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Une dette à payer (PV Stephen Connor)

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Valériane

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Une dette à payer (PV Stephen Connor)

samedi 08 août 2015, 03:21:47



Verox n'était pas sans savoir que tous se paie. Absolument tout. Et il est bien souvent mal vu de ne pas payer ses dettes, surtout lorsqu'il s'agit d'êtres démoniaques. Oh, l'Ombre ne les craignait guère plus que cela. On pensait à mal qu'il était un démon lui-aussi, mais ce n'était pas juste. Certes, il n'était pas un enfant de cœur et il avait fait appel au démonisme pour reconstituer son corps, après avoir obtenu l'aide de l'un d'eux, un dénommé Helel. Qui sait pour quelle raison il avait accepté, en tous les cas Verox savait que s'il ne payait pas cette dette, on le lui ferait payer tôt ou tard. Les démons sont très pointilleux à ce sujet et il n'avait pas de temps à perdre avec ces foutaises.
Jusqu'à aujourd'hui, il n'avait eu aucun moyen de rembourser le démon et il avait même espéré se faire oublier. Cependant il n'était pas idiot au point de croire qu'Helel l'oublierait de son côté.
Verox avait longuement réfléchit à la manière dont il devait « remercier » l'être des enfers. Et la réponse lui était parvenue d'un seul coup, sous son nez, alors que Valériane mettait de l'ordre dans son repère, son laboratoire mystérieux dont nul ne connaissait la position exacte.

Il savait les démons friands de luxure. Et sa belle petite catin, comme il se plaisait à la nommer, était une créature plus que parfaite pour payer sa dette. Elle était belle et ses antécédents angéliques exciteraient certainement les sens du démon, sans compter le côté exotique de son sang elfique. Oui... Valériane serait parfaite.

Dès le lendemain, le Grand Faucheur ordonna à sa délicieuse créature de se préparer. Lavée, coiffée, elle était plus sublime encore qu'à son habitude. L'Ombre se permit tout de même une petite touche supplémentaire, qui prouvait à quel point le fait d'offrir cette pauvre petite chose en pâture à un démon lui était égal, mais l'amusait au contraire. Valériane était entièrement nue, seule sa longue chevelure lâche masquait encore sa poitrine. Il attacha alors délicatement un beau ruban rouge sang au niveau de ses fesses, un sourire narquois aux lèvres. Dans son dos, il se pencha à son oreille en ricanant :

- Il va falloir te montrer plus forte encore que d'habitude, petite colombe. Exauce chaque désir de ce démon, sans exception. Ne me déçois pas.
- A vos ordres, Maître.

Et en moins de deux, Verox téléporta sa chère petite marionnette en enfer, via un portail. Sa dette était très conséquente, mais il savait d'avance que son paiement serait à la hauteur. Il était bien placé pour savoir à quel point il était jouissif de baiser cette petite catin...

Valériane se retrouva dans un domaine impressionnant. Debout, nue, en plein milieu d'une pièce, elle bougea tout juste son regard de droite à gauche, pour observer les lieux, patiente, attendant simplement qu'on vienne la trouver.


« Modifié: lundi 10 août 2015, 15:14:30 par Valériane »

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV)

Réponse 1 samedi 08 août 2015, 15:09:08



L'endroit était grand en effet. Bien plus que le repère de son maître et plus lumineux aussi. Avec les brides de son esprit et de ses souvenirs, elle parvint à se faire la réflexion que ce n'était pas vraiment l'idée que l'on se faisait d'un domaine de démon. On pensait plutôt à de grands édifices dont les flammes de l'enfer léchaient les murs, une chaleur suffocante, l'obscurité, des ossements jonchant le sol. Mais il n'en était rien. La pièce où elle se retrouvait était plutôt en ordre, il y faisait bon, pas d'odeur de pourriture non plus. On pouvait facilement s'y trouver à l'aise.

Puis, rapidement, le regard de Valériane se désintéressa du décor qui l'entourait pour se poser sur un individu. Le Démon nommé Helel. Encore une fois, ce nom lui semblait déjà entendu. Mais ses souvenirs ne lui laissèrent entrevoir que quelques mots : démon, champion de Lucifer, grand duc des enfers orientales, dangereux... Dans sa vie antérieure, nulle doute qu'elle avait du entendre de parler de lui.Valériane n'était pas sans ignorer qu'elle avait été un ange et avant cela une elfe. Mais elle ne ressentait rien de spécial en sachant cela. Comme si cela n'avait aucun intérêt. Son esprit, bridé par la magie démoniaque et perverse de son Maître, n'avait évidemment plus accès à grand chose de son passé.

Le démon prit la parole, imposant, charismatique et terrifiant à la fois.Tous ce qu'on pouvait attendre d'un démon de son envergure. Verox n'avait bien sûr par prit la peine de prévenir l'arrivée de son petit cadeau à l'avance. Ça n'aurait plus été une surprise dans ce cas. Valériane resta muette, fixant le colosse infernal qui quittait le fauteuil où il était assis pour venir l'examiner. Là encore, elle ne fit aucun geste, regardant droit devant elle, ignorant toute pudeur puisque c'était une sensation qu'elle ne connaissait plus. Enfin, arriva l'instant où il lui demanda qui l'avait envoyée. Valériane lui répondit donc d'une voix neutre, monocorde, dénuée d'émotion. Comme toujours.

- Mon maître est Verox, Grand Faucheur parmi les Ombres. Et je suis Valériane, pour vous servir.

Elle bougea enfin, baissant légèrement son buste un bref moment pour le saluer et manifester sa soumission. Le démon choisit l'instant suivant pour agripper le ruban rouge et la contraindre à se coller tout contre lui. Elle n'eut aucun mouvement de recul et il posa ensuite ses mains sur ses fesses, sondant son regard et peut-être son âme toute entière. L'individu semblait à la fois satisfait de son cadeau et étrangement furieux en même temps. Et la raison de cet état ne se fit pas attendre. Il agrippa son cou, l'étranglant ainsi, avant de devenir un peu plus brutal.

Valériane reçut une gifle qui aurait certainement mit K.O la frêle petite elfe qu'elle était si elle n'avait été modifiée au point d'avoir une force et une résistance hors du commun. De ce fait, elle ne s'écroula pas au sol, elle ne perdit même pas l'équilibre. Seul son visage fut brusquement rejeté sur le côté, laissant une marque rouge sur sa peau pâle, qui disparut aussi vite qu'elle était apparut.
La petit chose de Verox n'avait même pas réagit. Elle ne grimaçait pas, ne gémissait pas, ne pleurait pas non plus. Pourtant, elle avait mal. Car elle pouvait ressentir la souffrance. Elle ne pouvait cependant pas l'exprimer autant qu'elle le devrait.

Elle puait l'ange. Et c'était incontestable. Il avait été très laborieux pour Verox de supprimer la part angélique de l'elfette. Vraiment très laborieux. Un sang divinement pur coulait encore dans ses veines et le démon l'avait sentit. Tandis que la jeune créature redressait son visage, le démon annonça la couleur des événements futurs. Elle enregistra tout dans sa petite tête et il était difficile de dire si toutes ces conditions lui convenaient. Peu importe, elle n'avait pas le choix et avait reçu des ordres. Et plutôt mourir que de ne pas obéir et satisfaire son maître. Quoiqu'il advienne. Elle allait dire quelque chose, mais le propriétaire des lieux la gifla de nouveau, sur l'un de ses seins cette fois, avant d'attraper son mamelon du bout des doigts pour la tirer à lui de nouveau. Valériane dut parcourut d'un frisson de douleur, assez vif, mais son visage ne laissait toujours rien paraître.

Helel lui ordonna de le déshabiller, lui indiquant qu'elle devait le remercier pour chaque ordre donné, car cela était un honneur que de pouvoir le toucher. La voix pauvre de la jeune femme se fit de nouveau entendre.

- Je vous remercie, en effet, Champion de Lucifer. Et j'obéirais à vos ordres avec grand plaisir, car je suis consciente de l'honneur qui m'est donné de vous servir. Je suis votre obligée...

Elle le salua de nouveau et son regard se fit un peu plus expressif alors qu'elle se mouvait pour commencer à ôter la partie supérieure de la tenue du démon. Son maître savait que parfois, Valériane pouvait être frustrante, de part son manque d'expression et d'émotion. Voilà pourquoi il avait décidé, pour l'occasion, de la débrider un peu. Pas plus que nécessaire, mais assez pour que le démon n'ait pas affaire à un robot, mais à une créature la plus naturelle possible, avec des réactions basiques. Car baiser un corps inactif et muet n'avait rien de très jouissif, bien que lui-même s'en contentait largement.

Les mains habiles de la jeune femme enlevaient les boutons, faisaient glisser les tissus, un à un, sans précipitation. Dévoilant d'abord le torse puissant de l'être démoniaque et ses muscles saillants, preuve incontestable de sa force et de sa vigueur. Elle continua ainsi, s'attaquant ensuite au pantalon du redoutable mâle, à son sous-vêtement également, jusqu'à ce qu'il ne reste plus rien à Helel que son manteau de chair...



Valériane

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Re : Une dette à payer (PV)

Réponse 2 samedi 08 août 2015, 17:48:16



Débrider sa chère petite catin n'était pas dans les habitudes de Verox. Mais pour plaire au démon, ce fut un passage bien obligé. Cependant, il n'était pas allé jusqu'à faciliter la tâche à cet être démoniaque. Non pas pour le frustrer davantage, mais au contraire pour qu'il y prenne plus de plaisir encore. En effet, les démons adoraient les défis. Et quoi de plus délicieux comme défi que de faire crier et couiner ce petit angelot inexpressif ?
Valériane n'appréciait pas particulièrement de souffrir, mais elle n'était pas en mesure de pouvoir véritablement le signifier. Du moins pas sur le moment. Le débridage, en effet, était une étape qui nécessitait un peu de temps. En tous les cas, le défi était lancé et le démon semblait assez excité par la possibilité de la faire souffrir, de voir jusqu'où allait les limites de cette petite créature si frêle.

Valériane sentit le démon agripper ses cheveux pour lui redresser la tête, pouvant ainsi la regarder dans les yeux et lui demander, donc, si elle aimait souffrir. Et exprimer son envie féroce de lui en faire baver à coup de cravache et de poings. La jeune femme commençait à comprendre pourquoi son maître lui avait dit qu'elle allait devoir être plus forte que d'ordinnaire. Mais elle ne ressentait pas de peur.

De nouveau, une main puissant se referma sur sa poitrine, sans douceur aucune, mais avec violence plutôt. Il voulait l'entendre. Le démon voulait voir cette fille, autrefois ange, souffrir et crier sa douleur. Valériane était soucieuse de bien servir cet individu, par ordre de son maître, mais elle ignorait comment répondre à cette requête. Jusqu'à ce que le Grand Duc ne s'amuse à étirer son sein, un peu plus à chaque seconde. Étonnement, Valériane ressentit quelque chose. Elle n'avait l'habitude de ressentir quoi que ce soit, pourtant, elle sentait sa chair tirer désagréablement à cet endroit là, envoyant des signaux nerveux à son cerveau. Le débridage avait bel et bien commencé.

On pouvait lire une pointe de surprise dans le regard d'ordinnaire vide de la jeune femme. Le démon réitéra sa demande, se faisant plus brutal encore, tirant sur son sein. Au fur et à mesure, la sensation devint dérangeante, au point de faire grimacer Valériane. Instinctivement, elle retint toute envie d'exprimer cette nouvelle sensation. Cette douleur. Mais Helel le lui avait demandé et elle devait obéir.

Tout était nouveau pour elle et réapprendre à sentir son corps et décrypter les émotions qu'il lui envoyaient, était beaucoup plus difficile que prévu. Helel l'agrippa, la retourna, usant d'elle comme d'un simple objet, comme une simple poupée de chiffon. Bientôt, elle sentit le membre énorme et chaud du démon se glisser entre ses cuisses jusqu'à atteindre un endroit particulier. Un endroit extrasensible chez les femmes, un bouton de plaisir. Elle ressentit d'ailleurs une sorte de petite décharge électrique à cet endroit.

Soudain, un bras lourd et puissant se referma sur sa gorge, le membre viril et imposant de l'être démoniaque se logea contre ses fesses, un endroit bien plus fragile et douloureux. Et elle sembla deviner que son corps aimait bien moins cette sensation que la précédente. Le souffle de la jeune femme commençait petit à petit à s'emballer. Que lui arrivait-il ? Elle entendait la voix rauque du démon et elle ressentit une sorte de pincement au ventre. La peur ? L'angoisse ? Elle redécouvrirait en partie cette sensation également. Un instinct bien longtemps enfouit s'éveillait.
Helel bougea le bassin, poussant son sexe contre l'antre de la jeune femme. Elle eut comme un frisson violent dans tous le corps. Le démon semblait chercher à la pénétrer et à cette idée, le débridage étant quasiment terminé, Valériane se réveilla subitement et ses petites mains agrippèrent le bras du démon, comme pour tenter de se défaire de son emprise.

- Ah... non...

Qu'avait-elle osé dire ? Venait-elle réellement d'exprimer un refus ? Ce n'était pas du tout normal, elle n'était pas sensée pouvoir exprimer quoi que ce soit. Son esprit était embrumé. Elle était assez libérée pour pouvoir agir comme si elle était redevenue elle-même, pourtant ce n'était pas du tout le cas. Elle n'avait pas toute sa conscience, mais c'était suffisant.
Elle n'avait pas vraiment mal, pas encore, mais son corps savait à quoi s'attendre et envoyait des signaux paniqué à son cerveau, poussant ainsi la jeune femme à s'exprimer, à s'éveiller enfin.

Valériane commençait à suffoquer. Heureusement, Helel finit par relâcher sa prise, mais pour mieux l'agripper une nouvelle fois par les cheveux et presser son sexe contre visage. La jeune elfette savait parfaitement ce que cela signifiait. La taille de ce chibre l'intimidait, n'étant pas certaine qu'au vu de petite taille frêle, elle puisse accueillir ce membre par quel qu’orifice que ce soit. Trop de sensations se bousculaient en elle. La peur, le dégoût, la douleur et même le plaisir. Un étrange cocktail qui la paralysait pour le moment, donnant au démon tout le loisir de faire d'elle ce qu'il voulait. Et bien curieux de savoir si elle aimait ces sensations ou si celles-ci lui apporterait une insupportable douleur, il la gifla de son sexe dur, puis enfonça littéralement son engin dans sa bouche.

Valériane ouvrit de grands yeux écarquillés. Elle étouffait de nouveau, craignant qu'il ne s'engage plus encore dans sa gorge. Mais ce n'était pas tout. Elle n'avait pas seulement peur... elle... elle aimait ça. Le goût de ce sexe puissant et de se pré-sperme contre sa langue avait un effet très étrange sur elle. Est-ce qu'elle aimait être dominée ? Maltraitée ? Impossible. Sauf si Verox avait bien fait son œuvre.
La jeune femme savait ce qu'il lui restait à faire. Elle se débrouilla du mieux qu'elle pouvait, commençant à téter le membre goulument, jouant avec sa langue contre la peau tendue et veineuse du membre.



Valériane

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Re : Une dette à payer (PV)

Réponse 3 samedi 08 août 2015, 22:23:10



Vivre pour souffrir. C'était effectivement le lot de Valériane. Toute sa vie avait été souffrance. La perte de sa mère, la mort de son frère, le suicide de son père, les combat dans la boue ou sous le soleil brûlant, les nuits sans sommeil, la mort, puis le retour de Verox. Ce moment terrible ou il l'avait disloquée comme une poupée de chiffon, arrachant une à une ses ailes d'ange, la vidant de son sang translucide et pur, ne gardant ainsi que le strict nécessaire. Il semblait alors qu'elle avait finit de souffrir, puisque depuis ce jour, elle n'éprouvait plus rien. Juste un vide froid et déroutant.
Sans intervention, le démon n'aurait sans doute pas pu tirer grand chose de cette coquille ennuyeuse. C'est vrai, il était un démon puissant. Et la douleur, c'était son domaine. Cependant, Verox était le seul et unique personnage à pouvoir influencer à sa guise sur sa petite catin. Ainsi, pour ne pas gâcher le plaisir de cet être démoniaque à qui il devait un rendu de service, il avait débridé la jeune femme. C'était un acte purement diabolique, plongeant sa petite chose dans un tourment de sensations qu'elle avait depuis longtemps oublié. Elle qui n'était toujours pas consciente d'avoir perdu cent fois sa virginité. Mais aujourd'hui encore, elle n'en aurait pas conscience, il ne l'avait pas débridée à ce point.

Valériane peine donc à contrôler le flux de ressentis qui l'assaillait. Helel prenait un malin plaisir à s'en rendre compte, sans doute. La douleur était en effet tout ce qui restait à la jeune femme et c'était sans aucun doute la raison pour laquelle elle l'appréciait aujourd'hui.
Le membre était énorme, bien trop gros pour une fille petite comme elle. Heureusement que son corps avait été nettement renforcé et modifié, car alors elle se serait sans aucun doute étouffée en moins de quelques secondes.
Néanmoins, alors qu'il tentait de s'enfoncer dans sa gorge, elle peinait à résister à l'envie de se défaire de ce traitement. Écartant toujours plus sa mâchoire à chaque coup de bassin lent et imposant, elle sentait ses zygomatiques souffrir, presque sur le point de rompre. Mais elle n'avait d'autre choix que de continuer à le sucer, s'aidant de sa langue rose et humide qui dansait autour du mât de chair. Par le moment, elle se sentit suffoquer, hoquetant violemment alors qu'il continuait de maltraité sa bouche. Elle était même sur le point de vomir, mais cette petit chose était plus coriace qu'elle n'en avait l'air.

Encore une fois, malgré la douleur, elle aimait le goût de cette queue. Elle ignorait pourquoi exactement, mais c'est ce qu'elle ressentait. Se faire prendre ainsi la bouche réveillait en elle des frémissements agréables entre ses cuisses.
Helel la complimenta car elle savait au moins s'y faire, il semblait apprécier les efforts de la belle. Mais combien de temps supporterait-elle encore cela ? Elle manquait d'air, ses yeux semblaient se remplir de larmes sous le manque d'oxygène, ses poumons oppressés criaient au supplice, sa tête se mettait à tourner...
Ce fut pire encore lorsqu'il lui pinça le nez, bloquant alors le dernier passage lui permettant de respirer. Valériane poussa un cri, étouffé par la verge énorme calée entre ses lèvres. Il voulait sentir sa gorge, mieux encore, alors qu'elle peinait déjà à s'y appliquer. Le démon était bien capable de la laisser mourir ainsi, elle le savait. Ce qu'elle ignorait en revanche, c'est qu'il en fallait bien plus pour la tuer. L'ignorant, elle plaqua ses petites mains contre le corps robuste du champion de Lucifer, gémissant, tremblante.

Enfin, il retira sa queue énorme, laissant un court instant de répit à la jeune femme qui s'empressa de prendre une grande goulée d'air, toussant un peu, le visage rougissant. Haletante, elle espérait qu'il n'insiste pas, mais elle se trompait lourdement. Presque aussitôt, il enfonçant d'un coup sa verge dans la bouche de l'elfette qui poussa un nouveau cri étouffé. Helel lui ordonna alors d'enfoncer ce membre au fond de sa gorge, jusqu'à ce que son visage vienne de plaquer son bassin. Valériane n'était pas certaine d'y parvenir, mais elle n'était pas en position pour refuser, ni pour lui échapper. Alors, lentement, millimètre par millimètre, elle enfonçait ce sexe gonflé et démesuré jusque dans le fond de sa gorge. Le membre remplissait sa bouche toute entière, comprimée dans sa petite gorge délicate. Le nez écrasé contre le bassin du démon, la jeune femme crispait sans trop s'en rendre compte ses ongles dans la chair du démon. Et ses mains, ses bras, son corps tout entier étaient secoués de tremblement incontrôlable. Alors, une fois certaine d'avoir réussit, elle se retira, reprenant de nouveau de l'air avec avidité. La pause fut très brève avant qu'elle ne vienne lécher les bourses de l'être démoniaque avec gourmandise, les suçant également avec attention. Elle haletait toujours, comme une petite chienne léchant une friandise, sa poitrine se levant et s'abaissant au rythme de sa respiration.

- Merci à vous, Grand Duc, de me laisser goûter à votre sexe délicieux. Merci de baiser ma petite gueule, piètre écrin pour un membre si incroyable que le votre...

Puis elle retourna à son œuvre, léchant et suçant les couilles du démon avec avidité. Elle avait beau souffrir de ce traitement d'un côté, elle ne pouvait s'empêcher d'obéir aveuglément et d'en ressentir un certain plaisir.
Après s'être longuement occupée de ses bourses, elle avala de nouveau son sexe tout entier, et commença tant bien que mal à effectuer des vas et biens, aussi profondément que possible, le gland du démon venant taper contre le fond de sa gorge. Jusqu'à présent, tout avait été très lente. Mais Valériane était bien décidée à contenter son maître, ignorant les risques et la douleur qu'elle pouvait ressentir. Elle augmenta alors le rythme des vas et viens, refermant ses joues et sa bouche entière pour envelopper ce chibre déjà bien à l'étroit dans sa petite bouche.



Valériane

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Re : Une dette à payer (PV)

Réponse 4 lundi 10 août 2015, 14:01:18



Valériane ne pouvait plus se le cacher. Plus elle suçait cette grosse queue, plus elle aimait ça. Son goût viril et typiquement masculin embaumait ses sens et la poussait à continuer encore et encore, même si sa bouche était martyrisée et la faisait souffrir. La douleur mêlé à l'acte pervers du démon était un délice pour elle, sans qu'elle ne sache comment l'expliquer. Si sa gorge n'était pas aussi maltraitée et que son corps n'était pas secoué de tremblement à cause du manque d'oxygène, elle aurait sans doute put continuer des heures durant. Il ne fallait pas qu'elle cherche à se débattre, elle n'en avait aucune envie au fond, mais son corps, d'instinct, se défendait à sa manière. Ses yeux pleuraient sans qu'elle ne puisse se contrôler, parce qu'elle manquait d'air. Ce n'était pas de la détresse, elle était bien trop heureuse de sa situation, au fond.
Le démon plaquait son visage contre son bassin, écrasant le petit nez de l'elfette sur lui, fourrant son membre dans se gorge un peu trop étroite pour lui. Valériane couinait et gémissait sous ses légers coups de bassin, de douleur autant que de plaisir, alors qu'elle était sur le point d'étouffer. Le démon aurait sans mal pu la tuer ainsi si elle n'avait pas été forte. Mais étrangement, c'est cette idée qui l'excitait, que l'homme qui la dominait pouvait sans mal la briser et qu'il montre sa puissance. Il lui ordonna de mettre ses mains derrière son dos. Elle obéit, même si son corps tremblant n'était sans doute pas d'accord. Plus bas, l'intimité de la jeune femme continuait à mouiller et bouillonnait, réclamant la dureté et la grosseur d'un sexe mâle.
Les mots menaçants et bestiaux du démon ne faisaient que l'exciter davantage. Valériane faisait alors tout son possible pour le satisfaire et lui obéir, car elle était ainsi faîtes.

C'est alors qu'il la plaqua au sol, sans mal, comme si elle ne pesait rien entre ses mains de colosse. Il la dominait de toute sa force, de toute sa carrure, enfonçant alors ainsi son énorme chibre s'écraser jusque dans le fond de la gorge de la jeune femme qui poussa un cri, retenant à grande peine un hoquet d'étouffement. Un cri de douleur qui se termina avec une touche de plaisir. Elle ne pouvait pas bouger, ne pouvait pas le repousser, alors qu'elle était sérieusement en danger. Sa vue, d'ailleurs commençait à se brouiller.
Heureusement, le démon finit par se relever, libérant la bouche douloureuse de la jeune femme qui inspira bruyamment une grande goulée d'air, sa poitrine se soulevant furieusement, la laissant haletante et un peu fébrile. Et pourtant... le goût de cette queue sauvage lui manquait déjà.

Helel lui ordonna de s'allonger face contre la table basse et de tendre son cul. Valériane s'empressa de se relever, encore essoufflée et tremblante, mais se dirigea vers le meuble pour s'y allonger sur le ventre, se cambrant pour soulever son petit cul sous le nez du démon. Elle rougissait et quelques petites gouttes de mouille glissèrent le long de ses cuisses. Ce n'était pas tant la douleur qui la faisait frissonner, mais surtout cette envie irrésistible qui la tiraillait depuis tout à l'heure. Elle n'espérait plus qu'une chose, qu'il l'empale violemment sur sa verge chaude et veineuse. Quelques gémissements très discrets se glissaient dans sa respiration profonde tant son intimité la démangeait. Elle ne put d'ailleurs s'empêcher de gigoter un peu sur place. Si elle avait osé, elle aurait supplié le démon de mettre fin à cette souffrance délicieuse, à cette frustration insupportable. Mais elle préféra se taire, attendant simplement avec impatience de savoir ce qu'il lui réservait.
Une queue aussi grosse pouvait-elle seulement la pénétrer sans faire de dégât ? A cet instant, Valériane s'en moquait bien.



Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 5 mercredi 13 septembre 2017, 18:24:43

Verox savait parfaitement ce qui attendrait sa belle petite créature lorsqu'il l'enverrai entre les mains d'Helel. Il savait aussi qu'avec une telle petite perle à baiser, sa dette serait largement remboursée. Il avait envoyé sa petite chose là-bas sans aucun regret, sachant pertinemment donc que ce ne serait pas nécessairement agréable. Loin de là. Helel était un démon après tout et pas n'importe lequel. Verox savait bien de quelle manière il dressait ses esclaves parfois, mais peu importe. Oh, pourtant il ne fallait pas s'y fier, il y tenait à sa petite catin. A sa manière. Une manière étrange et bien à lui.
 
Difficile de savoir désormais si la belle Valériane était réellement consciente de ce qui se passait, de ce qu'elle était et avec qui elle était. Pas entièrement, non. Sinon elle se serait sans doute mise à hurler et à détaler comme un lapin ou bien à supplier le démon de la tuer. Au lieu de ça, malgré la façon obscène dont son hôte la malmenait, elle y trouvait son plaisir. C'était bien étonnant... et pourtant. Helel semblait doué pour ces choses-là et sans doute le verrou de Verox était-il plus solide et complexe qu'il n'y paraissait. 
 
Valériane était là, plaquée contre la table, le cœur battant et soudain, il fut là, derrière elle, enfonçant son membre décidément bien trop volumineux pour elle et sa petite taille. L'angélique créature émit un petit couinement de douleur alors que le démon tentait de s'enfoncer plus profondément encore. La jeune femme serra les dents, tremblante et tendue alors que le meilleur moyen aurait été encore de se détendre. Elle ouvrit la bouche comme pour crier, essayant avec peine d'ignorer le membre énorme qui écartait ses chairs à outrance pour se frayer un passage. D'une main, elle griffa la surface de la table, le souffle coupé.
 
Helel s'adressa à elle, amusé par la situation, mais elle n'avait pas vraiment la force de lui répondre. Il fit claquer sa main sur ses fesses, faisant sursauter la demoiselle qui étouffa un petit cri dans sa gorge. Le démon avait déjà commencé à remuer en elle, parvenant à enfoncer son membre jusqu'au bout. Chaque coup de rein était douloureux et la plaquait violemment un peu plus contre la table où il maintenait son visage. Valériane ne pouvait désormais plus trop retenir ses gémissements. C'était douloureux, oui, elle pouvait sentir le sexe énorme s'enfoncer aussi profond sur possible, déformant son ventre. Mais c'était aussi extrêmement grisant ! Et terriblement délicieux !
 
Elle pouvait sentir et entendre nettement les coups de reins que lui assenait le démon contre ses petites fesses rougies par le traitement peu délicat. Soudain, il agrippa ses bras et l'obligea à se redresser en tirant dessus. Valériane se retrouva ainsi odieusement cambrée l'excès. Les sensations furent alors multipliées, la douleur comme le plaisir et Valériane se mit à gémir de plus belle et à couiner à chaque coup de butoir que lui infligeait Helel. Résister lui ordonnait-il ? La jeune femme avait bien du mal à obéir. Les sensations étaient si fortes qu'elle commençait à voir sa vue se troubler. Elle avait l'impression que son ventre allait bientôt éclater tant il la remplissait de son mât de chair. 
 
Elle poussa subitement un cri plus puissant que les autres et réalisa avec étonnement qu'elle venait de jouir. Les sensations étaient tellement puissantes et contradictoires qu'elle ne l'avait même pas sentit venir.  Helel ne semblait pas s'en être aperçut, ou alors il s'en moquait, continuant de la prendre avec vigueur. Des larmes coulaient sur ses joues, sans doute parce qu'elle avait mal... pourtant elle éprouvait aussi du plaisir... c'était si complexe ! Un léger filet de salive commençait même à couler le long de sa mâchoire, puis de sa gorge, venant se perdre entre ses seins sans qu'elle ne puisse plus rien contrôler. 

- Hnn.... Mmh...!
 
Valériane soupirait, gémissait, couinait sans pouvoir rien faire d'autre que de se laisser manipuler comme une poupée tandis que le démon se faisait plaisir en la pénétrant brutalement. Elle avait si mal... et pourtant, alors qu'elle commençait à se rendre compte qu'elle ne tarderait pas à perdre connaissance, elle réalisa qu'elle était sur le point de jouir encore. Valériane était décidément du genre à prendre un maximum de plaisir lorsqu'elle souffrait...

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 6 mercredi 13 septembre 2017, 23:45:16

Au final, Valériane n'avait aucun avis sur ce qui se passait. Elle avait beau être un peu plus vivante qu'elle ne l'était d'ordinaire, elle restait sans âme. Dénuée de volonté. Elle était un corps de femme réagissant au traitement tant aussi bien douloureux que délicieux du démon et lorsque Verox reprendrait son jouet, elle ne se rappellerait sans doute de rien. L'image de ce démon la baisant comme une poupée de chiffon disparaitrait et elle redeviendrait cette arme de destruction inexpressive. Une coquille vide. Un pantin. Elle n'était toujours pas Valériane. Valériane avait disparue, morte, oubliée, brisée. Ou presque.
 
Cela devait sans doute frustrer le démon. En tous les cas, il se déchainait de toute sa puissance dans le corps désarticulé de jeune femme qui n'opposait aucune résistance et semblait rester muette, outre les gémissements de plaisirs qui pouvaient s'échapper de sa gorge. L'ange qu'elle avait été n'aurait jamais agit ainsi. Mais peu importe. Est-ce que mourir ainsi alors qu'il la baiser l'excitait ? Sans doute. En tous cas elle n'y voyait aucune objection, cela ne la fit pas réagir. Seul comptait le plaisir qu'elle ressentait, mais surtout, celui du démon.  
Il l'aurait tuée si elle été resté une simple elfe. Il l'aurait sans doute rudement blessée si elle était resté ange. Là, il pouvait s'acharner à loisir, Verox avait bien fait son travail lorsqu'il en avait fait une arme. Elle était quasiment indestructible.  
 
Soudain, le démon relâcha ses bras, mais il ne la libéra pas de son emprise, au contraire. Il entoura sa gorge fine de façon à l'étrangler, l'empêchant de respirer grâce à la force de ses bras puissants et musclés. La bouche grande ouverte, elle semblait chercher de l'air. Elle posa doucement ses mains sur les bras du démon et les serra doucement. Mais il n'y avait pas de panique, pas de gesticulations, elle n'essayait pas de le griffer ou de lui faire lâcher prise. Et pour cause, il ne pouvait pas la tuer. Pas ainsi. Et elle le savait, même si la raison exact lui échappait.
 
Peut-être déçu du peu de réaction que cela suscita en elle, Helel finit par abandonner, la laissant s'affaisser contre la table avant de reprendre sa besogne plus violemment encore. Finalement, dans un râle, il relâcha sa semence dans son intimité. La quantité était telle qu'une partie de ce liquide visqueux et blanchâtre s'échappa et vint glisser le long des cuisses de Valériane qui venait également de jouis dans un long gémissement. Aucun doute, les sensations avaient été incroyables. Dommage, vraiment, que cela n'ait pas plus d'impact dans sa mémoire et qu'elle doive un jour oublier tout cela. A moins que...
 
. . .
 
Quelques minutes plus tard, un peu nettoyée et vêtue d'une petite robe très courte, la jeune femme se retrouva de nouveau chez son maître, près du fauteuil où s'était installé Helel, venu rendre une petite visite au Faucheur qui lui avait si gracieusement offert ce cadeau.  
Il avait alors reprit le contrôle intégral de Valériane qui, de nouveau verrouillée, se contentait de regarder droit devant elle, le regard vide.  
 
C'est alors que le démon fit partager sa déception. Il aurait préféré apparemment que Valériane soit plus... comment dire. Réactive ? Vivante ? Naturelle ? Verox restait muet, semblant écouter avec attention la proposition du démon. Il n'était pas encore satisfait visiblement, ce qui semblait ennuyer l'Ombre. Ah ces Démons... toujours aussi exigeants ! Ils en voulaient toujours davantage aussi, incapable de se contenter de ce qu'on leur offrait. Verox aurait aimé refuser, mais il savait ce qui lui en coûterait. Presque à contre cœur, il hocha la tête et tourna son visage recouvert de bandages aussi noir que son âme vers Valériane.
 
- Viens aux pieds de ton Maître, ma petite chienne.
 
La jeune femme réagit sur le champ, venant s'agenouiller devant l'Ombre, obéissante. Il caressa doucement sa tête, la félicitant comme une animal de compagnie fidèle. Déverrouiller intégralement sa petite chose lui était intolérable, mais il ferait le nécessaire pour s'en approcher au plus près, histoire de contenter le démon. Finalement, il fit relever sa petite esclave et porta la main à un pendentif qu'il portait au cou. Il le glissa hors de son long manteau noir et caressa la petite sphère de saphir entre ses doigts. Il hésita une seconde. Dévoiler son secret le plus précieux était très dangereux, surtout face à un démon comme Helel. Mais risquer de mettre son invité en colère serait chose encore plus folle.  
 
Verox insuffla de la magie à l'intérieur de la sphère dont le bleu pur commença à changer de teinte. Il vira au violet, puis au rouge. Un rouge presque pur. On entendit un petit bruit venant du crystal bleu, presque imperceptible. Verox fronça les sourcils. Il cessa de transmettre la magie à la sphère, conscient que s'il allait plus loin la sphère se briserait et l'âme de Valériane se libérait tout à fait. Et ce n'était pas ce qu'il souhaitait. Il lança un regard à Helel.
 
- Soyez patient... vous verrez très vite la différence.
 
Ce n'était en effet pas encore perceptible, Valériane ayant l'air toujours aussi inanimée. Verox la fit pivoter sèchement, la tournant en direction du démon toujours installé dans le fauteuil. Le Faucheur délia alors les bretelles de la robe qu'elle portait et laissa tomber le vêtement au sol. Avec un sourire, l'Ombre se plaqua conte le dos de sa chose et s'empara de ses seins à pleines mains, malaxant ceux-ci avec lenteur, tirant sur leur pointe. Puis il murmura à l'oreille de son esclave, qui, pour un œil attentif, semblait reprendre des couleurs...
 
- Réveille-toi, petite Colombe... il semble que notre invité ait envie de t'entendre crier comme il se doit...
 
Verox se contentait pour l'heure de la caresser, délaissant parfois un sein pour effleure son ventre, ses fesses, sa gorge, son intimité...
Jusqu'à ce qu'il sente un frémissement de la part de la belle petite poupée. Puis, qu'il s'aperçoive qu'elle clignait anormalement des paupières. Il élargit alors son sourire et la tourna dans sa direction. Une fois face à elle, il aperçut en effet cette petite lueur dans son regard. Alors que les yeux de Valériane semblait vides et inexpressifs... ceux-ci exprimèrent soudain la terreur... puis la colère.  
 
Elle était peut-être de dos à Helel, mais le démon pu sans conteste apercevoir le geste qu'elle fit pour tenter de frapper Verox. Celui-ci arrêta son geste, agrippant son bras sans mal. On entendit Valériane gémir de frustration, puis l'Ombre lui retourna une claque si violente que la jeune femme se retrouva au sol, aux pieds du démon.
Les doigts tremblants, Valériane posa sa main sur sa joue rouge et enflammée avant de lever son regard et de croiser celui d'Helel. Plus aucun doute, elle n'était plus un pantin, elle était presque redevenue l'ange pure et superbe qu'elle était autrefois. Et désormais, c'était une certitude, puisqu'elle fusillait l'être démoniaque devant elle et cracha dans sa direction.
 
Non, elle n'avait pas oublié qui elle était. Mais Verox avait prit soin de garder tous ses souvenirs bien à l'abri. A l'abri, oui, mais pas hors d'atteinte. Il suffisait de savoir manipuler un peu la magie pour pouvoir contrôler le collier et l'âme de Valériane, rien de Sorcier.
« Modifié: jeudi 14 septembre 2017, 00:19:47 par Valériane »

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 7 jeudi 14 septembre 2017, 11:06:12

Elle se rappelait maintenant. Elle se rappelait presque de tout. Toute son existence semblait défiler dans son esprit comme une multitude de diapositives qu'on lui exposerait sous les yeux. Ou comme une fresque animée. Cependant, elle ne pouvait s'arrêter sur les événements heureux. Seuls les souvenirs les plus douloureux et les plus récents lui revinrent en mémoire à cet instant. Elle revit surtout la scène où Verox lui arrachait ses ailes dans une gerbe de sang argenté. Des larmes lui montèrent aux yeux instantanément et tremblante, elle eut le réflexe idiot d'essayer d'atteindre ses omoplates pour vérifier l'horrible vérité. Mais il n'y avait plus rien. Il ne restait que deux petites cicatrices si fines et si infimes aujourd'hui qu'elles étaient presque inexistantes. Valériane sentit son cœur se briser une nouvelle fois. Elle eut envie de hurler, mais n'y arriva même pas.
 
Elle préféra enfouir son visage entre ses mains et faire de son mieux pour retenir ses sanglots. Elle se souvenait aussi de cette humiliation, un peu plus tôt, chez ce démon. Helel... Helel...
Oui. Helel.
Valériane secoua la tête, comme si elle essayait d'évacuer les images qui lui revenaient en tête. Mais elle n'avait aucunement besoin de se donner tant de mal. L'individu démoniaque se ferait un plaisir de lui rappeler chaque seconde...
 
Jusqu'à présent, Verox se contentait de la fixer d'un air impassible. Attendant simplement de voir si le démon était assez satisfait. Celui-ci commença par imiter le Faucheur, infligeant deux belles gifles à la pauvre petite ange qui retint à grande peine des petits cris de douleur. Puis il l'agrippa par les cheveux, attendant de voir si elle montrait plus de réaction qu'autrefois. Ce fut le cas. Son Impassibilité avait disparue. Elle grogna de colère, serrant les dents, regrettant de ne pas avoir assez de force pour se défendre et fusillant le démon du regard.  
 
C'est alors que Verox vit le démon pointer du doigt dans sa direction. L'Ombre arqua un sourcil, juste avant qu'il ne sente une brûlure atroce au niveau de sa main droite, puis ne voit une vive lumière s'en échapper. Le regard du Faucheur s'écarquilla de surprise tandis que les brûlure se propageait dans tout son corps, désintégrant ses chairs. Verox laissa échapper un rugissement de douleur et de rage. Cet enfoiré de démon l'avait piégé !! Il aurait dû s'en douter...
Ce n'était pas tant le fait qu'il soit parvenu à le duper et à le tuer qui ravageait l'Ombre de colère, mais plutôt le fait qu'il lui dérobe le travail de toute une vie, la chose dont il était le plus fier et qu'il avait pris tant de plaisir à avoir pour lui seul. Valériane. Verox rugit une dernière fois, maudissant le démon, incapable de l'insulter comme il aurait désiré le faire puisqu'il termina en un tas de cendres fumant.
 
Valériane, malgré l'emprise qu'Helel avait toujours sur elle, avait suivi la scène avec horreur, sans pouvoir détacher son regard. Elle se sentait... bizarre. La belle ange venait d'assister à ce qu'elle avait désiré le plus au monde : la mort de Verox. Pour autant, la chaleur du soulagement ne vint pas l'envelopper. Car il manquait le plus important, ce qui comptait plus que tout autre chose : sa liberté. Le Faucheur n'était pas mort pour qu'elle soit libre. Il était mort en lui laissant un nouveau Maître. Peut-être pire encore que lui. Non. Certainement bien pire que lui.  Et plus puissant.
L'individu en question lui annonça en effet sans détour que désormais, elle lui appartenait.  
 
Valériane plongea son regard bleu et humide dans celui de son ravisseur, trahissant tout le méprit qu'elle avait pour lui tandis qu'il prenait procession du fameux collier. La jeune femme ne savait pas vraiment ce qu'il signifiait en réalité, ce bijou. Et encore davantage comment il fonctionnait. Mais elle savait une chose, c'est qu'à cause de lui, elle n'était plus maîtresse d'elle-même depuis bien longtemps. Soudain, il donna un ordre. Un ordre auquel elle se refusait bien sûr d'obéir. Pourtant son être s'exécuta. Elle se leva et approcha, horrifiée de voir à quel point elle était incapable de résister aux ordres que prononçait le démon. Oui, finalement Verox était bien moins diabolique. Lui au moins, il ne lui laissait pas le loisir de réaliser à quel point elle n'était qu'une marionnette, un pantin, un jouet... Elle ne pouvait pas voir, pas réaliser, elle n'en avait donc pas souffert. Mais désormais...
 
Elle essaya pourtant de résister, de tout son être. Mais cela semblait inutile. Avec colère, elle approcha ses lèvres des siennes et entrouvrit sa bouche délicate. Le démon s'empressa d'y goûter, plongeant sa langue contre la sienne, dévorant cette petite bouche toute entière avec obscénité. Et Valériane, à son grand chagrin, ne pouvait qu'être spectatrice. Non... c'était pire que ça. Elle était également actrice... sans pouvoir l'empêcher. Sans le désirer. Elle essaya bien entendu de s'insurger, mais ses grondements terminèrent étouffés par les baisers avides de son nouveau Maître. Finalement, il arracha ses lèvres des siennes, laissant couler leur salive sans y prêter attention.
Puis il donna un autre ordre. Un ordre bien plus révoltant que le premier. Alors qu'irrésistiblement, elle s'agenouillait face au démon, prête à obéir tandis qu'il défaisait son pantalon, elle le foudroya encore de son regard larmoyant de colère. C'était bien tout ce qu'elle était capable de faire, sinon de lui lancer :
 
-  Sois maudit, Helel.  
 
Elle le haïssait. Il la dégoutait. Pourtant, elle attrapa le membre imposant du démon entre ses deux mains frêles. La forte odeur de stupre qui s'en dégageait lui donnait la nausée, mais cela ne l'empêcha pas d'exécuter ses ordres. Elle commença par lécher goulument le sexe sur toute sa longueur, s'arrêtant sur ses bourses pleines pour les suçoter entre ses lèvres. D'un point de vue extérieur, elle semblait y prendre plaisir, mais c'était pourtant bel et bien contre son gré qu'elle agissait ainsi. La seule preuve étant les larmes qui coulaient lentement sur ses joues pâles.  
Pour le reste, elle s'appliquait, puis qu'elle n'avait pas d'autre choix. Entre deux coups de langue lascif, elle cracha tout de même :

- Ne crois pas... que j'y prenne un quelconque plaisir, démon. Tu me dégoûte !
 
Si seulement, elle pouvait le mordre ! Si seulement elle pouvait lui montrer à quel point cela la révulsait ! Mais c'était plus fort qu'elle. Valériane continuait inlassablement de lécher encore et encore ce chibre imposant, n'oubliant aucun recoin, jusqu'à ce qu'elle finisse par gober le sommet de son mât de chair et ne commence à le sucer.
« Modifié: jeudi 14 septembre 2017, 11:15:16 par Valériane »

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 8 vendredi 15 septembre 2017, 11:36:23

Valériane n'était pas capable de résister au sortilège puissant qui la maintenant prisonnière. Si seulement elle avait été plus forte, elle aurait fait voler ce collier en éclat quitte à y passer. Tout plutôt que de vivre encore éternellement dans la soumission et la douleur. Avec tristesse, elle rependait à ces humains sur qui elle veillait autrefois. Finalement, les mortels avaient bien de la chance... la majorité du temps, la mort survenait et emmenait leurs âmes bien loin, là où rien de pouvait plus les atteindre finalement. Parfois même elle était libératrice. Valériane n'aurait jamais cette chance... sauf si un ange ou un démon puissant venait à la tuer brutalement. Sans cela, elle était obligée de supporter une éternité de cauchemar. Une éternité à se faire baiser et violer par une créature des enfers, à se faire humilier et écarteler la mâchoire comme en cet instant sans jamais pouvoir rien y faire. Cette idée la révoltait, la terrifiait. Où pouvait-elle bien trouver la force d'y faire face ? Comment ? 
 
La belle ange n'avait pas la réponse. Raison pour laquelle elle s'étranglait sur le chibre démesuré d'Helel qui s'en donnait à cœur joie, exciter de la voir ainsi souffrir et gargouiller les larmes aux yeux. De l'air ! Elle voulait de l'air ! Elle voulait le frapper, le repousser, le griffer..., mais elle ne pouvait pas. Elle n'était capable que de plaquer ses mains contre les cuisses musculeuses du démon et d'y appuyer le plus fort possible dans l'espoir de s'éloigner de ce sexe qui obstruait sa gorge. Les doigts crispés dessus, elle entendait les mots obscènes qui sortaient de la bouche du démon et hurlait intérieurement. Si elle était furieuse ?! Elle était bien plus que ça !
 
Enfin, ce fut la délivrance ! Il se retira de sa bouche et Valériane put reprendre une immense bouffée d'air, hoquetant et toussant tout son saoul alors que sa gorge la brûlait. Elle était à deux doigts de vomir lorsqu'il agrippa son cou dans une main en lui assurant qu'elle n'aurait aucun répit et qu'il comptait bien la violer encore et encore jusqu'à ce que son essence la souille. Valériane grimaça, tentant de se libérer de son emprise, mais ce fut lui qui la libéra en l'envoyant s'étendre sur le sol.
Le choc tira à la belle ange une exclamation de douleur, mais elle n'avait pas le temps de se plaindre que déjà le démon était sur elle, écartant ses cuisses pour se glisser entre ses jambes. Valériane poussa un cri lorsqu'il arracha son sous-vêtement et vint frotter son membre sontre son intimité.
 
Bien sûr, elle essaya de le repousser de toutes ses forces, mais c'était comme vouloir se défaire d'une montagne. Elle ne pouvait même pas tenter de lui faire mal, quelle que soit sa volonté, son corps refusait de lui obéir. Pire encore, ce corps commençait à frémir d'excitation en sentant le membre gourmand du démon sur elle. Si une partie d'elle désirait plus que tout qu'il meurt, une autre semblait vouloir hurler à son violeur de la prendre sur le champ. Terrifiée et tremblante, elle ne pouvait qu'entendre les paroles du démon comme si elle se tenait au loin. « Nous baiserons jour après jour, et tu finiras par ne plus rien avoir d’un ange. Tu deviendras une diablesse, tu porteras ma descendance. » Valériane lui répondit par un couinement de douleur et de colère lorsqu'il commença à s'enfoncer en elle. Non... pas question qu'elle finisse ainsi... pas question ! « Et tu me diras merci. Tu repenseras à ton ancienne vie et en rira aux éclats, alors que je te casserai le bassin comme à la dernière des putes ». Il cracha dans sa bouche, elle déglutit et grimaça avec dégoût. L'ange éclata alors en sanglot et hurla :
 
- Non, arrête !!! Aaaaaaaah !!
 
La douleur la transperça de part en part, tout comme le sexe ravageur du démon qui s'était immiscé en elle jusqu'à la garde, électrisant tout son corps de douleur et de plaisir mêlé. C'était si puissant qu'elle ne pouvait s'empêcher de sangloter et de crier, tentant continuellement et en vain de le repousser, les mains agrippées à des épaules aussi larges que sa tête. 
 
Chaque coup de rein du démon qui envoyait son chibre taper contre le fond de son vagin arrachait un cri à la demoiselle. Et il s'appliquait le diable ! Il s'appliquait tant et si bien que même Valériane ne savait plus reconnaître ses cris de plaisir de ses cris de souffrance. Elle enrageait, mais son corps adorait, aspirant ce sexe avec appétit, laissant la mouille de l'angélique victime recouvrir puis noyer l'arme de plaisir de son bourreau. 
 
- Aaah... arrête-toi ! Arrête-toi ! Helel ! Heleeeeeel !
 
La première fois qu'elle cria son nom, son ton était empli de hargne et de rage. Mais le second laissa déborder involontaire son plaisir tandis qu'elle se cambrait de désir. C'était insupportable ! Valériane aurait préféré mille fois qu'il la torture dans le sang que dans le stupre..., mais elle était totalement impuissante. 
 
Les mains de la délicieuse créature quittèrent finalement les épaules du démon et se plaquèrent sur le sol. Là, les bras en croix, ses doigts tentèrent de s'enfoncer dans le sol. Elle se blessa en tentant de griffer la surface, serrant les dents puis rouvrant la bouche pour gémir et sangloter de plus belle. Dans un dernier élan de rage elle hurla aux oreilles du violeur :
 
- Crève ! Crève ! Crève...
 
Ses menaces s'étranglèrent dans un sanglot incontrôlable. Elle avait envie de tout démolir autour d'elle. Elle avait envie de l'égorger, elle qui autrefois était si douce. Elle avait envie de mourir, elle qui avait autrefois tant aimé la vie.  Si seulement il pouvait y avoir un miracle... juste un...

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 9 vendredi 15 septembre 2017, 18:01:45

C'était injuste. Beaucoup trop injuste. Le démon avait trouvé le moyen de lui rendre sa volonté et son âme en quelque sorte, mais il en avait gardé le contrôle. Chaque ordre qu'il donnait était incontournable, elle ne pouvait pas y déroger. Impossible. Elle essayait pourtant, jusqu'à épuisement. Mais rien à faire. Et c'était bien là la pire des tortures pour la jeune femme ! Il avait le droit à tout, pouvait se permettre n'importe quoi, lui demander tout ce qui venait à son esprit démoniaque et pervers, il était certain de tout obtenir sans effort. Tout.
 
Alors lorsqu'il lui demanda de crier encore son nom ou d'ouvrir la bouche pour qu'il y crache à l'intérieur, même si cela la révoltait et lui donnait envie de vomir, elle s'exécuta. Helel l'embrassait et la baisait comme un animal, sachant pertinemment que cela la mettait en rage, mais réveillait aussi des sensations dont elle avait honte. En réalité, il la torturait aussi bien physiquement que mentalement. Et il était loin d'en avoir terminé avec elle.
 
Il remonta son bassin, l'obligeant à remonter ses jambes et ses genoux jusqu'à sa poitrine, l'écrasant de tout son poids et enfonçant son membre tellement profond que Valériane en eut le souffle coupé sur le moment. Une douleur puissante l'envahit toute entière et elle gémit. Helel semblait fier son petit jeu, lui demandant si elle n'était pas d'accord avec lui sur le fait que cette position était sans aucun doute la meilleure façon pour l'engrosser. Alors que les lèvres de l'ange tremblèrent il l'embrassa goulument, puis libéra sa bouche. Elle en profita pour répondre, le souffle court :
 
- Jamais... je ne porterais le rejeton d'un démon...
 
Rien qu'à l'idée qu'il puisse cracher sa semence en elle et réussir à la féconder la terrorisait. Elle espérait que cela n'arrive jamais ! Cependant, il lui semblait déjà avoir entendu dire que le démons étaient particulièrement fertiles. Mieux valait espérer que ce soit une légende. Le démon ajouta cependant que si elle le suppliait de la tuer, il accèderait peut-être à sa demande. 
 
Valériane lui jeta un regard insistant, comme pour essayer de voir s'il était sérieux ou non. Pourquoi ? Parce qu'au fond elle y pensait. Elle préférait en effet mourir. Mais elle doutait sincèrement que le démon accepte de la tuer. De toute manière, elle n'eut pas le temps de dire ou de demander quoi que ce soit qu'il recommença à la pilonner violemment. Et dans cette position, la douleur était virulente. Pire encore ! L'ange ne put s'empêcher de reprendre ses cris et ses gémissements, fermant les yeux et priant pour la fin de ce cauchemar prenne rapidement fin. 
 
Elle avait envie de le frapper encore et encore à coup de poings. Au lieu de cela, elle ne parvint qu'à obéir à son énième ordre : embrasser ses muscles. Retenant avec peine ses plaintes, elle déposa alors ses lèvres brûlantes et tremblantes sur la peau bouillonnante du démon. Elle embrassa avec une avidité involontaire tout ce qui passait à portée de son visage. Ses pectoraux saillants, sa gorge solide, sa mâchoire puissante, ses épaules dont les muscles pulsaient à chaque coup de rein qu'il lui assenait. Helel lui rappela que rien d'autre que ça ne l'attendait.
 
Valériane pleurait. C'est vrai, elle voulait mourir. Elle avait trop mal, elle souffrait trop d'être ainsi traitée comme un morceau de viande, une esclave. Et devenir une diablesse comme il disait et enfanter une progéniture démoniaque était au-dessus de ses forces. Elle se demanda un instant ce qu'aurait fait une courageuse archange à sa place. Se serait-elle battue jusqu'au bout ? Aurait-elle fini par courber l'échine pour obtenir la paix ?  Difficile de savoir... elle n'avait pas L'étoffe d'un archange. Elle n'avait été qu'un ange gardien étudiant encore les subtilités du Ciel. 
 
Alors qu'Helel continuait de se déhancher en elle violemment au point sans doute de la faire saigner et d'occasionner de sacrées lésions, elle répondit en gémissant :
 
- Pi... pitié. Helel... tues-moi. Tu... me fait top mal... !
 
Malgré ça ses mains caressaient toujours le dos musclé du démon et ses lèvres embrassaient encore parfois son cou, car tel avait été ses ordres. Elle s'accrochait à lui comme à un amant et l'embrassait comme si elle l'encourageait à la prendre encore et encore. Elle gémit encore tandis qu'il la secouait de ses coups de butoir.
 
- Tu... adorerais me tuer. Je sais... que tu en meurs d'envie. Agripper ma gorge et la serrer... encore... jusqu'à ce que ma nuque se brise. Voilà une chose... qui te ferait jouir mieux que tout autre chose.
 
Elle le fixait droit dans les yeux et lui livrait ces mots entre ses soupirs et ses gémissements de plaisir et de douleur. Secrètement, elle espérait lui donner envie de le faire jusqu'à ce qu'il ne puisse s'empêcher de la tuer ainsi. Oui, si seulement...
La langue de Valériane fila contre la gorge et la mâchoire du démon, puis elle ajouta :
 
- Tu finiras forcément par te lasser... je ne serais qu'un petit jouet de trop... que tu finiras par gâcher en l'oubliant dans un coin. Ne... ne perds pas ton temps avec moi. Tues-moi. Maintenant ! 
 
Elle réussit à atteindre son oreille et à la mordiller, puis continua de gémir sous les coups de reins du démon, tout près de son oreille, ses soupirs venant caresser la peau plus délicate à cet endroit. Elle aurait aimé plutôt la mordre et la lui arracher. Mais elle ne pouvait pas. Sa seule chance était de le convaincre de la tuer. Mourir serait une délivrance...un luxe qu'il ne lui accorderait sans doute jamais...

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 10 dimanche 17 septembre 2017, 12:55:56

Valériane ne perdait rien à espérer, à supplier. Elle était déjà humiliée au possible, rien ne pouvait être pire désormais, alors pourquoi ne pas tenter le tout pour le tout ? Elle devait essayer. Essayer de pousser le démon à la tuer, maintenant. C'était son seul espoir d'éviter la tragédie et une vie qu'elle se refusait de vivre. Elle, une démone ? Porter des petits démons cruels et assassins dans son ventre ? Des enfants qui, un jour, tueront d'innombrables êtres humains et des anges ? Jamais ! Pitié, jamais ça ! Aurait-elle seulement le temps de trouver un moyen de suicider si Helel n'écoutait pas ses supplications ? Combien de temps cela lui prendra t-il pour faire d'elle son petit jouet démoniaque ? Des heures ? Des jours ? Des mois ? Des années ? Quelques minutes tout au plus ? Valériane préférait ne pas y penser...
 
Mais parler de la tuer n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. A peine le lui avait-elle suggéré qu'elle sentit l'excitation du démon grimper en flèche. Il se redressa et agrippa son cou dans sa main pour la serrer. Sur le moment, cela semblait être une chose merveilleuse. Il allait l'étrangler, l'étouffer, la tuer. Enfin la délivrance ! Les yeux plongés dans ceux du démon et malgré le fait que l'air manquait toujours un peu plus, jusqu'à être critique, elle ne bougeait pas. Elle attendait son sort avec une lueur d'espoir. Il relâcha cependant l'impression, comme pour entendre ce qu'elle avait à en dire. Si se serait bon ? Reprenant de l'air à grande goulée, par réflexe, elle répondit :
 
- Si tu t'arrêtes en cours de route, ça risque de gâcher le plaisir, Helel...
 
Soudain, il se redressa sortant finalement son énorme sexe de ses entrailles. Valériane poussa un soupire de soulagement tandis que son être souffrait. Mais ce n'était rien comparé à ce qu'il avait prévu de lui faire endurer. Il se laissa subitement tomber sur elle, de tout son poids, laissant également son membre veineux la transpercer avec un violence telle que la belle ange en eut le souffle coupé. Mais pas longtemps. Elle poussa alors un cri de douleur déchirant. Puis encore un lorsqu'il recommença. Il semblait ne pas vouloir s'arrêter, lui hurlant de crever. Valériane ne demandait pas mieux..., mais ça faisait si mal ! Et en même temps, parmi ces sursauts de souffrance, résistait encore un peu de plaisir lorsque le sexe le pourfendait sauvagement à grands coups. 
 
Elle avait mal et avait presque envie de lui dire d'arrêter. Mais elle se forçait à ne pas le faire. Elle sentait que s'il continuait, elle allait mourir, en effet. Elle se sentait déjà arriver à ses limites, elle sentait que son corps abandonnait, saignait abondamment, allait se déchirer pour de bon ou éclater sous le poids du démon. Mais soudain, encore, il s'arrêta. Juste à temps. Epuisée, recouverte de bleues et d'ecchymose inquiétants, souffrant le martyr au point de ne plus pouvoir bouger, Valériane gémit. Pourquoi arrêtait-il encore ?! Elle était à la fois déçue et soulagée... L'instant de survie, malgré tout, persistait. Elle toussa, crachant un peu de sang. 
 
Puis il l'agrippa, la retourna, redressant néanmoins sa croupe. Elle grimaça, se demandant ce qu'il allait encore inventer. Il gifla ses fesses, ce qui lui fit serrer les dents. La moindre des caresses était désormais une douleur pour son corps meurtrit. Il la pénétra à nouveau, la faisant gémir longuement, jusqu'à ce qu'il s'enfonce aussi profondément que possible en elle. Il l'obligea à tourner la tête pour l'embrasser. Elle fronça les sourcils, ne pouvant que lui rendre ce baiser avec avidité. Qu'allait-il inventer encore ? Elle le comprit rapidement lorsque le bras puissant du démon se referma sur sa gorge et se mit à serrer. Il y avait comme un ait de déjà vu...
 
De nouveau, la belle ange souffrait de manquer d'air. Son petit visage rougissant ouvrait la bouche, cherchant l'oxygène salvateur qui ne venait pas, ses mains se crispaient sur le membre meurtrier qui l'étouffait, sans aucun effet. Elle voulait mourir, pourtant tout son corps luttait pour vivre. C'était injuste ! Pourquoi ? Le démon s'amusa alors à la baiser sauvagement, l'étouffant jusqu'à ce qu'elle soit sur le point de perdre conscience, puis relâchait sa prise, lui laissant juste le temps de reprendre un peu d'air avant de recommencer. Et il ne cessait jamais ses vas et viens animales en elle. Elle voulait gémir, crier, protester, supplier..., elle ne savait plus trop ce qu'elle voulait en fin de compte. 
 
Helel lui disait savoir à quel point elle aimait ça au fond, caressant sa poitrine en lui demandant si elle se sentait changer, combien de temps elle tiendrait avant de devenir une démone. Valériane poussa une plainte. Il avait raison... tellement raison. Plus il la pilonnait et plus elle se sentait oublier la douleur ou plutôt transformer celle-ci en plaisir incontrôlable. Et ce malgré le fait qu'il tente de l'étouffer en même temps. Alors qu'il lui mordillait l'oreille, elle se demandait elle aussi combien de temps elle pourrait tenir. Alors qu'il la relâchait un peu, lui laissant de nouveau respirer avant qu'elle ne s'évanouisse, la tête néanmoins sur le point d'exploser elle dit d'une voix rauque : 
 
- Tues-moi pour de bon... enfoiré... 
 
Mais elle laissa échapper un gémissement de plaisir alors qu'il bougeait encore inlassablement en elle. Pas question qu'elle abandonne... qu'elle se laisse faire. C'était mourir ou rien. Lutter contre l'envie de vivre ou le plaisir charnel qui la dévorait serait difficile... sans doute impossible. Mais tant pis ! 
 
- Avoue... tu en es... incapable... petit démon...
 
Elle le provoquait, quitte à hurler encore et encore de douleur, quitte à ce qu'il trouve pire encore pour la faire souffrir. Son corps et son cœur allaient bien finir par lâcher tôt ou tard, il lui suffisait d'être patiente...Il allait peut-être s'énerver, perdre patiente, la massacrer. Et elle serait enfin libre ! Ou pas...

Valériane

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Re : Une dette à payer (PV Stephen Connor)

Réponse 11 lundi 18 septembre 2017, 15:26:10

Vivre. Pour quoi faire ? Dans quel but ? Si elle continuait de respirer, Helel allait continuer à la saillir indéfiniment jusqu'à ce qu'elle devienne une démone. Plus il la possèderait physiquement, plus elle absorberait d'essence démoniaque et deviendrait ce qu'elle haïssait le plus.  Mais c'est ce qu'il voulait, n'est-ce pas ? C'est pour ça qu'il ne l'achevait pas et qu'il s'amusait à lui faire croire, à chaque tentative, que c'était enfin la fin. Mourir. Mourir était la seule solution. Elle était une ange, elle n'avait pas le droit d'abandonner, de se laisser aller en se disant que de toute manière, c'était déjà écrit, que c'était trop tard. Alors même si ce que promettait le démon arrivait, elle refusait de l'accepter. Elle ne lui ferait pas ce plaisir. 
 
Il avait bien compris que malgré tout son instinct de survie la poussait à se battre pour ne pas sombrer. Et c'Est-ce qui était tellement rageant ! Pourquoi dans des moments pareils le corps n'en faisait-il qu'à sa tête ? Comme cette habitude honteuse qu'il avait de trembler de plaisir alors que son violeur la ravageait de plus belle de l'intérieur ? Il se pencha pour l'embrasser et encore une fois elle se laissa faire, lui répondant même avec gourmandise alors que tout son esprit avait envie de vomir. De nouveau, le démon changea légèrement de position pour mieux s'enfoncer en elle, répétant à quel point il prenait plaisir à la baiser. Valériane aurait aimé pouvoir lui assurer que ce plaisir n'allait que dans un sens. Mais pourquoi alors mouillait-elle autant et gémissait-elle de plaisir encore et encore ? 
 
Valériane, en plus d'éprouver autant de douleur que de plaisir à se faire limer l'intimité, avait incroyablement chaud et avait de plus en plus de mal à tenir ce rythme d'enfer. En comptant le moment où elle s'était présentée en cadeau à lui et ce moment-là ? Depuis combien de temps la baisait-il au juste ? Des heures ? Comment était-ce possible ? La jolie ange n'en pouvait plus d'être ainsi secouée et transpercée et sentait qu'elle perdrait bientôt connaissance s'il ne s'arrêterait pas. Alors, sinon, il n'aurait plus qu'à jouir dans un corps mou, lourd et inanimé. Et Helel aimerait trop entendre sa jouissance pour le permettre, n'est-ce pas ? Elle commençait à comprendre comment il fonctionnait... 
 
Le démon avait de l'expérience, il savait exactement quoi faire pour amener ses victimes à jouir. Il était doué, très doué même. Valériane, malgré elle, gémissait de plus belle, désormais incapable de retenir le plaisir qui débordait en elle. Non ! Elle allait jouir ! Non, elle ne voulait pas ! Mais elle ne couina que davantage, jusqu'à ce que brusquement, ses pauvres défenses n'éclatent en morceaux. Le démon agrippa son crâne et le tira en arrière, obligeant ainsi l'ange à hurler son plaisir lorsque la jouissance explosa et qu'il se vida en elle. Valériane sentit le foutre brûlant la remplir, réveillant les blessures de sa chair, s'immisçant partout jusqu'à déborder entre ses cuisses. Alors elle poussa un profond soupir et se laissa aller contre le sol, hors d'haleine, les joues recouvertes de larmes à peine séchées. Le front plaqué contre le sol, les yeux fermés, elle tentait de pas écouter les paroles du démon au-dessus d'elle. Était-il vraiment parvenu à l'engrosser ? Allait-elle vraiment porter... un démon... en elle ? Un être mi-ange, mi-démon... quel résultat ce serait ? 
 
Finalement, d'une voix faible et pleine de colère elle laissé échapper avant de perdre petit à petit conscience :
 
- Sois maudit... Helel...
 
Les jours, puis les mois qui suivirent furent ponctués régulièrement des mêmes supplices. Tous les jours, le démon pénétrait dans la grande chambre confortable dans laquelle on l'avait enfermée. Les premiers jours, elle eut encore la force de se battre et accueillait souvent le démon avec un regard froid et méprisant, avec l'envie irrépressible de lui lancer un truc à la figure. Mais elle ne pouvait même pas tenter de le blesser. Alors elle l'insultait, puis se tenait muette jusqu'à ce qu'il parvienne à la faire gémir. Il y arrivait toujours. Alors ça se terminait souvent avec des larmes, les poings serrés, à même le sol, sur le lit au milieu des draps déchirés, contre le mur, sur une table. Tout dépendait à quel endroit et de quel manière le démon avait envie de la prendre. 
 
Malgré sa grande combativité, Valériane le sentait, elle perdait un peu plus de sa volonté chaque jour. Elle avait beau le haïr profondément ou pleurer des journées entières, ça ne servait à rien. L'essence du démon prenait de plus en plus de place dans son âme et sa conscience. Et ce petit être qu'Helel avait bel et bien réussit à lui faire grandissait lui aussi un peu plus au fur et à mesure que le temps passait. 
 
Finalement, une nuit, peu de temps après que démon ait quitté la pièce après l'avoir prise une fois de plus, Valériane s'étendit dans son lit, le regard tourné vers le plafond, une main sur son ventre qui s'était arrondit... et elle sourit. A partir de ce jour, lorsqu'Helel venait dans la chambre, ce fut souvent elle qui se jetait à son cou, réclamant avec une envie non feinte le besoin de lui faire l'amour. Elle s'amusait à prendre les reines, grimpant sur les hanches de son amant pour s'empaler sur son membre et entamer une danse lascive, jusqu'à leur jouissance.
 
Le regard doux et angélique de Valériane disparut peu à peu, laissant place à un regard sensuel et provocateur. Le regard d'une démone, de celle qu'elle était devenue. Elle n'était plus celle qu'elle était autrefois, c'était certain. Helel avait gagné. Et elle avait finit par lui donner un fils. Il était beau comme un ange, mais le sang démoniaque prévalait sans aucun doute. Il serait promis à devenir puissant, c'était certain.
 
En tous les cas, cet évènement n'avait pas réduit l'appétit sexuel de Valériane qui, désormais, ne pouvait plus se passer de son amant. Désormais libre de quitter ses quartiers, elle s'était d'ailleurs faufilée jusqu'à lui, ne portant sur elle qu'un simple peignoir de soie grand ouvert. Ainsi, une fois dans son dos, elle s'était mise à lui mordiller l'oreille, glissant ses mains contre son torse.
 
- Bonjour mon beau démon...
 
Susurra t-elle à son oreille, bien décidée à le faire bander comme elle savait si bien le faire.


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