Une soirée pas comme les autres [pv]

Phénicia avait réussi à avoir une journée assez calme, entendre par là qu'elle avait eu une journée de cours que l'on retrouvait dans la plus part des lycées. Il fallait savoir que celle qui avait de long cheveux blanc quasi surnaturelle, car ils étaient parfaitement entretenu jusqu'aux pointes, avait la fâcheuse tendance à se connecter à ceux qui ressentaient de forts sentiments autour d'elle. Il n'y avait pas trente-six solutions, soit on vivait en pleine forêt dans une grotte loin de toute civilisation, soit on maîtrisait son pouvoir afin d'éviter de devenir folle. Le problème avec la deuxième méthode, c'était que l'adolescente de quinze ans n'avait ce pouvoir que depuis quelques semaines, son arrivée à ce lycée en somme. Elle avait bien un autre pouvoir, mais celui-ci s'était réveillé bien avant dans son enfance. Elle était capable de prévoir l'avenir ou parfois voir plusieurs avenirs durant son sommeil ou des flashes quand elle était éveillée. Elle n'arrivait pas tellement à déclencher ce pouvoir sur commande, mais il n'était pas si dérangeant que le dernier petit nouveau. Il fallait imaginer une gentille et innocente fille de fermier venant de son tréfonds de sa campagne plongée dans la grande ville la plus perverse du Japon. Elle vivait en pension complète dans le lycée, cela voulait dire d'essayer de dormir au milieu d'une horde d'adolescents purulent par tous les ports de leurs peaux des hormones qui leurs donnaient envie de faire l'amour une fois toutes les heures. C'était une véritable torture, et c'était un peu comme si elle avait de multiples expériences derrière elle malgré son âge, alors qu'elle était encore vierge.

La jeune fille entra alors dans sa chambre pour une seule personne en soupirant légèrement. Elle s'avança dans la pièce et s'écroula sur son lit en lâchant un râle. Elle resta un instant avec son petit manteau sur le dos, qui dominait son uniforme d'écolière. Elle retira nonchalant ses chaussures sans bouger de sa position en végétant légèrement. Elle était assez douée en classe et sans forcément vraiment travailler, à tel point qu'elle était dans les premières de sa classe avec une année d'avance.

Phénicia sursaute légèrement en sentant des picotements dans le ventre. Elle se tortilla doucement alors qu'elle sentait sa respiration s'accélérer. Elle se demanda ce qui lui arrivait. Elle se tourna lentement sur le dos un peu perdue, puis elle se cambra fortement en sentant comme des mains le long de son corps. Elle sentit ses tétons se tendre sous sa petite chemisette. Elle avait des bouffées de chaleurs, alors qu'elle se frottant sans pouvoir se contrôler une cuisse contre l'autre. Elle essaya de se contrôler, mais c'était bien trop tard, son pouvoir avait réussi à cibler sans doute un couple non loin dans une chambre voisine. Elle eut comme un flash un bref instant voyant pendant quelques secondes un homme au-dessus d’elle à la caresser directement à même la peau. Elle ne put se retenir de gémir doucement en rougissant fortement, toute gênée. Elle n’aimait pas ce genre de situation car elle violait quelque part l’intimité des autres, et c’était loin de son éducation stricte. Elle était maintenant toute chaude entre la double excitation du couple, et sa gêne de la situation. Elle devrait partir de sa chambre, même si elle était chez elle quelque part, mais elle ne savait pas trop pourquoi, elle n’en était incapable. Ses jambes refusaient de se tendre pour dresser son corps, ses bras étaient crispés sur les draps de son lit et son corps frissonnait légèrement en ondulant de temps à autres.

"Aaaaah … Akira … "    

Dit alors l’extraterrestre dans un souffle plus proche du gémissement qu’autre chose. Elle avait honte, mais son pouvoir c’était également cela, elle se laissait dépasser par les multiples sentiments et flashes dont elle était victime. Elle n’arrêtait pas de se dire dans sa tête des mots d’encouragement comme retient-toi, contrôle toi, allez lêve toi et va-t-en, mais en guise de réponse, sa main vint doucement glisser sur sa chemisette et elle commença à se ploter elle-même délicatement. Elle cambra son petit corps se tortillait sur son lit. Elle s’agaça elle-même le téton à travers le tissu, vivant pleinement la scène qui se passait juste de l’autre côté du mur.

" Aaaah … non … il la caresse …. Juste là …. Je vais devenir folle …"    

Dit alors Phénicia en glissant sa petite main sous sa jupe courte de l’uniforme de son école. Elle commença à se caresser contre sa petite culotte blanche déjà humide imitant ce que le garçon faisait à la fille. Elle ouvrit de son autre main son chemisier comme elle le pouvait dévoilant son soutiens gorge blanc enfantin. Elle respirait rapidement, troublée alors qu’elle entendait à moitié étouffée les gémissements de la demoiselle dans l’autre pièce juxtaposée. Cela ne l’aidait guère, mais maintenant, elle avait le son et l’image en plus des sensations. Elle laissa glisser sa main entre ses petits seins pour venir les lécher délicatement de sa petite langue agile afin de mouiller ses doigts. Elle soupirait et gémissait de plaisir, alors que sur le dos, elle ouvrait ses cuisses un peu plus pour permettre sa main de se caresser le sexe à travers la petite culotte blanche. C’était un petit peu comme si elle était dans son propre monde, un monde sans frontière physique ou physiologique, ou tout le monde ne formait plus qu’un dans une cacophonie géante. Elle en serait la pièce centrale, incapable de refuser les communications, et profitant d’une certaine manière pour découvrir et éteindre ses propres incendies, qui se déclanchaient dans son jeune corps encore innocent. 

Rahemar s’ennuyait. Mais quand un dieu s’ennuie, comment cela se passe-t-il ? Et bien tout simplement, il met fin à son ennui avec une nouvelle distraction… et niveau distraction, de son point de vue, le centre scolaire Mishima était un endroit parfait :  entre les étudiants qui s’éclataient en permanence et les lycéens qui s’exploraient, il ne voyait pas de raison de ne pas en profiter. Il y avait toujours une bonne occasion à saisir, pour peu que l’on sache où chercher… et cette fois-ci, il trouva à nouveau très vite, il trouva d’ailleurs un bon moyen de se mettre à la recherche de la proie de la soirée, ou de plus longtemps s‘il le désirait…  Et il avait déjà trouvé…

Comment avait-il trouvé sa cible ? Très simplement en fait !  Quand on y pensait, c’était évident  il était le dieu des apparences et cette fois-ci il avait pris l’apparence d’une brume belle légère et si fine qu’elle en était invisible… ainsi, il pouvait errer dans l’enceinte de l’établissement sans se faire remarquer… et pour passer inaperçu il passa inaperçu, d’ailleurs sa cible ne remarqua même pas qu’il était déjà là, au-dessus d’elle, alors que, guidée par ses sens, elle se faisait plaisir… il la voyait, à moitié nue en train de se toucher, en train de se trouver, de sentir son corps et de se sentir si bien , de se soulager, qu’il se contenta de la regarder ainsi, jusqu’à ce qu’elle arrive à l’extase et c’est au moment où elle gagnerait sa jouissance, il prendrait la parole et ma voix ne serait pas traçable, la voix était juste là, dans la pièce avec elle.

« Je te vois, petite perverse… » [/b][/color]

Peu à peu il apparaitrait, d’abord ombre informe, puis sous une forme qu’il voulait terrifiante : une peau rouge pour une stature de près de deux bons mètres cinquante, un museau allongé d’où sortaient des crocs acérés, des pieds de bouc, de grosses mains griffues, une longue langue fourchue et un simple pagne pour cacher l’essentiel. Oh, ce n’était pas grande chose, il avait opté pour ce qui était le plus basique.

« Bonjour ma petite chérie… devine qui vient jouer avec toi ? » [/b][/color]

La voix était désormais très grave, caverneuse même et on sentait la puissance des muscles saillant sous la peau avant qu’il prenne une apparence plus classique sans doute, celle d’un étudiant qui semblait taillé pour le sport et qui du coup, tranchait pas mal avec le frêle physique de la jeune femme.

« Devine qui va jouer avec moi ? » [/b][/color]

Il avait un regard plus que lubrique…

Phénicia était si concentrée sur sa connexion mentale vers le couple, qu'elle n'eut aucune chance de sentir que quelque chose n'allait pas dans sa chambre. Elle avait beau être une extraterrestre sans le savoir, elle avait une vie assez banale malgré ses pouvoirs. Elle espérait simplement réussir ses études et rentrer dans sa campagne pour se marier, avoir deux enfants et un mari parfait. Elle n'était en rien habituée à l'étrange et encore moins à rencontrer des dieux. Elle croyait aux kamis, ses esprits plus ou moins bénéfiques que l'on priait selon les besoins. Sans en être consciente et alors qu'elle se touchait en sentant les sensations du couple juste de l'autre côté du mur, un dieu bien sournois l'observait. Il ne pouvait sans doute pas savoir qu'elle avait des pouvoirs et qu'elle n'était en rien une perverse à se toucher. Si elle le faisait beaucoup dernièrement, c'était à cause de ce nouveau pouvoir. Elle avait son haut débrayé, n'osant se mettre nue totalement, elle avait la main contre sa petite culotte, mais elle était loin d'être nue. Elle pouvait très rapidement se rhabiller au besoin en cas de visite impromptue. C'était cela plus grande hantise, quelqu'un qui entrerait pendant qu'elle se toucherait comme maintenant. Elle ne pouvait que suivre le rythme du couple, et heureusement que cela ne durait jamais bien longtemps. Elle laissait glisser des doigts au rythme des pénétrations du sexe de l'homme dans celui de sa partenaire. Elle était de plus en plus excitée comme si elle était trois personnes différentes à faire l'amour.

  " Aaah …. Aah … "

Gémit alors la jeune fille en glissant ses deux doigts vivement contre sa petite perle. Elle se tortillait doucement dans le lit, alors qu’elle tentait de se retenir, honteuse. Elle pressa sa main contre sa bouche, alors qu’elle sentait des mains masculines lui prendre la poitrine, l’embrasser dans le cou tout en la besognant avec force. Elle sentait les soubresauts, la chaleur intense, les mouvements de ce membre dur et brûlant entre ses cuisses, alors qu'elle était toujours vierge. Toutes ses stimulations eurent raison du peu de résistance qu’elle avait, car ses uniques expériences étaient par les autres. Elle ferma fortement les cuisses alors qu’elle sentit une vague la submerger totalement, alors qu’elle pressa fortement sa main afin d’éviter de crier de plaisir. Le couple à côté venait de jouir également, elle sentit comme du sperme chaud envahir son sexe et dégouliner à l'extérieur. C’était une sensation étrange pour une adolescente de quinze ans. Elle était un petit peu perdue et se tourna sur le côté à l’opposé du couple. Grâce à sa jouissance et que le couple se calmait en s’embrassant tendrement, elle put enfin briser la connexion avec eux. Peut-être à cause de son manque d’expérience ou de volonté d’arrêter un tel moment de plaisir. Elle se mordit une lèvre honteuse en sentant sa petite culotte trempée de sa propre jouissance. Elle retira lentement sa main en la voyant souillée de sa propre cyprine. Elle soupira lentement en se sentant comme un peu ailleurs ne pouvant pas faire un seul geste, mais elle crut entendre une voix lui parler.

" M…. mais … que …. Qui est là ? Et je ne suis pas une perverse ! Ce … ce n’est pas de ma faute !  "      

Dit alors Phénicia en se sentant assez stupide de parler toute seule. Elle pouvait entendre souvent des voix, mais c’était toujours dans des visions du futur. Cependant, à ce moment-là, elle était bien consciente que ce n'était pas le cas. Était-ce une connexion avec quelqu'un d'autre ? Une pensée venant d’ailleurs ? Elle soupira longuement avec un sourire amusée pour se moquer d’elle-même. Elle posa sa main sur sa tête en secouant la tête doucement en tentant de se relever du lit légèrement souillé, mais petit à petit, elle vit une forme animale et largement pas naturelle apparaître au-dessus d'elle. On aurait dit un monstre d’un jeu vidéo, c’était une créature massive rouge comme un minotaure, des pieds de bouc, des mains griffues et une longue langue de démon. Le fait que cette créature portait seulement un pagne ne lui arracha pas d’autres mouvements d’étonnement que le reste. Elle était totalement figée sur place de terreur en tentant de reculer de quelques centimètres, mais elle était totalement piégée. Depuis combien de temps était-elle là cette créature ? D’où pouvait-elle sortir ? Est-ce que c’était de sa faute ? Après tout, elle utilisait ses pouvoirs pour du sexe ou du moins de la perversité comme disait la créature ? Est-ce que c’était cette créature qui lui avait donné ses pouvoirs ? Tant de questions qu’elle ne pourrait avoir les réponses, car quand la créature l’appela ma petite chérie et qu’elle posa la question de qui venait jouer avec elle, blanchette ne put qu’exprimer un seul son à l’idée.

" AAAAAAAAAAAAH !  "          

Phénicia poussa un cri de terreur en s’accrochant au lit. Elle avait beau encore être chaude, trempée et excitée, l’idée de faire quelque chose avec un monstre pareil et la surprise la angoissait. C’était tout bonnement impossible, et elle ne put qu’imaginer le monstre qu’il pouvait avoir par rapport au jeune étudiant juste de l’autre côté du mur. Elle ne savait pas trop si quelqu’un allait entendre et surtout réagir, mais sur le moment, elle était pleine d’espoir. Elle savait qu'elle n'avait aucune chance de résister, elle était jeune et frêle dans une position peu enviable. Elle tomba sur le dos en saisissant sa chemisette pour la refermer en la tenant contre son corps encore brumeux de plaisir. Elle regarda de ses billes rondes la créature se transformer en un étudiant sportif agréable à regarder, il fallait avouer, mais elle n’avait pas oublié le monstre. Elle était perdue, elle le regarda en essayant de se concentrer sur cette personne, elle sentait son regard lubrique, et son pouvoir de sensation. Elle comprit bien rapidement en captant ce que cet homme avait envie de lui faire. La toucher, la lécher, la prendre, c’était extrêmement clair, mais elle continuait d’avoir peur. Elle laissa alors échapper quelques mots d'une voix tremblante encore terrifiée.

" Je … non …. C’est impossible … on … on ne peut pas faire ce que vous voulez …. Je …je ne suis qu’une humaine et vous …. Et vous vous êtes …. Quelque chose … quelque chose d’ancien … "    

Entendre la jeune femme prétendre qu’elle n’était pas une perverse était amusant.. pas une perverse, mon œil !  Elle se toucait ou pas quand il était arrivé ? Bet bien voilà, tout était réglé ! elle était une perverse… et au pire, elle le découvrirait bientôt ! Il suffisait de lui permettre de se révéler à elle-même, non ? Il lui sourit et la regarda, désormais jeune homme sportif. Il devait arriver à comprendre exactement ce qu’elle cherchait à nier… qu’elle aimait ça ? Peut être… il leva les yeux au ciel avant de replonger son regard dans le sien…

« Ne pas faire ce que je veux ? Mais ce n’est pas possible !  Car c’est pour ça que je suis ici, c’est pour ça que j’existe… faire ce que je veux… c’est aussi simple que ça, ma belle petite salope … car oui, c’est ce que tu es… ou ce que tu seras entre mes mains… je pense… alors tu aurais tout intérêt à savoir exactement ce que tu souhaites ! Car… car je sais que ça se fera ? Tu n’auras pas le choix là-dessus…  Mais les choses peuvent se passer comme ça, avec cette apparence… ou avec d’autres apparences bien moins appréciées… » [/i][/color]

Il lui fit un sourire avant de finalement lui faire un clin d’œil…

« Je pourrais devenir animal même si c’estg là ce que tu veux… aimerais-tu te faire sauter par un dogue allemand ? Ce doit être amusant, non ? Ou alors un monstre de jeux-vidéo ? Un orc de warcraft ? Une monstruosité venue d’un film, comme par exemple un zombie ? Allez, je te laisse le choix, mais tu y passeras et si tu ne choisis pas très vite ce sera l’autre apparence que tu as vue, celle qui t’a fait peur…. Et tu auras mal… très mal… alors… alors le choix est tien… » [/i][/color]
 
Sous son apparence de sportif il s’approcha d’elle et écarta les pans de sa chemise de force pour révéler sa petite poitrine juvéniel par sa taille… salsifie quand tu nous tiens… il lui sourit et posa sa main sur l’un de ses seins pour écraser le petit bouton de chair avant de le lui pincer, le lui malmener un peu. Il sourit et recommença sur l’autre,  chassant ses mains si elle essayait de l’en empêcher.

« Si tu te montres docile et empressée de me satisfaire je m’en irai plus vite… donc tu sais ce qu’il te reste à faire ? » [/i][/color]

Il sourit, carnassier avant de rajouter.

« Alors déshabilles-toi et voir voir un peu comment je suis outillé… » [/i][/color]

Et pour être outillé, il était divinement bien outillé… presque le diamètre de son frêle poignet… 

Phénicia n'aimait pas l'idée que l'on la voit comme une perverse notable, même si la personne qui la jugeait était une créature non identifié. Elle n'allait sans doute pas ruiner sa réputation si elle restait obéissante à ces exigeantes, ce qui semblaient tourner autour du sexe objectivement. Il n'y avait pas besoin d'être une génie pour comprendre. Elle s'attendait à rencontrer le grand amour pour sa première relation, mais pas une personne capable de pouvoir pareil. Elle n'aimait pas voir un sourire sur le visage du jeune étudiant qui lui faisait face, car elle savait fort bien le genre de personne c'était. Il ne pouvait rien lui cacher car elle ressentait ses envies, ses désirs, mais de toute façon cette créature sans nom ne se cachait pas. Elle ne pouvait pas nier que cela était plaisant de se toucher et de jouir, mais ce n'était pas ses propres désirs, c'était ceux pervers de ceux qui l'entouraient. C'était cela me plus gênant et même si cette créature était dotée de pouvoir, elle ne pouvait pas le lui dire ainsi. C'était bien trop dangereux vu qu'elle ne comprenait pas elle-même ce qui lui arrivait et pourquoi elle avait ses pouvoirs là  et sa famille visiblement non.

" Vous existez pour faire cela ? C'est vous le pervers pas moi ! Ne ... ne m'appelez pas ainsi s'il vous plais. Je m'appelle Phénicia..."

Finit alors par dire l'extraterrestre à la créature sur un ton assez bas. Elle fut des flashes des différents futurs qui se présentaient encore parois les possibilités. Si elle se laissait, il lui ferait l'amour avec une joie sans non. Si elle résistait physiquement, elle n'aurait aucune chance face à lui et il serait d'autant plus sauvage et désagréable. Si par chance elle arrivait à tenter de fuir par la fenêtre, il la rattraperait facilement. Si elle criait à l'aide, personne ne serait capable de la sauver et le résultat serait le même pour lui, mais surement pas pour elle. Cela ne dura que quelques secondes à voir ses images torrides mais terriblement dérangeante pour la jeune fille. Elle savait maintenant qu'elle ne pouvait vraiment pas échapper aux désirs se cet homme. Elle détourna les yeux gênée par la situation en serrant légèrement les cuisses. Cela était parfois mauvais de voir l'avenir si clairement. La créature l'avait clairement menacée de se servir de son corps de la pire des manières.

" Je ... non ! Un animal ... c'est vraiment pas très glamour. Vous savez que je n'ai que quinze ans ? Je suis davantage attirée parc le prince charmant qu'un poney ou autres animaux à quatre pattes. Comme ça  ! Faites moi l'amour avec cette apparence !"

Dit alors Phénicia rapidement en prenant ces menaces très au sérieux, car elle les avait vu dans l'avenir. Elle le regarda s'approcher de lui dangereusement en dominateur, alors qu'elle était allongée sous lui sans aucune forme de résistance. Elle se laissa faire quand il lui ouvrit sa légère chemisette de lycéenne dont le noeud de cravate sauta sans grande résistance. Elle avait une jeune poitrine encore tendue de ses caresses précédentes dont les tétons pointaient vers le ciel. Elle rougit légèrement de cette approche peu cavalière, sursautant à sentir la main du jeune garçon sur un de ses seins. Elle frémit légèrement en évitant de réagir d'aucune manière se mordant une lèvre. Elle avait sentit depuis son arrivée dans son lycée plusieurs dizaines de fois des mains d'hommes partout sur son corps à cause de son pouvoir, mais elle fut surprise de me sentir directement contre sa peau si tendre et douce comme du lait. Elle prenait très bien soin d'elle même alors elle sentait bon l'amande douce. Elle ne put se retenir de gémir légèrement de plaisir alors qu'il pinça un téton. Elle était honteuse, mais elle ressentir un profond frisson qui lui parcourut le corps de haut en bas. Elle en pressa les cuisses autant qu'elle pouvait contre celles de cet homme. Elle ne tenta pas de résister sachant fort bien que c'était inutile, pire, elle glissa ses bras au dessus de son corps pour venir attraper son lit se cambrant légèrement davantage.

  " S'il vous plais ... soyez doux avec moi. Je ... je suis vierge ..."

Avoua à demi mot la jeune fille à son étrange amant comme si elle acceptait de ce fait l'acte sans discuter davantage. Sans doute que pour quelqu'un qui avait l'habitude de ce genre d'agression, cela pouvait surprendre. Ses yeux azurs étaient fixés vers les siens en entendant l'ordre de se déshabiller et sans doute qu'il allait faire de même. Elle rougit fortement de gêne à l'idée de faire cela pour un parfait inconnu et surtout dans cette situation. Elle ne put s'empêcher de laisser glisser son regard au dessus du pantalon du jeune homme, écrin encore protecteur du membre apparemment important. En tout cas, c'était lui qui le disait. Elle n'avait jamais vu de véritables sexes d'hommes, seulement sentir à l'aide de son pouvoir. Elle ne pouvait guère juger, mais il était certain que sa vulve juvénile bien serrée et juteuse offrirait mont et merveilles à son agresseur. Lentement entre gêne et une hésitation dû à sa jeunesse, elle se tortillait sous lui afin de retirer sa courte jupe de lycéenne dévoilant une petite culotte blanche maculée de sa cyprine. Elle ne pouvait que guetter une réaction dans son regard, très gênée. Elle finit de retirer sa chemisette la posant sur sa table de nuit à la suite de la jupette aussi délicatement que possible. Elle agrippa du bout de ses doigts sa petite culotte, toute tremblante n'osant guère aller plus loin, mais elle sentait que si elle voulait la garder intact et ne pas froisser cette créature, elle le devait. Très lentement alors roulant sa petite culotte blanche le long de ses cuisses, elle dévoila alors son petit sexe féminin encore intact. Elle n'avait que quelques poils pubiens argenté qui se battaient en duel, preuve que ce n'était pas une couleur fantaisiste. Elle ne gardait que ses hautes chaussettes sur ses jambes fines, alors qu'elle regardait le travail fini le jeune étudiant, du moins en apparence. Son petit coeur battait à tout rompre, alors qu'elle sentit une vague de chaleur la traverser entièrement de part en part. Elle ouvrit légèrement la bouche en respirant rapidement, troublée.

Il haussa les épaules devant ses paroles… il trouvait qu’elle avait de l’aplomb, davantage qu’il s’en serait attendu à en voir en face de lui, c’était une certitude… pour le reste… elle était un peu quelconque, physiquement. Il y avait biens ses cheveux qui sortaient un peu du lot, mais à part cela… à part cela il n’y avait pas grand-chose à dire, hélas… il soupira et regarda la jeune fille qui lui faisait face…. Il lui fit un sourire qui n’avait rien de rassurant alors qu’elle demandait qu’il garde cette apparence. Puis il haussa les épaules avec nonchalance, l’apparence lui était égale…

« Soit, de toute façon, troussée pour troussée… » [/b][/color]

Il lui sourit de nouveau alors qu’il al regardait se mettre à nu… elle allait faire des ravages une fois dévergondée… et son absence réelle de poitrine ne serait pas particulièrement gênant… bien au contraire, ça lui donnait, comme ses cheveux, un charme différent de ce que l’on pouvait voir un peu partout… il attendit un peu avant de finalement se remettre ç caresse son corps… elle avait les tétons durcis par l’excitation passée – ou future, qui sait – et ne fit preuve d’aucune résistance…

« Tu es peut-être vierge, mais rien en m’oblige à être doux…. Après tout, la vie n’est pas douce… et là, pour moi, tu n’e qu’une putain, une série de trous, un vide-couilles… donc vois-tu, être doux n’est pas dans mes priorités… » [/b][/color]

Il lui fit un sourire avant de se remettre à la toucher, dans toute sa nudité… il lui glissa une main sur les lèvres, puis lui pinça le téton bien dur, enfin… enfin il choisit de glisser sa main sur son pubis, sur sa vulve, une jolie petite vulve qu’il allait avoir du mal à pénétrer… question de taille. Logique… il allait la déchirer… alors il sourit et retira son haut pour montrer son torse athlétique avant de dévoiler le reste de sa personne, plutôt bien faite, non, en fait très bien faite, trop pour la pucelle sans doute… sa verge, pas encore complètement dressée, devait être proche de la taille du poignet de la jeune fille, c’était prometteur, n’est-ce pas ?

« Allez, finis de dresser ma queue en la caressant…. Et je suis sûr que mon gland adorerait que tu l’embrasse avec passion… j’espère que c’est ton premier baiser ? » [/b][/color]

Phénicia craignait bien ce qui allait arriver, car comme l'avait dit le dieu, elle y passerait qu'elle le veuille ou non. C'était un terrible sentiment d'impuissance qu'elle ressentait à cet instant. Elle était totalement soumise à ce qui risquait d'arriver malgré ses pouvoirs de prémonition. Elle n'avait pas réussi à deviner à temps ce qui allait se dérouler. Elle vivait les événements avec de l'avance et elle réfléchissait bien plus vite avec aisance que les humains. Il était évident que pour une vierge, elle avait une certaine assurance surtout dans cette situation. Elle était loin de pensée qu'elle avait affaire à un dieu tout-puissant, et pas simplement à un mutant pervers de surcroît.

La jeune fille ne savait pas trop pourquoi elle avait été choisie véritablement. Elle avait seulement quinze printemps, elle ne se trouvait pas aussi belle que les autres jeune femmes plus âgées comme les étudiantes, mais elle ne préférait pas demander pourquoi à cet homme. Elle n'apprécierait sans doute pas la réponse. On ne pouvait pas la discerner uniquement sur le physique d'une humaine, alors impossible de savoir que l'on avait affaire avec une extraterrestre. Elle avait bien des cheveux assez particuliers, mais de nos jours avec l'épopée du manga, les jeunes ne savaient plus trop quoi inventés. Il devait être vraiment désespéré pour en vouloir à quelqu'un comme elle, ou alors il n'avait trouvé qu'elle dans les couloirs déserts du lycée. Elle se pinça une levée contre l'autre toute gênée. Elle fut presque vexée d'entendre le soupire de la part de son futur violeur déçu de sa proie.

 " Ne vous forcez pas pour moi si je ne vous inspire pas ...  "

Dit alors doucement Phénicia à demi-mot. Elle n'aimait pas tellement entendre cet homme parler si mal avec des mots si crus. Elle était habituée à la douceur de la campagne, la joie de vivre et même si elle avait vécu par procuration des événements très coquins, elle se sentait loin d'une vie sexuelle active. Aux réponses du jeune étudiant sportif, elle savait qu'il n'allait lui faire aucun cadeau. Elle se mordit une lèvre en essayant de voir dans les différents futurs s'il allait jouir à l'intérieur de son vagin ou non. Cela pourrait devenir extrêmement problématique. Elle avait bien évidemment déjà eu ses premières règles.

Phénicia sentait le regard insistant de cet homme à son striptease improvisé sous ses yeux. Le rouge lui monta aux joues alors qu'elle détournait son regard de gêne. Si le jeune homme semblait être certain de son potentiel d'attractivité une fois éveillée, elle n'en était pas du tout consciente. Elle avait bien remarqué de temps à autre des regards masculins à son égard, mais elle n'en avait pas vraiment fait attention. Depuis qu'elle était arrivée dans ce lycée et à cause de son nouveau pouvoir, elle commençait à entrapercevoir une nouvelle porte que ce jeune homme, je ne tarderai pas à ouvrir en grand à coup de pied.

 " Aaaah  ... "

La jeune lycéenne soupira doucement de plaisir aux caresses de ses petits seins. Elle avait déjà les tétons tendus, et sentir les mains de cet homme si fort et impressionnant lui tournait la tête. Il fallait tout de même avouer qu'il était mignon et si l'on oubliait le fait qu'il pouvait devenir un monstre et qu'il était si arrogant, elle pourrait facilement se laisser aller entre ses bras. Elle était tout de même sur la défensive méfiante de ce qu'il pouvait bien avoir envie de faire d'elle.

 " Si rien ne vous oblige à être doux, rien ne vous oblige à être violents ce qui ne sera que mieux pour vous comme pour moi . Ce genre de réponse est bien trop facile. "

Phénicia rougit honteuses des mots que ce jeune homme choisissait pour la qualifier. Il gagnerait certainement en crédit s'il gardait les lèvres closes. Elle se cambra d'un seul coup surprise par le pincement de téton, qui lui provoqua un grand frisson agréable lui parcourant le corps. Elle se sentit de plus en plus redevenir plus chaude en perdant petit à petit pied de la réalité. Elle gémit contre la main posée sur sa bouche s'accrochant à son petit lit de toutes ses forces. Elle tenta de refermer ses cuisses en sentant le jeune homme peu émotif de la situation à venir glisser sa main entre ses cuisses sans autre forme de procès. Son sexe encore rose et intact était bien humide et légèrement ouvert alors que la main du jeune homme commençait à la parcourir. Son petit cœur s'accéléra alors qu'il commença à son tour à se déshabiller. Elle peut admirer son torse musclé et parfaitement proportionné. Elle avait envie de toucher sa peau et de sentir sa chaleur. Elle n'avait jamais vraiment vu de sexe masculin et certainement pas le sien. Elle ouvrit de grands yeux en voyant la taille déjà impressionnante du sexe à moitié dressé face à elle. Était-ce de sa faute s'il se trouvait dans un tel état ? Il avait donc un certain désir pour elle encore dans le fantasme de l'amour fleur bleue. Elle était quelque peu refroidie et craintive de devoir se faire pénétrer par une monstruosité. Si les garçons fantasmaient sur les énormes poitrines, les femmes ne rêvaient pas du sexe d'homme monumental. Tout ce qui se disait entre copines, c'était qu'il fallait que le phallus soit bien dur et tendu. Elle commençait à douter que cela puisse rentrer et craignait d'autant plus la violence du jeune homme. Elle ne voulait pas avoir mal pour sa première fois, elle avait rêvé de romantisme et de septième ciel, nom de douleur et de déchirement.

 " Je ...   "

Phénicia était complètement perdue face à ce sexe masculin et aux ordres de son futur amant. Il voulait certainement que les petites mains juvéniles touchent ce membre chaud et intrigant. Elle avança ses mains tremblantes entre peur et appréhension. Elle savait que plus les choses avançaient, plus l'heure fatidique de la pénétration arriverait. Elle finit par poser ses mains effleurant la peau chaude de ce membre, elle était en pleine découverte et n'irait certainement passer vite pour lui. Tout était nouveau pour elle, les sensations, la chaleur, la texture. Elle avait beau penser tout ce qu'elle voulait, toucher cette chose l'existait. Elle déposa ses deux mains dessus commençantes à le branler de haut en bas avec une grande application. C'était quelque chose de magique dans son esprit. Elle était si proche de cette chose qu'elle pouvait presque le sentir. Elle ne pouvait que faire le rapprochement avec les sensations que lui offrait son pouvoir. Elle eut des flashes de tout ce qu'elle avait pu ressentir chez les autres, des fellations, les caresses, les diverses pénétrations, mais alors que le jeune sportif lui demanda avec la subtilité d'un éléphant au milieu d'un jeu de quilles, elle n'osa aller plus loin. Elle releva lentement son visage vers le sien et le regarda ennuyée est perdue.

 " Je ... je n'ai jamais embrassé un garçon et surtout pas comme ça ...   "