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Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

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Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 15 vendredi 18 septembre 2015, 22:13:08

Loin de ces considérations ? Argos de son coté avait préparé l'arrivée de sa femme. La maison avait été remise à l'état neuf. Le personnel d'entretien avait du se résoudre à faire des efforts surhumains en une journée seulement. Mais Argos voulait que tout soit parfait.. il ne voulait pas laisser une chance à Saori de trouver quelque chose à redire.Car il savait qu'elle ne lui ferait aucun cadeau.

Argos s'était plus à imaginer les adieux déchirants avec son époux. Cette situation ils l'avait tous deux provoquer par leur comportement.Il fallait toujours payer le prix de ses erreurs. Argos n'avait pas vraiment de pitié. Pourquoi en avoir ?Athéna avait renié son statut de déesse pour vivre en tant que simple humaine. Elle savait que ce n'était pas possible à long terme. Quant à Seiya il avait tué bon nombre de Dieux. Là aussi la sentence devait survenir. Non,  même en y repensant, il ne comprenait pas comment ils avaient pu penser que tout se calmerait comme cela. Ils avaient été stupides et naifs.

Attendant le retour de xon chauffeur, Argos avait enfilé une tunique blanche semblable à celle que les gens portaient dans la grèce antique. Ne portant rien en dessous, il avait aux pieds des sandales ouvertes. Portant toujours les boucles d'oreilles et le pendentif symbole de son rang, il avait dans son «écrin les deux alliances. Il les avait laissé pour le moment dans le tiroir . Inutile de forcer les choses, de toute façon, la bataille était gagnée maintenant. Il pouvait savourer et disposer du butin à sa guise.

Lorsqu'enfin il entendit la voiture, il sortit sur le pas de la porte. Ce qui était frappant avec ce jeune homme de 20 ans, c'était la froideur de sa beauté. Ses cheveux blonds toujours coiffés en catogan, il avait les traits juvéniles et le regard bleu azur. Le coprs bien bati, il était beau mais il lui manquait quelque chose qui le rendait finalement vide et froid.

« Ma chère fiancée »

S'avançant vers elle, il posa un genou pour lui baiser la main. Ce geste était empreint d'un respect qui ne collait pas avec le personnage. Mais il n'en avait pas vraiment cure en ce moment

« Vous etes superbe »

Alors que le personnel de la maison emportait les bagages pour les emmenais dans la chambre du couple, il la prit par la main et remarqua les papiers du divorce dans l'autre. Il ne dit rien, se contentant de sourire. Inutile d'en remettre une couche finalement, il n'avait plus aucun intéret de remuer le couteau dans la plaie. Elle allait devenir sa femme .

« Laissez moi vous montrer votre chez vous »

la faisant pénétrer dans le hall, il y avait à la gacuhe un immense salon avec toutes les commodités d'usage. Juste à coté, il y avait la salle à manger avec une vue imprenable sur l'horizon de la mer et une magnifique terrasse accompagnée d'une piscine.

« Voici les deux plus belles pièces de la maison »

La tenant toujours par la main, il la guida de l'autre coté du couloir à présent

« C'est ici que sont les cuisines. Mais en principe le personnel se chargera de tout et vous n'aurez qu'à y aller que pour des demandes spécifiques.Il y a aussi un peu plus loin la buanderie et surtout une salle de jeu immense pour les enfants »

Difficile de savoir s'il parlait de ceux qu'elle avait déjà ou de ceuc qu'il désirait avoir. L'attirant maintenant vers l'étage, il arrivèrent sur un palier avec trois portes à gauche et deux à droites.

« La première à gauche donne sur les toilettes. Il y en aussi en bas près de la buanderie. La deuxième à gauche donne sur une chambre plutot confortable et la dernière sur la salle de bain. »

Il marqua une pause, il la tenait toujours par la main. Sa tête se tourna vers la droite à présent

« la première sur la droite donne sur une autre chambre. Plus grande que l'autre. Il y aussi deux chambres dans le grenier amménagé. Mais surtout, la deuxième porte donne sur notre chambre ma chère et tendre »

L'amenant devant, il ouvrit la porte et la laissa passer devant lui.La chambre était magnifique avec un grand lit et là aussi une terrasse splendide qui donnait sur la mer.

« Il y a une salle de bain intégrée derrière cette porte »

Il l'avait indiqué du regard. Il y avait aussi un magnifique coin salon avec une table en verre entre les divans. Se dirigeant vers la terrasse, il déboucha une bouteille de champagne  gardée au frais sur une autre table ? Servant une coupe, puis deux, il revint vers Saori qui sans doute l'avait rejoint sur sa terrasse. Lui tendant son verra il lui sourit

« je sais que vous me méprisez Athéna.mais je me fais fort d'être un mari exemplaire pour vous et de vous traiter avec tout le respect qu'impose votre fonction. Votre père et vos smblables étaient ravis d'apprendre que vous aviez consenti à être plus malléable avec leurs attentes. Ils vous en remercient. Je sais que la séparation sera dure pour vous et c'est pour cela que j'ai obtenu que nous attentions un peu avant le mariage. Vous aurez le temps de digérer. De même vous aurez le droit de voir vos enfants à votre guise, même ici s'il le faut,tant que votre ex mari n'est pas là bien sûr »

l'invitant à trinquer, il but une gorgée avant de se retourner et de saisir sur la table une petite boite contenant une bague. Saisaissant la main droit de Saori, il glissa le magnifique bijou au doigt prévu à cet effet.

« Vous voila ma fiancée. Et bientot ma femme »

Buvant une autre coupe, il lui prit les deux mains et plongea ses yeux bleus glacial dans ceux de Saori

« Il va sans dire que j'attends de vous que vous acceptiez mes caresses et mes avances. Vous êtes ma future femme et moi votre futur mari. Nous sommes également fiancés. Etant donné que vous avez déjà été marié, nous pouvons sans crainte déjà partager le même lit. Je vous ho,orerais comme vous le méritez Athéna. Et je ne doute pas que nous aurons rapidement une magnifique descendance. Vous êtes une mère pârfaite. »

Déposant les deux coupes sur la table, il l'amena contre lui, d'un mouvement brusque et net. Lui caressant les cheveux d'une main, il vint déposer un baiser sur ses lèvres, venant chercher la langue de sa fiancée pour la mêler à la sienne et jouer avec elle. Tout contre lui, Saori aurait pu sentir le debut d'une bosse sur l'entrejambe.

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 16 samedi 19 septembre 2015, 23:12:27

Dire que Saori avait le cœur lourd devant la porte de la demeure d'Argos était un doux euphémisme. Elle était amère et aurait voulu faire demi-tour pour rentrer chez elle, son vrai chez elle, avec sa famille, mais c'était devenue une chose impossible, du moins pour le moment. Elle prit une profonde inspiration et regardait droit devant elle. La porte s'ouvrit alors devant le demi-dieu qui, lui, devait être ravi de la voir arriver. Elle ne savait pas trop si c'était le cas vu que son regard semblait toujours de glace. Elle n'attendait rien de lui de toute façon. Elle le salua d'un simple signe de tête alors qu'il s'agenouillait pour lui baiser la main. Elle se laissa faire. Les choix étaient limités et elle devait coopérer autant que possible. Elle ne comptait pas se plier à tout et ne tenait surtout pas à faire plus d'efforts que nécessaire. Il l'avait forcé à en arriver là, elle ne comptait pas jouer la femme parfaite comme elle le faisait avec Seiya. Elle ne ressentait que du dégoût vis à vis de cet homme.

Rapidement, ses affaires furent prises en charge alors qu'elle même pénétrait dans la demeure, guidée par le maître de maison. Argos avait saisi sa main sans qu'elle ne le veuille, elle se demanda un instant si elle ne devrait pas la retirer mais elle s'abstint. Elle tentait de coopérer un minimum. La maison était magnifique. Il était difficile de dire le contraire et ça aurait été de la pure mauvaise foi. Les papiers du divorce restaient emprisonnés dans sa main libre. Argos ne semblait pas pressé de les avoir. De toute façon, il savait déjà qu'elle avait fait ce qu'il fallait. Nul besoin pour lui d'en rajouter, au moins pour le moment. Elle comprit rapidement que sa vie dans ces lieux serait très différente de celle qu'elle avait connu. Ici, ce serait serviteurs et cuisiniers. Elle n'aurait rien à faire. Dans un sens, c'était parfait. Elle n'avait aucune envie de faire quoi que ce soit pour cet homme que ce soit le ménage ou la cuisine.

Lorsqu'il évoqua la pièce de jeu pour les enfants, elle tressaillit. La déesse avait pourtant été très claire. Elle refusait que ses enfants viennent dans cette maison. Ils n'avaient rien à y faire. Elle les verrait ailleurs mais certainement pas dans cet endroit où ils risqueraient de croiser leur beau-père. Cela lui faisait mal de l'admettre, mais cet individu allait devenir leur beau-père. Pour Saori, les choses étaient cependant très claires, ses enfants n'auraient aucun contact avec le demi-dieu.

La visite se poursuivit à l'étage avec les chambres. Elle retint un frisson de dégoût quand il parla de « leur » chambre à coucher. Elle avait cherché à oublier ce point particulier depuis la veille. L'idée de se retrouver dans le même lit qu'Argos ne la réjouissait nullement. Pourtant, elle avait bien compris que c'était là tout ce qui pouvait l’intéresser. Elle entra dans la pièce qui lui apparaissait clairement comme l'antichambre de l'Enfer. La pièce était belle, grande, agréable et lumineuse. Si la situation n'était pas ce qu'elle était, Saori aurait pu apprécier l'endroit mais c'était bien loin d'être le cas. Elle s'y sentait très mal. Elle vit que ses bagages avaient été apporté. Elle allait bien devoir vivre ici.

Le demi-dieu avait rejoint la terrasse et fêtait sa victoire en ouvrant le champagne. Machinalement, elle prit le verre tendu mais ne comptait nullement le boire. Elle observait la vue. Magnifique et terrible à la fois pour la jeune femme. Elle finit par déposer les papiers sur la table près de la bouteille. Il en ferait ce qu'il voudrait. Il disait les dieux ravis de sa bonne volonté. Ils avaient intérêts vu ce que qu'elle sacrifiait à cause d'eux et de leur volonté absurde de vouloir détruire ce monde. Quelle bande d'abrutis ! Et dire qu'elle était censée être comme eux. Elle s'était toujours vu comme différente et elle l'était. Elle avait cette empathie profonde qui la rapprochait des humains à la différence de ses pairs.


« Pour le mariage, faites en sorte que ça soit simple. Un passage à la mairie sera bien suffisant. Pour mes enfants, je vous l'ai dit, ils ne viendront pas ici. »

Saori ne trinqua pas et ne but pas davantage. Elle n'avait pas le cœur à se réjouir de quoi que ce soit. Le pire l’attendait, voilà qu'une bague vint remplacer l'alliance qu'elle portait quelques heures plus tôt. Une bague très belle mais sans aucune âme et qu'elle trouvait bien lourde comme un rappel de la peine qu'elle allait devoir subir le reste de son existence. La coupe retourna finalement sur la table avant qu'elle ne se retrouve contre lui et sa bouche prise d'assaut. Cette fois encore, elle mourrait d'envie de reculer mais ce n'était pas concevable. Elle se laissa faire sans échanger le moins du monde. Elle restait passive, attendant que ça se termine. Elle apprécia de retrouver sa liberté buccale et fit un pas en arrière.

« Je crains qu'il y ait un malentendu. J'ai accepté de vous épouser et de me séparer de mon mari et de mes enfants. Devenant votre femme, je me plierai aux exigences du devoir conjugal. J'ai bien compris que c'était tout ce qui vous intéressait et cela m'est bien égale dans le fond – elle haussa légèrement les épaules – Par contre, ne comptez pas sur moi pour avoir une descendance. Je refuse de porter vos enfants. Si vous en voulez, vous trouverez une autre femme pour les faire, mais ça ne sera pas moi. De toute façon, vous seriez un père épouvantable. Il vaut mieux pour vous ne pas en avoir, et encore plus pour eux. Vous pourrez très bien reconvertir votre salle de jeu pour enfants en tout autre chose – elle désigna les papiers – Le divorce est effectif et tous les papiers sont en règle. »

Elle rentra dans la chambre et attrapa sa première valise. Étant donné qu'elle allait devoir vivre ici, autant ranger ses affaires et ça aurait au moins l'avantage de lui occuper l'esprit. Les photos de ses enfants et leurs dessins se trouvaient sur le dessus. Elle les rangerait plus tard. Elle ne tenait pas à mettre ça n'importe où. Elle attrapa ses robes et commença à les ranger dans l'armoire. Il y avait de belles robes, des tenues habillées et de tous les jours. Rien de sexy là dedans, c'était la même chose pour les sous-vêtements. Elle était restée dans le sobre et le classique. Elle n'avait aucune envie de porter quoi que ce soit de sexy pour cet homme. Saori ne faisait plus cas de l'homme. C'était comme s'il n'existait pas pour elle et dans une certaine mesure, c'était le cas. Il ne comptait pas pour elle. Il ne compterait jamais pour elle.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 17 dimanche 20 septembre 2015, 10:19:41

Argos n'avait d'abord rien dit. L'espace d'un moment on aurait même pu croire que l'affaire était entendue pour lui. Qu'il avait l'intention de ne pas chercher à contester ce qu'elle venait de dire. Pourtant, lorsqu'il rentra à sa suite, il dit quelque chose qui tendait à rpouver le contraire

« Je crois qu'on ne s'est pas bien compris »

Sa voix était neutre. Il ne s'énervait jamais mais paradoxalement, c'était encore plus inquiétant finalement. Car cela avait un coté inhumain. Bon nombre de personnes étaient capables d'excès en tout genre. Mais lui ne disait jamais rien qui puisse dépasser le cadre convenu. Que se passerait-il le jour où vraiment il s 'énerverait ? 


« Le mariage doit être consommé et par extension, des enfants devront en être le fruit. Que nous n'en ayons pas 6 je peux le comprendre. Mais il faut un minimum. Les dieux ne comprendraient pas le contraire. Pour eux les enfants que vous avez eu avec votre ex conjoint sont des batards. Le terme est fort, et sachez qu'il ne vient pas de moi. Mais la vérité est là pour eux. »

Il vint se placer pres d'elle et la fit s'asseoir sur le bord du lit. Là aussi, il n'avait pas vraiment laissé le choix à la jeune femme de 24 ans de s'y opposer. Il recommença à lui caressait le visage lentement.Il revint déposer un baiser qui ne l'enchantait guère plus que le premier

« Nous aurons donc un ou deux enfants sinon l'accord avec votre père ne tiendra plus. Si vous ne me croyez pas, allez le voir il vous le confirmera. »

Il arreta, prit le temps de reflechir à la suite des mots qu'il allait employer. Elle le méprisait, c'était logique, mais il était persuadé qu'il pouvait cependant lui montrer une autre facette de lui qui pouvait la calmer un peu au fil du temps

« Vous êtes une excellente mère. Quant à moi je ne suis pas que le monstre que vous pensez que je suis. Je vous l'accorde, pour le moment pas grand chose plaide pour moi. Mais je vous traiterai bien et ferai ce qu'il faut pour être un bon mari tout comme un bon père. Je ne suis pas parfait mais si j'étais si nuisible, vous pensez qu'on m'aurait accordé le statut de demi dieu ? Je ne le pense pas. Alors oui vous avez totues les raisons de me détester, mais je m'emploierai à ce qu'au fil du temps cela s'atténue. Vous verrez vos enfants ailleurs si cela vous plait mieux, et vous serez libre de vos mouvements. Mais il n'y a pas que le sexe qui m'intéresse. Depuis que je vous ai vu quand j'étais gamin, il y a eu ce quelque chose qui m'a toujours obsédé ? J'aurai pu avoir n'importe qui mais c'est vous que j'ai choisi. Alors oui j'ai envie de vous mais depuis quand est-ce un crime de désirer une belle femme ? »

Le plaidoyer avait l'air convaincant. Mais de toute façon ce n'était que des mots. Plongeant de nouveau dans le cou de la jeune femme avec sa bouche, il vint délicatement lui lécher le contour de l'oreille en lui murmurant

« Je suis certain qu'au fil du temps vous y prendrez même un certain plaisir croyez moi. En attendant j'attends de vous un minimum de coopération et d'investissement dans le devoir conjugal comme vous dites »

Et il redonna un baiser en allant chercher sa langue. Cette fois, il attendait que le baiser soit rendu

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 18 dimanche 20 septembre 2015, 15:43:07

Saori s'occupait de ranger ses affaires. Elle avait laissé celles qu'elle préférait et celles qui avait le plus de signification chez elle, avec Seiya. Ce n'était pas chez elle ici, c'était juste une prison dans laquelle, elle allait devoir vivre. De la place avait été faite pour elle dans l'armoire, les commodes, les placards. Pas de chance songea-t-elle. Elle ne pourrait pas demander à occuper une autre chambre par manque de place. Elle aurait peut-être du aller courir les boutiques avant de venir ici, histoire de ne justement pas avoir assez de place, mais il ne fallait pas rêver, « son fiancé » ne la laisserait pas prendre ses quartiers ailleurs. De ce qu'elle avait compris, cela faisait des années qu'il la voulait. Il ne la laisserait pas s'échapper comme ça. Alors qu'elle poursuivait son petit rangement, la voix d'Argos raisonna dans la pièce. La déesse avait cru la partie gagnée suite à ce qu'elle avait dit et par le fait qu'il n'y avait pas eu de réplique. Elle s'était trompée à priori.

« Le mariage doit être consommé et par extension, des enfants devront en être le fruit. Que nous n'en ayons pas 6 je peux le comprendre. Mais il faut un minimum. Les dieux ne comprendraient pas le contraire. Pour eux les enfants que vous avez eu avec votre ex conjoint sont des batards. Le terme est fort, et sachez qu'il ne vient pas de moi. Mais la vérité est là pour eux. »

Alors qu'il lui saisissait la main pour la guider vers le lit, elle eut un geste de recul mais il ne la lâcha pas pour autant, l'amenant à s'asseoir là où il l'avait décidé. Il disait vouloir un ou deux enfants. Il rêvait ! Il était hors de question pour elle d'avoir le moindre enfant avec lui. Que les dieux, ceux-là même qui l'avaient mise dans cette situation, veuillent qu'ils aient une petite famille, elle s'en moquait. Qu'ils appellent ses enfants des bâtards, elle s'en moquait aussi. Elle n'aurait pas d'enfant avec un homme qu'elle méprisait à ce point. Il vivait dans quel monde ? Il croyait vraiment qu'elle pourrait accepter cela et même y mettre de la bonne volonté ? Il avait beau se défendre d'une manière habile, elle ne voyait qu'un monstre au visage d'ange à côté d'elle.

Elle grimaça de dégoût quand il glissa son visage dans son cou, venant lécher le bord de son oreille. Il lui redemanda alors sa coopération avant de venir chercher sa langue. Elle ne fit pas plus d'effort que la première fois, restant froide, le laissant juste user de sa bouche mais sans aucune bonne volonté et encore moins la moindre envie. Elle le laissa achever son baiser avant de se reculer et de se relever pour aller continuer son déballage comme si de rien n'était. Elle prenait le temps de se calmer, parler à la hâte n'était jamais une bonne chose, elle le savait très bien. Elle préférait contenir sa colère, la laisser passer, ne rien exprimer. S'énerver ne changerait pas grand chose et cela ne l'aiderait certainement pas. Elle finit par reprendre la parole alors qu'elle attaquait sa deuxième valise, rangeant les affaires dans la commode cette fois.


« Je me moque de ce que veulent les dieux. J'estime avoir déjà beaucoup fait pour eux, bien plus qu'ils ne le méritent pas. »

Ce n'était bien sûr pas pour les dieux qu'elle avait accepté cette monstrueuse situation mais bien pour les humains qu'elle avait toujours si chèrement défendu. Malgré tout, elle estimait que les enfants n'étaient pas quelque chose qu'on pouvait demander ou exiger. Saori refusait de se plier à cette demande.

« Vous n'aurez qu'à trouver une excuse, une explication, ce que vous voulez... Que vous êtes stérile, que je le suis devenue, que la Nature ne nous ai pas favorable, peu importe. Je ne porterai pas vos enfants, je ne veux pas d'enfant de vous ! Inutile de mêler mon père a tout cela, il ne me fera pas changer d'avis. Je veux bien faire beaucoup de choses, mais il y a des limites à tout et les enfants font partis de mes limites. »

Elle avait parler froidement, sans sentiments. Elle affirmait juste ce qu'elle refusait d'avoir. Elle avait deux merveilleux enfants qu'elle avait eu avec l'homme qu'elle aimait plus que tout. Pour leur assurer un avenir ainsi qu'aux autres enfants de la planète, elle les avait quitté, avait quitté son foyer pour plaire à des dieux bien trop imbu de leur personne. Des dieux profondément inhumains comme l'homme assis sur le lit.

« Ces dieux sont des nuisibles. Des êtres qui ne respectent rien, ni personne. Des dieux qui veulent détruire une planète en se moquant bien des vies qu'ils détruisent. Alors qu'ils choisissent un nuisible comme demi-dieu est plutôt dans une certaine logique. Je me moque de qui vous êtes. Je suis ici par obligation, pour sauver les miens et sauver ce monde. N'attendez rien de moi et sur le plan du devoir conjugal, ma coopération se limitera à ouvrir les cuisses et à vous laisser. Cela me semble bien suffisant. Si vous craignez pour votre réputation, n'ayez pas d'inquiétude, je serais une gentille petite épouse qui dira combien son... mari est un homme merveilleux et athlétique. »

Elle avait prononcé le mot de « mari » avec difficulté. Il ne l'était pas pour elle et ne le serait jamais. Elle ne pouvait que le tolérer à ses côtés parce qu'elle n'avait pas le choix. Elle acheva de vider sa seconde valise avant d'aller la refermer.

« Il n'y a rien de mal à désirer une femme quand elle est libre. Mais ce n'est pas le cas. J'avais une vie, une famille, un mari que j'aime et des enfants. Vous m'avez volé tout cela et je ne pourrais jamais vous le pardonner. Et je maintiens ce que j'ai dit, je ne pense pas que vous sachiez être un bon père parce que ça signifie aimer ses enfants, vouloir le meilleur pour eux quoique cela puisse vous coûter. Je ne vous pense pas capable d'aimer. Vous seriez pas à sacrifier vos propres enfants pour le plaisir de vos dieux. Seriez-vous prêt à les défendre contre Zeus lui-même s'il ordonnait leur mort ? J'en doute fortement. »

Elle mit ses deux valises dans un coin. Il n'en restait plus qu'une. Elle avait eu raison. Les défaire avait le don de la calmer et de l'occuper. Cette valise était différente. Il n'y avait que peu de vêtements. Elle était essentiellement occupée par des livres et différents travaux manuels qu'elle aimait faire. Elle aurait bien besoin de s'occuper l'esprit et les mains dans les semaines à venir. Elle espérait que son fiancé passait le plus clair de son temps dehors. Dans le pire des cas, ce serait elle qui passerait son temps dehors. Devoir le supporter en soirée serait déjà bien assez difficile comme ça.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 19 dimanche 20 septembre 2015, 22:55:04

Argos avait essuyé un nouvel échec. Contrairement a avant, il l'avait mal pris. Assis sur le bord du lit, la manière dont Athéna le traiter commençait à lui peser. Ce qui avait changé ? Cette fois il ne trouvait plus aucune raison à son comportement.D'ailleurs, cela se sentait . Lentement, sa cosmos énergie commença à envahir la pièce. Elle était hostile et violente. Sa fierté était meurtrie tout comme son égo. Cette fois, elle avait dépassé les bornes

« Pour qui me prenez vous »

Il avait beau désirer Saori, son dédain avait fait mouche. En colère, ils 'avança vers elle d'un air et d'un ton menaçant. Il n'allait pas la frapper, mais il était mauvais. Son aura était perceptible et bien palpable dans ce sens.

« Vous pensez pouvoir me mépriser impunément?Me manquer de respect alors que je vous ai offert une solution vous pemrettant de sauve rla tete de vos terriens favoris et de votre maudit Seiya ? Que diriez vous que je vous ramène sa tête ? »

Il avait essayé d'être plutot calme et correct mais là c'était trop.Il ne pouvait pas en suporter plus et quelque part c'était légitime quand on se placait de son point de vue. Quel homme allait pouvoir supporter ce genre de choses ? Il était un humain ayant acquis le statut de demi dieu. Par conséquent, il ne pouvait pas accepter cela. C'était quelque part tout a fait normal. Et c'est en conséquence qu'il allait agir

« Puisque c'est votre façon de voir les choses, je vais vous demander de partir sur le champs. J'irai informer Zeus que l'accord est annulé . Je ne me vois pas épouser une femme me traitant de la sorte et me considérant comme le dernier des imbéciles.Vous m'accusez de tous les maux mais je rappelle que ce sont vos actes qui ont conduit à cette situation. Ayez au moins le courage de les assumer. J'attendais autre chose de votre part »

Debout il allait quitter la pièce pour rejoindre de ce pas rapide le royaume de Zeus. Elle avait voulu jouer et le défier, elle allait devoir en payer le prix et tout de suite.Il ne le faisait pas uniquement pour se venger. Mais il avait du mal à comprendre comment une femme dans sa position pouvait encore la ramener comme cela, meme si elle était une déesse. Il lui avait offert une chance et elle lui crachait au visage. C'en était trop pour lui

« je ne suis pas une carpette. Que les choses soient claires je ne vais pas me mettre a genoux pour rester avec vous »

Visiblement la situation devenait encore plus explosive. Il était d'autant plus à 'l aise qu'il n'avait rein à perdre contrairement à elle. Et si finalement elle était là sa principale force ?

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 20 mardi 29 septembre 2015, 16:58:33

Saori avait cherché à imposer sa vision des choses. Elle se sentait prise au piège, amère d'avoir dû tout abandonner, son mari, ses enfants, son foyer, sa vie pour faire plaisir à des dieux détestables. Logiquement, c'était le messager qui prenait tout en pleine figure. Elle refusait tout de lui et le détestait prodigieusement. Le regarder, lui rappelait à chaque fois, tout ce qu'elle avait dû abandonner. Évidemment, elle l'avait fait pour la bonne cause, pour sauver le monde et épargner ses chevaliers qui avaient déjà bien assez soufferts des guerres précédentes.

Elle ne pouvait pas dire qu'Argos la maltraitait. Elle était dans une belle maison, avec des domestiques, libre de ses mouvements, libre de vivre presque comme elle souhaitait. Malgré cela, elle se sentait quand même en prison. L'homme voulait aussi trop de choses selon elle. Il la voulait, ne l'avait pas caché, mais il ne voulait pas s'arrêter à ça. Il voulait qu'elle participe à leurs échanges, qu'elle y mette du sien. Pire que tout, il voulait des enfants avec elle. Une chose qu'elle ne pouvait accepter. Elle ne pouvait pas porter des enfants d'un père qu'elle détestait. Elle avait, assez courageusement il fallait bien le dire, pousser le guerrier dans ses ultimes retranchements.

Lorsque son cosmos se développa dans la pièce, elle comprit à quel point il était dangereux et elle ne put s'empêcher de frissonner. Ce cosmos, elle avait toutes les capacités pour le dépasser mais le problème n'était pas là. Cela aurait encore été de la provocation et il n'était plus temps. Argos n'était pas content et c'était peu de le dire. Debout, il renvoyait en pleine face à la déesse ce qu'elle risquait avec une telle attitude, la mort de son mari et la disparition de sa si précieuse humanité. Les larmes lui vinrent alors aux yeux. Si elle ne le haïssait pas encore, c'était désormais chose faite. Elle avait raison quand elle disait qu'il était bien incapable d'aimer. S'il avait vraiment des sentiments pour elle, il aurait cherché à parler à Zeus et chercher à lui éviter le pire. Là, il se contentait de la menacer, lui agitant la menace sur l'humanité. Non pas qu'elle le croyait incapable de passer à l'acte et de monter sur l'Olympe pour annuler le pacte, il était totalement capable de cela et de bien pire encore. Cela ne changeait cependant rien, c'était une menace, un chantage qu'il continuait de mettre en œuvre. Il connaissait parfaitement le point faible de la déesse comme tout le monde, son amour pour ce monde, pour les gens qui y vivaient et pour sa propre famille. Elle en aurait hurlé, mais ça ne changerait rien à la situation. Elle devait plier pour sauver ce monde, oubliée sa fierté, se rabaisser.

La déesse n'avait plus le choix maintenant. Elle devoir courber l'échine, se plier aux moindres désir de cet individu. Elle ne pourrait certainement plus jamais se regarder en face. Elle devrait se consoler en songeant aux vies sauvées. Elle, elle sentait sa vie volée en éclat, définitivement.


« Je vous en supplie, ne faites pas ça ! Si vous annulez cette union, c'est la fin de ce monde ! »

Ce n'était pas cela qui allait faire ciller le guerrier, aucune chance de lui arracher le moindre sentiment d'empathie et de compassion. Elle se rapprocha de lui et se laisser tomber à genoux devant lui. Les larmes coulaient sur ses joues.

« Je ferais ce que vous voudrez, tout ce que vous voudrez... Je vous en supplie, ne condamnez pas ce monde... Par pitié... Je ferais ce que vous voudrez... Je vous le jure sur ce que j'ai de plus cher... Je vous le jure... Je vous en supplie... »

La déesse s'humiliait comme elle n'aurait jamais pensé le faire un jour mais pourtant elle avait toujours été prête à le faire. Elle allait devoir tout accepter jusqu'à ce qui la révulsait le plus, porter les enfants d'un autre que de celui qu'elle aimait. Elle aurait pu rétorquer que ce n'était pas de sa faute mais de celle d'une poignée de dieux qui n'avaient aucune humanité, mais il n'était plus temps et ça ne servirait à rien. Elle devrait le garder pour elle, pour toujours.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 21 mardi 29 septembre 2015, 17:50:15

Argos était resté un long moment sans rien dire. Il avait regardé, écouté, avec un  visage neutre. Contrairement à ce qu’on pouvait penser, il n’était pas heureux, d’ailleurs il avait le visage plutôt fermé et l’air renfrogné. Le spectacle  d’Athéna a genoux le suppliant le degoutait lourdement. Comment pouvait elle se mettre dans cet état pour des humains ? Pourquoi diable s’infligeait elle pareille humiliation pour ce type de personnes ? Il ne comprenait pas , c’était tout sauf évident pour lui

« relevez vous Saori, vous êtes une déesse, ne l’oubliez jamais . Vous êtes aussi ma  future femme à present . Et ma femme n’a pas à me supplier comme cela»

Il avait dit cela d’une façon assez autoritaire. Elle n’honorait pas son rang, et affichait une faiblesse dangereuse


« Personne ne mérite que vous soyez à  genoux. Ni moi ni personne. Vous êtes un être supérieur, honorez ce statut que diable »

L’aidant à se relever, il s’éloigna un instant revenant avec un mouchoir pour qu’elle sèche ses larmes. Un geste qui pouvait surprendre, mais elle était  celle appelée à devenir sa  femme et il agissait comme il estimait devoir agir. La voir dans cet état ne l’intéressait pas du tout

« Nous avons un accord Saori. Je vous ai laissé le choix, y compris même de passer une seule nuit et d’interférer pour vous. J’ai mes défauts, vous me haissez, mais je vous ai clairement exposé la situation et vous avez choisi votre solution. J’attends donc maintenant que vous agissiez en tant que ma femme et que vous vous comportiez comme cela. Si jamais vous ne vous sentez pas de raille, vous pouvez partir, mais je n’accepterai plus pareille scène. C’est une insulte pour votre condition divine et pour moi »

Le ton était toujours assez neutre.Il restait maitre de lui, maitre de ses émotions. Il avait ce coté détaché qui montrait qu’il n’était plus tout à fait humain. Mais quoi de plus normal, il était un demi dieu non ?
Allant de nouveau s’asseoir sur le bord du lit, il l’invita à faire de même. Il avait bien l’intention de reprendre le cours de leur conversation. Bien que parler n’était pas vraiment ce qu’il cherchait en ce moment. Il avait d’ailleurs une bonne façon de tester sa façon de coopérer avec lui.

Venant lui caresser le visage une nouvelle fois, il replongea dans son cou et vint l’embrasser encore une fois, cherchant encore une fois  sa langue. Il voulait cette fois qu’elle lui réponde de façon assez claire pour qu’il n’ait plus de doutes sur ses intentions. Il avait envie de la posséder, c’était légitime, et son comportement n’avait fait que renforcer cela.


Une main caressant la cuisse par-dessus la jupe, il l’embrassait toujours tandis que l’autre s’était posé sur la poitrine.Une façon pour lui de prendre des marques et d’imprimer son empreinte sur elle.Dans tous les sens du terme d’ailleurs.


« Je le redis : je ne vous ferai que du bien »

Argos le pensait. Il n’avait aucun doute la dessus d’ailleurs.La main sur la poitrine prenant celle de Saori pour la guider sur son entrejambe à lui, par-dessus l’espèce de toge ;elle pouvait sentir une bosse se former.Quant à l’autre main , qui caressait par-dessus la jupe sur la cuisse, elle se faisait de plus en plus téméraire

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 22 mercredi 30 septembre 2015, 20:13:26

Saori ne savait plus où elle en était. La crainte que l'homme brise le pacte et n'en rende compte à son père divin l'avait paniquée au point de la faire s’agenouiller, s'humilier et supplier pour qu'il n'en fasse rien. Cependant, l'homme ne semblait pas apprécié cela. La jeune femme aurait pourtant cru. Elle s'attendait à voir le sourire méchant d'Argos devant sa supplique, mais il n'en fut rien. Il n'hésita même pas à le lui dire et à le lui reprocher. Il voulait quoi à la fin ? La déesse avait envie de pleurer tout son sous, mais ce n'était pas le moment. Il semblait plus s'inquiéter de sa propre réputation que de l'enjeu de ce monde. Non, décidément, ils ne seraient jamais sur la même longueur d'ondes. Il était aux antipodes de son époux.

Elle ne lui répondit pas. Répondre lui semblait superflu. Il était obtus, avait sa propre vision des choses, complètement opposée à la sienne. Elle ne pourrait pas le faire changer d'avis et là, elle n'avait vraiment pas envie d’essayer. Elle se releva sur son ordre parce que c'était ainsi qu'elle le percevait, comme un ordre. Elle prit la main mais c'était plus parce qu'elle s'y sentait obligée. Elle se releva en fait sans son aide. Il sembla trouver cela intéressant de revenir sur le choix qu'elle avait fait. Oui, elle avait choisi l'option qui semblait la pire pourtant, elle savait très bien que son mariage aurait explosé à cause de cette simple nuit sans compter qu'elle doutait que les dieux s'en seraient tenus à cette simple nuit. Ils auraient exigé plus, un mois après, un an après, dix ans après. Elle ne se faisait pas d'illusion sur ce point. Là encore, elle préféra se taire. A quoi bon ré-expliquer des choses qui ne serviront à rien. Elle était trop fatiguée nerveusement ce soir pour tenter de lui faire voir les choses de son point de vue. Elle entendait ses paroles mais n'en faisait pas cas. Enfin, elle avait pris acte de ces désirs et qu'elle n'avait d'autres choix que de les appliquer, qu'elle le veuille ou non. Sa vie allait juste être un enfer auquel elle ne voyait pas d'issue satisfaisante.

Obéissante, une nouvelle fois, elle alla s'asseoir sur le bord du lit. Elle savait fort bien ce qui l'attendait. Elle ne pouvait désormais plus reculer. Il fallait qu'elle pense à Seiya, qu'elle s'imagine être avec lui, c'était bien le seul moyen de parvenir à faire quelque chose. Elle ferma les yeux alors qu'il approchait sa bouche de la sienne. Elle n'était pas ici, pas dans cette chambre inconnue, elle était chez elle, dans sa chambre, dans leur chambre. Ce n'était pas Argos, c'était Seiya, son mari, l'homme de sa vie. Elle laissa le baiser se faire et finit par y répondre en s'imaginant être avec celui qu'elle aimait. C'était la seule solution qu'elle voyait pour faire semblant, pour faire ce qu'il souhaitait. Elle ne se sentait pas de taille à relever le défi mais elle devrait le faire si elle ne voulait pas que la terre soit exterminée, ses enfants et Seiya aussi. Elle se crispa en sentant la main sur sa cuisse, l'autre sur son sein. Ce n'était pas Argos, c'était son aimé. Elle se détendit de nouveau. Les mots ne comptaient pas. Elle dut finir par rouvrir les yeux alors que sa main était guidée vers le bas-ventre de l'homme dont la proéminence ne laissait pas de doute sur son désir. C'était Seiya, pas cet être abominable qui lui avait volé sa vie. C'était son compagnon, son sauveur, elle se répétait cela en une litanie incessante dans son esprit pour se persuader de cette fausse réalité. Un moyen comme un autre d'amenuiser la douleur et de faire ce qui devait être.

Ses yeux ne voyaient plus vraiment l'homme. Elle pensait à un autre. La main finit par aller là où l'homme voulait, se poser sur le membre encore voilé. Les débuts avec Seiya avait été laborieux de ce point de vue là. Ils avaient été aussi gênés l'un comme l'autre, comme des adolescents qu'ils étaient encore quelque part. Ils leur avaient fallu un peu de temps pour arriver à quelque chose, mais très vite les tabous étaient tombés. Leurs ébats restaient dans le domaine du classique, mais cela leur suffisait et ils appréciaient le sexe ainsi. La main délicate commença à doucement caresser plus intimement son compagnon. Pourquoi aurait-elle peur ? C'était Seiya après tout ! Les choses lui paraissaient plus simples ainsi, plus tolérables. Saori évitait de le regarder. La blondeur trahissait sa réalité. Elle ne voulait pas le voir. Elle ne voulait pas savoir, juste faire et ensuite oublier.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 23 mercredi 30 septembre 2015, 22:01:51

Argos n'était pas dupe. Il était un être puissant et un chevalier pour le moins redouté et redoutable. Il avait bien conscience qu'elle avait l'esprit ailleurs. Son sixième sens, l'intuition, était particulièrement développé. Pour autant il n'allait pas s'énerver ou faire quelque chose qui pourrait le trahir. Si cela permettait à Athéna de mieux supporter la situation p)ourquoi pas. Argos partait du principe qu'il allait de toute façon bien lui faire comprendre que ce n'était pas Seiya mais bien lui désormais qui avait le droit de la toucher. Et il n'allait pas tarder à lui faire remarquer la différence

l'embrassant donc toujours, sa langue dans sa bouche avec sa jumelle, il avait une main qui s 'occupait de la poitrine.Les seins de Saori étaient fermes, lourds, bien aisés à prendre en main ? Elle avait un corps sublime mais ce n'était pas neuf pour lui. Il l'avait toujours su. La différence c'est qu'il pouvait désormais en disposer.

L'autre main passant sous la jupe, il lui caressait la cuisse nue lentement, se rapprochant lentement de la zone interdite. La peau était douce, là aussi c'était comme il l'avait toujours deviné et espéré. Pour le moment tout était comme il l'avait toujours voulu et il n'avait aucune raison de ne pas vouloir  que cela continue.

«Voilà qui est mieux »

 il le disait d'une façon qui montrait la satisfaction dans sa voix. Sentant qu'elle avait posé sa main sur la base de son sexe, il soupira un peu, sentant lentement mais surement qu'elle allait de plus en plus vite et qu'elle gagnait en assurance.

« Humm c'est agréable »

Il voulait l'encourager à poursuivre. Son penis gagnant en dureté et en longueur, il la laissa faire un moment, alors que lui même continuer de caresser la poitrine par dessus la robe et la cuisse par dessous la jupe. Nons ans jamais oublier de s'occuper de sa bouche aussi.Certes, Saori ne rendait pas forcément les baisers de la manière souhaitée, mais au moins elle était moins hostile qu'au départ.

Glissant un pouce dans la bouche de Saori pour qu'elle le suce, il avait bien l'intention de lui faire découvrir le plaisir des sens  de son point de vue. Il ne savait pas vraiment ce qu'elle avait pu faire avec son maudit Seiya mais lui avait bien l'intention de lui faire explorer de nouveaux horizons.

« laisse moi te montrer à quel point je peux t'être utile et agréable »

Lui souriant, il se leva pour venir se placer à genoux devant elle, entre ses jambes. Sentant le regard intrigué et apeuré de sa fiancée sur lui, il lui écarta les jambes et entreprit de lui baisser sa culotte aux chevilles et même de lui enlever complètement. Il avait du un peu insisté mais Saori avait vite compris qu'elle devait se laisser faire

« magnifique »

Dit il, alors qu'il la fait un peu basculer sur le lit pour mieux venir entre ses jambes. Caressant avec un doigt puis deux son intimité, il avait commencé à la doigter en la fixant droit dans les yeux.Voilà donc ce qu'il avait en tête pour chasser de l'esprit de sa future femme ce chevalier de bronze à la noi. Et puisque cela ne suffisait pas, il vint placer sa bouche entre ses cuisses et entreprit de donner des petits coups de langue autour du joli bouton rose puis en l'enroulant même tout autour de sa langue. Visiblement très habile , Argos avait commencé à lui prodiguer un autre type de caresse buccale.Et il était certain qu'elle apprécierait

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 24 jeudi 01 octobre 2015, 22:32:13

Saori se sentait très mal dans ce qu'elle faisait mais elle savait bien aussi qu'elle ne pouvait agir autrement. L'enjeu était bien trop important à ses yeux. Elle tentait de jouer le jeu comme elle pouvait. Le seul moyen qu'elle avait trouvé pour parvenir à quelque chose était d'imaginer Seiya à la place d'Argos. Si elle oubliait qui était en face d'elle, qui posait les mains sur elle, elle pourrait au moins donner un peu l'illusion qu'elle participait même si elle détestait ça. Les yeux clos, elle embrassait l'homme qui allait devenir son nouveau mari en s'imaginant que c'était son ex-mari et le seul qui soit dans son cœur. Son corps, rigide au début, se laissait influencer par ce fantasme. Les mains glissaient sur elle, l'une se fit même plus entreprenante, se glissant sous sa jupe. Elle se retint de la chasser de là.

*Pense à Seiya ! Oubli-le ce type !*

Elle se le répétait en boucle alors que sa main avait fini par atterrir sur le membre viril. Elle le caressait en imaginant être avec son compagnon originel. Malheureusement, il fallait qu'il s'exprime. Sa voix la ramenait à la dure réalité. Elle essayait de ne pas l'écouter. Les baisers reprenaient et elle continuait de se voiler la face. Soudain, c'est un pouce qui se glissait dans sa bouche. L'envie de mordre passa dans son esprit mais elle se retint. Elle prit une profonde inspiration pour sucer le pouce. Elle détestait faire ça. Évidemment, la situation ne lui donnait pas vraiment envie d'apprécier la chose si tant est qu'elle le puisse.

Argos finit par se lever cependant, voulant, selon lui, lui prouver qu'il pouvait lui être agréable. Tant mieux s'il le croyait, elle n'y croyait pas. Elle mit un instant à comprendre ce qu'il voulait mais elle n'était pas idiote, elle comprit vite. Il lui fallu quelques instants pour parvenir à accepter qu'il lui enlève son sous-vêtement. Elle le regardait faire par obligation mais n'appréciait pas la chose. Elle se sentait comme violée. Les doigts lui donnaient envie de hurler et pas de plaisir. Elle prit quand même sur elle, résistant à ce désir violent de lui donner un coup de pied. Elle ne pouvait pas y échapper. Elle se laissa aller en arrière. Ce n'était pas comme ça qu'elle parviendrait à jouer le jeu. Fixant le plafond, elle prit une nouvelle profonde inspiration, histoire de tenter de se détendre, elle ferma les yeux et laissa son imagination repartir à l'autre bout de la ville. Là, ça allait déjà mieux. Seiya n'était pas comme le guerrier, il ne la forcerait jamais. Se persuadant que c'était son amour qui était entre ses cuisses, elle se laissa aller. Son corps commença de nouveau à se détendre et même à apprécier la caresse buccale. Son clitoris gonflait sous les sollicitations linguales alors que son intimité se faisait humide. Ses seins se tendaient doucement sous son soutien-gorge et son chemisier de soie blanche. Oui, en se plongeant dans ses rêves, elle parvenait à passer le cap et à se laisser au plaisir. Au moins, il y en aurait de content, du moins elle l'espérait même si là, tout de suite, ce n'était pas spécialement à lui qu'elle songeait. Son souffle se fit légèrement plus rapide alors que son corps s'éveillait sous une certaine forme de désir et de plaisir.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 25 vendredi 02 octobre 2015, 13:33:43

Argos sentait quelque peu Saori se détendre. Ce n'était pas parfait mais au moins, il y avait du mieux. Son intimité s'humidifiait  et ses seins durcissaient. C'était un bon début. Bon, encore une fois il n'était pas stupide et se doutait de ce qu'il se passait chez Athéna. Il y avait d'une part la réaction physique naturelle d'un corps à des stimulations  Et puis, elle pensait à ce freluquet  de Seiya sans aucun doute. Quelle ironie, il ne pouvait pas s'empêcher de sourire à cela.

« Tu penses à lui ? Mais c'est ma langue et mes doigts qui te font du bien »

Et comme pour illustrer cela, il redoubla d'ardeur dans ses caresses et ses ses soins bucaux. Alternant avec ses doigts et sa langue, il n'avait aucun mal à venir la titiller.  Le joli clitoris de Saori s'enroulant parfaitement autour de sa langue , quant à son vagin, il accueillait avec joie  les doigts du demi dieu. Ceux ci étaient au nombre de deux et faisaient des mouvements circulaires.Parfois, il les faisait aller et glisser  de façon verticale et il la sentait vibrer et étouffer quelques gémissements.

Continuant son oeuvre, ses coups de langue étaient plus bref mais plus rapides, alors qu'une main était remontée sur un des seins qu'il avait prit à pleines mains par dessus la robe. Il luis emblait plus lourd que tout à l'heure, signe que ses caresses  n'étaient pas inutiles et plutot appréciées par sa fiancée, même si c'était à son corps défendant.

Finissant par se redresser au bout d'un moment, il estimait en avoir fait assez pour le moment. Il lui avait fait du bien, c'était maintenant à elle de le faire. Otant sans aucune gêne son espèce de toge, il était nu comme un vers, dévoilant un corps qui pour ses 20 ans étaient déjà marqués par certaines épreuves de la vie.

Musclé, on voyait sur son ventre les abdominaux ainsi qu'un torse bien dessiné. Sur le dos, elle ne pouvait pas encore le voir mais il y avait deux énormes ailes tatouées, lui qui était devenu un archange de Zeus(nom donné à ses chevaliers). Le corps complètement imberbe, il y avait des cicatrices ici et là qui montraient qu'il n'avait pas menti en disant qu'il avait servi et combattu pour le dieu des dieux.

« A mon tour de bénéficier de tes aptitudes »

bien évidemment il était débout face à elle, pres du lit. Sa verge était longue, large , avec le bout du gland rosi et gonflé par le désir et l'excitation. Totalement dénudé de poils, on pouvait dire sans aucune vantardisequ'il était plutot bien membré. La verge déjà bien dressée au garde à vous, il regardait Saori qui sans doute était entrain de se rendre compte de ce qu'elle allait devoir prendre en bouche.Elle était toujour shabillée de sa robe et de ses escarpins, et homris sa petite culotte, elle n'avait rien perdu pour le moment.  Argos n'allait rien ajouter de plus pour le moment. La situation était assez plaisante pour lui comme cela

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 26 samedi 03 octobre 2015, 23:04:44

Saori aurait préféré ne rien ressentir, être froide et indifférente. Sa fierté aurait préféré qu'elle reste de glace. Cependant, si ça avait été le cas, ça aurait été signer la mort de sa chère planète. Vu ce qui c'était passé un peu avant, la déesse ne doutait pas que le guerrier aurait annulé le mariage et se serait empressé de tout rapporter à son père qui ne manquerait pas de mettre sa menace à exécution. Allongée sur le lit, les cuisses écartées, elle subissait les assauts de la langue et des doigts de celui qui devait partager sa vie à présent. Le seul moyen qu'elle avait trouvé pour parvenir à se détendre et accepter les avances d'Argos était de songer à Seiya. En imaginant que c'était celui qu'elle aimait cela rendait les choses plus simples, plus faciles.

Couchée sur le dos, elle regardait le plafond mais finit par fermer les yeux pour mieux visualiser son compagnon et l'imaginer à genoux par terre entre ses longues jambes à lui donner du plaisir. Cela fonctionna car son corps se détendait et se livrait au demi-dieu. Elle sentait ses seins se gonfler sous son chemisier. Son intimité se faisait humide sous les sollicitations des doigts masculins. Elle ne pouvait pas nier que c'était agréable, probablement parce qu'elle pensait surtout à celui qu'elle aimait. Alors qu'elle perdait un peu plus pied, Argos se mit alors à parler. Il savait qu'elle pensait à son compagnon mais ne manqua pas de mentionner le fait que c'était lui pourtant qui s'occupait d'elle. Évidemment qu'elle le savait même si elle préférait oublier ce point délicat. Son corps se crispa brusquement suite à ses propos. Elle dut chercher à se replonger dans ses pensées pour se détendre de nouveau. Ce fut étonnamment plus simple que ce qu'elle aurait cru. Le fait que son corps soit déjà excité favorisait les choses. La jeune femme se mit à doucement gémir sous les attentions de son compagnon tout en imaginant un autre. Elle oscillait légèrement son bassin, suivant les mouvements dont il la gratifiait.

Mais tout cela cessa brusquement. Elle se redressa alors, s'appuyant sur ses coudes. Elle était presque surprise de voir un jeune homme blond et non pas brun. Elle en avait presque oublié cet homme qui ne manquait pas de se rappeler à son souvenir. Elle se redressa et s'assit de nouveau alors qu'il ôtait son vêtement. Il était désormais nu devant elle. Saori ne pouvait pas dire qu'il n'était pas beau mais elle n'avait pas de sentiments pour lui ou plutôt elle ne ressentait rien de positif pour lui. Son corps possédait des marques comme pour la majorité des combattants. Habituellement, elle aurait éprouvé de la compassion pour tout ce qu'il avait vécu mais là, elle en était incapable. Le membre tendu lui rappelait son désir d'elle. Avant même qu'il ne parle, elle avait bien compris ce qu'il voulait. Même si les pratiques qu'elle avait avec Seiya restaient classiques, la fellation elle savait ce que c'était. Elle regardait le membre comme le pire des serpents venimeux qui soit. Il était plus gros, plus imposant que celui de son compagnon mais ce n'était pas la taille qui comptait. En tous les cas, ça ne comptait pas pour elle.

Tête baissée, elle essayait de se relaxer pour arriver à faire ce qu'il attendait d'elle. Sa main vint entourer le membre et commencer à le caresser. Elle essayait de faire comme avec Seiya et d'avoir la main douce. Évidemment, elle avait une profonde envie de serrer et de lui arracher son appendice mais ce serait la fin du monde dans ce cas là. Elle devait prendre sur elle. Elle devrait aller voir des prostituées pour le demander des conseils. Ses filles devaient satisfaire leurs clients alors elles devaient avoir des idées et des techniques pour faire plus ou moins semblant. Voilà, où la déesse de la guerre raisonnée et de la justice se trouvait, elle se faisait l'effet d'une prostituée. Ce n'était pas faux selon son point de vue. Elle allait devoir agir comme ses filles dans les rues.

Après plusieurs va-et-vient avec sa main, elle laissa sa langue venir caresser le membre. La peau était douce et le goût acceptable mais elle n'appréciait pas du tout ce qu'elle faisait. La nausée montait même dans sa gorge mais elle la réprima. Ce n'était pas le moment pour vomir quand même ! La langue passait et repassait sur la verge tendue. La déesse finit par se décider à la prendre en bouche. L'envie de mordre fut grande mais elle n'en fit rien, cherchant à se dissocier de son corps pour éviter de trop souffrir. Le chibre était imposant et elle était bien incapable de le prendre entièrement en bouche. Elle allait aussi loin qu'elle pouvait et le suçait sans passion. C'était mécanique. Impossible ici de penser à Seiya. Ça ne collait pas avec ses pensées et ses souvenirs. Elle s’exécutait cependant, espérant que ce qu'elle faisait le satisferait. Avec de la chance, elle parviendrait à le faire jouir comme ça et il lui ficherait la paix pour un moment, voir le reste de la nuit. L'idée de se retrouver avec plein de spermes dans la bouche ne lui plaisait pas, elle avait horreur de ça, mais elle préférait en passer par là plutôt que de se retrouver avec cette chose en elle. Elle redoubla donc d'ardeur sur le membre cherchant à l'amener au point de non retour.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 27 dimanche 04 octobre 2015, 11:14:02

Lentement, Saori avait pris le pli de faire ce qu'il attendait d'elle. Pourquoi le cacher, Argos était satisfait. Saori était une belle femme et elle était une déesse. Il y avait de quoi etre satisfait et se laisser griser. Argos obtenait ce pourquoi il avait oeuvré depuis longtemps.Certes, la méthode était discutable mais il avait mérité de par son comportement pareille chose.Il avait servi son maitre sans jamais discuter ses choix ni ses motivations. Il lui était loyal et obtenait sa récompense. Et quelle récompense, une déesse magnifique rien que pour lui. Oui, il pouvait etre fier de lui et de ce qu'il avait entrepris

« Hum »

Apres les premières caresses hésitantes, elle avait fini par prendre son sexe en bouche. La sensation de douceur et de chaleur étaient plaisantes pour lui.C'était donc comme cela de se faire sucer par une déesse ? Argos avait la sensation que c'était encore mieux qu'avec quiconque. Voyant bien qu'elle n'arrivait pas à prendre complètement le pénis en bouche, cela le fit sourire. Elle ne le dirait pas mais il était persuadé que sa verge était bien plus fournie que celle de Seiya. Et elle ne tarderait pas à comprendre à quel point c'était positif pour la notion de plaisir. Qu'elle le veuille ou non.

La laissant s'activer, elle pensait pouvoir le faire jouir comme cela ? Doux reve, Argos n'était pas le premier venu et avait une maitrise totale de son corps.Il lui faudrait bien plus qu'une fellation pour lacher prise, fut elle divine

Appuyant légèrement sur le crane de Saori pour qu'elle enfonce un peu plus sa verge dans sa bouche, il lui laissait pas mal de manoeuvre ceci dit. Il faut dire qu'elle s'y prenait bien et de toute façon, il se disait que c'était le meilleur moyen qu'elle prenne gout à ce qu'elle faisait. Se penchant un peu vers l'avant, il lui avait retroussé sa robe, admirant ses fesses qu'elle avait nu vu qu'il lui avait enlevé sa culotte. Venant poser une main dessus, il les caressait , laissant bien sa main trainait dessus et donnant même une petite claque dessus de temps en temps.

Ayant donc saori à 4 pattes sur le lit entrain de le sucer, la vue était plutot plaisante pour lui.Une des mains venant maintenant soupeser chaque sein par dessus la robe, ils étaient lourd et bienf ermes ; gonflés par l'excitation. Ce qui lui arracha un sourire en coin. Elle avait beau dire qu'elle le méprisait et qu'elle ne voulait pas de lui, son corps réagissait autrement.

Retirant le sexe de sa bouche, il vint lui tendre dressé vers le haut pour qu'elle lèche de haut en bas avec sa langue et même ses bourses.Puis il lui remit devant la bouche, pour qu'elle le reprenne, le tout en gémissant de plaisir. Maintenant une petite pression sur le crane pour qu'elle tente de le prendre un peu plus loin en bouche, il vint lui redresser la tete pour de nouveau flirter avec elle, ayant la sensation qu'elle semblait moins réticente qu'avant. Ou était-ce son imagination ? Quoiqu'il en soit, alors que de nouveau, elle reprenait son pénis en bouche, Argos était satisfait de lui même.Et de sa future femme aussi qui faisait montre de bonne volonté. C'est pour cela qu'il avait tenu à la remercier en l'embrassant.

Ne parlant plus, il se contentait de gémir et de profiter du moment présent. Qui était tout sauf désagréable pour son propre plaisir personnel.Et bientot, il la posséderait de manière encore plus évidente.

Marine

E.S.P.er

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 28 dimanche 04 octobre 2015, 19:01:53

Saori était dégoûtée par ce qu'elle devait faire. Si quelqu'un lui avait craché au visage, elle aurait trouvé cela moins insultant et bien moins humiliant. Malheureusement, elle n'avait pas le choix et pas pour ce soir en tous les cas. Elle se devait de sucer cet homme aussi bien qu'elle le faisait avec Seiya. Son corps réagissait mécaniquement bien qu'il avait tendance à se calmer en cet instant. Cependant, sa position assise ne l'aidait pas vraiment et lui faisait mal au cou à force. Elle allait finir avec un torticolis à force. Le fait de devoir rester alité lui aurait plu si elle avait ainsi pu se soustraire à son tortionnaire mais elle savait qu'il ne lui ficherait pas la paix. Abandonnant un instant le sexe masculin, elle se redressa et se mit à quatre pattes sur le lit pour faciliter sa fellation.

L'homme semblait apprécier la chose. En même temps, il avait intérêt. Il ne manquerait plus qu'il fasse le difficile. La déesse comprit vite qu'elle avait peu de chance de le faire jouir ainsi. Il semblait apprécier mais sans se lâcher pour autant. Les minutes s’égrainaient sans qu'il ne montre le moindre signe de fatigue ou d'envie de jouir. Seiya aurait déjà joui, lui. Se concentrant sur sa besogne, elle y allait plus doucement. Sa bouche commençait à lui faire mal.

Soudain, elle le sentit se pencher et venir relever sa jupe, dévoilant son postérieur vu qu'elle ne portait plus sa culotte. Les mains ne s'arrêtèrent pas là, venant flatter la croupe ferme et délicate de la demoiselle. La belle tressaillit sous la caresse. Elle essayait pourtant de ne rien montrer. Elle n'aurait pas du prendre cette position. Elle n'avait pas réfléchi. Ses fesses étaient trop mises en avant d'une certaine façon. Son corps appréciait cette position. Il l'appréciait d'autant plus que ce n'était pas quelque chose d'habituel. Avec Seiya, ce n'était pas la position la plus souvent adoptée. Il était du genre très classique et à part la position du missionnaire, il n'allait pas beaucoup plus loin. Saori avait toujours pensé que ça le gênait de la prendre en levrette. Il avait parfois du mal à faire abstraction de son statut divin. La conséquence était qu'il n'acceptait pas de faire des choses qu'il jugeait déshonorante dans un lit. La jeune femme ne lui en avait jamais tenu rigueur et pouvait comprendre d'une certaine façon. Le problème étant qu'elle, elle avait des envies qui n'étaient pas forcément en adéquation. La position en levrette justement l'excitait beaucoup mais en six ans de mariage, ils n'avaient du la faire moins d'une dizaine de fois.

Les mains qui continuaient de caresser ses fesses, voir les fessaient, ne faisait que multiplier son excitation. Elle sentait son sexe tout humide et son clitoris gonflé presque à l'excès. Le pire étant son anus. Il se contractait d'excitation. Ça aussi, ça faisait parti des « tabous » de son ex-mari. Il n'avait jamais voulu tenter la sodomie malgré le désir de sa compagne de tenter le coup. Elle savait que son anus était souvent excité et avait envie de recevoir le membre masculin mais ça avait été un « non » catégorique. Pourtant, elle savait pouvoir prendre du plaisir par là. De façon très impudique, elle s'était quelques fois laissée aller à caresser son petit trou pour se donner du plaisir. Ce n'était pas souvent. Ça avait été surtout durant sa grossesse. Enceinte, son taux d'hormones avait explosé et elle était souvent en quête de sexe. Seiya n'avait pas osé lui faire l'amour, craignant pour les bébés. La déesse avait du se débrouiller seule et faire quelques découvertes. Mais après la naissance des jumeaux, elle n'en avait pas vraiment eu l'occasion ou disons qu'elle n'avait pas voulu avoir recourt aux plaisirs solitaires. Elle se sentait bien assez coupable comme ça. Elle respira profondément pour calmer cette excitation dont elle ne voulait pas.

Par chance, il ôta ses mains, abandonnant son postérieur et ramenant son attention sur sa verge, la faisant lécher comme il en avait envie. Saori se plia à cet exercice, préférant cela à ce qu'il découvre plus de ses désirs secrets. Il ne manquerait plus qu'il passe son doigt sur la raie de ses fesses pour comprendre son problème. Son intimité restait pourtant très excitée. Elle écarta un peu plus les cuisses, essayant de faire passer son excitation mais ce fut pire. Son intimité se contractait de façon irrégulière, voulant se faire posséder. Quelques gouttes de cyprine maculèrent les draps. Saori aurait voulu effacer ça mais ce n'était pas possible. Redressée, elle l'embrassa volontairement comme pour l'occuper à autre chose. Elle ne tenait pas à ce qu'il se rende compte de son état.

Merci Stephen pour la sign :)

Bio

Alex Sanderson

Humain(e)

Re : Une bonne mère de famille [PV Alex Sanderson]

Réponse 29 dimanche 04 octobre 2015, 21:05:54

Argos avait laissé Saori le suçait un moment encore. Il avait bien perçu un changement chez elle mais n'avait rien dit. A vrai dire, il n'était pas stupide et se doutait que si jamais il disait quelque chose, il risquait de perdre cette petite avancée. Lui rendant son baiser, il lui avait ensuite caresser le haut du crane, l'accompagnant dans sa fellation. Il avait assez d'expérience malgré ses 20 ans que pour avoir remarqué qu'elle avait laissé un signe de sa nouvelle excitation. Il sourit mais n'en dit pas davantage non plus. Visiblement, ce qu'il avait pensé était entrain de se passer : elle était en lutte contre son propre corps à présent.

« je vais te prendre »

dit il finalement, d'une voix qui ne laissait toujours rien paraitre .la faisant se mettre à 4 pattes mais dans l'autre sens, il était dans son dos. On aurait pu croire qu'il allait approcher son sexe mais pourtant c'est sa bouche qui  le fit. Passant un petit coup de langue sur le clitoris humidifié, il la sentit vibrer et quelque peu se cabrer. Encouragé, un doigt puis deux vinrent l'aider à fouiller son intimité mais pas qeulement. Car sa langue était ausis attiré par le petit trou de la belle déesse. Est-ce qui'il avait senti quelque chose de précis ? C'était fort possible mais il était clair que de toute façon Argos n'allait pas se formaliser comme Seiya avait pu le faire.  Il la désirait et lui montrerait, peu importe son rang d'ailleurs

« Est-ce qu'on serait plus fragile de ce coté la ? »

Il avait dit cela avec une fameuse ironie dans la voix. Concentrant ses efforts de langue et de doigt la dessus, elle avait bien du mal à masquer ce qu'elle pouvait ressetir. Pour son plus grand bonheur à lui, voyant là dedans un nouvel angle d'attaque pour lui et ce qu'il avait en tête.

Finissant par se redresser apres avoir continué pendant un moment à la travailler au niveau de son anus, il approcha lentement son pénis et lentement entra dans son vagin, n'ayant aucun mal à le faire vu son excitation. Son pénis entrait lentement mais surement, lui meme aprpéciant la chaleur qu'il éprouvait en prenant possession d'elle. Poussant un gémissement, une fois qu'il était bien dedans, illa saisit aux hanches, en levrette et commença à aller et venir en elle. Le rythme était assez soutenu et dans la chambre on entendait maintenant les bourses claquer contre les fesses chaque fois  qu'il allait et venait.

« Hummmmmm »

ilé tait évident qu'il avait bon. Et elle ? Il supposait que oui, même si elle pourrait pretendre le contraire. En tout cas il n'avait aucun mal à la prendre comme cela et à la posséder. Les mains sur les hanches venant sur les seins ; il avait la sensation qu'ils étaient encore plus lourds que tantot. Etait-ce possible ? Peut être mais il avait en tout cas la preuve qu'elle était bien excitée.

Redoublant donc d'ardeur dans sa besogne, il l'avait repris aux hanches pour avoir plus de forces dans les mouvements de son bassin.On pouvait sentir toute sa détermination dans ce qu'(il faisait là. Saori n'en avait pas fini avec lui loin s'en faut


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