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Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

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Sophia Monroe

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    Jade Road lance promotion sur Sergent Major Sophia Monroe: C'est très efficace. Sergent Major Monroe évolue en Capitaine Monroe.

Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

dimanche 15 janvier 2017, 01:33:09

La journée avait bien commencé pour moi, après deux enquêtes terminées dans les réseaux de prostitution et un joli coup de filet de la veille, je me sentais d'humeur joyeuse. Une journée comme celle-ci, rien ne pouvait la gâcher... Sauf quand votre téléphone de votre bureau se mettait à sonner avec le numéro interne d'un Lieutenant du commissariat. Merde, pourquoi il devait m'appeler? En une fraction de seconde, je fais l'inventaire de ce que j'aurais pu faire comme connerie mais j'en avais aucune idée de ce que j'avais fait de mal. Après l'avoir laissé sonner, je m'étais dit que j'avais l'obligation de le faire car si il descendait, j'en prendrais pour mon grade.

- Sergent Major Monroe, j'écoute...

Une voix dure d'un homme qui aimait imposer son autorité surtout envers les femmes était à la limite de hurler dans le combiner.

- Sergent dans mon bureau immédiatement.

Après avoir répondu par l'affirmative, j'avais raccroché le téléphone et je m'étais levée de ma chaise de bureau. Mon assistant me demandait ce que je faisais et je lui avais expliqué que l'officier m'avait appelé dans son bureau. Je me dirigeais vers la porte de mon bureau et m'engageais dans le couloir du bâtiment à droite, il avait les ascenseurs et je profitais qu'il s'ouvrait pour m'engager dedans avec un Adjudant. Je l'avais salué et remerciais de m'avoir attendue pour l’ascenseur. J'avais choisi le quatrième étage sur six et la cage de fer s’élevait en créant cette sensation de vide comme à chaque fois. Au quatrième étage, j'étais sortie en souhaitant une bonne journée à l'Adjudant, je parcourais les derniers mètres qui me séparaient de la porte du bureau du Lieutenant. Devant la porte, je pouvais voir la plaquette "Lt Akahiko Honda", comme quoi, les lieutenants était des gens pas mégalo... J'avais frappé à la porte et la même voix qu'au téléphone m'ordonnait d'entrer. Je m’exécutais afin de me placer au garde à vous devant le Lieutenant Honda.

- Sergent, votre dernier coup de filet a fait mouche et certains suspects m'ont informé que certains de leurs clients vont maintenant chercher de la chair fraiche dans le collège de Seikusu. La plus part des gamines sont mineurs et d'après eux, les suspects, certaines filles sont violées et droguées... Vous allez immédiatement sur les lieux et vous allez auditionner profs, élèves et le directeur, Monsieur Ota, il vous attend. Vous pouvez disposer.

Pendant son discours, j'avais remarqué que le chef était nerveux, très nerveux. J'avais l'impression qu'il avait chaud et froid en même temps. Mais bon soit, il me demandait de partir immédiatement et je le saluais en sortant de son bureau. Quinze minutes après, j'étais dans ma voiture, tenu civil et arme sous mon pull, le collège de Seikusu était à vingt minutes du commissariat et après ce court voyage, je stationnais ma voiture sur le parking visiteur de l'école. Après avoir regardé le bâtiment pendant quelques secondes et je m'étais dirigée vers l'entrée de l'école. J'étais accueillie par une secrétaire à lunette brune, un peu ronde mais avec un joli visage.

- Bonjour et bienvenue dans le collège de Seikusu, que puis-je pour vous?


Je m'étais appuyée sur le comptoir et je saluais la dame tout en montrant ma plaque de police.

- Bonjour Madame, je suis Sergent Major Monroe, police de Seikusu. Je suis ici dans le cadre d'une enquête sur un possible réseau de prostitution dont certaines élèves sont victimes.

J'avais cru que la secrétaire allait s'évanouir sur sa chaise mais je me démontais pas et continuais.

- Serait-il possible d'avoir les noms des professeurs et des élèves féminines s'il vous plait? Et où est le bureau du directeur, Monsieur Ota?

La brune m'avait expliquée où il était et je la remerciais pour cela. Après cela, je me dirigeais dans le couloir indiqué vers la porte au fond, le couloir était fort lumineux pour une école et les grandes vitres qui donnaient sur la cours rendaient les lieux immenses. Aux pieds de la plaque de bois, je frappais trois fois attendant la réponse des prémices de cette enquête qui me semblait déjà longue.
“Les dieux de la vengeance exercent en silence.”

Iki Ota

Humain(e)

Re : Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

Réponse 1 dimanche 15 janvier 2017, 02:48:08

Le problème quand on va voir un peu partout comment ça se passe, notre nom circule et il est de plus en plus difficile de passer inaperçu, être de hauts dignitaires n’empêchait pas ce genre de désagrément alors quand le démantèlement d’un réseau de prostitution met à jour l’existence d’un autre réseau dont les clients sont les mêmes, il faut que quelqu’un paye. Mais lorsque le nom qui revenait dans les dossiers étaient celui d’un politicien, d’un haut gradé, d’un puissant industriel ou d’un héritier de famille illustre, les personnes qui payaient n’étaient pas les coupables mais souvent les accusateurs. C’était ça, le pouvoir des puissants, ne jamais être inquiété de rien quitte à devoir sacrifier de pauvres innocents.

L’appel du lieutenant de police avait mit le proviseur Iki Ota dans une colère noire, il n’avait pas créer ce « club » pour qu’à la première histoire de cul avec des prostituées venues de réseaux illégaux le rende aussi fébrile. Il n’avait pas réussi à sous-tirer le nom de la personne à l’officier de police mais ce devait être un membre du parlement qui se pensait plus malin que les autres et qui ne prenaient pas assez de plaisirs avec les lycéennes voire souvent plus jeune. Un nom qu’il avait tout de même pu avoir, c’était celui de la fliquette qui viendrait dans le lycée pour mener l’enquête, une femme… c’était parfait, elle payerait le prix de fouiner là où il ne faut pas.

Le vieux proviseur prit son téléphone juste après avoir raccrocher du lieutenant pour appeler un autre policier mais pas n’importe lequel : le chef de la police de la ville, le grand patron. Les mots du proviseur furent tranchants et insultants, il exposa les faits comme quoi certains des gens en dessous de lui commençait à fouiner du coté du club et qu’une femme policière arriverait d’ici quinze à vingt minute. Il lui demandait donc de venir avec certains des collègues qui participaient aux fêtes orgiaques.

Après avoir raccrocher, Iki Ota se posta à la fenêtre de son bureau afin de scruter l’arrivée de la pauvre qui subirait les conséquences des actes de certains irresponsables. Il n’avait aucune compassion, il avait fait au cours de sa vie de bien plus mauvaises choses et il comptait bien régler se problème assez vite. Lorsque l’on frappa à la porte, le vieil homme alla tranquillement ouvrir, l’air grave :

« Vous me voyez bien triste de devoir ouvrir mon établissement aux forces de police qui plus est pour les raisons dont votre supérieur m’a parlé. Venez, rentrez et installer vous, dîtes m’en plus su ce que vous savez. »

Ce grand comédien faisait si bien le vieil homme presque sénile, il proposa donc la chaise en face du bureau à la demoiselle et fit mine de se déplacer difficilement vers le fond de la pièce :

« Vous voulez du café ? Vous allez en avoir besoin pour tenir debout. »

Il lui sourit et fit couler deux tasses de café et au lieu du sucre, ce fut un comprimé bien moins licite qu’il fit fondre dans la tasse qu’il servit à la policière. Elle n’allait pas tomber tout de suite, ce n’était pas le but mais elle serait sans doute assez dans le brouillard quand son grand patron arriverait pour qu’elle se laisse emmener dans la cave sans résister et si ce n’était pas le cas, ce serait plus douloureux pour elle. Après le services, il s’assit tranquillement à son bureau, prêt à l’écouter parler de l’affaire.

Sophia Monroe

Humain(e)

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Re : Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

Réponse 2 jeudi 19 janvier 2017, 00:59:06

Lorsque la porte s'était ouverte, j'étais tombée nez à nez avec un monsieur d'un certain âge. Encore bien conservé malgré sa difficulté à se mouvoir correctement dans la pièce et ce dernier m'accueillais avec un visage sombre.

« Vous me voyez bien triste de devoir ouvrir mon établissement aux forces de police qui plus est pour les raisons dont votre supérieur m’a parlé. Venez, rentrez et installer vous, dîtes m’en plus su ce que vous savez. »

Le directeur me montrait la chaise en face de son bureau et je m'étais assise devant son bureau.

- Ne vous inquiétez pas, Monsieur le directeur, je me ferais le plus discrète possible. Vous me verrez à peine et je ferais en sorte de ne pas importuner les cours. Merci de votre accueil.

Le vieil homme se déplaçait prêt de sa machine à café dos à moi et me demandait si je voulais du café.

- Ma foi, oui, car la journée va être longue. Noir avec trois sucres s'il vous plaît.

Quelques secondes après, me voilà servie et j'avais bu une gorgé. Le goût est assez aigre mais bon, il est déjà meilleur que le café du commissariat.

- Je peux vous posez une quequestion, avez vous remarquez des va et viens de personnes qui n'avaient rien à voir avec l'école?

Lorsque ma question était posée, je sentais une bouffé de chaleur immense qui faisait rougir mon visage. J'ai des difficultés à penser et ma bouche devenait pâteuse. Je me disais que la fatigue cumulées des derniers jours avaient dû affaiblir mon corps et que le café allait me faire le plus grand bien. Je terminais ma tasse mais j'ai toujours la sensation lourde et chaude de ma tête.

- Excusez moi, mais je me sens pas en forme, je vais sortir pour prendre l'air...

J'avais tenté de me lever mais un vertige immense m'avait ramené sur mon siège, je regarde ma tasse de café et une légère pellicule blanche s'était formé dans le fond du gobelet. Je m'étais faite avoir.

-Mais... Mais... Qu'avez vous fait?

Tous se bousculaient dans ma tête et surtout le Lieutenant nerveux, il m'avait livré à cet enfoiré de directeur et j'avais tenté de me lever encore mais la gravité avait eu raison de moi et j'étais tombée à terre. A demi consciente,je voyais Ôta se déplaçait de manière plus franche au-dessus de moi.

- Je... Je... Je me... sens mal...
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Iki Ota

Humain(e)

Re : Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

Réponse 3 dimanche 19 février 2017, 02:14:12

Aux grands maux, les grands remèdes comme le voulait l’expression populaire, le proviseur Iki Ota n’était pas vraiment du genre à faire dans la dentelle, quand il voulait quelque chose il l’avait et peut importe les moyens qu’il devait employé. Et ce qu’il voulait c’était avoir la paix quand il s’agissait de ses activités douteuses, et pour cela il allait falloir faire comprendre à cette petite fliquette qui est le patron et pourquoi elle allait devoir oublier toute cette affaire à mois de finir dans un sac poubelle en petit morceaux ou dans un réseau de trafic humain d’Europe de l’est, parfois l’option qui permettait de rester en vie n’était pas forcément la meilleur.

Il l’avait donc drogué en espérant tout de même arriver à la faire parler afin d’en savoir un peu plus sur l’affaire mais il semblerait qu’il ait mis un peu trop de produit et la demoiselle commençait déjà à partir. Ce n’était pas grave, il réussirait à avoir les informations qu’il veut d’une manière ou d’une autre, de la bouche de sa future victime ou de son patron. Il se déplaçait donc vers elle d’un pas sur alors qu’elle tombait presque inconsciente et s’accroupit près d’elle et lui pris le menton doucement pour lui relever la tête et la regarder dans les yeux :

« Ma chérie, tu vas vite comprendre comment on procède dans ce monde. A la fin de notre petit entretien, je t’assure que tu oubliera toute cette histoire. »

Il lui sourit pendant qu’elle tombait dans les pommes, la drogue ayant fait son effet et attend l’arrivé de son amie et grand supérieur de la petite pour la porter dans un coin calme et propice aux punitions : la cave.

Pendant que la policière était inconsciente Iki et ses complices s’activèrent pour qu’une fois réveillée elle se retrouve dans une situation bien inconfortables, nue et attachée de manière à ce qu’elle comprenne ce qui allait arriver. Il y avait près d’elle quatre hommes nus, Iki et le chef de la police étaient visage découvert tandis que deux autres était masqués mais au vu de leur carrure et de leurs muscles saillants on pouvait facilement comprendre qu’ils étaient des services spéciaux, à la botte du ripou.

Sophia Monroe

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Re : Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

Réponse 4 vendredi 24 février 2017, 09:04:14

J'avais tenté de rassembler mes dernières forces pour rester éveillée mais peine perdue et je sombrais dans un profond sommeil. Dans ma tête, c'était le néant absolu, la drogue me donnait la sensation de flotter dans les airs, comme si je volais sur le dos, je me sentais libre et oppressée à la fois. C'était la première fois que l'on me droguait et franchement c'était pas génial comme sensation. Comment j'ai pu me faire avoir comme ça?

Lors de mon réveille.

- Oooh ma tête, je crois que je vais vomir...

Ma vision se calibrait doucement et juste à côté de moi; deux hommes nus le sexe bien droit devant moi et juste au dessus de pénis de l'homme placé à mon visage je pouvais voir le directeur Ôta et... l'enfoiré de fils de pute... le Lieutenant qui m'avait envoyé ici et là surprise... Un léger courant d'air sur mon vagin me faisait sentir ma nudité... et bordel, en y regardant de plus prêt, j'étais attachée de manière spéciale.

- Enfoiré de fils de pute de Lieutenant que vous êtes... Vous m'avez envoyée au casse pipe, espèce de connard, si je m'en sors je...

J'étais coupé par une biffle, oui par une biffle, de l'homme qui était juste à côté de moi. J'allais passer un sale quart d'heure ici.
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Iki Ota

Humain(e)

Re : Un réseau tentaculaire [PV: Iki Ota]

Réponse 5 mardi 11 avril 2017, 01:41:31

Pour le proviseur Ota, il n’y avait que trois choses fondamentales dans la vie, le sexe, l’argent et le pouvoir et parfois il était possible d’avoir grâce à l’autre. Le vieil homme avait l’argent et cela lui avait permit d’avoir le pouvoir et ce pouvoir lui permettait d’avoir le sexe, bien sûr ce n’était pas le sexe de manière traditionnelle mais c’était encore plus plaisant. Malheureusement, tout cela était mis à mal par une petite blondasse qui pensait que son insigne la rendrait intouchable, grosse erreur de sa part.

Le vieillard fixait la fliquette pendant qu’elle revenait à elle et essayer de baragouiner des insultes. Il la stoppa net avec un bon coup de sexe dans la figure :

« Ma chérie, cesse de geindre, nous allons nous occuper de toi. Cela durera plus ou moins longtemps suivant ton niveau de coopération. »

Il lui sourit avant de lui donner une gifle sur la joue puis de lui gifler les seins pour ensuite se placer derrière elle et lui donne de lourdes fessées :

« Tout d’abord, qui à fait la poucave ? Qui t’a permis de remonter jusqu’ici ? »

Il leva la main et vint lui rougir violemment les fesses à de nombreuses reprises avant de les lui attraper avec force et présenter son sexe entre ses lèvres intimes. Sans demi-mesure, il fit pénétrer ce membre de bonne taille encore plein de vigueur d’un coup sec jusqu’à taper dans le fond :

« Plus vite tu parleras, plus vite s’en sera fini de tout cela. »


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