Thérapie de la soumission ( PV Pauline Catalino)

Pauline dormit de nombreuses heures. La jeune fille avait été épuisée physiquement et mentalement. À son réveil elle vit Kuja-sama endormi à côté d'elle. Son corps tout entier était douloureux. La jeune fille commença à douter de son Dieu. Malgré toute sa dévotion, il l'avait épuisée et humiliée par de nombreuses façon. Elle se revoyait entrain de le sucer devant des gens. Elle se revoyait prise simultanément par son maître et par un de ses pantins. C'est ce dernier qui l'avait choquée. Était elle destinée à devenir un pantin sans la moindre conscience d'elle même ? Non certainement pas !
Depuis leur rencontre cet homme avait usé de manipulation psychologique pour l'affaiblir mentalement. Il ne lui avait pas laissé le moindre petit instant seule pour réfléchir. C'est comme ça qu'il en avait fait une esclave aussi docile. Mais là il dormait, et elle pouvait réfléchir sans être occupée à obéir à des ordres.
Cet homme avait abusé de ses faiblesses, elle devait s'en libérer rapidement. Elle mit une robe, des chaussures puis se dirigea vers la porte d'entrée. Elle était verrouillée...
La jeune fille fouilla partout et ne trouva pas la clef. C'est alors qu'elle décida d'entrer dans la salle interdite. Elle avait vu son maître cacher la clef de la porte dans un pot et s'en saisit. Elle ouvrit la porte et entra. Ce qu'elle vit la choqua. Le scientifique y était attaché tandis que le pantin était allongé dans un lit. Line remarqua rapidement un énorme chien enfermé dans une cage. Par chance elle ne l'avait pas réveillé. Elle continua d'inspecter la pièce et découvrit de nombreux objets fort déplaisant comme des chaînes, des pinces, des bougies, des fouets, des colliers et enfin des laisses. Il y avait également deux grands coffres fermé à clef. Impossible de savoir ce qu'il y avait dedans.
Elle alla retourner dans sa chambre pour que son maître ne remarque pas son absence quand elle le vit dans l'encadrement de la porte.

La soirée de la veille avait été éprouvante, et j'avais passé une longue nuit de sommeil. Cependant j'eûs la surprise de me retrouver seul dans le lit, remarquant l'absence de Pauline. Je décidai alors de me lever pour voir si elle préparais le petit déjeuner. Quel ne fut pas ma surprise en la voyant sortir de la pièce que je lui avait interdit, et tenter de revenir comme une voleuse dans la chambre. Sans attendre la moindre explication je la pris par la gorge et serrai de toutes mes forces.

- Tu comptais aller où comme ça, traitresse ? Je t'avais expressément demandé de ne pas entrer là dedans.

Hurlais je de fureur, la laissant suffoquer. Puis je retournai dans la dite pièce et ouvrit une autre porte qui s'y trouvais, dans laquelle j'avais préparé quelque chose de bien particulier dans le cas où elle choisirai de me fausser compagnie. Elle fut attacher à la table métallique qui s'y trouvais par des lanières en cuir, les yeux bandés.

- Tu as pris ton dieu pour un imbécile ? Crois moi après cela non seulement tu regretteras d'avoir tenté cette idiotie, mais en plus tu vas resubir ce que tu craignais tant.

Le scientifique que j'avais fait prisonnier avait été chargé sous peine de se faire écorché vif, de reproduire un début de laboratoire avec le même système d'expérience qu'il avait mis en place, tout en le chargeant de retravailler la formule, remplaçant le sperme d'animal au mien, afin d'en augmenter les effets ainsi que son assujettissement au donneur. Il se chargea alors de mettre un tuyau en verre dans la bouche de ma prisonnière et commença à faire circuler le produit qu'elle commençait à avaler.

Pauline ne l'avait pas entendu se lever et elle n'eut pas le temps de dire un mot que le manipulateur l'étrangla sans ménagement. La jeune fille suffoquait et tentait vainement de reprendre son souffle tandis que l'homme la ramena dans une seconde pièce cachée et l'attacha sur une table métallique. Pauline reprit son souffle et s'en prit immédiatement à cet homme qui avait abusé de ses faiblesses.

- Détache moi et laisse moi partir, hurla la jeune fille. Tu n'es qu'un manipulateur ! Tu me donnes envie de vomir !

Line fût coupée dans ses reproches par un tuyaux en verre aussi large qu'une petite tasse qui fût inséré dans sa bouche. La jeune fille avait beau tenter de se débattre, elle était solidement attachée. C'est alors que la substance à base de produit chimique et de sperme commença à s'écouler dans la bouche de Pauline. Elle etait obligée de rapidement l'avaler sous peine de finir étouffer. Elle avala donc le lent flot de sperme qui s'acheminait lentement mais inexorablement vers sa bouche. Elle n'avait plus qu'à espérer qu'il ne la laisserait pas ainsi trop longtemps...

Je m'assis tranquillement sur un siège afin d'observer le spectacle, voir toutes ses résistances qui avaient fini par se reformer, être brisée l'une après l'autre allait être instructif et hypnotisant à regarder. Elle fut ainsi pendant près d'une demi heure, avalant sans cesse la substance qui se diffusait à une vitesse étonnante dans tout le corps, l'empéchant de s'étouffer sur la longueur. Je claquai des doigts pour arréter la machine et lui retirai le tube pour commencer à voir ses premieres réactions, tandis que mon scientifique de poche allai se mettre dans un coin de la pièce en silence.

- Alors, que penses tu de mon petit régime spécial ? Tiens tu toujours à partir, ou veux tu que je te prennes sur cette table ?

Voyant ses tremblements je savais que quoi qu'il en soit elle n'était pas indifférente, après était ce de la colère ou une excitation incontrôlable, je n'allais pas tarder à le savoir.

Pauline tremblait de partout quand le tube fût retiré. Combien de litres de sperme avait elle été forcée d'avaler ? La jeune fille avait mal au ventre et si elle avait pu le voir elle aurait certainement remarqué qu'il était légèrement bombé. Son estomac débordait de sperme. Le tortionnaire demanda à la jeune fille si elle aimait ce nouveau régime, et si elle voulait toujours partir. Elle devait lui résister. Ce salaud de manipulateur n'allait pas la rendre amorphe et docile une seconde fois. Plus jamais elle ne le sucerai en public.

- Vous me faites bien rire ! Si vous croyez sur je vais céder si facilement. Votre sperme a bien meilleur goût que le sperme animal. Ici c'est de la rigolade en comparaison avec le centre où j'étais.

La jeune fille avait choisit de le provoquer. Elle était totalement en son pouvoir mais elle voulait au moins pouvoir l'énerver. Elle n'allait pas lui rendre la tâche facile, mais craignait tout de même la réplique du manipulateur.

Je décochai un sourire en l'entendant dire que c'était nettement plus supportable que dans son centre. Claquant des doigts, je fis venir un bulldog que je gardais pour de très rares occasion, car ce n'était pas forcément quelque chose m'attirant particulièrement, cependant en terme d'humiliation et de torture on fait rarement mieux. J'ordonnai au chien de monter sur la table, le plaçant au niveau du visage de Pauline, et la força à mettre le membre de l'animal dans sa gorge.

- J'ai bien compris que tu préferes tes semblables, alors tu vas t'occuper de lui, ou ta drogue tu pourras l'oublier, et tu finiras au fond d'un caniveau, nue et à la merci des nombreux pervers qui se feraient un plaisir de jouer avec toi.

Je pris un ton particulièrement amusé, tandis que le chien tel que je l'avais dressé commençai à faire des vas et viens dans la bouche de la patiente.

- J'arreterai quand tu me supplieras de te pardonner.

Pauline avait cherché à le provoquer pour lui montrer qu'elle n'était plus soumise. Et aussi pour l'énerver bien entendu. Mais elle ne s'attendait pas à ce qu'il ramène un chien. Elle avait imaginé qu'il la forcerait à avaler de la semence animale, mais elle ne se doutait pas qu'elle devrait prendre le sperme de l'animal à la source...
Ayant toujours les yeux bandé elle ne vit pas la bête. Le manipulateur fit monter l'animal sur la table où etait attachée Pauline, et la jeune fille commença à paniquer. Elle le sentît s'approcher de son visage tout en déchirant partiellement sa robe avec ses pattes.

- Ne faites pas ça ! Vous allez le regretter espèce de...

La jeune fille n'eut pas le temps de finir sa phrase alors que le chien enfonça son pénis dans sa bouche. Le goût était écoeurant. Le chien commença à remuer pour faire l'amour à la bouche de Pauline. Elle sentît son horrible membre gonfler rapidement contre sa langue. L'homme sadique déclara qu'il arrêterait quand elle le supplierait de lui pardonner. Mais elle n'était pas dupe, elle savait que si elle se soumettait elle devrait à nouveau obéir à tous ses ordres. Elle serait de nouveau humiliée.
Malgré tout l'effet de la drogue commençait à faire effet. Elle était dégoutée en sentant le chien remuer sa verge dans sa bouche mais elle commença à baver et peu à peu elle en apprécia le goût. La drogue en elle lui donnait de puis en plus envie de sexe, elle tenta de combattre l'envie mais commença à sucer tendrement le pénis du chien sans même s'en rendre compte.

Plutôt que de rester pour regarder le spectacle je décidais de sortir en la laissant en compagnie de l'animal afin de prendre une douche après la longue nuit que nous venions de passer, les murs étant fin j'entendai mes gémissement de la jeune femme avant de mettre l'eau en route. Je pris une heure avant de revenir retrouver mon invité. J'ordonnai au chien de partir et lui retira le bandeau des yeux.

- Maintenant tu vas te soumettre à nouveau, apres tout sans moi tu serai encore à la rue. Tu m'as brisé le coeur en voulant me trahir.

Je lui caressai le visage et pris le soin de lui essuyer la bouche avec un mouchoir, son regard ne trahissait pas une profonde douceur, chose qu'elle n'avait pas encore montré depuis que je l'avais recueilli.

Le regain de fierté et de conscience de Pauline disparurent au rythme des pénétrations de la verge du chien dans sa bouche. La drogue couplée à cette humiliation l'avait fait s'abriter dans une profonde soumission. La jeune fille fut forcée de sucer le chien pendant plus d'une heure et avala plusieurs fois les flots de sperme qu'il libéra dans sa bouche. C'était la première fois que Line était autant humiliée. Ni son ancienne maîtresse, ni les scientifiques ne lui avait fait subir pareille chose. La dernière décision qu'elle prit fût de s'abandonner totalement à cet homme cruel. Elle deviendrait sa petite chienne obéissante.

Kuja-sama exigea la soumission de la jeune fille et du voir dans son regard qu'il avait gagné. Elle était maintenant sa chose, son jouet, sa chienne. Il pourrait lui donner des ordres extrêmement humiliant pour la tester, et elle ferait tout pour le satisfaire.
Il essuya les restes de sperme sur la bouche de sa chienne à l'aide d'un mouchoir. Elle n'attendait plus qu'une chose, un ordre.

La voyant à nouveau calme, je lui remis son collier et sa laisse et la fit descendre de la table à quatre pattes la faisant avancer vers le salon, avant de lui donner des croquettes pour chien au petit déjeuner. Lui expliquant que si elle est sage, je la laisserai peut être se redéplacer normalement. Alors qu'elle mangea son repas je lui retirai ses vêtements pour lui faire porter la lingerie qu'elle avait acheté entre temps.

- Qui suis je pour toi ? Lui demandais je

Je voulais la tester pour voir jusqu'où sa reprogrammation avait été, dans le fond j'étais désolé d'en être arrivé là, et ne comprenais pas sa trahison soudaine, alors que la veille encore elle me vénérais sans faille.

Pauline suivit son maître à 4 pattes jusqu'au salon et mangea une croquette puis s'arrêta. Elle n'avait pas faim. Elle avait avalé plusieurs litres du sperme de Kuja-sama puis elle avait avalé le sperme du chien qui avait éjaculé plusieurs fois pendant toute l'heure où il avait pu mettre son pénis dans la bouche de la chienne. Elle se toucha le ventre et le sentit clairement bombé à cause de toute cette semence.
Kuja-sama lui retira sa robe et lui mit ses dessous en dentelles qui ne cachaient rien. Puis il lui demanda ce qu'il était pour elle.

- Mon maître, répondit docilement Line en allant lui lécher les pieds.

Pauline se sentait toute heureuse de pouvoir le lécher et lui obéir. Il semblerait que tant qu'elle prendrait un traitement similaire à celui du centre, elle resterait une chienne obéissante. Le sevrage par contre lui permettait d'être plus lucide sur la situation, et une tentative de fuite n'était pas à écarter.

La voir se montrer docile à nouveau était d'un grand réconfort pour mon autorité. Cependant j'avais pris une décision instinctive et mon seul moyen de pression pour la tenir calme était la torture psychologique. Je ne comptais pas laisser la situation tel quel mais en attendant de régler cela je m'attelai à la tâche en la prenant sans crier gare durant son repas tout en la filmant se faire violer.

Je pénétrai son anus soudainement et y fis des vas et viens rapides et sauvage, tout en lui maintenant les bras avec force sans me soucier de lui faire mal. Je sentis mon excitation grandir au fil de ses cris et gémissement de plaisir incontrolés.

- Après cela je ferai en sorte que tu te voies te faire humilier chaque soir avant de t'endormir dans ta niche, pour te rappeler qui est le maître. Et une fois que j'aurai fini ça, tu te caresseras jusqu'à ce que je te dise d’arrêter.

Pauline n'avait plus faim à cause de son nouveau régime à base de sperme, mais elle restait à quatre pattes devant sa gamelle. Elle ne vit pas venir son maître qui lui pénétra l'anus sans retenue. La jeune fille hurla de douleur en sentant la grosse verge de Kuja-sama forcer le passage dans son cul. En plus il la filmait. L'humiliation était telle que Line se contenta de laisser faire avec obéissance. Une chienne ne pouvait pas se rebeller contre son maître. Néanmoins elle était un peu soulagée d'être filmé par derrière. Difficile de voir don visage en même temps que son cul qui se fait violer.

- Je ferai tout ce que vous me dites maître, cria la jeune soumise alors que son cul était de plus en plus douloureux.

Se faire enculer de cette façon conforta l'impression que Pauline commençait à avoir d'elle. En fait elle n'avait jamais été une humaine. Elle était une chienne. Une chienne dans le corps d'une humaine...

Je continuais ma séance d'humiliation en gémissant fortement, sentant ma verge serré dans sa fente de plus en plus au fil de mes mouvements qui semblaient lui donner bien du plaisir malgré ses cris de douleurs. Je finis par me vider dans son anus au bout d'une bonne dizaine de minute. Après m'être rétiré je repris sa laisse pour l'emmener sur le balcon qui donnait en contre plongé sur une sorte de fête, et je lui ordonnai de rester là et de se caresser sensuellement à la vue des invités de cet évenement.

Pendant qu'elle était occupé à cela je retournai quelques instants dans ma contrée natale afin d'y trouver un fruit particulièrement rare, mais dont les effets sur un humain était radical. En effet une bouchée et l'être inférieur qui s'y sera essayé sera pris dans une puissante illusion. Préparé correctement, j'aurai le pouvoir de faire naître un attachement qui lui semblera authentique. Il me fallut de pas mal de temps pour finir par trouver, mais une fois l'objet de mes convoitises en main je retournai sur terre, pour trouver mon esclave de poche à deux doigts de jouir sur place, tandis qu'un grand nombre d'homme avait afflué au dessus pour observer le spectacle.

Pauline gémissait fortement tout en se faisant pénétrer l'anus avec violence. La chienne fut soulagée quand enfin son maître se vida en elle. Kuja-sama l'attira sur le balcon et l'obligea à se caresser alors qu'il y avait du monde à l'extérieur. Malgré tout la jeune fille obéit et commença par se caresser tendrement le clitoris. Son maître avait disparu, mais elle était beaucoup trop soumise pour lui désobéir maintenant. Elle continua de jouer avec son clitoris alors que plusieurs hommes se regroupaient devant le balcon pour l'observer faire. Certains semblaient très excité et elle en remarqua quelques uns avec une main dans le pantalon. Pauline se tripota un de ses seins et s'enfonça lentement deux doigts dans son intimité. Elle commençait à beaucoup mouiller et remarqua également que le sperme de son maître commençait à s'échapper de son anus et à former une grosse flaque sur le sol.
Quand enfin son maître était de retour, la jeune soumise finit par jouir devant une douzaine d'hommes surexcité. Elle se tourna alors vers son maître et rougit.

- Je suis désolée maître mais votre sperme a salît votre balcon, déclara l'esclave en baissant les yeux avec dévotion.