Blacksad [PV Veronika]

Vero était en feu, un feu qui n'avait pas besoin de bois pour bruler, un feu attisé si fort qu'elle ne pouvait le soutenir. Elle avait joui un nombre de fois innommable, son esprit était hanté par les bites et images des pornos. Elle tremblait un peu, son sexe s'était fait défoncer, son cul aussi. Elle termina dans le noir, la séance était sans doute finie, elle se fit embrasser et ne sut même plus y répondre, elle était totalement perdue pour le moment. Elle sentit les doigts sur ses lèvres humides, tout son sexe l'était, elle manqua de jouir, mais rien ! La dame s'était stoppée trop tôt pour cela. Elle l'écouta donc les tétons et le bas ventre en feu, elle voulait jouir, encore et encore. Elle ne savait plus trop quoi faire, résister ? Mais si elle voulait jouir, il vaudrait mieux ne pas le faire... Elle devait donc se battre avec elle-même, et c'était difficile, mais elle releva un peu la tête, chercha au fond d'elle et se souvent alors ses missions, ces anciens partenaires, ceux qu'elle aimait bien... Parfois un peu trop, elle ne pouvait pas les oublieras si simplement, jouir était bon, très bon, mais elle voulait être libre.

- HAA... je... vais... je vais te défoncer sale pute ! Attends que j'aie mes quatre membres ! J'vais te défoncer et te jeter à une meute de chiens et cheval en rut !

Elle était furieuse, s'agita sur les attaches sans réellement l'espoir de les briser, son corps la tiraillait toujours, mais son esprit semblait se remettre. Enfin, juste assez pour lutter encore un peu, la faute à cette absence de jouissance qui lui donnait juste envie d'enrager et se finir toute seule dans un coin isolé.

Rachele regarde gesticuler sa futur esclave, la menacer, l'insulter. Elle sourit, profitant du spectacle de son corps à demi démembré, dont les bras et les cuisses s'agitent nerveusement et tirent sur les chaines qui les retiennent.

- A ta guise ma belle...

Elle se tourne vers la hackeuse qui travail depuis tout ce temps sur le piratage de ses implants. Celle-ci lui répond d'un hochement de tête avant d'ajouter.

- Elle est prête Max, j'ai accès à tout le système.

- Parfait...

La neko sent des mains douces et chaudes se poser sur son visage et lui retirer le casque, en face d'elle, Rachele, la regardant d'un air cruel et supérieur. Après de longues secondes de contemplation, son sourire s'élargit, révélant ses dents d'une blancheur parfaite.

- Grillez lui tout...

Veronika dispose de quelques instants supplémentaire pour lancer de derniers suppliques ou paroles de défit avant que l'enfer ne s'abatte sur son corps et sa tête. La hackeuse actionne ses instruments de torture et projete un courant élèctrique surpuissant dans les implants et les circuits de la cyborg.

Rachele admire le spectacle de ses convulsions, écoute avec délectation toutes les insultes et les hurlements que parvient à lui cracher sa suppliciée. Les chocs élèctriques se succèdent sans une seconde d'interruption. Tout le corps de la jeune femme commence à dégager de petites volutes de fumée transparente et une odeur de circuit et de chaire brulée commence à imprégner la pièce.

Le corps désarticulé de la néko se met à trembler nerveusement jusqu'à ce que ses yeux se révulsent et qu'une écume de salive ne se mette à couler de ses lèvres. Puis soudain tout s'arrête.

- C'est fait...

Dit la hackeuse.

- Bien... très bien...

Dit Rachele en empoignant la chevelure de la néko pour lui faire relever la tête.

- Tu as été très courageuse, et maintenant tu es une vraie femme. Tu vas voir, quand tu abandonneras, tout te semblera merveilleux. Plus de tracas, plus de problèmes, plus de reflections ou de choix, plus de morale ou de pensées compliquée... il n'y aura plus que le plaisir et la douleur...

La bio-ingénieur se racle la gorge pour attirer l'attention de la maitresse des lieux et dit.

- Max, ça va faire trois heures...

Cela faisait donc bien des heures que le calvaire du lavage de cerveau avait commencé, et Véronika, par dela la douleur, parvient à le réaliser en sentant l'effet des drogues et des hormones se dissiper, la libérant de ce besoin maladif et nymphomaniaque de se faire baiser.

- Vous avez raison... c'est l'heure de ton médicament ma belle...

Rachele écoute à nouveau les paroles de réprobation de sa prisonnière qui ne peut que regarder les deux infirmière s'approcher d'elle pour lui passer un garrot en haut du bras, juste sous l'épaule.
L'une d'entre elle lui donne de petite gifles là où sa peau est la plus tendre, juste au dessus du coude et une veine commence à y gonfler.

Rachele emprisonne le visage de Veronika entre ses mains et lui tourne la tête vers son bras pour l'obliger à regarder le spectacle. Elle lui lèche le bord des lèvres, puis remonte vers son oreille où elle lui chuchote.

- Détend toi, laisse toi aller... Je vais te libérer de tes frayeurs, de tes pensées, de tes problèmes...

Cette fois-ci l'aiguille pénètre sans difficulter sa peau, preuve que ses systèmes de protection sont totalement désactivés. Les doigts habiles de l'infirmière presse le piston jusqu'à ce que toute la substance ai pénétrée son corps, puis elle s'éloigne.

Rachele regarde Veronika dans les yeux et pose la main sur le noeud du garrot.

- Un dernier mot ?

Elle la laisse répondre, puis d'un coup sec elle défait le noeud du garrot, propulsant le mélange de drogue et d'hormones à une vitesse folle, submergeant comme un tsunami son cerveau et ses zones érogènes blessées par le feu élèctrique.

Le monde se met à tourner et chavirer autour d'elle, la folie qui commençait à quitter son corps s'y réimplante avec brutalité et chasse toute chance de soulagement et de quiétude. Ses seins et son clitoris gonflent de nouveau et le désir lui dévore l'esprit au point qu'elle doive lutter intensement pour garder des pensées cohérentes.

Pendant que la jeune neko lutte contre la drogue, Rachele ordonne qu'on la détache. Les infirmières maléfiques s'exécutent et la posent sur une large civière de cuir mais sans la ratacher dessus.

- Je reviendrais plus tard, en attendant mesdames, je vous la prête pour vous récompenser de vos bons et loyaux services, profitez d'elle comme il vous plaira. Si je ne suis pas de retour d'ici trois heures, n'oubliez pas de lui donner son traitement...

Les bruits de ses talons haux résonnent dans les escalier et une porte claque dans le loingtain, Veronika se retrouve seule et démunie, livrée aux doigts et aux jouets des femmes qui ont causé sa perte.

Elle avait beau s'agiter ça ne menait à rien, et son esprit était encore plein d'images salaces, dures des doubliers, surtout les plus étranges. Elle avait tenté de lutter, mais c'était sans grand effet visiblement, attachée de la sorte, elle ne pouvait plus rien faire. Vero les regarda avant de couiner, tout son corps fut traversé par une impulsion pire que de l'électrocution. Elle l'insulta encore un peu, mais rapidement la douleur devenue insoutenable, elle fit par s'effondrer pratiquement inconsciente. Elle ne pouvait même plus bouger d'un pouce. Elle fut relevée par les cheveux, bavant encore un peu et n'écoutant pas... Cette abrutie lui avait mis l'audition hors service, et à part un gros sifflement elle n'entendait plus rien. Heureusement elle avait appris à lire sur les lèvres, et la perverse était bien assez proche pour que la neko n'en rate pas un mot. Elle soupira un peu, tenta de se reprendre, mais son corps ne bougerait plus avant des heures...

Elle ne prit plus la peine de communiquer, elle avait de toute façon trop mal partout pour se concentrer. Elle la vit donc rajouter une nouvelle dose de poison, elle ne lui répondit toujours pas, elle n'en pouvait plus. Et puis avec le nombre d'alertes qui s'affichaient dans sa tête à cause de la grillade... Impossible de se concentrer une seconde, entre les membres manquants, le rapport de dégâts, les alarmes des pare-feux, etc. Son corps fut encore trahi par la drogue, elle ne pouvait bouger, détachée elle manqua de tomber comme une masse, sa chatte dégoulinante. Sa queue de chat était au point mort, ça ne bougeait plus d'un poil tout ça. Posée sur une civière elle vit le plafond, puis sa tête bascula de coté ne pouvait être soutenue par ses muscles.

Elle fut donc seule livrée à deux femmes qui pouvaient tout lui faire n'importe comment... Cependant elle ne sentit que des caresses, des doigts en elle aussi, surement pour la faire jouir encore et encore. Ce qu'elle fit et quand son corps commença à nouveau à bouger elle vit l'une d'elles lui monter dessus pour se faire lécher la fente humide ! Vero refusa bien sûr, mais rapidement la dame l'y força sans trop de mal, l'autre alla chercher des godes de plus en plus gros, et les aligna s'amusant à les essayer dans le désordre. Encore une fois elle perdit toute notion de temps, se fit violer avec des godes, des doigts, des mains, elle perdit le compte assez rapidement, jouit tellement de fois qu'elle était certaine de finies desséchée à force. Et elle avait cessé les insultes, elle ne faisait plus que subir, miauler et jouir encore et encore, et encore... Elle vit aussi les deux revenir équipée de gros godes, l'une lui viola la bouche, la seconde le cul puis la chatte visant à la faire jouir par tous les orifices possibles.

Les deux femmes s'amusent tout en travaillant, posant des capteurs sur la tête de la jeune femme avant de tenter differentes façon de la faire jouir. Parfois, elles lui massent le clitoris en lui introduisant un god bien lubrifié dans un orifice, puis dans l'autre, puis dans la bouche. Parfois elles lui passent un petit god fait de perle de plus en plus grosses dans le minuscule petit trou de son urètre et l'agrandissent petit à petit.

A chaque fois que la cyborg jouit ou prend du plaisir d'une quelconque façon, elles enregistrent l'activité de son cerveau pour en localiser précisement les zones et les origines. Puis notent leur résultat pour programmer les prochains virus informatique que Rachele utilisera pour la rendre folle.

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Les heures passent inlassablement et Véronika est toujours soumise au même supplices, les scientifiques la font jouir de toutes les manières possibles et imaginables. Quand la belle cyborg sent à nouveau les effets de la drogue ce dissiper et recommence à prendre le dessus et se battre pour ne plus jouir, une des deux femmes se contente simplement de pouffer de rire. Elle va chercher la seringue usagée et la rempli de la puissante drogue qui fait bruler la néko de désir.

La belle captive n'a plus la force de se défendre, amputée de ses membres, elle ne peut que se laisser manipuler comme un jouet, la première femme la fait mettre à genou, pendant que la seconde se rapproche avec la seringue, ignorant ses protestations, avant de lui plonger l'aiguille dans le sein gauche, directement près du coeur...

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Veronika sent la chaleur et le bien être l'envahir et le besoin de sexe recommencer à supplanter sa raison, mais cette fois-ci la dose est trop forte, tout son corps se met à trembler, son coeur se met à battre maladivement et elle une écume blanche commence à couler le long de sa bouche.

La chasseuse de prime cyborg, femme armée à elle toute seule, réalise avant de sombrer dans le néant, qu'elle est en train de mourrir d'une overdose comme si elle n'était qu'une simple petite pute de bas étage...

Pendant les heures... ou es ce les journées ? qui suivent, Victoria ne reprend connaissance que pour assister à des fragments de vie par la lunette opaque des drogues qu'on lui injecte à heure fixe et réguliaire. D'abord elle sent la morsure froide de l'acier, puis le bien être, puis le désir de baiser, puis le noir, seulement entrecoupé de scène de sexe dont elle n'est plus spectatrice, mais actrice soumise, humiliée et violée.

Quand enfin elle reprend connaissance, elle ne sait combien de temps s'est écoulée, mais à en juger par les traces violassées sur ses seins, l'intérieur de ses cuisses et ses épaules, beaucoup de temps.
Elle se sent toute étrange, comme si de nouveaux désirs faisaient désormais partir intégrante de sa chaire. Outre l'envie de se faire baisser furieusement comme une chienne, elle sent un mal-être indéfiniçable et persistant, comme si elle n'était pas complête.

Les portes de son cachau s'ouvrent et entre toute une foule de clients du Rachele's en rute. L'un d'entre eux tient une seringue de se liquide rose et sirupeux qui la rend dingue de sexe.

Profitant de l'infirmité de leur proie, il l'attrapent par les cheveux et, comme si ils étaient maintenant habitués, lui injectent une fois encore la substance dans le bras.
Victoria commence à luter de toute ses forces pour ne pas sombrer encore dans cet enfer nimphomaniaque, certaine que ce n'est pas elle ce pantin qu'ils ont abusé pendant tout ce temps.

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Mais le bien être et le désir de queues en elle commence à la submerger de nouveau, sauf que maintenant, même les doses massivent ne suffisent plus à la blesser ou la faire tomber dans le coma. Rachele et ses sbires infernaux l'on rendue accro.

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Voyant que la jeune femme commence à se détendre. Les hommes commencent à rire et à se disposer tout autour d'elle pour abuser de son corps. L'un d'eux se met derrière et commence à froter son gland contre son anus pendant qu'un autre vient frapper la garde de son pénis contre les lèvres de la belle pour la stimuler et s'enduir de sa ciprine fraiche.

Victoria parvient à en compter six, mais peut etre sont plus nombreux encore, elle a du mal à réfléchir. Mais elle comprend parfaitement qu'ils compte tous profiter d'elle, les uns après les autres...

Vero était déjà bien entamée, pratiquement hors service et incapable de se défendre, ou même lutter. Elle sentit encore des godes la violer, elle était si trempée que ça glissait partout et toute seule ! Même les perles dans son urètre commençaient à la faire jouir, elle craquait complètement. Suppliait de temps en temps et puis jouissait à nouveau, c'était une horreur sans nom pour elle. Trahi par son corps, son esprit se détruisait petit à petit, des heures de jouissances c'était bien trop. Droguée à nouveau elle hurla de plaisir, elle ne pouvait pas tendre, manipulée elle sentit les caresses, mais ne protesta plus vraiment, ça n'en valait plus la peine. Plus aucune raison ne pouvait émerger, elle était en train de bruler dans un océan de désirs salaces. Elle jouissait parfois même sans stimulation, tout était déréglé en elle. Elle perdit finalement toute forme de conscience, tomba comme une machine sans vie après tant de viol et d'humiliation lourde.

Elle voyait bien parfois les clients, et jouissait à leur vue dans certain cas, elle se fit baiser encore et encore, s'en était fini d'elle. Elle demandait des queues, toujours plus, elle était devenue un pantin sans vie, sans âme surtout. Elle passa encore par une tournante, ignorant combien elle avait déjà subi au total, mais elle ne comptait plus, ne luttait plus. Elle était juste détruite par des drogues et du sexe. Elle laissa la dizaine d'hommes profiter d'elle, n'ayant de toute façon aucun moyen de lutter contre sans ses membres, et puis si elle les avait eus, elles les auraient usés pour dresser leurs engins.

Accompagnée de sa hackeuse et de son ingénieure, Rachele entre dans la pièce sordide où la cyborg est louée à ses clients et contemple son premier triomphe sur la Néko.

Les caisses de sa maquerelle débordent de billets presque autant que la vulve, le cul et la bouche de Véronika de sperme.

A sa vue, tous s'arrêtent, restant prostrés dans leurs gestes en attendant de connaitre les intentions de la maitresse des lieux. Sans dire un mot, elle avance au milieux des hommes nus et en sueur, leurs queue encore dégoulinants de la ciprine de la prisonnière.

Elle se penche en avant et soulève le menton de sa nouvelle esclave pour plonger son regard dans le sien. Avec satisfaction, Rachele n'y voit plus rien, si ce n'est la folie d'un appetit sexuel insatiable. La néko semble lui même lui sourire béatement. De ses lèvre coule un filet de salive et de sperme encore chaud.

- Tu vois ma belle... tu es bien plus heureuse comme ça non ? Fini les tracas... fini la peur... fini toutes ces pensées et ces emotions compliquées...

Mais la mafieuse refuse de se reposer sur ses lauriets, et sait parfaitement qu'elle doit continuer "d'enfoncer le clou". Pour le moment, elle n'a fait que refouler la personnalité véritable de Veronika, mais celle-ci risque de revenir au galop si son dressage se relache ou perd en intensité. En vérité, le calvaire et la perte d'identité de la cyborg ne fait que commencer...

- Marco... humilie la encore pour moi s'il te plais.

L'homme, une brute sans cervelle qui venait déjà de violer la jeune femme avec brutalité, se penche sur la jeune femme et lui empoigne la bouche de sa main gauche. Il enfonce son pousse entre ses lèvres entre-ouvertes et lui pince la joue pour l'obliger à ouvrir grand. Puis il laisse couler de sa langue sur celle de la captive défoncée un long filet de bave.

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Il laisse le crachat se prolonger lentement, Rachele regarde chaque petite réaction que cela provoque chez la Neko puis elle le remercie et demande à tout le monde de quitter la pièce, promettant que de leur louer à nouveau son nouveau jouet quand elle serait disponible...

Quand il ne reste plus que Rachele et ses deux sbires dans la pièce, la mafieuse s'approche de Veronika, s'installe langoureusement à côté d'elle, qui baigne encore dans le foutre et la ciprine et laisse travailler les deux femmes.

Sans prendre le temps de la laver ou lui profiger le moindre soin, la hackeuse, aidée de la bio-ingénieur, plonge à nouveau ses cables de connection au fond des oreilles de la Neko, jusqu'à ce qu'ils ateignent la chaire meuble de sa matière grise ou ses implants cybernétiques.

Puis, elles attendent, les minutes défilent, jusqu'à ce que plus d'une heure se soit écoulée et que la drogue commence doucement à desserer son emprise sur l'esprit de la jeune esclave. Des qu'elle redevient elle-même, Veronika réalise avec horreur que le désir nymphomaniauqe de ce faire baiser à mort n'a pas disparu et qu'elle ressent désormais en plus de celui-ci un mal-être profond du au manque de drogue, son corps réclame sa dose. Son ouie et ses fonctions cybernétiques revinnent elles aussi.

Rachele voulait qu'elle soit consciente au moment de continuer le dressage, pour que celle-ci comprene, même si réfléchir lui est désormais plus difficile qu'avant, ce qu'elle va lui faire.

La hackeuse se met à nouveau à pianoter sur l'écran de son datapad et cette fois-ci la Neko sent que son nouveau logiciel d'intrusion pulvérise sans aucune difficulté ses parfeux endommagés par la surcharge. Ses indicateurs visuelles lui révèlent le pire, son ennemie à désormais accès à toutes ses fonctions.

- Le guidage tactique et les notifications visuelles ?

Demande la hackeuse.

- Aucun interet, désinstalle les et met lui de quoi se souvenir toujours de sa place...

Rachele écoute ce que lui répond éventuellement Veronika en souriant. Au bout de quelques secondes, l'affichage rétinien de la cyborg se désactive, elle ne reçoi désormais plus aucunes données et vois comme une simple humaine. La hackeuse installe un nouveau logiciel à la place et Véronika se met à voir de manière fugace et occasionnel, des images subliminales qui parasitent son champ de vision: des images de Rachele lui donnant des ordres, de Rachele nue en train de la violer, de Rachele la punissant par le fouet, par la fessée etc etc...

- L'ouie augmentée ?

- Pareil, elle n'a pas besoin de ça pour être une bonne esclave, qu'elle se satisface déjà de pouvoir continuer à entendre mes ordres. A ce sujet, fait en sorte qu'il n'y ai que ça qui lui soit doux à l'oreille...

Veronika peut encore parler à Rachele quelques instants avant que son ouie, généralement si fine ne devienne soudain normale et humaine, même pour une femme-chat. La cyborg sent que la hackeuse installe un nouveau logiciel et se met petit à petit à entendre une sorte de gresillement presque imperceptible, mais permanent. La neko a soudain plus de mal à ce concentrer ou se focaliser sur quelque chose.

- Comment te sens tu Esclave ?

La voix de Rachele calme instantannement le gresillement et Veronika peut à nouveau comprendre parfaitement ce qu'elle lui dit. En revenche le gresillement reprend à l'instant même ou elle se tais.
Rachele écoute sa réponse avant de se retourner vers sa hackeuse qui reprend le piratage.

- Les augmentations physiques et les logiciels de combat ?

Cette fois ci la pirate touche directement à l'essence même de ce qui fait Victoria, la mercenaire, la dure à cuir, la guerrière indestructible. Tout ce qui fait qu'elle est elle et fière de l'être... est entre les mains de Rachele qui la regarde sournoisement avec un demi sourire.

- Efface tout... elle n'en a plus besoin maintenant... Aprend lui à mieux baiser à la place, ça pourra lui servir quand ses nouvelles prothèses seront prêtes...

La bio-ingénieure  retient Veronika par ses épaules emputées pour l'empécher de se débattre ou de gesticuler à l'annonce de cette transgression. Rachele s'alonge nonchalament sur elle et lui passe deux doigts dans la fente en lui parlant tout bas.

- On ce calme Esclave, oublie ta vie d'avant, tu n'es plus une guerrière, tu es une pute, ma pute, et a partir de maintenant, tu ne feras qu'une seule chose... baiser mes clientes et clients...

Impuissantes, réduite au simple pouvoir de parler, la néko sent les doigts de sa tortionnaire lui avec ses lèvres et son clitoris pendant qu'elle voit se vider sous ses yeux toutes ses notions de combat et ses drivers physiques, lentement, les uns après les autres.

Quand sa mémoire est enfin vide de toute ses connaissances guerrières, Veronika sent alors pénétrer son esprit toutes les techniques et les manieres les plus obscènes de se faire baiser...

Les images, les instincts et les faux souvenir peuplent la mémoire de la jeune captive comme une biblothèque pleine à craquer pendant que Rachele continue de jouer avec sa chatte, attendant de voir comment va réagir la jeune femme, prête à se délecter de ses larmes de désespoire, ou de ses hurlements de colère, elle ne sait pas encore...

Elle était cassée, son esprit entier n'était plus fonctionnel... Elle se faisait juste baiser encore et encore, débordait de sperme chaud et en avait un peu partout sur le corps. Elle regarda Rachelle quand elle arriva, puis n'émit aucune émotion, des yeux presque blancs comme les morts. Elle l'écoute donc, mais ne semble même plus pouvoir comprendre tout cela, elle regardait les hommes autour et fixait les bites. Puis elle vit l'homme faire et garda la bouche ouverte sentant sa bave entrer, quel gout horrible. Elle avait envie de vomir, mais ne parvenait plus à le faire. Elle resta ensuite seule avec la mafieuse, resta à genoux cuisses ouvertes, toujours couvertes de sperme refroidissant doucement. Elle se laissa encore câbler, regarda bêtement autour sans motivation, puis lentement redescendit sur terre.

Elle regarda encore son corps, madame, son corps, puis serra les dents, elle était encore en feu. Déjà en miette elle laissa encore passer le pirate, elle sentit son logiciel morfler encore et encore, elle perdit rapidement la vue, puis la retrouva normale. Cela se poursuivit donc encore et encore, elle n'était de toute façon plus que l'ombre d'elle-même. Cependant qu'importe ce que la hackeuse effaçait, une partie revenait toujours, son cerveau biologique avait une mémoire propre, et elle ne s'efface pas facilement. Pire effacer ces choses encrées si profondes reviendraient à la tuer, ainsi elle gardait toute une part de ses acquis en combat. Elle vit le reste effacer, mais cela déclencha de nouvelles sécurités dans la neko. Mais rien de dangereux, non, c'était juste des choses impossibles à éviter.

En plus tout ce bruit parasite lui donnait un mal de tête carabiné, impossible pour elle de se concentrer, mais aussi d'agir le moins du monde, elle ne bougeait plus. Elle semblait surtout morte mentalement, son corps ne réagissait que par réflexe, son esprit ne répondait même plus. Elle n'était plus rien et baiser un zombie ne serait surement pas au gout des hommes. Mais c'est ce qui arrivait quand on détruisait un peu trop au hasard les souvenirs et programmes d'un cyborg.

Max prend de nouveau le visage de son esclave entre les doigts et plonge son regard dans le sien. Puis elle sourit en voyant l'état d'égarement dans lequel se trouve l'ancienne mercenaire. La cyborg, privée de ses instincts guerriers, était désormais une grande page blanche sur laquelle une nouvelle histoire pouvait être écrite. Sa personallité revèche et orgueilleuse avait été étoufée, il ne lui restait plus qu'a lui enseigner les bonnes manières et elle ferait une esclave parfaite.

- Tss tss tss... déjà ? Toi qui regardais tout le monde de haut il n'y a encore que quelques jours... Où sont passé tes manières de baroudeuse mal élevée ? Où est passé l'orgueil de la guerrière ?

Elle relache son visage, la hackeuse retire les cables de sa tête. L'intrusion cesse et elle peut enfin reprendre pleinement conscience, bien que maintenant son corps et son esprit soit parasité par un irrepressible besoin sexuel.

- Désormais on t'appellera Esclave, tu ne parleras plus que quand on ne t'en auras pas donné l'autorisation et plus jamais tu ne t'appellera par ton ancien nom. Veronika n'existe plus, elle est morte, désormais tu es une esclave, sans nom et sans histoire. Quand tu parlera de toi, tu diras toujours "elle" ou "votre esclave', le "je" ou le "moi" sont réservés aux personnes, et tu n'en est plus une.

Une autre bio-ingénieure entre dans la pièce avec une grande valise noire. Elle s'approche de Rachele et de la nouvelle esclave, la dispose sur la table de travail et l'ouvre. A l'intérieur, Véronika remarque deux superbes prothèses de bras et de jambes dernier cris qu'on jugerait vrai. Mais ce ne sont pas des prothèses de combat, juste de beaux membres délicats et harmonieux, avec des mains et des pieds fins, les ongles des doigts et des orteuils verni avec soin pour donner une impression de coquetterie.
Rien à voir avec ce que Veronika était et pensait. Porter de tels prothèses était bon pour une prostituée, pas pour une battante comme elle. Mais le désir de Rachele était clairement de "l'équiper" comme une simple pute pour la louer aux mâle en rute de son établissement.

- Bien... elles sont superbes tu ne trouve pas ? Elle t'irons très bien et tes clients vont adorer... Rassure toi pour le reste... quand tu ne travaillera pas je ne t'obligerais pas à t'encombrer avec... Je te les retirerais pour que tu puisse profiter des clients qui aime les femmes comme toi... handicapées.

Ajoute t'elle d'un ton méprisant, lui laissant parfaitement comprendre que le repos et le sommeil ne seront pas des libérations courantes. Puis la bio-ingénieur sort une petite boite de la valise et la tend à sa patronne. Rachele la prend entre les mains et l'ouvre sous les yeux de la Neko pour lui présenter le contenu.

A l'intérieur, la prisonnière remarque un collier étrangleur avec un petit anneau pour passer une laisse, des bracelets de cheville et de poignets équipés eux aussi d'anneaux d'attache. Mais surtout quatre anneaux armés d'une longue tige pointue pour pouvoir percer la chaire là où on désir les mettre...

- Regarde esclave, maintenant qu'on a détruit tes anciennes prothèses de combat et brulé tes vêtements, voila les seules choses qui t'appartiendrons jusqu'à la fin de tes jours...

Rachele prend alors un des anneaux et plonge encore une fois son regard dans celui de la prisonnière.

- Alors Esclave ? Tu es prête ?

Et elle attend sa réponse avant de commencer...

Plus rien n'allait comme il faut, un mal de tête sans fin, et un corps qui ne répondait plus à ses demandes, ni ses envies. Elle était comme emprisonnée dans son propre corps, incapable de se défaire des choses qui envahissaient son esprit. Puis à quoi bon lutter ? Elle ne trouvait aucune forme de motivation où que ce soit. Elle se faisait baiser encore et encore, sans même plus y réagir, son corps pour sur mouillait, jouissait, mais pas elle. Elle avait dépassé le stade de la conscience, le stade de l'orgasme aussi, non là, elle n'était plus capable de répondre à la moindre stimulation. Elle entendit vaguement la voix de Rachelle qui calma le mal de tête, voilà une chose qui lui manquait, cette voix qui pouvait calmer le mal de tête. Elle releva un peu les yeux, la voix, d'où venait-elle ? Les interférences visuelles étaient trop nombreuses, sa vue n'était plus du tout au point, tout ça à cause du travail acharné d'un hackeur de talent.

Elle entendit le discourt de la dame, une forme de folie, elle pouvait dire oui, son corps lui hochait déjà la tête. Elle était comme une poupée dont le sexe tiendrait les fils, elle disait oui sans réfléchir, ne répondait pas autrement. De toute façon tout était si détraqué dans sa tête, qu'elle ne savait plus comment on parle. Enfin l'assistante entra, ciblée rapidement par le programme de combat, Vero l'observa, encore flou, puis cligna doucement des yeux, ses oreilles se mirent en mouvement aussi, elle écouta la suite, des prothèses, au moins avec ça elle pourra bouger... Mais bon, ça ne valait pas grand-chose en d'autres situations. Elle écouta encore l'insulte, toujours sans la moindre réaction de la neko. Il faut dire qu'elle n'avait plus aucun moyen de se débattre, elle note le contenu présenté, elle n'était plus impressionnée par quoi que ce soit.

Son programme analysa les objets, aucune solution en vue, elle regarda la pointe qui allait surement lui percer le corps, les tétons, le clitoris, et ? Le nez ? Ou alors juste les tétons et les oreilles ? Vero ferma alors les yeux, sembla encore perdre conscience. Elle resta ainsi plusieurs minutes, ses yeux clignotaient en rouge faiblement par moment, une odeur de circuit brulé se fit alors sentir. Le port dans sa nuque venait de griller, des quatre orifices un peu de fumée sortit. Au moins avec ça on ne pourra plus tenter de s'infiltrer en elle. Pour le reste elle vit que la pièce était coupée de l'extérieur, quel dommage... Elle préféra alors s'éteindre désactivant tout ces circuits, passant dans une veile profonde maintent qu'il n'y avait plus de moyen de se connecter à elle.

Veronika s'enfonce dans son univers mental et le noir se fait autour d'elle. Petit à petit, elle se déconnecte et s'abandonne à une torpeur bien heureuse. Elle flotte dans un univers de coton où le temps n'a plus cours, ou la douleur, le plaisir, la dépendance ne sont que des mots, des figures abstraites et inutiles.

Mais alors qu'elle commence enfin à trouver la quiétude et abandonner les souvenirs des sévices qu'elle vient de subir, ses voyants se mettent en alerte. Une sirène mentale fait éclater la tranquillité de sa bulle et la ramène malgré elle à la conscience. Car son système à pour mission de la réveiller en cas de péril mortel, et cela, elle ne peut pas l’empêcher ou le configurer.

Quand elle ouvre les yeux, elle ne voit que le bleu sombre de la bassine d'eau dans laquelle sa tête est immergée. Elle est en train de se noyer...
En bougeant, elle sent que ses bras sont sanglés au dessus des moignons par d'épaisse courroies en cuir à une sorte de planche qui la tient la tête à l'envers dans la bassine. Ses jambes, bien écartés, sont sanglées à mi cuisses au dessus de ses genou sectionnés. Ils ne lui ont toujours pas mis les nouvelles prothèses.

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Rachele laisse son esclave se débattre dans l'eau, admirant les convulsions de son corps ficelé à la planche de bois. Puis elle fait un signe de tête à son serviteur qui prend la planche d'une main et appui dessus pour faire sortir la tête de Veronika de la bassine.

- Coucou petite pute... bien dormi ? Excuse moi, tu semblais si bien pendant ta petite sieste que je n'ai pas pu résister de t'en sortir... Enfin tu auras dormi dix bonnes minutes, c'est plus que ce que je comptais te permettre...

Cela ne faisait donc que dix minutes. Si elle essai de répondre, la future esclave remarque que sa bouche est maintenue grande ouverte par un énorme bâillon boule rouge.

En face d'elle, à quelques centimètres de ses cuisses écartés, Rachele la regarde avec une moue narquoise. Sur son coté droit, un homme, un énorme asiatique en pagne dont le ventre bedonnant retombe lourdement sur son pelvis, la regarde d'un air sérieux et cruel.

- Je te présente Sheng Xoo, ancien Yakuza désormais ronin à mon service. Comme tu es une élève très récalcitrante et qui s'endort pendant les cours, je l'ai prié de venir t'enseigner les bonnes manières...

Le japonnais obèse ne se déride ni ne bouge d'un sourcil, il attend les bras croisés, imperturbable et discipliné que la Maitresse des lieux donne ses ordres.

- Vois tu, mes hakeuses m'ont expliqué que tu parvenait à te mettre dans une sorte de veille et ma neurochirurgienne dit qu'elle ne peut pas t'enlever ces putins d'implants sans te tuer. Alors pour t’empêcher de jouer à ce petit jeu avec moi j'ai élaboré tout ceci... A chaque fois que tu chercheras à te mettre en trans pour m'échapper, je te ramènerait parmi nous en te faisant lentement mourir...

Rachele s'approche d'une table de travail disposée juste à coté de Sheng Xoo et prend un objet entre ses doigts, il s'agit d'une longue aiguille d’acuponcture dont le bout se termine par une boule de lin imbibée d'huile.

- Puis je demanderai à Shen Xuu, ou à Curie ou à Sonia de te faire mal... plus mal que tu ne peu l'imaginer...

Elle tend l'aiguille au ronin puis retourne se placer face à sa captive pour se délecter du spectacle, appréciant chaque gesticulation, chaque bravade ou chaque regard d'effroi ou de rage que lance Veronika.

Sans dire le moindre mot, dans un silence seulement troublé les hurlements étouffés de l'esclave sous son bâillon, le tortionnaire commence son office.

Il lui prend d’abord les seins de pleines mains et les presse avec vigueur pour faire affluer le sang vers ses tétons. Victime de l'horrible thérapie hormonale et des laves de cerveaux successifs, le corps de la Neko ne peut retenir son excitation et rapidement ses tétons grossissent et durcissent.

Il prend alors la première aiguille entre son pouce et son index, puis la passe sur une flamme de bougie pour la purifier. Puis il s'approche la pointe en biseau du corps sans défense de l'esclave rebelle.

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- Ce n'est qu'un avant gout de ce que je te réserve si tu essais à nouveau de jouer les belles aux bois dormants...

Lui sus-sure alors Rachele qui tourne son regard vers Sheng Xoo pour lui faire un hochement de tête. Faisant fi des gesticulations désespérées de la prisonnière, il dirige la pointe à l’aplomb de son  téton. Puis, avec une lenteur perverse et abominable, il commence à enfoncer la tige d'acier dans son téton. Il l'enfonce vers l'intérieur du sein, pas vers les rebords du tétons, pour que le corps étranger s'enfonce au plus profond de sa chaire et lui procure une sensation de souffrance et d'excitation atroce et brulante.

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Si la jeune femme perd connaissance à cause de la douleur, il relâche la planche, et le poids de son propre corps la fait basculer dans la bassine d'eau pour la réveiller. Puis il recommence avec l'autre sein. Avec la même lenteur et la même cruauté, il ravage d'abord les nerfs de son téton gonflé de désir qui se met à saigner. Rachele se rapproche et lape les quelques goutes de sangs et en profite pour torturer sa petite framboise de chaire du bout de la langue pendant que le ronin continue d'enfoncer l'aiguille en elle.

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Une fois que les deux aiguilles ne dépassent plus que de quelques centimètres et que les petites boules de lin ornent ses seins gonflé et rougit, Rachele lui enlève le baillon et lui parle tout bas à l'oreille.


- Alors ma petite pute... as tu encore envie de jouer avec moi ? Ou vas tu devenir une bonne petite esclave ? Obéissante ET consciente ? Ou faut il que je combatte encore ton mutisme et ton manque d'entrain ?

Elle était donc tranquille, sauvée pour le moment, inconsciente et peut-être enfin, calmée. Dur de savoir ce qui ce passait autour, mais au bout d'un moment elle du reprendre conscience ouvrant les yeux doucement, elle voyait trouble, sauf les alertes en réalité augmentée... Elle n'entendait plus rien, sauf un bruit étrange qu'elle n'avait plus entendu depuis son dernier bain chaud sans doute... Finalement elle fut secouée, sortie de l'eau sur une planche dure en bois plein d'échardes. Surprise elle tente de comprendre, mais pas le temps qu'elle y replongeait. Elle n'avait pas encore compris, mais visiblement elle avait failli boire la tasse. Elle ne débattait pas tant que ça, mais buvait la tasse lentement avant de pleinement comprendre, elle était dans l'eau... Elle sort encore et écoute une voix au début trop faible... Ahh, oui cette voix-là elle s'en souvenait, l'autre dingue ! Dix minutes avaient été plus qu'il n'en faut pour remettre en étant une partie de circuits avec le redémarrage des systèmes. Crachant encore de l'eau elle ne pouvait répondre, elle était mal à l'aise dans cette position et toute trempée par cette eau glacée.

Elle avait froid, une chose qui n'arrivait pourtant pas souvent. Ah oui le hack de l'autre fois avait endommagé des sous-programmes... Elle grogna un eu, avant de se rendre compte qu'elle ne pouvait pas parler. Une grosse boule dans la bouche l'en empêchait, elle écouta donc l'histoire du chinois, encore un tortionnaire. Elle regarde sans peur l'homme gras, qu'importe sa carrure, elle avait vu mieux ! Vu le nom il était clairement chinois, elle le fixa donc méfiante, mais pourquoi diable ? Elle écouta encore l'autre dingue, la faire mourir lentement ? Mais pourquoi diable s'acharner autant sur une personne ? Ha oui vrai, elle voulait faire d'elle une esclave sexuelle... Hors de question ! hurla-t-elle dans la boule, dur de parler dans cette situation finalement. Mais ça devait se comprendre un minimum. Elle gesticulait le moins possible cela dit, faute à  des systèmes encore en alerte et plus inquiétant une batterie endommagée par l'attaque de l'autre pirate...

Ho rien de grave, tant que son générateur interne marchait, puis elle avait d'autres batteries, c'est vrai que depuis le temps elle aurait dû se refaire un corps tout neuf chez un spécialiste. Au lieu de garder ce corps presque rafistolé et démontable trop facilement. Finalement elle le regarde faire, jouer avec un de ses seins, le presser ce qui n'était pas sans mal. Enfin c'était du faux après tout, elle n'avait plus ses seins d'origine, et on ne parle pas ici de chirurgie esthétique... De fait elle recevait surtout des infos de la part du système caché en sa poitrine et qui se faisait endommager. Quand il les perça d'ailleurs il n'y eut pas de sang, bien qu'ils avaient imité les seins en pointe, même la couleur avait changé, mais ce n'était pas humain. L'aiguille brulante s'enfonça pourtant avec du mal, c'était plus dur à déchirer qu'une poitrine normale. Et de plus ça ne la faisait pas vraiment crier de douleur, au mieux elle regardait cela avec un léger picotement.

En fait c'était plutôt les alertes de ses systèmes qui lui faisaient mal à la tête, la poitrine percée finalement se mit à laisse sortir un liquide bleu vif brillant, un gel ont la densité pouvait varié avec la charge électrique qu'on y envoyait. Mais le chaud n'avait pas d'effet dessus, elle n'eut même pas mal de cela, en fait. Finalement l'autre sein connu le même sort, doucement un gel épais semble s'achopper, il n'y a rien d'humain dans cette poitrine, oui elle ressentait le toucher, mais seulement à la surface par son simulacre de peau d’humaine. Pour cela la chaleur l'avait fait fermer les yeux et crier un peu, mais tout cela n'était que des informations envoyées par ses systèmes, pas une vraie douleur nerveuse... Entendant la question elle la regarde, elle n'avait plus le bâillon :

- il a bon gout le gel à densité variable ? Fait gaffe c'est cancérigène !

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[hrp : "De fait sa poitrine également est factice, ce qui lui permet d’en changer partiellement le volume au besoin. Enfin elle peut difficile le réduire à cause de la présence d’un gel à densité variable pour reproduire les sensations d’une poitrine normale. Enfin dans le prolongement de son corps on note un ventre assez plat, pas musclé pour un clou alors que la dame est pourtant très forte... D’ailleurs c’est sous sa poitrine qu’on trouvera le plus gros de ses systèmes cybernétiques, comme le coeur artificiel ou les poumons artificiels entre autres. Sous son ventre se cache encore quelques organes humains servant à la reproduction, et bien qu’elle n’ai pas encore eu d’enfant elle pourrait en avoir sans soucis."

-> http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=16669#top_subject]

Face à l'impertinance de sa captive, Rachele plisse les yeux et fait une moue cruelle et calculatrice. Elle souflette le visage de Veronika de deux giffles puis la prend par les cheveux pour lui ramener le visage en arrière.

- Méfie toi petite pute, toutes les parties de ton corps de poupée ne sont pas insensibles.

Elle lui enfonce à nouveau le baillon boule entre les dents, le serre derrière son crâne et lache sa prise. La planche bascule à nouveau vers la bassine, immergeant le visage de la cyborg. Calmement, elle attend, passant ses doigts entre les lèvres de la jeune femme pour jouer avec son clitoris et regarder sa réaction. D'après les scans fait par ses bio-ingénieurs, ses organes sexuels et reproducteurs étaient encore normaux et fait de chaire et de sang, chose qu'elle avait elle-même constaté en la voyant jouir après qu'elle l'ai rendu accro et  l'ai faite violer par ses clients.

Puisce que sa poitrine n'est pas particulièrement sensible, Rachele dispose néanmoins du plus important, son sexe et son ventre et un sourire malicieux se dessine sur son visage quand elle entrevois déjà les deux prochaines étapes de son plan...

Elle attend encore jusqu'à ce que la cyborg commence à manquer d'air et se débatte sur sa planche, admirant les petits soubresauts et les convulsions qui parcourent son corps. Puis elle fait signe au ronin de la faire remonter. Il s'execute et le corps de Veronika reprend sa place entre les deux tortionnaires.

- Comme je le disais, j'ai remarqué que tu n'étais pas totalement insensible... tu te souviens de toutes ces bites que tu as prise en arrivant ici ? Du plaisir que tu as ressenti en te faisant baiser ? Moi en tout cas je n'en ai pas raté une miette, et si tu ne me crois pas je te montrerai les vidéo de toi que je vend à mes clients pentouflars... Mais je digresse...

Sheng s'approche à nouveau avec une nouvelle aiguille entre les doigts. Il commence à la faire rouler au dessus de la flamme d'une bougie.

- Ton point faible c'est que malgré tout tes implants et tes parties factice, tu as conservé ce qui fait de toi une femme...

Dit elle en commançant à lui tirer délicatement sur le clitoris et le masturber entre ses doigts.

- Et ça... ce n'est pas insensible... je le sais...

Rachele joue avec son clito jusqu'à ce que Veronika soit sur le point de jouir, puis elle s'arrête brusquement, lui refusant ce plaisir. Elle laisse la place à Sheng qui écarte les lèvres de la jeune femme de ses doigts graisseux. Quand il approche la pointe de son petit mont de vénus gonflé de désir, Veronika peut sentir la chaleur du métal caresser sa peau la plus fine et la plus sensible.

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- Tu aurais mieux fait de te soumettre temps que tu ne souffrais pas encore trop... maintenant tu m'as mise en appetit, et j'ai de nouvelles idées pour te remettre à ta place de femelle inférieure.

Le biseau brulant de l'aiguille pénètre alors la chaire nervurée de son clitoris et commence à s'enfoncer en elle. Une souffrance autenthique et incontrôlable explose entre ses lèvres, mélée à une sensation d'excitation abominable, comme si son cerveau surchauffé par la douleur ressentais le besoin de baiser pour s'en libérer, comme si la présence d'une queue pouvait chasser le clou que le japonnais est en train de lui enfoncer.

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Il l'enfonce encore et encore jusqu'à ce que la douleur soit si intense que la jeune femme en devienne folle malgré toute sa fierté. Puis il s'éloigne et laisse Rachele se remettre devant sa victime. Elle pose alors un doigt sur la petite boule de l'aiguille qui épingle le clitoris de Victoria, provoquant une nouvelle vague de douleur et de démangeaison sexuelle. Le Ronin passe derrière elle et lui retire à nouveau son baillon.

- Alors petite pute ? Toujours envie de jouer les héroïnes ? Tu n'as pas envie que je te soulage de cette souffrance en te louant à un client ? Dit le moi, j'aimerais tellement que tu me supplie de te louer comme la vulgaire esclave sexuelle que tu es...

Dit elle en jouant avec la petite boule, arrachant toujours plus de sensations contradictoires à Veronika.

Vero couine alors, l'écoute et sait bien qu'une petite partie de son corps est encore humain, pour son plus grand malheur sans doute. Sentant à nouveau le bâillon elle mort dedans énervée, puis sent les doigts et mouille encore un peu toujours coincée elle la fusille du regard, mais la laisse faire essayant de se calme comme elle peut. Cette femme était dingue de penser en faire une petite chienne. Elle étouffa rapidement dans l'eau, puis remonta encore à la surface la tête qui tourne. Elle l'entendit donc parler des bites et tout, la fusilla du regard, elle ne se souvenait pas du plaisir non... Elle n'était même plus elle-même durant ce temps là, comment se souvenir ? C'est comme fumer trop de drogue et ne plus rappeler ce qu'on a fait la veille. Elle la croyait, mais cela ne semblait pas la faire paniquer, en un sens ce qu'elle faisait sans s'en souvenir n'était pas si important que ça. Elle observe alors la petite aiguille, soupire un peu, il ne restait qu'un endroit possible. Aussi elle se prépara mentalement au choc, ce n'était surement pas pire que de se faire une séance SM.

Elle la laisse donc faire restant étrangement froide, sa colère l'emportait sur le plaisir, comme ces femmes qui ne gémissement pas durant le viol, ou ces fanatiques qu'ils s'immolent en public au nom de leur dieu. Elle pouvait combattre la souffrance, elle vit donc l'aiguille et respire profondément par le nez. Puis sent cela et couine un tout petit peu, ça rentrait sans mal dans son corps avec la chaleur. Et l'aiguille continua encore son chemin, toujours chaude, mais plus brulante, elle n'avait pas joui, elle la regarde jouer avec et sourit un peu. Elle mouillait, mais c'est juste son corps qui ne se préparait au viol à venir rien de plus, comme toutes les autres fois. Mais bon pour l'autre dingue elle devait avoir l'air d'y prendre du plaisir,ce qui était totalement faux.

Face à la résistance tenace de la jeune neko qui refuse de hurler, que ce soit de douleur ou de plaisir, Rachele perd peu à peu patience.

Elle attend encore quelques minutes en jouant avec le boule qui dépasse de son clitoris, puis soupire et se redresse.

- Bon... vue que tu n'as pas envie d'être autre chose qu'une petite poupée, je vais te traiter comme telle pendant un petit moment... peut être que ça te donnera envie de te montrer plus... investie...

Verinika l'entend se servir sur la table et quelques instants plus tard sent la fraicheur d'une lingette alcoolisée frotter son bas ventre. Rachele ignore les gesticulations que fait probablement la cyborg en devinant ce qu'elle est sur le point de subir et lui enfonce avec lenteur une longue aiguille dans le bassin.

- Non ma chère, pas de drogue pour toi pour le moment... il est hors de question que tu ressente une quelconque sensation de bien être après ce que tu as fait. Non... ce sérum à un autre usage, que tu prêne la pillule ou l'implant, ou rien du tout, il va chambouler ton cycle hormonale pour te faire ovuler comme une véritable petite truie.

La pointe en biseau perce douloureusement la solide enveloppe d'une trompe de fallope et pénètre la petite usine de la neko pour y rependre une substance chaude. Instantanément Veronika ressent des fourmillement et des démangeaisons dans ses deux ovaires, même celui qui n'a pas reçu le sérum. Elle se sent soudain plus sensible et voluptueuse, elle sent sa libido grimper et noyer son jugement, provoquant une irrépressible envie de se faire peloter les seins avec vigueur et de se faire pénétrer. Elle sent qu'elle va ovuler et qu'elle est en chaleur.

Rachele regarde le visage de Veronika s'empourprer et savoure les mots qu'elle ne manque surement pas de lui dire. La policière l'entend recommencer son trifouillage infernal sur sa table de travail et d'étranges bruits de raclement sur le sol et se succion.

- Regarde ma chérie... tu vas devenir une vrai femme...

Dans sa main Rachele exhibe fièrement une énorme pipette à insémination, une sorte de god si long qu'il peut venir toucher le fond d'un utérus et terminé par une grosse poire. Au travers du plastique transparent de la pipette, Veronika voit une substance blanche, épaisse et visqueuse: du sperme.

- Tu es prête ma belle rebelle ? Ne t'inquiete pas, avec ce sperme la tu n'auras pas à attendre des mois pour avoir ce plaisir... en quelques jours tu seras une merveilleuse pondeuse.

Une pondeuse ? De quoi voulait elle parler ? Ce sperme pouvait il ne pas être humain ? Si elle le regarde de plus près, Veronika remarque alors que les spermatoïdes contenu dans la pipette sont si énormes qu'elle peut les voir gigotter.

Sans tenir compte des réactions de la néko, Rachele commence à lui masser la vulve pour lui détendre le col de l'utérus, profitant du fait que le sérum donne à la prisonnières d'irrépressibles envies d'accouplement. Elle la masturbe de plus en plus fort et de plus en plus profondément, elle s'affaire avec une dextérité extraordinaire pour faire venir sa captive.
Quand elle commence à sentir monter l'orgasme en elle, elle redouble d'effort et vient masturber son clitoris pendant qu'elle appuie le bout de la pipette contre sa vulve.

Quand enfin elle la sent jouir, Rachele enfonce sans ménagement la pipette dans le vagin de Veronika et continue jusqu’à ce que le bout en forme de biseau vienne ouvrir le col de son utérus. Elle pousse alors plus fort pour enfoncer le god creux jusqu’à ce que ne dépasse que la poire. La mafieuse pose une main sur la chevelure de la cyborg et la lui caresse cruellement pendant qu'elle empoigne la poire pleine de sperme étrange. Puis elle commence à la presser lentement pour inséminer la mercenaire.

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Veronika sent la semence grouillante se rependre dans son utérus et le remplir. Il est froid et visqueux et elle peut presque sentir son odeur nauséabonde. Mais surtout elle sent gigoter dans son ventre les centaines de petits vers répugnants qui remontent en elle, flairant l'odeur de ses ovules fertiles.

- Voiiiii... (elle fini de presser la poire, un peu de sperme gicle entre les interstices de sa vulve) laaaaaa... Fini l'adolescence mademoiselle, vous êtes désormais enceinte.

Elle retire lentement la pipette pour que son utérus ne perde rien de sa précieuse cargaison et prend un god de bon diamètre qu'elle lui enfonce dans le vagin comme un bouchon. Elle le branche à un secteur et il se met instantanément à vibrer vigoureusement en elle. Elle prend un autre god vibrant du même diamètre et le lubrifie sur sa vulve avant de le lui enfoncer dans l'anus.

- Te retenir de pisser pendant quelques minutes t'a parue douloureux n'es ce pas ? ça t'a fait du bien quand tu t'es lâchée sur moi...

Elle prend un petit god en forme de vice qu'elle lui incère dans l'urètre en le faisant tourner. Une fois qu'il est bien enfoncé elle le branche à un globe de verre. Veronika entend Rachele pousser un petit soupire de soulagement et sent à nouveau sa vessie se remplir, mais d'un liquide chaud et acide.

Tu crois que c'est fini ? Non ma belle, maintenant je vais violer tes sens.

Elle referme sa main sur la chevelure de Veronika et la relève en arrière pour avoir acces à tout son visage. Elle emprisonne la mâchoire de la belle italienne entre ses doigts et presse pour l'obliger à l'ouvrir. Puis elle lui passe une nouvelle boule de bâillon énorme dans la bouche et la lui sert derrière la tête avec brutalité

- Tu n'a plus besoin de parler maintenant. Tu va pondre et te faire baiser, si j'ai envis de te faire sucer quelque chose ou quelqu'un je te sonnerai.  

Puis elle se saisie du jeu de ballons à bouchons et les enfonce dans les narines de la cyborg jusqu’à ce qu'elle comble les sinus. A l'aide d'une seringue, elle les gonfle et leur volume peuple instantanément les cavités nasales de Veronika qui perd totalement le sens olfactif et du gout.

Une humaine normal privé de ses sens commence à avoir des hallucinations au bout de 45 minutes, elle commence à hurler de souffrance à cause du manque de sensation au bout de quelques heures. Elle devient complétement folle au bout de 5 jours.

Elle commence à lui enfoncer un petit ballon dans l'oreille droite.

- Toi tu auras une seule planche de salut... le plaisir, le sexe, la sensation d'être enceinte. Tu vas donc y rester un peu plus. Jusqu'a maintenant je n'ai jamais vue une femme résister plus de sept jours à ce traitement avant de devenir une bonne petite salope... On ce retrouve dans huit du coup puis ce que tu es si forte...

Elle lui met l'autre ballon dans l'oreille gauche et les gonfle. Veronika se trouve totalement coupée du monde. Elle n'entend plus rien, ne vois plus rien, n'entend plus rien, elle est dans le néant total et seul le plaisir et la douleur des sévices sexuelle qu'elle est en train de subir lui rappel qu'elle est vivante. Totalement livrée à ses pulsions, le sérum continue d'enflammer ses ovaires et de la faire sombrer dans des chaleurs insupportables.

Les minutes commencent à défiler et son besoin de sensation deviens tellement intense, que le moindre contacte lui donne envie de baiser. Puis ce sont els heures qui se succèdent et le serum l'empèche de ressembler dans le coma...

A un moment, elle sent qu'on lui remplace les gods et le baillon boule par des cercles en métal pour lui ouvrir grand la bouche, le vagin et l'anus pour pouvoir se faire prendre plus facilement par les clients du Rachele's Club.

---

Rachele est de bonne humeur ce matin.
Cela fait huit jours et les scientifiques qui s'assurent des opérations dans la prison de Veronika lui on venté ses méthodes et l'évolution positive qu'elles ont eu sur la future esclave. L'heure est enfin venue de voir comment va sa préférée.
Elle entre dans la salle et admire son œuvre.

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Le ventre de la jeune femme a commencé à gonfler et quelque chose grouille et seprente sous sa peau. Ca écrase sa vessie déja pleine depuis tout ce temps, provoquant une douleur et un désir sexuel insupportable. Les clients ont bien profité d'elle à en juger par l'état de son vagin et de son cul, toujours maintenu béant par les anneaux du sextoy.

Rachele lui fait alors enlever le cercle de metal bucal et libère une de ses oreilles pour qu'elle puisse entendre et répondre.

- Je te pose la question encore une fois petite pute... Veux tu continuer à jouer les braves, ou va tus commencer à crier pour moi ?

Vero couinait de plaisir et de douleur, cet agui lui faisait un mal de chien. Elle la sentit pénétrer profondément en elle, allez vers une trompe et puis allez toucher un ovaire. Et là ce fut l'horreur, elle avait chaud, se sentait bizarre, pointait à nouveau comme une chienne, sa queue s'agitait dans tous les sens. Elle l'écouta alors et effrayée se demande quoi faire... Puis elle entendit de drôle de bruit, regarda inquiète tout cela, se demande ce qui se passe et sent alors quelque chose de mauvais se préparer. Elle vit la pipette et rosir un peu, c'était une blague ? Une énorme et mauvaise blague ? Elle vit la chose entrer doucement, couina doucement elle la laisse masser tranquillement et gémit de plus en plus, avant de jouir comme une chienne en chaleur et sentit d'enfoncer pour de bon la pipette en elle.

- Non... ah... pitié non, j'suis désolée... ah

Elle sentit le sperme s'enfoncer en elle, il n'était pas aussi chaud que du sperme frais sortit d'une bote, mais il y en avait beaucoup plus, et il n'était peut-être même pas humain. Elle écouta la dame et couina encore, terrifiée à l'idée d'avoir un bébé tout de même. Puis ce fut le gros gode qui la fit encore pousser un gros gémissement. Elle sentit alors qu'il vibre et gémir agitant le bassin sous le plaisir, puis sentit le second dans son petit cul et couenne de douleur en grimaçant. Elle l'écouteencore choquée, fait non de la tête.

- Pitié non, pardonnez-moi ah... hmm putain...

Elle hurla un peu et sentit alors sa vessie se remplir, elle la regarde encore choquer. Forcée elle ouvre aussi la bouche et la regarde suppliante, elle voulait parler, elle voulait arrêtez tout ça... Elle sentit le bâillon encore plus gros et eut mal à la mâchoire avec tout cela. Elle écoute encore à contrecœur et puis fait non de la tête, elle ne voulait pas de tout cela... Elle finit alors par proèdre ses sens un par un, puis dut l'écouter et sembla terrorisée, c'était de la folie pure... Elle termina de l'entendre avant de sombrer.

Le temps fut alors bien long, elle ne sut combien de fois encore on la viola, on profita de tous ses orifices, encore et encore. Elle mouilla et jouit doucement de nombreuses fois, puis finalement perd encore la tête, ronronna quand on l'enculait et ne protesta plus. Elle dut donc se laisser faire encore et encore. Réveillé par une voix digne d'un cauchemar, elle remarque qu'elle pouvait parler, et entendre aussi, elle était morte d'envie d'allez à la toilette, et de se reposer aussi.

- Ahh... pitié, la toilette, pitié... j'en peux plus, je ferais ce que vous voulez, mais laissez-m’y allez...