Cela était un peu évident que la fameuse Camille était tout juste entrain de découvrir son nouveau corps... Pour elle, tout était ressenti quasi au centuple. Bien sur, les chiffres donnés sont complètement fantaisistes, et dans les faits, ne correspondent à rien de précis... Mais il faut bien se dire qu’elle n’avait encore jamais connus autant de plaisir... Et elle ressortait tout juste d’une période où ses sens, ses hormones, son plaisir, avait déjà été chambouler par ce qu’elle avait eu avec sa première fois masculine... Donc, sa première fois féminine s’annonçait tout autant chargé, si ce n’est plus. Si le corps de la fameuse Camille avait connu un pur... Comment dire... Un reset, le fait qu’elle avait littéralement un nouveau corps, et bien son cerveau, non, et les hormones de plaisirs étaient au beau fixe.
« Eh bien ma fille, en tout cas ton nouveau corps apprécie ce traitement, c’est joli à voir. Ça veut dire que tu es prête pour passer au niveau suivant. »
« Non... Non... Ce n’est pas vrai... »
Camille tentait de se justifier... Mais cela ne servait à rien. Comment tenter de nier ce que son corps disait, et faisait ? Et oui, notre fameuse Camille pouvait nier autant qu’elle voulait... Et bien son corps, lui, ne mentait pas : elle était en effet pleine de mouille, son vagin était bien humide, comme s’il n’attendait qu’une seule et unique chose... Qu’il puisse avoir en cadeau, le fameux armement du pistoléro, qu’il puisse tirer son coup. Après tout, il faisait toujours moche ! Et notre fameuse Camille avait de la chance, étant donné que le fameux Pistolero ne fit pas attendre plus longtemps ce fameux vagin tout neuf, qui n’attendait qu’à être empli, étant donné que dès qu’il put, il donna un grand coup, au sein de la fameuse Mortiercrolles.
« Ah ! Ça faisait longtemps que j’avais pas pourfendue les tréfonds d’une pucelle, c’est pas trop mal. Profite bien du début en douceur, ça va pas durer. »
« Aaah ! »
Et voilà. Aussi tôt re-gagné, aussitôt re-perdue. Comment cela me diriez-vous ? Et bien, je parle bien entendu de sa virginité ! Oui, car grâce au sorcier, elle avait récupéré une virginité... Oh, peu de temps, étant donné qu’elle l’avait re-perdue quasi immédiatement... Mais quand même ! Est-ce que cela avait été prévu par le sorcier, où bien, était-ce un effet de son sort, que peut-être lui-même ne connaissait pas ? Il était difficile de savoir, dans ce genre de cas, vous savez. Bien souvent, les sorciers ne savaient pas jusqu’où leur sorts pouvaient aller. Cela ne voulait pas dire qu’ils étaient incompétant ou pas doué ! C’est juste qu’il fallait se dire que les sorts en général, étaient d’une très grande complexité, et que donc, il était difficile de savoir jusqu’où ils pouvaient aller, parfois... Quoiqu’il en soit, écoutons un peu la Camille.
« Non... Ce n’est pas vrai... Je suis... Je suis une fille... Et je me fais violer... »
Tu es un peu longue à la détente, n’est-ce pas, Camille ? Elle se rendait enfin compte qu’en effet, elle était une fille, et maintenant... Bah, c’était une fille. C’est tout. Il n’y avait rien de plus à dire. Elle était une fille, elle était une fille. Voilà. Après, il fallait la pardonner. Quand même, elle était encore un peu sous le choc, après avoir perdu sa virginité, et donc, cela avait été quand même légèrement douloureux... En général, on appréciait guère de perdre sa virginité, surtout aussi « brutalement »... Mais heureusement, le Pistoléro était sans doute le plus « sympathique », si on peux véritablement appeler ça être sympathique, bien sur, étant donné qu’il laissait quand même la jeune nouvelle femme, s’adapter à tout cela. D’ailleurs, cette adaptation avait un avantage non négligeable, étant donné que...
« Aah... Ah... »
Quel déchéance pouvait voir le public. Alors qu’ellegémisssait de douleur dans un premier temps, voilà que ses petits couinements... Etaient entrain de se transformer en gémissement de plaisir. Si ce n’était pas pitoyable. Certes, Camille de Mortiercrolles avait toujours été qu’une petite, toute petite noble... Mais voir comme ça, une noble qui prenait du plaisir à avoir un homme, qui d’abord l’avait violée, mais qui maintenant faisait un vas et viens doux en elle... Et bien, on pouvait bien dire que c’était bien un modèle d’échec, un modèle de déchéance. Heureusement pour elle, elle était encore toute seule, avec l’homme... Mais visiblement, il était plus que probable que les spectateurs, qui sans aucun doute, appréciait beaucoup le spectacle... Mais que comme dans le théâtre contemporain, être spectateur n’était pas suffisant. Bientôt allaient-ils vouloir être acteur ? Peut-être, qui sait. Peut-être. Advienne que pourra !