Thérapie de la soumission ( PV Pauline Catalino)

Kuja-sama permit à la jeune fille de dormir un peu. Il avait de grands projets pour elle, et elle devait être en forme. Pauline s'installa nue dans son lit puis tenta de dormir. Elle n'y arriva pas tout de suite car son esprit était trop préoccupé. Depuis qu'elle avait avalé la semence du Dieu, la jeune fille avait senti son désir augmenter. Tout comme son addiction au sperme.
La jeune fille observa ses mains et vit qu'elles tremblaient un peu. Depuis qu'elle s'était échappée et qu'elle ne prenait plus de cette substance elle avait constaté que son désir même s'il restait important, avait beaucoup baissé. Cependant les premières semaines de sevrage furent très difficile. La semence de son Dieu avait réduit à néant tous les efforts qu'elle avait fait pour résister à son envie humiliante. Maintenant elle ne pouvait pas s'empêcher de s'imaginer à nouveau dans ce laboratoire avec un tube dans sa bouche pour lui apporter sa délicieuse drogue.

Le soleil fit une percée par la fenêtre de la chambre de la jeune fille et cette dernière se réveilla lentement. Elle inspecta ses mains et remarqua qu'elles tremblaient toujours légèrement. Elle n'était pas capable de subvenir à ses besoins mais peut-être que son Dieu pourrait l'aider. Elle avait une confiance totale en lui. Elle remit sa jolie petite robe et sortir de sa chambre. Line fût choquée de voir l'un de ses anciens maître dans le salon avec son Dieu à quelques pas de lui.
Que faisait-il ici ? Cet homme qui avait fait de Pauline une esclave soumise et accroc à la semence...

Voyant le visage tétanisé de Pauline, je vins vers elle, afin qu'elle comprenne où je voulait en venir, en allant dans une pièce à part. Je lui expliquai alors qu'il était là pour sa thérapie, et que si elle était sage alors elle pourrait le torturer, afin de lui redonner la souffrance qu'elle avait subit, qu'elle se venge en somme de lui et de ses expériences. Mais que si elle me décevait, alors je le laisserai repartir.

J'avais conscience de la torturer psychologiquement, mais la peur de le voir repartir comme cela, allais la faire redoubler d'efforts pour me satisfaire, et en me satisfaisant, elle connaitra le goût de la torture, et mon instinct de dieu me disait que cela détruirait son innocence, et la ferai transcender les limites humaines au niveau de la réflexion. La vie humaine ne lui importerai plus.

Pourquoi faisais je cela ? Parce que sans m'en rendre tout à fait compte, elle avait réussi à s'emparer partiellement du cœur d'un dieu, et qu'elle ferai une déesse digne de moi, si elle travaillait dur.

Kuja-sama voulait que Pauline torture cet homme qui l'avait humilié comme personne ne l'avait jamais fait. Il l'avait aussi rendu dépendante... Malgré toutes les raisons qu'elle avait qui justifierait parfaitement le mal qu'elle pourrait lui faire, elle était incapable de s'y résoudre. Pire, elle voulait supplier son Dieu pour qu'il oblige cet homme à lui montrer comment il réalisait la substance qui rendait Pauline accroc. Mais elle savait qu'elle ne pouvait pas lui demander ça. Elle n'avait rien à demander à son Dieu. Il était le seul à pouvoir exiger des choses.

- Kuja-sama, je ne peux pas torturer cet homme. Je suis incapable de faire du mal aux gens, avoua fébrilement la jeune fille. Même s'il m'a humiliée, mon esprit et mon corps veulent la substance qu'il m'a forcé à avaler. Même si elle me donne envie de sexe sans interruption, cette substance me fait du bien. Comment pourrais je torturer cet homme en sachant cela ?

Les mains de Pauline continuaient de trembler. Elle aurait du prévenir son Dieu qu'avaler son sperme la rendrait certainement à nouveau accroc, mais il avait pénétré sa bouche tellement subitement qu'elle n'avait pas pu. La voilà maintenant qui mendiait presque pour avoir de la semence... Elle se sentait honteuse et ne savait plus quoi faire. Elle alla s'agenouiller devant son maître et lui embrassa les pieds pour le supplier de l'aider, même si elle savait que son refus de torturer cet homme amènerait sûrement une punition.

La voyant se mettre à genoux et me baiser les pieds pour me supplier de reproduire la substance qu'on lui avait fait avaler, maintenant que l'on avait celui qui avait inventé la formule. J'attrapai son poignet et la plaqua contre le mur, l'air menaçant. Lui demandant si elle préférait vraiment cette substance factice, obtenue uniquement par des manipulations chimique, à celle que je pouvais lui offrir autant qu'elle le souhaitais.

Je compris également qu'elle n'était décidément pas totalement sevré de ces drogues et que peut être mon sperme avait eut un effet similaire, et que la remettre face à lui n'avait pas arrangé son état. Je fit alors apparaître un scalpel et le tendis à la jeune femme.

- C'est lui, ou moi, soit tu as un produit chimique, attaché à une table, sans pouvoir assouvir tes pulsions, soit tu m'obéis, et tu auras ce que tu souhaite, mais de manière naturelle, et venant de celui que tu as juré de vénérer.

La voilà devant un choix impossible, mais dans le fond je me doutais qu'entre un vulgaire humain et un dieu, elle avait déjà fait son choix intérieurement.

Son Dieu la plaqua contre le mur. Il semblait dans une colère noire et la jeune fille ne pût retenir quelques larmes. Elle l'admirait profondément, alors sa colère la pétrifia de terreur. Elle devait choisir entre la substance chimique et le sperme de Kuja-sama. Le premier était conçu pour augmenter le désir mais celui du Dieu était tout simplement un fluide divin. La jeune fille ne remarqua même pas qu'elle venait de prendre le scalpel dans la main de son maître. Son esprit tout entier semblait éteint. Elle avança machinalement vers son ancien maître sans le voir puis lui fit de nombreuses coupures le long de son bras droit. Elle fit de même sur le gauche, alors que l'homme hurlait de douleur. Mais elle ne l'entendait pas. Quand elle eût terminé, elle retourna auprès de son seul maître. Il était la seule chose au monde qu'elle pouvait voir à présent.

- J'espère que vous êtes satisfait maître. Si ce n'est pas le cas je vous supplie de me punir dès maintenant, déclara la jeune soumise avant de s'agenouiller devant lui.


Elle ne vivait plus que pour Kuja-sama. Lui seul comptait. Lui et son désir.

Comme je m'y attendais, elle n'hésita pas un instant après mon ultimatum pour revoir sa position sur la torute, mais si de toute évidence elle avait mis son esprit en pause, et avait agit plus comme une machine que par véritable envie, mais il fallait un début à tout. Cela allait prendre un peu de temps, mais j'avais eu la preuve qu'elle en était capable. Pour la récompenser je lui permis d'embrasser mon cou, et lui expliquai que si elle tenais à une drogue pour vivre, alors je lui offrirai la mienne.

Je déplaçais le prisonnier dans une pièce adjacente, fermé à double tour, en interdisant l'accès à Pauline sans mon autorisation. Je la fis alors s'installer, et lui donnai quelques cours qu'elle n'avais pas pu avoir pendant sa captivité. Je lui permis ensuite dans l'après midi de faire quelques emplettes pour avoir sa propre garde robe, tout en lui indiquant de bien mettre le pendentif que je lui avait offert. Signe de sa soumission, et connectant son essence à la mienne pour me permettre de me téléporter vers elle en cas de besoin. Je soulignai tout de même que si elle voulait acheter des tenues pour me séduire, elle ne devait pas hésiter.

Kuja-sama semblait content et permit à la jeune fille de l'embrasser dans le cou, ce qu'elle fit immédiatement. Son maître lui expliqua qu'il lui offrirait volontiers sa semence pour calmer son état de manque. Cette annonce la rassura. Le prisonnier fut enfermé dans une pièce dans laquelle Pauline n'avait pas la permission d'aller. À vrai dire elle s'en moqua. Cet homme ne représentait plus rien pour elle, et il pouvait finir par dessécher dans cette pièce qu'elle ne verserait pas la moindre petite larme.
La jeune fille passa le reste de la matinée à suivre des cours donné par son maître. Il devait être satisfait d'elle car il lui permit d'aller faire des achats. Elle mit son pendentif pour que son Dieu sache à tout instant où elle se trouvait puis elle quitta la demeure. Elle avait besoin de beaucoup de vêtements et elle ne se priva pas pour acheter de nombreuses robes et jupes. Elle acheta aussi quelques débardeurs. Sur le chemin du retour elle s'arrêta devant une boutique coquine et décida d'y acheter quelques petites bricoles. Elle acheta des dessous en dentelles qui ne cachaient rien ainsi que des menottes et un fouet pour que Kuja-sama puisse la punir s'il le désirait. Après tout elle n'était pas parfaite et méritait forcément d'être recadré par moment.

Pauline rentra en fin d'après midi et retrouva son maître assis dans un fauteuil. Elle lui montra tout ce qu'elle avait acheté puis se mit à genoux devant lui. Elle se sentait si bien quand elle était agenouillé devant son Dieu.

- J'espère que mes achats vous plairons Kuja-sama, dit la jeune fille tout en faisant un petit bisous sur son pied pour afficher son infériorité et sa soumission.

Ma jeune prétresse semblait s'être fait très rapidement à l'idée de vive en ma compagnie, la lingerie qu'elle me montra me plu particulièrement, ainsi que le fouet et les menottes qui allaient trouver leur utilité. Je finis par l'inviter à se relever, et lui dis de nous servir un verre, pour discuter un peu. Je lui demandai si le changement de vie et d'allégence n'avait pas été trop soudain, ou encore ce qu'elle espérait de sa vie, en dehors de ses devoirs envers moi.

En effet, je ne voulais pas d'une vulgaire marionnette qui ne ferai que suivre bêtement mes ordres, si je le voulais vraiment, j'aurai pu trouver n'importe quelle fille pour cela. Non, j'attendais plus d'elle, il me fallait m'assurer qu'elle imaginer à son avenir de mortelle.

Pauline alla chercher un plateau de boisson avec deux verres et revint au salon servir son Dieu. Il se demandait dans quel etat d'esprit se trouvait la jeune femme, et si tout n'avait pas été trop rapide. Elle sourit et le rassura immédiatement :

- Ne vous en faites pas Kuja-sama. Depuis que je vous ai rencontré ma vie est devenue merveilleuse. Servir un Dieu tel que vous est une chance unique.

Il questionna Pauline sur son avenir mais elle ne savait pas quoi répondre. Ses mains tremblaient toujours à cause de son état de manque. Elle ne pourrait pas réfléchir à son futur tant qu'elle ne se sentirait pas mieux. Et pour elle, il n'y avait pas mieux qu'une vie de servitude pour un Dieu. Peut-être avait-il mal jaugé son emprise sur la jeune fille, mais pour elle il n'y avait rien de plus important que de servir Kuja-sama et d'assouvir sa soif très spéciale. Après tout il avait ruiné sa confiance en elle la veille, il était donc difficile pour elle de chercher un autre but dans la vie que satisfaire son maître. Et elle était satisfaite de ce qu'il avait fait d'elle. Elle se sentait spéciale.

- Que désirez vous faire maintenant ? Souhaitez-vous que je fasse quelque-chose ? questionna Line.

Elle espérait qu'il continuerait de lui donner des ordres le reste de sa vie. Cela suffisait amplement à son bonheur.

De toute évidence, ma victime ne semblait pas s'imaginer un autre avenir que celui que je lui offre, étant donné ce que je lui ai fait subir pour l'obtenir, ce n'était guerre étonnant. Nous allions donc continuer comme cela, le temps qu'elle retrouve ses marques tel que je l'aurai décidé. Tout ce qu'elle me répondit avait pour but que je lui donne un ordre. Je souriai, me levai pour me glisser derriere elle, et lui ordonna de faire couler un bain, en lui laissant l'espoir que je la rejoindrai.

Pendant qu'elle s'attelait à la tache, je réglais quelques affaires, et continuai la découverte de l'époque médiévale du Japon, j'étais fasciné par le sens du devoir que possédaient les anciens samouraï, me disant que cela aurai été intéressant de le faire combattre en arène, pour se divertir. Afin de voir si certains qui se considéraient comme camarade, n'allait pas les trahir par peur de la mort. Je regrettais d'avoir été enfermé pendant qu'il en restais encore quelques uns.

Finalement, après plusieurs minutes sans entendre l'eau coulée, je me dirigeai vers la salle de bain, pour me glisser dedans aux cotés de la jeune femme qui semblait m'attendre désespérément. Je m'installa derrière elle, la faisant s’asseoir sur un endroit stratégique, et commençai à frotter son corps

Kuja-sama ordonna à Pauline d'aller prendre un bain. La jeune fille obéit et alla dans la salle de bain. Elle espérait que son maître viendrait aussi mais ce n'était pas le cas. Elle aurait aimé le laver mais peut-être n'avait il pas envie de se faire nettoyer pour le moment. Line tremblait toujours et se demanda quand il déciderait de lui offrir sa semence pour calmer son état de manque. C'était de plus en plus difficile à supporter.
Pauline retira lentement sa robe et se regarda nue dans le miroir. Le travail psychologique de Kuja-sama avait fait des merveilles. Elle ne s'estimait pas beaucoup, et pire, elle se trouvait laide. Mais si son maître avait besoin de son corps alors elle se devait de l'entretenir et de le lui offrir quand il le voudrait. C'est à ce moment que son Dieu entra dans pièce. Il ne semblait pas surprit de voir ma jeune fille aussi songeuse. Il ouvrit les robinets pour faire couler le bain et commença à se déshabiller. Il dit s'asseoir Pauline et s'installa juste derrière elle. Finalement il la prit par les hanches et la fit s'asseoir sur sed cuisses. Line rougit en sentant le pénis de son maitre la frôler entre les fesses. Elle ne bougea pas et attendit de savoir ce que comptait faire son Dieu.

- Voulez vous que je vous lave Kuja-sama ? questionna la jeune fille.

Sentir Pauline contre moi était une sensation douce et agréable, en essayant de trouver son équilibre elle remua légèrement, frottant ma verge sans le vouloir. Je profitai de l'instant pour souffler un peu et me détendre, repensant à ces derniers jours, notre rencontre hasardeuse, la façon dont j'avais gagné sa confiance rapidement, et me rendis compte que peut être ce que je recherchais était de la compagnie, plus qu'une simple esclave. Puis le silence ambiant fut interrompu lorsqu'elle me demanda si elle avait l'autorisation de me laver. J'ouvris alors les yeux, et avant de lui répondre je choisis d'entamer un autre sujet

- Dis moi, en entrant je t'ai aperçu te regarder dans le miroir, comment cela se fait il ?

Ayant autant d'estime pour elle même, que d'humain dans le royaume des dieux, je la soupçonnais de se trouver repoussante, preuve que mes méthodes avaient encore une faille, car je recherchai à ce qu'elle renvoi la même image que j'ai d'elle.

Pauline rougit en sentant la verge de son maître glisser entre ses fesses. La jeune fille attendit la réponse de Kuja-sama mais il décida de parler d'autre chose. Il se demandait pourquoi Pauline se regardait dans le miroir.

- Je me disais seulement que mon corps n'était pas digne de vous. Et pour couronner le tout, je ne suis pas très belle. Mais ça ne m'empêchera pas de vous servir de mon mieux, promit la jeune fille. Alors ? Que voulez vous que je fasse maître ?

Line attendit tout en sentant la verge de Kuja-sama continuer de glisser entre ses fesses. Son désir augmentait et elle espérait que son maître lui ordonnerait quelque chose de coquin. À passer toute son adolescence à sucer le pénis d'une maîtresse cruelle et à avaler du sperme d'animal, elle y avait prit goût. Cependant maintenant c'était différent. Elle pourrait servir quelqu'un qu'elle admirait profondément.

Je percevais lorsqu'elle me répondit une certaine impatience, trahissant son excitation due à la situation actuelle. Je lui répondit alors qu'elle avait tort, qu'un dieu pouvait avoir toute les filles qu'il voulait, mais que c'était elle que j'avais choisis, parce qu'elle était attirante. Et qu'en ne se trouvant pas belle, elle remettait ma perception en doute. Suite à cela je me levai pour que nous sortions du bain, et lui ordonna de me frotter le corps pour me nettoyer, particulièrement l'endroit sur lequel ses pensées se focalisaient.

Ma verge montrait quelques signes d'éveil, et si elle voulait qu'elle la comble, il lui faudrait mettre du cœur à l'ouvrage. Lui promettant sa drogue si elle se surpassait, mais pour cela elle devait se faire confiance, et osé prendre des initiatives, comptant sur ses atouts féminins pour que je la laisse faire.

Kuja-sama affirma qu'elle était attirante, ce qu'elle avait du mal à croire, mais elle ne répondit pas. Elle ne voulait pas mettre l'avis de son Dieu en question, mais elle ne se trouvait pas attirante. Il se leva et ordonna à son esclave de faire de même. Elle devait maintenant le laver et insister sur sa verge qui était légèrement dressé. La jeune fille prit du savon sur ses mains puis commença à frotter le corps de son maître. Elle caressa tout le haut de son corps avec ses mains savonneuses avant de se mettre à genoux devant lui pour frotter son sexe. Elle prit le pénis de Kuja-sama dans ses mains pleine de savon et commença à le masturber doucement. La verge de son maître se dressa très rapidement tout en s'approchant du visage de Pauline.
Elle rinça le pénis de son maître puis commença à le lécher pour le nettoyer cette fois avec sa langue. Elle le lécha tendrement ses testicules jusqu'à son gland. La jeune fille continua de lécher un long moment son divin pénis puis mit son gland en bouche et commença à le sucer sensuellement.