Au Bar/Club "Pour le Plaisir" [Libre à tous...]

Une façade on ne peut plus conventionnelle, une porte relativement simple, au-dessus de laquelle l'on peut apercevoir une enseigne lumineuse.

Bar-Night Club
Pour le Plaisir

Lorsque vous poussez la porte, une faible lumière éclaire un petit corridor qui mène sur un escalier des plus simples. Une quinzaine de marches, tout juste éclairées, une main courante en acier, jusqu'ici tout paraît plutôt simple, voir vétuste...

Une seconde porte, celle-ci semble bien plus attirante, en bois, de nombreux motifs gravés la parcourent, et une poignée qui semble ne demander qu'à être pressée. Votre main se pose dessus, et lentement, la poignée descend, alors que vous vous demandez bien dans quel endroit vous allez atterrir, ou peut-être, ce que vous faites là...

La porte commence à s'entrouvrir alors que vous la poussez lentement, peut-être encore méfiants, après tout, c'est votre première visite... Pas de lumière éblouissante ici non plus, au contraire, une lueur rougeoyante, tamisée, alors que vous découvrez petit à petit une immense pièce. Vous commencez à apercevoir sur votre droite, quelques tables, des bancs ou chaises, le tout paraît très confortable, quelques personnes y sont, cachés entre Ombre et Lumière dans cette zone plus calme, moins éclairée, vous croyez apercevoir une main dans un décolleté, ou une paire de jambes, menant à un fessier attirant, sous une table...

Plus la porte s'ouvre, plus la luminosité augmente, une long comptoir, le bar, derrière lequel se tiennent deux sublimes serveuses, à peine majeures il va sans dire... Leur tenue ? Voyons... Un bel ensemble indécent noir, d'excellente facture. Votre regard se plonge dans celui de la première demoiselle...



( Sans les ailes toutefois )

Après avoir échangé un sourire avec elle, vous vous retrouvez à observer le haut de son buste qui dépasse du comptoir, puis vous remarquez les tabourets alignés devant ce dernier. Derrière la seconde serveuse, noiraude a la chevelure plus courte, elle, vous apercevez de nombreuses boissons, alcoolisées ou non, un vrai paradis après une dure journée, seul, ou en couple... Si la luxure est votre détente...

La porte est entièrement ouverte, le reste de la salle comporte quelques bancs, chaises et tables, quelques poufs également, les lumières y sont plus vives, une plus grande place semble servir de piste de danse. Le lieu semble avoir une assez grande affluence régulière, en effet, nous sommes en milieu de semaine, et vous présentez déjà que vous ne vous ennuierez pas ce soir...

Vous avez fait quelques pas au sein de la pièce, ne sachant où vous diriger. La porte se referme d'elle-même après votre passage, et vous apercevez un petit mot derrière celle-ci, qui vous a fait vous retourner lorsqu'elle a claqué. Une pancarte qui semble pouvoir être mise de l'autre côté de la porte lorsque le lieu est fermé, vous y lisez quelques lignes bien visibles :

Cher Client, Chère Cliente,

Nous sommes ouvert en semaine de 17h à 3h, les vendredis et samedis de 15h à 5h.

Seikyn et Frallo Sethyll

Vous esquissez un petit sourire alors qu'il n'est à peine 21 heure, vous avez tout votre temps... Votre regard se porte une nouvelle fois sur la pièce, et bien que vous soyez en sous-sol, vous apercevez de nombreux rideaux fermés, sauf l'un d'entre eux, qui est partiellement ouvert. Ne sachant résister à votre curiosité, vous approchez, et laissez votre regard s'y égarer...

Une sorte de lit, plutôt grand, de forme arrondie, quelques draps fins, qui ne sont pas utilisés, alors que vous voyez une sublime créature offrir une fellation à un homme, à genoux sur le lit, alors que lui est debout, dos à vous...

Vous vous dirigez vers le bar, et, avant toute chose, allez vous imprégner de l'ambiance en sirotant un verre servi par l'une de ces créatures si dénudées... Mais vous vous rendez vite compte que peu de femmes cachent plus de leurs courbes que ces servantes... Ho, pardon, serveuses...

( Ouvert sans limite... Essayons juste d'être si possible assez clairs, considérons ce sujet comme un lieu de rencontres si vous le voulez bien, si vous trouvez quelqu'un à votre convenance, aller dans un coin plus tranquille ou dans l'une des alcôves en ouvrant un nouveau sujet...

De plus, Naysha y travaille, alors qui sait, peut-être vous ôtera-t-elle du poids de quelques billets pour un agréable moment de plaisir... )

Quelques règles sont à respecter, comme un peu partout en ville, d'ailleurs...

- Il faut être majeur pour pénétrer en ce lieu. La direction ne sera bien évidemment pas responsable en cas de fausse pièce d'identité non décelée, si elle venait à être demandée.

- Pour le Plaisir vous accueille dans un cadre fait de charme et de luxure, mais le respect y est de mise, tenter d'abuser de quelqu'un ou manquer de respect au personnel, ou à la clientèle vous vaudra un bannissement du lieu ainsi qu'une peut-être plainte déposée.

- La sécurité est assurée par plusieurs videurs clairement reconnaissables, mais qui sait, peut-être que certains sont camouflés dans la foule.

Lorsque vous vous présentez à l'une des hôtesses de l'endroit, à la recherche d'une femme, ou d'un homme, pour rejoindre l'un des coins plus reculés, alors que vous êtes à la recherche de plaisir... Ou peut-être d'avantage, elle vous informera de certaines petites règles, les enfreindre est vivement déconseillé...

- Le tarif est compté à la demi-heure, dès là 31ème minute, le coût compte pour deux demi-heures, à partir de la 61ème minutes, trois demi-heures, etc.

- Toute personne fournie par l'établissement est en excellente santé, n'a pas de blessure ou de marques particulière : il est interdit d'endommager le personnel, que ce soit sur un plan physique ou psychologique.

- Le personnel fourni est à respecter, préférez demander au préalable ce que fait la personne que l'on vous propose, les forcer est interdit.

Si vous êtes une jeune femme agréable à regarder et que vous cherchez un emploi, il est bien possible que vous en trouviez un ici-même...

Personnes travaillant pour le "Pour le Plaisir" :

- Les patrons : Seikyn Sethyll, Frallo Sethyl.
- Leur fille : Naysha Sethyll.
- Diverses hôtesses et hommes à tout faire (personnages non-joués).
- Les vigiles (personnages non-joués).

Personnes plutôt surveillées (mauvais comportement léger) :

- Personne pour le moment.

Personnes bannies (entrée impossible sauf violence...) :

- Un homme ayant la description de Daclusia est banni du lieu pour avoir assommé deux vigiles qui ne faisaient que leur travail ( http://hentai.forum-rpg.net/index.php?topic=1643.msg23202#msg23202 ).

[PV Naysha]

Faisant glisser ses longs et fins doigts sur les murs du premier couloir, quelque peu poussiéreux, une grande silhouette, glissant de coins en coins telle une ombre, et peut être bien était-ce vraiment une ombre, arriva aux portes du bar avec une envie claire qui lui labourait les boyaux.
Un peu plus tôt dans la soirée, il avait capté quelque chose qui l'avait attiré, et amené ici. Il savait ce que c'était. Une très jeune femme, au visage enfantin et au corps provoquant. Il l'avait suivit jusqu'ici pour la trouver et assouvir ses besoins.

Le prédateur avait trouvé sa proie... Et la traque était lancée...

Alors qu'il était encore dissimulé par l'ombre de l'entrée, par la porte entre-ouverte, il jeta un œil dans la salle. Un bar. Bar à femelles comme il put l'observer. Passant prestement la main dans ses cheveux, rentrant sa langue et revêtant son masque de charmeur, il pénétra dans la salle, vêtu d'un smoking noir, au col débraillé et au nœud papillon absent.
En tout cas, cette entrée ne passa pas inaperçue. Par la beauté et " l'aura " que dégageait ce nouveau venu, d'une part. Par la porte qui s'était violemment refermée derrière lui, d'autre part. Et enfin, par le fait que cette dernière ne provoqua pas même un sursaut chez cet homme dont la seule extravagance était la longueur des oreilles.

Avançant, jetant à droite à gauche des regards charmeurs que peu de femmes purent encaisser, vers le bar, les mains dans les poches et le sourire plein de sous-entendus, il se posa au bar, se laissant presque tomber sur la chaise, et effectua un tour complet sous l'effet de la chute, retombant directement le coude sur le comptoir, la main à la consommation d'un autre client, les jambes croisées, tout en souriant à celle qui, fort fortuitement, se trouvait là à côté de lui, celle là même qui avait attiré son attention plus tôt, et qui était sa proie du jour.
Maintenant, l'objectif était de réussir à l'avoir pour lui sans pour autant devoir utiliser d'argent comme appât...

Restant un instant silencieux, plongeant ses yeux rouges dans ceux de la demoiselle, il la complimenta, presque en murmurant:

"Mademoiselle, même si mes yeux me trompaient, je peux affirmer que vous êtes la plus belle des fleurs de ce jardin... Je vous offre à boire...?"

Assise au bar, Naysha a tourné la tête, et observait la silhouette qui venait d'arriver, comme bien d'autres personnes. Elle ne pu s'empêcher de sourire quelque peu, amusée de l'entrée "fracassante". Elle observait la scène sur jouée de l'homme et s'en moquait presque, sans le montrer bien évidemment.

- Mademoiselle, même si mes yeux me trompaient, je peux affirmer que vous êtes la plus belle des fleurs de ce jardin... Je vous offre à boire...?

Naysha sourit, faussement touché du compliment, puis, sur un ton taquin, voir amusé, de la joueuse qu'elle était, ajouta, en un presque murmure, elle-aussi :

- Si vous avez les moyens de vous offrir vos consommations... Peut-être...

En effet, le client qui s'était vu démuni de son verre semblait déjà bien imbibé, et peu enclin à accepter de se faire voler sa boisson, surtout qu'il semblait discuter avec une conquête faite durant la soirée...

- Vous devriez rendre cette consommation avant qu'il ne soit trop tard...

Le ton était presque maternel, voir sur le ton de la mère grondant son enfant, chose plutôt amusante au vu de la jeunesse de la demoiselle, qui n'était que venue pour boire un verre et discuter avec une personne ou l'autre, et non pas pour travailler, ce soir-là.

Amusé du client dans son dos, qui semblait esquisser quelques gestes violents pour reprendre son bien, Daclusia haussa les épaules, rit sans retenue, d'une manière presque hautaine, et examina le verre qu'il avait agrippé en s'asseyant. Une boisson brune à l'odeur déplaisante, et à la texture peu ragoutante... Ha, non, c'est de la bave.

"Trop tard mademoiselle? Il n'est jamais trop tard avant qu'on ne pense qu'il le soit..."

Et, ce disant, il fit glisser, vers l'arrière, le contenant, qui passa sous son bras, pour se caler dans le creux du coude de celui qu'il avait dérangé, le rendant presque ridicule. Puis, sans même laisser la moindre parole jaillir, il avait effectué un demi tour sur sa chaise tournante, avait sorti une friandise semblant être un gummy bear, qu'il avait enfourné en une fraction de seconde dans la bouche de l'alcoolique voisin de bar.
Ceci fait, il se retourna prestement vers la demoiselle qui avait toute son attention, et entreprit de la faire tomber sous son charme, en commençant par la questionner sur elle, et, bien sûr, en commandant deux cocktails, un pour lui et un pour elle. Tandis qu'il parlait, son regard jamais ne descendait au niveau des seins, pour donner la fausse impression qu'il s'intéressait à elle, et non à son corps, ou au plaisir qu'il pourrait prendre à jouer avec elle...

"Puis-je vous demander votre nom, qu'il soit vrai ou faux?"

Il sirotait à l'aide d'une paille son propre cocktail, attendant la réponse, et se désintéressant totalement du sort de celui qui se trouvait derrière lui: il était tombé, en quelques secondes, le nez sur le comptoir, et il ronflait maintenant assez bruyamment pour importuner tout le bar, qu'il s'agisse des couples dans la salle principale ou ceux dans les alcôves. Dans plusieurs heures, il allait être atteint d'une fièvre terrible et d'hallucinations reflétant ses pires cauchemars. Dans quelques jours, il allait supplier pour qu'on lui donne mort, que tout cela arrête. Quelques minutes après cette prière, il allait mourir, quasi instantanément.
Malgré cela, Daclusia affichait toujours un sourire radieux et bienveillant envers sa jeune compagne, avalant lui même une friandise sortie de sa veste sans qu'elle ait le moindre effet sur lui.

Elle avait observé toute la scène en silence, sans répondre à la première remarque de l'homme, si ce n'est pas un sourire en coin, ne pouvant le contredire. Puis finalement elle observait presque plus le client derrière celui qui semblait s'intéresser à elle. Elle riait doucement, une main cachant ses lèvres.

Faisant finalement signe à un videur de le réveiller et de le sortir, puisqu'il dérangeait, elle revint à Daclusia... Et observa le cocktail à son attention. Décidément, il était plutôt amusant comme homme, même si bien trop vieux à son goût... De jeune presque adulte.

- Puis-je vous demander votre nom, qu'il soit vrai ou faux?

Naysha toisa longuement l'homme, puis se décida finalement à répondre, d'une voix se voulant douce.

- Je vous permets bien évidemment de me le demander.

Puis elle le regarda longuement, encore, appuyant son sourire, avant de boire une gorgée du cocktail. Décidément, il était tristement drôle à tenter de lui faire penser qu'il s'intéressait à elle, il est évident que l'on vient dans un tel endroit pour la personnalité des gens... Pourquoi pas après tout, mais non... Elle en avait tellement vu depuis qu'elle travaillait ici...

[hrp] ok, tu la joues comme ça?  [/hrp]

Daclusia posa une main sur l'épaule de la jeune femme, doucement, il la fit remonter le long du cou, massant légèrement celui-ci, avant de gravir la tête, en passant par les cheveux, et en glissant derrière l'oreille droite de la jeune femme.
Le JYL n'était pas né de la dernière pluie. Il avait vu le désintérêt que lui portait la jeune femme. Elle semblait blasée, blasée de tous ces hommes qui passaient devant elle avec pour seule envie le sexe. Alors pourquoi pas lui sortir le grand jeu? Après tout, il était encore assez jeune pour allumer une demoiselle...

"Hmm... Et si vous me laissiez plutôt deviner? Des cheveux rouges, ainsi qu'un teint très pur, de grands yeux qui vous happent presque, mais où on voit la malice d'une tête bien faite et l'amusement de la femme encore fille... Vous sentez les hormones fraiches et taquines, de celles qui vous donnent une tape sur le nez pour mieux vous attirer... Votre nom est-il Aisha?"

La main se dégagea enfin, pour repartir maintenir la paille du cocktail de son propriétaire. Celui-ci prenait de plus en plus de plaisir dans cette traque, la première depuis son arrivée sur le plan de Terra. Il allait savourer chaque minute, et l'attente qu'il réfrénait, ainsi que la difficulté de ferrer ce poisson, tout cela rendait, intérieurement, le JYL d'assez bonne humeur pour ne pas se montrer trop cruel lorsque les évènements deviendront VRAIMENT intéressant...

"Mais quel que soit le nom que porte cette jolie fille qui se tient à présent face à moi, je ne pense pas que j'aurais, étant donné à quel point cette rencontre m'a marqué, lorsque je vous ai vu plus tôt dans la journée, suivi votre trace jusqu'ici pour uniquement obtenir les plaisirs de la chair..."

C'était, bien que difficile à croire, la vérité. Mais les véritables raisons qui avaient poussé Daclusia à venir jusqu'ici, il les gardait bien pour lui, tout en affichant la plus sincère émotion dans sa voix et son expression. Il ne fallait pas effrayer la proie...

Plutôt à l'aise dans cet endroit qu'elle pourrait presque qualifier de "maison" maintenant, Naysha se laissa faire par l'homme, plutôt réactive comme à son habitude, elle frissonna, alors que ses pointes se dressaient sous son chemisier, légèrement, elle avait une joli sous-vêtement ce soir là. Puis elle a bu une nouvelle gorgée alors qu'il s'amusait à deviner son prénom...

- Hmm... Et si vous me laissiez plutôt deviner? Des cheveux rouges, ainsi qu'un teint très pur, de grands yeux qui vous happent presque, mais où on voit la malice d'une tête bien faite et l'amusement de la femme encore fille... Vous sentez les hormones fraiches et taquines, de celles qui vous donnent une tape sur le nez pour mieux vous attirer... Votre nom est-il Aisha?

La jeune femme sourit, puis décroisa, et recroisa ses jambes, fixant le regard se l'homme, un regard joueur en effet, et elle savait qu'il venait d'avoir un signe d'excitation, même si elle ne le désirait pas... Pas encore du moins. Un doux murmure, alors qu'elle avait approché son visage de celui de son interlocuteur...

- Dans ce cas appelez-moi... Aisha, si vous pensez que ce prénom me conviendrait.

La demoiselle croisa le regard d'une hôtesse, de l'autre côté du comptoir, et les deux femmes ne purent s'empêcher d'échanger un bref rire complice, avant que Naysha ne reprenne.

- Une femme encore fille, il est évident que vous prenez la bonne direction pour m'avoir dans vos bras...

Toujours en murmurant, sur un ton frisant l'ironie, elle s'amusait vraiment de plus en plus de la scène, alors qu'il semblait lui aussi commencer à bien s'amuser. Puis il reprit la parole.

- Mais quel que soit le nom que porte cette jolie fille qui se tient à présent face à moi, je ne pense pas que j'aurais, étant donné à quel point cette rencontre m'a marqué, lorsque je vous ai vu plus tôt dans la journée, suivi votre trace jusqu'ici pour uniquement obtenir les plaisirs de la chair...

Certes, il avait paru sincère, mais des maniaques et des hommes aux pensées bizarres, elle en avait déjà vu défiler plus d'un dans ce lieu de débauche qu'elle appréciait vraiment. Elle se leva, laissant son verre à plus de la moitié sur le comptoir, puis se baissa, découvrant un peu plus son décolleté, avant de prononcer quelques mots à l'oreille de l'homme.

- La seule marque que vous avez pu avoir est celle de mon apparence extérieure... Peut-être nous reverrons-nous, qui sait...

La voix pleine de malice, elle n'attendit aucune réponse avant de se diriger vers la sortie, après tout, l'heure avait bien avancé pour cette jeune étudiante qui devrait se lever le lendemain pour se rendre au lycée. Après s'être approchée de la sortie, elle jeta un regard en direction de l'homme, toujours empli de malice, puis murmura aux deux vigiles gardant l'entrée, qui serait pour elle la sortie, de ne pas laisser cet homme sortir tout de suite, elle voulait pouvoir rentrer tranquillement chez elle.

( Prochaine rencontre sur un autre sujet (Pv avec moi bien sûr) si tu veux le lancer, laissons la place à d'autres rencontres, pas forcément qu'avec moi, d'ailleurs, je peux jouer d'autres rôles, comme hôtesse par exemple.

Je profite du post pour préciser une chose, valable pour tout le monde : je n'ai pas choisi de ne pas jouer un personnage soumis et tout gentil pour me le voir torturé/enlevé/tué/autre en 2 jours, merci de l'accepter et de vous adapter. :o) )

[hrp] torture veut pas forcément dire meurtrissures. Comme je l'ai dit, là je vais la jouer soft heart, au moins aussi soft que peut l'être ma personne. [/hrp]

Levant son verre à la demoiselle, Daclusia poussa un "à votre guise, jeune dame!", avant de finir d'un trait ce qui restait de sa boisson, et baissa la tête. Autour de lui, ce que la serveuse put donc remarquer, l'air était devenu comme glacial. Le chasseur bestial prenait le pas sur le traqueur des villes. Quand il releva la tête, son expression avait quelques chose d'effrayant, elle était transfigurée par un sourire bestial, et ses yeux étaient figés dans ce qui semblait un mélange de folie et d'excitation, au point que toute la salle, joyeuse et pleine de vie (et d'hormones), se figea dans un même soupir d'effroi.
Jetant vivement quelques pièces pour payer sa consommation, Daclusia quitta son siège d'un bond, donnant un coup dans sa veste de smoking, qui, en tombant en arrière, se révéla être un long manteau noir, qui lui arrivait au niveau des chevilles.

Cette jeune femme, elle était sa proie. Il ne l'oublierait. Mais pas question de sortir l'autre grand jeu avec elle. Il avait d'autres plans. Ce soir, il allait partir à la chasse. Mais d'une autre proie que le gros gibier. Il lui fallait juste de quoi sustenter sa faim.
Bloqué par les deux vigiles, il se calma un peu. A présent, le JYL regardait ceux qui le bloquait, coincé entre l'amusement et la pitié. Bien qu'il leur expliqua calmement et clairement qu'il ne comptait rien faire à leur patronne, il ne put obtenir auprès des vigiles le droit de passage. Perdant patience, il tenta de passer quand même, cette fois rabroué par la force. Perdant VRAIMENT patience, il murmura un "je vous aurais prévenu", et , attrapant d'une main le visage d'un des vigiles, et de l'autre main le visage du second, il les projeta, trop rapidement pour qu'ils tentent la moindre riposte, l'une contre l'autre, les assommant, et les laissant gisant sur le sol, sans pour autant les blesser gravement.

Passant la porte de sortie de l'établissement en laissant de l'horreur derrière lui, il attrapa une canalisation, l'utilisa comme point d'escalade, et grimpa jusqu'au toit de l'immeuble, observant avec nostalgie le paysage que proposait la ville sous la lune et les étoiles. Mais assez de mélancolie... C'est l'heure de chasser...

Tout comme les enfants qui vont en excursion avec leur école aiment rapporter des souvenirs, Kira avait décidé d’entrer dans une banque japonaise à Tokyo et d’en rapporter « quelques » billets. Bien sûr, ce n’était pas dans un but lucratif, cela va de soi, mais uniquement pour se souvenir qu’elle était passée. Était-ce de sa faute si les vigiles l’avaient repérée tout de suite avec son masque en porcelaine d’un blanc scintillant et son kimono d’un noir aussi profond que l’ébène, qui tranchait avec sa peau d’une pâleur inhumaine ? En tout cas, ils l’avaient interpellée et, comme elle ne montrait pas de désir particulier de les suivre, l’avaient empoignée et emmenée en bas, dans un corridor sombre et peu décoré. Là, ils s’étaient empressés de la ruer de coups tout en la touchant, ne se privant pas de profiter de ses courbes bien féminines. Kira ne sentait rien, même pas une légère pression sur sa peau, et ne poussait pas un gémissement, se contentant de les dévisager d’un regard vide et bestial. Ils prirent peur et cessèrent pour mieux l’observer. Poussant un soupir las, elle les avait décapité et avait bu leur sang, puis était remontée, les habits tâchés de rouge. Tout le monde avait compris ce qu’il s’était passé et il ne resta bientôt que le directeur de la banque, un homme bien en chair et habillé avec un chic à vomir. Enfin, lorsque sa tête avait quitté son corps, il n’était plus aussi dégoûtant à regarder qu’avant. Enfin bref, Kira, déçue par le service, avait décidé de se rembourser elle-même et avait piqué plusieurs millions. Quoi ? Elle n’avait pas payé pour rentrer dans la banque et n’avait pas à se venger ? Mais voyons, vous faites erreur… Enfin, le mal est fait, alors il n’y a plus à tergiverser.

Désormais, la vampire cherchait un endroit où dépenser tout l’argent qu’elle avait emprunté sans intention de le rendre. Elle avait voleté jusqu’à une ville mais n’y était pas entrée, un panneau attirant son attention. Un club ? Pour le plaisir ? Cela l’avait fait sourire et elle avait décidé de faire le tour du bar, histoire de voir ce qu’ils avaient de particulier. Elle avait passé deux portes, et une fois dans l’endroit, s’était mis à promener son regard un peu partout. Pas trop de lumière, des gens en train de se toucher, des billets rangés dans des endroits qui n’étaient pas prévus à cet effet, un vrai paradis. Kira s’approcha du comptoir et avait demandé de sa voix hypnotisante un verre de vin rouge. C’était la première fois qu’elle venait et était très à l’aise, comme si elle était une habituée de l’endroit. Une femme vêtue d’une manière qui laissait penser qu’elle n’avait pas souvent le temps d’avoir froid la servit, et demanda à être payée. Lui donnant dix fois plus que nécessaire, la vampire lui demanda de garder la monnaie, puis promena son regard de braise, c’était le cas de le dire, sur tous les visages présents. Une femme vint s’adresser à elle, ayant remarqué qu’elle n’avait pas peur de gaspiller son argent.

-   Voudriez-vous bien me suivre ? Je pense que nous avons quelque chose qui pourrait vous intéresser…

Kira se leva et suivit donc la jeune femme, qui avait une jupe bien trop courte pour être appelée ainsi. Elles entrèrent dans une autre pièce dont la porte était cachée par un rideau, et se retrouvèrent dans une sorte de salon, avec lit compris dans un coin. Le milieu était occupé par une sorte de table qui était agrémentée d’une barre en métal plantée à la verticale et à laquelle s’appuyait un homme, qui sourit à la vue d’une nouvelle cliente. L’hôtesse les laissèrent seuls, et la vampire observa sa proie sans rien dire, se demandant si elle avait le droit de le goûter d’une manière non sexuelle. Bien sûr, il était assez désirable, même plongé dans la pénombre de la pièce. Peut-être pourrait-elle s’amuser avec lui…

-   Je m’appelle Kira.

Elle le regarda d’un air ironique, sachant très bien son métier, et lui demanda, moqueuse :

-   Alors, combien coûtes-tu ?

Puis, elle prit une voix plus douce.

- Sachant que j’ai plus d’un million à dépenser, que peux-tu faire pour le mériter?

Diane avait enfin réussit à trouver la ville en question, mais il faisait nuit et elle avait une de ces soifs. Rien de bien surprenant, faite donc  deux cent kilomètre à pied. Elle l'humain avait fait tous els commerce malheureusement, ils étaient tous fermée, elle interpela un passant qui lui dit qu'il y avait un bar d'ouvert, mais que c'était un bar pour le moins chaud. "Pour le Plaisir" voilà comme le bar se nommait. Elle parcourut  tous le centre ville et tomba enfin sur le bar en question. Elle hésita à entrer, puis décida finalement que sa soif était le plus importante.

Elle ouvrit la porte et le son de la  boite de de nuit agressa ces tympans, certaine personne la regardèrent, il faut dire qu'il était rare de voir une demoiselle en robe noir avec un arc et son carquois sur son dos. (Ben oui elle n'est pas au lycée dons elle les trimballent encore sur son dos). Elle ne vit pas le bar et demanda à une serveuse où il était, cette dernière lui indiqua l'endroit non sans montrer un sourire amical. Diane se faufila entre les client réguliers et fut enfin au bar, mais une autre surprise l'attendait. Les boissons alcoolisées étaient moins chère que l'eau. Elle regarda sa bourse et eut juste de quoi prendre un alcool coupé à l'eau. Au moins elle aurait un peu d'eau même si cela contiendrais un peu d'alcool. Elle demanda avec une petite voix. ( Diane est intimidée par le lieux, rien de surprenant )

- Excusez moi. Je pourrais avoir l'alcool le moins fort coupé à l'eau.

Les armes de la demoiselles furent consignées au vestiaire – logique, non ? – et Naysha, assise au bar comme assez régulièrement lorsqu’elle n’avait rien à faire de bien précis, discutait paisiblement avec l’une des serveuses, sans vraiment remarquer la nouvelle venue. Et oui, l’alcool était, comme dans tous les lieux nocturnes, un peu moins cher que les boissons non-alcoolisées, allez savoir pourquoi…

La serveuse avec laquelle la jeune rouquine, vêtue de manière presque décontractée – à savoir un jeans faussement usé, et un haut relativement moulant, à fines bretelles, et couvrant relativement peu, à dire vrai, l’on voyait bien plus haut que son nombril, pour la couleur, le haut est noir, avec quelques motifs underground gris, et tout en bas, elle est portée par des basket en toile, noires, à larges lacets blancs -, dut interrompre la discussion pour prendre commande d’une boisson des plus… originale ?

Naysha se tourna sur son tabouret, sirotant une gorge de sa vodka-orange, et détailla, avec un doux sourire, la brunette en robe noire, puis, pour entamer la conversation, lui demanda simplement :

-   Un alcool coupé à l’eau ? C’est plutôt original…

La demoiselle qui prit la commande avait de meilleur forme que Diane et elle était un peu jalouse de ces atours. Sa tenue faisait aussi ressortir ces forme, on voyait qu'elle aimait ce lieux. La sauvageonne rougit un peu à la réplique de cette demoiselle. Aussi prit-elle le temps de lui expliquer.

- Je n'ai pas assez pour boire un verre d'eau et j'ai juste de quoi commander ça.

Elle avait les joues rouge de timidité, mais aussi était gênée de devoir parler à une femme qui semblait un peu rire de sa commande. Sans ces armes, Diane avait l'impression que l'on lui retirait un vêtements et le regard des clients la faisait un peu peur, mais la soif était suffisante pour l'empêcher de partir en courant.

- Je suis nouvelle en ville et je n'ai pas trouver de distributeur ou de commerce d'ouvert. Et j'ai vraiment soif, c'est pour cela que j'ai commandé un alcool avec de l'eau.

( C’est pas Naysha qui prend la commande. ^^ )

Naysha se sentait reluquée, mais loin d’être gênée, conservait son sourire doux, puis elle écouta calmement la femme qui lui tenait désormais compagnie, et ses apparents soucis d’ordre financier. La lycéenne à la chevelure flamboyante ne se moquait pas pour autant, et trouva la sauvageonne un peu perdue dans cet univers, puis dès qu’elle eût fini de parler, Naysha lui répondit tout naturellement :

-   Je t’offre un verre si c’est que ça, commande ce que tu veux pour te désaltérer. Tu viens d’arriver ici ? Bienvenue alors, je m’appelle Naysha, et je suis lycéenne ici, je peux peut-être répondre à quelques unes de tes interrogations ?

Douce et avenante, telle était Naysha, et c’est ainsi qu’elle resterai, très probablement…