Le bal des Poupées

Karuta espérait avoir droit aux attentions des vampires dès le début, mais elles avaient d'autres projets pour elle : elles voulaient l'attacher et la faire observer leurs ébats sans pouvoir réagir, jusqu'à avouer à quel point elle avait envie de faire défoncer le cul. Apparemment, elles n'avaient pas compris que l'air timide et innocent de la maid n'était pas volontaire. Elle s'apprêtait à leur expliquer lorsque les vampires lui demandèrent de venir sucer leurs queues afin qu'elles soient bien dures. Et si elle se montrait suffisamment convaincante, elle pourrait se faire pénétrer sans avoir à se faire attacher.

« Bien mesdames. Vos désirs sont des ordres. »

Karuta se pencha en avant, souleva le bas des robes des femmes et sortit leurs sexes de leurs culottes. Elle ne leur enleva pas le moindre bout de tissu car elles ne l'avaient pas demandé. La maid commença en prenant le sexe de Mélinda en bouche, pendant que sa main caressait celui de Vanilla. Elle émettait de petits couinements d'excitation, à peine audibles à cause de tout le bruit que faisait les deux vampires, et suivait leurs consignes en s'insultant lorsqu'elle passait d'un sexe à l'autre en fellation.

« Je suis une petite salope... j'ai tellement envie de me faire baiser par vous... je suis prête à tout pour ça... vraiment à tout... »

Karuta parlait avec une franchise totale, et son sang bouillonnait dans ses veines quand elle le faisait, mais elle n'était pas encore très douée pour s'insulter. Pire encore, son visage perpétuellement figé donnait l'impression qu'elle n'était pas sincère. D'ailleurs, les vampires ne semblaient pas convaincus par les propos de la jeune fille, et parlaient déjà de l'attacher. Voulant éviter la frustration à tout prix, la maid tenta le tout pour le tout.

« Croyez moi, j'ai vraiment envie que vous me preniez par tous les trous, que vous me baisiez comme une grosse cochonne, c'est juste que je n'arrive pas à le montrer. C'est une sorte de maladie. Demandez à maîtresse Evangeline si vous ne me croyez pas. Pitié... ne m'attachez pas. »

Karuta savait qu'elle devait se plier aux désirs des convives et que, si Mélinda et Vanilla voulaient vraiment l'attacher et l'obliger à regarder, elle devrait le faire. Mais si elle pouvait éviter, ce serait quand même mieux.

Sharlie n'aimait pas ce type, quelque chose en lui tournait pas rond, ça, c'était clair. Mais au-delà de ça, c'était principalement le fait que ce dernier ais eu le culot de l'interompre elle et Miranda qui lui mettait les nerd en boule. Sérieux, il peu pas attendre un peu ? Le bal est sensé durer trois jours, il peut bien les laisser tranquille pour ce soir, au lieux de directement venir à Miranda là, pendant qu'elle était entrain de papouiller sa queue au travers de son pantalons. En plus, maintenant que Miranda l'avait bien chauffée, Sharlie se retrouvait avec une trique de tout les diable particulièrement dure à dissimuler et, même ci dans les fait Sharlie s'en foutait de bander devant des centaines de personnes… Bas voilà quoi…. Merde, faut jamais couper Sharlie dans ses élan de libidos !

M'enfin, tout en gardant Miranda prêt de son corps musculeux, Sharlie observât brièvement les autre tekhannes accompagnant Miranda depuis le début et… Ces dernière semblait plus que chaudes elle aussi… Les hormones de Sharlie ayant alors eu le temps de leurs monter au nez et, le fait de voir son pantalons moulée à merveilles sa grosse queue veineuse n’arrangeait rien à tout ça.
Certaines d’entre elles lançait furtivement des regard coquins à notre futa en ce pinçant les lèvres, dévisageant sa grosse bosse qui parcourait sa jambe, une bosse qui palpitait légèrement sous cette étreinte de latex, ne demandant qu'une chose… Sorte à l'air libre. Sharlie bandait très fort il faut bien l'avouer et ce à tel point que son sexe dépassait légèrement sa taille habituel en érection, affichant alors soixante centimètre de longueur pour une épaisseur toute relative à cette taille colossale… Un bon gros mat juteux, veineux et gorgé de désir.
« rmmmmh… Putain… Retiens toi Sharlie, la première giclée ce doit d'être pour Miranda… Hmmpfrr... »

C'était particulièrement éprouvant pour Sharlie cette situation, d'autant plus que l'une des tekhanne vint à discrètement mimer une fellation, cherchant ainsi à s'attirer les faveur de Sharlie… Sharlie qui sentie a nouveau sa grosse queue la lancer, palpitante alors fermement sous son pantalons en latex.

Malgré ses craintes par rapport aux conflits possible avec son pays, Evangeline avait décidé d’approché la princesse Korvander. Après tout pour le moment il n’y avait aucun confie et rie ne garantie qu’il y en ait un jour. La princesse semblait perturbée par la présence de l’être du chaos, ce qu’elle pouvait comprendre. Evangeline tenais à rester neutre envers les différentes force de se monde, malgré des alliances possibles et cela incluait toute sorte de force.

-Tout comme je le suis moi-même, rien n’est tout noir ni tout blanc. Il n’attaquera personne ici car ça serrais contre ses intérêts. Comme beaucoup ici, il est venu proposer des échanges commerciaux. Je sais bien que ça présence peu déranger, mais j’avais besoin de le rencontré. Sa composition m’intrigue. Puis vous savez… Ce que combat votre père c’est e chaos et il représente l’ordre. Comme on dit la Lumière n’existe pas sans les ténèbres, il en est de même pour l’ordre, il n’existe pas sans le chaos.

Pour elle malgré les dégâts pouvait entrainer le chaos, il est une chose indispensable à se monde. Puis le chaos engendre la folie et la folie c’est tout simplement Mania la déesse qu’elle sert en tant que prêtresse.

-Mais changeons de sujet, ne suis pas la pour débattre sur les équilibre du monde. A vrais dire j’aimerais mieux vous connaitre. Je suis ravie que Mélinda ai réussi à vous faire venir avec elle. Il se peut que bientôt je soliste l’aide votre pays. Mais avança je me dit que vous connaitre d’avantage serrais un plus. Qu’en pensez-vous ?

Surtout  que par l’intermédiaire des filles de Mélinda qui travaillait pour elle dans leur harem en commun, Evangline avait entendu parler plus sieur fois de la princesse. Et se qu’elle avait entendu à son sujet l’intriguait pas mal.

MÉLINDA WARREN

Quand Mélinda et Vanilla étaient ensemble, rien ne pouvait les retenir. De base, chacune de ces deux femmes était très perverse, alors, quand elles s’associaient, autant dire que leur perversion atteignait des sommets inquantifiables. Se pinçant les lèvres, Mélinda regardait silencieusement Karuta. Proposer de l’attacher était une forme de torture que les deux vampires aimaient faire, généralement avec des hommes. Elles les déshabillaient, et les attachaient à côté d’elles, puis se faisaient longuement l’amour, jusqu’à ce qu’ils soient suffisamment excités pour se ruer sur elles quand elles les détachaient. Avec des femmes, il ne pouvait pas y avoir cette sauvagerie sexuelle typiquement masculine, mais ça restait tout de même très excitant.

Mélinda et Vanilla offraient donc cette possibilité à Karuta, qui se dépêcha de venir sucer le sexe de la vampire. Se tenant juste à côté de Vanilla, Mélinda soupira de plaisir, tout comme Vanilla, lorsqu’elle sentit la petite main de la jeune maid caresser son sexe, la masturbant tendrement. Elle y allait donc, tout en leur expliquant qu’elle avait vraiment très envie de se faire prendre par elles, et qu’elle ne voulait, ainsi, surtout pas se faire attacher, allant jusqu’à les supplier.

« Eh bien, eh bien, quelle impatience, hmmm... Ma chérie...
 -  Tu... Tu sens comme son sang... Bouillonne... ? »

Les vampires se sourirent mutuellement, et, chacune posant une main sur les cheveux de la maid, se penchèrent l’une vers l’autre, s’embrassant tendrement, et ce pendant un long moment. Leurs lèvres se pressaient ensemble, et elles gémissaient de plaisir, soupirant longuement. Leurs langues jouaient ensemble, remuant dans leurs bouches, et leurs onctueux gémissements remplissaient l’air, gargarisant les oreilles de la jeune Karuta. Oh oui, elles étaient heureuses ensemble, et elles comptaient bien jouer avec cette belle maid.

Alors... L’attacher, ou ne pas l’attacher ? Finalement, Mélinda retira son sexe, et elle se déshabilla, tout comme Vanilla, sous les yeux vraisemblablement ravis de Karuta. Les deux femmes se retrouvèrent rapidement nues, des nymphes de beauté, avec des membres dressés, et visiblement impatients de rentrer dans le corps de la maid. Et, surtout, les deux femmes souriaient malicieusement, des lueurs profondément perverses dans leurs regards.

« Je vais prendre son petit cul...
 -  Pourquoi ça ne me surprend pas ? »

Elles rigolèrent ensemble, presque comme si elles se racontaient une petite plaisanterie. Vanilla avait conservé ses longs gants noirs, fins et délicats, en grande partie pour sa femme, car elle savait combien sa petite vampire d’amour était fétichiste, partageant en ce se sens les mêmes désirs qu’elle. Les deux beautés s’approchèrent alors de Karuta, l’une à gauche, et l’autre à droite.

« Alors...
 -  Est-ce que tu es prête, petite salope...
 -  ...À te faire bien baiser par nous deux ? »

Et elles sourirent encore.

MIRANDA FORGE

Miranda ne connaissait pas Ariman. Son entreprise el connaissait, mais, honnêtement, GeoWeapon Corp. avait, à travers le monde, des millions de clients. Par conséquent, on ne pouvait guère espérer de la femme qu’elle les connaisse tous. Cependant, elle connaissait les forces du Chaos, présentes partout, y compris à Tekhos. L’armée tekhane avait déjà tenté de mener des expériences sur des agents du Chaos, afin d’essayer d’exploiter cette puissance, mais ces tentatives avaient conduit à des échecs sanglants et sinistres. Le Chaos ne pouvait pas se soumettre, il était la corruption incarnée. Les scientifiques avaient mené des recherches, et déterminé notamment que le seul contact du Chaos était source de corruption. Les expériences avaient eu lieu dans des bases secrètes et isolées, dans les zones polaires, ou au milieu de l’océan.

L’examen des journaux de bord et des caméras de sécurité avait permis de constater que, peu à peu, les équipes étaient devenues folles, le personnel perdant à peu la raison, jusqu’à s’entretuer, et libérer le Chaos. Il avait fallu détruire ces bases, et tout avait été classifié. Miranda y avait eu accès, car GWC avait participé à ces opérations secrètes. Ce faisant, elle était assez troublée par la présence d’Ariman ici. L’Obliterator comprit les raisons de l’irritation de Sharlie, mais expliqua à Miranda avoir envie de discuter avec elle. La PDG sourit légèrement, et tourna la tête vers Sharlie, pour voir que son érection était de plus en plus visible.

« Je serais ravie de discuter avec vous, Monsieur Ariman, mais... À vrai dire, je connais beaucoup Sharlie. Enfin... Pas depuis ces dernières années, mais j’ai participé à ce qu’elle est aujourd’hui. Le sexe est chez elle quelque chose de beaucoup plus fort que chez nous, et, si je ne m’occupe pas rapidement d’elle, elle va vouloir s’attaquer à toutes les femmes présentes ici. Et je n’ai pas envie qu’un scandale éclate déjà... Surtout que je veux aussi conserver sa fureur juste pour moi... Au début, du moins. »

Autrement dit, elle discuterait avec lui plus tard. Miranda se demandait bien ce que l’homme lui voulait. Peut-être avait-il entendu parler de ces expériences ? Elles avaient eu lieu il y a quelques années déjà, et n’avaient abouti à rien de concret. L’armée avait ensuite tout fait pour étouffer ce scandale et cet échec, mais, de la part d’un agent du Chaos, il fallait s’attendre à ce qu’il ait des moyens de renseignement assez poussés. En tout cas, Miranda se retourna vers Sharlie, et déposa un baiser sur l’un de ses bonnets, mordillant son sein à travers la texture, tout en lui adressant un nouveau sourire.

« Allons dans une chambre... Là où tu pourras me baiser à loisir, ma chérie. C’est ce que tu veux, non ? Que tu ne m’accuses pas de vouloir encore te diriger... »

ALICE KORVANDER

Alice avait effectivement une opinion différente d’Evangeline sur l’équilibre du monde, sur ce fatalisme avoué. Le Chaos était effectivement une force fondamentale universelle, se nourrissant des pensées maléfiques et des âmes noires qui existaient depuis l’aube de la Création. Du moins, c’était la théorie la plus communément admise, car, en réalité, personne ne savait vraiment ce qu’était le Chaos. Définir cette chose n’était pas aisée, mais tout le monde s’accordait à dire qu’il fallait la combattre. L’Ordre n’existait certes pas sans le Chaos, mais ce n’était pas une raison pour le repousser. D’emblée, les rapprochements entre Alice et Evangeline partaient sur un mauvais pied, car, si Mania servait une divinité de la Folie, soit une divinité affiliée au Chaos, Alice, elle, servait Batrok, Dieu doré des dragons, figure légendaire et épique de l’Ordre, et dont Sylvandell était l’un des principaux soutiens modernes.

Batrok, lui, n’aurait jamais cédé devant ce fatalisme, et avait combattu les forces démentes du Chaos jusqu’à ce qu’il en meure. Il était un symbole de courage, d’abnégation, et de force. Elle sortit de ses pensées quand Evangeline lui demanda de se présenter davantage.

*Solliciter l’aide de mon pays, elle a dit...*

Alice ignorait encore qu’Evangeline servait Mania, mais, si jamais elle l’apprenait, jamais Sylvandell ne lui viendrait en aide. Les dragons dorés refuseraient en effet d’aider une femme qui était, peu ou prou, assimilée au Chaos. Néanmoins, ce n’était pas à ça qu’Alice pensait en ce moment, mais à ce qu’elle devait faire : se présenter.

« Euh... Eh bien, oui, je veux bien, mais... Que voulez-vous savoir, exactement ? »

Intriguée, Alice se pinça légèrement les lèvres, avant de faire une présentation succincte et globale :

« Je suis la Princesse héritière de Sylvandell, comme vous devez très certainement déjà le savoir, et... Mélinda est ma meilleure amie. Mis à part mes servantes, elle a longtemps été la seule figure féminine que je connaissais à mon château, où elle venait fréquemment pour discuter d’accords, et elle en profitait pour venir me voir, m’apporter des cadeaux, des livres, des poupées, ou jouer avec moi. Pour ma part... J’aime beaucoup lire, voyager, et... Manger des flans, aussi. »

Elle rougit brusquement en réalisant qu’elle venait de dire ça.

*Et puis quoi encore ? Tu comptes aussi lui dire que tu préfères les culottes aux strings, peut-être ?! Non, mais sérieusement...*

Difficile de dire ce qui lui avait traversé la tête, même si ce n’était pas non plus une anecdote déplacée. Décidant de parler d’autre chose, elle se racla alors la gorge, et regarda la femme.

« Alors... Qu’est-ce que vous voulez savoir sur moi, exactement ? »

- Certes ! Certes ! Je vous prie de m'excuser de mon intrusion. A plus tard et bonne continuation. Dit Ariman qui laissa les deux femmes tranquilles et s'éloigna ensuite.

A nouveau seul ou du moins avec la compagnie de ses gorilles décérébrés Ariman pris une bouteille de vin se dirigea en dehors du bâtiment coté jardin un fauteuil d'extérieur assez grand et solide pour supporter son poids n'attendait que lui et il s'y installât confortablement pour boire profitant de la fraicheur nocturne et réfléchissant.

Bon malgré la répulsion des gens du fait de sa présence il avait eu des contacts pas trop négatifs dans l'ensemble. Evangeline semblait intéressé par la proposition nourriture contre minerais, il avait montrer qu'il n'était pas une créature dangereuse mais quelqu'un d'assez civiliser pour attirer la princesse Korvander qui l'avait intriguer et la dame Warren semblait disposer à une conversation à condition que Ariman la laisse terminer son affaire avec la géante.

A propos d'affaire ce n'est pas parce que l'Obliterator était venu en diplomate qu'il ne profiterais pas des plaisirs présenté en ses lieux mais par où commencer ? Ariman avait quand même une conception du sexe bien à lui. Il était un omnivore autrement dit il pouvait coucher aussi bien avec les hommes comme les femme mais aussi avec des créature à l'aspect ou au sexe beaucoup plus exotique. Certe il pouvais se montrer d'une effroyable brutalité et employer le viol mais ce genre de traitement il ne le réservait qu'à ses pire ennemis ou ceux qui l'ont vraiment irrité. En société il pouvait ce montrer beaucoup plus délicat ou très extrême mais précautionneux. Vu la taille de son sexe il pouvait à coup sur tuer ses partenaires si il n'avaient pas l'endurance nécessaire pour survivre à ses ardeurs. En fait il fallait être la salope ultime pour venir coucher avec lui chose courante dans les cour du chaos dont la différence et la difformité n'était jamais pris en compte peu être moins en ses lieux. Naturellement Ariman pouvait se rendre plus beau et plus attirant grâce à sa capacité de modeler sa chair mais ce serait trop artificiel trop masque social. Ariman avait appris à se plaire tel qu'il était et il appréciait d'autant plus ceux qui avaient le courage de l'approcher et lui plaire.

Complètement plonger dans ses pensée et l'air à boire seul l'Obliterator eu l'air de s'ennuyer dans la soirée alors que ce n'était pas vraiment le cas en fait. Le calme de la nuit, un cadre idyllique, un fauteuil confortable et à boire. Même les monstres pouvaient apprécier les choses simple de la vie.

Karuta, toujours anxieuse, continuait de sucer et masturber ses maîtresses tandis qu'elles lui caressaient les cheveux et s'embrassaient si goulûment qu'elle pouvait entendre le bruit de leurs langues et leurs soupirs de plaisir. Puis, d'un seul coup, elles décidèrent de se déshabiller, pour le plus grand plaisir de la maid, qui admiraient les corps splendides de ces deux nymphes de beauté assoiffées de sexe. Vanilla passa à sa gauche, annonçant qu'elle allait la prendre par le cul, et Mélinda à sa droite. Les deux femmes lui demandèrent si elle était prête à se faire baiser.

« Oh oui... je n'attends que ça. »

Karuta se fit mettre à quatre pattes par les dames, puis elle sentit Vanilla passer dans son dos et lui faire relever le postérieur pour la débarrasser de sa culotte, tandis que Mélinda lui présentait sa belle queue pour qu'elle la prenne en bouche. La maid ne se fit pas prier, et goba ce sexe turgescent pendant que, derrière elle, elle sentait une autre grosse queue s'enfoncer dans son cul étroit.

« Hhhmmm ! »

La formation sexuelle de la jeune fille avait inclus la sodomie, mais elle ne la pratiquait que rarement, et son anus était très serré. Certains aimaient ça, d'autres l'auraient préféré plus élargi. En tout cas, ça n'empêcha pas la vampire de se mettre à remuer des hanches pour baiser la maid pendant que cette dernière suçait sa femme.

« Hhmm... hhmm... hhhnnn... »

La jeune fille était quelque peu malmenée par ses amantes, mais ça ne lui déplaisait pas. La fougue qu'elles mettaient dans leurs mouvements lui procurait beaucoup de plaisir, qui se ressentait à la façon dont elle s'appliquait à sucer Mélinda. Sa langue remuait tout le long de cette hampe de chair chaude et remuante, elle l'enfonçait toujours plus profondément dans sa gorge, de plus en plus prise par l'excitation. C'était comme un ouragan auquel elle ne voulait surtout pas échapper, mais au contraire se faire emporter et balayer. Prise entre ces femmes incroyablement perverses, elle était la plus heureuse des filles.

Le corps de Karuta, peu habitué à autant de fougue dans le sexe, céda à la jouissance trois fois alors que ses amantes ne l'avaient pas encore remplie. Au moins, leur partie de jambes en l'air durait plus longtemps.

C'est tellement bon... comment elles font ça ?

En voyant Miranda décliner la demande du colosse en armure, Sharlie esquissa un petit sourire satisfait. Enfin ! Elle aller pouvoir se défouler un peu avec cette charmante dame et lui montrer qui c'est qui portait la culotte ! C'est ainsi que notre grande colosse vint à suivre Miranda dans l'une des aile du palais d'Evangeline, lui claquant les fesses au passage, très envieuse de poursuivre les « festivité » avec la tekhanne. Et… Au bout de quelques minutes à peine, nos deux demoiselles finirent par trouver une chambre de libre, Sharlie laissa à Miranda le soins d'ouvrir la porte puis… D'un coup, elle l'attrapa à la manière d'une jeune marier, avant d'entrer dans la chambre, refermant aussitôt la porte avec le pied, tout en dévorant la femme du regard.

« Rmmmmh… J'ai foutrement envie de toi… »

Et hop, sur ce, notre belle géante embrassa Miranda sur les lèvres durant de longues secondes tout en avançant prêt du lit, lit où elle fini par lâcher Miranda avant de prendre une posture fière.

« Aller… En piste ! » Lui dit elle alors en esquissant un sourire un brin vicieux. « Tu voulais me tester, tu vas pas être déçus ! »

Evangeline avait décidé de tenté une approche avec la princesse Korvander. C’était quelque chose de délicat Evangeline était une prêtresse de la déesse de la folie, ce qui était pas vraiment bien vue par le pays de cette jeune fille. Pourtant au aucun cas, Evangeline les voyait comme des ennemis. Ainsi la princesse commença à se présenté, allant même jusqu’à parler de son gout pour les flans, ce qui fit sourire la Maitresse des Poupées.

-Si ce n’est que des flans qui peuvent vous faire plaisir, je vous en ferrais servir.

Elle rigola amicalement, avant de revenir à la discussion. Ce qu’elle voulait savoir, Alice lui avait déjà présenté dans cette présentation.

-Pour tout vous dire, vous venez justement de me l’apprendre. Ce qui m’intéresse c’est votre relation avec Mélinda. Comme vous la savez surement, on est devenue partenaire commercial il y quelque temps, avec l’ouverture d’un de ses harem sur mes terres.

Cette collaboration n’était pas secrète loin de là, après tout elle l’avait elle-même présenté à son discours d’ouverture de la fête. Puis en la faisant venir ici, Mélinda lui en avait surement parlé. Ce qu’Evangeline ignorais c’est à quel point, elle lui avait parlé d’elle. Mélinda connaissait son origine, son rôle auprès de la déesse, mais es qu’elle lui en avait parlé ?

-Avec Mélinda on est rapidement devenue amie, ce que je dois dire ma un peu surprise.  Mais je ne regrette pas cette amitié bien au contraire. C’est pour cette raison que j’aimerais vous demandé un service personnel.

Son regard sur la princesse, montrais une certaine nervosité, qui pour ceux qui la connaissent bien est plutôt inhabituel.

-J’ignore ce que vous savez de moi et je vous demanderez de ne pas juger sur ce que je suis s’il vous plait.  Je ne cherche pas un débat, ni votre hostilité. Pour être franche avec vous, je suis une prêtresse de la Déesse Mania, la Déesse de la Folie. J’espère que vous savez faire la différence entre la folie et le chao, s’ils sont tout à fait liés, ce sont des choses bien différentes. Mais qu’importe, laissez-moi expliqué. En tant que prêtresse je suis au courant de pas mal de chose au sujet de la folie et de ce monde. Par exemple je sais que l’une des servantes principale de Mania vie au Harem de Mélinda à Ashnard. 

Maintenant qu’elle lui avait expliqué qui elle était, même si elle en savait surement une partie, il fallait lui expliqué ce qu’elle voulait et ce n’était pas la partie la plus simple.

-Si vous êtes si proche de Mélinda, vous l’avez surement remarqué vous aussi. Mélinda en partie par son charisme attire toute sorte de personne autour d’elle. Des personne hors du commun à un tel point que c’est à se demandé si cette attraction est naturel. Et c’est en me posant cette question que j’ai découvert quelque chose d’étrange sur Mélinda. Notre amie profite d’une protection Divine de la Déesse Tisiphone.  Si je sers Mania, je ne sers pas sa fille Tisiphone  et c’est pour ça que j’aimerais comprendre pourquoi elle bénéficie d’une tel protection. C’est pour ça que je voudrais vous demandez votre aide, pour enquêté sur elle et comprendre si elle court un danger ou non.

MÉLINDA WARREN

Karuta avait intérêt à avoir les reins solides, car devoir supporter en même temps les assauts de Mélinda et de sa femme était une véritable épreuve olympique. Il fallait bien admettre que les deux femmes étaient de grandes perverses, redoutables dans leur approche. La belle Karuta allait se faire joyeusement prendre pendant un certain temps, et le fait que son anus soit serré ne contribuerait qu’à exciter encore plus Vanillia, qui avait toujours aimé l’effort physique qu’il y avait dans la sodomie, un effort qui était décuplé dans le cas de culs bien serrés. Elle s’enfonça donc en elle, grognant et gémissant, poussant de délicieux cris, offrant à Mélinda un spectacle magnifique. En effet, c’était bien quand la vampire sodomisait une femme que Mélinda se rendait compte combien elle l’aimait. Elle qui aurait pu craindre une quelconque forme de jalousie, elle se délectait, au contraire, de ce spectacle magnifique, de ces mouvements amples du bassin, des profonds soupirs qu’elle poussait, et de ses belles joues rondes qui rougissaient sous l’effort. Elle notait chaque détail avec la fascination dévorante d’une amante, une sorte de vénération qui conférait à l’adulation. Les froncements de ses sourcils, les mordillements délicieux de ses lèvres, les crispations de ses doigts, ses abdominaux qui se bandaient, tout ce magnifique corps qui remuait à l’unisson sous le spectacle sexuel...

Mélinda, de son côté, rendit la pareille à Vanillia. Il ne fallait pas croire que, du fait de l’observation du moment, elle en négligeait Karuta. Sa queue s’enfonçait en elle, filant d’avant en arrière, optant rapidement pour des séries de gorge profonde, sa main se posant sur les cheveux de la timide serveuse, serveuse qui, sous l’effet du plaisir sexuel, se révélait particulièrement excitante.

« Tu aimes ça, hmmm... ?! Sentir... Sentir ma queue s’enfoncer en toi, nos corps qui te baisent, hmmm... Tu es une vraie catin, haaaa... Petite traînée, hmmm... ! »

Vanillia était toute concentrée, grognant, giflant parfois ce cul, comme pour se soulager de la douleur qu’elle ressentait en se tortillant dans ce trou étroit et délicat. Sa femme prenait toujours les sodomies très au sérieux, et était tellement concentrée qu’elle parlait souvent fort peu. Il fallait compter sur une Mélinda pour l’initier peu à peu à cet exercice difficile qu’était celui de parler tout en faisant l’amour.

« Hmmm... Elle a... Un sacré cul... Hmmm...
 -  Ce qu’elle veut dire, Karuta, c’est que... Haaaa... Suce bien comme ça, ma chérie, oui... Ce qu’elle veut te dire, donc, c’est que tu... Hmmm... Tu es... Une petite pute avec un joli cul, mais... Hnnnn... Ma chérie est bien plus polie que moi. »

C’était une façon de parler, bien sûr, car Vanillia pouvait se montrer tout aussi vulgaire que Mélinda, et même plus. En réalité, les deux femmes se complétaient, et, sous leurs traitements, Karuta se mit à enchaîner les orgasmes. Toutefois, Mélinda réalisa bien vite qu’elle n’entendait plus beaucoup les mots de Karuta, chose logique, compte tenu de sa position, et accéléra donc le mouvement, ses bourses s’écrasant régulièrement contre le visage de la maid, jusqu’à arroser sa bouche et sa gorge de son foutre crémeux.

La chose faite, elle redressa ensuite Karuta, et la pénétra alors dans le vagin, la prenant véritablement en sandwich entre elle et sa femme.

« Vas-y, haaaa... Hurle, ma chérie, régale-nous de tes cris ! »

Du fait de la position de Karuta, Mélinda put poser ses mains sur les fesses de la femme, Vanillia venant, elle, les poser sur les seins de la serveuse, chacune pressant son corps, caressant et griffant sa peau avec plaisir et joie, tout en la prenant sauvagement, leurs épais mandrins s’enfonçant rudement en elle.

MIRANDA FORGE   

En d’autres circonstances, Miranda aurait bien aimé converser avec ce géant de fer et d’acier, mais, pour l’heure, elle avait des priorités de nature bien différentes. Il lui fallait s’occuper de Sharlie, dont elle connaissait plutôt bien la libido disproportionnée. Impatiente, Sharlie semblait trépigner sur place, et s’empressa d’embrasser Miranda, qui se sentit toute petite. Elle avait déjà couché avec des partenaires musclés, costauds, et plutôt grands, mais Sharlie était une sacrée pointure, une géante aussi musclée que belle. Pour les Tekhanes, dont les canons de beauté étaient plutôt la minceur et une harmonie élégante des formes, Sharlie, avec sa beauté masculine, détonait par rapport aux standards tekhans. Et, pour autant, elle n’avait nullement à rougir des autres, car elle restait empreinte d’une forte beauté virile, une beauté qui expliquait très certainement pourquoi Jenny l’avait prise sous son aile. Forte, belle, puissante, et très perverse, Sharlie avait tout simplement tous les critères requis pour pouvoir briller en société.

Miranda répondit donc à son baiser en caressant encore ce corps bien bâti, glissant sur les muscles saillants de la femme, griffant sa peau, ouvrant les lèvres pour accueillir la langue de la femme. Elle avança ensuite ses bras, et les enroula autour du cou de la femme, ses jambes ne touchant même plus le sol. Sharlie l’avait soulevé comme si elle n’était qu’une plume, son mandrin caressant le bassin de la PDG, tout en la rapprochant du rebord du lit.

« Hmmm... »

Sharlie la déposa ensuite, en se dressant ensuite devant elle. Elle lui sourit devant sa provocation, et se coucha lentement sur le flanc, adoptant une posture sensuelle.

« Tu sais, Sharlie, je te considère comme l’une de mes meilleures créations... Alors, montre-moi que je ne me suis pas trompée à ton sujet. Viens, ma chérie, prends-moi fort... C’est tout ce que je souhaite. »

Et, comme pour la convaincre davantage, elle lui fit un ravissant sourire.

ALICE KORVANDER

Tisiphone... Alice dut faire appel à ses souvenirs, pour se rappeler que Tisiphone faisait partie des redoutables Déesses vengeresses olympiennes, les Erinyes. Mégère en faisait d’ailleurs aussi partie. Les Erinyes formaient un redoutable trio, se composant donc de Mégère, Tisiphone, et Arecto. Cependant, à entendre Evangeline, Mélinda serait aussi proche de la Déesse Mania, Déesse de la Folie, un nom qui la fit brièvement frémir. Mania faisait partie des divinités que le culte de Sylvandell réprimait et combattait, la folie étant une valeur assez opposée à celles que les Dieux de l’Ordre véhiculaient. Néanmoins, Alice choisit de rester silencieuse. Inutile de provoquer un esclandre supplémentaire en lui reprochant ses allégeances.

*Ce que je me demande surtout, c’est si elle est folle... Car, pour servir la Folie, il faut bien l’être un peu, non ?*

Du moins, c’était sa version des choses, et elle ne pensait pas se tromper. Evangeline alla ensuite la surprendre en lui expliquant qu’elle soupçonnait Mélinda d’avoir la bénédiction de la Déesse Tisiphone.

*Hein ?! Elle est sérieuse, là ?!*

Il n’était pas sûr qu’avoir la bénédiction de l’une des Erinyes soit une bonne chose. Alice, en revanche, savait que Mélinda hébergeait des personnalités très curieuses, comme Ximma, cette femme qui avait en elle trois morceaux d’âmes, et ce depuis sa rencontre avec Mania. Elle savait que la vampire aimait bien se rapprocher des personnes bien plus fortes qu’elle, ce qui incluait, outre les Ashnardiens, les Dieux. Elle s’était rapprochée de la Déesse Sha, de Lust, et, maintenant, visiblement, de Tisiphone, une Olympienne.

« Mais... Euh... Je... Je ne m’attendais pas à ça, pour être honnête avec vous. »

C’était une vraie surprise, totale. Se pinçant les lèvres, Alice réfléchissait rapidement.

« Mais... Quel rôle joue exactement Tisiphone ? Ce... C’est l’une des Erinyes. Pourquoi... Qu’est-ce que Mélinda pourrait lui apporter ? »

Perdue et totalement désorientée, voilà ce qu’Alice était en ce moment, devant les révélations inattendues d’Evangeline.

Ariman se prélassait sur la terrasse de la propriété quand il reçut un message informatisé d’un monocrâne qui patrouillait dans le jardin de la propriété. Vu qu’il ne manquait pas d’ennemis l’Obliterator sans demander l’avis de son hôtesse avait en quelques sortes renforcées la sécurité de la propriété en envoyant plusieurs monocrânes patrouiller dans les alentours du jardin mais en restant discret sans intervenir excepter pour se défendre si jamais ils étaient en danger. L’un des monocrâne avait détecté quelque chose de suspect et envoya à l’Obliterator  l’image d’une marionnette d’Évangeline littéralement  détruite.

"  Tien ! Tien ! " Pensa Ariman qui donna un ordre en binaire à ses gorilles. Les encapuchonnés se séparèrent et disparurent chacun de leur côté tandis qu’un autre signal d’alerte d’un autre monocrâne avertis Ariman de la découverte d’une autres marionnette décapité cette fois. Un troisième signal d’alerte d’un nouveau monocrâne silencieux et en patrouille signala cette fois la présence d’intrus en train de progresser jusqu’à la propriété et envoya des images.

Ils étaient au moins 10 peut-être plus. Des hommes et des femmes revêtus de cuir rouge. Le visage dissimulés par des foulards mais les yeux visible semblaient avoir été peint en noir. Leur bras portait des tatouages certainement d’origine mystique ou magique. Ils étaient tous méchamment armés et équipés pour une opération commando. Une chose étaient sure toutefois ce n’était certainement pas après lui qu’ils en avaient. Ariman avait déjà survécus à plusieurs tentatives de meurtres et les assassins auxquels il avait eu affaire étaient quand même beaucoup plus élaborés que cette bande là.

Sous les lentilles du monocrâne dissimulé dans les feuillages de l’arbre le groupe stoppa. Un de ses type enleva le bas de son foulard pour parler aux autres Ariman essaya de lire sur ses lèvres mais n’arriva pas comprendre un traitre mot de ce qu’il disait en général mais il arriva comprendre le mot princesse.

"  Hum ! Une princesse mais laquelle ? " Se demanda Ariman.

Soit ce groupe en avaient après Évangeline qui as un sacré statut soit un des invités peut-être la princesse Korvander. Une chose était certaine Ariman détestait que des complications viennent empêcher ses projets et encore moins son moment de détente. L’Obliterator se leva sa bouteille à la main et partis en promenade dans le jardin.

Il suivit un itinéraire pour se retrouver dans le secteur ou se trouvait le commando grace au monocrâne il put savoir leur position bien qu’ils aient effacé leur présence ce qui prouvaient qu’ils étaient assez bon dans leur domaine. Leurs objectifs semblaient être de vouloir traverser le chemin découvert pour atteindre un petit bosquet plus loin. Le seul hic c’est Ariman c’était arrêter et c’était installés sur un banc de pierre pour terminer sa bouteille cela les empêchait de bouger. Ariman campa donc sur place et se mis à boire sa bouteille alors que le petit commando étaient en train de décider de vouloir éliminer l’Obliterator. Une jeune femme pourvus d’un arc se mis en position de tir après c’être percher sur un arbre à peine deux mètre du monocrâne. Elle banda son arc visant la tête d’Ariman.

Mais les choses ne se passèrent pas comme prévus.

Ariman donna un ordre binaire à l’espion et le monocrâne tira avec son laser intégré sur l’archère assassine par surprise. La tueuse poussa un cri étranglé quand le rayon lui transperça l’épaule et tomba de l’arbre.

Ses compère furent surpris et d’autant plus que Ariman projeta sa bouteille maintenant vide et avec force droit sur les fourrés ou les groupe était caché. La bouteille explosa en plein dans la figure d'un deuxième homme qui tomba les quatre fers à l’air raide mort.

Ayant compris que Ariman les avaient repérés et qu’ils n’avaient rien à voir avec les gardes habituels les tueurs sortirent de leur cachette pour affronter Ariman avec une stratégie bien établie. Ariman dû affronter cinq adversaire en même temps tandis que trois archer essayaient de l’aligner avec leur armes à distance en visant ses points vitaux non protégé par son armure.

Aucun mot ne furent échanger durant la confrontation et tout ce passa très vite.

Les tueurs étaient visiblement des tueurs endurcit dopé à la magie qui augmentaient leur réaction, force et célérité. Malgré la perte de deux des leurs ils ne restèrent pas frapper de stupeur loin de là et ils réagirent instantanément leurs armes levés vers leur proie singulière. Et pourtant c’était loin d’être gagné Ariman était un adversaire à ne pas prendre à la légère quoique seul et désarmé. Au moment où l’un des tueurs fendit une rapière pour lui transpercer le crane Ariman eu un mouvement de tête sur le côté pour esquiver l’attaque. Il se saisit du poignet armé du tueur et lui brisa le bras en un clin d’œil. Il se leva du banc à une vitesse indue il tenait encore le bras du tueur et le tordis d’un mouvement fluide pour se retrouver finalement derrière lui. Trois trait transpercèrent le tueur transformé en bouclier humain.

Ariman donna un coup de pieds sur le cadavre et le projeta sur l’un de ses comparse qui fut déséquilibré et tomba à terre. Ariman eu juste le temps de poser un genou à terre et une hache de jet passa juste au-dessus de sa tête pour se planter sur un arbre derrière lui. Un adversaire toutefois en profita pour lui porter un coup et l’Obliterator fut obliger de lever son avant-bras pour se protèger d’un coup de masse certainement magique qui déforma les plaques blindés de son armure et manqua de lui casser le bras.

Au moment où le tueur leva à nouveau son arme Ariman se redressa et frappa de tout son poids d’un coup d’épaule l’homme à la masse. Les os de l’homme se brisèrent sous l’impact et il s’écrasa sur un tronc d’arbre pour ne plus se relever.

Deux de moins plus que six.

Ces vampires n'étaient pas seulement des femmes expérimentées, c'était des prodiges dans leur domaine. Karuta n'arrivait même plus à se concentrer, son corps était comme un chiffon ballotté d'un côté à l'autre par les coups de reins puissants des deux femmes qui la prenaient. La seule chose qu'elle comprenait encore, c'était les paroles de Mélinda et Vanilla, la première étant bien plus crue que la deuxième, et ces mots l'excitaient encore plus. Elle jouissait comme une folle sans rien avoir à faire à part rester suffisamment consciente pour tenir la position. Puis, quand la dame qu'elle suçait finit par lui envoyer son foutre chaud en plein dans la gorge, et qu'elle avala tout comme une bonne petite pute, elle changea de position pour finir en sandwich entre les deux vampires, pénétrée par la porte avant et arrière, les mains de Mélinda serrant ses fesses et celles de Vanilla empoignant ses seins. Elles voulaient entendre des cris, mais elles allaient être bien déçues avec Karuta. En effet, la maid n'était plus capable de crier depuis qu'on lui avait effacé la mémoire, à part en cas de bouleversement émotionnel intense. Et même si ces femmes étaient des génies du sexe, elles ne pourraient sûrement pas l'amener aussi loin. Cependant, la volonté des dames primait sur le reste, alors elle devait au moins faire semblant de crier, en espérant que ça suffirait.

« Haaannn... aaahhh... c'est trop bon... défoncez moi... mes trous de salope... ooohhh... oouuii... »

Aucun doute que sa maîtresse avait fait du bon travail avec elle, même si elle ne s'était pas occupée de l'intégralité de sa formation. Elle lui avait appris à aimer libérer sa voix, hurler et s'insulter pouvant procurer une grande satisfaction. Elle faisait de son mieux pour donner l'illusion qu'elle criait vraiment, mais est ce que ça allait suffire pour ses amantes ? En tout cas, elles continuèrent à la prendre sauvagement, couinant comme des bêtes, griffant et tirant sur sa peau, enfonçant leurs mandrins toujours plus profondément en elle. Karuta jouit en rafale et, très vite, elle n'eut plus besoin de faire semblant pour lever la voix. Ce n'était pas des hurlements, mais peut-être que ça suffirait aux vampires. Et quand finalement ce furent Mélinda et Vanilla qui se lâchèrent dans le corps de la maid, ce fut un pur moment de délice pour la jeune fille, qui se laissa ensuite tomber contre Mélinda. Quand elle reprit ses esprits, elle s'écarta en vitesse de la dame, voyant son geste comme un manque de respect.

« Désolée madame... j'ai perdu mes forces... pendant un instant... ça ne se reproduira pas. »

Sharlie

« Tu sais, Sharlie, je te considère comme l’une de mes meilleures créations... Alors, montre-moi que je ne me suis pas trompée à ton sujet. Viens, ma chérie, prends-moi fort... C’est tout ce que je souhaite. »

La futa arqua un petit sourire en entendant Miranda ainsi la flatter, ce qui amena ensuite notre colosse à s'approcher de la dirigeante, grimpant alors sur le lit pour finalement ce mettre juste au dessus de la belle blondes, dominant ainsi cette dernière de par sa taille. Sharlie était donc à présent à quatre pattes, au dessus de Miranda, toisant la femme avec un regard envieux et gourmand.

« Grmmmh… » Ronronnât Sharlie, avant d'embrasser sa partenaire sur la bouche tout en baissant légèrement son pantalons d'une main, faisant ainsi sortir son imposant mandrin qui alla caresser les jambes fuselée de Miss Forge.
« J’espère que t'as prévue des petit coussins en velours pour tes fesses, éhéh ! »

Et hop ! Sur ces mots, Sharlie vint et empoigner avec force les hanche de miranda, avant de la mettre dos à elle. Une fois les fesses de la dirigeante à sa merci, notre futa donna un grosse claque sur ce petit cul bourgeois, une claque bien sonore qui fit rebondir les chair de la dirigeante tekhanne.
« Grrrmhhh ! Elles valent pas celles de Jenny… Faudrait un poil plus de viande là dessus, poulette ! »
Sharlie ria ensuite joyeusement, avant de prendre chaque coté de la robe de Miranda puis… De la déchirer sans aucun mal, au niveau de ses fesses, fesses sur lesquelles il restait encore la fine culotte de la demoiselle. La colosse arqua alors un autre sourire pervers et, d'une main, elle se mit à caresser les fesses de sa partenaire, avant de finalement attraper la culotte de cette dernière et de sèchement la faire descendre. Une fois chose faite, Sharlie se recula légèrement, empoigna son féroce mandrin et, comme pour taquiner Miranda, la futa se mit à faire taper son gland contre les fesses de Miranda, puis fini par le faire glisser entre ses fesses sans pour autant pénétrer la rondelle de la belle blonde.




Pendant ce temps, dans la salle de réceptions, une autre femme venait de faire son entré… Une entré cependant assez discrète voir même inaperçue par la plupart des convives. C'était une femme élégante, brune avec de beau yeux bleu, une femme qui semblait toutefois garder une certaine rigueur dans sa gestuel et dans sa manière de se tenir. Calmement, la femme observât l'assemblé à la recherche de l’hôte de ce bal, son Le regard  glissant donc sur plusieurs convives tendis que d'un pas droit et assuré la femme s'avançait vers le centre du salon. Puis… Elle fini par enfin voir cette Evangeline, cependant, voyant que cette dernière semblait occupée, la mystérieuse femme interpella une jeune servante qui passait par là.

« Hum… Excusez moi. J'aimerais beaucoup que vous passiez un message à votre maîtresse j'ai… Des choses importantes à lui confier. Serait-ce possible ? »
« Oui bien sur… Euh… Mais qui doit-je annoncer ? »
« Une émissaire… Donnée lui cette lettre d'excuse de la part de ma reine... » Dit elle en sortant une enveloppe de l’intérieur de sa veste.
« Elle connait le sceau sur l'envellope. Dite lui aussi que j'ai un présent pour elle mais que malheureusement je me doit dans l'obligation de lui donner en main propre. »

Sur ce, la servante hocha de la tête respectueusement, avant d'aller auprès d'Evangeline afin de faire passer le message.

« Madame… Excusez moi de vous déranger dans votre discutions mais… Une femme… Une émissaire à priori désir vous parler et vous remettre un présent et… Elle m'a aussi demandée de vous remettre cette lettre… Elle à dit que vous connaissiez le sceau qui l'a scellée. »

Sur ce, la servante tendis la lettre à sa maîtresse en tachant de restez discrète, ce genre de chose ne regardant en rien les autres convives.

Le Jardin du Manoir des Poupées :

Bien que sur le terrain d’entrainement l’animation du duel avec la poupée gardienne était à son fort,  ce n’était pas la seule chose qui s’y passait.  Des patrouilles de poupée soldats circulaient un peu partout. Ses poupée était à peu près toutes crées sur le même schéma, celui d’un corps  d’un homme d’élite d’armé. Un corps fait pour le combat pour être la fois mobile, fort et supporté le poids d’une armure. C’était une armée plutôt efficace face à des adversaires humains normaux, mais rien de plus.  Pour autant il ne fallait pas les prendre à la légère et pensé que détruire une de ses poupées était suffisant. Chacune des poupées d’Evangeline était relier à cette dernière par un lien magique un lien qui permettait à la poupée de vivre et aussi de ne pas s’opposer à elle.

Ce lien avait aussi une autre utilité il permettait à Evangeline de savoir quand l’une des poupées étaient éliminé, ainsi elle sut tout de suite que dehors quelque chose se passait.  Sans interrompre sa discussion avec la princesse, elle envoya mentalement des instructions à l’une de ses poupées gardienne.

Lucius l’exécuteur, était une poupée assassine qui comme toutes les poupées gardienne dépassait largement les capacités humaine d’une manière ou d’une autre. Pour lui cela venais de sa magie des ombres. Aujourd’hui se fut lui fut choisie pour éliminer les intrus.  Du moment que l’alerte était lancé, repéré les cible n’allait pas être bien compliqué surtout si ses dernier s’attaque à l’un des invités.  Un des attaquants au manteau carmin venais de lancer une hache vers l’invité et alors qu’il allait charger avec un couteau, il s’effondra soudain, de son ombre était sortie la lame d’une faux qui venait de lui couper les jambes. L’homme n’eut pas le temps de comprendre ce qu’il venait de se passé qu’il fut transpercer dans le dos. Lucius replongea dans l’ombre pour ressortir derrière le dos de l’un des archers et le décapité comme si ce dernier n’était rien de plus qu’un bonhomme de neige rouge.  Avec l’armure vivante qui s’occupé des adversaires au corps à corps éliminé le groupe ne fut pas bien difficile. Lucius s’approchât alors de lui.

-Merci de votre intervention, j’aurais pu les éliminé plus discrètement, mais votre intervention plaira à la Maitresse. En parlant d’elle je crois que vous avez de la visite.

D’un geste de la main suivit d’une courbette il présenta l’arrivé d’une magnifique Poupée dans une belle robe rouge. La femme approchait suivit de deux gardes. Pendant ce temps Lucius avait de nouveau disparu dans une ombre commençant à évacuer les cadavres. La belle poupée fit une courbette devant leur invité.

-Bonjour à vous, je vous remercie de votre intervention. Je m’appelle Mélisandre et je vous de la part de Maitresse Evangeline pour reprendre la discutions sur l’accord que vous voulez passer avec elle.


La Salle de réception :

Evangeline avais commencé à discuter avec la princesse Alice Korvander, lui faisant part de ses inquiétudes envers Mélinda leur amie commune. La surprise de la princesse était compréhensible, surtout que comme beaucoup de monde elle ignorait la vraie nature des filles de la folie.

-En effet Tisiphone et sa sœur Mégère ont fait partie des Erinyes, mais se fut un rôle qu’elles occupèrent qu’un temps. En réalité tout comme leur mère Mania, elles sont des déesses de la folie. Chacune représente des aspects différents de la folie.

Le fait que les deux sœurs aient abandonné se rôle à étrangement était effacé de l’histoire divine, comme si les deux ne voulait pas laisser paraitre se rôle vacant. En tous cas la princesse était bien renseignée sur la mythologie.

-Je sais que Mélinda héberge chez elle une démone nommé Xia et accompagné par L’œil une créature offerte par Mania. Je sais que comme moi Xia travail pour la Déesse Mania. J’ai crus comprendre que la Déesse Tisiphone  avait également approché cette Xia. Même si j’ignore de quoi il s’agit, je sais que Tisiphone à des projets à Ashnard, ne sais pas si tout ça est lié à cette bénédiction, mais vous comprenez que je me pose des questions ?

C’est alors qu’une des servantes approcha portant une lettre. C’était l’inconvénient dans se genre de festivité, beaucoup de monde souhaite vous parlez, il devient difficile de tenir une discussion jusqu’au’ bout avec quelqu’un.

-Excusez-moi une minute.

Elle se détourna d’Alice le temps de voir ce que voulait la servante qui si elle venait la voir directement c’était forcément pour une bonne raison. Elle prit la lettre et reconnut le sceau de sa dernier.

-Oh, conduisez là à mon bureau à côté, dites-lui que j’arrive dans quelques minutes.

La servante repartie pour transmettre la réponse. Evangeline garda la lettre en main sans l’ouvrir pour l’instant et reporta son attention sur la princesse qui devais surement connaitre se genre de d’interruption elle aussi.

-Désolé, donc je disais. J’aimerais voir vous qui estes plus proche d’elle et surtout qui peu la rencontré chez elle, si vous pouviez trouver un moyen de vous renseigner sur cette bénédiction.

Evangeline préféré quand même attendre avant de rejoindre l’émissaire, si Alice avait des questions encore, il valait mieux lui répondre tant que l’information était encore chaude.

MÉLINDA WARREN

Des deux femmes, il était exact de dire que Mélinda était la plus prolixe. Elle n’avait pas sa langue dans sa poche, et n’hésitait pas à mélanger le sexe d’insanités verbales, contrairement à Vanillia, qui, sur ce point, était un peu plus réservée. Sa femme préférait davantage se concentrer sur l’acte physique en lui-même, ce qui faisait que le duo avait, en la matière, une bonne dynamique, puisqu’elles se complétaient mutuellement. Les poètes et les romantiques affirmaient que l’amour consistait à trouver son âme-sœur, et il y avait, pour prolonger cette idée, cette fable, expliquant que, jadis, hommes et femmes ne formaient qu’un seul sexe, avant d’avoir été coupés en deux. Dès lors, le principe de l’amour était de trouver cette moitié. Pour Mélinda, il était sûr que cette moitié se tenait près d’elle, dans le dos de Karuta, à la sodomiser.

La petite maid poussait de longs couinements de plaisir, en se tortillant entre les deux femmes, qui la prenaient goulûment, s’enfonçant mutuellement, généralement en même temps, offrant ainsi à la servante des sensations exquises, ses deux trous se faisant remplir. Vanillia avait posé ses mains sur ses seins, s’y appuyant, et mordillait sa nuque, Mélinda la rejoignant très souvent de l’autre côté. Elles ne burent néanmoins pas le sang de Karuta, vu que la jeune femme avait besoin de travailler par la suite, mais la titillèrent quand même un peu, les mains de Mélinda, elles, se posant sur ses fesses, aidant ainsi Vanillia à pouvoir mieux fourrer sa verge dans son beau petit cul. Ainsi prise en sandwich, Karuta était ballottée dans les deux sens, filant vers Vanillia, avant de revenir vers Mélinda, encore et encore, le tout dans un délicieux cercle vicieux, une spirale du stupre qui emportait le trio, rythmée par les gémissements doux et aigus de la jeune servante.

« Haaaa... Hnnnn... »

Peu à peu, même Mélinda se taisait, afin de se concentrer sur le fait de la pénétrer. Elles y allaient franchement, encore, avec une énergie qui semblait se renouveler à chaque fois. Rien n’était épargné à Karuta, jusqu’à ce que les deux vampires, là encore en parfaite harmonie, ne se relâchent en elle. Au milieu du bruit de frottement des robes, elles s’abandonnèrent mutuellement, dans des profonds soupirs, et vinrent remplir le corps de Karuta de semence, avant de la relâcher.

Épuisée, Karuta tomba en avant, s’écrasant contre le corps de Mélinda, qui haussa les sourcils de surprise, avant de sourire, et de la conserver contre elle, une main sur les fesses, l’autre sur la nuque, sa queue toujours délicieusement nichée en elle.

« C’était bon, hein ?
 -  Hm... J’ai adoré ça, ma chérie. Sincèrement, elle a un petit cul magique... »

Mélinda sourit en retour, et déposa un baiser sur les lèvres de Karuta, qui reprenait peu à peu conscience... Et, en réalisant sa situation, elle paniqua sur place, et se retira précipitamment, se confondant en excuses. En retour, Mélinda gloussa un peu, et se déplaça.

« Allons, il n’y a aucune raison de s’en faire, ma chérie... »

Elle lui sourit encore.

« Après ce que nous avons fait, un peu de familiarités, c’est normal... Mais il va peut-être falloir qu’on te laisse retourner à tes occupations, non ? »

Contrairement à elles, Karuta n’était pas une invitée, mais bien une servante du manoir. Et Mélinda n’avait pas spécialement envie qu’on lui reproche de n’avoir pas travaillé à cause d’elle...

MIRANDA FORGE

Sharlie allait être à la hauteur de tout ce que Miranda espérait, la PDG ne se faisait absolument aucun doute là-dessus. Forte, belle, puissante, monstrueusement musclée, elle allait être une amante d’exception, et ce parce que Miranda l’avait voulu ainsi. En un sens, se priver de Sharlie, ça avait été un coup du sort cruel, et, quand elle avait appris que Sharlie était en compagnie de Jenny, elle en avait été ravie. Elle laissa donc la puissante femme la déplacer, déchirant tout simplement sa prestigieuse robe, ce qui ne manqua pas d’arracher des frissons à Miranda, la belle blonde se retrouvant toute nue, puisqu’elle ne portait tout simplement rien sous son vêtement.

Nue face à Sharlie, Miranda soupirait donc, et sentit le braquemart de cette dernière s’approcher de ses fesses, Sharlie venant dire que son cul n’était pas aussi beau que celui de Jenny, ce qui ne manqua pas d’arracher un sourire à Miranda. Elle entretenait son fessier autant que le reste de son corps, et il était beau, voluptueux, deux belles bosses solides, et qui n’étaient nullement amaigries. Jenny, elle, avait davantage un physique de militaire, une carrure athlétique, et un cul plus charpenté, plus musclé.

« Ne... Ne t’en fais pas pour mes fesses, elles... Elles sont très bien, Sharlie... »

Il en faudrait plus pour démonter Miranda, même si elle avouait sans peine ne guère aimer ce genre de remarques. Miranda avait son ego, sa fierté, et son corps était un atome de perfection. Elle dépensait assez d’argent avec ses nutritionnistes et ses séances de chirurgie esthétique pour s’en assurer. Loin d’être anorexique, elle était tout simplement dans l’idéal, au niveau des courbes de croissance tekhanes. Quoi qu’il en soit, Sharlie rapprocha son mandrin de ses fesses, tapant dessus, et Miranda crispa ses mains sur la couverture du lit, serrant les lèvres, son corps anticipant et appréhendant avec délectation ce qui allait suivre...

...Une bonne grosse sodomie comme on les aimait !

ALICE KORVANDER

Des Déesses de la Folie qui tourneraient autour de Mélinda...

*Quoi ?!*

Pour Alice, tout ça était relativement incompréhensible. Qu’est-ce que tout ça signifiait ? Mélinda n’était pas folle, pourtant... Un peu spéciale, certes, terriblement perverse et arrogante, mais elle avait la tête sur les épaules. Alice avait entendu parler de cette Limma, qu’elle avait eu l’occasion d’apercevoir, mais elle n’en connaissait guère plus. Et, visiblement, Tisiphone, l’une de ces deux Déesses, avait des projets concernant Ashnard. Quel type de projet ? Alice, un peu interloquée, cherchait quoi dire, mais n’arrivait à trouver aucune idée.

*Il faudra que j’en parle à Mélinda, c’est sûr...*

Elle s’apprêtait à lui demander comment Evangeline savait tout ça, ou ce qu’elle savait au sujet des « projets » de Tisiphone à l’égard d’Ashnard, mais leur conversation fut interrompue par une servante, qui s’approcha, en expliquant à Evangeline qu’elle avait reçu une missive. Après cette petite interruption, Evangeline reprit sa conversation, et Alice, toujours un peu confuse, hocha la tête.

« Eh bien, je... Je lui en parlerais, bien sûr. Je vous avouerai que tout ça me surprend un peu. Depuis que Mélinda a fondé un clan, elle a décidé de se rapprocher des Dieux, afin de solliciter leur faveur. Je sais qu’elle veut le faire avec la Déesse Lust, mais j’ignorais que Mégère et Tisiphone se trouvaient aussi sur la liste. »

Alice n’était même pas sûre que les cultes de ces deux divinités soient autorisés à Ashnard. Des divinités de la folie, ça ne faisait pas très bon genre dans un pays qui prônait l’autorité et l’obéissance à l’État. Alice aurait donc des questions à poser, mais, avant qu’Evangeline n’aille voir son mystérieux invité, Alice lui posa encore des questions supplémentaires :

« Mais, Evangeline... Pardonnez-moi, mais... Comment en savez-vous autant sur Mélinda, et... Et sur ces deux Déesses ? Je veux dire... Vous m’avez dit que la Déesse Tisiphone avait des projets concernant Ashnard. Mais... De quoi s’agit-il, exactement ? »

Ariman eu une aide inattendue quand un des assassin fut tuer par surprise par un nouveau venu visiblement c'était une des marionnette élaboré que Evangéline avait créer. L'Obliterator fut un peu déçu il aurait bien voulu mener lui même le combat à son terme mais il ne crachait pas non plus sur un peu d'aide surtout qu'il n'était qu'invité.

Après avoir éliminer le reste du commando avec rapidité inouïe la Marionnette se présenta sous le nom de Lucius et remercia Ariman pour son intervention lui indiquant qu'on allait venir le chercher et indiquant un direction. Quand l'Obliterator se retourna il se retrouva face à deux marionnette gardienne des plus normale et une autre aux allures poupées précieuse qui se présenta sous le nom de Mélisandre. Visiblement vu que la maitresse des lieux était fort occupée par ses nombreux invités elle avait prise des dispositions pour pouvoir parler affaire via une intermédiaire. Ariman étant lui même un intermédiaire pour un seigneur du chaos n'allait pas refuser cette offre.

- Bien sur ! Je ne vais pas refuser cette si charmante invitation. Dit il en s'inclinant et suivant ensuite le trio.

Durant le retour à la propriété Ariman fit une grimace et regarda son avant bras endommagé. La masse magique du tueur avait fait plus de dommage qu'il aurait penser. L'énergie magique de cette arme perturbait la régénération de son don. Si il avait tirer une de ses armes il aurait pas été blessé mais il aurait certainement démolis le jardin chose qu'il as voulus éviter. Va falloir qu'il prenne un peu de temps de réparer cela.

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Entre temps Lucius qui nettoyait le jardin des cadavres eu son attention attirer par un crâne volant qui émis des bruit électronique. La Marionnette reconnus le sceau d'Ariman et cherchait visiblement à attirer son attention. Il eu confirmation quand il vis une silhouette ramper et essayer de se cacher dans les broussailles. C'était la tueuse qui avait essayer de tuer Ariman avec son arc et que le crâne avait descendu avec son laser. Elle était encore vivante mais avait une jambe cassé suite à sa chute en plus de l'épaule transpercer. Le Monocrâne cherchait visiblement à attirer l'attention pour signaler qu'il restait un tueur de vivant bien que hors d'état de combattre. La Marionette sur le coup compris pourquoi il y as eu ce combat. Visiblement les Tueurs avaient été repérer par l'Obliterator depuis longtemps. Vu sa nature d'agent du chaos il avait certainement mis cette créature et peu être d'autres en douce pour renforcer la sécurité de sa maitresse mais aussi la sienne ce qui n'était pas une mauvaise chose en sois car le crâne volant propulsé par un petit générateur antigrav ne se montrait pas agressif mais plutôt coopératif. Après en ce qui concerne du sort de la tueuse survivante c'était à Evangeline de décider.

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Alors que Alice et Evangeline parlaient elle se rendirent compte qu'elles étaient surveiller. L'un des quatre garde du corps d'Ariman étaient présent dans la salle et semblaient les fixer les deux bras ballant sans faire rien d'autres. Cette surveillance était discrète car le colosse revêtus de capes gardait ses distances mais cela ce voyait que les filles était au centre de son attention car il les suivait du regard et se déplaçait quand elle se déplaçaient.

Ariman avait mis ce garde par précaution après avoir espionner le groupe de tueur et avoir compris le mot princesse dans leur conversation. Par précaution il avait envoyer trois de ses gardes patrouiller dans la propriété tandis que le quatrième surveillait la princesse Alice venue uniquement avec ses amies visiblement.