Une colocation non prévue et particulière [PV Zoé Kido]

Seikusu était une grande ville presqu’aussi grande que Tokyo. Tout en étant une ville nouvelle, moderne, bien des quartiers étaient considéré comme des zones de non droit, notamment le quartier de la Toussaint. Je venais d’avoir les clefs de mon nouvel appartement, situé dans un des quartiers les plus populaires de la ville, non loin du port et à proximité d’une gare. Je n’avais pas encore vu l’appartement de mes yeux, mais en photo. J’espérais qu’il soit aussi bien qu’il en avait l’air.

Je portais mon éternel pantalon en jeans blanc, mes basquets, mon t-shirt vert assorti à mes cheveux et mes yeux, et mes sempiternelles bretelles blanche. J’avais sur le dos ma Pandora Box rose et dorée, ainsi qu’un grand sac contenant la plupart de mes affaires, il faudrait d’ailleurs que je meuble l’appartement. Celui-ci était un duplex dans une maison de bois. La pièce de vie principale était la cuisine ouverte sur le salon. Une petite cheminée ou l’on pouvait faire du feu. L’étage était composé de deux chambres et d’une salle de bain avec les toilettes à l’intérieur.

Je marchais sans me presser dans la rue quand je vis un camion de déménagement devant la maison de bois. Des hommes déchargeaient des meubles sous les ordres d’une magnifique jeune femme. Une femme aux cheveux violet foncé et aux yeux d’un magnifique bleu. Je m’approchais et je remarquais que la porte de chez moi était ouverte et que des cartons y étaient déjà installés.

_ « Bonjour, je crois qu’il y a une erreur, j’ai loué cet appartement… »

J’inspirais doucement.

_ « Je manque à tous mes devoirs, je m’appelle Kido… Shun Kido… »

Je la regardais en souriant.

    C'était une offre en or ! Zoé n'avait pas tardée à accepter ce fameux appartement. Il était parmi les moins chers de la ville et pourtant il était assez récent, sur deux étages, et avec deux chambres. La jeune femme se voyait déjà utiliser la deuxième chambre pour ses proies. Il lui faudrait une cage, des cordes et même des menottes. Immédiatement après avoir signé les papiers, Zoé appela un ancien camarade de classe qui travaillait dans un magasin d'ameublement. La jeune femme exigea un camion pour ses meubles. Heureusement, elle avait très bien dressé Stefan, et ce dernier accepta sans broncher. Il avait même demandé de l'aide à des collègues qui ne travaillaient pas aujourd'hui.

     Zoé attrapa son oreiller et monta s'installer dans le camion en attendant que le trio apporte tous ses meubles. Ils n'étaient pas très rapide et la jeune femme fit de grands efforts pour ne pas aller les motiver à sa façon. Ils arrivèrent finalement en milieu de matinée devant l'appartement. C'était une bonne idée d'avoir enfilé des talons aiguilles en prétextant ne pas avoir de baskets. Du coup elle pouvait se concentrer sur la disposition des meubles, plutôt que de se faire mal au dos.

- Faites bien attention à ne pas abîmer mes meubles ! s'exclama Zoé tout en les observant d'un œil critique.

     La surveillante de lycée allait s'en prendre à un collègue de Stefan quand un adolescent vint lui parler. Qu'est ce que c'était que cette couleur de cheveux ? Et qu'est ce qu'il racontait ? Il parlait de son appartement à elle ? Pour qui est-ce qu'il se prenait. Et il s'appelait Kido. Serait-il un lointain cousin ? Oh et puis Zoé s'en fichait. Cet appartement était à elle, et elle ne comptait pas le lâcher.

- Désolée mais c'est toi l'erreur, jeune homme. Je m'appelle Zoé Kido, et cet appartement est à moi. Je ne sais pas si c'est une blague, mais ce n'est pas drôle.

     Elle ne lui accorda plus un seul regard et entra dans l'appartement en laissant Shun à l'extérieur, qui devait certainement être surprit par ce qui se passait. Zoé l'avait déjà oubliée et entra dans la cuisine pour inspecter les placards. Il y avait un peu de poussière. Les anciens propriétaires ne devaient pas être très strict niveau propreté. Zoé avait très chaud après cette matinée mouvementée. Sans un mot elle retira son jeans pour se retrouver en culotte et débardeur. Elle adorait voir le regard gêné et plein d'envie des hommes. C'était jouissif.

- Merci pour votre aide les gars. Vous pouvez y aller ! Je finirai très bien toute seule ! Stefan, tu passera dans la semaine. Je te dirai quand.

Je regardais la jeune femme, en espérant qu’elle allait me laisser l’appartement, j’avais payé six mois de loyer d’avance, justement pour être sûr de l’avoir.

_ « Désolée mais c'est toi l'erreur, jeune homme. Je m'appelle Zoé Kido, et cet appartement est à moi. Je ne sais pas si c'est une blague, mais ce n'est pas drôle. »

Zoé Kido ? Etait-elle, une fille oubliée de Matsumasa Kido ? L’appartement était à elle ? Comment ça ? J’avais le contrat dans mon grand sac. Le temps de le chercher, elle était entrer dans l’appartement. Avec le contrat à la main, je rentrais à mon tour dans celui-ci. Je la trouvais dans la cuisine. Je rougis en voyant qu’elle retirait son pantalon pour se retrouver en petite culotte.

_ « Merci pour votre aide les gars. Vous pouvez y aller ! Je finirai très bien toute seule ! Stefan, tu passera dans la semaine. Je te dirai quand.
_ Je suis désolé, mais j’ai un contrat en bonne et due forme pour la location de cet appartement ! En voici la preuve… et puis veuillez remettre votre jeans, ça ne se fait pas ! »

Je détournais le regard tout en brandissant mon contrat avec le propriétaire de l’appartement, avec les sommes payés pour les loyers d’avance. C’était bien ma chance d’avoir, dès le premier jour, un problème avec un appartement.

_ « Comme vous pouvez le constater, j’ai payé d’avance six mois de loyers, donc je suis en droit d’être ici, et de vivre ici. Excusez-moi, d’être indiscret, mais êtes-vous une fille de Matsumasa Kido ? Je n’en connais qu’une seule, mais mon père a eut plus de cent enfants. Donc il est possible que vous soyez ma sœur… »

- Je suis désolé, mais j’ai un contrat en bonne et due forme pour la location de cet appartement ! En voici la preuve… et puis veuillez remettre votre jeans, ça ne se fait pas !

     Zoé n'avait pas remarqué cette intrusion dans sa propriété. Cet adolescent commençait sérieusement à l'énerver. Il aurait tout intérêt à ne pas continuer dans ce sens. Et il se prenait pour qui ? Oser lui réclamer de porter un jeans dans son appartement à elle. La jeune femme attrapa le contrat et le lu rapidement. Il était identique au contrat qu'elle avait elle-même remplit.

- Comme vous pouvez le constater, j’ai payé d’avance six mois de loyers, donc je suis en droit d’être ici, et de vivre ici. Excusez-moi, d’être indiscret, mais êtes-vous une fille de Matsumasa Kido ? Je n’en connais qu’une seule, mais mon père a eut plus de cent enfants. Donc il est possible que vous soyez ma sœur…

     La surveillante déchira le contrat en une bonne dizaines de morceaux tout en souriant à ce Shun Kido. S'il pensait pouvoir lui reprendre cet appartement, il pouvait toujours courir.

- Comme tu peux le constater, tu n'as plus de contrat, et tu es ici chez moi alors je ne te donne pas le droit de commenter ma tenue vestimentaire, c'est d'accord ? Maintenant tu vas partir avant que j'appelle la police. Regarde-toi ! T'es qu'un ado. Dans quel monde un adolescent se paie un tel appartement ? Ah et pour ce qui est de Matsumachin, ça ne me dis rien. Tu n'es pas mon frère, alors n'espère pas rester ici une seconde de plus.

     Zoé alla prendre le téléphone quand elle eut soudainement une idée, une fantastique idée. Ce Shun désirait un appartement et celui-ci possédait deux chambres. Elle pourrait l'utiliser pour qu'il fasse le ménage et la cuisine. Il pourrait même devenir son nouveau jouet. Elle reposa le téléphone et s'approcha de l'adolescent avec un sourire vicieux. Il faisait peut-être sa scolarité à Mishima.

- Tu sais quoi ? J'ai eu une grande idée ! Si tu tiens vraiment à habiter ici, j'ai une chambre pour toi. Tu pourrais rester ici et en échange tu serais en charge du ménage et de la cuisine. Qu'est ce que tu en penses ?

     Elle s'approcha encore plus du garçon et le détailla du regard. Il était mignon. Elle pourrait s'amuser avec lui à condition qu'il accepte sa proposition.

Zoé me prit des mains le contrat et le déchira en une dizaines de morceaux tout en me souriant. Elle ne savait donc pas à qui elle avait à faire ? Moi, Shun Kido, God Saint d’Andromède au service de la Déesse Athéna. Elle lâcha les morceaux par terre.

_ « Comme tu peux le constater, tu n'as plus de contrat, et tu es ici chez moi alors je ne te donne pas le droit de commenter ma tenue vestimentaire, c'est d'accord ? Maintenant tu vas partir avant que j'appelle la police. Regarde-toi ! T'es qu'un ado. Dans quel monde un adolescent se paie un tel appartement ? Ah et pour ce qui est de Matsumachin, ça ne me dis rien. Tu n'es pas mon frère, alors n'espère pas rester ici une seconde de plus. »

Tandis qu’elle allait prendre un téléphone, je fis brûler légèrement mon Cosmos pour reconstituer mon contrat. Cela me prit moins de dix secondes, si le Cosmos était capable de détruire, il était aussi capable de soigner et de reconstruire ce qui a été détruit. Je l’entendis reposer le téléphone, je pris le temps ramasser mon contrat puis je me retournais vers elle, qui était toujours en petite tenue. Je l’observais en souriant, tenant mon contrat.

_ « Tu sais quoi ? J'ai eu une grande idée ! Si tu tiens vraiment à habiter ici, j'ai une chambre pour toi. Tu pourrais rester ici et en échange tu serais en charge du ménage et de la cuisine. Qu'est ce que tu en penses ? »

Je la regardais toujours, souriant.

_ « Mais, j’ai toujours mon contrat de location… regarde. »

Je lui montrais mon contrat intact. Puis je réfléchis à sa proposition. Faire la cuisine, du moment que ce n’est pas des plats trop compliqués, ça devrait pouvoir se faire. Le ménage ? Pourquoi pas, en plus habiter avec une telle beauté, elle s’approcha de moi en me détaillant, tandis que je la détaillais aussi.

_ « Humm… pourquoi pas, mais il faudrait aussi faire des concessions… tu as quoi à me proposer en échange de mes services ? »

- Mais, j’ai toujours mon contrat de location… regarde.

    Zoé regarda le contrat intact sans réagir pendant plusieurs secondes. Il en avait fait des copies ou quoi ? En tout cas ça ne changeait rien à la proposition de la jeune femme. Cet adolescent ne devait pas connaître grand chose aux femmes, alors il ne serait pas compliqué pour elle de le manipuler à sa guise. Il était plus intéressant d'avoir un pantin bien obéissant, plutôt que de vivre seule et de devoir s'occuper de toutes les corvées elle même.

- Humm… pourquoi pas, mais il faudrait aussi faire des concessions… tu as quoi à me proposer en échange de mes services ?

     Il osait lui demander ce qu'elle pourrait lui offrir en échange de ses services. Très bien, dans ce cas il allait être servit. Zoé attrapa la main droite du garçon et l'écrasa sur son sein gauche par dessus son débardeur. Il ne s'attendait certainement pas à ça. La jeune femme fit un petit bisou sur les lèvres de Shun tout en gardant sa main plaquée sur sa poitrine.

- En échange, je te propose de te faire découvrir certaines choses. C'est ma seule et unique offre. Si ça ne te satisfait pas, tu es libre de partir bien entendu. Je serai très bien toute seule dans cet appartement.

     Zoé relâcha la main du garçon et alla remettre son jeans. Elle se pencha volontairement en avant, dos à Shun pour que ce dernier soit hypnotisé par la superbe vue de ses fesses. Elle reboutonna son jeans et laissa l'adolescent sur place, préférant aller ranger ses nombreuses affaires pour le laisser réfléchir à sa proposition. Zoé entra dans la plus grande des chambres et commença à ranger quelques vêtements qu'elle avait sortis des meubles pour les alléger. La surveillante se demandait tout de même combien de temps mettrait Shun pour se décider et surtout si elle lui plaisait. Si ce n'était pas le cas, c'est qu'il devait aimer les garçons. Qui donc ne trouverait pas Zoé attirante de toute façon ?

Je la regardais, se demander comment j’avais fait pour refaire le contrat. Soudain elle attrapa ma main droite et l’écrasa sur son sein par-dessus son débardeur. Je rougis car c’était la première fois que je touchais le sein d’une femme, même à travers son vêtement. Même en vivant sous le même toit que June, je n’avais jamais osé la toucher, et pourtant Athéna sait que je l’aimais… avant que je me dispute avec elle et que je quitte l’Île d’Andromède. Je soupirais quand elle déposa ses lèvres sur les miennes.

_ « En échange, je te propose de te faire découvrir certaines choses. C'est ma seule et unique offre. Si ça ne te satisfait pas, tu es libre de partir bien entendu. Je serai très bien toute seule dans cet appartement. »

J’avais bien entendu ? Elle proposait des services… sexuels ? J’ouvris tout grand ma bouche mais aucun son n’en sortit. Je la vis relâcher ma main qui resta en l’air tandis qu’elle remettait son jeans. Elle se retourna et se pencha, me laissant une vue imprenable sur son derrière. J’avais déjà vu June et d’autres apprenties Saintes nue mais cela ne m’avait pas autant toucher que de voir cette simple petite culotte qui cachait beaucoup et pas grand-chose en même temps. Puis elle reboutonna son pantalon.

C’était peut-être une bonne proposition, je n’y connaissais rien en matière de sexe, ni d’amour d’ailleurs, j’avais toujours cru qu’un jour, June et moi, nous serions ensemble mais aujourd’hui, je n’en savais plus rien. June était loin, sur l’Île d’Andromède. Je restais ainsi pendant peut-être deux trois minutes, à réfléchir. Puis je me décidais à monter à l’étage pour donner ma réponse à Zoé. Rien que son prénom évoquait quelque chose en moi… quoi, je ne savais pas. Je frappais à sa porte, sachant que jamais je n’entrerais dans sa chambre sans sa permission, c’était déjà le cas avec June.

_ « Je suis d’accord, même si… euh… »

Je me mis à rougir à nouveau.

_ « Même si je n’ais pas d’expérience en la matière… »

     Shun toqua à la porte. C'était parfait, il respectait déjà le besoin d'intimité de la jeune femme. Elle attendait avec impatience qu'il lui dévoile enfin sa décision, et heureusement il ne tarda pas.

- Je suis d’accord, même si… euh… même si je n’ais pas d’expérience en la matière…

- Oh mais ce n'est pas grave Shun, je vais m'en occuper. Avec moi, tu vas devenir un expert, déclara Zoé en s'approchant de sa proie. Mais avant ça je dois vérifier certaines choses...

     Zoé embrassa langoureusement le garçon sans même l'avertir. Il avait été surprit et était un petit peu maladroit, mais très rapidement il sembla s'habituer et devint très habile. La jeune femme joua avec la langue de l'adolescent pendant un petit moment puis elle posa sa main entre les jambes de ce dernier. Elle caressa le sexe du jeune homme par dessus ses vêtements pour voir sa réaction puis se recula.

- Il est temps de te déshabiller, et totalement hein ! déclara la surveillante avec un sourire pervers. J'ai besoin de te voir nu pour savoir ce que l'on peut faire ensemble. Bien entendu si ça te gêne, je vais le faire d'abord.

    Elle n'était absolument pas pudique et était fière de son corps. Elle retira rapidement son jeans et son débardeur, avant de terminer par son soutien-gorge. Elle prit une nouvelle fois la main droite de Shun pour la poser sur son sein. Elle voulait le rendre fou et elle savait qu'elle y arriverait très rapidement.

- Avec ce déménagement j'ai mal au dos. Si tu veux que je retire ma culotte, il faudra le faire pour moi. Mais avant, tu vas te déshabiller. Et tu vas aussi me dire pourquoi tu prends un appartement, et ce que tu fais dans la vie. Tu vas au lycée ?

    Zoé se recula pour le laisser se déshabiller tout en se caressant sensuellement les tétons pour y attirer son regard. Elle adorait jouer avec les jeunes hommes, et elle allait beaucoup s'amuser avec celui-ci. Sa laisse et ses différents accessoires allaient très vite sortir de sa valise.

_ « Oh mais ce n'est pas grave Shun, je vais m'en occuper. Avec moi, tu vas devenir un expert, déclara Zoé en s'approchant de sa proie. Mais avant ça je dois vérifier certaines choses... »

Je rougis à nouveau, surtout quand elle m’embrassa sans m’avertir, sa langue cherchant la mienne, je répondis à son baiser maladroitement, mais au bout d’un moment, je compris ce qu’il fallait faire. L’entrainement des Saints était un plus, même si l’éducation sexuelle était vraiment dérisoire. Le baiser dura un certain temps, c’était une chose agréable qui semblait plaire à Zoé, et me plaisait aussi. Quand elle posa sa main sur mon entrejambe, je sentis mon membre viril se dresser dans mon pantalon. Elle caressa mon sexe par-dessus mes vêtements. Je poussais un petit gémissement.

_ « Il est temps de te déshabiller, et totalement hein ! J'ai besoin de te voir nu pour savoir ce que l'on peut faire ensemble. Bien entendu si ça te gêne, je vais le faire d'abord. »

Je déglutis en hochant la tête tandis qu’elle retirait rapidement ses vêtements, se retrouvant en culotte, et sans soutien-gorge. Elle reprit ma main droite et la posa sur son sein. Cette fois, c’était une tout autre sensation, doux au toucher et très agréable, je devins encore plus rouge. Elle était d’une grande beauté, même si ses seins n’étaient pas aussi gros que ceux de June, je crois que je préférais les siens à ceux de la Sainte du Caméléon. Mon sexe pulsait dans mon pantalon.
 
_ « Avec ce déménagement j'ai mal au dos. Si tu veux que je retire ma culotte, il faudra le faire pour moi. Mais avant, tu vas te déshabiller. Et tu vas aussi me dire pourquoi tu prends un appartement, et ce que tu fais dans la vie. Tu vas au lycée ? »

Elle se recula tandis que je hochais la tête.

_ « Je vais poser mes affaires dans la chambre à côté… j’en ais pour quelques secondes. »

Je sortais non sans avoir vu Zoé qui se caressait sensuellement les tétons pour attirer mon regard, ce qui marchait parfaitement. J’ouvris la porte de ma chambre et y déposais ma Pandora Box et mon grand sac militaire. Ce qui me pris trente secondes, puis je revins dans la chambre de Zoé. Elle était toujours à se caresser les seins. Je secouais la tête tout en retirant mes bretelles. Puis je fis tomber mon pantalon à mes pieds, mon sexe dépassant de mon slip de cinq bon centimètre. Je retirais mon t-shirt vert puis mon slip, me montrant nu devant elle. Je n’avais aucune véritable gêne avec mon corps, mais plus avec celui des femmes. Mon sexe mesurait dans les vingt bon centimètres et était bien dressé.

_ « Alors, pourquoi je prends un appartement ? Parce que je dois bien avoir un endroit ou loger. Ce que je fais dans la vie ? »

Je ne pouvais pas dire que j’étais un Saint d’Athéna. je déglutis en approchant d'elle.

_ « J’ai repris récemment les études, même si j’ai beaucoup de lacunes… et oui, je vais au lycée Mishima, du moins j’y serais dans quelques jours… tu veux que je retire ta culotte, c'est bien ça ? »

Je rougis à nouveau tout en déglutissant, je lui retirais sa culotte doucement, pour ne pas lui faire de mal.

- Je vais poser mes affaires dans la chambre à côté… j’en ais pour quelques secondes.

     Zoé le regarda quitter la pièce et revenir quelques instants plus tard sans arrêter de se caresser les tétons. Elle s'amusa avec dans le simple but d'intimider et d'exciter Shun. Elle aimait se retrouver nue devant ses proies et les envoûter avec ses formes. Le garçon commença à se déshabiller et Zoé n'en perdit pas une mienne. Il était vraiment bien taillé, et surtout très bien équipé. Il avait le plus gros pénis qu'elle n'avait jamais vu. Et il était fièrement dressé, prêt à la servir.

- Alors, pourquoi je prends un appartement ? Parce que je dois bien avoir un endroit ou loger. Ce que je fais dans la vie ? J’ai repris récemment les études, même si j’ai beaucoup de lacunes… et oui, je vais au lycée Mishima, du moins j’y serais dans quelques jours… tu veux que je retire ta culotte, c'est bien ça ?

     Elle ne dit rien et le laissa faire. Il s'était approché et lui retira doucement sa culotte. Zoé profita de ce rapprochement pour saisir le pénis de Shun. Il était grand pour sa petite main. Elle commença à le masturber tout doucement d'une main et caressa ses testicules de l'autre. Le gland ne tarda pas à devenir humide et Zoé s'en lécha les lèvres.

- Figure toi que je suis surveillante dans le lycée. Je pourrais t'aider à mieux t'intégrer. Enfin tout ça dépend de toi... Ah et je t'avais promis de te faire découvrir des choses, voici pour toi, déclara la jeune femme avant d'aller s'asseoir sur le lit et d'écarter les cuisses.

     Zoé écarta ses lèvres intimes avec ses doigts et fit signe à Shun pour qu'il s'approche. Elle voulait voir ce qu'il oserait lui faire. Elle n'allait certainement pas lui faciliter la tâche. Elle voulait sentir sa gêne et son excitation avant de passer aux choses sérieuses.

- Viens donc découvrir le sexe d'une femme. Viens me toucher, me caresser, m'embrasser, et me lécher le vagin. Tu peux essayer tout ce que tu veux. Profite-en car les prochaines fois, c'est moi qui déciderai de tout, c'est clair ?

     Elle le testait. Elle voulait voir s'il allait faire ce qu'elle avait dit ou s'il oserait tenter autre chose. Elle verrait aussi si ce dernier allait protester après sa dernière déclaration. De nature soumise ou non, il n'aurait pas le choix. Il finirait certainement avec une laisse et un collier autour du cou avant la tombée de la nuit. Soumettre un tel étalon allait devenir très excitant, et cette seule pensée fit gonfler ses tétons.

Zoé saisissa mon pénis de sa petite main et elle commença à me masturber doucement. Je gémis un peu plus fort tandis que son autre petite main caressait mes testicules. C’était bon, je n’avais jamais ressenti un tel plaisir même quand je pratiquais onanisme. Je la vie se lécher les lèvres. Je lui fis un sourire tout en gémissant et en rougissant.

_ « Figure toi que je suis surveillante dans le lycée. Je pourrais t'aider à mieux t'intégrer. Enfin tout ça dépend de toi... Ah et je t'avais promis de te faire découvrir des choses, voici pour toi. »

Si Zoé était surveillante au Lycée, je me demandais bien comment était sa vie là-bas. Ma nouvelle colocataire un peu perverse alla s'asseoir sur le lit et écarta les cuisses me montrant son propre sexe. Je n’avais encore jamais vraiment vu un sexe de femme. Puis elle écarta ses lèvres intimes avec ses doigts et me fit signe d'approcher. Je secouais un peu la tête tout en observant l’offrande de la jeune femme.

_ « Viens donc découvrir le sexe d'une femme. Viens me toucher, me caresser, m'embrasser, et me lécher le vagin. Tu peux essayer tout ce que tu veux. Profite-en car les prochaines fois, c'est moi qui déciderai de tout, c'est clair ? »

Je hochais la tête, elle était une dominatrice ? Bien… je vais moi aussi la tester pour voir jusqu’ou elle était capable d’aller. Je m’approchais du lit et je me mis à lui caresser les pieds puis je remontais doucement vers les mollets, d’une manière que je savais faire, mais que je n’avais jamais appris. Je clignais des yeux, c’était comme si je venais d’avoir un flashback mais sans savoir avec qui j’étais. Je secouais la tête pour revenir au présent. Etait-ce une vision d’une ancienne incarnation ? Peut-être…

Je continuais de lui caresser les jambes, embrassant ses cuisses d’une manière que je pensais sensuelle, passant le bout de mes doigts sur l’extérieur de ses jambes, tandis que ma langue léchait l’intérieur. Je n’aurais jamais cru que ce serait une autre fille que June qui me dépucélerais. J’allais perdre ma virginité avec une parfaite inconnue dont, je ne savais pas grand-chose, si ce n’est son nom complet, et son travail. Je m’arrêtais de la lécher mais je continuais de la caresser du bout des doigts.

_ « Et toi ? Qui es-tu vraiment ? Il semblerait que nous ayons le même nom de famille, mais que nous ne soyons pas de la même famille, tu le saurais si tu connaissais mon père. Si tu n’en as jamais entendu parler, c’est que tu n’es pas une orpheline comme moi… »

Je la regardais dans les yeux, mes mains courant doucement sur ses jambes, se rapprochant de son intimité. Je n’y connaissais rien et pourtant mes mains semblaient savoir quoi faire. J’approchais ma bouche de ses seins aux tétons bien dressés puis les suçotais, l’un après l’autres, doucement, passant ma langue dessus. L’une de mes mains remontaient vers l’intimité de la jeune femme tandis que l’autre remontait vers son ventre. J’éloignais doucement ma bouche de ses seins.

_ « Tu es une sublime jeune femme… et tu es tout à fait mon genre. »

Ma tête descendit vers le sexe de Zoé pour le lécher doucement, ma langue passant entre ses lèvres intimes.

     Zoé regarda Shun la caresser gentiment en commençant par les pieds et en remontant lentement. Il savait y faire malgré son jeune âge. Zoé appréciait le dévouement du jeune homme et commença sérieusement à être excitée quand ce dernier commença à embrasser et lécher l'intérieur de ses cuisses. Elle frémit et se mordit la lèvre inférieure. Elle ne tiendrait pas longtemps, mais elle ne devait pas lui donner l'impression qu'il avait de l'emprise sur elle. Elle masqua son excitation dans une expression de neutralité absolue.

Et toi ? Qui es-tu vraiment ? Il semblerait que nous ayons le même nom de famille, mais que nous ne soyons pas de la même famille, tu le saurais si tu connaissais mon père. Si tu n’en as jamais entendu parler, c’est que tu n’es pas une orpheline comme moi…

- Moi ? Comme je te l'ai dis, je suis une surveillante au lycée Mishima. C'est tout ce que tu as besoin de savoir. Je ne connais personne d'autre ayant le même nom que moi si ce n'est mes parents. Tu es un orphelin ?

     La jeune femme faillit sursauter quand Shun s'attaqua à ses tétons qu'il suçotait tendrement. Elle couina et le regarda faire avec affection. C'était plaisant de laisser un garçon lui faire des choses sans l'y obliger, mais Shun ne devrait pas s'y habituer. Zoé caressa les cheveux verts du jeune homme pendant qu'il suçait sensuellement et donnait des coups de langue sur ses tétons.

- Tu es une sublime jeune femme… et tu es tout à fait mon genre.

- Evidemment que je suis sublime. Il n'y a pas plus belle que... Haaan...

     Décidément, Shun était vraiment très entreprenant. Il avait forcément mentit quand il avait déclaré ne pas connaître grand chose aux femmes et ce mensonge méritait sanction. Mais elle attendrait que ce dernier baisse sa garde. Zoé attrapa les cheveux du garçon pour plaquer sa bouche contre son vagin. Elle voulait bien qu'il prenne des initiatives, mais c'était tout de même elle qui décidait de tout dans cet appartement.

- C'est ça Shun... Lèche-moi... Insiste bien sur le clitoris mon chou, déclara Zoé sans lâcher les cheveux du garçon.

     Elle le laissa donc lécher son vagin et son clitoris pendant quelques minutes avant de le repousser et de l'allonger sur le dos juste devant le lit. Elle alla chercher une ceinture pour lui bander les yeux. Elle serra l'accessoire au maximum pour l'empêcher de voir. Après tout, il était hors de question qu'il l'observe faire ce qu'elle allait faire. Elle se plaça entre les jambes de Shun et recommença à caresser son énorme pénis qui était dressé à la verticale. Ce sexe était réellement impressionnant. Avant de passer à la suite, Zoé attrapa son téléphone et fit quelques photos de Shun nu, les yeux bandé et le sexe bien dur. Ces photos seraient utiles pour le faire chanter s'il n'était pas assez obéissant. Finalement la jeune femme se coucha entre les jambes du garçon et embrassa tendrement son gland humide. Elle se mit à caresser du bout des doigts ses testicules tout en léchant son gland de plus en plus sauvagement. Il allait bientôt être prêt pour sa première pénétration...

_ « Evidemment que je suis sublime. Il n'y a pas plus belle que... Haaan... »

Je souris doucement, elle semblait réceptive à mes attentions, c’était plus fort que moi, ce que je lui faisais, je ne l’avais jamais apprit et pourtant, je savais comment faire. Comme si l’esprit d’un autre me guidait dans mes gestes. Quand elle m’attrapa les cheveux pour plaquer ma bouche sur son intimité, je sus qu’elle était une dominatrice, ce qui me convenait, mais il ne fallait pas que ça aille trop loin, sinon, elle verrait ma puissance. Mon séjour dans l’esprit profond d’Hadès m’avait changé, peut-être pas en bien, mais j’étais différent du jeune homme doux qui ne voulait pas se battre. Aujourd’hui, j’étais prêt à me battre pour avoir ce que je voulais… et je voulais Zoé, mais aussi June, et d’autres encore, que je ne connais pas.

_ « C'est ça Shun... Lèche-moi... Insiste bien sur le clitoris mon chou, déclara Zoé sans lâcher les cheveux du garçon. »

Je me mis à lécher, me demandant ce qu’était un clitoris, mais je passais ma langue un peu partout sur son intimité sans rien n’oublier, tout en lui caressant les hanches, et les seins, déplaçant doucement mes mains. Cela dura pendant quelques minutes puis elle me repoussa et m’allongea sur le dos par terre devant le lit. Je la vis chercher une ceinture et la plaça sur mes yeux. J’eu un petit sourire quand elle serra. Elle voulait surement m’empêcher de voir. Je la laissais faire, mais avec mes sens Cosmiques, je verrais ce qu’elle me ferait.

_ « Pourquoi m’empêcher de voir ? »

C’était une question rétorique tandis qu’elle se plaçait en mes jambes. Elle recommença à caresser mon membre viril, je me mis à gémir, ses doigts étant doux. Grâce à mes sens, je la vis prendre des photos, je souris, je pourrais griller son appareil quand je voulais. Je sentis les lèvres de Zoé sur mon membre, je gémis à nouveau, brûlant rapidement mon Cosmos pour griller son téléphone. Ses doigts caressait mes testicules tandis qu’elle léchait mon membre de plus en plus rapidement. En tant que Saint d’Athéna, ma résistance était déjà légendaire, mais maintenant que j’étais une divinité mineure, celle-ci s’était encore décuplée. Je la laissais faire, elle y connaissait plus que moi, sur ce sujet.

- Pourquoi m’empêcher de voir ?

     Zoé ignora la question de Shun alors qu'elle s'amusait avec son pénis. Ce n'était pas humain d'en avoir un si grand. Ce qui était certain, c'est qu'elle ne laisserait aucune femme y toucher. Ce sexe imposant était devenu sa propriété. Elle continua de lécher tendrement le gland de Shun puis y plaqua ses lèvres pour l'embrasser langoureusement, tournant sa langue tout autour tout en le caressant avec ses lèvres. Après une bonne minute à embrasser et lécher son gland, Zoé glissa sa langue le long de l'énorme queue brûlante jusqu'à atteindre les testicules et commença à les lécher.

     Finalement elle se redressa et alla se mettre à genoux au dessus du membre du garçon. Zoé se baissa lentement jusqu'à ce que le gland humide et chaud entre en contact avec ses lèvres intimes. Elle attrapa le pénis et se caressa la fente avec. Finalement elle le plaça contre son orifice et se laissa presque tomber pour se pénétrer brutalement.

- Je t'empêche de voir pour que tu te concentres uniquement sur les sensations que je te procure. Et aussi parce que j'aime marquer ma domination, déclara Zoé en riant.

     Zoé se mit à se déhancher sensuellement avec la queue de Shun dans son vagin. Elle n'avait jamais été autant excitée en dominant un garçon. Elle posa ses mains sur le torse de son partenaire et se mit à le griffer doucement tout en relevant et en baissant les fesses pour savourer encore et encore les nombreuses et puissantes pénétrations du pilier de chair dans son intimité. La jeune femme prit son téléphone pour immortalisé cet instant quand elle vit que l'écran était noircit et que l'appareil fumait légèrement. En colère, Zoé se retira d'un seul coup pour examiner son téléphone sans un regard pour Shun.

- Qu'est ce que c'est que ça ? Il est tout neuf putain !

     Heureusement pour Shun, la dominatrice n'avait pas la moindre idée de ce qui avait bien pu se passer. Elle ouvrit le téléphone pour sortir la batterie et se brûla les doigts en la touchant. Aurait-elle explosée ? Pourtant il n'y a pas eu le moindre bruit. Elle ne l'avait peut-être pas entendu et était trop occupée à jouer avec sa nouvelle "acquisition". Zoé lui retira la ceinture et le regarda avec colère. Elle devait passer ses nerfs sur quelque-chose, ou sur quelqu'un.

- Va me chercher des glaçons ! Je me suis brûlée.

Je sentais la jeune femme jouer avec mon membre viril, je souriais tout en gémissant. Sa langue jouait avec mon gland tandis que ses caressais mes boules. C’était pour moi nouveau et en même temps, c’était une chose naturelle. Comme si j’avais déjà fait ce genre de pratique alors que je savais pertinamment que j’étais totalement vierge, enfin plus tout à fait. Après une bonne minute à embrasser et lécher mon membre, Zoé glissa sa langue le long ma queue jusqu'à atteindre mes testicules. Elle commença à me les lécher.

Je la vis se redresser grâce à mes sens Cosmiques, puis se mettre au-dessus mon sexe. Elle se baissa lentement jusqu’au bout de celui-ci, je gémis à nouveau. Elle attrappa mon pénis et se caressa le sexe avec. Puis elle se laissa embrocher par mon membre imposant.

_ « Je t'empêche de voir pour que tu te concentres uniquement sur les sensations que je te procure. Et aussi parce que j'aime marquer ma domination. »

Elle gloussa et se mit à se déhancha sensuellement sur mon membre dans un vas-et-vient, on ne peut plus plaisant. Je sentais ses parois vaginales glisser sur mon pénis, c’était si bon que je ne savais pas si j’allais tenir longtemps malgré mon entraînement de Saint d’Athéna. Je sentis ses mains sur mon torse qui me griffèrent doucement. Ce genre de blessure n’étant rien comparé à tous ce que j’avais enduré, je n’en avais cure. Ses vas-et-viens allaient assez lentement et pourtant, c’était comme une explosion dans mes sens Cosmiques. Peut-être n’aurais-je pas du user de ces sens ? C’était vraiment excitant de faire l’amour avec cette femme. Elle s’y connaissait bien.

Je la vis prendre son téléphone, certainement pour immortalisé cet instant, puis elle se retira d’un seul coup tandis que’elle quand elle vit que l'écran était noircit et que l'appareil fumait légèrement. En colère, Zoé se retira d'un seul coup pour examiner son téléphone.

_ « Qu'est ce que c'est que ça ? Il est tout neuf putain ! »

Je la vis ouvrir son téléphone pour sortir la batterie et se brûler les doigts en la touchant. Puis elle me retira la ceinture et me regarda avec colère. Je clignais des yeux pour me réhabituer à voir avec mes yeux.

_ « Va me chercher des glaçons ! Je me suis brûlée.
_ Montre-moi ça, je suis un peu coupeur de feu et soigneur. »

C’était un peu faux, mais le Cosmos pouvais servir à soigner. Je lui pris la main doucement et posait l’autre par-dessus, tout doucement, je fis brûler mon Cosmos doré, quasiment invisible vu que je le concentrais entre mes deux mains. La brûlure disparut rapidement, malgré ma déconcentration de la voir nue et de savoir qu’elle et moi avions fait, même si ce n’était surement pas fini.

_ « Voilà, c’est guéri ! »

Je lui fis un grand sourire.