S’occuper des fesses de Mélonye, c’était un rituel indispensable, une étape nécessaire et fondamentale quand on faisait l’amour avec elle. Rhian aimait bien ce qui traitait à l’anal, et elle le devait certainement, au moins en partie, à Mélonye. Sa courtisane et amante était une grande passionnée des fesses de Rhian, adorant les lécher, les pincer, les malaxer, les presser... Et la pénétrer par là, bien entendu. Il n’était donc que justesse que Rhian, en retour, lui rende la pareille. C’était bien ce qu’elle envisageait en ce moment. Khaora les regardait en souriant. À trois, il y avait de nombreuses configurations à avoir, et elles y allaient tranquillement.
Agenouillée contre Mélonye, Rhian se redressa un peu, ses pouces se glissant sur la croupe de la femme, écartant ses fesses, l’une de l’autre, dévoilant ainsi l’accès à cette délicate ligne creuse sombre qui filait entre ses deux monts moelleux. Elle écartait ainsi ses fesses, révélant, peu à peu, un fin et délicat trou rosé. Sa rondelle, ou, dit de manière plus scientifique, son anus. Rhian se pinça doucement les lèvres en voyant ceci, et s’approcha encore, soufflant dessus avec sa respiration accélérée, et enfouit le bout de son visage entre ses fesses. Mélonye était magnifique à voir d’ici. Certes, elle était belle, peu importe le point de vue, mais là, comme ça, la voir ainsi, à moitié couchée sur le lit, bras étirés, lui offrant sa croupe, c’était un spectacle magique.
« Tu es vraiment très belle, Mélonye... Tout simplement magnifique... »
Elle sourit encore, et s’aventura, venant glisser sa langue contre son fessier, titillant sa délicate, ce léger trou rose, étroit, difficilement abordable, et qui nécessitait de s’y prendre à plusieurs reprises pour pouvoir l’aborder sereinement. Elle léchait donc, crispant ses mains sur ses fesses, et filait sur elle, remontant d’avant en arrière, forçant peu à peu le passage, répandant sa salive, sa tête repartant, avant de retourner se plaquer contre ses fesses. Lentement, mais avec énergie et envie, Rhian élargissait peu à peu le trou de la femme, avant de se redresser.
Khaora, en effet, venait de se rapprocher, une lueur malicieuse dans les yeux. Une lueur qui disait qu’elle n’en avait pas encore fini avec les surprises.
« Tu l’as bien nettoyé, ma chérie ? Elle est bien prête, maintenant ?
- Hum... Oui...
- Alors, il est temps de passer à la suite. »
Un sourire amusé et pervers étirait les lèvres de sa mère, qui lui tendit un élixir, une belle petite fiole, que la Papuanne attrapa. En souriant, Rhian imaginait très bien ce qu’il y avait dedans, et se releva. Pendant de nombreuses minutes, elle avait léché avec délectation le doux fessier de Mélonye, et il était maintenant bien humide. Rhian avala alors le contenu de la fiole, puis sentit un vertige la saisir... Une chaleur certaine se mit à fuser dans son corps, et un profond soupir s’en échappa, puis elle gémit alors, serrant les lèvres, et donna une grande claque sur le cul de Mélonye...
...Puis, dans un hurlement, elle libéra un phallus masculin. Une solide verge alla taper contre le cul rebondi de Mélonye, et Rhian lui griffa les fesses en s’appuyant dessus, cambrant son dos en soupirant profondément.
« Oooohhh... Je... Haaaa... Pffff... Je ne suis pas spécialement habituée à.... À succomber à l’hermaphrodisme, Mélonye, mais... Hmmm... Pour toi, je... Je vais faire un effort, haaaa... »
Et un sacré effort, même, vu la taille de sa verge, qu’elle approcha des fesses de Mélonye. Ses joues étaient bien rouges, trahissant l’accroissement hormonal qu’elle venait de recevoir, et elle respirait profondément.
Son sexe se rapprocha ensuite davantage de ses fesses, et, en soupirant, Rhian entreprit de passer aux choses sérieuses...
Et s’enfonça dans son cul, en gémissant à nouveau.