À terme, Hawk allait perdre une forme de raison. Sarah allait la transformer en une véritable nymphomane, ne vivant que pour le sexe, et n’aimant que le sexe. Son ancienne vie serait balayée au gré des coups de reins, des tentacules, des aphrodisiaques, et des queues qui se planteraient en elle. Sexe, sexe, sexe... Un seul maître-mot, qui définissait désormais les ambitions et les aspirations du « Capitaine » Hawk. Sarah continuait à la labourer, et voyait les yeux de Hawk se voiler, tandis que le plaisir éclatait en elle. Son corps multiplia les orgasmes, inondant la verge de Sarah, qui frémit, et ne put retenir son orgasme.
Au bout de plusieurs minutes, son membre expulsa d’épaisses quantités de foutre, rapidement rejoints par le tentacule qui s’enfonçait dans la bouche de la femme. Le lait de Hawk se mit à couler de ses seins, et, rapidement, des tentacules vinrent le pomper, se positionnant sur ses seins, enroulant de multiples langues rosâtres autour de la pointe des tétons, tirant sur les seins, les pressant pour expulser ce lait, tandis que les couinements de Hawk témoignaient du plaisir intense et inouï qu’elle ressentait. Encore et encore, Hawk jouissait, n’arrivant plus à se retenir, les joues toutes rouges, sa combinaison crissant dans tous les sens, les tentacules l’immobilisant se serrant et se décrispant.
« Hmmmm... !! »
Sarah serra les lèvres, et continua à répandre sa semence, de même que le tentacule phallique, qui jouit tant et si bien que du sperme ressortit des lèvres de Hawk. Le tentacule se retira ensuite, et, rapidement, Sarah vint embrasser la femme, léchant ses lèvres pour recueillir son foutre, puis fourra sa langue dans sa bouche, goûtant davantage au foutre niché entre ses lèvres.
« Voilà... Hmmmm... »
Les tentacules relâchèrent Hawk, qui tomba sur le sol. Ses cuisses dégoulinaient de foutre, et, devant son visage, le phallus de Sarah se dressait, toujours bien dur, recouvert de filaments de foutre et de la mouille de la jeune femme. Elle souriait lentement, consciente qu’Hawk portait maintenant son sperme, et, partant de là, des œufs. Autrement dit, elle était enceinte.
« Allez, qu’attends-tu ? Ma queue attend ta bouche de traînée, ma salope. Viens me sucer, petite pute. »
À aucun moment, Sarah ne comptait l’affubler de termes élogieux. Tout était fait pour la rabaisser, pour l’humilier, et, tandis qu’Hawk se redressait, pour pouvoir enfourner le phallus de sa Reine dans sa bouche, le sol se déforma entre ses pieds. Une excroissance apparut, prenant la forme d’un nouveau tentacule phallique, qui retourna rapidement soulager la soif de la femme, en s’enfonçant entre ses cuisses, et en la pénétrant.
Tout était fait pour qu’elle reste en état d’extase perpétuelle.