Mitsuko débarque. [Meisa]

Mitsuko continua sa besogne, variant parfois la cadence ou la profondeur de ses cajoleries buccales. Sans arrêter de pousser des petits cris étouffés, elle caressa doucement de sa main gauche les testicules de Kamui. Sa bouche, accompagnée dans son mouvement par une main particulièrement délicate, ne cessait d'enfoncer le membre chaud dans sa bouche, le caressant de sa langue dès qu'il se pointait à l'intérieur. Les gouttelettes torrides ne faisaient qu'augmenter la température de son corps, la mouillant encore plus du même coup.

Mitsuko finit par sentir la main de son partenaire derrière sa tête, arrivant en même temps que des paroles incitant la jeune fille à continuer. De nombreux hommes aimaient appuyer derrière la tête de leur partenaire dans un sens uniquement et totalement vulgaire et dénigrant mais, comme Kamui était un amant sensuellement attentionné, Mitsuko ne fit que se réjouir de cet encouragement manuel. Elle continuerait jusqu'à ce que le jeune homme atteigne l'orgasme. En attendant, elle augmentait la vitesse et la profondeur des va-et-viens qu'elle contrôlait.

Les caresses buccales de mon amante sur mon sexe excité étaient si bien éxécutées que me retenir de jouir dans cette bouche experte était beaucoup trop difficile. Sa langue jouant sur mon gland, ses lèvres sur mon phallus et ses mouvements incessants eurent bientôt raison de ma résistance. Malgré moi et mon intention de ne pas jouir entre ses lèvres, je ne pus m'en empêcher et je déversa ma semence bien malgré moi dans sa bouche qui m'avait accordé de telles caresses dans un rale de plaisir. Me rendant compte de mon erreur, je m'empresse de m'agenouiller et de l'embrasser, enfonçant ma langue dans sa bouche, m'excusant au préalable.

-Pardon... je suis désolé, Mitsuko... je ne voulais pas, je t'assures... Laisse-moi nettoyer ça... oh pardonne-moi

Je me sentais coupable et surtout paniqué qu'elle m'en veuille. J'ai uni de multiples fois nos lèvres et doucement, à chaque baiser, je nettoyai sa bouche, m'excusant à chaque fois, recueillant et avalant mon propre sperme autant que je l'ai forcée à en avaler. Ca me rappela ma première nuit. Ce jour-là, c'était affreusement dégoutant, mais maintenant, c'était pour m'excuser d'une erreur qui aurait pu mettre fin à cette soirée. Une fois que j'eue tout avalé, je baissa la tête.

-Je m'excuse, Mitsuko... c'était un accident...

Mitsuko continua jusqu'à se rendre compte que le pénis entre ses lèvres s'apprêtait à éjaculer. Sans qu'elle n'ait eu le temps de réagir, la première giclée se fit déjà goûter. De peur de vexer son amant, la jeune japonaise garda le membre dans sa bouche, goûtant malgré elle au goût amer du sperme. L'instant de cet orgasme poignant, plusieurs doutes envahirent son esprit: Et si Kamui avait joué le jeu de la sensualité dans l'unique but d'humilier profondément Mitsuko ensuite, de la dégrader ? Et s'il comptait lui pisser dessus, devenir violent ? Tous ces doutes se dissipèrent lorsque la japonaise fut ramenée sur Terre par les excuses de son partenaire.

Ça va, répondit-elle tendrement entre plusieurs baisers. Tu t'es laissé aller, il n'y a pas de mal à ça.

Les baisers n'étaient que plus savoureux puisque Kamui tenait absolument à nettoyer la bouche de la jeune fille, à s'excuser d'une manière physique en plus de ses paroles sincères. Mitsuko montra son visage au jet d'eau qui n'avait cessé, nettoyant autour de sa bouche ainsi que sa poitrine saillante.

Je ne t'en veux pas, dit-elle en souriant à l'amant qui, devant elle, s'excusait une fois de plus. Ne te sens pas coupable pour ça, ce n'est rien.

Elle l'embrassa langoureusement, pour une énième fois.

Elle me pardonna cet erreur et ça me soulagea énormément. Je caressai doucement ses cheveux en la regardant dans les yeux. J'étais conscient que ça l'avait dégoûté et j'en était vraiment désolé. Je frottai doucement son petit nez contre le mien puis je la fis relever doucement, conservant mes lèvres sur les siennes. Je la coinçai une nouvelle fois son corps entre moi et le mur, mais cette fois, je redevins aussi doux qu'au début. J'ai eu un moment d'écart et c'était une grave erreur. Je la regardai dans les yeux, effleurant ses lèvres d'un baiser.

-Je ne suis pas doué pour recevoir des caresses... ça finit toujours en désastres... Je suis vraiment désolé, je n'aurais pas du te laisser faire ça...

Doucement, je me détournai de ses lèvres pour l'embrasser dans le cou, caressant de la main droite son sein gauche. Par ma faute, je sentais chez mon amante une diminution de son excitation et je me devais de lui rendre ce qui a été pris. Je pinçai un peu son mamelon avant de le lécher en même temps que je l'étirai. J'écartai ma main de son sein et tout doucement, je me mis à suçoter la mignonne petite extrémité avec une tendresse renouvelée, puis j'embrassai sa divine auréole avec amour. Je revenais à notre douce passion et non pas à la perversion que j'ai faillit afficher envers elle il y a quelques minutes. Il y a une différence flagrante. La perversion vise son plaisir personnel au dépends de l'autre, mi-consentant et la passion à laquelle je m'adonnais à ce moment-là vise le plaisir des deux participants. Ma main gauche caressait doucement sa hanche et la droite, pour demeurer active, alla s'aventurer sur son intimité. J'exécutai quelques cercles autour de sa fente naturelle pour l'exciter, la faire languir un peu, avant d'y enfoncer délicatement un doigt. Lentement, j'y fit de petits vas-et-viens, caressant son raphé de l'index.

Bien heureuse de retrouver la tendresse initiale de son amant, Mitsuko sourit en se blottissant dans les bras de Kamui, l'embrassant du même coup comme si aucun écart ne s'était produit. La jeune fille n'était pas trop dégoûtée par ce qui s'était passé; en fait, elle avait déjà presque tout oublié et ne pensait plus qu'à s'amuser de nouveau avec le séduisant jeune homme qui la cajolait comme il le pouvait. Mitsuko rigola doucement en entendant de nouveau les excuses trop sincères de Kamui, et lui répondit en caressant ses cheveux.

Arrête de t'excuser, moi je suis seulement contente que tu aies joui. Le reste, ce n'est vraiment pas grave, je t'assure.

Elle l'embrassa passionnément, encore. Seulement, il détacha ses lèvres pour venir caresser doucement les seins et les tétons de la demoiselle, ce qu'elle laissa faire en appuyant son crâne contre le carrelage de la douche. Elle caressait tendrement les cheveux et l'arrière de la tête de son partenaire, lui demandant doucement de continuer, que ça faisait du bien, par des gémissements de plaisir très légers.

Sentant la main droite de Kamui s'aventurer autour de son sexe, elle minauda, se cambrant légèrement tout en poussant de petits gémissements. Un doigt entra en elle, alors elle sourit un peu, fermant les yeux, se cambrant, ressentant le doux plaisir que Kamui lui offrait sans devenir bestial.

Puisque mes caresses semblait lui être appréciable, à la façon dont elle me caressait la tête et les cheveux et qu'elle renversait la sienne vers l'arrière. Doucement, je me détournai de sa poitrine pour aller embrasser le douce épiderme de la gorge de mon amante. Ce que sa peau était invitante aux baisers... j'aime tellement l'embrasser et sentir ses petits frissons de plaisir parcourir sa peau aussi belle au regard que la soie. Je lui fais quelques suçons sur sa chair parfaite. Pour augmenter son plaisir, j'introduis mon auriculaire comme second doigt dans son vagin, sans m'arrêter, titillant son clitoris de mon pouce et index, le tortillant par moment.

-Prends plaisir, Mitsuko...

Je redescends sur sa poitrine, laissant sur mon chemin plein de petits suçons, mes petites marques à moi, pour signaler mon passage, même si ce n'était pas nécessaire. C'était pour signaler à mon amante que si elle voulait partager le lit d'un autre, elle devra attendre que mes marques sur son corps se dissipent. D'ici là, c'est à moi de m'occuper d'elle. Je me mis à nouveau à têter ses mamelons, alternant entre le droit et le gauche pour répartir les sensations, pendant que ma main gauche allait caresser sa nuque et son échine.

Mitsuko laissa les doigts de Kamui titiller son intimité, poussant des gémissements de plaisir alors qu'elle lui caressait la tête, les oreilles et la nuque, en même temps que l'eau chaude qui coulait sur lui. Elle remonta doucement le visage de son amant vis-à-vis le sien pour l'embrasser avec passion, avant de dire d'une voix douce:

Je n'ai jamais connu d'amant aussi parfait.

Des frissons la parcouraient tandis qu'elle réalisait qu'un homme fortement beau la traitait aux petits oignons, comme si c'était une reine, faisant absolument tout pour qu'elle s'y plaise et qu'elle y prenne du plaisir, se faisant passer en second. Sentant ses doigts de fée manipuler ses zones érogènes avec attention, Mitsuko l'encouraga d'une voix suppliante.

Continue, Kamui...J'adore ça...

Cette phrase parsemée de gémissements et de soupirs venait probablement du fond du coeur. Elle continuait de passer ses mains dans les cheveux de son amant, appréciant chaque contact entre leurs corps.

Détournant encore mon visage de sa ferme et parfaite poitrine, elle m'a attiré pour m'embrasser, baiser que je n'ai pas hésité à lui rendre tendrement. Elle me vanta ma perfection en tant qu'amant, m'arrachant un sourire amusé. Je lui mordilla doucement la lèvre inférieure avant de l'embrasser une nouvelle fois. Doucement, je retournai l'embrasser dans le cou. Ma main gauche monta vers la poignée avec la lettre "C" gravée dessus et j'augmentai la température de l'eau qui coulait sur nous puis ma main alla accorder ses douces tortures à son sein droit. Elle était si douce, sa poitrine aussi ferme que des cerises, ses lèvres étaient si chaudes, sa langue si goûteuse, ses jambes si parfaites et son vagin si attirant. Incapable de m'en empêcher plus longtemps, je descendai sur son sexe et je le lapa longuement, aspirant le maximum de cyprine que je pouvais puis l'avalant. Je me relevai, à genoux pour embrasser mon amante, lui dire que ce qui va suivre devrai lui plaire.

Je plongeai, tel un oiseau de proie sur son intimité et je léchai sa vulve. Je posai un petit baiser sur la grande lèvre droite et suçotai la gauche et la mordillai aussi pour lui apporter le plus de sensation. Vint le tour du clitoris, ah, lui, il n'allait pas passer son tour, oh que non. Il était bien gorgé de sang, mais ca ne me suffisait pas, je devais en mettre plus. Je suçottai la petite boule et, quand elle fut dans ma bouche, je l'assiegais de coups de langue, le mordillait jusqu'à ce qu'elle crie grâce, qu'elle me supplie d'arrêter ces douces tortures. Je savais que nos corps ne ferais bientôt plus qu'un, mais elle allait languir un peu.

L'excitation ressentie par Mitsuko en voyant son bel amant la chérir n'était comparable à rien au monde. Elle regarda ce dernier s'abaisser jusqu'à son sexe tout en augmentant la température de l'eau. La jolie japonaise ressentit aussitôt ce changement, ressentant une douleur très faible lorsque les gouttes, telles des flèches, venaient doucement piquer sa peau. Elle regarda avec envie son partenaire descendre jusqu'à l'entrée de son vagin.

Aussitôt, elle sentit que le bel homme caressait de sa bouche l'intimité de la jeune fille. Elle se mit à gémir sans retenue, se cambrant sous l'effet du plaisir, fermant les yeux pour mieux savourer tout ce qu'on lui offrait. Kamui devenait plus violent dans ses léchouilles et mordillements, ce que Mitsuko appréciait, puisqu'elle savait qu'il continuait de la respecter, comme au début.

Ohh, c'est si bon, ahh...Kamui, continue, aaahh !

Elle suppliait son amant d'une voix envieuse et perverse, amenant une main derrière la tête de Kamui, et l'autre s'appuyant contre le mur.

Tu es divin, Kamui, j'en veux encore !

Elle gémissait avec passion et plaisir.

Lui donner encore plus? Ouh là... elle en demandait pas mal, là, si on considère que je suis en train d'étouffer sous l'important flot de cyprine qui s'écoulait d'elle. Oui, je voulais lui en donner plus, mais avec son goût exquis dans la bouche, ses gémissements dans mes oreilles, son odeur dans mes narine, la douceur de sa peau sous mes mains et sa beauté sous les yeux, réfléchir me semblait soudainement très difficile et même inapproprié, je laissai mon expérience me diriger.

Ma langue, qui, jusque là, s'occupait de son clitoris, se détourna pour s'occuper de son vagin, dont les parois, en manque de coït, s'étaient ressérées. Inacceptable, bien sûr. Doucement, j'enfoncais mon appendice buccal dans le plus gros trou de la vulve de mon amante et je me mis à en titiller les parois élastiques, les étirant comme je le pouvais. De leur coté, ma main droite, qui s'occupait de son vagin, remonta vers la poitrine de la demoiselle pour prêter main forte à sa soeur. Elles se mirent à masser la poitrine de mon amante avec une grande douceur, avec de amples mouvements, puis pincèrent les mamelons très durs puis les étirant pour lui accorder de plus tendres sensations. J'avais très hâte de nous réunir à nouveau, que nos corps ne fassent plus qu'un mais... pour l'instant, la demoiselle semblait bien aimer ce traitement et je ne tenais pas vraiment à la contrarier.