Le Grand Jeu
Ville de Seikusu, Kyoto, Japon, Terre => Complexe d'études secondaires et supérieures => Salles de cours et bibliothèque => Discussion démarrée par: Lucia le mardi 28 avril 2015, 20:57:25
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C'était la fin du dernier cour de la journée, Lucia rangeait son matériel de classe dans son sac en soupirant, la journée était finie et rien ne s'était passé. C'était très bien comme ça. Enfin, elle se serait bien passée jusqu'à la fin, si ces trois élèves imbéciles et faibles d'esprits n'étaient pas venus à l'instant pour importuner Lucia.
Haha ! Comment va notre Yukio-Ona favorite ? Elle s'est bien remise de sa baignade ?
Lucia serra les poings. Elle commençait à en avoir marre de ces trois là.
Laissez-moi tranquille. Vous arrivez pas à vous séparer les uns des autres ou quoi ?
Comment t'as fait pour pas te noyer la dernière fois ? C'est ton petit Ryujin qui t'a sauvé si je me souviens bien, non ?
Alors viens pas nous parler de pas réussir à nous séparer !
Cette fois c'était trop. Lucia essaya de partir, mais les trois l'empêchaient de s'échapper. ils s'étaient mis en triangle autour d'elle et la bousculaient à tour de rôle. La violence des bousculades lui faisaient mal, mais elle ne disait rien. Pas question de leur faire plaisir.
Bah alors ? Il vient pas t'aider le Ryujin ? Il t'abandonne ?
On dirait que ton chéri n'est pas là pour te venir en aide cette fois !
Les trois élèves riaient tout en la malmenant, c'est vrai que Ryujin ne pouvait pas toujours l'aider, après tout, elle devait savoir se débrouiller, mais elle était trop fragile pour ça. Pour l'instant, elle était seule, et ce n'était pas prêt de changer, du moins elle le pensait. Lucia commençait à avoir la nausée, il fallait qu'ils arrêtent, vite, quelqu'un...
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Cela faisait uen petite semaine qu'il avait offert ses prremiers pplaisirs de la chair à l'humaine du nom de Lucia. Le regrettait-il ? Non plus ! Il avait même remis le couvert plusieurs fois, et ça c'était bien passé ! Il souriait à cette pensée alors qu'il rangeait quelques affaires dans son casier. Depuis qu'il avait plongé ainsi et nagé plus que vite, on lui avait un brin foutu la paix, sauf quand il s'agissait de jouer les pètes burnes avec ces histoires de couple qui n'existaient pas. Il ferma son casier et s'apprêtait à partir quand des voix lui parvinrent…
C'était apparemment Lucia qui était dans la panade. Il se dirigea vers les bruits pour voir ce qui se passait ; Il leva les yeux au ciel ; Encore eux ? Ils n'avaient pas marre de toujours revenir sur elle ? Ils la lachaient un peu depuis le début de la semaine. Il s'approcha et écouta. Ce n'était pas méchant mais il ne voulait pas que cela dégénère… il s'approcha du premier et lui mit un bon coup de pied au derrière, lmoin d'être doux, sufisamment pour que les deux autres fassent les guignols avant de se décider à raccompagner leur pote chez lui. Il sourit à Lucia.
« Ça va ? Pas de problème ? Quel bande de petits cons…
Amuant d'entendre ça dans la bouche d'un lycéen de leur âge, non, mais là ce n'tait pas l'avis du gamin mais d'une entité plurimillénaire… et là, par contre cela prenait tout son sens. Ils n'étaient jamais que des fourmis en comparaison. Il soupira et lui posa la main sur l'épaule en lui lançant sur un ton concerné.
« Est-ce que tu veux que je te racomp…. »
Il fut interrompu par quelqu'un qui, derrière lui, applaudissait à un rythme trop lent pour que ce soit bien aimable. Il se retourna, un jeune garçon, lui ressemblant beaucoup à l'exception de la couleur des cheveux et des yeux. Mais il avait aussi une moue partiluièrement méprisante sur les lèvres.
« A ce que je vois on prend soin de ses toutous de compagnie ! »
Ryujin ne répondit pas et se détourna en se disant que mieux valait ignorer cet idiot, uen divinité marine lui aussi, mais bien trop indépendante pour accepter le règne de ryu. Finalement il fit les présentation.
« Voilà un membre de la famile, le mouton noir… Hiro… ignore le... »
Il y eut un petit plop et celuic-i se matérialisa dans le dos de la jeune femme pour la palper rapidement.
« Pas si mal… mais elle obéit bien au moins ? Montre… sinon, tu sais que j'aurai envie de la récupérer pour moi ? »
Ryujin regarda Lucia et à contre coeur, lui lança.
« Servante ! Prosterne-toi devant un dieu... »
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Une fois de plus, Ryujin vint au secours de Lucia, ce dieu était vraiment très doué quand il fallait aider son prochain visiblement.
Oui, oui, ça va...
Lucia avait des bleus sur les bras et les épaules, elle avait mal, mais elle était contente que ce soit fini. Ryujin allait lui demander si il fallait qu'il la raccompagne, mais il fut coupé par des applaudissements. Les deux amis virent un homme ressemblant à Ryujin à quelques différences prêt, il n'avait pas l'air amical, ça non. Ryujin fit les présentations, visiblement, ce n'était pas du tout quelqu'un de fréquentable. Hiro, c'était son nom. Ce dieu se matérialisa dans le dos de Lucia et la palpa. Ayant compris que c'était lui aussi un dieu, elle se laissa faire, pour ne pas éveiller de soupçons. Le mauvais dieu demanda si Lucia obéissait. A ce moment, Ryujin ordonna à son esclave temporaire de se prosterner.
Se demandant si elle était forcée, la jeune fille lu dans les pensées de Ryu, ils avaient conclu ça quelques jours auparavant: si un dieu venait à les déranger, Lucia avait le droit de regarder ce à quoi pense le dieu pour savoir ce qu'elle devait faire. Ce dernier ne rigolait pas.
Oui, maître.
Et elle se prosterna devant Ryujin. Elle espérait ne pas avoir à faire plus./i]
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Ryujin connaissait Hiro, il ne s'arrêterait pass avant d'avoir vu la totale. Tyujin devait donc offrir la total à Hiro, comme pour prouver qu'il était parfaitement maïtre de lucia. Elle lui en voudraitb sans doute, il n'e doutait pas un seul instant, mais après cela elle aurait la paix. Ou du moins l'espérait-il. Comme s'il savait précisément quoi faire alors qu'elle se protesrnait, à la japonaise. Il sourit et lui flatta la croupe, passant directement au contact avec la peau, sans gêne, sans aucune pudeur, ni envers Hiro ni envers elle.
« Oh, à ce que je vois, ta petite chienne est plutôt bien dressée, mais tu ne penses pas qu'elle avait fait une erreur ? »
Tryujin se maudit intérieurement ; Il n'y avait pas un mais deux dieux ici, et c'était aux deux qu'elle devait s'adresser en se prosternant pas juste à lui… et il en était désolé pour elle. Il lui mit une fessée comme punition sommaire. Pas trop fort, juste assez pour que le bruit fasse bien vrai. IL sourit et regarda la jeune femme agenouillée à ses pieds. Puis il lui sourit et lui indiqua l'autre dieu.
« Tu oublies que je ne suis pas le seul dieu ici… prosterne toi pour lui, ma petite chienne Lucia, sinon tu seras punie. »
Menace qu'il serait obligé de mettre à excution si Hiro restait, d'ailleurs, celui-ci, ravi du spectacle semblait décidé à en remettre une couche quant à l'humiliation de Lucia et uil ne put s'empêcher d'en dire un peu trop.
« Et elle aime bien ce que tu lui fais ? Elle lèche bien tout ? Elle avale tout ? Et elle se dbrouille bien pour le reste ? »
Détaché pour tenter de cacher sa colère grandissante, Ryujin répondi, un rien désolé pour la jeune femme et ce qu'elle subissait, continuant de lui caresser les fesses, glissant aussi ses doigts contre son intimité. Qu'elle reste inclinée ainsi, elle pouvait cacher son mécontentement.
« Oh tu sais, quand je l'ai eue elle était débutante… elle a encore à apprendre, mais elle se comporte déjà assez facilement comme une petite chienne en chaleur… ce doit être sa nature... elle a du potentiel ! »
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Ryujin caressait Lucia, elle appréciait, mais en même temps, la présence d'Hiro la dégoutait. Comment ça, Lucia avait oublié qu'il n'y avait pas qu'un dieu ? Elle le savait ! On lui avait juste demandé de se prosterner devant UN dieu ! Ryujin fut forcé de fesser Lucia, ça la fit mouiller. Son "maître" n'avait pas tapé fort, mais elle se sentait comme coupable, prenait-elle son rôle au sérieux ? Sûrement, il fallait que ce soit le plus vrai possible après tout ! On la traitait de chienne, mais Lucia ne rainait pas.
Ryujin menaça de punir Lucia si elle ne se prosternait pas devant Hiro. Vite, elle s'exécuta. Puis le mauvais dieu demanda si elle aimait, si elle avalait, si elle se débrouillait bien. La jeune fille serra les dents, elle n'aimait pas cette situation, devoir se donner en spectacle devant deux dieux, pour certains ce serait un honneur, pour d'autres, c'est un vrai calvaire.
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Un détail le perturba un rien pendant cette cionversation… en passant sur ses lèvres intimes, il se rendit compte… il se rendit compte qu'elle mouillait ! Il n'en revenait pas ! Aimait-elle vraiment être traotée comme une chienne ? Il fallait croire que si… c'était la seule hose à alquelle il s'attendait de a part ! Comme pour s'assurer de ce qui se passait, il lui en mit une, un rien plus forte avant de glisser ses doigts en elle pour vérifier de nouveau, curieux, voir si elle mouillait davantage tout en continuant de tenir une forme de conversation avec son homologuie divin. Il le regarda droit dans les yeux alors que celui-ci continuait à rabaisser Lucia.
« Oui, j'imagine très bien la situation, elle qui te supplie, comme une chienne en chaleur, de pouvoir recevoir chaque giclée dans sa bouche ou sur sa petite gueule de putain bien dressée... »
Ryujin se leva et saisit Hiro par le col avant de grogner, un grognement qui n'avait rien d'humain.
« Cessons là ce jeu, je dresse mes servantes comme je veux, je n'ai pas de compte à rendre et si jamais tu veux remettre les pieds dans mon eau, fout le camp ! »
Il lui mit son poing dans la figure et il vola contre le mur, à trois ou qautre mètres de là, amais avant de le toucher, il disparut dans un nouveau plop. Il sourit et regarda la jeune femme et lui sourit alors qu'il lui faisait signe de se relever. Il avait le geste sec et l'expression assez dure, mine de rien.
« C'est peut être ce que je devrai faire de toi ! Une chienne. Ma chienne… il suffit de voir que tu mouillais quand on parlait de toi ainsi pour comprendre que tu aimais entendre ça, être traitée ainsi... »
Il avait eu la parole sèche et sans doute un peu trop dure, mai si ça lui plaisait, autan rester dans le rôle du maître sévère...
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Lucia frémit à la seconde fessée, elle mouillait encore un peu plus. La jeune fille rougi, elle était effectivement excitée par son état de soumise, ça lui plaisait beaucoup, elle même le découvrait. Elle fut en revanche très contente de voir que Ryujin prenait enfin sa défense et donna un bon coup à Hiro ! C'était bon de savoir que ça allait enfin finir. Enfin, Ryu lui fit signe de se relever, c'était étrange, lui qui était si gentil avait l'air de s'être durci. Lucia exécuta l'ordre de son ami et se leva. Après, il fit une réflexion qui surprit Lucia, elle ne le pensait pas capable de dire ça un jour ! Mais de toutes façons, elle était plus faible que lui, si elle résistait, elle n'aurait aucune chance, puis elle aimerait bien voir jusqu'où ils pouvaient aller.
Comme vous voulez, maître.
En revanche, elle espérait pouvoir aller chez Ryujin pour faire ça, histoire de voir son domicile, et puis, ce serait mieux que dans ce lycée, honnêtement. Tout le monde pouvait ouvrir la porte et les trouver, après tout !
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IL souriait. Elle était mouillée, elle aimait donc bel et bein être traitée de cette manière, non ? Dites lui qu'il se trompe ! Silence radio ? Il sourit et lui flatta la croupe avant de finalement lui sourire et lui tapoter la tête. Il lui fit un petit signe de tête approbateur. Preuve qu'elle se comportait comme il voulait qu'elle se comporte. IL lui sourit, lui flatta la cuisse ensuite avant de finalement prendre la parole sur un ton doux mais ferme.
« Oui, c'est exact, comme je le veux… tu as déjà pris un très bon réflexe avec le « maître » en fin de phrase, c'est bien, je suis satisfait de ta prestation. »
Il lui sourit et lui fit signe de le suivre et, sans se retourner pour vérifier si elle suivait. IL savait qu'elle le suivrait. Aucun doute là dessus. Et vous savez pourquoi ? Parce qu'elle était sa servate et si elle tenait à sa tranquilité vis à vis des autres, elle obéirait sans broncher et il l'humilierait. Elle en aurait honte, peut-être, mais elle adorerait ça, elle se sentirait souillée, mais elle en redemanderait,et encore, et encore.
« Désormais, quand nous serons seuls ton nom sera Chienne Lucia. Compris ? »
Il se tourna vers elle pour lui sourire et contnua son chemin jusqu'à atteindre les toilettes. Il la fit entrer dans les toilettes des hommes avant de verrouiler derrière lui. Ils seraient tranquilles pour une heure, normalement. Ce devrait être largement bon pour mettre tout en place. Il lui sourit et glissa ses doigts contre ses lèvres jusqu ce qu'elle les prenne en bouche et les suce pendant quelques instants, qu'elle garde le silence quand il parla.
« Voilà comment ça va se passer. Tu vas me sucer en gorges profondes bien sur, histoire que tu continues à t'entrainer, àtoi de te charger de tout, puis tu avaleras tout mon foutre avant de t'en aller, en rentrant chez toi, tu achèteras en animalerie un collier pour chien en cuir et une laisse pour aller avec. Tu les emporteras toujours au fond de ton sac pour que l'on puisse jouer tous les deux. Les sous-vêtements te sont désormais interdits et tu remplaceras le short par la jupe de l'uniforme traditionnel. Sommes nous d'accord ? »
Il n'attendit pas de réponse. Pour lui, ça valait accord d'avance.
« Tu trouveras dans ton casier demain latin un sex-toy, je te laisse la surprise de quel genre il s'agit et tu iras le mettre aux toilettes tout de suite après l'acoir récupéré. T te prendras en photo avec ton portable et tu me l'enverras dans la foulée. Dès que je te réclamerai tu viendras. Tu comprendras ça demain ! Allez, au travail ! »
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Merci, maître..
Lucia suivit Ryujin, comme ça lui avait été ordonné. Désormais, lorsqu'ils étaient seuls, son nom serait Chienne Lucia, c'est bien ça ? Qu'à cela ne tienne. Lucia hocha la tête. Son maître l'emmena dans les toilettes des hommes et fit en sorte que Lucia suce ses doigts, elle le faisait volontiers. Elle devra donc sucer Ryujin en gorge profonde, d'accord. Ce dernier lui dit aussi qu'après ça, elle irait acheter un collier et une laisse pour chien, soit. Maintenant, elle ne devait plus porter de sous vêtements, et elle devait mettre la jupe de l'uniforme à la place de son short. Elle le ferait, bien sûr, mais ce qui la gênait était l'absence de sous vêtements, Lucia ne serait pas à l'aise, tant pis pour elle, son maître l'avait décidé et elle n'avait pas à protester. Demain grec (oui parce que t'as marqué latin au lieu de matin donc je blague un peu !), elle trouvera un sextoy dans son casier, elle devra aller aux toilettes pour le mettre, et envoyer la photo à son maître.
Bien, maître.
Lucia s'agenouilla devant le dieu et déboutonna le pantalon de ce dernier, pour en sortir la verge. Elle la lécha quelques temps avant d'ouvrir grand la bouche et d'y rentrer l'énorme organe de son maître. Cette situation lui plaisait, sûrement était-ce le cas pour lui aussi. Elle commença à bouger la tête de sorte à ce que la verge aille de plus en plus profondément dans sa gorge. C'était étouffant, comme la première fois, mais elle continuait, jusqu'à l'éjaculation de son maître. Le sperme manqua de l'étouffer, mais elle réussit à avaler, en toussant. Maintenant elle devait partir, comme ça lui était ordonné.
Avant de rentrer chez elle, Lucia passa par l'animalerie du coin pour acheter la laisse et le collier puis reparti chez son hôtesse, qui n'était bien sûr pas là, elle travaillait de nuit. Elle prépara son sac pour le lendemain, mettant son collier et sa laisse au fond de ce dernier. Elle prépara ses vêtements, comme elle avait l'habitude de le faire, c'était plus rapide, elle n'avait que sa jupe et sa chemise à préparer.
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Puisque tout tait clair, alors au travail. Restant debout, nonchalant, comme si de rien n’était, à côté d’elle alors qu’il avait terminé avec ses ordres. Il n’attendait plus qu’elle se mette à genoux, dans les toilettes au carrelage humide et rendu sale par le passage incessant des élèves et il la laissa faie, il laissa ouvrir le pantalon et prendre entre ses mains l’objet de ses désirs pour finalement le prendre en bouche. Toujours pareil, elle avait du mal à ouvrir assez la bouche pour qu’elle puisse le gobr mais une fois bien gobée elle se mit à sucer la verge, appliquée et assidue à ses leçons en la matière, elle semblait toujours prête à mieux faire et pendant qu’elle pratiquait sa fellation du mieux qu’elle pouvait, il l’invectivais en la rabaissant, l’humiliant… ele adorait ça, pas vrai ?
Finalement il jouit dans sa bouche, davantage, même il jouit sur son visage aussi, un peu et elle ne se fit pas prier pour avaler toute la semence, sans en laisser s’échapper la moindre goutte. Elle savait qu’elle aurait du lécher le sol si cela arrivait. Et nul doute que vu l’état du sol, ça ne le tentait pas plus que cela que de le lécher… il lui sourit et la félicita d‘une petite tape sur la tête, comme on l’aurait fait pour une petite chienne ou un petit animal de compagnie. Puis il la congédia.
« Bonne soirée petite chienne Lucia ! Et n’oublie pas mes ordres… »
Il lui sourit et éclata de rie alors qu’elle s’en n’allait, lui, il rentra directement chez lui où il envoya chercher par un de ses erviteurs, certains objets fort amusants… il sourit et attendit que le soir soit vraiment venu pour envoyer son petit message à l’attention de sa soumise du moment.
Bonsoir chienne Lucia. Je veux une photo visage+buste de toi, prise avec ton portable poittrine à l’air, collier bien mis et la laisse qui va avec qui pend entre tes seins tu as dix minutes sinon, tu seras punie. Ensuite, va te défoncer le vagin à grands coups de doigts et arrange toi pour pouvoir filmer ça que j’ai le film au plus tard demain dans mon casier. [//i]
Il donnait le ton avec ça. Il envoya sa domestique poser subrepticement une petite boite dans le casier de Lucia au lycée pendant la nuit. Une boite en carton recouverte de kraft et sur lequel était écrit : « N’ouvre le paquet que dans les toilettes ». Une fois le kraft enlevé elle aurait pu voir une boite d’un sextoy, un œuf vibrant encore neuf, assez gros pour a forcer à faire un effort pour qu’il ne glisse pas de ses cuisses, bref, obligée d’être forcée à serrer les cuisses, à muscler ses parois vaginales et donc de davantage sentir les vibrations quand il les activerait depuis la télécommande qu’il avait gardé avec lui. Un autre papier indiquait. « Quand tu auras reçu la consigne tu apprendras la suite. A tout à l’heure en cours, ma petite chienne Lucia. PS : pense à faire disparaitre l’emballage et les consignes. PPS : je ferai des contrôles imprévus quant à ta tenue. »
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Lucia venait de sortir de la douche lorsque son téléphone se mit à sonner, elle accouru pour le prendre et regarda son message, c'était Ryujin, de toutes façons, ça ne pouvait qu'être lui ou son hôtesse, elle n'avait que deux contacts sur son portable. Elle était tout de même heureuse que ce soit de lui. Bref, il voulait une photographie où l'on pouvait voir le visage, ainsi que le buste de Lucia qui porterait le collier autour du cou et la laisse entre les seins. La jeune soumise ferma la porte de sa chambre à clé, ouvrit son sac et prit les deux objets fraichement achetés. Elle s'attacha le collier et la laisse qu'elle laissa pendre entre ses deux seins et prit une photo comme ça avec son téléphone. Elle lui envoya immédiatement, maintenant, elle devait se filmer en train de se doigter. Elle prit son téléphone, activa la caméra de ce dernier et le bloqua de sorte à ce qu'il n'y ait qu'une vue sur son intimité qu'elle allait pénétrer à grand coups de doigts. Cela lui prit un certain temps, avant de jouir, mais elle le fit, devant l'appareil.
Pourvu qu'il ne veuille pas m'humilier au point de poster ça sur internet...
C'était effectivement ce qu'elle craignait. Elle arrêta la vidéo et l'enregistra sur une clé USB qu'elle mit dans son sac, avec le collier et la laisse. Lucia ne s'était pas rendue compte que le message mit trop longtemps à être envoyé, lui faisant dépasser son délai de dix minutes.
Le lendemain, Lucia commença par glisser la clé USB dans le casier de Ryujin, puis elle parti jusqu'au sien, posa ses livres et cahiers de l'après-midi et prit la boîte, alla dans les toilettes et l'ouvrit. Elle en sorti un œuf vibrant. Elle se l'enfonça dans son vagin et prit la photo et l'envoya à son maître, avec un petit message.
Voici, maître. Je vous remercie pour ce cadeau.
Elle mit la boîte dans la cuvette des toilettes et tira la chasse dans l'espoir de la faire disparaître au plus vite. L'oeuf glissa de son entrejambe. Elle l'y remit en poussant un petit gémissement et serra les jambes. La journée promettait d'être longue et excitante.
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Il n'avait pas répondu à sa photo, pas même un accusé de réception. Inutile. Elle était à ses ordres, pas le contraire. La eule chose qu'il lui promettait était du plaisir sexuel, rien de plus. IL sourit et regarda à nouveau la photo avant de partir vquaer à ses occupations, non sans la transfrer sur son ordinateur au préêtre une magnifique collection… il sourit et regarda le plafond alors qu'il fermait les yeux. Sonc orps mortel avait besoin de repos. Alors autant le laisser se reposer tout son saoul. Demain il y avait moult activités. Toutes plus amusantes les unes que les autres…
Le lendemain matin, il touva, comme promit, la clé usb dans son casier et la visionna rapidement sur son PC portable… il n'aima pas ce qu'il voyait… il grommela avant de finalement se dire qu'elle serait punie… il ne ouvait même pas s'assurer que c'était elle sur les images, à cause de l'agle de la caméra et du cadre… il leva les yeux au ciel et reçut le sms avec la photo, la petite lanière en boucle qui permettait de retirer l'objet dépassait de son intimité… elle avait obéit et aussitôt il mit en route les vibrations, niveau deux, très doux, très léger, il comptait le laisser actoiver toute la journée de cours, à elle de se débrouille…
et moi je ne te remercie pas pour la vidéo… tu vas me refaire ça ce midi, tu te démerde mais je veux qu'on y voit ton visage… comment m'assurer que sinon, tu n'es pas allée chercher une vidéo sur le net ?
IL n'ajouta rien de plus et se rendit en cours. Le plan de classe ne les laissait pas côte à côte, mais c'était plus drôle ainsi : elle, au premier rang, lui, deux rangs derrière et un sur le côté, il avait une jolie vue de sa situation… ce fut encore plus drôle quand le professeur d'histoire, Tanaka, l'interrogea et qu'il poussa les vibrations au maximum, alors qu'elle devait lire un texte… il le fut revenir à deux juste après, non sans un sourire… enfin, dix heures approchait, et avec cela, la pause d'un quart d'heure. La sonnerie avait à peine eu lieu qu'il la textait déjà pour la suite.
Alors, ça fait quel effet ? Tourne toi vers moi que je vois si tu pointes sous tes fringues, et ensuite, prouve moi que tu m'as obéi et que tu n'as pas de culotte.
Oui, le faire là, ici, alors qu'il y avait du monde, c'éait amusant… mais c'était tout l'intérêt de la situation, le plaisir de la transgression, non ? Il lui sourit alors,qu'elle le regarde u pas et renvoya dans la foulée.
Et comme ça, pendant que tu te doigtera devant un portable qui te filme, tu me suceras aussi. Le film ne sera que mieux, et ça fera office de déjeuner pour mon petit sac à foutre, n'est-ce pas ?
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Lorsque Lucia senti les vibrations en elle, elle sursauta. Elle n'y connaissait rien en sextoys mais elle venait de comprendre comment fonctionnait celui là. C'est donc les jambes serrées que Lucia marcha jusqu'à recevoir un message de Ryujin. Elle n'avait pas pensé à ce détail, c'est vrai. La vidéo ne montrait que son action. Elle se senti coupable, mais elle recommencera volontiers.
Excusez-moi, maître...
Lucia parti en cours, à sa place, elle serrait les jambes en tremblotant. Le professeur lui demanda de lire le document sur lequel les élèves travaillaient. Au moment où elle commença, elle lâcha un petit cri. Toute la classe riait. Lucia se sentait humiliée, mais elle reprit sa lecture. Elle était tremblante, elle mouillait.
Le cours était fini, les vibrations étaient redevenues plus douces. Soudain, Lucia reçut un message. Une fois de plus, c'était Ryujin, il demandait quel effet ça faisait, mais aussi qu'elle se tourne vers lui et qu'elle soulève sa jupe, devant tout le monde ! Lucia ne pouvait pas faire ça, il en était hors de question qu'elle fasse ça, quitte à se faire punir. Pas devant tout le monde, ça lui était vraiment impossible. Si quelqu'un en parlait avec sa logeuse, elle se ferait sévèrement réprimander, c'est impossible. Lucia se contenta donc de lui répondre.
C'est étrange, maître... Et je suis désolée, je ne vous prouverais pas ça devant tout le monde.
Lucia ne fit que se tourner pour montrer que ses tétons pointaient. Tant pis si elle devait se faire punir. Lucia reçut un second message. Elle allait se faire prendre en vidéo pendait qu'elle suçait son maître et qu'elle se doigtait. Soit, si c'est ce qu'il voulait.
Bien, maître.
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Il sourit et regarda la jeune feme qui avait refusé… il en était ravi. Oh, vous savez sans doute difficilement pourquoi ! Tout simplement parce qu'il était sur de pouvoir montrer son autorité. En effet il était aussi là pour ça, pour lui montrer qui était le maître qui était le chef… elle avait refusé d'obéir parce qu'il y avait trop de monde à son avis… il eut un petit sourire alors qu'elle avait dit cela, ou plutôt quil avait écrit cela. Il ut un regard un rien en biais. Elle avait exécuté out de même à moitié, c'était déjà ça.
Sii, tu vas le faire, et si tu ne le fais pas, je te jure que tu passeras toute la journée à couiner de plaisir à cause de l'oeuf… de plus si tu refuses, je t'ffiche publiquement. Tu es ma chienne et mon sac à fourtre alors tu obéis. Compris ? Tu ne voudrais pas me facher ;)
Oui, surtout qu'une simple photo prise à la r*dérobade aurait pu suffire… mais puisqu'elle ne voulait pas, soit !
Si tu ne veux toujours pas, je peux te romettre une chose : non seulement tu finiras plus humiliée que jamais, et ensuite je te jure que je t'offre en pâture pour un gang bang à des inconnus… si tu ne m'en crois pas capable, je préfère te préciser quece n'est pas difficile à organiser. Alors pupute va obéir, sinon, gare aux conséquences. Tru seras prévenue. Tu as jusqu'au retour du prof.
Les choses étaient aussi très claire aisi à elle de faire ses choix. Il ne povait pas les faire pour elle. Il avait choisi de jouer ainsi, parce qu'il le voulait, mais il ne tolèrerait aucune désobéissance sans punition. Et la punition serait à la hauteur de la désobéissance… il souritcomme si de rien n'était tout en envoyant par sms une nouvelle phras venant contredire la précédente.
Réflexion faite tu seras punie, je t'expliquerait tout ça se midi, sale chienne...
Nouveau sourire, le prof de math arrivait. E c'était partie pour deux heures de mathématique, deux longues heures où il passa plus de temps à jouer avec la télécommane, faisant sans cesse varier les vibrations pour qu'à la fin, sa jupse soit trempée tant elle aurait mouillée… elle supplierait de se soulager, car le gros avantae de ce petit bidule, c'était qu'il poussait au niveau de l'orgasme sans la laisser l'atteindre pour autant… Passant à côtéd'elle, il lui lança.
« Rendez vous dans les chiottes du troisième, dans la cabine handicapée, elle est assez grande pour jouer dedans. »
Il s'y rendit et l'attendit.
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Lucia se sentait mal d'avoir refusé quelque chose à son maître, elle ne voulait juste pas montrer devant tous les élèves qu'elle ne portait pas de culotte. La jeune fille n'avait pas pensé à prendre rapidement une photo. Selon le second message, elle allait se faire prendre par des inconnus, étant donné qu'elle n'avait pas obéi, elle était un peu effrayée car elle savait qu'il en était capable, après tout, c'était un dieu. Un troisième message arriva, elle sera punie à midi, elle préférait ça.
Le professeur de maths était arrivé. le cour commença et Ryujin s'amusa à varier les vibrations de l'oeuf. Lucia avait beaucoup de mal à retenir des gémissements, sa jupe était trempée, et on pouvait même voir de la cyprine couler le long de ses cuisses. La jeune fille avait les jambes serrées, elle ne devait pas faire tomber l’œuf pour ne pas éveiller de soupçons. Lucia ferma les yeux, en plein cours, le professeur ne prêtait pas attention à Lucia, il faisait cours pour ceux qui voulaient apprendre et tant qu'elle ne dérangerait pas la classe, elle n'aurait aucun problème. Lucia était à deux doigts de l'orgasme et pourtant, ça ne venait pas. Elle haletait, essayait de rester concentrée sur le cours mais c'était trop dur. Vivement la fin.
La sonnerie retentit. Ryujin donna rendez-vous à Lucia dans les toilettes pour handicapés du troisième étage. Elle y parti aussitôt, les jambes serrées, elle avait du mal à marcher comme ça, mais elle y arriverait.
Quelques longues minutes plus tard, c'était réussi. Lucia était dans les toilettes handicapé.
M-Me voilà, maître...
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Qund elle arriva devant lui, il la toisa d'un regard sombre et dur… méritait-elle le moindre intérêt ? Non, aucun, mais il s'était engagé à tourner ce petit film… il sourit et regarda la jeune femme, mais s'il souriait, son regard restait plus que froid. Il ne dit rien, et lui gifla le sein au travers du vêtement. Puis il lui releva la jupe et lui gifla l'intimité sèchement avant de finalement lui lancer, sur un ton un rien plein de ressentiment.
« Tu m'as déobéi et je ne tolère pas ça… tu es ma chienne, ma soumise, mon sac à foutre, ma petite pute personelle si je te dis de me prouver que tu n'as pas emportée de culotte ce matin sur toi, tu le fais et tu ne discutes pas… j'ai horreur que l'on discute mes ordres… si au moins tu avais une bonne raison… mais même pas, en fait tu es juste trop bête pouravoir penser à mettre ton portable sous ta jupe en prendre ta chatte en photo... »
Oui, il était excédé… complètement dépassé par cette odieuse dérobade. Il souffla un bon coup avant de reprendre sur un ton tranchant.
« Je vais attacher mon portable contre la porte avec du scotch. Fous toi à poil et mets ta laisse avec ton collier ! Tu vas te mettre dos à la caméra, à quatre pattes, et tu vas me sucer comme ça… qu'on voit bien comment tu suces, et qu'on vois bien comment tu te doigtes comme une salope. Ah et bien sur, tu peux commencer avec un seul doigt, mais tu as intérêt à finir avec au moins trois doigts… et vas y franco ! »
Il eut un petit sourire avant de conclure.
« Je vais mettre en route la caméra, prcise bien qui tu es et surtout ce que tu es… je te vien de te le dire, non ? »
Il sourit, ouvrit sa braguette, déboutonna le futa et laissa libre court à son anaconda et lui sourit avant de scotcher son iphone et lancer la caméra.
« Vas-y, c'est à toi ! »
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Lucia se laissait faire frapper. Elle gémit. Maintenant, elle devait se mettre nue et se présenter devant le portable de Ryujin.
Bien, maître.
Elle se déshabilla, déboutonnant sa chemise et baissant sa jupe. Elle ouvrit son sac et en sortit la laisse et le collier qu'elle s'attacha autour du cou. Elle se mit devant la caméra pour se présenter.
Je suis chienne Lucia, la soumise, le sac à foutre, la petite pute de maître Ryujin.
Une fois cela fait, Lucia se mit à quatre pattes devant Ryujin, elle montrait bien son postérieur au téléphone. Elle prit la verge de son maître à la bouche et porta trois doigts vers son intimité, n'ayant pas retiré l'oeuf de cet endroit. Elle commença à bouger la tête d'avant en arrière tout en se doigtant avec ses trois doigts en même temps, envisageant même d'y rentrer un quatrième doigt pour que son maître soit content d'elle. Elle suçait lentement, la verge n'était pas encore entrée dans la gorge de Lucia. Elle voulait jouir en même temps que son maître. L'esclave voulait même que Ryujin augmente les vibrations de l'oeuf. Elle avait faim.
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Il la regarda obéir sans broncher… il sourit et embrassa du regard la petite pièce, certes, il y avait mieux sans doute comme endroit pour le faire, mais ça ferait uen très belle sex tape, non ? Il sourit et regarda la jeune femme pour lui sourirre et l'encourager à agir alors que, nue, elle se présentait à la caméra, le collier autour de son cou, la laisse trainant au sol. Le sol n'était pas propre, mais il s'en foutait. Il saisit la laisse pour lui maintenirla tête sur la queue et voyant qu'elle y allait lentement, il ne put s'empêcher un commentaire.
« Pupute est bien peu douée aujourd'hui… gaffe ou tu vas avoir une nouvelle punition... »
Il lui sourit et commença à lui donner des coups de reins dans la bouche, histoire de rendre les choses un peu plus sportives, marce que si ça continuait comme ça… il sourit et regarda alors la jeune femme dans les yeux pendant qu'il sortait intégralement de sa bouche, frottant sa verge contre son visage. Il lui dit alors,s ur un ton amusé, voyant un peu la pénétration vaginale qu'elle se tapait grace à la caméra de son smartphone.
« Allez, je vais te laisser deux choix… soit tu retires l'oeuf et tu te l'enfonce dans le cul et tu continues comme ça pendant que j'augmente les vibrations… soit tu retires l'oeuf et tu te fist le derrière. Joli choix, non ? Allez, j'attends ton avis… et mets y un peu du tiens, pour ta pipe, sion, tu n'aurais même pas droit de lécher mon foutre… c'est compris, pupute ? »
Il lui tapota la tête ava,t de lui maintenir la tête en la tenant par les cheveux et il se mit à lui baiser la gueule au sens propre, violemment, pendant uen dizaine de mouvements avat de la laisser reprendre la main… Libre à elle de choisir comment se charger du reste, mais il finirait par jouir dans sa bouche et sa gorge, ensuite seulement il lui autoriserait à jouir. C'est une fois cela fini qu'il lui lança.
« Va dire au revoir à la caméra. »
Il attendit qu'elle le fasse et eteignit lafonction caméra pour ensuite, enfin lui tapoter la tête.
« Brave sac à foutre… bon, il va falloir choisir une punition pour ta désobéissance de ce matin… viens avec moi cesoir chez moi, on trouvera de quoi s'amuser, non, je vais m'amuser, toi tu vas regretter… allez, fous le camp ! »
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Ryujin frotta sa verge contre le visage de Lucia puis lui proposa deux choix: elle s'enfonçait l'oeuf dans les fesses et il augmentait les vibrations, soit elle retirait l'oeuf et se fistait. La jeune esclave sorti l’œuf de son vagin, il était trempé de l'excitation de la fille qui se l'enfonça dans l'autre trou. Les vibrations allaient encore plus fort, elle poussa un cri de plaisir et reprit l'engin de son maître en bouche. Ce dernier lui attrapa les cheveux et commença à lui baiser littéralement la bouche, Lucia étouffait. Après dix mouvements, Ryujin la lâcha et Lucia suça plus vite, comme si sa vie en dépendait. Elle était tremblante de plaisir. Le dieu joui dans la bouche de Lucia, qui elle même rentra un quatrième doigt dans son intimité avant de jouir. Elle avala le sperme et reprit sa respiration. C'était éprouvant pour quelqu'un comme elle. Son maître lui ordonna d'aller dire au revoir à la caméra. Elle s'avança vers le téléphone et le regarda, ses yeux étaient comme à l’accoutumé, ils ne laissaient pas paraître d'émotions, tout comme son visage.
Au revoir.
Ce soir, elle allait donc enfin voir le domicile de son maître, elle était impatiente, même si elle allait sûrement regretter.
Oui, maître.
Et Lucia se rhabilla, détacha le collier et la laisse par la même occasion, en les rangeant dans le sac puis s'en alla. La journée allait se passer plus rapidement maintenant. Elle était impatiente de voir l'endroit où Ryujin habite.
Quelques heures plus tard, Lucia rejoignit son maître.
Me revoilà, excusez moi pour l'attente.
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IL ne remarqua pas qu'à nouveau, elle lui avait désobéi.. ne lui avait-il pas ordonné de se fister ? C'est en regardant la vidéo pendant de lcours de japonais qu'il s'était rendu compte de ça, et comme une punition, il avait pouss au maximum les vibrations de l'oeuf resté dans son rectum toute l'aprs midi, histoire d ela laisser pantelante, et avec un peu de chance, qu'elle se retrouve avec la jupe mouillée… il la punirait ce soir. Il lui sourit néanmoins, comme si de rien n'était le soir même à la fin des cours et il griffonna son adresse sur un morceau de papier qu'il lui tendit.
« Rentre chez toi, mets dans un sac tes affaires pour demain et va à cette adresse, n'oubie ni laisse, ni collier, et laisse l'oeuf dans ton cul, il aime bien y être j'en suis sur. Pour venir chez moi tu te mettras nue sous un grand manteau… je t'enverrai un sms ou tu devras faire un selfie de preuve sur le trajet. Compris ? J'ai encore quelques petites choses à faire avant cela. Rendez-vous à 19h00 chez moi et sois bien propre… pense à bien t'épiler aussi. Et rappelle-toi ue tu ne rentreras pas chez toi avant demain… donc pense à laisser un mot pour ta logeuse…. À moins que tu ne souhaites qu'elle vienne faire une partie à 3, mais j'en doute fortement... »
Il la congédia d'un geste de la main et rentra chez lui. Là il mit tout en place, envoya ses domestiques faire des courses pour des jouets et de l'alimentation et, à sept heures moins quart, elle devrait être en train de faire le traje pour venir, alors il lui envoya ledit texto, il voulait la preuve qu'elle était bien nue… qu'elle avait deux minutes montre en main pour envoyer une poto comme preuve, avant de finalement sourire et mettre e,n place les affaires.
Là où il avait de la chance c'était que juste à côté de chez lui, il y avait une grange, qui lui appartenait aussi. Ils joueraient là bas et sans doute aussi dehors, à n'en pas douter et comme pour la presser, il se mit à faire sur la télécommande des varations de puisse de vibration : toutou rien, zéro à dix d'un coup et puis plus rien, sur un rythme aléatoire. Ila ttenit qu'elle sonne à la porte pour la faire entrer. La maison avait un intérieur sur les tons d'un bleu clair avec des traces de bon nombre de nuances de bleu. Peu de meubles. Il lui lança à peine un regard, ferma la porte derrière elle et lui ordonna d'accrocher son manteau sur le portemanteau et de le suivre.
Il la fit passer par la cour arrière jusqu'à atteindre, au milieu de celle-ci, un portique. Alors il lui expliqua ce qu'il comptait faire, pour lui permettre d'en frémir d'avance….
« Bon, mon petit sac à foutre, voilà comment va se passer ta punition, tu vas prendre les pinces qui sontur la table. Il y en a trois. Deux avec des poids et je peux que tu les places sur tes tétons, puis que tu places l'autre, celle qui a une laisse, sur ton clitoris. Ensuite, je vais t'attacher les poigenst au portique. TU ne rouchera le sol que sur la pointe des pieds, dans le meilleur des cas et nous parlerons de ta punition. Quand tu seras prête, tends tes poignets au dessus de ta tête, que je les attache. Je pense que tu mérites la cravache ou le fist dans le derrière… je suis encore en train d'hsiter… d'ailleurs... »
Sans rien dire il enfonça deux doigts dans son anus pour tirer à lui l'oeuf.
« T'es tu lavée là dedans aussi ? »
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Lucia prit le papier et s'en alla. Son maître lui avait ordonné de rentrer chez elle et de venir chez lui pour 19h.
Arrivée chez elle, la jeune fille prépara son sac, enfila son collier et sa laisse et commença à écrire un mot pour sa logeuse. "Je ne dors pas ici ce soir, ce n'est pas la peine de t'inquiéter, merci.", avait elle écrit. Elle signa et posa le papier sur la table du salon. Elle se déshabilla et enfila le manteau avant de s'en aller.
Le téléphone de Lucia sonna, c'était Ryujin qui voulait la photo. Heureusement, elle passait dans une rue vide. Elle ouvrit son manteau et se prit en photo et l'envoya à son maître. Lucia poussa un cri alors que les vibrations passaient de zéro à dix en un rythme très irrégulier. Elle commençait à en avoir assez de se faire torturer de la sorte, les vibrations la faisaient tout de même mouiller. Plus tard, la jeune fille sonna à la porte. Ryujin lui ouvrit et ordonna à sa soumise de retirer son manteau et de l'accrocher au porte-manteau puis de le suivre. Elle s'exécuta. Son maître la guida jusqu'à un portique dans la cour arrière, et il lui expliqua ce qui allait arriver. Lucia frémit.
Bien, maître..
Lucia ramassa les pinces et s'accrocha les deux disposant de poids sur les tétons, puis la dernière sur le clitoris. Son maître lui enfonça deux doigts dans les fesses pour aller chercher l'oeuf. Lucia poussa un cri. Ryujin lui demanda maintenant si elle s'était lavée là aussi.
Ou-Oui...
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Au mons, on ne pouvait nier qu'elle était arrangeante, la petite chienne Lucia… pas une seule fois depuis ce matin, elle avait désobéi… mais il allauit lui faire payer xcher sa prochaien désobéissance, elle pouvait être sûre e cela… mais peut êtyre le savait-elle déjà ? Il lui sourit alors qu'elle restait sous le portique, bien obéissante, bien soumise… bref, une petite chienne déjà bien dressée… en effet, il avait devant lui une putain déjà tout à fait soumise à son maître… il trouvait presque dommage de ne pas avoir à la dresser un peu.
« Bon, Pupute est toute propre alors ? Donc ça veut dire que si elle est si propre que ça, ça ne la dérangera pas de laver l'oeuf avec sa langue n'est-ce pas ? »
Il lui sourit mais ne fit rien pour le lui donner à lécher, il se contenta de la rgarder, avec les poids qui pendient de ses mamelons s'amusant à les faire se vbalancer en les effleurant du doigt. Il était ravi du rendu… il avait hâte de voir à quel point elle serait sensible sur les marques laissées par les pinces… celle de son intimité avait un autre objectif… oui, il lui ferait faire le tour du propriétaire avec cette forme de laisse… amusant, non ?
Il lui saisit les poignets et les lui attacha devant-elle avaec une longue corde qui passa de l'autre côté du portique avant de tirer dessus pour qu'elle ne puisse plus qu'effleurer le sol de la pointe de ses pieds er attacha la corde ainsi, suspendue par les bras… il lui sourit et prit deux autres morceaux de cordes pour lui attaches les chevilles, une corde par cheville qu'il attachait aux montants du portique, la forçant à avoir ainsi les jambes écartées, puis, prenant l'oeuf, il le reprit pour le remettre où il était avant de prendre, un peu plus loin, un autre objet, similaire, juste d'un diamètre légèrement plus gros qu'il installa dans on autre orficie, lui remplissant ainsi les deux trous avant d'activer les deux télécommandes au maxium. Puis il onclue tout cela en lui installant un baillon boule.
Puis, sans même un mor. Il la laissa et alla diner, la laissant ainsi une bonne vingtaine de minutes. La luminosité ne permettait pas de voir bien lon, mais suffisamment que quelqu'un qui savait ce quil cherchait pourrait la voir, ainsi torturée sexuellement. Il trouvait l'idée séduisante pendant que lui, il mangeait tranquillement. Sans se soucier d'elle, ne revenant qu'une fois qu'il avait bien diner avec une longue badine. Il fit en sorte de revenir dans son dos et le coup de cravache claqua entre ses cuisses. Il avait visé son intimité. Il donna ainsi cinq coups. Ce ne fut qu'après cela qu'il lui retira le baillon de sa bouche.
« Tu as compris ? Si j'ordonne qu'et-ce que tu es sensée faire ? »
Il tira sur l'une des pinces mammaires juqu'à ce qu'elle se détache.
« Et pourquoi tu dois faire ça ? »
La soirée ne fisait que commencer...
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Lucia se préparait à lécher l'oeuf, mais elle ne l'eut pas. Tant mieux. Son maître fit gigoter les pinces, l'esclave gémit. Ryujin lui prit les poignets et l'attacha au portique de sorte à ce que ses jambes soient écartées et qu'elle ne touche plus le sol. Il rentra l'oeuf dans ses fesses à nouveau tandis qu'il en mit un plus gros dans l'intimité de Lucia. Le dieu passa les vibrations au maximum, pour les deux oeufs. La jeune fille poussa un cri qui fut vite étouffé par le bâillon. Lucia ne pouvait plus rien dire, elle ne pouvait que gémir, et elle ne se privait pas, alors que Ryujin parti manger. La jeune esclave passa donc vingt longues minutes à pousser des cris étouffés. Son maître revint plus tard pour lui donner cinq coups de cravache sur son intimité. Des larmes se mirent à couler sur les joues de la jeune fille, la douleur était insupportable. Elle commençait de plus en plus à en avoir marre, de ce jeu. Puis Ryu détacha le bâillon et lui demanda ce qu'elle devait faire si il ordonnait.
O-Obéir, maître...
Il tira une pince, cela faisait mal à Lucia, très mal. La pince se détacha et Ryujin demanda pourquoi elle devait obéir.
P-Parce que je suis votre sac à foutre...
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Il lu flatta la croue quand elle parla.Juste des caresses avant de venir caresser son intimité meurtrie… aucune vilence, que de la douceur dans cet acte avec qu'il venait effleur son amamon duquel il avait arraché la pince pjis, doucement, il se baissa le long de son corsp, morcillant son ventre et s'arrêta sur son pubis bis rasé. Il préférait cela, l'absence de toute pilosité lui donnait une petite idée de ce qu'il devait faire d'elle ! Il sourit et lui susurra, venant lui mordiller le mamelon.
« Oh ? Tu es mon sac à foutre ? Et ça signifie quoi exactement ? »
Il voulai l'entendre dire… si elle était réellement un ac à foutre, cela signifiait tout bonnement qu'elle n'était bonne qu'à être remplie de sperme et qu'elle n'aspirait qu'à gouter son foutre, à s'en faire couvrir et à se faire ensemencer. Elle n'était bonne qu'à ça ! Voilà commentil voulait l'netendre parler, soit comme ça, soit nen termes moins propres, mais disons que l'essence était là… il sourit e regarda la jeune femme avec un très grand sourire
« Je vais te fare descendre de là, petite chienne Lucia, mais… dis moi, que feras-tu la procheine fois que je te dis de me prouver que tu n'as pas de culotte alors qu'il y a dautres gens autour ?. »
Il regarda la jeune femme et lui sourit avant de commencer par lui détacher les chevilles et puis lui délier les poignets. Il ne prononça pas un mot pendant qu'il faisiat cela puis il saiist la chainette qui pendanit du coup d'entre les cuiisses de la jeune feme et la prit comme une laisse poru l'emmener vers la grange, tirant dessus d'un coup légèrement sec à intervalle régulier.. Il lui lança entrant dans la grande, la précéant et en la barricadant enuite de l'intérieur sur le ton de la boutade.
« T es une chienne savante, dis donc, marcher sur deux pattes au lieud equatre… allez, tu peux retirer les pinces si tu le souhaites… j'ai juste une question à te poser pour la suite. E je veux que tu me répondes sincèrement. Combien de fois as-tu jouis deuis que tu as un œuf en toi à cause d'unde ces œufs ? »
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Ryujin caressa l'intimité de Lucia, elle frémit, ça lui faisait encore mal. Après lui avoir mordillé le ventre, le maître demanda à son esclave ce que signifiait le fait qu'elle soit son sac à foutre.
Je ne suis bonne qu'à être remplie de sperme...
Le dieu lui dit qu'il allait la détacher et lui demanda ce qu'elle devrait faire la prochaine fois qu'elle devait prouver qu'elle ne portait pas de culotte.
Je prendrais une photo de sous ma jupe, maître...
Son maître la détacha et tira sur la chaîne attachée au clitoris. Lucia gémit et suivi Ryu qui l'emmenait dans la grange qu'il barricada. Puis il demanda combien de fois Lucia avait joui à cause des oeufs. Elle a bien dû jouir trois fois. Elle avait l'autorisation de retirer les pinces, ce qu'elle fit.
Au moins trois fois...
Et on le voyait bien, ça c'est sûr.
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Brave fille, elle avait compris son rôle, elle avait compris comment tout fonctionnait entre eux.. ; elle n'était que sa petite pute bien dressée, non ? Il la regarda, dans la grange, voyait-elle qu'il avait déjà tout installé ? Qu'il avait déjà prévu de quoi jouer, à commencer par deux gamelles, l'une remplie d'eau, l'autre qui se remplirait plus tard. Besoin de préciser ce que ça contiendrait ? Sans doute pas… il lui sourit et l'écouta…
« Non, tu ne prendras pas de photo, tu feras ce qu'il faut pour obéir, prendre une photo n'est qu'un moyen,s'il n'y a rien d'autre comme solution, tu devras te réprouiller autrement. Tout simpelemnt… si tu ne peux pas prendre des photos ou autres tu devras me montrer… je me fiche de la manière, du monde présent, tu gferas ce qu'il faut pour ne pas me décebvoir, n'est-ce pas ? »
Il lui flatta la croupe alors qu'elle parlait de ses orgasmes… trois ? Moins qu'il ne l'avait espéré… il fit une petite moue un rien déçyue en claquant de la langue, lui trournant autour comme un prédateur avant de lui retirer, brutalement, les œufs qu'elle avait dans ses trous, les laissant choir au sol avant de lui doigter simultanément de deux doigts les orifices, scèhements, avec des mouvements bruusques., mais cela ne dura pas longtemps. Il arêta bien vite…
« Hje n'ai pas demandé d'estiimation, petite chienne je t'ai demandé le nombre précis… à moins que tun ne veuille encore gouter à la cravache ? Ça ne me dérange pas tu sais… il n'en tient qu'à toi... »
Il lui sourit et lui indqqua le sol, d'un geste négligeant de la main.
« Par contre, je crois qu'une chienne se déplace à quatre pattes… tu en penses quoi ? »
Nouveau sourire acavnt de lui désigner les deux œufs qui vibraient encore au sol.
« Tu devrais ranger les œufs dan ta gamelle, non ? Prends les en bouche pour les transporter, comme un bon toutou, une fois à la gamelle, lèche les biens pour finalement venir me faire plaisir avec ta poitrine. »
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Oui, maître.
Ryujin retira brutalement les oeufs, Lucia poussa un grand gémissement. Était-ce de la douleur, ou du plaisir ? Un peu des deux peut-être ? Puis le dieu lui demanda si elle voulait se prendre des coups de cravache, l'esclave secoua la tête. Son maître lui dit de marcher à quatre pattes. La jeune fille fit ce qui fut demandé. Maintenant, Ryujin désigna les deux oeufs encore vibrants. L'esclave devait les prendre dans sa bouche comme un chien pour les lécher et les laisser dans la gamelle, si elle avait bien compris. Et elle le fit, ça aussi.
Il lui était maintenant ordonné de venir voir son maître et de lui faire plaisir avec sa poitrine. Lucia vint vers Ryujin et commença son travail.
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Toujours aussi obéissante, toujours aussi soumise, toujours aussi chienne. Il lui flatta la croupe alors qu'elle prenait en bouche le premier œuf pour l'emmener dans la gamelle ; uis de faire pareil avec le deuxième, se déplaçant comme la brave petite chienne qu'il était, la petite salope qu'elle avait accepté d'être pour lui, pour ryujin. Il lui fit un sourire en lui caressa la croupe avant de le lui fesser. Et de la regarder nettoyer cela dans la gamelle avant de revenir et de se mettre çà genou, approchant sa poitrine de sa verge et de coincerr cette dernière au sein de son opulence…
« Gobe le gland... »
Il lui avait saisi la poitrine ferrmement, et il la comprimait contre sa verge en continuant à donner des coups de rein entre ses rondeurs… il n'yu allait jamais de main morte, mais elle aimait cela, n'est-ce pas ! Sinon, elle ne subirait pas tout cela sans broncher. Il ne pouvait s'empêcher de rire et de sourire devnt les réactions de la jolie chienne… il lui sourit et lui flatta la tête, lui lâchant les mamelles. Avant de lui lancer.
« Brave petite chienne.. maintenant je voudrai entebndre tes suppliques, les suppliques de la petite salope, non, de la grosse salope que je vois devant moi mérite que je l'honore de mon divin foutre ! »
Ça allait être amusant de voir ce qu'elle en ferait, ce qu'elle dirait. Et si c'était convainquant, il jouirait au soil, pour qu'elle puisse lécher… il ne put s'empêcher de rajouter :
« Il est temps aussi que je te marque, que tu vois désormais sur ton corps la preuve que tu es ma petite pute personnelle... »
-
S'il-vous-plait maître, remplissez moi de votre foutre, je ne suis bonne qu'à ça... Je vous en supplie...
Lucia était à genoux, aux pieds de Ryujin, elle voulait lui montrer qu'elle était capable de faire ce qu'on lui demande, elle se laissera marquer, quoi qu'il lui en coute. Elle avait une certaine détermination à faire ça, mais en même temps, elle avait un peu peur. Elle avait encore un peu envie d'arrêter, par peur de ce qui pourrait lui arriver, mais elle aimait beaucoup le sexe avec Ryujin.
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Il lui sourit alors qu'elle réclamait… voilà qui lui plaisait particulièrement ! Il aimait l'entendre dire ça, l'entendre se rabaisser, l'entendre supplier de se faire souiller de la sorte… il eut un ricanement alors qu'elle venait de supplier et qu'il lui frappait le sein de sa verge, comme s'il hésitait quant à la jouissance… finalement, ravi de l'idée qu'il eut dans l'instant, il prit sa queue en main et se masturba jusqu'à jouir sur le sol.
« Lèche. »
Il eut un sourire et flatta la tête avant de finalement se dire qu'il avait une idée de la marque… oui, il allait la marquer. Où allait-il la marquer ? Hum… il allait voir, mais il avait une petite idée… alors qu'il la voyait obéir, léchant le sperme sur le plancher de la grange, il lui flatta la croupe, laissant glisser son doigt contre sa rosette et laissant glisser ensuite ver les reins avant de passer sous elle pour atteindre le pubis.
« Je pense que je vais te faire tatouer. Comme une chienne. Mais pas dans l'oreille. Non, je pensais à quelque chose sur les reins, jusqu'à ton petit trou, et jusqu'à ton clito de l'autre côté… quelque chose de bien sympathique, je me disais, puisque je suis le dieu dragon, tu seras tatouée d'un dragon, ça t’ira bien ! Tu en penses quoi ? »
Question rhétorique, son avis ne l'intéressait pas le moins du monde.
« Avec ça tu seras définitivement la petite chienne de ton Maître Ryujin ! Je suppose que nous allions faire ça ce soir, comme ça, ce sera réglé ! Mais j'ai une question pour toi, attention à ta réponse…. Si je te prête à d'autres, te montreras-tu si empressée d'obéir, même si la ou les personnes en question ne te plaisent pas ? »
-
Lucia se mit à quatre pattes et commença à lécher goulument le liquide blanc sur le sol. Elle savait que ça allait être son seul repas de la soirée, le sperme. C'est pour cela qu'elle ne voulait pas en perdre une goutte. Ryujin baladait son doigt sur Lucia, des fesses au clitoris en passant par les reins. Il lui dit qu'il allait la marquer d'un dragon suivant le chemin qu'il avait tracé avec son doigt, et il demanda son avis à Lucia.
C-C'est une excellente idée, maître...
Lucia avait un peu peur, par marque, elle s'attendait à un tatouage ou à une marque au fer rouge. Elle ne voulait aucun des deux, mais son avis ne devait pas vraiment intéresser le dieu.
Maintenant, le "jeune homme" demanda à son esclave si elle était prête à être aussi docile si il la prêtait, Lucia hocha un peu la tête et enchaîna:
Seulement si vous m'y obligez, maître..
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Elle était tellement docile, c'en était presque trop facile… il aurait adoré un peu de lutte, il aurait adoré qu'elle se refuse, qu'il la force un peu, histoire de voir un peu quel genre de jeu il y aurait pu avoir ainsi… connaître de nouvelles manières de sévir, de jouer avec elle, repousser les limites du corps de la jeune femme, repousser les limites de sa moralité, l'avilir, l'humilier un peu plus. Elle se revendiquait chienne, mais elle ne l'avait pas encore complètement prouvé…
« Une excellente idée ? Peux-tu me dire pourquoi, ma belle ? Et de quelle manière tu pense que je vais le mettre ? Au fer rouge, ça me semble une bonne solution… tu ne crois pas ? »
Oui, il voulait voir si elle accepterait n'importe quoi venant de lui ou pas… une manière simple de constater jusqu'à quel point allait son dévouement pour lui, même si c'était un peu extrême : il ne le ferait pas ainsi, il le ferait magiquement. Ce serait plus efficace et bien plus joli que la boursouflure de sa marque… il n'aimait pas l'idée, que quand il la prenne par les hanches, il sente le serpentin de sa marque sous ses doigts… cela aurait été très dommage…
« Si je t'écoute bien, tu me dis que tu le feras si je t'y oblige, est-ce que cela veut dire que tu n'es pas prête à obéir juste parce que tu sais que je désire que tu obéisse ? Faudrait-il que je fasse ton éducation en repartant davantage des bases ? Soit ! »
Il lui mit une bonne fessée avant de rajouter.
« Bien, nouvelle consigne, entre nous, la première personne du singulier t'es interdite, désormais pour parler tu devras utiliser la troisième personne et bien préciser que tu es « chienne Lucia ». Est-ce que c'est clair ? C'est a base de la base, une manière de te rappeler que tu n'es plus rien ni personne ci ce n'est ce que je veux bien que tu sois. Tout simplement ! »
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N-Non, pas le fer rouge... Et c'est une excellente idée car c'est la votre.
Après avoir répondu aux deux premières questions, Ryujin rebondi rapidement sur ce qu'avait dit la jeune esclave quelques instants plus tôt et la fessa. Lucia poussa un cri, puis son maître lui dit qu'elle n'avait plus le droit de parler d'elle en utilisant "je", mais en utilisant "elle" et en précisant ce qu'elle est. La jeune fille ne le voulait pas, elle ne voulait pas être déshumanisée à ce point. Elle secoua la tête et ce rendit compte de ce qui allait lui arriver. Il était maintenant trop tard pour s'excuser.
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Que de refus ce soir… il lui sourit et lui flatta la croupe alors, comme si de rien n'était… pas le fer rouge… ça encore, ça le lui accordait. C'était son intention ! Il regarda la jeune femme et continua de lui caresser le fessier doucement. Deux nons de suite, étant si rapprochés, il ne pouvait le tolérer. Elle lui appartenait. Cela voulait dire qu'elle devait faire ce qu'il voudrait quand il voudrait tout simplement ! Il ricana avant de finalement reprendre la parole.
« Non aux deux ? Et bien te voilà bien téméraire… tu es à moi, tu me dois déférence, respect, et obéissance ; Et l'obéissance passe par le fait que tu te conforme à mes ordres. Alors je crois que si tu n'en es pas capable, une punition doit être de mise, chienne Lucia… »
Il lui saisit les cheveux et la tira vers un coin de la grange où une corde pendait. Il lui saisit les poignets et les lui lia au dessus de la tête dans son dos, de sorte à ce qu'elle soit penchée en avant, bras à la verticale dans son dos. Il allait lui faire passer l'envie de lui désobéir… il se recula pour saisir un objet parfait pour punir, il s'agissait d'un rouleau de corde. La corde n'était pas très fine, mais épaisse et élimée, du bon chanvre qui brûlait quand on frottait trop.
« Je vais te punir et je veux t'entendre compter à haute voix ! »
Il comptait s'en servir comme fouet ! Il en déroula un bon mètre et demi, se mit à la bonne distance et fit cingler la corde sur les mollets de la plantureuse élève, remontant lentement au rythmes des coups qui ressemblaient à des coups de fouet sans le risque de lui lacérer les chairs, laissant juste des marques rouges le long de ses jambes, d'abord, faisant remonter les coups jusqu'à sa croupe avant de venir donner plusieurs coups sur son intimité au passage.
« Alors, tu as décidé de changer d'attitude face à moi ? Tu te rappelles de ta place ? »
C'était le but de la punition après tout !
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Lucia était attachée, penchée avec les bras elle l'air. Elle se mordit la lèvre en voyant son maître saisir une corde aussi épaisse, sûrement allait-elle se faire fouetter. La jeune fille espérait aimer, afin que la douleur soit atténuée par le plaisir. Son maître lui ordonna de compter les coups de fouets qu'elle allait subir et Ryujin enchaîna les coups de fouet, de plus en plus haut. Lucia comptait en hurlant de douleur, mais aussi un peu de plaisir.
UN ! ... DEUX ‼ TROIS ‼...
Et la jeune fille continua jusqu'à ne plus pouvoir. Le dieu lui demanda si elle se rappelait de sa place, si elle avait réfléchit à son attitude.
Oui maître... Chienne Lucia est votre sac à foutre... Chienne Lucia est une esclave dévouée...
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Au moins, elle comptait de manière intelligible. Il avait connu des esclaves qui étaient bien moins franche du collier là-dessus ; Il lui fit un sourire alors qu'il passait les mains sur les magnifiques marques rouges qui ornaient son corps ; Il lui sourit et lui flatta la croupe avant d'y mettre une petite tape et caresser la légère humidité qui se présentait à l’entrée de son entrecuisse ; Il lui fit un petit sourire, de nouveau, opinant du chef quand elle se mit à parler. Elle avait compris ce qu'il fallait comprendre et donc c'était inutile de s'étendre là-dessus. Il la détacha complètement et doucement, il se mit à lui caresser la joue, lui caresser les cheveux.
« Voilà, tu vois, la leçon rentre bien quand on applique la bonne sanction. Mais saches que quand je parle de sanction, je ne parle pas forcément de manière négative, ainsi, quand tu obéis bien, quand tu te montres irréprochable, la sanction est une récompense. Tu comprends ? » [/b][/i]
Il s'écarta d'elle et s'assit sur une botte de paille pour finalement, rester ainsi, en silence, à regarder la jeune femme qui était devenue en si peu de temps la très docile « Chienne Lucia ». Il lui fit signe d'approcher avec un petit sourire en coin, il avait encore toute la nuit devant lui pour jouer avec elle et si elle avait des cernes de dix pieds de long, cela ne le concernait pas. Tant qu'elle obéissait bien sagement à ses invectives, cela règlerait le problème. Il lui fit un sourire avant de finalement lui indiquer ses pieds.
« J'ai eu un chien une fois, il avait l'habitude de me lécher les pieds, le feras-tu pour moi, une fois chaussures et chaussettes enlevées ? Après tout, tu es « Chienne Lucia », mon esclave dévouée, non ? » [/b][/i]
Il attendit qu'elle obtempère ou non pour compléter ses propos, pour lui offrir de nouvelles possibilités.
« Ce que je peux te promettre, c'est que si je te prête, on ne connaîtra pas ton identité : tu porteras une cagoule spéciale, avec elle tu pourras respirer, mais ni voir, ni entendre. La seule manière que tu auras de respirer sera par la bouche. Ainsi, tu seras une brave petite poupée malléable à souhait entre les mains de cet « ami » auquel je pourrais te prêter. Si tu veux, pour que tu ne sois pas surprise, je te la ferai porter avant, pour que tu puisses t'y habituer. » [/b][/i]
Il lui fit un clin d’œil.
« Ne suis-je pas un bon maître ? » [/b][/i]
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Lorsqu'elle fut relâchée, la jeune esclave se mit rapidement à quatre pattes et regarda son maître, mais pas dans les yeux. Ce dernier caressa la joue et les cheveux de la jeune fille, tout en lui expliquant que la sanction pouvait être autant une récompense qu'une punition.
Chienne Lucia comprend.
Le Dieu s'éloigna et s'assit sur une botte de paille et regarda Lucia, avant de lui dire d'approcher, ce qu'elle fit. Il lui ordonna de lui lécher les pieds. A nouveau, "Chienne Lucia" obéit. Elle retira les chaussures et les chaussettes de son maître, et approcha sa tête d'un des pieds de Ryujin. Elle commença par lécher les orteils, puis les sucer, avant de lécher la plante du pied. Et une fois que le premier fut fini, elle fit la même chose pour l'autre. Pendant ce temps, l'homme lui expliqua que si elle devait être prêtée, elle porterait une cagoule avec laquelle elle ne pourra ni voir, ni entendre, seulement respirer, et par la bouche. Ce qu'elle ne comprit pas, c'était pourquoi est-ce qu'elle devrait être assourdie si elle était prêtée à quelqu'un, mais après tout, pourquoi vouloir contredire le Maître Ryujin ?
Vous êtes un excellent maître.
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L’entendre dire qu’elle comprenait de cette manière était quelque chose qui lui plaisait au plus haut point. Rappeler ainsi elle-même qu’elle était sa petite chienne (en chaleur bien sûr) était plus que plaisant, et il ne pouvait s’empêcher de se dire qu’il avait trouvé un bon numéro, quoique, avouons-le de bien piètre résistance… il trouvait qu’elle cédait vite et le privait régulièrement du plaisir de la lutte qui assoit la domination. Mais elle était ainsi faite, tout simplement… il lui fit un petit sourire alors qu’elle se mettait au travail sur ses pieds avec beaucoup de talent, et surtout, beaucoup d’application.
« Oui, tu as un excellent Maître, et Maître Ryujin a une très bonne soumise… une soumise très docile et très obéissante… j’espère que tu es encore en forme car il reste beaucoup de temps cette nuit… et je ne compte pas t’offrir beaucoup de repos d’ici demain matin… ce serait dommage, n’est-ce pas ? » [/b][/i]
Il lui fit un sourire et lui fritta doucement la tête, lui ébouriffa davantage les cheveux. Puis, i descendit de la botte de paille et lui fit signe de se relever, il avait d’autres projets pour elle. Il avait déjà un projet phrase : celui de jouer avec elle dans un lieu public… il aimait le frisson de l’interdit et avec elle, il allait le pousser un peu plus loin… il allait voir jusqu’où il pouvait pousser avant qu’elle ne s’effondre, qu’elle ne gémisse et demande à ce qu’il se calme ou cesse.
« J’ai de beaux projets pur toi, pour que tu aies une sexualité plus épanouie… la question est : te sens-tu prête ? » [/b][/i]
Si elle acquiesçait, il continuerait.
« Très bien, tu vas aller dans la maison, sur le porte manteau il y a un joli imperméable marron, tu l’enfile en ne mettant rien dessous et tu prends le petit sac qui est par terre au pied du porte manteau, il doit y avoir un ou deux rouleaux de corde dedans. Puis nous irons jouer dehors… il est normal qu’un bon maître emmène sa petite chienne se promener au parc, non ? » [/b][/i]
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Ryujin fit signe à son esclave de se relever, puis lui dit
J’ai de beaux projets pur toi, pour que tu aies une sexualité plus épanouie… la question est : te sens-tu prête ?
Auquel Lucia répondit évidemment:
Chienne Lucia est prête.
Après cette réponse, le Dieu ordonna à Lucia d'aller dans la maison, d'enfiler l'imperméable sur le porte-manteau et de prendre le petit sac en dessous, mais une question lui venait en tête.
Oui maître, mais chienne Lucia se demandait, ne vouliez vous pas me marquer ?
C'est vrai qu'il était idiot de demander ça alors qu'elle ne le voulait pas, mais au bout du compte, Lucia voulait servir d'esclave à Ryujin. Et, si le maître ne décidait pas de la punir pour sa remarque, après avoir eu sa réponse, la télépathe ira chercher ce qui lui fut demandé.
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Ryujin était ravi des résultats qu’il obtenait de la part de sa petite putain, sa petite chienne en chaleur et terriblement salope… il avait trouvé un joli petit sac à foutre et comptait bien l’user jusqu’à la corde, la pousser jusqu’au bout de ses retranchements… il voulait qu’elle soit la plus soumise et la plus aboutie des esclaves sexuelles, et pour cal, il avait besoin de briser un peu ce qui restait de son ego, tout simplement…
« Bon et bien si tu es prête, file ! » [/b][/color]
Il lui sourit et lui flatta la coupe au passage, alors qu’elle attendait un pey avant de réagir à son ordre… il lui fit un sourire plein de chaleur et des yeux plein de jeu…
« Hum.. en fait je vais attendre pour te marquer… je vais attendre que tu aies prouvé que tu es bien la petite chienne bien serviable que j’attends… c’est un honneur de se faire marquer, après tout… aussi, je te marquerais quand j’estimerai que tu seras suffisamment servile, dévouée, et salope pour le porter… allez, file faire ce que je t’ai demandé ! » [/b][/color]
Il lui fit un clin d’oeil et lui donna de l’élan avec une petite claque sur sa croupe. Cela devrait aider à se mettre en route, non ? Il lui laissa le temps promis pour qu’elle se préparer comme il le lui avait demandé et alla la rejoindre dans le hall, lui laissant le soin de tenir le petit sac et de porter l’imperméable comme tout vêtement. Il sourit et s’approcha. Il était boutonné, alors ul déboutonna les boutons, ainsi, si elle marchait un peu vite, les pans du manteau d’écarteraient et révèleraient sa nudité… toutefois, il n’était pas un sauvage.
« Tu as le droit de le tenir fermé de tes mains pour le moment, d’accord ? » [/b][/color]
Il la conduisit jusqu’au parc avant d’observer un peu la pénombre, il y avait quelques personnes, des clochards, des amoureux, bref, quelques personnes ça et là, alors ryujin lança à Lucia.
« Enlève l’imperméable et marche à quatre pattes à côté de moi, au pied… » [/b][/color]
Il faisait faire une promenade à sa chienne…
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Ryujin expliqua qu'il ne voulait pas marquer immédiatement son esclave et préférait attendre d'être sûr que la jeune femme était complétement docile avant de montrer qu'elle était sa propriété.
Chienne Lucia comprend, maître.
Le Dieu donna un coup sur le fessier de Lucia et cette dernière parti en courant dans la maison pour enfiler le manteau qu'elle boutonna et remarqua qu'il lui compressait la poitrine, assez pour qu'un bouton manque de se séparer du vêtement, puis elle prit le sac. Peu après, Ryujin arriva dans le hall et s'approcha pour déboutonner la longue veste, la forçant donc à faire attention à ne pas marcher trop vite pour ne pas exposer sa nudité en public. Mais le maître, en bon Dieu l'autorisa à garder le manteau fermé avec ses mains, pour le moment du moins.
Oui, maître.
Et ils partirent vers le parc de la ville, Lucia restait à côté de son maître et ne parlait que pour répondre à ses questions, elle imaginait qu'en tant qu'esclave, elle ne devait avoir son mot à dire que lorsqu'elle était interrogée, et devait toujours aller dans le sens du maître. Les précédentes punitions avaient eu presque autant d'effet qu'un lavage de cerveau pour elle, mais Lucia avait encore conscience de qui elle était et pensait toujours qu'il ne s'agissait que d'un jeu qui serait fini d'ici quelques temps, en attendant elle devait jouer le rôle qui lui était attribué, elle était persuadée que Ryujin ne la marquerait pas réellement. Ils arrivèrent au parc, occupé de clochards, et de couples d'amoureux, même à cette heure, il y avait plusieurs personnes en mesure de l'apercevoir, mais la jeune fille n'essaya pas de se défiler, elle avait accepté de jouer au jeu et assumait sa décision.
Enlève l’imperméable et marche à quatre pattes à côté de moi, au pied…
A ces mots, le coeur de Lucia fit un bond, elle hésita un moment et retira son manteau puis se mit à quatre pattes à côté de son maître et le suivit ainsi jusqu'à ce qu'il s'arrête. La jeune esclave était rouge de honte de faire cela devant autant de personnes.