La forteresse Alkion était si bien protéger et son existence connue que des plus grands commandants de l'armée, que nul avait crue possible une potentielle découverte par Ashnard. Mais le temps ne fut pas au débat, mais à la bataille. Alserac fut la plus rapide pour mettre au pied de guerre ses troupes, dont son champion, mais d'autre forteresse envoyèrent leur troupe, espérant arriver à temps pour soutenir le Champion de Nexus. Une marche forcé, sans repos, se restaurant en marche. Nul doute qu'il serait affaiblie, mais Alserac, non content d'avoir le Champion de Nexus dans ses rangs, avaient des soldats endurcies, endurants et qui avait connue bien pire.
Durant le temps que les renforts arrive, la forteresse, bien que prise au dépourvue, sut réagir promptement, fessant chauffer les chaudrons d'huile, armant les balistes, les catapulte, les scorpions et abaisser les grilles d'aciers. Malgré la puissance de l'ennemie, la forteresse déchaîna sa propre puissance, noyant sous l'huile bouillante et la poix leur adversaire, balançant des rocks lestés de fers ou des traits meurtriers et montrant que ses soldats n'étaient pas de simple défenseur qui subissait leur premier siège. Maelsor, fière commandant d'Alkion et excellent archet, contempla du haut de la tour des Visions, l'armée ennemie, craignant que celle-ci, de par l'importance des troupes, ne gagne par l'usure ses propres forces.
Après seulement un jour de marche et encore à quelque heures de la forteresse, les troupes d'Alserac marchèrent d'un pas lourd et décisif, se préparant pour une bataille aux enjeux capitaux. Jhorne, à la tête des troupes, avançant presque gaiement, avide de remplir son devoir et de combattre Ashnard, espérant trouver un adversaire à sa taille, sans mauvais jeux de mots. La plus haute tour d'Alkion était déjà visible, alors qu'il gravissait une pente douce, mais très longue, au bord d'une falaise, qui prenait petit à petit de l'ampleur. Mais très vite du haut de la petite pente, l'ennemie apparue, avant de descendre la pente en une longue procession de pique.
-Halte ! La voix de Jhorne, grave et puissante, si fit entendre facilement, ses hommes s’arrêtant d'un seul bloc. Balmor, ton avis.
-Des troupes de la Légion de Fer, une attaque frontale serait du suicide, surtout pour la cavalerie, distance de 200 pieds à tout casser. Lui répondit l’intéresser.
-Bien. FORMATION MUR D'ACIER PLAN D'ATTAQUE POISON ! Hurla Jhorne.
Son ordre ressemblait à un hurlement de géant, raisonnant dans l'air. Les hommes formèrent rapidement un mur de bouclier, à peine plus large que celle de leur adversaires, chacun connaissant sa place. Sur la premières lignes, chaque hommes portaient un lourd bouclier de chêne, fessant presque leur taille, fessant jaillirent leur lance, formant un mur d'épine, même si dérisoire comparé à celle de leur ennemie. Loin de n'être fais que de soldat, l'arrière garde avait des chariots, aussi bien de vivre, que de ravitaillement pour les archets et arbalétriers. La cavalerie, étonnamment se tenait derrière la formation, bouclier lever, épée et hache en main, et qui ne bougea pas quand les troupes principales.
À force de s'avancer, l'armée ennemie finit par réaliser qui se tenait face à eux, les choquant, allant même jusqu'à en inquiéter certains : Jhorne, le monstre d'Alserac, le Destructeur d'armée, le tueur du puissant générale Érios. Une terreur parmi les rangs d'Ashnard, nombreux sont les rapports fessant part d'un demi-géant balayant leur force, tuant des figures importante de l'armée et repoussant leur force à chaque une de ses apparitions. Une des pires menace d'Ashnard allait à leur rencontre. Jhorne dégaina son immense épée, plus grande qu'un humain, pesant plusieurs centaine de kilos. Il fit quelque moulinet, souriant d'un air mauvais, avant de s'avancer, suivit de ses troupes, bouclier lever, tandis que des arbalétriers se préparer à tirer.
Rapidement les archets firent feu, sous le signe de leur chef, remplissant le ciel d'une nuée de flèche, formant un nuage noir meurtriers. Les deux premiers rangs ennemie furent toucher, certaine ricochant contre l'armure, se brisant dessus ou parvenant à pénétré l'épaisse armure des soldats de la légion de fer. Les arbalétriers décochèrent leur traie meurtriers, pénétrant les armures ou traversant les imposant bouclier des hommes de Jhorne, malgré leur résistance, ou parvenant à traverser les interstices entre ces mêmes boucliers, alors que les propres arbalétriers de Nexus tentait de tirer. L'échange de tir occasionna plusieurs morts, alors que les armées aller bientôt faire face. Jhorne fut la cible principale des tirs ennemies, mais leur tirs se briser contre son armure et sa lame, fessant office de bouclier, rigolant sous les coups. Certaines se plantèrent sur les parties découvertes, mais cela ne semblait ne pas affecter Jhorne, sa peau épaisse et dur comme le cuir lui offrant une grande résistance. Il accéléra le pas distançant ses troupes, allant à la rencontre des piques que lui tentait l'ennemie, s'attentant à le voir s'empaler dessus, tandis qu'ils se seraient et ajouter d'autre pique sur son chemin.
D'un violent coup, il balayant les lances, brisant le bois, fessant perdre l'équilibre à leur porteur, tandis qu'il se rapprochait dangereusement. Malgré les tirs, malgré les piques, Jhorne brisaient tout, finissant par enfoncer la première et seconde lignes, soutenues par ses archets et ses arbalétriers. Chacun de ses coups pulvériser les armures et les os, broyant sous sa lame ses ennemies, moulinant dans la ferraille et la chair. À la suite, ses troupes le rattrapèrent, parfaitement aligner, interceptant les tirs, avant de se heurter au pique, fessant barrage. De la gauche jusqu'à la droite, la première ligne mirent leur bouclier sur le côtés, laissant les arbalétriers tirer une volée de carreau, touchant toute la première ligne, suivit d'une deuxième juste avant que les troupes ne charge, chargeant leur ennemie, qui tentait de replacer leur pique et de recharger.
Le choc fut brutale et rapidement une ligne de cadavre se forma, l'air se remplissant des chocs entres les lames, de la ferraille qui se brise, des cries de guerre et de rage et des cries de souffrance et d'agonie. À ses côtés, Jhorne reçu l'aide de soldats d'élite, tandis que leur armée se sépara en deux à leur niveau, ne laissant qu'une faible ligne de défense, avec un troue important. N'importe qui verrait cela comme un acte stupide, Jhorne se sentant sans doute trop puissant pour estimé que cela serrait une faille, mais en hauteur, on pourrait prendre cela pour un parie extrêmement risquer, car la cavalerie se dirigea vers se trou, formant une colonne massive de plusieurs centaine de chevaux et s'engouffrant dans ce même trou, alors que Jhorne et ses soldats se mirent rapidement de côtés.
La cavalerie enfonça donc violemment l'armée ennemie, pas du tout préparer à cela, les chevaux de plusieurs centaines de kilos traversant leurs ennemies, broyant impitoyablement quiconque devant eux, même quelque camarades n'ayant pas réagit à temps, pris dans la mêles. La cavalerie fit un éventail, progressant violemment, suivit des fantassins, achevant les rescapés. Jhorne rigola à gorge déployer, alors qu'il broya de sa main le crane d'un soldat tout en longeant la ligne de front, fessant gagner du terraint à ses troupes. Beaucoup de ses cavaliers perdirent la vie, mais l'armée ennemie n'avait plus de coordination, traverser à moitié par des chevaux de guerre et un demi-géant tandis que les troupes de Nexus s’enfoncèrent dans leur rang.