IL ne remarqua pas qu'à nouveau, elle lui avait désobéi.. ne lui avait-il pas ordonné de se fister ? C'est en regardant la vidéo pendant de lcours de japonais qu'il s'était rendu compte de ça, et comme une punition, il avait pouss au maximum les vibrations de l'oeuf resté dans son rectum toute l'aprs midi, histoire d ela laisser pantelante, et avec un peu de chance, qu'elle se retrouve avec la jupe mouillée… il la punirait ce soir. Il lui sourit néanmoins, comme si de rien n'était le soir même à la fin des cours et il griffonna son adresse sur un morceau de papier qu'il lui tendit.
« Rentre chez toi, mets dans un sac tes affaires pour demain et va à cette adresse, n'oubie ni laisse, ni collier, et laisse l'oeuf dans ton cul, il aime bien y être j'en suis sur. Pour venir chez moi tu te mettras nue sous un grand manteau… je t'enverrai un sms ou tu devras faire un selfie de preuve sur le trajet. Compris ? J'ai encore quelques petites choses à faire avant cela. Rendez-vous à 19h00 chez moi et sois bien propre… pense à bien t'épiler aussi. Et rappelle-toi ue tu ne rentreras pas chez toi avant demain… donc pense à laisser un mot pour ta logeuse…. À moins que tu ne souhaites qu'elle vienne faire une partie à 3, mais j'en doute fortement... »
Il la congédia d'un geste de la main et rentra chez lui. Là il mit tout en place, envoya ses domestiques faire des courses pour des jouets et de l'alimentation et, à sept heures moins quart, elle devrait être en train de faire le traje pour venir, alors il lui envoya ledit texto, il voulait la preuve qu'elle était bien nue… qu'elle avait deux minutes montre en main pour envoyer une poto comme preuve, avant de finalement sourire et mettre e,n place les affaires.
Là où il avait de la chance c'était que juste à côté de chez lui, il y avait une grange, qui lui appartenait aussi. Ils joueraient là bas et sans doute aussi dehors, à n'en pas douter et comme pour la presser, il se mit à faire sur la télécommande des varations de puisse de vibration : toutou rien, zéro à dix d'un coup et puis plus rien, sur un rythme aléatoire. Ila ttenit qu'elle sonne à la porte pour la faire entrer. La maison avait un intérieur sur les tons d'un bleu clair avec des traces de bon nombre de nuances de bleu. Peu de meubles. Il lui lança à peine un regard, ferma la porte derrière elle et lui ordonna d'accrocher son manteau sur le portemanteau et de le suivre.
Il la fit passer par la cour arrière jusqu'à atteindre, au milieu de celle-ci, un portique. Alors il lui expliqua ce qu'il comptait faire, pour lui permettre d'en frémir d'avance….
« Bon, mon petit sac à foutre, voilà comment va se passer ta punition, tu vas prendre les pinces qui sontur la table. Il y en a trois. Deux avec des poids et je peux que tu les places sur tes tétons, puis que tu places l'autre, celle qui a une laisse, sur ton clitoris. Ensuite, je vais t'attacher les poigenst au portique. TU ne rouchera le sol que sur la pointe des pieds, dans le meilleur des cas et nous parlerons de ta punition. Quand tu seras prête, tends tes poignets au dessus de ta tête, que je les attache. Je pense que tu mérites la cravache ou le fist dans le derrière… je suis encore en train d'hsiter… d'ailleurs... »
Sans rien dire il enfonça deux doigts dans son anus pour tirer à lui l'oeuf.
« T'es tu lavée là dedans aussi ? »