Dans un village dont le nom nous est complètement inutile et que je ne dirais pas parce qu'on s'en moque et que tout le monde aura oublier par la suite. Situer dans les terres de Nexus ce village n'avait rien d'extraordinaire, hormis le concourt du plus gros boudin noir de la région ainsi que de le manger en un temps record (sinon c'est moins drole ). Des terres agricoles et un troupeau, rien de bien différent par rapport à d'autre village. Pourquoi je vous en parle ? Parce que Slimia, qui est désormais en vadrouille depuis quelque semaines maintenant, un exploit, était tomber dessus par hasard. Bon elle l'avait vue depuis le haut d'une colline, mais sinon elle ne s'y attendait pas. Bref, elle avait fais de ce village une air de repos, prenant place à la tomber de la nuit, le fond du puits, trop fatiguer et feignante pour chercher un autre endroits sûrement plus agréable.
Elle fut réveiller quelque heure plus tard, quand un objet lourd percuta son corps et s'y enfonça avant de remonter. Elle attribua ça à son rêve, jusqu'à ce que le phénomène ne se répète deux trois fois, l'obligeant à se réveiller. Elle grommela, s'agita et envoya une tentacule en haut, d'y former sa tête, se retrouvant nez à nez avec une femme qui devait avoir la trentaine, un peu envelopper. Elle cligna des yeux et se les frotta, pour constater que le truc avait disparue. Elle regarda dans le puits, pour voir une eau un peu mouvementer et sombre sans rien d'étrange. Étrangement elle n'avait plus envie boire la veille, repartant d'un pas hésitant, se rassurant que ce n'était qu'une illusion.
Diantre ! Slimia n'a pas essayer de la violer ? Sortez du lit pour ouvrir la fenêtre et se retrouver nez à nez avec une inconnue qui fait les gros yeux, y'a de quoi flipper. Par chance elle n'avait pas hurler, ce qui aurait été somme toute assez amusant pour la suite. Elle avait de suite rejointe son corps, pour se cacher de la femme, non par peur que son existence soit découverte, mais parce qu'elle avait eu peur et qu'elle se demandait : « je suis où là ? ». Elle se souvint rapidement qu'elle était dans un village. Elle envoya une tentacule, plus petit pour voir les alentours, un œil au bout, oui c'est pas très beau à voir. La place était vide, bien que des personnes commencer à sortir de leur masure pour travailler. Rapidement, elle sortie du puits, en prenant son volume le plus petit, filant entre deux maisons, les plus proches. Elle se colla à un mur, avant de réfléchir : on commence la journée par un viol ou on attend et trouve un truc à boire ou à manger. Le dilemme qu'elle se pose à chaque village.
Elle choisit de se rassasier, remontant le murs vers une des fenêtres, et passant entre les volets. Elle atterrit donc une chambre, une petit, vide, un lit et une armoire. Elle glissa sous la porte, prenant l'apparence d'un tapis d'eau, glissant jusqu'au escalier. L'odeur du pain, de la bière et d'un relent de vomit, lui sauta rapidement à la gorge, bien que cela soit pour le moment une image au vue de sa forme. Et si vous vous demandez comme elle peut sentir et bien parce que... parce que Terra, parce que c'est magique. Mais une odeur en particulier retint son attention, une odeur qu'elle pourrait reconnaître entre mille.
Quelque heures plus tard.
La fameuse maison était en faite une auberge qui fessait taverne, un bâtiment plutôt grand, servant de lieux de fêtes pour les mariages, pour les voyageurs qui passaient par là et pour se noyer dans l'alcool pour oublier la journée. Le soleil était haut dans le ciel, et le propriétaire de la Torride, le nom de l'auberge, parce que c'est un lieu important, en souvenir d'une femme qui lui avait fait faire un nuit blanche et torride, à savoir sa femme, descendit dans la cave afin de remplacer un fût qui était vide. Mais en bas, il mit pied dans une marre d'eau.
-C'est quoi ce merdier...
Il se baissa, prit de l'eau dans ses mains et la renifla. Pas d'odeur apparente, hésitant il but rapidement le contenue de sa main. C'était bien de l'eau, en plus consistant, au moins ses barrique n'avait pas fuit, mais pourquoi il y avait un arrière goût de saké alors ? Un gémissement se fit entendre au fond du couloir, suivit de quelque chuchotement et de déplacement dans l'eau. L'homme fut choquer, presque inquiet et par réflexe clamât à voix forte, avant de se rendre compte qu'il aurait du se taire, remonte et appeler de l'aide.
-Qui est là ?
Les chuchotements s’arrêtèrent.
*BUUUURRBBSS*
- Chaké.... saché... euh nan ch'slim *hic* quoi l'nom déjà ? Répondit une voix.
En même temps, une immense créature, remplissant tout le couloir s'avança, ses mains se plaquant contre le mur, des vagues allant vers le pauvre homme qui trembler de la tête pieds, tandis que des fûts vide émerger de la créature. L'homme hurla et remonta l'escalier, en même temps que la créature se propulsa vers lui, hurla encore plus fort :
-TROUVÉE ! SSAAAKKKÉÉÉÉ !
L'homme fut emporté par un torrent d'eau, qui jaillir de l'escalier, sous les yeux de la femme du tenancier qui s'était emparer d'une arbalète, elle hurla de peur et actionna par mégarde l'arme qui pointer le plafond, perforant le bois, se logeant dans le pied d'un voyageur qui hurla de douleur, alerté par les cries. Slimia, exactement comme vous le pensiez depuis le début, continua son chemin traversant un fenêtre, laissant l'aubergiste s’écraser contre le mur à côté, avant qu'il ne tombe et ne tousse, crachant l'eau, étourdie par le choc et le plaisir naissant, tandis qu'une bosse déformer son pantalon.
Slimia prit forme, une forme... bizarre et ratée, sa bouche de travers, ses yeux à l’envers, son joyaux sur sa joue, un nombre impair de sein et de bras, son corps ressemblant à une limace entrain de s'agiter, comme prise convulsion, en rampant à l'aide de ses bras, fonçant contre le puits et finissant par s’éclatait dessus.
-J'HIC... croyait qu'yen avait deux ? Barbouilla plus qu'elle ne bredouilla, en crachant des filer d'eau à chaque mots.
Elle se releva, complètement émécher, tanguant à droite et à gauche, comme une limace que l'on secoue, tandis qu'une longue masse informe rejoignait la fenêtre briser tantôt. Elle ramena son corps à elle, ramenant au passage un barrique, marquer saké dessus. Une ne fallut même pas quelque seconde pour qu'elle briser le couvercle et de vider le contenue dans sa bouche qui prit des proportions énorme, avalant d'une traite le liquide. Elle balança le tonneau, s'essuya a bouche, ce qui n'avait aucun incidence sur ses lèvres et ne servait à rien, avant de roter sans aucune retenue, si bien que malgré les cries de paniques, les hurlements ou les tentatives d'appel au calme on entendit clairement son rôt.
-Keskispass ? Y'a plus d... HIC saké ? Demanda Slimia, en prenant de la hauteur.
Elle voyait quadruple, les gens semblaient aller dans tout les sens et même tourner sur eux même, certain traversant leur jumeaux. À moins que ce soit dut à ses yeux impairs, qui tourner dans tous les sens, l'un d'eux partant même complètement en vrille. Slimia, sous la forme d'une espèce vache hoctupède, oui j'invente des mots ou double quadrupède, se dirigea au hasard... en faite elle s’écrase à moitié par terre, rampe un moment avant de prendre forme humaine, se relève s’écrase la tête par terre, avance comme une chenille et se remet d’aplomb une énième fois, elle à fait 5 mètres.
Après un ultime effort, elle réussit à garder un visage normale, après s'être remit debout. La garde sans doute, vint vers la créature, lance d'assez bonne facture et armure de cuir et de maille, épée relativement bonne, bouclier en avant. L'un d'eux enfonça sa lance, mais à par qu'elle fut envelopper d'une couche de gélatine et que Slimia n'avait visiblement rien sentie du ou du moins ne l'avait pas remarquer, cela n'avait rien fait. Encore quelque coups, avant d'être rejeter par une vaque, ils comprirent que rien ne pourrait l'arréter, à moins d'être mage ou E.S.P er avec un pouvoir adapter. Les E.S.P er du village étaient partie pour l'armée et le seule qui rester pouvait manipuler les légumes, bon cuisinier mais inutile pour le moment.
Slimia avait repoussée les miliciens et ne s’intéresser par eux, car elle avait aperçue un homme et bien qu'émécher, elle avait eu une bonne vision pour voir que ce n'était pas un simple paysans, muscler comme il était, le genre d'amant avec beaucoup de vigueur et avec de la force. Slimia, qui ressemblait à une lamia, à une femme limace selon le point de vue, se dirigea mollement et en zig-zag, avant de plonger sur l'homme, le manquant d'un mètre, puis de glisser vers lui et de s'y accrocher, cherchant à se glisser sous ses habits.
-Chalut toi... Souffla Slimia, une odeur de saké et d'alcool émanent d'elle. T'es mignon tout plein guiliquili ahahah.... cha t'dirait d'aller dans un coin chympas et d'me zulbuter ? Euh nan... gulbuter ! Oh ch'slime plus... baise moi !
Slimia, avait prit une taille et forme humaine, coller et dégoulinant un peu sur l'inconnue, qui n'était clairement pas de ce village.