Mein Teil [PV Theorem]

Mein teil <3

Jour 1 : Der Meister 

Marta

Herzeleid... Appelée aussi le joyau sombre des terres dévastées, cette ville était la capitale de toute un royaume s'étendant des montagnes de rocailles, au sud, jusqu'au lac de Blutengel au nord. Le royaume (ou plutôt le Reich) étant sous la solide domination de l'impitoyable et cruelle Führer, Alice Liddell, une dictatrice au tempérament jugé... Particulier, mais don la monté au pouvoir a permis de sauver Herzeleid du joug des Ashnardien, en plus de relancer l'économie du pays qui, avant, n'était guère florissante.
Depuis, toute la régions vie au rythme de l'armée grandissante et répréssive de la jeune Liddell. Une armé sinistre et forte, ce targuant d'avoir en sa possession la seconde technologie la plus avancée de terra, ce qui, soyons honnête, est un atout des plus indéniable.

Mais évitons de trop nous perdre en palabres inutiles et rentrons directement dans le vif du sujet. Aujourd'hui était une journée plutôt banal pour la Standartenführer (colonel)Marta Von Kruspe et, par banal, on peut aisément comprendre "chiante". Voilà bientôt deux heure que la belle futa, accompagnée par deux Officiers, arpentait les rue d'Herzeleid, une ronde quasiment quotidienne que la femme s'imposait, dans le but premier de veiller à l'ordre de la ville et de gérer un éventuel soucis et, dans un second temps, de trouver de la chair fraîche à culbuter au coin d'une ruelle. Marta était une futa qui portait sur elle la farouche réputation de "violeuse en série", attrapant sans vergogne la moindre petite serveuse un peu trop timide pour ce défendre et, entre nous, même celle à même de pouvoir rivaliser avec elle avait tendance à gentiment la boucler et ce pour des raisons évidente de hiérarchie.

Cependant, aujourd'hui Marta n'avait pas encore eu la chance de tomber sur une seule proie de qualité et intérieurement la femme commençait déjà à s'imaginer bourrer une énième servante au sein du châteaux… Cette brève pensée la fit alors soupirer, avant qu'elle ne décide de sortir un cigare de sa poche, l'amenant à sa bouche pour finalement l'allumer. Les yeux de la femme ce levèrent ensuite vers un large zeppelin qui semblait nager dans un ciel rendue grisâtre par les incessante sortie de fumée en provenance des usines puis, vaguement, son regard ce remit à scruter la populace Herzeloise d'un air blasé… Du moins, jusqu'à ce que d'étrange cheveux rouge viennent à attirer son attention.

« Hm ? »
« Qui y a-t-il Standartenführer ? » Demanda alors l'un des officier en voyant sa supérieur légèrement lever la tête en direction de la chevelure rouge qui dépassait difficilement de la foule.

Sans rien dire et en ne détournant pas une seule fois le regard, la futa ce mit en route vers la personne à qui appartenait cette chevelure criarde, une personne qui fini comme par le plus beau des hasard, par tourner dans une ruelle. Marta, un léger sourire au lèvre fini par le rejoindre, découvrant alors une jolie silhouette fine et gracieuse. Rapidement, les yeux de La colonel vinrent a dessiner un Z sur ladite silhouette, avant qu'elle ne ce mette finalement à parler.

"Eyh ! Vous là !" S’exclamât alors la femme. « Approchez s'il vous plaît. »

Le ton était autoritaire et son regard l'était tout autant, il s'agissait là d'intimider sa proie, de bien lui faire comprendre qui c'est qui en avait dans le fute.

Il avait fallu que Ishtar commande à Theorem de partir de son côté avec le Kurokuta et quelques navires pour aller faire le plein de divers objets et commerces. Le négoce faisait partit de leurs attributions, mais pour le coup, Theorem prenait avec philosophie cette "pause". Certes, Ishtar était certainement en train de copuler de tout son saoul avec quelqu'un d'autre, et ne voulait pas de Theo dans ses pattes... Et la hyène commençait à en avoir assez de ce comportement. Il avait donc décidé de respecter un silence radio punitif envers Ishtar pour ne pas lui laisser croire qu'il acceptait tout ce qu'elle lui faisait subir. Décidé à rester silencieux, il partit en direction de la ville la plus proche pour essayer de ramener quelques éléments intéressants. Et rentrer dans cette ville ne fut pas simple. Le contrôle douanier était drastique et il dût se faire faire des papiers en règles avant de pouvoir entrer dans la ville à proprement parlé. C'était très industrialisé et donc Theorem s'attendait à trouver pas mal de fabriques et surtout de quoi remplir ses cales d'appareils et de technologies intéressantes.

La population était assez morne et triste, brimée par une force militaire toute permise qui faisait de ces civils des larbins. Si les usines étaient visiblement le poumon noir de la ville, l'armée était son coeur et son cerveau. Il avait connu ce genre de présences militaires écrasantes à Inferis. Ce n'est pas pour rien qu'il se sentait dans cet élément et en plus de ça, il avait un grade ! Ca ne se voyait pas forcément très bien dans cette armée, mais il avait son uniforme. Il venait à peine de faire le tour de la ville alors que soudainement, il entendit quelqu'un l'interpeller, une femme. Visiblement elle semblait être importante vu les officiers avec elle et Theorem eut de suite le réflexe à faire le salut, levant son bras droit pour le mettre paume exposée vers son interlocutrice, bien plus grande qu'elle. Entre militaires, on se répondait ainsi et on se présentait toujours en premier quand on était interpellé.

"Vice-Amiral d'Inferis Theorem Bivoï. Que puis-je pour vous, colonel ?"

On pouvait toujours reconnaître les grades assez aisément sur un uniforme. Inferis devait être connu quand même ici, vu sa puissance militaire qui avait tenu tête à Ashnard. Et il était certain que Herzeleid ait aussi eut des démêlés avec Ashnard, ce qui rendait l'histoire du pays assez similaire... Sauf qu'Inferis était dans le grand froid du nord, caché dans un volcan.

"Vice-Amiral d'Inferis Theorem Bivoï. Que puis-je pour vous, colonel ?"

En voyant le jeune… Homme ? Oui, le jeune homme... Marta fut quelque peut surprise. La femme ne s'attendait pas vraiment à ça, toutefois, il en fallait bien plus pour déstabiliser notre Colonel qui, bien que quelque peut décontenancée par ce jeune éphèbe , reprit bien vite les choses en mains ne pouvant cependant pas retenir un léger rire de justesse étouffé.

« Pfrrt… Hum ! »

Rapidement, la femme jeta une œillade au deux officier ce trouvant derrière elle, avant de lentement s'approcher du jeune homme au physique délicatement androgyne… Hmmm… Une particularité que la futa aimais beaucoup, combien de fois avait elle sauvagement violée de pauvre jeunes hommes comme lui dans un coin du palais, brisant ainsi leur pauvre derrière avant de leur offrir comme seul et unique récompense son foutre dans leur cul endolorie.
la femme ce mit ensuite à regarder le jeune éphèbe dans les yeux, avant de dire sur un ton légèrement amusé, mais qui ce voulait toutefois sérieux :

« Vos grade n'ont pas court en Herzeleid monsieur le Vice-Amirale… Ici, vous êtes Monsieur tout-le-monde et, de ce fait, je vous prierez de bien vouloir me présenter vos papier d'identité et votre acte de séjour… Sans quoi je me verrais dans l'obligation de…"

La femme marqua une légère pause dans ses propos, profitant de cette instant pour reluquer brièvement le jeune homme.

...De vous emmener à la caserne la plus proche…. Inferis… Ou pas Inferis... »

Marta connaissait vaguement cette nation qui était sous la coupe d'une famille de dragons noirs, mais la nations étant relativement éloignée, il n'y avait pas vraiment lieu de s'inquiéter et donc, hors mis cela, Marta ne savait pas grand-chose d'autre sur cette nation. En ce forçant un peu la femme aurait put ce souvenir vaguement des mœurs très « matriarcale » de la nation mais, là, dans l'immédiat notre futa ne voulait qu'une chose : jouer avec ce petit travestit tout a fait charmant.

« Allez Mr. Bivoï… J'attend vos papiers… Enfin, je dit Monsieur Bivoï, ci tant ceci soit votre vrai nom, car qui me dit que vous n'êtes pas un terranide esclave en fuite, hm ? » En disant cela, Marta vint a esquisser un léger sourire du bout de ses lèvres pulpeuses. La futa jouait avec lui et, derrière elle, les deux officiers était entrain de sourire eux aussi, mais cet expressions était bien évidement caché par leurs masque à gaz.
La futa avait  envie de s'amuser avec lui... Oui, c'était indéniable... mais pour cela, elle devait lui jouer l'un de ses petits tours favoris.

Theorem savait qu'ailleurs, son grade n'avait pas de reconnaissance légale mais... Il n'allait pas s'empêcher de le faire connaître qu'il avait quand même un titre et une importance ailleurs... Et que lui faire du mal pouvait aboutir à un conflit pour le récupérer. Mais c'est vrai qu'avec la distance, c'était plus complexe et le silence radio... Mais ça, les autorités de cette ville n'étaient pas censées le savoir. Du coup il pouvait encore essayer de ne pas perdre la face devant cette colonel futanari. Car oui, Theo ne fut pas dupe... Vu la bosse dans la culotte de son interlocutrice, c'était quelque chose de difficile à cacher vu comment la culotte de la colonel était moulante. Il regarda la femme un moment, elle qui n'arrêtait pas de le mater. Une beauté arienne, sans nulle doute, mais équipée d'une virilité. On croisait de tout sur Terra. Mais sans discuter les ordres, il fouilla dans sa poche et sortit son porte-feuille. Il l'ouvrit et sortit les papiers et passeports confiés à la douane. Il savait se plier aux exigences du pays où il était même si celui-ci semblait parfaitement inégalitaire et plein d'abus.

"Voila Colonel."

Les papiers étaient en règles, et il ne se vexa pas quant aux accusations sur le fait qu'il était peut être un terranide esclave en fuite. Il était né libre et même s'il était soumis à son Amirale, il n'avait pas de volonté d'être l'esclave de quelqu'un d'autre pour l'instant. Theorem avait ses papiers et il avait connu la prison et les situations irrégulières, notamment à Sylvandell. Cet endroit ne lui faisait pas plus peur vu qu'il avait quand même la capacité de se sauver d'ici une fois lassé. S'ils décidaient de le capturer ou de lui faire du mal... Ca ferait une pause sexuelle dans ce qu'il vivait avec Ishtar.

"Tout est bon ? Et je ne suis pas un monsieur... Je suis un Femboi. A Inferis, les étapes de transgenre sont reconnues."

Le jeune vice-amiral, bien qu'étant en présence d'une femme à première vue autoritaire et imbue de sa personne, optera sans broncher, donnant alors gentiment ses papiers à Marta qui les regarda brièvement, cigare au bout des lèvres en tirant de temps à autre dessus en le faisant changer de cotés. Les yeux de Marta alternèrent donc entre les papiers de ce jeune androgyne et ledit androgyne avant que ce dernier ne vienne a marquer un poins d'honneur à être reconnue comme « femboy » ce sur quoi Marta ne répondit rien… Enfin ci, en ne lâchant pas la photo du jeune  femboy du regard, Marta vint à lui dire ces quelque mots :

« Inferis… Tu n'as que ça au bout des lèvres ma paroles… »

Et là, le plus naturellement du monde, Marta vint a ranger l'entièreté des papiers du jeune femboy dans la poche intérieur de son manteaux. Oui… Marta en réalité avait tout prévue, cette technique elle l'avait faite de nombreuses fois et malheureusement pour notre jeune Theorem, cette fois ci, c'était pour ça pomme. Suite à ce vole, car oui, on ne peut pas appeler ça autrement que du vol, Marta vint à légèrement ce racler la gorge.

"Hum ! Et bien jeune « femboy »… Je vois que l'on a pas ses papiers, hein… Je me sent donc dans l'obligation de vous conduire au poste.

Et voilà… Le jeune Theo était maintenant prit au piège et autant dire que Marta aller grassement profiter de la situation. Rapidement, la Stendartenfürher vint à regarder les alentours, avant de s'approcher encore plus prêt de Theo, ce dernier lui arrivant alors au niveau des seins. Derrière eux, il n'y avait rien de plus qu'une impasse sombre, jonchée de détritus et bardée de poubelles, un endroit en sommes plus que parfais pour les plan de la futa qui, cependant, laissa à son interlocuteur le soins de chercher par lui même une solution au problème… Histoire de rigoler encore un peu.
En y réfléchissant bien, Marta n'était même pas sur que ce jeune éphèbe avait sur lui la monnaie herzeloise (le Shwarz) et par conséquent, peut être ce verrait il de lui même trouvait la seule et unique « échappatoire » à cet infâme abus de pouvoir.

L’espace de quelque seconde, la futa fixa les yeux de sa victime, avant d’émettre un léger soupir en regardant les deux officiers derrière elle. Puis, avec un léger sourire narquois au coin des les lèvres, elle vint à lui dire.

« Mais… vus que tu m'a l'air un peu paumé… Je suis prête à faire un effort… Sous certaines… Conditions... »

Délicatement, la futa vint alors a caresser les beau cheveux soyeux du jeune theorem, s'amusant ensuite à faire glisser sa longue queue de cheval au creux de sa mains avec toujours le même petit sourire mesquin au coin de ses lèvres pulpeuses.

L'arnaque habituelle... Theorem s'y était attendu en voyant comment la colonel se comportait avec lui, ses regards, ses haussements de sourcils et son ton. Si Theo avait été débutant ou quoi, il aurait sûrement flippé à la seule idée de se faire piquer ses papiers par une militaire déjantée. Il lui restait la possibilité du marchandage, de l'implorer ou de déposer ses possessions sur la table pour récupérer ses affaires. Mais il était certain que ce n'était pas ce que cette militaire recherchait... Non. Son uniforme rutilant, son gros cigare et sa mise-en-plis étaient autant d'indices pour dire qu'elle n'était pas en manque d'argent. Puis doucement, elle posa sa main sur ses cheveux et caressa sa longue queue de cheval rouge et douce. Voila, il savait très bien ce que cette militaire voulait... Sans dire un mot, sans rougir plus que ça, Theorem se mit à genoux devant la colonel. Il veilla à ne pas se poser sur des déchets ou des gravats et releva la tête pour voir qu'il était au niveau de la verge bien contenue dans la culotte de la femme au timbre germanique.

"Bien Colonel... Je sais ce que vous voulez. Je n'en suis pas à ma première fois."

Doucement, il caressa les cuisses couvertes du cuir de ses bottes avec soin avant de passer sur ses bas résille. Il fut doux et attentionné avant de faire de douces bises sous boucle de sa ceinture, directement sur la bosse sous le sous-vêtement. Il veilla à donner des coups de langues, regardant droit dans les yeux de l'arienne avant de poser ses mains sur les hanches de la futa. Agrippant la braguette avec ses dents, il accéda rapidement à cette puissante verge qui ne demandait qu'à sortir. Une odeur puissante de luxure et la moiteur de ce sexe fit immédiatement ouvrir la bouche de Theorem. Il se passa la langue sur ses lèvres avant de doucement glisser sa langue sur la verge de la colonel, l'humidifiant d'avantage avant de nettoyer son gland en passant sa souple langue dessus, tenant toujours les hanches de la colonel avant de gober un peu son sexe, le pompant avec un certain talent. Jambes écartées comme ça, la futa n'eut pas de mal à voir la culotte de Theo, noire et brillante, bordée de deux noeuds verts. Il continua comme ça, gémissant.

"Vous êtes magnifique, colonel... Je dois avouer que... vous avez tout pour vous."

"Bien Colonel... Je sais ce que vous voulez. Je n'en suis pas à ma première fois."

En entendant cela et en voyant le jeune homme s'accroupir de lui même devant elle, Marta fut, avouons le… Quelque peut surprise. Ce jeune travelo avait donc tout compris de lui même… Comme un grand… En voilà une surprise qu'elle était amusante ! Enfin, il ne fallait pas non plus sortir de l'académie d'Elfania pour comprendre que ce que notre futa voulait… Mais là tout de même, cette tantouse était de lui même entrain de lui peloter les jambes en léchant sa bosse !
Marta était donc un peu étonnée, certes, mais… Bien vite, la situation revint a la « normal » et alors que ce jeune éphèbe en tenue asiatique vint a sortir la belle verge de Marta de son fourreau, la futa fit un léger signe de la tête a ses officiers, demandant alors à ses dernier de ce retourner pour, d'une part avoir un peu d'intimité et puis d'autre part, pour réguler la possible circulation.

HmMmmm… En voilà un petit toutou obéissant… Glissât alors la femme en caressant délicatement les cheveux de sa proie tout en savourant les délicieux coups de langue que ce dernier apposait sur son gland turgescent. Gland qu'il ne tardât pas ensuite à avaler goulûment, extirpant un bref soupir à Marta qui vint à ce raidir d'un coup sous cette intense monté de plaisir.

HgmmmMmmmm !!!


Sur ce, la femme vint a ce saisir de la queue de cheval de theo d'une mains tout en enserrant sa verge au niveau de la base, verge quelle sortit ensuite de la bouche de ce délicieux petit travelo afin de la faire taper contre son visage.

"Tes une bonne petit pute toi, hein… Bordel… Une petite pédale en manque de bites… Je connais quelqu'un qui adorait te rencontrer… Fuhuhu !"

La femme fit ensuite glisser sa queue odorante et luisante de salive sur le doux visage du jeune homme durant quelque instant, avant de finalement ce remettre a l'enfoncer dans sa bouche, le relâchant par la suite son emprise afin de lui laisser un peu de manœuvre, histoire de voir jusqu'où ce jeune femboy était capable d'aller « tout seul », en gardant cependant une main sur ça tête, afin qu'il ne s'éloigne pas trop de son mandrin. Marta put alors sentir avec délice la langue experte de Theorem lui lustrer la verge chaudement ce dernier semblant aspirer avec délice ce mat de chair particulièrement volumineux.

« Hmmm… bordel… »

Lentement, la femme bascula sa tête en arrière en prenant une bonne bouffée de fumée sur son cigare… Êtres colonel dans l'armée d'Herzeleid avait parfois de bien délicieux avantages.

Theorem sentit bien que sa partenaire avait bien du plaisir à se faire sucer de la sorte. Il ne se priva donc pas de sucer ce sexe tendu alors qu'il sentait la main gantée serrer sa queue de cheval. Pas mal de monde pensait à agripper sa queue de cheval pour une bonne fellation bien réussie. Du coup, cela encouragea la hyène à montrer ce qu'il savait faire en caressant doucement les testicules de la colonel. Il lâcha la verge dans sa bouche et commença à sucer ses bonbons, lâchant de longs gémissements alors que des petits reflets en forme de coeur semblaient briller dans ses pupilles plein de désir. Il continua à traiter merveilleusement bien ses boules en branlant cette verge énorme avec sa patte de hyène, faisant sa bien... Puis il se releva un peu.

"Colonel... J'espère que la personne que vous me présenterez sera aussi bien pourvue que vous... Vous feriez pâlir la plupart des femmes membrées que j'ai croisé dans ma vie... Et votre cuir rutilant est superbe !"

Il se mit face à cette verge immense, et fit une simple bise sur le gland, pile en face de l'urètre de la futa. Il donna un doux coup de langue sur cette ouverture sensible... avant de soudainement déployer sa langue qui entoura doucement la verge de la colonel en spirale. Mais elle disparue de plus en plus quand la bouche de Theo, grande ouverte et aux petits crocs visibles s'empala sur cette verge. Il avançait d'un coup, sens s'arrêter... Une vraie maestria de la fellation alors qu'il s'enfonça de plus en plus ! Soudain son nez s'écrasa sur le pubis recouvert de cuir de Marta. Il avait toute sa bite dans la gorge et il pompait comme un malade ! Il se retira de dix bons centimètres avant de se renfoncer d'un coup en couinant. C'était sale, il bavait beaucoup, ses yeux étaient même un peu révulsés, mais il ne s'arrêta pas pour respirer... Si bien que même de la salive et du présperme commença à couler d'une de ses narines, étouffant sur cette grosse queue ! Un suceur aussi doué, c'était une rareté absolue !

Marta devait bien l'avouer, ce petit travelo ne manquait pas d’expérience en la matière ! La pipe qu'il était entrain d'offrir à notre futa était tout bonnement sublime, alternant entre succion et léchage et… Oui… Il était indéniable que cette petite pute était vraiment douée, au vus de comment Marta était entrain de prendre son pied. La femme put ensuite voir sa proie libérer son membre de son étreinte chaude et humide, pour aller s'attaquer a ses belles bourses juteuses et gorgées de foutre, ce qui amena Marta a gémir légèrement en ce crispant une nouvelle fois, tendis qu'elle put sentir la patte velue et douce du femboy lui astiquer le manche avec expertise et délicatesse.

« HmMmmmm… Ah… Petite salope ! »
« "Colonel... J'espère que la personne que vous me présenterez sera aussi bien pourvue que vous... Vous feriez pâlir la plupart des femmes membrées que j'ai croisé dans ma vie... Et votre cuir rutilant est superbe ! »

cette petite phrase amena notre Futa a regarder le jeune éphèbe dans les yeux, avant d'esquisser un léger sourire… un brin sadique.

« HmmmMm… cette personne n'est pas.. Exactement comme moi, non... » Lui dit elle alors. « Et en ce qui concerne ma grosse queue, contente toi de me la sucer bien fort au lieu de bavasser, salope ! »

Suite à cette brève tirade, notre futa put alors observer son vide-couille apposer un tendre baiser sur son gland avant de… Et bien de tout simplement lui engloutir la bite ! En l'enveloppant dans un premier temps avec sa langue avant de finalement lui bouffer d'une traite et ce d'une manière que Marta ne pouvait juger que de délicieuse ! La femme avait a présent la bouche entre-ouvert, la tête légèrement en arrière et le dos un chouilla cambré. Tout son corps étant  alors parcourue par une onde de plaisir délicieuse, produite par la sensation d'avoir sa queue entièrement enfoncée dans un cocon de chair chaude et gluante, serrée, pompée, lécher et aspirée sans relâche par cet espèce de petit morfale de la bite qui, s'il continuait ainsi, aller recevoir tout le bon foutre de marta dans sa bouche.

HmMM… Put.. Quelle Putain de gorge pr… HMMpfff !!!

Sans aucune douceur, Marta se mit alors à agripper les cheveux e sa victime, activant alors un violent vas et viens dans sa bouche, ce foutant royalement de ce que ce dernier pouvait alors ressentir, il voulait lui bouffer la bite ? Il allait être servit ! Marta, égal à elle même, ce mit alors a lui baiser la gorge avec violence, ses testicules allant ainsi taper contre le menton de jeune terranide et ce dans un mélange de gémissements, de soupire, de gargarisme et de bruits de succion plus qu’audible par les deux officier qui ce trouvait à quelque mètres derrière.

Finalement, c'est au bout de quelques minutes de viol buccale, que Marta, sentant l'éjaculation venir, vint à retirer de la bouche de theorem les trois quart de sa verge, avant de violemment lui renfoncer dans le gosier, balançant alors dans un immense râle de plaisir, un flot de laitance que seule les futa peuvent ce targuer d'envoyer.
Suite à quoi, il y eu plusieurs seconde de battement où l'on put alors entendre le bruit du sperme ce déverser dans la gorge de theorem, tendis que Marta, les yeux fermer, sembla savourer comme une épicurienne cette instant de pur bonheur.
« Ah… Attend deux seconde mon jolie… J'ai encore un petit cadeau pour toi… HmmmMmm… »

Et là, sans en dire plus, Marta vint à littéralement ce mettre à pisser dans la gorge du terranide en maintenant toujours sa tête contre son bas ventre. Cela durat encore une petite poignées de secondes puis, repus, Marta ce décida enfin a retirer sa grosse verge dégoulinante de fluides divers de la bouche de sa victime, verge qu'elle ce mit ensuite a frotter contre le visage rougie et en sueur du petit travelo.

« Ah… Ah… petite pute.. Tu la kiff ma queue, hein… éhéh.. »

Et comme pour clôturer cette phrase, Marta envoya un gros crachat au visage de theo… Aucun respect, juste de l'amusement, un amusement que Marta ne comptais pas laisser là, au grand non !

« éhéh… Je crois que la personne d'on nous avons parlé tout a l'heure ce fera une joie de te rencontrer… Petite catins ! »

Theorem avait été sacrément doué en fellation, et Marta s'en était rendue compte très vite. Il gobait cette immense queue avec un soin tout particulier, savourant cette puissante verge alors qu'il ne cessait pas de caresser ses grosses boules pleines de sperme, gonflés. Il fit de son mieux pour satisfaire la colonel, mais c'était un peu différent quand on aimait ça ! La militaire attrapa sa queue de cheval et il savait bien qu'une fois les cheveux retenus par la poigne de Marta, la fellation allait se changer en irrumation... Et ce fut le cas ! Elle ne le lâcha pas tant qu'elle n'avait pas satisfait sa libido. La verge turgescente de la futanari tapait au fond de la gorge de la hyène, prenait l'angle pour s'enfoncer plus profondément et devint probablement le meilleur trou à baiser que Marta n'avait jamais connu. Theorem savait que ces humains en masque à gaz derrière entendaient tout... et pas de doutes qu'ils devaient aussi avoir une érection de la mort !

"Guh ! Guh ! Guh !"

Les sons de gorge de Theorem alors qu'il avait les yeux révulsés en partit, à la limite de disparaître sous ses paupières. Le travelo continua jusqu'à prendre la verge complète de Marta et enfin un flot continu de semence s'écoula dans sa bouche, remplissant son ventre de cette substance blanche. La nature même de Theo faisait qu'il pouvait se contenter de ce fluide très nutritif et après une telle baise, sans nul doute qu'il n'aurait pas besoin de prendre un repas complet. Mais Marta ne semblait pas en avoir terminé et lâcha son urine dans le ventre du travelo, gardant sa prise tout en l'utilisant comme urinoir. Ce fut très intense alors qu'il avalait l'équivalent d'un demi litre d'urine fraîchement sortie de la pompe. Quand elle eut terminé, elle se retira et ajouta un gros molard sur le visage de Theo qui fut un peu déçus par une telle réaction. Il s'était démené pour donner son maximum et la récompense fut un crachat... Tant pis, il s'amuserait ici le temps qu'il pouvait. Quand Marta prit un peu de temps pour tirer sur son cigare, Theorem lécha la verge de la futanari, la nettoyant après une telle baise orale. Une fois bien rutilante et propre, il glissa son sexe de nouveau mou dans sa culotte et referma la braguette en douceur. Il n'eut qu'à se relever, ajustant son uniforme et essuya le molard d'un revers de la main.

"Bien, on peut y aller dans ce cas..."

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Mélodie du Palais

Marta n'avait pas pour habitude d'être une femme douce et gentil et, même ci elle devait bien reconnaître que ce jeune éphèbe était doué pour sucer, il n'était pour elle qu'un vide-couille, un jouer et… Rien de plus. Toutefois, le fait de s'être ainsi dévoué sans broncher amena Marta à intéresser un peu plus au femboy, rare était les petits androgyne comme lui en herzeleid et plus rare encore était ceux capable de ce servir ainsi de leur bouche et… Vraisemblablement il semblait vouloir vraiment rencontrer la « personne » dont Marta avait parlé… Une chose risquée… Mais au fond et en y repensant bien cet androgyne au cheveux rouge ferait un excellent cadeaux pour ladite personne.
C'est donc donc avec un regard satisfait et fier que Marta observa sa petite pute lui nettoyer la verge avant de gentiment la ranger à sa place initiale puis, de ce relever, affirmant par un « "Bien, on peut y aller dans ce cas... » qu'il était prêt a suivre la Colonel.

« Guuuuut… Gut gut gut… » L'achat elle alors avec un large sourire satisfait et un brin sadique.

Lentement, Marta vint alors a ce retourner en sifflant un coup, donnant alors l'ordre aux deux officiers de rompre leur garde et de la suivre, ces derniers venant alors à ce mettre derrière Theo qui ce retrouva alors au centre du cortège, sous la surveillance assidue des deux hommes.
Cet ainsi que les quatre protagonistes traversèrent la ville d'Herzeleid en directions de l'endroit le plus haut, le plus grand et le plus sinistre de toute la ville… La Palais de Pique ! Palais qui n'était autre que l'antre de l'illustre Führer d'Herzeleid : Alice Liddell. Oui… La personne dont Marta avait parlé c'était elle… Et dieu sais que Theo n'allait pas être dessus du voyage car, si par « chance » ce dernier venait à plaire à la reine et bien… Que dieu ais pitié de son âme.

Au bout d'un petit quart d'heure de marche, le cortège, toujours conduit par Marta vint enfin à arriver devant les gigantesque porte en Galium gravé de crane et d'ossement du palais, portes au dessus desquelles une énorme horloges tournait constamment à reculons et ce de manière accéléré et ce dans un tic-tac infernale et répétitif. Tout dans ce châteaux transpirait la folie de sa dirigeante et  tout n'y était que démence. Une démence sombre, lugubre et suintante qui semblait saturé l'air, l’alourdir, le rendant alors acre et sinistre, tendis que, dans les coursive de ce dédale tout de rouge et de noir vêtue, une sinistre mélodie* retentissait encore et encore, sempiternellement sans jamais s'arrêter.
Les larges portes s'ouvrirent alors dans un grincement sinistre puis, sans rien dire, Marta avança.
Le sol et les murs était recouvert par un carrelage en damiers tendis les bougeoirs, candélabres et lustres était quand à eux fait d'ossements et de galium… Ce palais c'était… c'était le cœur d'Alice, son havre de paix et sa maison de poupée, ici, tout lui appartenait et aucune loi n'avait plus court, elle s'était construit un univers de sang et de douleurs, un écrin de folie qui lui était propre et duquel elle contrôlé l’entièreté de son royaume.
Au mur il y avait d’immense tenture portant le symbole de l'armée d'Herzeleid amis aussi d'innombrable portrait de Liddell, affichant constamment son sinistre sourire sadique et froid. Le cortège croisa bien entendus quelque domestiques qui, en voyant Marta baissairent la tête en accélérant le pas. Oui… Il était indéniable qu'ici, c'était la folie qui régnait… Et rien d'autre.

Finalement, Le cortège vint enfin à arriver devant les portes menant à la salle du trônes. Là, Marta prit une légère inspirations, avant de prendre en mains un gros anneau en fer qui était fixé à l'une desdites portes, le faisant par la suite taper dessus.
Il y eu alors quelques secondes de battements puis… Un gros « clac » vint à retentir, suivit d'un bruit de d'engrenage accompagnée du grincement des portes qui s'ouvrir alors sur la Reine, gentiment assise sur son trône d'ossement dont le dossier, l'assise et les accoudoir était fait de cuir humain rembourrés par des cheveux de petites filles. Sagement, la jeune reine fixa le cortège qui s'approchait d'elle, ce contentant seulement de secouer ses petit gambettes à la manière d'une gamine tendis que sur son visage, on pouvait voir pendre son éternel sourire malicieux et sinistre.

Marta saluât ensuite respectueusement sa Reine, avant de légèrement ce décaler afin que cette dernière puisse voir le jeune éphèbe.

« Mein Führer… J'aimerais vo… »
« Je sais Marta… Hihihi… Pas la peine de m'expliquer… »

Marta hocha alors de la tête avec toujours autant de respect, ne trouvant alors pas grand-chose à dire d'autre. Liddell n'avait pas réellement de capacité magique ou psychique à proprement parlé, mais disons qu'elle avait avec elle un « conseillé » qui, au moment même ou Marta avait franchie les portes du palais, avait de quoi retournait la venue de la futa et de ce petit travelo. Par conséquent, Liddell était parfaitement au courant de tout et ce, sans même que Marta ais eu besoin de dire quoi que ce soit.

Suite à ça, la jeune reine vint alors a regarder Theorem dans les yeux en basculent lentement sa tête de gauche à droite tout en gardant son large sourire au lèvres avant de finalement lui dire :

« Approche un peut plus… Theorem… Ihihihi... »

Theorem était dans une sorte de cortège qui l'amena jusqu'à ce palais qui semblait faire peur à beaucoup de monde ici. Vu l'espace entre ce dernier et les bâtiments, la surveillance et ce genre de choses qui étaient autant d'indices pour parler de la peur qu'il instillait dans le coeur des gens, ce n'était pas plus difficile à deviner une fois dedans. Des symboles morbides, des ossements, des damiers perturbants, des horloges à l'envers, des bruits inquiétants et une musique en boucle... Theorem se se sentait pas inquiet pour autant, il avait vu pire. Cet endroit était plus stressant que la norme, mais pas plus que l'Enfer... Et ça, il pouvait en parler en connaissance de cause. Une fois arrivé dans la zone où la chef de cette cité, la Guide du nom d'Alice Liddell, il put constater que ce n'était pas plus qu'une femme, mais avec une entité plus puissante avec elle. Oh son petit numéro aurait certainement fait pisser dans son pantalon un enfant, et il avait dut y en avoir pas mal des rejetons ici ! L'odorat puissant de Theorem capta du sang humain, très jeune... Il avait probablement atteint le fondement le plus sale et le profond de l'esprit humain, sans nul doute. Alice lui fit signe de s'approcher, il s'exécuta calmement. Quelques pas pour se démarquer du reste du groupe, restant à deux mètres de la chef humaine. Il fit de nouveau le salut de la Marine.

"Vice-Amiral Theorem Bivoï, de la Marine d'Inferis, Mein Führer."

Il savait faire la part des choses, et rester courtois. A Rome comme les romains. Il resta un moment dans un salut impeccable avant d'attendre le "repos" qu'on lui avait enseigné à respecter. Ce n'est pas comme s'il avait été prit au piège ou quoi. Il avait le temps, il saurait toujours s'échapper. Autant profiter de cette pause parce que, même si Marta lui avait prit ses papiers et bien... ce n'était qu'une feuille. Il avait bien plus de réserve que de se fier à ce simple papelard. Mais Alice n'était pas en reste côté charme... Une robe de latex moulante, une écharpe de fourrure, un maquillage exacerbé et un beau képi. Ishtar avait aussi se style et à fort, il n'était chauffé sexuellement que par ça.

"Vice-Amiral Theorem Bivoï, de la Marine d'Inferis, Mein Führer."

Une fois encore le jeune Theorem vint à faire un salut Martial à la tendre et adorable petite führer d'Herzeleid qui, en gardant son éternel sourire au bout des lèvres vint à… légèrement pouffer de rire.

Pfrrtt… Hihihihi… Qu'il est chou… huhu…

Liddell regardait theorem avec insistance, elle le trouvais vraiment mignon comme… Une petit jouet, une peluche, un chiot… En gros, le genre de trucs avec lequel on pouvait faire ce qu'on voulait. Theorem, bien que semblant n'avoir aucune crainte à être ici fini par ce mettre au repos alors que le regard de liddell ce mit à glisser sur son corps de manière amusée… Un androgyne… Seigneur… Déjà que les servante souffraient le martyre avec Liddell, mais lui… Au vus des vision que Liddell avait eu par le biais de son « conseillé », ce jeune homme semblait cultiver un certaine attrait pour le sexe et le fait de sucer une futanari comme Marta, comme ça, avec autant d'appétit… Oui, il était indéniable que cette petite pédale était un jouet de première ordre et que Marta, consciente de la perle rare qu'elle venait de trouvait, l'avait tout bonnement offert à sa reine.

Ihihi… Même à deux mètres, je peut sentir sur toi le musc virile de ma colonel… Tu l'a bien vidée, hein ? Ihihihi… Tu es une petite pute qui aime les chibres… Tu m'a l'air docile… Et… J'ai eu vaguement l'occasion de lire un peu en toi… Tu aime ma tenue n'est pas ?

« Lire en lui »… Hmmm… Disont plutot que c 'était chess qui, depuis le début avait transmis la moindre pensé et le moindre ressentie de Theorem à sa reine. Chess était sournois et il était aussi un fragment de la folie de liddell qui c'était matérialisé, un être sinistre, constamment dans l'ombre mais qui était capable de sonder l'esprit, l’âme et le cœur des gens d'une manière des plus glaciale.
Liddell pouvait donc pré-sentir par le biais de Chess que ce jeune homme avait aussi des goûts particuliers  ainsi qu'une forte proportions à la soumission… Oui… Il était le jouer parfait. Et alors que Liddell continuait de le regarder avec insistance, la jeune reine vint à lui dire sur un ton toujours aussi « gentillet » un ordre qu'il n'avait pas interret de refuser…

« Viens… Approche un peu plus… Et agenouille toi devant moi… Ihihihi… Sale petite pédale. »

Lentement, d'un geste gracile et très féminin, la jeune reine vint à ôter l'une de ses ballerines, mettant alors à nue l'un de ses jolies petits petons enveloppé dans un collant de résille noir outrageusement sexy.

« Aller… Ihihihi… Nettoie moi le pied… »

Du regard de liddell transparaissait une folie sombre et sincère et ce petit échauffement n'était pas un test… Au moment même ou Theorem avait franchie les portes du palais… Il c'était condamné lui même à la servir… Elle et tout son entourage. Dans un coins de la pièce, les deux servantes régulières de Liddell regardait la scène d'un œil gêner, apeuré et un brin triste pour lui… Car elle savait que Theorem n'allait pas avoir droit au même « lots » qu'elles.

Alice avait visiblement la possibilité de lire dans l'esprit de certains. Mais Theorem avait un peu l'habitude de n'avoir pas de secret pour les autres. Il stockait ses pensées les plus néfastes dans sa partie bestiale qui, pour le moment, était bien rassasiée de tout le sperme qui se trouvait dans son estomac en ce moment. La hyène put voir sans mal la dictatrice retirer une chaussure et afficher son pied engoncé dans un filet noir, aux ongles vernis de cette même noirceur et une bague à son gros orteil. Un pied de maîtresse, sans nul doute, comme il en avait déjà lécher. Il s'abaissa doucement et, une fois à quatre pattes, il prit doucement ce pied dans ses mains, avec une certaine délicatesse toute religieuse et fit une douce bise sur ce membre un peu froid. Puis la Hyène sourit, la pénombre ambiante sur son visage ne dissimula pas un sourire presque démoniaque en sentant l'odeur de ce pied qu'il tenait dans sa main. Sueur, transpiration... Voila qui réveilla ses bas instincts alors qu'il lâcha un petit rire de hyène excitée.

"Vous avez beaucoup sué aujourd'hui dans vos chaussures..."

Dit-il avant de déployer sa langue de protèle qui glissa sur ce pied gainé de résille, glissant sur le dessus puis sur la plante en faisant quand même attention de ne pas trop glisser sur la voûte de ces dernier (ce qui aurait chatouillé Alice). Puis doucement, il prit un ou deux orteils en bouche et les suçant doucement, passant sa langue sur le pied de la chef par moment ou se glissant difficilement entre les orteils de cette dernière. Theorem n'était pas à son premier pied léché, il avait été dressé à y prendre goût. Et il savourait ce moment d'abandon, ses yeux formant comme des petits coeurs dans ses pupilles. Il adorait ça et ne s'en cacha pas alors qu'il suçait ses orteils avec envie et dévotion. Des soumis comme ça, Alice devait en avoir vu très peu ! Il faisait du zèle dans sa soumission et semblait avoir une part très sombre...

Avec toujours la même dévotions, le jeune éphèbe fini par s'approcher de Liddell avant de délicatement ce saisir du petit pied doux et délicat de la Führer. Cette derniere avait entre temps porter son index droit à sa bouche, mordillant légèrement ce dernier en regardant le jeune homme avec toujours le même regard suintant de folie. La jeune reine ce tenait bien au fin de son siège d'ossement, droite, son bras gauche parallèle à l'accoudoir, tendis que le droit soutenait le bras de la jeune femme. Elle le haïssait… Elle voulait lui faire mal… Liddell était vide de toute émotions, certes, mais le fais de faire souffrir les gens plus faible qu'elle lui procurait une intense satisfaction à un telle point que, lors des séances de torture dites « récréative » Liddell en venait parfois a jouir, sans même avoir besoin de ce toucher. Elle aimait la souffrance, elle aimait voir la douleur déformer le visage d'une femme, l'odeur ferreuse du sang, le bruit dégueulasse des boyaux qui glisse entre ses mains gantées de latex et le son atroce des os qui ce brise, le goût suave de la chair humaine, et les cris des enfants… Elle était tout bonnement monstrueuse, sinistre, cruelle et sans aucune pitié… La torture était un jeu pour elle et elle savait y faire pour garder des gens en vies.

Mais avec lui… Liddell comptait faire durer le plaisir de manière plus… Subtile. Elle pouvait sentir au fond de cette petite pute un profond désir de souffrance et de Masochisme et une soumission absolument divine, chose qui était entrain de ce vérifier une nouvelle fois ici, alors que cette sombre petite pédale était une nouvelle fois à genoux.

« Hoooou ! Ihihihi ! »

Liddell vint à légèrement frémir au contact de la langue de son nouvelle esclave avant de finalement soupirer en sentant ce dernier lui gober deux orteils. Deux orteil qu'il suça d'ailleurs amoureusement en ne quittant pas la reine des yeux, une chose risquée qui… Et bien qui sans le savoir aller lui coûter un autre petit « service » un peu plus tard. Avec lui, Liddell n'allait pas être douce, elle ne comptait pas faire usage de torture trop « violente » ooooh non ! Avec lui, elle aller être plus insidieuse et vicelarde, appliquant sur son corps mainte sévisse très douloureux mais non mortel comme… Les tortures génitale, les pénétration anal à l'aide d'objet plus ou moins tordus, faire usage du feu, du fer chaud, de petit objets tranchant, des fouets et… La liste allait être longue, sans parler des humiliations et autre gentilles petites attentions. Alice comptait lui faire du mal… Elle voulait qu'il ais mal… Terriblement mal… Quitte à ce que ce dernier y prenne goût.

Lentement, en ne quittant pas ce jeune et frêle petit terranide des yeux, Liddell vint à ôter son autre ballerine, allant ensuite faire frotter cet autre peton sur le visage de Theorem.

« Tu m’appellera « Meister »… Et toi… Toi tu sera mon insipide petite chienne, ma fiotte, ma pédale Mein Schwulah ! Mein… Teil… NyhihihihhahahhahHAHHAHAHA !!! »

Sur ce, la jeune reine vint à attraper une mèche de cheveux à theorem avec son pied libre, le forçant ainsi à ce baisser un peu plus.

« Continue… Monte plus haut… Vas y… Je te l'ordonne ! »

Derrière Theorem, Marta ce tenais droite, les mains jointe derrière le dos, les jambes parallèle et… La verge au taquet ! Ce genre de moment avait toujours le dont de la faire bander à mort, mais elle savait que Liddell n'était pas partageuse dans ce genre de moment… Plus tard, peut être… Mais pas là.


* Shwulah peut ce traduire par "pédale" en allemand.