-Elle est trop mignonne.

-Oui adorable

Karuta après ce moment de jouissance, une fois remise demanda ce qu’elle pouvait faire encore pour satisfaire les deux jeunes filles. Elles se regardèrent toutes les deux avant de sourire.

-Tu vas nous donner du plaisir aussi.

-Nous aussi on veut jouir.

Marie se redressa  et passa une jambe par-dessus Karuta et souleva sa robe venant collé son intimité devant sa bouche. Marion de son coté, venais de passé ses jambe en ciseau avec celle de l’esclave, frottant alors son intimité contre la sienne.

Karuta avait eu droit à son moment de jouissance, il était donc normal qu’elle donne autant de plaisir à ses maîtresses en retour. Elle regarda Marie passer une jambe au-dessus d’elle pour venir coller son intimité contre sa bouche, et sentit Marion se mettre en position de ciseaux contre elle. Dans cette configuration, les trois filles allaient pouvoir prendre du plaisir, et la maid allait devoir s’appliquer pour pouvoir faire un bon cunni sans se laisser noyer par l’excitation.

Dès qu’elle sentit son intimité toucher celle de sa jeune maîtresse, elle commença à lécher l’entrejambe de son autre maîtresse, lapant avec sa langue comme un chaton le ferait face à un bol de lait. Il fallait qu’elle joue son rôle jusque dans les plus petits détails pour qu’on continue à la gâter et à la récompenser, et l’avis des filles d’Evangeline comptait beaucoup pour elle. Elle s’évertua donc à offrir à Marie les meilleures léchouilles possibles sur sa vulve imberbe et mouillée, tandis qu’elle gémissait et miaulait doucement en sentant ses lèvres inférieures se frotter contre celles de Marion. Ses petits bruits mignons étaient en partie étouffées par l’obstruction devant sa bouche, mais ils n’en restaient pas moins audibles et plaisants à écouter.

Le petit jeu de ces demoiselles dura pendant environ cinq minutes, puis Karuta eut le plaisir de voir Marie jouir sous ses coups de langue. Dans un cri, elle envoya sa mouille directement dans la bouche de son petit chaton, qui l’avala avec bonheur. Elle se laissa ensuite aller et atteignit l’orgasme sous les mouvements incessants de Marion contre son sexe. Leurs mouilles se mélangèrent dans une délicieuse jouissance, puis les jumelles prirent leur animal de compagnie dans leurs bras pour la câliner tendrement. La jeune fille se mit à ronronner comme un vrai chat.

« Maîtresses… pardonnez votre petit chat mais… je dois vous dire ce que je ressens. »

Même si elle devait normalement éviter autant que possible de parler pour rester dans son personnage, ce qu’elle avait à dire était très important à ses yeux.

« Je suis très heureuse… d’être avec vous aujourd’hui… et de pouvoir combler vos désirs… comme vous comblez les miens. Nyyyaaa… »

Après tout, quel mal y avait-il à dire à ses maîtresses qu’elles étaient géniales ?

Les deux sœur venaient de passé un doux moment de plaisir avec leur chaton. L’une avais droit à une cunnilingus et l’autre profitait d’une position en ciseau. L’une comme l’autre gémissait avec un tin de voix tout mignon, car en tant que fille d’Evangeline être mignonne était le maitre mot.

Après un petit moment de se doux échange, les trous jeune fille finirent par jouir presque en même temps. Marie et Marion se jetèrent alors sur Karuta dans un gros câlin plein de caresses pour cette adorable chatte qui en plus les complimentait.

-Trop…
-…Adorable.

Quelqu’un frappa alors à la porte de la pièce. Rapidement les deux jeunes filles se redressèrent et remirent leur vêtement comme il faut.  C’est Marie qui répondit quand elles furent plus présentables.

-Oui c’est pourquoi ?

Un homme en armure de soldat ouvrit la porte et fit une courbette respectueuse.

-Maitresse votre Mère vous demande de lui rapporter son chat, elle à lui parler.

L’homme fit une nouvelle courbette avant de repartir.  Rapidement les deux sœurs remirent la laisse à Karuta et la conduit au bureau ou Evangeline les attendait. Elle avait l’air d’avoir fini son travail et était seule dans la pièce.

-Merci mes chérie, vous pouvez nous laissé maintenant. Vien la mon petit chat.

Elle tendit une jambe sur le côté du bureau montrant un pied déchaussé, qui montrait qu’elle souhaité qu’elle lui lèche.

-Mon petit chaton, tu as passé un bon moment avec mes filles ? Je vais te reposer les questions que je t’ai posé quand je t’ai accueilli. J’espère que cette fois tu seras y répondre honnêtement.

Câlinée et bichonnée par ses adorables maîtresses jumelles, Karuta ronronnait de plaisir en se tortillant sur place. Cette session aurait pu durer longtemps, mais quelqu’un l’interrompit en frappant à la porte. Les jumelles se rhabillèrent en vitesse, puis un soldat en armure entra, les informant que leur mère souhaitait récupérer son petit chat. Une fois l’homme parti, la maid se revêtit convenablement et suivit Marie et Marion jusqu’au bureau d’Evangeline. Sa maîtresse et elle se retrouvèrent seules, et elle vint immédiatement lécher le pied nu qu’elle lui présenta. La femme lui reposa les questions auxquelles elle avait eu droit lors de son arrivée au manoir, et cette fois la demoiselle avait d’autres réponses à lui fournir.

« Je sais toujours m’occuper du ménage, de la cuisine et du service. Mon expérience sexuelle est celle que vous m’avez donnée. J’ai déjà fait l’amour avec une femme, je pense pouvoir le faire avec un homme, mais je ne suis pas sûre pour les animaux. Je m’occupe déjà de personnes à l’état d’animal pour mon travail en cuisine, je ne souhaite pas devenir une poupée, et je suis prête à satisfaire sexuellement n’importe quel employé ou visiteur du manoir sur votre ordre. »

Karuta avait bien changé depuis la première fois qu’elle avait passé les portes de la demeure d’Evangeline. Elle n’était plus cette petite fille craintive et innocente, elle s’était transformée en une jeune femme plus confiante et toujours heureuse de faire l’amour, surtout avec sa maîtresse. Que ce soit en tant qu’humaine ou en tant que chaton, la maid se sentait plus épanouie que jamais. Et tout ça, elle le devait à cette femme, à qui elle léchait les pieds avec entrain et enthousiasme. Elle lui vouait une véritable adoration, elle était devenue tout son univers, sa raison d’être, et elle ne s’imaginait plus vivre autrement qu’à son service.

« Aahh… maîtresse… votre pied… est délicieux… »

Lui lécher les pieds était même si excitant pour la jeune fille qu’elle était en train d’en mouiller sa petite culotte, dans l’anticipation d’une possible récompense pour avoir bien fait son travail et comblé les filles de sa maîtresse.