Mithra avait pris pour habitude, lors de ses trophées de guerre, de sodomiser ses victimes. On avait beau dire tout ce qu’on voulait dire sur la légendaire honorabilité des elfes, sur leur sens des valeurs, face à la sauvagerie de la guerre, on était tous des bêtes… Et c’était encore plus vrai pour des Bas-Elfes. Régulièrement, une punition infligée aux humains était de les sodomiser. Mithra n’était pas une bonne personne. Elle avait du sang sur les mains, mais avait aussi torturé… Et avec plaisir. Elle n’éprouvait aucun regret à l’idée des culs qu’elle avait sodomisé. La cible classique était les femmes elfiques surprises à avoir couché avec des « dh’oines », que ce soit par amour ou par intérêt. On les fouettait, on les attachait, et on les baisait. Mithra avait donc déjà défoncé bien des culs, mais tout ce qu’elle avait fait… Ce n’était que du pipi de chat par rapport à ce qu’elle faisait en ce moment avec Myala. Elle n’avait jamais défoncé avec une telle force le cul de personne. Jamais ! La manière dont Mithra s’enfonçait en elle, lourdement, longuement, profondément, c’était… Ah, c’était indescriptible ! Ça, et le plaisir furieux et intense qu’elle éprouvait à l’idée de le faire. Oui, oui, Mithra était tout simplement en train de se régaler ! Chacun des hurlements de Myala remplissait ses oreilles. Si elle avait pensé prendre son pied en baisant l’autre salope, elle découvrait aussi une joie supérieure, supérieure à tout ce qu’elle aurait jamais pu espérer venant d’actes aussi triviaux !
L’archère humaine était donc en train de lui défoncer méchamment le cul, sans aucune douceur. Elle sentait toute la soif de Myala dans les coups de reins qu’elle donnait, toute son envie de se faire exploser le cul, et cette envie était également présente chez Mithra… Et encore, « très présente » relevait de l’euphémisme. C’était simple à comprendre ; Mithra avait le sentiment de n’avoir eu qu’une seule envie dans toute sa chienne de vie : baiser Myala. La contenter, la faire plaisir, la… La servir, et ce peu importe ce que cette magnifique et envoûtante sorcière lui dirait. Myala pourrait lui dire de se tuer qu’elle le ferait sans aucune hésitation pour elle. Elle n’avait jamais baisé quelqu’un avec tant de force, avec tant d’intensité, et, surtout, avec l’envie de vraiment satisfaire l’autre. Oui, elle ne voulait pas juste jouir dans le cul de Myala (car il était acquis qu’elle jouirait), elle voulait surtout la faire jouir, elle.
En conséquence, ses mains se crispaient sur ses fesses, les griffant, les giflant même, mais sa bite, elle, continuait à remuer. À force, ses bourses claquaient contre sa peau sombre et tendre, et elle pouvait entendre la Sorcière de Taharqa hurler, encore et encore, hurler à en réveiller les morts… Et Mithra aussi hurlait, car ce trou était étroit, et son sexe était terriblement endolori, mais cette douleur, loin de la stopper, ne faisait au contraire que l’exciter davantage, ne contribuant qu’à l’encourager à baiser cette femme de long, en large, et en travers.
« HAAAAAAAAAAAAAAAAA-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA… HAAAAAAAANNNN… MY-MYAAAALLLLAAAAAHHHAAAAANNNNNNN !! »
Les cris de Mithra se perdaient dans de longs soupirs sans fin, et, sans relâche, son corps continuait à remuer, à la prendre, se tortillant dans son dos. Elle la baisait si fort qu’elle amenait même le corps ample et chaud de la Sorcière à se tendre vers l’avant, son sexe, gros comme une matraque, venant caresser le sol. Elle la baisait comme une hyène en chaleur, le claquement de leurs chairs provoquant des bruits écœurants. De même, une odeur de sueur s’échappait de leurs corps, formant comme un doux cocon qui les retenait et les liait. Mithra se donnait à fond, sans tenir compte du temps qui défilait, uniquement motivée par un désir qui la transcendait, une force qui la dépassait totalement… Et elle continuait à claquer ce cul, à respirer bruyamment. La fatigue tendait chacun de ses muscles, mais le plaisir, le plaisir était là, et il était si fort, si fort… Si fort que la femme ne voyait tout simplement pas comment le repousser.
Le temps continuait à défiler, encore et encore, alors qu’elles continuaient à se faire l’amour avec une force incroyable. C’était brutal, tout simplement, et, si ça avait été une autre personne que Myala, que son amour, que sa Reine, cette personne aurait très certainement hurlé au viol, tant la manière dont elle se faisait défoncer était douloureuse. Mithra ne cherchait pas à la ménager, sûrement pas, et elle retirait parfois presque tout son sexe pour mieux l’enfoncer, d’un coup sec et douloureux, Myala elle-même finissant par accompagner ses mouvements. Et, tandis que les deux femmes baisaient, Mithra, elle, pouvait sentir toute la frustration de la Sorcière, toute son impatience, tout son désir de se faire prendre, un désir latent et persistant depuis des éons.
*Quelle fierté de pouvoir enfin la combler, de soulager cette Reine parmi les Reines…*
Mithra continuait à la prendre, encore et encore, jusqu’à ce que… Et bien, jusqu’à ce qu’elle jouisse. Et, bon sang, cet orgasme fut comme si la marée avait dévasté le barrage, les digues, et toute forme de structure susceptible de retenir le courant. Elle était comme une passagère sur un frêle esquif qui était en train d’être remuée dans tous les sens par une marée folle.
« Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… !! »
Pendant toute la durée de son orgasme, Mitrha gémit, le corps tendu vers l’arrière, ses mains plantées dans la chair tendre de son amante. Elle se vidait en elle, balançant un nombre incroyable de giclées de foutre en elle, trop pour le corps de Myala, dont le ventre se mit à s’arrondir, son estomac poussant… Et elle aussi se mit à jouir, généreusement, et, quand elles en eurent terminé, et que Mithra se retira, la belle était en sueur, respirant lourdement, son membre érectile délicatement dressé vers le plafond, recouvert de sperme… Et elle baissa alors la tête, en sentant une flaque de foutre venir titiller ses doigts de pied. Un délicat sourire orna alors ses lèvres, en constatant qu’il s’agissait du foutre de Myala, et que cette dernière venait de se coucher sur le dos, se tournant vers elle.
Sans rien dire, Mithra observait cette nymphe, jambes légèrement écartées. Le sexe de Mithra avait bien dégonflé, mais restait encore légèrement dressé… Et, quand elle vit la Sorcière attraper le sperme pour le mettre sur son corps, se le tartinant sur le corps, elle ne put que se mordiller les lèvres. Ce spectacle était… Fascinant. Le souffle rauque, elle observa sa belle sorcière se le mettre sur le corps. Elle le tenait entre ses doigts, et les ouvrait, faisant tomber ce dernier, poignée par poignée, sur son ventre, ses seins, et sur son sexe. Mithra ne put que déglutir, frissonnant sur place, les yeux légèrement écarquillés, comme si elle observait son idole en train d’émerger de son cercle d’invocation.
Elle invita ensuite Mithra à venir le lécher, et cette dernière se mit alors à genoux, ses mollets baignant dans cette mare blanche. L’odeur de foutre lui montait dans les narines, une odeur qu’elle trouvait habituellement insupportable, mais qui, ici, était exquise. Ses mains se crispèrent sur les genoux de la femme, et elle les écarta un peu, voyant son sexe, puis se pencha en avant. Elle le suça alors, le léchant comme une glace.
« Hum… Hummm… »
C’était bon, si bon, et elle continuait à glisser sur cette tender peau. Elle la suça bien pendant une ou deux bonnes minutes, multipliant les gorges profondes, puis lécha ensuite ses testicules, longuement, les suçant également, frénétique et fiévreuse. Mithra se redressa ensuite, et embrassa son estomac, puis lécha longuement sa peau.
« Je… Je vous aime, ma Reine… Hum… Je vous aime tant, ma Sorcière, haaaa… »
Rien qu’à la lécher, et à goûter son sperme, elle sentait sa trique revenir. Une érection féroce, comme si le foutre de Myala était aphrodisiaque… Ou peut-être était-ce juste ce trop-plein d’amour pour elle ? Après tout, pour s’en convaincre, il suffisait de la regarder.
Myala était tout simplement magnifique.