Noms/surnoms : Cernnunos, Carnunnos, Cernunnus, Le Cornu, Gwynn ap nudd, Herne le Chasseur
Âge : Vieux comme le monde
Sexe : Masculin
Race : Divinité (Dieu) celte de la virilité, de la fécondité, des richesses, des bois, des animaux, de la régénération, de la vie en tant que période d’existence et gardien des portes d’Annwyn (le monde des morts)
Sexualité : hétérosexuel (un dieu de la fécondité/fertilité homosexuel, c’est pas raccord).
Physique : Il m’est demandé donc de décrire ma personne. Comme vous le savez, je suis un dieu, j’ai donc plusieurs apparences, à vrai dire, je n’en ai pas vraiment, mais j’apparais souvent sous l’apparence d’un faune.
Un Corps athlétique, des bras noueux. Mes membres inférieurs, enfin, mes jambes, sont celles d’un cerf au pelage brun cuivre et aux muscles fermes. Une face de jeune homme muni d’un collier de barbe de la même couleur que mes pattes cernant une mâchoire carré. Le grain de ma peau est clair et j’ai des yeux verts aux éclats doré, pétillants. Mes oreilles sont longues et pointues, avec un peu de fourrure rousse et blanche au bout. Mon nez est fin, comme mes lèvres et ma langue est pointue, cachée derrière des dents droite et blanches. Des bois de cerfs trônent sur mon crâne, surgissant de boucles cuivrés et une torque d’or cercle mon cou. Je ne suis alors souvent vêtu que d’un masque de bois et d’une cape de feuille, tenant soit une lance en bois d’chêne soit un arc en bois de cerfs. Oui, telle est l’apparence que les mortels me prêtent en tant que Cernunnos le gardien, leur dieu cornu de la fécondité et l’abondance, du cycle de la vie et de la mort. Mais au même titre que je garde et protège, je détruis et anéantis, je suis alors Herne le chasseur.
Je suis alors la mort sauvage, la forêt des prédateurs ma peau est grise, mes yeux sont rouges, ma face est celle d’un bouc, ma peau est pierre et ma chair est de bois. Je suis l’avatar de la bête, l’avatar des bêtes. Sous cette apparence, je ne peux que comprendre que ces mortels, les « Chrétiens » m’appellent « Diable ». Les bois de mon crâne sont ma couronne de colère. Je n’aime pas cette forme, mais elle est celle que je prendrai si l’on m’offense.
Caractère : Comme la faune des forêts, je ne suis pas quelque chose de stable au niveau émotionnel, vous me verrez doux tel le faon qui vient de naître, comme vous pourrez me voir terrible et cruel comme un loup affamé, ou un ours blessé. Je suis le berger des forêts, en période de réflexion, je suis l’arbre impassible, en période de joie, je suis le ruisseau vif, en période de chagrin, je serais la pierre, froide et muette. Je suis un dieu généreux et j’accorde mes faveurs aux mortels qui en font la demande en échange d’un sacrifice, ils doivent chasser et apporter sur mon autel un trophée de leur prise. Je suis un être curieux, me mêlant aux mortels depuis toujours, apportant bonne fortune et fécondité si je suis satisfait de mes découvertes, qu’elles soient de chaire ou de savoir. Je parlais plus tôt de chagrin. Mes chagrins peuvent devenir colère et alors, en tant que guide de la chasse sauvage, je suis haine et rancœur, je suis la douleur.
Je n’aime pas que l’on touche aux forêts, je n’aime pas que l’on tue de façon barbare ses animaux. J’honore la chasse, qu’elle soit plaisir et art ou nécessité. En dieu de la fécondité et de la virilité, j’aime les femmes, qu’il s’agisse de leur conter fleurette, ou les traquer dans mes bois, sur ce point je rejoins bien mon frère Grec, Pan.
Je pleure la société humaine de la Terre, aussi-je n’apparais-je plus aux mortels, cela fait bien des siècles que j’ai quitté les forêts de Brocéliande et la clairière des Carnutes pour rejoindre celles de Nexus et Ashnard, mais, si une créature venait à faire un sacrifice digne de ce nom pour m’invoquer, qui sait, je pourrais m’y déplacer. Après tout je suis aussi le gardien des portes des mondes, qu’il s’agisse d’Annwyn, l’un des mondes des morts ou bien de Terra, et nul ne passe sans que je ne le sache. Je suis le dieu berger des forêts.
Histoire : Pour… parler de mon histoire, il faut que je parle de bien des gens, je suis né comme tous les dieux primordiaux, de la terre et du chaos. Longtemps, je n’étais pas conscient de mon existence, et, il aura fallu l’apparition des peuples celtes et breton pour que je m’éveil, je suis sorti pour la première fois de ma torpeur lors d’un rite, on avait attaché une jeune femme à une statue en bois, à tête de cerfs, j’aimais tout de suite cette forme que j’adoptai avant de me tourner vers la supplicié. La jeune femme était fasciné autant que terrifié et me supplié de ne pas lui faire de mal, je crois, elle m’appelait Cernannos, le nom me plut, et son corps aussi. La suite, et bien.. Je ne vous fais pas de dessin, je la pris de force, découvrant le plaisir charnel, cela me plut tout de suite.
J’abusais de la femme 1 an durant, au bout de cela, son corps fut trop faible et son esprit le quitta. Ne voulant pas perdre cette compagnie, j’en fie une nymphe, plaçant son âme dans un buisson de fraise sauvage, mais même avec ce cadeau, la femme qui venait de renaître voulu me fuir. Hors, je n’en avais pas fini avec elle. Elle fut la première chose que je chassai, et quelle chasse. Quand j’y repenses, je me souviens encore de l’excitation et du bonheur que je ressentais à découvrir mes talents, je passais à travers chaque arbre et chaque racine avant de l’encu.. L’acculer contre une paroi rocheuse, je compris que ce que je voulais, je devais et pouvais le prendre, j’étais au-dessus des créatures qui avaient laissé la femme dans ma forêt, j’étais un dieu. Je fini par me lasser de la femme, qui me donna une progéniture, des créatures aux bois et à la tête de cerfs.
Alors que mes enfants, les gardiens, protégeaient leur mère transformer en arbre et le reste de la forêt, je décider de connaître mieux les créatures, les hommes, mortels et à l’existence fragile, j’en brisais plus d’un, ne comprenant pas tout de suite l’importance de la chose, transformant leur âmes en arbre pour ne plus les entendre pleurer, bientôt je m’attirais les foudres, et le mot est bien choisi, de leur gardien, de leur berger. Il venait de l’est, Ailleurs que sur mon île et sa main brandissait les éclairs, il se présenta sous deux nom, Zeus et Taranis, après m’avoir sermonné (cerf monnaie, amusant non ?), il me guida vers d’autre dieu, d’autres êtres comme moi. Je fus émerveillé de trouver des créatures comprenant ma nature profonde et cette envie de posséder qui m’habitait. Taranis me mit avec d’autres dieux, et me dit qu’il viendrait guider les hommes de l’ouest avec nous de temps à autre, quand il ne serait pas occupé avec ceux vêtu de métal du sud-est. Pour m’accueillir dans le cercle des Celtiques, un petit être, un autre dieu, m’offrit une lance, et quelle lance ! Belle et solide, à la pointe tranchante et pointue. Le nom du dieu était Goibniu. Il y eu tellement d’autre dieu dans ce cercle, Taranis revenait de temps en temps festoyer avec nous, l’hors des solstices d’hiver par exemple et Teutates nous guidait avec bienveillance. Moi-même, je visitais d’autre cercle, celui des Celtes de… j’ai oublié le vieux nom, mais aujourd’hui c’est appelé Irlande.
Et puis… Il y eu « Dieu ». Il arriva avec ses anges, nous demandant de rendre nos pouvoirs pour intégrer ses légions en temps qu’Archange, certains dirent oui, d’autre, comme moi, étions trop amoureux de notre nature, il y eu une guerre, des morts, enfin, pas des morts, des sommeils, je ne les voyais pas au royaume des morts.. Adonaï, car tel est son nom, en tant que dieu de la Miséricorde, me laissa la vie sauve en échange de mon exil aux enfers, je devais en être le gardien… Mais.. J’aimais trop les forêts, aussi, je décidais de me fondre parmis les mortels. Je vis le monde évoluer, se transformer, mon esprit juvénile prit en maturité et je devins l’archiviste, des millénaires de connaissances gravé en moi comme dans le bois. A son tour Adonaï arrêta d’agir en dieu et disparu. Certains d’entre nous pensèrent alors que nous pourrions reprendre nos places, la grec Aphrodite créa même un autre monde, mais nous avions oublié ses anges, ses gardiens. Quand à moi, j’avais brouillé les pistes, fait disparaître les écrits sur moi, laissant simplement plané le mythe du dieu cornu.
Dépité, dégouté par ce qu’était devenu les peuples de Terre… plus généralement la Terre, et voulant éviter de me frotter aux anges de « Dieu » je changeais de monde pour celui qu’avait créée Aphrodite, là les légions d’Adonaï n’auront aucune raison de nous pourchasser. Parmi tous les peuples se trouvant sur Terra, celui des elfes me plut le plus, j’appris beaucoup à leur côté, je donnai naissance à de nouveaux fils et fille, les femmes elfes me plaisant beaucoup, elles étaient vives, endurantes et souples, et surtout, elles ne se brisaient pas si on les … côtoyait trop.
Il m’arrive parfois de retourner sur Terre à nouveau, mais, ce nouveau foyer est bien plus intéressant, jeune, il est temps que les cercles des dieux s’éveillent à nouveau. J’ai tant à parcourir, tant à lire et toute l’existence de ce monde pour apprendre.
Autre :
– attributs :
Dieu:
Je suis métamorphe.
Divinité des bêtes :
j’ai la faculté d’ordonner aux fauves et aux animaux… mais juste ceux des boisDieu des forêts :
Les arbres sont ma chair et leurs racines mes brasDivinité de la virilité :
…hem.. Divinité de la fertilité :
Les êtres vivants produisent plus facilement de fruits à mon contacte, qu’il s’agisse de végétaux, d’animaux ou de.. hem, créature doté d’intelligence.Chasse sauvage :
Je peux invoquer la chasse sauvage... mais seulement en hiver. Gardien du monde des morts :
Dois-je vous faire un dessin de ce que ça veut dire?
Dieu du cycle de la vie :
rajeunir un mortel n’est pas impossible quand on en a les connaissances.