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La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

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Alexandre Dowell

Créature

La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

mercredi 19 octobre 2016, 01:43:16

Derrière ses épaisses Ray Ban Aviator aux verres noires fumées, Monsieur Thoomes n’était pas un client comme les autres. En fait, c’était bien la première fois que Dowell recevait, dans son cabinet à Seikusu, un client aussi particulier. Il l’avait senti dès qu’il était venu, avant même de lui serrer la main, à ce sang si particulier qui bouillonnait en lui. Dans un impeccable costume trois pièces fait sur mesure, Monsieur Thoomes était l’élégance même, et avait pris rendez-vous avec Dowell en personne, en appelant une secrétaire confuse. Cette dernière en avait été assez troublée quand l’homme lui avait parlé, en spécifiant clairement qu’il ne voulait, ni intermédiaires, ni collaborateurs, mais un entretien privé avec « Monsieur Dowell » au sujet d’une « disparition inquiétante », sans en dire plus. Très évasif au téléphone, il avait une voix calme, mélodieuse, mais empreinte d’une autorité terrifiante, qui avait amené la secrétaire à lui obéir. Sous ses airs d’hommes d’affaires occidental, Monsieur Thoomes était un homme très particulier, ce que sa secrétaire avait perçu au téléphone, et que lui avait venu en venant l’accueillir.

Monsieur Thoomes avait un attaché-case noir, et s’était rapidement assis.

« Il s’agit d’une femme, Monsieur Dowell... Pour d’évidentes raisons de confidentialité, j’ai choisi de ne pas en dire trop à votre secrétaire en prenant l’attache de votre cabinet. Et, pour être entièrement honnête avec vous, dans cette affaire, je ne suis qu’un intermédiaire, ou, pour un terme plus juridique, un simple mandataire qui a été chargé de vous contacter pour vous proposer un contrat.
Et qui vous envoie ? »

L’affaire aurait pu être de retrouver une jeune fille qui avait disparu à Seikusu, la fille d’un millionnaire qui avait décidé de passer ses vacances d’été au Japon, et avait traversé un Portail à Seikusu. Des affaires très classiques qui arrivaient assez fréquemment à Seikusu, et où seuls quelques cabinets étaient compétents pour agir dans ce domaine sensible et houleux. Cependant, Dowell avait le très net sentiment, persistant et durable, que l’affaire en question, celle proposée par ce Monsieur Thoomes, était... Bien différente d’une classique disparition.

Il ne répondit pas immédiatement, se contentant d’un sourire étincelant, révélant une série de dents blanches de grande beauté, cristallines, et ouvrit son attaché-case.

« Le nom de mon mandant n’est d’aucune importance en la présente affaire, Monsieur Dowell. Ce qui compte, c’est que vous soyez assurés que nous sommes des clients sérieux. À ce titre, voici toutes les garanties bancaires fournies par mon client. »

Monsieur Thoomes sortit une liasse de documents comptables, qu’Alexandre examina brièvement. Il y avait des identifiants bancaires envoyant probablement à des paradis fiscaux dans les îles, et des informations sur des sociétés-écrans abritant du capital social important. Il hocha lentement la tête. Dowell confierait ces documents au service comptable du cabinet, tout en sachant déjà qu’il ne trouverait rien de probant sur l’identité réelle de ce client.

« Je respecte votre devoir de confidentialité, Monsieur Thoomes, même s’il me paraît quelque peu exagéré. Après tout, si on ne peut plus faire confiance à son Avocat, à qui peut-on faire confiance ?
 -  Dans le métier que j’exerce, il est très important de rester discret. La confidentialité n’est pas qu’un principe déontologique important dans ma profession, c’est une raison d’être. »

Un nouveau silence plana entre les deux individus. Dowell n’obtiendrait pas grand-chose de cet homme, de ce rendez-vous atypique, mais ne comptait pas, pour autant, abandonner si facilement.

« Alors, qui êtes-vous ?
 -  J’exécute des contrats qui ont lieu sur Terre, ou dans d’autres plans, et pour lesquels mes clients ne peuvent pas se rendre sans s’attirer de gros ennuis. Je suis comme un passeur, en quelque sorte, et je viens vous transmettre une proposition qui m’a été confiée par mon client. »

L’affaire, assurément, n’était pas banale, et n’avait sans aucun doute que peu à voir avec le métier d’Avocat. Il n’y avait aucun dossier à défendre, aucune procédure judiciaire à lancer, car Dowell comprit très bien à qui Thoomes faisait référence en parlant de ses clients.

*Des démons...*

Alexandre hésita un peu, puis choisit de l’écouter.

« Mon client éprouve une rancœur particulièrement forte envers une femme, dont le véritable nom est Lumyel. C’est une Ange déchue qui a perdu son empire quand son mari, le Prince-Démon Efyel, est mort. Mon client envisageait de la supprimer également, mais elle lui a échappé, pour tomber entre les mains des Anges, qui l’ont banni en lui coupant les ailes, la réincarnant sous l’apparence d’une humaine. »

Auprès de n’importe quelle autre personne, ce discours aurait semblé relever de la plus pure démence... Mais Dowell était très bien placé pour savoir que l’homme ne plaisantait pas, et était, au contraire, particulièrement sérieux en lui parlant.

« Cependant, mon mandant lui a offert un cadeau... Il a réussi à atténuer le bannissement en permettant à cette femme de redevenir l’Ange qu’elle était jadis... Mais une Ange particulièrement diminuée, qui dispose juste de suffisamment de magie pour être plus résistante qu’une humaine normale... »

Il lui confia alors ce que ce mystérieux et puissant client voulait, ce qu’il proposait, ainsi qu’une adresse, où Dowell comptait envoyer ses agents, et un nom.

Alyson Tombstone.
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 1 mercredi 19 octobre 2016, 16:42:55

Alyson habite au 1563 Tokugawa dans le quartier de la Toussaint... Un studio spacieux d'environs 50m2... Vu le prix des logements, et la crise immobilière qui sévit au Japon, et rend chaque parcelle de terre hors de prix, c'est plutôt luxueux, pour une fille de son âge... Mais elle est surtout l'ancienne ange favorite de Dieu, Lumyel, et ancienne princesse des enfers, elle n'a pas envie de tomber trop bas... Elle supporte déjà assez mal sa condition actuelle, et vie largement au dessus de ses moyens...

Pour tout dire, qui s'y connait un peu en informatique, la trouvera dans les fichiers de recouvrement de loyer, de crédit a la consommation pour tout un tas d'achat indispensable, comme du maquillage, des chaussures, des robes, et beaucoup, beaucoup de loisirs... Elle n'a jamais rien eu a payer, alors, elle ne comprend pas encore bien ce concept, pour l'instant, tant que des idiots lui donnent de l'argent, elle le dépense !

Elle vie avec Razel, son serpent... Elle aurait voulu un boa, mais elle en a un petit, un serpent se nourrissant de souriceau pour l'instant... Faute de mieux... Elle se sent proche de lui, un reptile, en cage, nourrit de nourriture surgelé, et tournant en rond, ivre d'instinct prédateur inassouvis, et d'impuissance.

Elle vit dans un bordel sans nom, la femme de ménage ne voulant plus venir avant d'avoir été payée... Elle grommelle.

-Les mortels sont ingrats mon petit Razel... Je leurs ai donné l'ivresse de la guerre, la passion du carnage, des vices pour comler le vide de leurs existences, et voilà comment ils me remercient... Lorsque je suis faible, personne pour me vénérer ou venir faire le ménage... La plupart ne savent même plus que j'existe... Quelle déchéance...

Elle sourit, en repensant à la tête de son voisin, lorsqu'il la regarde passer dans ses robes trop courtes et trop moulantes... Il lui reste bien peu de manière de tourmenter les mortels, ou de faire naitre le vice chez eux, mais cela lui fait du bien... Si elle pouvait en pousser un ou deux au suicide, pêché capitale, cela lui ferait un bien fou...

Elle feuillète les annonces du journal, a la recherche d'une manière de gagner de l'argent, qui lui conviendrait. malheureusement, il faut travailler... A chaque fois ! Et 8h par jours en plus... Minimum ! A ce rythme la, entre le lycée et le reste, elle y passera tout son temps !

-Y en a vraiment marre de cette vie de chien Razel... Serveuse... Et pourquoi pas faire la vaisselle tant qu'on y est ?

Elle enfile une robe encore plus courte que la précédente, et va faire un tour en ville, elle trouvera sûrement un imbécile pour lui payer a manger, a boire, et l'emmener voir un film, en échange de quelques sourires, et la promesse non tenue qu'elle lui ouvrira ses cuisses un jour...

Les hommes sont stupides, autant en profiter...

Alexandre Dowell

Créature

Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 2 vendredi 21 octobre 2016, 01:33:36

Karl était sceptique. Sceptique sur cette mission, même s’il ne refusait jamais une mission. C’était un homme loyal, fidèle parmi les fidèles, qui accomplissait docilement chacune des tâches spéciales que son employeur, Dowell, lui confiait. Neuf fois sur dix, les missions étaient liées à ses activités judiciaires. Faire pression sur un témoin, faire disparaître des preuves... Dowell avait beau être un avocat compétent et redoutable, il était du genre à voir toute défaite du client comme une défaite personnelle. Karl était donc habitué à mener des missions de ce genre, mais celle qu’il allait faire ce soir faisait indéniablement partie de ce petit pourcentage restant. Il était en compagnie d’amis de confiance, des gens qui, comme lui, avaient mené une vie bien remplie. Karl, par exemple, était un ancien mercenaire qui avait participé à différents conflits, avant de se reconvertir. Les deux hommes qui l’accompagnaient, Hans et Jūrō, étaient également des professionnels.

Ils se trouvaient dans un van noir, devant un immeuble, chacun ayant une photographie de la cible. Alyson Tombstone. Un joli brin de fille. Elle avait un studio assez grand, surtout au Japon. Karl ignorait ce que le patron voulait à cette fille, mais il avait été très clair quand il avait donné ses instructions :

« Trouvez-là. Capturez-là... Et ne la ménagez pas. »

Karl avait donc sorti le fourgon, et attendait. Parfois, le patron le laissait jouer avec les filles. Karl était un homme sain, équilibré, mais qui avait toujours eu un problème avec les filles. Son problème, en réalité, était fort simple à comprendre : il n’aimait pas les préliminaires. Quand il avait fait la guerre, il avait pu se faire plaisir, et c’était d’ailleurs comme ça qu’il avait rencontré Dowell, alors qu’il était poursuivi pour des accusations de viol. Dowell avait pu lui éviter la prison, mais pas la radiation à vie de l’armée. Se reconvertir dans le mercenariat l’avait tenté, mais Dowell avait su le convaincre, et, depuis lors, Karl s’était refait une santé au Japon.

Et il fallait bien admettre que cette Alyson était foutrement sexy. Une nana canon, qui donnait à Karl une belle érection. L’homme, qui était chauve, observait la photo, quand la porte de l’immeuble de la cible s’ouvrit, la libérant, dans une robe assez courte, arrivant au-dessus de ses cuisses.

« C’est elle, les mecs... »

Tous les trois avaient des mines patibulaires, et Hans fut le premier à sortir, fumant une cigarette, et rejoignit le trottoir, suivant Alyson, tandis que Karl s’avançait avec le van. Le soleil commençait à se coucher, et il y avait pas mal de piétons qui se promenaient. Il s’arrêta un peu plus loin, à un feu rouge, observant la proie par l’intermédiaire de son rétroviseur extérieur droit.

*Merde, elle est encore plus bandante en vrai que sur la photo’ !*

Rien que pour ça, il ne pouvait qu’adorer ce boulot ! Soupirant lentement, il laissa Jūrō sortir. L’homme s’aventura également vers Alyson, remontant le trottoir en sens inverse. Un vendeur à la sauvette se rapprocha de lui, lui proposant des cartes postales, des jouets, des peluches...

« 100 yens la peluche, Monsieur, 100 yens !
 -  Casse-toi, sale con...
 -  Je vous l’abaisse à 50 yens ! Et ça, Monsieur, une carte postale... ‘‘Seikusu By Night’’, ça vous tente ? »

Jūrō, pour autant qu’il s’en rappelle, n’avait jamais aimé les colporteurs, et frappa l’homme en plein dans le ventre. Le colporteur poussa un léger gémissement plaintif, sa respiration se coupant, puis, sous le regard surpris des passants, Jūrō l’attrapa par la nuque, et l’envoya heurter la portière d’une voiture, avant de marcher vers Alyson, écartant nerveusement les piétons. Alyson portait une jupe trop courte pour être honnête, et une veste destinée à la protéger du froid, mais qui lui donnait un air plus sexy.

L’Asiatique portait des lunettes noires et une élégante veste donnant l’impression qu’il allait en soirée, avec une chemise sombre derrière. Il se rapprocha de la femme, et lui sourit, adoptant son ton le plus séducteur :

« Je n’ose croire ce que je vois... Comment une fille aussi belle que vous peut se trouver seule ? Parce que, enfin, si vous avez un petit-ami, ce dernier doit être fou de vous laisser sortir sans protection, Madame ! »

Il accompagna tout cela d’un sourire étincelant.

Dans l’idéal, il était préférable qu’elle coopère gentiment, mais si elle cherchait à s’enfuir, Hans se rapprochait, tenant dans la poche de son manteau un très efficace taser. L’idéal était juste d’éviter de provoquer un esclandre en comptant sur les talents de séducteur de Jūrō... Et lui en profitait pour mater le joli boule de cette salope en herbe, sentant également le désir pointer furieusement.
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 3 vendredi 21 octobre 2016, 16:54:41

Alyson sortit de son immeuble, s’étant fait un queue de cheval haute qui faisait tomber ses cheveux en cascade dans son dos, elle c’était maquillée sexy, et vulgaire juste comme il le fallait, et marchait en faisant claquer ses talons, dans sa robe rouge ultre moulante, les épaules a peine couverte d’une petite veste en faux cuir…

Spoiler (cliquer pour montrer/cacher)

Elle avait gardée beaucoup de chose de sa vie de démone, notamment, le gout pour le tape a l’œil ! La robe rouge, les boucles d’oreilles créoles en or, ses bagues, ses bracelets, et même sa manière de tortiller popotin lorsqu’elle marchait, tout en elle criait « ragardez moi, vous ne m’aurez jamais, mais vous avez le droit de baver »…

Elle n’avait pas de mal à se frayer un passage, les hommes s’écartaient devant elle pour pouvoir mieux la mater après l’avoir dépassée, et les japonaises, dans l’ensemble, se sentaient écrasée par la féminité de la jolie brune… Elle était tout ce qu’une japonaise ne devait pas être : arrogante, voyante, sensuelle… Elle sentait le vice grandir dans les cœurs et les pantalons des hommes qui la croisait, et la frustration qu’elle leur infligeait, en adorant cela. Qu’ils souffrent, comme elle souffrait de sa condition d’humaine. Elle avait peu de pouvoir , sur terre, mais le pouvoir qui lui restait, elle en userait au maximum…

Elle passa devant des marchand ambulant, elle aussi, sans leurs accorder un regard, ni même ralentir le pas, elle se considérait toujours comme la reine de l’univers, les autres ne s’en rendaient pas compte c’est tout. Elle avait l’éternité pour devenir au moins, la reine de la terre. Les anges avaient cru la punir, mais elle saurait se faire un royaume, même ici, même réduite à si peu..

Un homme l’aborda, elle poussa un soupire, et allait lui répondre, sans même le regarder, lorsqu’elle posa les yeux sur lui. Riche. Il avait l’air riche. Il pouvait être utile. Il pouvait être mené par le bout du nez comme tous les mortels. Elle avait tant de facture…
Et… il faut dire qu’elle avait toujours été sensible à la flatterie, c’était comme une pommade rafraichissante, elle en avait été couverte du temps de sa grandeur, aujourd’hui, elle était en manque.

Elle lui fit un sourire rougissant, car les hommes aiment qu’on leurs montrent qu’ils vous impressionnent, et se cambra légèrement, faisant remonter encore sa jupe sur ses cuisses, et se bomber sa poitrine, toujours sans avoir l’air de faire exprès…

-Monsieur, si j’avais un petit ami, il n’aurait pas à me dire ce que je dois porter ou non… A moins qu’il ne m’ait acheté mes vêtements… Car dans ce cas, je le laisserais me faire porter ce qu’il désir… Mais je peux vous dire d’expérience, que les vêtements que choisissent les hommes, sont rarement fait pour cacher quoi que ce soit… Ils aiment montrer aux autres ce qu’ils son seuls a posséder… Pas Vous ?

Elle gloussa, enlevant ses lunettes, et tirant sur sa robe pour la remettre en place, puis lui dit.

-Merci du compliment en tout cas…

Avant de lui faire un sourire, et de repartir, en roulant des fesses, espérant qu’il la rattrape, elle ne voulait pas avoir l’air désespérée, ou croqueuse de diamant, puisque… elle était les deux !

Alexandre Dowell

Créature

Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 4 jeudi 27 octobre 2016, 11:24:18

Dès le début, Jūrō eut envie de la baiser… Mais pas de lui faire l’amour. La voir se trémousser, avec ce maquillage qui lui tartinait la gueule, bomber des seins qui étaient déjà aussi visibles que le nez au milieu de la figure, gonflés à l’hélium, arquer sa  bouche en lui parlant, lui faisant des minauderies comme pour imaginer le moment où elle allait le sucer… Jūrō ressentait donc déjà cette envie féroce de l’attraper par les cheveux, elle et sa robe de salope ultra-moulante, et de la baiser, là, contre le capot de la première bagnole garée le long du parking. Elle se pavanait devant lui, avec son parfum de salope, avec ses yeux de pute, avec ce regard de vieille allumeuse…

Elle s’écarta de lui, en roulant du cul, soulevant un peu sa robe, et Jūrō se mit à déglutir sur place. Bien malgré lui, le côté « salope-occidentale-ultra-libérée » l’avait toujours excité, et, de fait, il commençait déjà à ressentir une érection pointant en lui. Cette nana n’avait aucune onde de décence, et ne cachait même pas être une pute, en ayant bien précisé, pendant sa tirade, qu’elle associait « petit-ami » au fait de lui « acheter » des trucs. Tout le reste n’était qu’un amas d’informations superfétatoires.

Il la rattrapa donc, car il savait qu’elle n’était partie que pour voir un homme lui courir après. C’était un jeu de dupes, où elle usait de sa beauté pour trouver le bon gogo à plumer, comme toutes les salopes de son type. Un double jeu qui collait très bien avec celui de Jūrō, de telle sorte qu’on pouvait dire que les deux effectuaient un jeu parfait de séduction, puisqu’ils cherchaient, tous les deux, à tromper l’autre, elle pour son argent, lui pour son travail, mais aussi pour la faire souffrir… Un peu.

Jūrō n’eut aucune difficulté à poser une main sur son épaule, comme pour la retenir. Au Japon, contrairement en Occident, les gens se touchaient peu, car le fait de toucher la peau de l’autre était considéré comme un geste intime. C’était cette philosophie qui expliquait pourquoi on ne se saluait pas en se serrant la main, mais en se courbant. L’homme venait ainsi d’envahir son espace vital, ce qui ne sembla nullement déranger la femme.

« Ça tombe bien, je suis ce genre d’hommes qui considère que, plus une femme est belle, et plus elle mérite qu’on se sacrifie et qu’on se dévoue pour elle. »

Le démon s’insinuait en lui, ce démon à cinq lettres, irrépressible, qu’on appelait « désir ». Il se rapprocha davantage de la femme, insouciant aux piétons qui déambulaient autour de lui, et posa son autre main sur son autre épaule, comme en signe évident de possession, de mâle en rut, ce qu’il était en effet. Il n’aurait vraiment su comment l’expliquer, mais cette petite femme, dont la tête lui arrivait à hauteur du cou, était en train de l’exciter furieusement, lui donnant une trique de tous les diables, ce qu’il n’avait pas ressenti depuis longtemps de manière aussi intense et rapide.

Jūrō était donc planté face à elle, humant son odeur, son parfum.

« Donc, si j’ai bien compris, tu porteras ce que je veux, si je te l’offre ? J’aime ton raisonnement… »

Le désir était visible, non seulement dans ses yeux, mais aussi dans son caleçon, son érection venant à croître, caressant les cuisses de la femme. Il en approcha ensuite ses lèvres, comme pour quémander un baiser, qui serait le signe symbolique de leur vraie-fausse relation amoureuse…

Et l’envie de la baiser se faisait plus féroce que jamais.
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 5 jeudi 27 octobre 2016, 16:29:37

Il avait mordu à l'hameçon, et sans modération, elle avait feint la surprise en sentant la main se poser sur son épaule, et avait jouer les petites choses fragile lorsqu'il l'avait enlacée avec son autre main, elle menait pourtant la danse, enfin, avait l'impression de mener cette valse de faux semblant, cette parade amoureuse qui codifient les rapport hommes-femmes et mettent un peu de jeu autour de relation purement physique...

En parlant de physique, si Alyson, lorsqu'elle se faisait appeler Lumyel, avait été un esprit puissant, elle n'avait jamais été l'esclave de son corps, son pouvoir était trop grand, et la maitrise qu'elle avait sur elle même a toute épreuve. Elle n'avait jamais laissé qui que se soit la toucher, pas même son mari, tous pouvaient la désirer, la regarder, mais elle n'avait pas connu d'amour charnel, et était vierge, comme au temps ou elle était ange. Une part de la fascination qu'elle exerçait venait du fait que personne ne pouvait se vanter de l'avoir sauter, et elle se délectait de ses montagnes de frustration inassouvies qu'elle laissait derrière elle.

Hors, aujourd'hui, toute immortelle qu'elle était, elle avait un corps. Un vrai corps d'humaine... Et elle ressentait des émotions nouvelles, des choses simple, la douceur de la soie, les gouts des aliments, des bonbons, le chocolat, le contact d'une main d'homme sur elle... Toutes ces choses insignifiante pour une puissance cosmique, mais qui pouvaient être troublante, et faisaient le sel de la vie pour une humaine... Aussi, bien qu'elle n'aurait pas pu identifier cela, et qu'elle l'aurait encore moins admis, elle éprouvait un plaisir et une excitation, qui n'avaient rien a voir avec la seule bonne marche de son plan, vivant une vie de femme mortelle, elle se sentait de plus en plus comme une humaine, avec ses fragilité, et sa part animale.

Elle se mordit la lèvre inférieure, en le regardant faire, souriante, rougissant même, troublée, sans savoir pourquoi, par ses manière, elle posa son indexe sur les lèvres de l'homme lorsqu'il lui fit comprendre qu'il voulait l'embrasser. Elle sentait sa bosse contre ses cuisses, et savait qu'il était chauffer a blanc, mais elle le frustrerait encore un peu, pour le simple plaisir de le rendre fou...

-Vous m'avez mal compris... j'ai dis que je porterais ce que vous voudriez , du moment que vous me l'offriez, SI ... vous êtiez mon petit ami... Vous voyez les nuance ?

Elle retira son doigt, restant collée a lui, les faisant ses yeux de biches, en le regardant d'en bas, malgré ses talons.

-Hors... Je ne vous connais pas...

Elle respira plus fort, sans savoir pourquoi, elle avait maintenant envie de l'embrasser. Elle n'avait jamais reçu de baiser, ni offert ses lèvre, et en cet instant, elle sentait son ventre s’échauffer, et ses lèvres brulantes... elle perdait un peu de ce contrôle qu'elle aimait tant, mais était trop troublée pour analyser ce phénomène, elle murmura.

-Mais vous avez de la chance... Je suis libre ce soir... Si vous voulez me montrer quel genre d'homme vous êtes... Et quelles tenues vous verriez sur moi...

Elle avait maintenant envie qu'il l'embrasse, et ne l'en empêcherait pas, s'il tentait quelque chose, au contraire, le fait qu'il insiste et lui impose, lui plairait plutôt maintenant.

Alexandre Dowell

Créature

Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 6 vendredi 28 octobre 2016, 11:47:37

Qui piégeait qui, dans ce jeu de dupes ? Jūrō ne se faisait aucune illusion sur les intentions de cette salope occidentale, qui voulait juste trouver un gogo pour lui payer ses fringues, et assurément assouvir quelques pulsions nymphomanes. Ce n’était pas si rare que ça. Beaucoup d’Occidentaux voyaient le Japon comme un pays de tarés, où tout était possible et permis, sous l’influence des mangas. La réalité était toute autre, bien entendu, mais avait pour conséquence que pas mal de salopes venaient ici, en espérant se faire sauter, comptant sur le fait que les Japonais fantasmaient sur les salopes occidentales pour vivre comme des Princesses. Elle était donc là, face à lui, le titillant, le stimulant, faisant sa mijaurée, minaudant avec ses yeux, glissant qu’elle ne le connaissait pas. Et, bien malgré lui, alors qu’il savait ce qu’il allait faire avec elle, le rôle qu’elle avait, et le fait que, fondamentalement, elle n’était que l’une de ces nombreuses putes qui déshonoraient l’Archipel, Jūrō sentit sa gorge s’assécher. La voir se mordiller coquettement les lèvres, poser son doigt sur ses lèvres, ses yeux de biche qui le fixaient avec une innocence feinte, mais sensuelle... Oui, il avait envie d’elle, en ce moment, envie de la tirer par les cheveux, et de la baiser contre le capot d’une voiture, d’enfoncer sa verge en elle, et de la faire hurler de joie.

Jūrō, qui aimait brutaliser les femmes en leur faisant l’amour, voyait ses lèvres s’approcher des siennes, et posa une main sur la hanche de la femme, l’abaissant pour se rapprocher de ses fesses, et posa l’autre sur sa nuque. Et, juste avant de l’embrasser, il réussit à prononcer quelques mots :

« Alors, faisons connaissance... »

Et, joignant le geste à la parole, il l’embrassa, pressant chaudement ses lèvres contre les siennes, se délectant du goût de sa bouche, de ce corps tendre et agréable. Cette femme était... Eh bien, pour le dire très simplement, elle était bonne ! Bonne, tout simplement... L’homme se faisait plaisir à l’embrasser, et maintint le contact pendant quelques secondes, se moquant bien des quelques rares regards étonnés qu’on pouvait leur jeter. Au Japon, en-dehors des heures de boulot, où il fallait se donner à fond, tout le monde pouvait comprendre qu’on avait besoin de se relâcher. Et, de fait, les badauds regardaient plutôt la main de Jūrō que son baiser, puisqu’il serrait désormais l’une des fesses de la femme. Alyson étant plus petite que lui, il utilisait ses muscles pour la redresser, soulevant aussi sa jupe.

L’homme termina son baiser au bout de plusieurs secondes, et esquissa un sourire.

« Je verrais beaucoup de tenues sur toi, en fait... Tu sais, comme ces poupées occidentales, là ? Les Barbie, ou j’sais-pas-quoi... Bon, c’est une pétasse blonde, mais, mis à part la couleur de cheveux, tu lui ressembles pas mal. »

On pouvait le dire, Jūrō n’était guère un séducteur, ni un grand romantique. Suffisamment intelligent pour suivre les ordres, et c’était, en réalité, tout ce qu’on lui demandait. Pour tout le reste, il n’était utile à rien. Il s’avança alors, ayant toujours une belle trique.

« T’as des lèvres magiques, en tout cas. J’devrais pas le dire à une dame, mais j’bande comme un puceau qui aurait sa première gaule... »

Pour autant, l’homme n’était pas vierge. Il avait juste une envie féroce de baiser cette nana, et sentait que, même si sa mission consistait juste à l’emmener dans le van, si elle continuait à le chauffer, elle risquait d’avoir droit à un petit extra’ gratuit, le genre supplément de la maison, servi sur place, avec sauce piquante.

Car elle le faisait bander grave, un truc de fou.
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 7 vendredi 28 octobre 2016, 16:21:02

Il y avait du monde dans la rue, mais Alyson s'en fichait, elle était un esprit millénaire, qui avait tout connu, dans un corps de jeune femme, qui n'avait rien connu. Elle n'avait jamais vécu les choses simples, tout avait toujours été pour elle du niveau d'enjeu cosmique... Elle n'avait jamais eu le cœur qui battait aussi fort, d'ailleurs avait elle eu un cœur ? Elle n'avait jamais ressentis son ventre s'emmflamer, elle était submergée par ces émotions, ne les ayant pas domestiquées.

Lorsqu'il l'embrassa en lui attrapant les fesses, elle se colla contre lui et passa la jambes qui prolongeait la fesses prisonnière de la main de l'homme autour de la taille de celui ci. La robe remonta, et entre cela, et le fait qu'il faisait tout pour l'exhiber, les gens dans la rue pourraient se rincer l'oeil a volonté, car elle était offerte a leurs regards... Mais cela n'avait pas d'importance, elle était entièrement prise par le baiser qu'elle donnait et recevait, elle goutait ses lèvres, sa langue, maladroite, timide, n'ayant jamais été embrassée, ni laissée quelqu'un l’attraper ainsi. Elle se sentait faible, et elle adorait cela...

Elle respirait plus fort, les joues roses, et le cœur cognant dans sa poitrine, sentant son string devenir humide... Elle frotta son bassin, inconsciemment, contre la queue du Japonais, ondulant des hanches sans comprendre ce qui la poussait a faire cela, il avait réveiller son désir charnel, elle qui n'avait jamais été enivrée que par la puissance magique...

Elle lui répondit, en gardant ses lèvre a quelques millimètres des siennes, le regardant dans les yeux.

-Je.... je devrais te gifler... Tu m'embrasse... Tu m’attrape me touche... Pour me traiter de pétasse ... Me dire que tu veux m'habiller comme une pute... Quel espèce de mufle a de telles manières ? je devrais...

Puis il lui parla de l'effet qu'elle lui faisait, elle sentait sa queue tendue contre elle, elle aussi n'en pouvait plus, elle avait des images qui lui passait par la tête, a cet instant, il aurait pu la prendre en pleine rue, devant chez elle, elle n'aurait pas eu la volonté de lui dire non, elle ne savait contrôler son désir, tout nouveau qu'il était pour elle.

Elle gémit pour lui répondre.

-La phrase d'avant tu me traite de "pétasse", et maintenant tu dis que je suis une "dame"... Il va falloir que tu te décide, je ne peux pas être les deux à la fois...

Les gens autour faisaient soit des regards indignés, soit ralentissaient pour mater plus longtemps ce couple qui s'affichait ainsi, d'autre faisaient semblant de vaquer a leurs occupation, quand les plus dignes les ignoraient tout bonnement. Mais un certains nombre de jeunes mataient avec insistance, et certains sortaient même leurs smartphone discrètement pour prendre des photos...

Alexandre Dowell

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 8 vendredi 28 octobre 2016, 19:13:03

« ...Parce que c’est incompatible ? J’vais t’donner un cours d’histoire rapide, ma chérie. Les plus grandes salopes, les plus grandes perverses, à faire des orgies, des saloperies, à tromper leurs maris avec des foules de servants et de prostituées... Ces pétasses-là, ce sont des nobles. »

Philosophe et historien à ses heures perdues, Jūrō avait surtout une belle trique. Certains adolescents commençaient à filmer, car, en relevant la jupe de la femme, il avait été aidé par cette dernière, qui avait relevé sa jambe. Elle ne touchait ainsi plus le sol, et offrait la vue de son cul aux spectateurs. Cependant, rien ne semblait la déranger, et, même le fait d’avoir été traité de « pétasse » avait semblé l’émoustiller. Était-ce si surprenant ? C’était une Occidentale, ces salopes s’étaient battues pour le droit de baiser sans relâche, de s’exhiber avec leurs culs moulants juste pour se faire sauter en pleine rue par un inconnu. Elle, il pouvait la prendre contre la voiture sous les yeux des badauds, elle en hurlerait de joie.

Elle feignait de protester, mais il n’était pas dupe. Elle ne se débattait pas, le ton n’y était pas, elle était excitée. Excitée comme toutes ces nanas qui cherchent le frisson, toutes ces putes qui préfèrent le vilain garçon au fond de la classe, qui s’habille en veste de cuir, et fume même des cigarettes, au connard d’intello à grosses lunettes, toujours bien habillé, qui bafouille sur place. Quand one st jeunes, on pense pas au fric, ça vient plus tard, quand on commence à devoir raquer pour payer les fins de mois. C’était là, à cette période, que le branleur du collège devenait un merdeux asocial se tournant vers la drogue et les allocations-chômage, et que l’intello’ à lunettes, le boutonneux tremblotant détesté pendant le collège, devenait cool. Jūrō avait sa vision de la société, et il ne voyait pas en Alyson une Princesse cherchant un prince charmant, mais une salope cherchant, comme toutes les nanas de son gabarit, un mélange entre le riche intello’ et le bad boy.

« Je pourrais te traiter comme une Princesse si j’étais un Prince, mais... J’crois pas qu’un Prince t’collerait une main au cul dès le premier baiser, et, pour ce que j’en sais des contes, les Princesses ont des robes plus longues que les tiennes, dooooonc... »

Indéniablement, cette nana l’inspirait, le stimulait. Il ne s’était jamais senti aussi lyrique avec une nana qu’en ce moment, et se rapprocha encore d’elle, venant embrasser son oreille.

« Y a des gars qui filment ton cul, tu sais... Ça t’excite ? Parce que moi, ça me fait bander encore plus fort... »

On pouvait dire ce qu’on voulait sur la taille du sexe des Japonais, Jūrō n’avait rien à envier aux autres. Proche de la femme, il se collait contre elle, et sa langue titilla son oreille. Une main sur une fesse, l’autre remonta pour presser son sein. Il faisait ça en public, sans gêne.

« Tu sais ce que j’ai envie de t’faire depuis tout à l’heure, ma chérie ? Qu’on fasse vraiment connaissance, tu vois ? Et, pour ça, je me dis que le capot de cette voiture, là, pourrait bien nous être utile, non ? »

Ne voulant laisser aucun doute dans l’esprit de cette femme, et raffermissant sa main sur son délicieux postérieur, il poursuivit :

« En fait... Ce que je veux, c’est te baiser, là, tout de suite, contre le capot de cette voiture... »

Elle aurait beau protester, si elle n’y allait pas franchement, c’était ce qu’il allait faire.
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 9 samedi 29 octobre 2016, 11:56:16

Ce qui avait débuté comme une chasse au pigeon, ou elle contrôlait les tenants et aboutissants, devenait quelque chose de nouveau, de complétement incontrôlable, et de délicieusement incertain... Elle ne s'était pas attendu a ressentir de tels frissons, lorsqu'elle était une ange, puis une démone, elle ne pouvait jamais se laisser aller, perdre le contrôle était une faiblesse, et les grandes puissances ne peuvent avoir de faiblesses, elles ont trop d’ennemis pour cela... Hors, voici qu'elle ne risquait plus rien, ayant déjà tout perdue, et que même en tant qu'humaine, son immortalité la mettait à l’abri de certaines contingence, comme gâcher sa vie, puisqu'elle pouvait en changer a chaque géné
rations, ou la perdre tout simplement...

Pour autant, se faire sauter en pleine rue, sous les flash des smartphones qui prennent des photos et des vidéos n'étaient pas dans ses projets de départ, mais ce type... Il faisait fondre sa volonté, elle tenta de résister à son désir a elle qu'il ne lui fasse subir ce qu'il lui proposait. Elle répondit :

-Tu veux dire que c'est la... La grandeur qui pousse a la décadence ? Et la médiocrité la combat ? hummmm...

Elle n'en pouvait plus, elle n'arrivait pas a réfléchir, elle voulait, elle essayait, mais elle n'y arrivait pas, des images lui passait par la tête... Elle se voyait sur se capot de voiture, à se faire prendre entourer de tous ces gens qui n'en pouvaient plus...

Elle gémit, en tirant sa robe pour couvrir ses fesses, mais en se collant toujours a lui, envoyant des signaux contradictoire, ne sachant pas elle même ce qu'elle voulait vraiment.

-J'habite la rue tu sais... hummm... Je... Déjà que les voisins et le quartier à filmer mes fesses, et que tout le monde m'avait repérée depuis que j'ai emménager... hummm... Je.... Je ne peux pas me permettre d'en rajouter... haaann...

Elle ne peut s’empêcher de l'embrasser, sa robe remontant sur une fesse, pendant qu'elle tire de l'autre coté pour essayer de couvrir l'autre, elle se cambre un peu plus, sans vraiment y penser, tout en l'embrassant avec gourmandise, et passion, ignorant qu'il était venu avec deux complice pour l'enlever, elle conclu en murmurant entre deux baiser :

-Pourtant... hummm... j'ai envie de toi... C'est la première fois que... Qu'un homme me fait perdre le contrôle comme çà... hum... Je ... Je voulais que tu le sache...

Démone, elle ne pouvait jamais se confier, pas plus que de se laisser aller a quoi que ce soit, les couronnes sont souvent des chaines, et le pouvoir un fardeau, là, elle pouvait dire ce qu'elle pensait, juste parce qu'elle en avait envie, il n'y avait pas un ennemis aussi puissant qu'elle pour se servir de ses confessions pour lui nuire auprès de quelqu'un d'encore plus puissant, car, il y a toujours eu plus fort qu'elle...

La liberté des faibles, c'était grisant...

Alexandre Dowell

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 10 lundi 31 octobre 2016, 09:01:47

Jūrō l’entendit se défendre en inventant la pire excuse qu’on puisse trouver : les voisins. Elle se tortillait contre lui, tirant sur sa jupe, mais, cette dernière étant trop courte, à chaque fois qu’elle cachait une fesse, l’autre se dénudait davantage. L’Asiatique ne répondit pas immédiatement, car la femme l’embrassa, gémissant contre lui. L’homme sentait ses seins, une belle poitrine, s’enfoncer contre son torse. Son rythme cardiaque s’emballait nerveusement, et il avait une envie de plus en plus féroce de la baiser.

« Perdre le contrôle... Laisse-toi aller, ma salope, accepte ce que tu es... Et dis-toi que, comme ça, les voisins seront fixés sur toi... »

Il ne la lâchait pas, et n’en avait aucune envie. Maintenant, c’était même encore plus fort qu’auparavant, car le désir parlait à sa place. Hans, qui, le suivait, savait qu’il valait mieux le laisser faire. Les badauds avaient peu à peu formé une sorte de demi-cercle le long du trottoir, tandis que Jūrō continuait à embrasser la femme... Puis la retourna soudain. Comme il l’avait promis, il la poussa, et le corps voluptueux de la donzelle heurta le capot de la voiture garée face à eux.

Elle se retrouva ainsi à moitié couchée dessus, sa jupe se relevant, ne cachant désormais plus du tout ses fesses. Se sentant traversé par une onde de désir et de forte confiance, Jūrō alla abattre sur sa croupe sa main, venant la gifler joyeusement, se délectant du bruit de la claque, du cri de la jeune femme, de ses vaines protestations. Son sexe lui donnait l’impression d’être un piston en éruption, et il déboutonna son pantalon, libérant son sexe. Son phallus vint caresser les fesses de la femme, et il se mit à sourire malicieusement.

« Tu as un cul magique, ma chérie... Putain, j’ai jamais vu un boule pareil, ma salope... ! »

Sincèrement, elle avait un cul magnifique ! Soupirant encore, il se rapprocha à nouveau d’elle. Son sexe caressa ses fesses, glissant le long de sa peau, et ses deux mains se posèrent sur sa croupe, écartant ses fesses l’une de l’autre. Sa respiration se faisait lente, il déglutissait sur place, tandis que les gens filmaient, muets de stupeur, ou parlant rapidement entre eux...

« Regarde comme les gens bandent devant ton cul...Et tu aimes ça, ma salope, je le sens... Te sentir observée, désirée, susciter leur excitation... Ta pudeur ? Bah, quelle blague ! Tout ce que tu veux, c’est te faire baiser, et je suis là pour ça ! »

En grognant, Jūrō s’enfonça en elle, la pénétrant sans ménagement, filant dans sa chatte, et commença à remuer. On pouvait voir ça comme un viol... Mais il était sûr qu’elle était consentante.

Alors, autant en profiter, non ?
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 11 lundi 31 octobre 2016, 16:53:38

Alyson est dans un état second, lorsqu'il la retourne, elle a les idées qui se suivent, et ne se ressemble pas, elle était sortie pour trouver un dindon, et c'est elle qui est en train de se faire avoir, devant tout le monde... Elle connait la société japonaise, elle sait que ce qui se passe, va changer sa vies pour les prochaines années, elle s'en fiche, elle a l'éternité devant elle, mais quand même. Elle n'avait jamais réfléchitEll a ce qu'elle allait faire de sa vie d'humaine, elle vivait au jour le jour, en se comportant plus ou moins comme elle l'avait toujours fait. Elle n'avait pour l'instant ni réputation, ni vie sociale, et elle était encore en phase d'adaptation, elle n'avait rien fait d'important a part vivoter et s'inscrire en terminale...

Elle voudrait répondre, mais elle n'a pas le temps, les mots se bousculent dans sa tête, et elle ne fait que bredouiller quelque chose que personne n'entend.

Elle se retrouve a plat ventre sur le capot de la voiture, et gémit en se cambrant lorsqu'elle reçoit la fessée de Juro, il a perdu ses bonnes manières, il l'appelle "salope", et n'a plus rien du prince charmant, mais ça lui plait, elle n'a rien vécu depuis son arrivée sur terre, uniquement des jours insipides qui se suivent, elle a découvert des sensations, mais rien d'aussi grisant que de voir un monde bruler sous son joug.

Là, il se passe quelques chose, elle est le centre de tout, et elle sent la sauvagerie de Juro, sont désir ardent... Elle regarde autour d'elle un instant, tous ces visages derrières leurs téléphones portable, ils n’ont jamais rien vécu, et ne vivront jamais rien, ce sont des spectateurs, ils n'ont que ca, il on vu ceci, ou vu cela, mais n'ont jamais rien expérimenté de vraiment extrême, ils sont enchainés par les conventions... Elle n'a pas envie d'être enchainée, pourquoi devrait elle se plier a quoi que ce soit, elle qui ne l'a jamais fait...

Elle ne lui répond pas, elle n'a rien envie d'avouer, rien envie de cautionner, elle se laisse porter par le fleuve du désir de l'homme qu'elle vient de rencontrer, il ne le sait pas, mais il est en fait le premier à la prendre, depuis le début des temps. Elle était restée pure, par simple vanité, depuis ces temps immémoriaux...

Elle poussa un gémissement de plaisirs lorsqu'il la prit d'un coup.

-Oh mon dieu !!!

Et c'est tout ce qu'elle avait pu dire, pour le reste, c'était son corps qui parlait, elle se cambrait, remontant ses fesses, fermant les yeux, ramenant les mains près de son visage pour amortir les coups contre le capots, elle ne cachait pas son plaisir, elle était libre de se donner à qui elle voulait, et comme elle voulait, elle choquait, tout en rendant les hommes fous, elle sentait un peu des feu de l'enfer dans son ventre, comme si un bref instant, elle était revenue à la maison...

Alexandre Dowell

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 12 mardi 01 novembre 2016, 02:25:07

Le plan initial avait été, tout simplement, d’attirer cette femme le plus discrètement possible... Mais, en entendant les éclats de voix, et en voyant l’attroupement se former autour du couple, Karl comprit que la discrétion allait passer au second plan.

*Foutu Jūrō, tu ne pouvais pas retenir ta queue dans ton pantalon cinq minutes, putain ? Comment on est censés embarquer cette nana, maintenant ?!*

En soi, le fait que Jūrō s’envoie en l’air ne le dérangeait pas, en soi, mais il était surtout contrarié de voir la mission être retardée. Karl était comme ça, un professionnel. Bien sûr, il mentirait en disant que cette pute n’était pas terriblement bonne dans sa robe courte, mais Karl avait cette vision très professionnelle, qui l’amenait à considérer qu’il fallait prendre son pied après. Le réconfort après l’effort, c’était ainsi que les choses tournaient dans le monde.

Jūrō aussi suivait cette logique... En temps normal. Mais que serait un principe de vie s’il n’était pas assorti d’exceptions ? Et comment voir cette femme autrement que comme une exception ? L’homme la pénétrait rudement, écrasant son magnifique corps contre la voiture, filant en arrière, puis revenant en avant, la soulevant. Elle couinait, gémissait, mais on ne la faisait pas à l’homme. Jūrō savait qu’elle était monstrueusement excitée par ce qu’elle ressentait, et ça, c’était une chose qu’il sentait. Ce n’était pas juste l’illusion que le violeur ressentait quand il tombait sur une nana, et qu’il se disait qu’elle était forcément consentante. Non, cette fois, c’était pour de vrai ! Il donnait des coups de trique, giflait ses fesses, aplatissait son corps sur elle, soulevant ses jambes, qui n’en touchaient parfois même plus le sol, et continuait ainsi à la prendre.

« Hmmm... Putain de salope, t’as... T’as une de ces chattes, bordel ! »

Diable, ce qu’elle était bonne !    C’était dingue de se dire ça, de réaliser qu’il n’arrivait plus à se retenir, qu’il avait oublié tout contrôle, perdu toute forme de retenue. Le corps de la jeune femme frottait d’avant en arrière sur le capot de la voiture, sa robe se soulevant à chacun des passages de l’homme, ornant la voiture de sa mouille. On pouvait entendre ,la voiture hoqueter, le capot s’enfonçant et se redressant, les jambes d’Alyson tapant dessus.

Tendu, fièrement érigé, le chibre de Jūrō se glissait en elle, la prenant jusqu’à la garde, comme un magnifique prélude pour la suite. Il posait ses mains sur ses hanches, en appui, les coinçant entre la peau de la femme et la voiture, mais s’en foutait pas mal, car... Putain, ouais, cette nana était... Elle était juste bonne, quoi ! Et, rien que pour ça, la baiser sans relâche lui procurait un plaisir particulièrement jouissif.

Il allait jouir en elle, Jūrō le sentait venir... Et, comme pour mieux accompagner ça, de nouveaux jurons s’échappèrent de ses lèvres :

« Raah... ! Sa-Salope... !! »
DC d’Alice Korvander.

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Alyson Tombstone

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Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 13 mercredi 02 novembre 2016, 14:33:21

Alyson se lâchait complétement, elle n'avait même plus la lucidité pour chercher une quelconque justification philosophique, ni le pourquoi du comment elle en était arrivée la. Elle prenait son pied. Elle mouillait comme jamais, d'ailleurs, avait elle déjà ressentis une telle excitation physique ? L'ivresse du combat, de la maitrise des arcanes certes, mais un plaisir brute, animale comme cela ? c'était elle jamais laissée allée ? Elle avait toujours gravité dans de telles sphères, que s'y maintenir était un effort constant, elle avait toujours eu peur de la chute, vertigineuse, qui l'attendait... Aujourd'hui, elle avait tout perdue, mais était libre de faire n'importe quoi si elle le voulait... Elle était en fait, en pleine crise d'ado !

Elle se fichait des gens autour, en fait, elle éprouvait une excitation supplémentaire a les choquer, elle suivait ses envies, et elle porta une main entre ses cuisses, elle avait envie de se toucher là, sans savoir pourquoi, elle le faisait ses tout, ses caresses lui procurant encore plus de plaisir, elle porta son autre main a sa bouche, et se mis a sucer ses doigts, simplement parce qu'elle avait envie, la aussi, elle était a l'écoute de son corps, de ses fantasmes, et la, elle avait envie de se faire prendre, comme Juno la prenait... Sa robe remontait a cause de frottement, mais la partie supérieure, elle descendait, découvrant sa poitrine, elle finit par n'avoir qu'une espèce de grosse ceinture rouge, son corps offert aux mateur qui formaient un cercle toujours plus compacte autour d'eux.

Il la traitait de salope, lui disait qu'elle était bonne, ca la rendait encore plus lascive, elle se cambrait, et faisait des regards de chatte en chaleur, alors que ses gémissement devenait de plus en plus ceux d'une pornstar... Elle gardait toujours cet air d'innocence, mais cela uniquement pour rendre encore plus de contraste, avec la luxure qu'elle offrait aux regards.

Elle aussi allait jouir, elle n'avait jamais connue cela, ne c'était jamais autorisée a perdre le contrôle ainsi, elle sentie une vague électrique monter de ses reins, et la secouer de spasmes intenses alors qu'elle gémissait d'une voix brisée par l'intensité de ce qu'elle vivait:

-Oh... Oh mon dieu... je .. han han ! Oh MON DIEU !!! HAN HAN !!! OUIII OUII !! ENCORE !!!! ENC... Haaaaann HUMMMPPppppppfff...

Elle se mordit la lèvre, car elle n'arrivait plus a parler, et elle aurait voulu hurler si tous les muscle de son corps n'avait pas refuser de lui obéir, n'en faisant qu'à leur tête, alors qu'elle sentait l'orgasme, son premier, dans des circonstances que d'aucun jugeraient extrême, elle comprenait le vrai sens du mot pêché originel. Elle avait toujours trouvée les mortels faible et facile a manipulé, mais ils étaient l'objet de tant de peur, de tant de vice, de tant de plaisir , de tant de dépendance, dans lesquelles elle même se perdait aujourd'hui...

Elle ondula des fesses, pour mieux accueillir l'homme en elle, elle voulait le sentir se vider en elle, elle voulait qu'il la souille... et qu'il le fasse devant tout le monde...

Alexandre Dowell

Créature

Re : La Déchéance des Purs [Alyson Tombstone]

Réponse 14 jeudi 03 novembre 2016, 12:46:03

Plutôt costaud, l’Asiatique prenait cette petite brindille avec une force et une rage dont il ne se serait jamais cru capable. Toutes ses inhibitions avaient sauté, sans qu’il ne puisse se l’expliquer. Or, ce n’était pas la première fois qu’il tombait sur des salopes comme cette fille. Pourtant, à chaque fois, Jūrō avait su se montrer calme, ou faire preuve d’un dégoût suffisamment fort pour que sa libido tombe à plat. Mais là... Là, putain, il sentait une frénésie incroyable s’emparer de lui, une force terrifiante qui le submergeait totalement. Quand il vit sa salope commencer à se toucher, ses deux mains jaillirent, relâchant ses hanches pour saisir ses poignets, et il les tira vers l’arrière, usant de ses muscles pour soulever le corps de la femme. Ce faisant, ses coups de pilons gagnèrent encore en intensité, car le corps d’Alyson se soulevait, pour retomber ensuite, rebondissant contre le capot de la voiture, provoquant des chocs métalliques. Sur la route, les deux ne venaient pas encore de voir qu’ils avaient formé un bouchon, car, face à eux, il y avait un feu tricolore, et les automobilistes n’avaient même pas réalisé que le feu venait de passer au vert, prenant des photos ou des vidéos.

Jūrō y allait donc, galvanisé par les hurlements de la petite pute, par ce con étroit et savoureux. Elle était bonne, merde, si bonne, si bonne ! La défoncer comme ça, c’était épique, jouissif, il adorait ça, il raffolait de son petit cul de salope, de ce corps de guêpe, de sa longue chevelure. Elle haletait, gémissait, hurlait, il grognait et soupirait profondément, sentant le plaisir croître, approchant du point culminant. Cette vague, il était impossible de la repousser, impensable de la réfréner, et il la laissa déferler en lui.

« Hmmmm... »

Dans un ultime et profond soupir, Jūrō laissa le plaisir éclater, atteignant le point suprême, et des filaments de sperme jaillirent en elle, tandis qu’il relâchait ses poignets, agrippant ses fesses, et balança des jets de foutre, qui fusèrent dans son corps, tout en la dardant de plusieurs claques, avant de soupirer à nouveau, en sentant le sperme partir, et la tension nerveuse avec. Il soupira ensuite de joie, rouvrant les yeux, et sortit sa queue de sa chatte, laissant un filament de sperme tomber sur le sol.

Plus personne ne retenant Alyson, elle glissa à son tour, et atterrit sur les fesses, son visage face à la queue de Jūrō, une queue recouverte de semence.

« La vache... Je pensais pas que tu m’exciterais autant... »

Un véhicule s’arrêta alors à côté d’eux. C’était un van noir. Alyson n’eut pas le temps de signer des autographes, car Jūrō, sans plus attendre, l’agrippa par les épaules, et rejoignit le van, ouvrant la porte latérale, puis grimpa à l’intérieur, la jetant dedans, pendant que Hans les rejoignait, grimpant également à l’arrière.

En quelques secondes, la rue retrouva son calme, mais Jūrō et Alyson avaient laissé leur trace sur la voiture. Outre un capot légèrement enfoncé, il y avait aussi des traces de salive et de mouille tout le long de la voiture, dégoulinant sur le pneu, puis sur le bitume...
DC d’Alice Korvander.

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