Prénom : Okio
Nom : Zarachi
Surnom : aucun
Race : Humain
Sexe : masculin
Age : 17 ans
Orientation : bisexuel affirmé, mais presque uniquement pour ce qui possède une queue entre les jambes : hommes, shemales, futanaries...
Situation de départ : expérimenté comme pénétré et suceur, très peu comme pénétrant et sucé
Physique :
Un simple coup d’œil suffit pour voir que Okio, bien qu'étant un homme, il a plus la carrure et les traits d'une femme. Son corps efféminé n'a pas les épaules larges d'un homme, ses membres plus doux d'apparence et plus mince. 1m65 pour 55 kilos, il n'a clairement pas le gabarit d'un homme, bien plus de courbe et peu de muscle, des traits fin et délicat, une silhouette féminine, le tout pour une apparence ma fois appréciable, rien de repoussant ni de décadent. Sa peau blanche, laisse dessiner son ossature au niveau de son torse. On pourrait le confondre avec une adolescente, pour peu qu'on cherche pas à déterminer si c'est vraiment une fille. Sans compter que les traits de son visage et les expressions qu'il prend souvent n'aident pas.
Son visage ovale, est pratiquement semblable à celui d'un fille, doux et accueillant, un nez fin, des lèvres fines, des yeux ovales et bleu, mais il porte des lentilles pour avoir les yeux plutôt violet et noir, couleur qu'il affectionne et qui pour lui, donne un air irréel. Une dentition bien blanche et droite. Ses cheveux, couper court, pas plus bas que son cou, noir et brillant, plutôt bien coiffés et entretenue, ceux de devant et sur le côté gauche teint en violet, cachant à moitié son visage. Un visage ambigu, qui peut laisser planer le doute. Sa voix est toute aussi ambiguë, pas assez grave pour celle d'un homme, collant bien avec celle d'une femme, mais pas aussi aiguë. On peut dire que c'est un transsexuelle ou un femboy.
Pour finir, il porte plusieurs piercings, au niveau des tétons, sur sa lèvre inférieure côté droit et sur son oreille droite, agrémente d'une boucle d'oreille. Il se met du rouge à lèvre couleur noir. Un look, une spéciale, voir même un peu émo, car il trouve ça classe et jolie, en plus de bien coller à son caractère.
Caractère :
Autant commencer par le plus évident, Okio est très porté sur le sexe, la luxure. C'est un homme plein de débauche et quelqu'un de cynique. Il se moque bien des règles de pudeur, agissant comme il l'entend, prêt à tendre son cul aux premières venues juste par pur envie, que ce soit en plein lieu publique ou dans des toilettes, capable de dire clairement devant plein de gens qu'il veux se faire sauter par vous. Il n'a aucune retenue et est prêt à tout pour assouvir ses envies de débauches, il se fout de ce qu'on pense de lui ou de l'image qu'il donne aux gens, ça ne l’empêchera pas de vivre comme il l'entend. Bien qu'il adore être culbuté, sucer des queues ou être celui qui se fait mener durant les ébats, ce n'est pas pour autant qu'il adore la domination ou ceux adeptes des relations maîtres-esclaves, car ce n'est pas le genre de truc qui l'attire le plus, car il n'est pas perverti à ce point et que surtout, c'est chiant et compliqué pour lui, alors qu'il veut juste se faire baiser, sans chercher plus loin. Dépravé, ne vous attendez pas de lui un enfant de cœur et soucieux du respect des codes moraux et de la bienséance. Son plus gros fantasme se serait d'être le centre d'un gang bang, avec des hommes bien bâti, des shemales et des futanaris. Ces deux derniers cas fessant aussi partie de ses fantasmes, n'ayant jamais eu l'occasion d'en croiser. Il a tendance à parler de lui au féminin.
Sinon, c'est quelqu'un qui a bon fond, de sympas et relativement de bonne compagnie, gentil, compréhensif, ouvert et sans aucun préjuger. Qui que vous soyez, il vous prendra en sympathie si vous discutez avec lui et ne vous rejettera jamais. Il aime bien rire et jouer de son corps efféminé pour semer le doute ou chauffer les hommes, autant pour son propre amusement que pour attirer quelqu'un. Toujours à voir le verre à moitié plein, il est tout le temps positif et joyeux, et qui cherchera à le rester, car c'est qui lui permet de rester en vie selon lui. Plutôt du genre peace and love, il se met très rarement en colère et préfère tout régler gentiment et calmement, quitte à offrir son cul si cela permet de résoudre une situation. N'allez pas croire qu'il n'a rien à faire de son futur et qu'il préfère vivre en vendant son cul, dans la dépravation et compagnie, car il tient à cœur sa réussite scolaire, et est même plutôt sérieux dans ses études et en classe. Plutôt bien perçue par son entourage, car malgré sa mauvaise facette, c'est quelqu'un de gentil, prêt à rendre service, le cœur sur la main et qui n'a vraiment jamais rien fais de véritablement mal.
Histoire :
Okio a eu une vie plutôt mouvementée. Dernier né d'une famille japonaise à Seisuku, ayant juste une grande sœur de 10 ans son aînée, il n'a pas manqué d'amour, sa mère vendeuse dans une épicerie et son père postier. Une vie normale, une enfance normale rien de palpitant. Mais tout a changé, à ses 5 ans, alors qu'il se baladait dans la maison, en jouant avec une figurine de Ultraman, il finit dans la chambre de sa sœur, afin de la forcer avec elle. Mais elle était pas là, il monta sur lit, poursuivant un monstre imaginaire, quand il aperçut un livre ouvert sur l'oreille. Il le prit, par curiosité enfantine et s'amusa à feuilleter les pages, regardant les dessins, les trouvant très étranges, pleins d'hommes nul et le zizi à l'air et tout dur visiblement et des femmes dans de curieuse position. Un hentai.
Sa sœur entra sans qu'il ne s'en aperçoive et qui lâcha un crie, avant de lui arracher des mains. Elle revenait des toilettes. Bien évidemment, il inonda sa sœur de question, qui rouge de honte, le chassa de sa chambre, en lui disant qu'il comprendra quand il sera plus grand et surtout en réussissant à lui faire promettre de ne rien dire en échange de bonbon et de tout oublier contre un jeu vidéo d'Ultraman. Il respecta sa promesse, même si cela ne le laissa pas indifférent, car cela le travailla et il fit des rêves où il dansait avec ces étranges personnes. Dans l'année suivante, il tomba sur une revue coquine de sa mère, montrant que des hommes musclés et des braquemarts de belles tailles ou des femmes se collant et fessant des trucs bizarres à ses mêmes hommes, mais ça mère ne le prit pas sur le fait et étrangement, il n'en parla pas, car il s'était senti... bizarre.
Mais le pire, fut qu'il se fasse kidnapper par un pédophile la même année, alors qu'il quitté l'école, et qui abusa de lui durant 6 mois. Mais il était correctement traité et l'homme le fessait gentiment et doucement, de façon à ce que le garçon apprécie sont traitement et voie ça comme positif, normale et qu'il ne ressente que du plaisir à sa captivité. L'homme l'avait enfermé dans un appartement dans les quartiers de la Toussaint, mais cela n'a duré que 6 mois, car le destin ou le hasard voulu qu'un homme vienne cambrioler l'appartement, en pleine soirée, juste après le départ du kidnappeur, et qui tomba ainsi sur Okio et qui le reconnue, de par ses souvenirs des infos d'il y a longtemps et l'affiche de recherche qu'il voit quasiment tous les jours dans le centre commerciale. Ni une ni deux, poussé par une pulsion d'indignation et d'un sentiment paternel, il libéra l'enfant de ses menottes, l'habilla vite fait de sa veste et de vêtements un tant soit peu normale et le fit sortir de l'appartement, avant de partir pour le commissariat le plus proche, alors que le gosse était à moitié vaseux à cause de drogue.
Il fut promptement félicité, si bien que personne eu la curiosité ou l'intelligence de demander ce qu'il fessait dans cet appartement sur le moment, la famille fut prévenue et son ravisseur capturé quelque temps après. Okio passa bien évidemment entre les mains d'un psychologue, et ça régulièrement durant plusieurs mois, qui ne put que constater qu'il s'en n'était pas totalement sortie indemne, souffrance presque d'un syndrome de Stockholm et d'un penchant malsain pour l'homosexualité. Il dut suivre aussi une cure de désintoxication, ce qui lui évita une dépendance trop sévère à la drogue et donc un bien triste sort. Mais un plaisir malsain pour les rapports entre hommes et le sexe en générale se développa au fil des années, son comportement changeant du tout au tout.
Sa famille, mettant ça sur le compte d'un traumatise sévère, accepta à contre cœur son orientation et comment il évolua, bien qu'elle fît tout pour le raisonner et le remettre sur le bon chemin, allant même le faire voir un psychologue, bien que peine perdue. Pour autant, il resta le même, développant juste une mauvaise part de lui-même. Il perdit beaucoup d'amis et amies, mais s'en fit d'autre, parfois peu recommandable sur des sites de rencontre et partageant un certain goût pour la déviance, dépucelant même quelque uns d'entre eux, sans que ça famille le sache, bien que le doute fût permis. Son entrée au lycée de Mishima se fit sans vague, même pour son apparence, son orientation et sa manière d'être, passant inaperçue auprès de toutes les rumeurs et autre histoire sexuelle qui pullule au lycée. Il s'installa dans les dortoirs, réussissant à avoir une chambre pour lui seule, bien qu'elle soit prévue pour deux, voulant être loin de ses parents et un indépendant, se dégottant même un petit boulot. Ses parents tentent toujours de lui faire voir un psychologue et le soutienne financièrement. Il laissa quelques messages dans les toilettes pour homme, comme quoi il louait son cul pour 200 yens, laissant son numéro de chambre.
Tandis que ça sœur partait pour l'université pour devenir avocat, voulant juger les mêmes genres de type qui avaient ruinés son frère et que ses parents goûtaient au plaisir de la vie sans enfants, lui poursuivait son chemin de débauche et cherche encore ce qu'il veut faire concrètement pour sa vie futur.
Autre :
Travail à mi-temps comme serveur dans une boite de nuit, n'offre pas ses services, mais n'hésite pas si on lui en donne l'occasion, contre quelques billets naturellement et avec l'accord de son employeur qui n'hésite pas lui non plus.
Connue dans le lycée pour vendre ses services à seulement 200 yens, pour toute une soirée, afin de lier l'utile à l'agréable.