De toutes évidences, les deux femmes allaient se faire l’amour ici, au Bosquet. C’était un cadre particulier pour ce genre de choses mais, pour une druidesse, c’était incroyablement romantique ! Là, dans un confortable lit, allongée en-dessous l’une des plus belles et admirables femmes qu’il pouvait exister, Nümba ne pouvait s’estimer plus chanceuse que cela. Elle s’abandonnait à elle, décidant juste d’écouter son corps pour une fois. La guérisseuse désirait Diana, et elle savait que l’amazone était une personne au cœur pur, une noble parmi les nobles, alors ... Pourquoi refuser ? Il n’y avait aucune raison à cela. Ainsi donc, la belle et jeune femme se laissa embrasser tendrement par Diana, qui fondit sur elle, blottissant son corps contre le sien. Peau contre peau, leurs corps remuant doucement ensemble, formaient un contraste de couleur assez saisissant et magique à voir.
Nümba enroula sa langue sur celle de son amante pendant que celle-ci lui prodiguait un langoureux baiser. Mais elle soupira et couina d’aise quand elle se mit à pincer son sein et son modeste téton foncé, et aussi quand Diana faufila sa main contre sa belle et luisante peau d’ébène. Elle la faufila jusqu’entre ses généreuses cuisses, où elle se mit à flatter sa fleur féminine, la titillant de son index. Quand elle s’enfonça délicatement dedans, la druidesse hoqueta et se mordit subitement la lèvre, puis soupira à nouveau quand son amante lécha son cou. « D-Dianaaa ... Continues ... Hmm ... » Soupira alors Nümba, rougissant face aux compliments et dires flatteurs de l’amazone. Il était clair qu’elle avait de l’expérience et du savoir-faire avec le corps d’une femme. Nümba aurait dû s’en douter, en sachant d’où Wonder-Woman venait.
Mais elle préférait le subir, le découvrir directement et de la plus belle des façons. Elle se retrouva entre les bras d’une merveilleuse femme, qui était en train de faire monter très vite le plaisir et l’extase en elle. Qui était en train d’éveiller des sensations et des frissons exquis, de faire gémir de bonheur la femme qui était en elle. Nümba crispa sa main dans la chevelure de Diana alors que celle-ci léchait et embrassait son sein, et usa de son autre main caresser son corps. Si la druidesse était embonpoint, généreuse à prendre en main, Diana était ferme, douce et musculeuse. Encore une fois, un délicieux et curieux contraste qui renforçait ce désir naissant entre elles. La druidesse caressa ses formes et son corps, éprouvant autant la douceur de sa peau, l’harmonie de ses formes ou bien le relief de sa musculature typiquement Amazone.
Sa main dériva dans le dos et l’échine de Diana, mais vu la position de celle-ci, elle ne put atteindre son fessier. En lieu et place, Nümba bougea doucement ses cuisses et jambes, venant les frotter contre les siennes, les tendant et les détendant pour les caresser tout le long. Une scène des plus sensuelles. La poitrine de la guérisseuse n’arrêtait pas de la lancer, de lui faire mal autant que lui faire du bien. La langue de Diana se pressant et se lovant contre son sein était des plus exquises et arrachait à Nümba bien des couinements et soupirs de plus en plus forts et vigoureux, à mesure que le plaisir devenait de plus en plus intense. « Hmm ... Oui ... Hmmm, prend-moi Diana ... Haaa ... » Couina Nümba, enfouissant fermement ses doigts dans la luxuriante chevelure de Diana, tout en la caressant, ainsi que son dos.