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Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

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Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

lundi 05 janvier 2015, 11:07:29



C'est comme si un étranger qui a une clé, était venu dans ma tête
Et avait dérangé toutes les choses qui s'y trouvent
Il ne sait pas que les serpents peuvent entendre la proie
Il ne peut essayer de détruire mon psychisme


Dans les ténèbres du quartier de la Toussaint, un bien sinistre bruit se faisait entendre en cette nuit de pleine lune. Le bruit irrégulier de talons aiguilles foulant le bitume d'une démarche branlante et mal assurée. Cette démarche ? C'était celle de la Duchesse. Son corps luxurieux était, comme d'habitude, moulé dans son habituel combinaison d'infirmière en latex noir, latex qui, ce soir, était recouvert du sang d'une pauvre pute que Lucrezia venait de refroidir dans une vieux squat. Elle l'avait attrapée dans un coin avant de lui coller un mouchoir plein de chloroforme sur le visage. La tueuse avait ensuite traînée  sa proie dans un vieux bâtiment à l'abandon, avant de la violer, de la tuer, de l'éventrer puis, accessoirement, de la violer encore une fois. Notre tueuse avait récupéré sur sa victime, l'utérus, utérus qu'elle avais soigneusement mit dans une gros bocal plein de saké... pour la conservation.

Haaan... Ha...

Les yeux de La Duchesse étaient redevenus un poil plus "humains", même ci une fine lueur de folie luisait toujours plus ou moins au fond de son regard. Son souffle était fort, profond... Elle venait une fois encore de donner lieu à ses fantasmes, laissant libre court à ses immondes pulsions mortifères et salement libidineuses. La chasse était donc fermée pour ce soir. Mais alors qu'elle allez pour rentrer chez elle, elle aperçue à quelques mètre d'elle, une vieux chien. Ce dernier en sentant la Duchesse, se mit à grogner de manière assez agressive. Lulu, étant une grande cynophobe* , se figea sur place, les yeux grand ouvert devant se chien sortie de nul part.

Euh... J... Gentil le... chi...

La tueuse fit calmement quelques pas en arrière, avant de ce mettre à courir à toute berzingue ! Excitant alors le chien, qui, bien évidement, ce mit à lui courir après en aboyant avec méchanceté. La tueuse chercha désespérément à le semer, mais alors qu'elle aller pour tourner dans une petite ruelle sombre, elle vint à glisser sur une bouteille de bière, avant de lamentablement s'étaler sur le sol.

Aouch... put...

Cet alors qu'elle vit le chien accourir vers elle à tout allure, en grognant comme un enragé, avant de ce mettre à bondir sur elle. Ni une ni deux, La tueuse attrapa son scalpel qu'elle enfonça à plusieurs reprise dans la gorge du chien et ce avec une violence et une cruauté sans borne. Le chien couina à plusieurs reprise, avant de finalement s'étaler sur le coté... sans vie. La Duchesse donnât encore une dizaine de coup de scalpel sur le pauvre animal, avant de finalement comprendre qu'il est mort... Elle lâchât alors un grand soupir, avant de s'adosser quelques secondes contre un  vieux réverbère qui ce trouvait juste à coté d'elle. Les mains de la tueuse était quelque peut tremblante face à cette dépouille canine, ce vidant petit à petit de son sang.

Mais alors qu'elle allait pour se relever, elle entendis non loin de là, des bruits de pas avancer vers sa position... Puis ce fut une silhouette qui vint à apparaître au loin.

Merde...

Lentement, Lulu vint à se relever en ce tenant la cuisse droite, dans laquelle un gros morceaux de verre c'était planté, morceau de verre qu'elle retira. La femme, en couinant quelque peut, tachât de fuir la scène aussi rapidement que possible mais... Alors qu'elle était presque arrivée au bout de la ruelle, elle se remarquât l’absence de sa sacoche. Elle se retourna alors vers la dite ruelle où le cadavre du clebs était et, avec une légère hésitation, elle décidât de retourner chercher son petit matériel et son "trophée", au risque de tomber sur un inconnu.

Putai... Hmmmpfff...

Aussi vit qu'elle le put, elle alla chercher sa petite sacoche mais, alors qu'elle s'accroupie pour ramasser tout son petit matériel qui c'était éparpillé un peut partout autour de la dite sacoche... Elle sentie une présence la faire frissonner... Elle leva les yeux vers la dite présence et... Cet alors qu'elle vit une homme se dresser devant elle.

Intérieurement, La duchesse priât pour que ce type ne soit pas de la police...



[HRP]  * La Cynophobie est la peur des toutous :3 voilà, voilà.


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 1 mardi 06 janvier 2015, 02:58:53

Okami Negura. Le Repaire du Loup en français. Wolf's Lair en anglais. C'était la partie "perdue" du coin avec une longue route, de la forêt, et sur un coin de colline, une demeure. Une grande maison proche de la villa appartenant au très reconnu Docteur Lecter. La journée s'était passée sans grands accrocs ni réels défis. Une dizaine de patient pour 75% de supers. Aucuns d'entre eux n'avait ce qu'il cherchait afin de continuer sa thèse sur le lien pouvoir/esprit et les humains à qui il avait parlé était assez ennuyants. Ils ne le fascinaient pas... Il était assez rare de le fasciner en même temps, surtout quand le patient est une femme de 27 ans pleine aux as grâce à son mari qui pourrait être son père. Régler les questions existentielles du genre « Il m'a prit le diamant a 2 millions et pas celui à 7, je sais pas si il m'aime vraiment », c'était clairement pas sa tasse de thé.

Alors qu'il s'apprêtait à manger, il remarqua qu'il lui manquait quelque chose : Du safran. Il avait une furieuse envie de safran ce soir et de volaille aussi. Pas de victimes en vue, pas de victimes récentes et il n'avait pas envie de consommer quelqu'un. Des cailles étaient en train de l'attendre dans son frigo et pour accompagner ça, il avait besoin de safran. C'était une petite épice qui valait malgré tout son pesant d'or. Prenant le flacon dans lequel il rangeait habituellement cette épice, il partit pour la ville. Les quartiers de la Toussaint... Il avait toujours sourit rien qu'en pensant au nom de ce quartier. On dirait une rue en France. France... Un pays où il irait bien faire un tour, si il avait quelqu'un pour y aller en romantique. Sinon, il est vrai que ça ne l'intéressait que peu. Enfin, sauf leur cuisine. Elle est fabuleuse, leur cuisine.

Sortant de chez un épicier grand luxe, il avait remplit son flacon d'épices pour un prix assez dissuasif. Mais pas assez pour qu'il s'en prive. L'argent n'avait jamais été un réel problème et vu qu'il ne savait pas dans quoi investir celle-ci... Hormis sa cuisine, ses outils de découpe ou ses thèses, il n'y avait rien de réellement cher. Il n'était pas du genre de riche qui dépensait pour n'importe quoi comme une voiture de luxe ou des montres hors de prix. Et alors qu'il pensait à sa cuisine, il entendit quelque chose qui le détourna de son objectif.

Des gémissements. Sortant d'un immeuble désaffecté. Curieux, il s'approcha alors avec un pas... extrêmement discret. Ses chaussures, malgré leur talonnettes, ne faisaient pas le moindre bruit. Il avait apprit à être furtif dans toutes les situations. Marchant dans l'immeuble, il découvrit alors un corps... Sauvagement mutilé. Il manquait d'ailleurs un morceau particulier. Plissant les yeux, le bel homme se contenta de suivre le sang. La personne qui avait tué cette femme n'était pas loin. Le corps était encore chaud... Calme au possible, il se mit à pister le sang et très vite il trouva la source. Une femme en combi de latex noire... Discret comme costume.

Mais il la reconnaissait. Cette méthode et cette dégaine... ça ne pouvait être que la Duchesse ! Une tueuse en série qu'il n'appréciait guère il faut dire, la trouvant bien trop vulgaire. Mais... sa psychose l'intéressait. Et écrire quelques lignes sur elle dans son recueil des 'Esprits Divergents', ça lui plairait énormément. Ne sachant pas comment l'approcher, il avait dans l'idée de la suivre avant d'engager le contact mais au final... Il fut doublé par un canidé. Un canidé fougueux qui se rua sur sa proie. Amusant~ Elle en perdit sa sacoche ! Enfin... Elle en perdit aussi son peu de sang-froid. Du moins le peu du peu qu'il lui restait. Elle se mise à tuer le chien, créant sur le visage de Lionel une réaction rare : Du dégoût. Tuer un chien, quelle idée.

Il alla vers la ruelle, caché aux yeux de la psychopathe. Il sortit du sac ce bocal contenant l'utérus de la victime. Il observa cet organe avec cette neutralité stoïque, ayant prit soin de mettre ses gants de cuir noirs. Alors que son regard était posé là dessus, la femme revint vers lui et s'accroupit... Elle était à genoux, devant lui, un mère ou deux les séparant. Lui lançant à peine un regard, Lionel finit par enfin poser ses yeux sur elle en soufflant, froid

« Je me demande bien où vous les entreposer tous... » Il constata vite la blessure et l'état de la jeune femme. Elle avait dû péter un câble aujourd'hui... Toujours aussi neutre, il dit « Duchesse, la femme qui ouvrait ses victimes tout en les violant... Vous avez une psychose qui m'intéresse beaucoup et vous êtes blessée. Ma voiture est à côté, je vous propose de me suivre chez moi. » Il ne lui donna pas son identité, pas tout de suite. Il ajouta un autre commentaire « Je veux que vous soyez discrète. Et dites vous bien que si je prends le risque d'avoir une sociopathe aussi dangereuse que vous assise à côté de moi, c'est que j'ai les moyen de vous neutraliser. » Il était extrêmement curieux. La psychose des personnes de ce genre, ça l'intéressait énormément. Comprendre, analyser... Il finit par souffler, doucement « Je ne vous dirai pas que je vous comprends, mais j'en meurs d'envie. »

Il ne cherchait pas à être un psychiatre normal. Il n'allait pas lui dire qu'il la comprenait où qu'il allait l'aider. Il ne voulait pas l'aider. Il voulait analyser sa psychose pour compléter « Le Cadran Lecter », son œuvre la plus complète permettant de lier toutes les psychoses entre elles, dont la sienne... Qu'il inscrirait en dernier dessus. Quoi qu'il en soit, il attendait de voir sa réaction, affichant un petit sourire rassurant en tendant sa main à la belle, lui rendant l'utérus en bocal par la même occasion.

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 2 mardi 06 janvier 2015, 13:59:48

La tueuse fut relativement surprise d'entendre l'homme ainsi lui parler... Au vue de ses dires, il semblait savoir qui il avait en-face de lui et, étrangement, cela ne lui faisait pas peur. Au début, lulu se contenta simplement de froncer les sourcils en regardant cet homme étrange mais néanmoins très... Charmant ? Pour une raison qu'elle ignorait, il y avait quelque chose dans ce type qui renvoyait Lulu à sa propre personne, une indéfinissable sensation qui, au plus profond de sa chair lui faisait sentir que ce type était du même "bord" qu'elle. Une sorte d'intuition diffuse que Lulu ne comprenait pas... Pour elle, ce type n'était qu'un allumé, peut être un fan ? Une espèce de détraqué qui collectionnait des articles et des photos d'elle, se masturbant tout les soir en pensant à ses crimes et à elle... ? L'homme lui avait proposer son "aide" vis à vis de sa blessure, en lui disant ensuite qu'elle pouvait monter dans sa voiture pour l'emmener chez lui... Comme si elle était un petit chaton... Lulu serait une femme aux antécédents psychiatrique normaux, pour sur qu'elle aurait prit peur et qu'elle se serait barrée mais... Mais merde ! Ce type est vraiment chelou ! Et puis c'est quoi son blabla sur sa psychose et sur le fait qu'il veuille la "comprendre" ? Lulu était sérieusement entrain de ce demander qu'est ce que ce type lui voulait... Une pipe ?

...

L'homme vint alors à lui sourire amicalement en lui rendant son trophée. Lulu le dévisagea brièvement, avant de reprendre à toute allure son bocal et de se mettre à reculer, ramassant sa sacoche médical au passage. La tueuse était à présent à trois bon mètres de ce type louche. Il y avait vraiment un truc avec ce gars là, comme une façade... Genre, une vieille tapisserie qui cacherais un mur moisie derrière... Comme ça, à première vue, ce type aurait put ressembler à pas mal d'autres mais, Lulu décelait vraiment un truc de familier dans son regard, une mince lueur qui trahissait une truc louche... Le genre de truc que seule les gens louche peuvent comprendre. Cet homme était face à la Duchesse, il venait de tripoter une bocal avec un utérus dedans et... Nan... Ça le choque pas le mec ! Cette réflexion fit encore froncer les sourcils de Lucrezia qui, prudemment, tenta de répondre à ce type.

Je... T'est quoi comme mec ?... Un fan ? T... Tu veux me faire les fesses ? Je te préviens, si t'a pas de drogue ou si t'a rien pour payer, tu peut te la mettre derrière l'oreille... Ou alors se sera juste une branlette... Ou une pipe... Ou... je te couperais les burnes !

Lulu plaisanter pas... Enfin... Merde ! Ce type était louche ! Il aurait dut crier, appeler les flics, se mettre a s'uriner dessus ou à défaut... Je sais pas... Faire genre il a rien vue, mais nan, visiblement, il semblait être intéressé par Lulu et, c'est tout naturellement qu'elle en était venue à cette conclusion scabreuse et farfelue... Sans penser une seconde au fait qu'il puisse être un psychiatre avide de travailler sur son cas.
« Modifié: mardi 06 janvier 2015, 14:08:32 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 3 mercredi 07 janvier 2015, 02:55:59

Lucrezia, aussi surnommée la Duchesse, n'était pas le genre de personne à se laisser enrôler facilement. Surtout face à un homme comme Lionel. Il faut dire que le psychiatre savait parfaitement à qui il avait affaire et que le genre de carnages que faisait cette femme, il en avait l'habitude. Il avait réussit à se procurer un maximum d'informations sur elle quant à ses problèmes. Ayant usé de ses contacts dans la police et les divers hôpitaux, il avait pu accéder à un enregistrement très intéressant qui lui permettait de dresser un portrait psychologique. Ses idées bien en place, il la regardait ranger le bocal dans sa sacoche et soudain... Elle se mit à lui proposer des choses. Des choses assez étrange. Clignant des yeux, il resta assez bouche bée lorsqu'elle lui adressa de telles paroles. Il ne pensait pas qu'elle s'écrasait aussi facilement ! Il était bien au courant qu'elle avait un complexe un peu nymphomane mais à ce point là... il était presque déçu. Mais pas le temps de se lamenter : Une sirène de police retentit au loin

« … Je suis le Docteur Lionel Lecter. Et vous, Duchesse, vous êtes dans une situation très critique. La police sera dans le coin d'une minute à l'autre et si vous êtes dans les parages, avec votre tenue en latex et votre utérus en bocal, je doute que vous passiez inaperçu. Sachez que nous avons tous des secrets, mais je vous conseille vivement de les cacher. Ça nous réussit. »

Nous. Pourquoi ce nous ? Pourquoi ce mot qui unissait les deux êtres ? Simple : C'était un moyen subtil de lui faire comprendre qu'eux deux étaient pareils. Ou du moins, pas si différents. Calme au possible, il pu voir dans la rue non loin le bleu et le rouge circulaire des sirènes policières ! Fronçant les sourcils, Lionel n'eut d'autres choix que d'attraper la jeune femme et la tirer vers lui. Pressé, il finit caché dans l'ombre de cette ruelle serrée, plaquant la belle contre le mur. Appuyant son avant bras contre les briques et appuyant le pouce de son autre bras sur la bouche de l'infirmière, son visage finit extrêmement proche du sien. Malgré tout, il restait froid, stoïque... Et il chuchota

« Silence. »

Un ordre donné avec une froideur polaire. En même temps, il avait eut raison de faire ça : la police passa dans la rue adjacente. La voiture roulait très lentement, les agents scrutant les environs. En temps normal, ils auraient été suspects mais... Ils durent identifier l'homme qui cachait discrètement le visage de la femme comme un mec cherchant à se faire une pute. Et vu la raison pour laquelle ils se déplaçaient, ils se foutaient d'arrêter un gars pour prostitution ! Leur objectif était une femme seule à la tenue d'infirmière. Là, ils voyaient à peine la fausse prostituée dans l'ombre. Ils retournèrent à leurs affaires alors que le charmant psychiatre restait contre Lucrezia. Une telle neutralité, c'était presque effrayant ! Sa voix, calme, résonna dans un chuchotement complice

« La police aura bientôt infesté les lieux. Je vais insister une dernière fois en soulignant que si vous ne me suivez pas, vous êtes condamnée. Chez moi, vous serez nourrie, logée, blanchie. Faites moi confiance et vous pourrez respirer. Un peu. »

Il la fixa encore quelques instants. Une telle proximité était très dangereuse mais il ne lui laissait pas beaucoup de manœuvre avec une telle proximité. Si elle tentait de le poignarder, il l’assommerait avant et la laisserait à son sort. Si elle refusait, il partirait. Et si elle acceptait... ce serait le début d'une relation très curieuse.

Les sirènes se multipliaient, entamant une symphonie qui allait crescendo...

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 4 mercredi 07 janvier 2015, 14:14:34

Lucrezia ne savait vraiment pas quoi penser de ce type. Il avait beau être face à l'une des tueuse les plus prolifique de ce siècle, le type semblait à peine choqué...Voir, Pas du tout choqué ! Notre Duchesse préféra donc, dans un premier temps, garder ses distances. Mais bientôt, le type vint à se présenter à elle sous l'identité du "Dr. Lecter" et, là, ce fut comme un déclic dans la tête de Lulu... Le fait qu'il la connaisse, ce calme et surtout, cet étrange interet qu'il éprouvait pour elle... Ce type est un psy ! Cette constatation faite un peu à l'arrache, amena notre tueuse à encore froncer les sourcils. Bordel... Comme ci elle en avait pas vue assez des cons en blouse blanche, cherchant désespérément un moyen de la "soigner", chose qui, soyons franc, était impossible. Les tueurs en séries et ça, Lulu le savait très bien, ne peuvent ce résigner à tuer, c'est comme respirer pour eux... Pour elle, le meurtre c'est... C'est comme une drogue ! La plus puissante et surement celle à la quelle elle est la plus accro.

Bref... Lulu, tout en gardant un œil sur cet homme, rangea en vitesse son bocal à cornichon et, alors qu'elle était à deux doigts de partir, un bruit des plus familier vint à lui mettre la pressions. Ce bruit... C'était celui des sirènes de polices ! Derrière elle, les flash, bleu et rouge de leurs insupportables bagnoles firent frémir la tueuse qui, sans si attendre, fut violemment plaquée contre le mur par cet inconnue. L'homme était tout prêt d'elle et, elle put alors sentir l'after-sheave lui monter au narines. L'homme avait son index coller contre les lèvres de la tueuse qui, sans rien dire, tacha de garder son sang-froid. Les flics passèrent alors à plusieurs mètres de ce "couple" et, fort heureusement, ils n'en firent rien. Ouf... Lucrezia sentait son coeur battre la chamade dans sa poitrine, comme ci ce dernier voulait en sortir, les flics étaient là, seulement à quelques mètres d'elle ! Et puis... Il y avait ce type là, qui la collait avec son après rasage au parfum au musc virile... Durant plusieurs secondes, le regard de la Duchesse ne quitta pas celui de l'homme puis, finalement, ce dernier vint à lui faire une dernière proposition qui allait être décisive.

« La police aura bientôt infesté les lieux. Je vais insister une dernière fois en soulignant que si vous ne me suivez pas, vous êtes condamnée. Chez moi, vous serez nourrie, logée, blanchie. Faites moi confiance et vous pourrez respirer. Un peu. »

D'un regard vague, teinté d'une certaine peur, Lucrezia observa l'homme silencieusement... Que voulait il vraiment d'elle ? La Duchesse ne savait pas trop sur quel pied danser mais... Au fond, avait elle vraiment le choix ? Ici, au japon, la peine de mort était encore en vigueur et avec ses 64 meurtres au compteur, pour sur qu'elle risquait pas de ressortir vivante d'un deuxième procés... La jeune femme aurait aimée avoir plus de temps pour réfléchir mais...

B... Bon, c'est d'accord !  Je viens... Chuchotât elle à l'homme avant de se pincer les lèvres.

Au fond... Peut être était il tout à fait normal ce type... Enfin, pour vouloir prendre une tueuse en série chez soit, il fallait quand même pas tourner rond mais... Malgré son étrange ressentiment, Lulu trouvait cet homme plutôt... Bas plutôt convainquant. Après tout, combien de psychiatre aurait voulue avoir la Duchesse comme patiente ? Des dizaines, voir, des centaines... Cet homme avait pris un risque et, visiblement, ce risque avait payé. Elle le suivie alors d'un pas rapide au travers de plusieurs ruelles sombres avec une certaine appréhension, trouvant toujours que ce type avait un truc à cacher mais... En y repensant bien... Ce Mr. Lecter avait mentionné trois mots très intéressants pour une clocharde comme Lulu, trois mots qui finirent de la convaincre... Nourrie... Logée... Blanchie.

Après tout... C'était une grande fille à présent... Que risquait elle à le suivre ? Qu'est ce qu'une tueuse cruelle et sanguinaire avait à craindre de cet homme ?


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 5 samedi 10 janvier 2015, 00:21:41

Alors qu'il la gardait plaquée contre le plaquée contre le mur, Lionel pouvait sentir la respiration chaude et paniquée de la jeune femme lui caresser le visage. Il aimait ce souffle. Il appréciait sa chaleur mais aussi son rythme synonyme d'une douce panique que lui seul produisait mais dont il était aussi le remède. Retenant un sourire, sa respiration calme et profonde passait aussi sur le visage de la jeune femme de manière bien plus espacée qu'elle. Après la proposition finale, elle accepta. Le pincement de lèvres qu'elle eut créa comme un léger frisson chez Lionel. Quel joli brin de femme~

L'épaulant pour avancer plus vite, ils arrivèrent à une voiture noire d'un modèle sympathique. Il n'y connaissait rien en voiture pour être honnête... Mais passons. Alors qu'ils arrivèrent proche du véhicule, il ouvrit la porte de derrière et allongea la jeune femme sur la banquette. Il prit une couverture qu'il lui mise dessus, pressant un instant son corps contre le sien en ré-itérant cette proximité entre leurs visages

« Restes bien cachée sous cette couverture. Il y en a pour dix ou quinze minutes. »

Leurs nez se frôlèrent et Lionel partit prendre le volant. Le trajet se déroula sans embûche, sans problème. Il faut dire que Wolf's Lair était un petit coin tranquille et agréable. Et les barrages policiers s'arrêtaient à l'orée des quartiers de la Toussaint. Calme au possible, c'est avec un sang-froid légendaire que Lionel arriva enfin chez lui, garant sa voiture dans le garage qui lui était assigné. Ceci fait, il sortit et ouvrit à la psychopathe, la faisant sortir de la voiture

« Bienvenue chez moi Lucrezia. Je vous prierai de ne pas toucher à tout et... je vous invite à me suivre : Nous allons nous occuper de cette blessure. »

Il l'épaula à nouveau. Marchant à ses côtés jusqu'au canapé, il finit par la faire s'asseoir sur celui-ci et observa la plaie. Il lui demanda de ne pas bouger et partit à la salle de bain, saisissant la trousse de secours à l'intérieur du meuble à médicaments. Revenant vers la jeune femme, il lança un nouveau coup d'oeil à la plaie... Pas gêné, il regarda Lucrezia

« Laisse moi faire. »

Malgré son ton calme, son regard autoritaire et sa froideur lui sommait de ne rien faire. Assez étonnant que son aide paraisse comme un ordre... Mais il avait cette étrange aura qui ne donnait pas envie de lui désobéir ! Il aurait bien prit la fermeture sous le décolleté énorme de la belle pour la descendre, mais il se retint de faire cela. Ce serait un peu compliqué de manipuler sa jambe mais tant pis. La poitrine de la jeune femme était juste là, sous son nez, mais il ne lui lança pas un seul regard. Malgré les nombreuses façons qu'il aurait eut de jouer avec ou même de la cuisiner, il ne la reluqua pas, se concentrant sur son objectif : la plaie. Et c'est avec cette imperturbable concentration qu'il retira à la pince fine les quelques morceaux de verre. Après quoi, il prit un coton pour désinfecter la plaie et, enfin, il lui fit quelques sutures à la colle... La colle à chair bien sûr, utilisée en hôpital. Chère, mais efficace. Ceci fait, il lui appliqua un bandage en soupirant calmement de satisfaction.

Ce n'est qu'une fois qu'il fit cela qu'il releva la tête. De base, c'était pour la regarder, mais il s'arrêta deux secondes sur sa poitrine. Imposante, en effet. Avec l'esprit vide d'objectif, il était plus simple de se concentrer sur ces formes opulentes et particulièrement alléchantes. Mais il finit par relever la tête, toujours aussi impassible. Son regard se plongea dans celui de la tueur et il souffla de sa voix la plus calme

« … Vous êtes vraiment très belle. » il posa son attention sur sa sacoche de soins, la rangeant progressivement « … Ce soir, vous devez vous reposer. Demain, je vous ferai à manger. Et après le repas, j'aimerai que vous me parliez de vous. »

Il finit de ranger la sacoche. Un coup de zip et il la rangea dans un casier de la table basse vide. L'autre contenait divers alcools. Concentré, il finit par observer la jeune femme en entremêlant ses doigts entre eux

« Je crois qu'il ne nous reste plus qu'à aller nous coucher. Je vous laisserai ma chambre et je dormirai sur ce canapé. »

Il s'apprêtait à l'épauler pour l'emmener dans sa chambre. Dormir avec cette femme ne le tuerait probablement pas mais ce n'était pas une bonne idée. Laissons lui un peu d'intimité se disait-il. Il était tard et elle devait se reposer avec cette vilaine plaie. Lionel savait parfaitement ce qu'il faisait et l'impression qu'il donnait. Son charisme, sa prestance, son charme, son aura... Il savait bien que cet ensemble inspirait le respect. Il ne savait pas comment Lucrezia le percevait mais ce soir, elle allait dormir dans un grand lit bien confortable. Lionel, quant à lui, réfléchissait à comment cuisiner cette femme demain... Pour les informations. Vous avez pensé à autre chose~?
« Modifié: samedi 10 janvier 2015, 19:23:07 par Lionel Lecter »

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 6 samedi 10 janvier 2015, 19:44:02

Une fois arrivés au niveau de la voiture, l'homme vint à demander à notre Duchesse de ce mettre sur la banquette arrière, avant de lui amener une couverture, qu'il pris grand soin de placer lui même sur la tueuse, donnant ainsi lieux à un nouvelle instant de proximité.
Ensuite, ce cher Dr. Lecter allât s'asseoir comme ci de rien était, au volant de son véhicule et, tendis qu'il mis en marche le contact, Lulu put sentir une odeur bien connue lui monté au nez... Elle renifla vaguement la couverture et... Un grand frissons vint  lui traverser l'épine dorsal, lui faisant faire une légère grimace de déguou. La couverture empestait le chien ! Buark ! Lulu en avait encore des frissons ! Malheureusement, elle due restez sous cette abominable truc durant une bonne quinzaine de minutes, ce disant en elle même avec une certaine peur... Que ce gars devait avoir un clebs chez lui.

*merde...*

Elle se mordit légèrement les lèvres, avant de prendre une grande inspiration... Au fond, Lulu avait beau être Cynophobe, les chiens ne représentait pas non plus une immense montagne infranchissable, elle n'était pas phobique au point d'être paralysée de peur par exemple... Enfin, elle en a quand même une sacrée peur.
Bref... Après un bon petit quart d'heure de route, enfin nos deux protagonistes arrivèrent à destination. L'homme garât directement sa voiture dans le garage, ne laissant pas vraiment à Lucrezia le temps de voir l'extérieur de la maison de ce monsieur... Pas grave, ce détail n'était vraiment pas important ! L'homme conduit ensuite la tueuse vers son salon, en prenant toujours soins d'épauler la Duchesse qui, de part sa blessure, n'avait pas une démarche très assurée. Il l’installât ensuite délicatement sur le canapé, avant de partir chercher son matériel de premier soins.

Hmmm...

Le regard de la Duchesse se posât alors sur tous ce qui l'entourer et... Le moins que l'on puisse dire, c'est que cet homme avait une belle maison, elle était propre, ordonnée. Tout était à sa place... C'était limite surnaturelle pour notre tueuse, elle qui avait à présent l'habitude de vivre dans des rame de métro, de vieux squat désaffectée ou encore, dans la chambre 203 de son Sanatorium désaffecté.
après un court laps de temps, Lucrezia vit enfin son "sauveur" revenir après d'elle, ce dernier s’agenouillant alors devant elle, afin de soigner sa belle biche égarée.
Lucrezia eut un bref frisson en sentant la mains de cette homme se poser sur sa cuisse, avant d'y apposer, à l'aide de son autre mains, un coton imbibé 'un produit désinfectant... Un produit froid, mais qui ne picotait pas... Pour sur que ça changer de l'Ether ou, à défaut, de la vodka et du saké. Alors qu'elle voyait cet homme la soigner avec une grande délicatesse, Lucrezia vint à avoir en tête, une idée des plus... saugrenue.

Et oui, car, là, devant elle, entre la table de salon et notre Duchesse, il y avait cet homme, accroupie, à a peine quelque centimètres d'un point chaud de l'anatomie de la tueuse, un endroit qu'elle aurait volontiers exhibée en temps normal, mais... Allez savoir pourquoi, Lulu n'était pas encore trop en confiance avec ce type. Bien qu'il ais l'air très sympathique comme bonhomme, Lulu n'arrivait pas à ce faire à l'idée qu'il était "normal", il y avait un truc louche avec lui... Une chose que Lucrezia n'arrivait malheureusement pas à déceler.

*Nan... c'est surement la fatigue qui me fait défaut...* Ce dit elle alors intérieurement, avant de regarder avec un regard un peu gêné, cette homme qui lui tripatouiller la cuisse.

Lulu pensait à une foule de choses perverses et... Surtout, elle se voyait là, dans la même situation, mais avec ce type lui faisant un cuni... seigneur, même là, les hormones et la folie libidineuse de notre Duchesse la travaillait encore. Toutefois, elle sue garder son sang froid et, ainsi, elle ne céda poins à cette tentation pécheresses et luxurieuse. Finalement, L'homme appliqua un bandage sur la plaie de la tueuse, avant de ce mettre à doucement la regarder, s'attardant d'ailleurs sur sa poitrine. Lucrezia, qui n'était pas dupe, remarqua la chose, toutefois, elle n'en fit rien, ce contentant de tourner le regard en faisant une petite mou.

« … Vous êtes vraiment très belle … Ce soir, vous devez vous reposer. Demain, je vous ferai à manger. Et après le repas, j'aimerai que vous me parliez de vous.

Impassible, Lulu ne prit même pas la peine de le regarder, ce contentant seulement d'une haussement d'épaule en baissant ses yeux sur des coussins qui traînait là, juste à coté d'elle. L'homme l’invitât ensuite à aller ce coucher, par galanterie, ce dernier lui laissât volontiers sa chambre mais, encore une fois, Lulu resta silencieuse, ce contentant seulement de suivre cet homme silencieusement jusqu'à sa chambre. Au fond, Lulu ne savait toujours pas qui penser de cet homme... Mais, la fatigue ne lui laissa pas vraiment le temps d'y réfléchir. La jeune femme, une fois seule dans la chambre de ce Dr. Lecter, eu vit fait d'enlever sa combinaison en latex, ce retrouvant ainsi en petite culotte... juste une petite culotte. Une fois ainsi vêtue, elle allât se glisser dans le lit douillet de ce Mr, un bon lit... Avec des draps propres et doux... Lulu respira profondément, humant avec plaisir l'odeur de la lessive et la douceur de ses draps laver avec un adoucissant.
Finalement, Lucrezia s'endormie plutôt rapidement, elle aurait put se câliner un peu avant d'aller ce coucher mais... nan. Elle ne c'était d'ailleurs même pas lavée, c'est dire.


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 7 samedi 17 janvier 2015, 18:11:50

Lionel ne s'attendait pas à grand chose ce soir. Lucrezia devait encore être sous le choc d'avoir été aidée par un complice et surtout, devait encore être un peu effrayé de son sang froid. En même temps, jouer l'impressionné n'avait jamais été une des qualités première de Lionel. Et puis avec une telle sociopathe, montrer un signe de faiblesse ; même faussement joué ; c'était signer son arrêt de mort. Il pouvait l'affirmer : En tant que tueur, c'est ce qu'il ferait. Concentré sur les questions qu'il pourrait poser, il se repassa les enregistrement de l'hôpital au sujet de cette fille et, sur sa tablette, se mit à jouer du stylet sur l'application de carnet qu'il avait. Les liens, les idées... Son cerveau se mit à vibrer d'ondes plus puissantes les unes que les autres, cherchant une explication, des liens, émettant des hypothèses, stipulant des situations... Sa réflexion commençait, son imagination carburait.

Il pensait à quelque chose quant au père de la femme. Il l'avait violée après tout pendant sa ''tendre'' enfance. C'était sûrement de là que venait sa psychose. La racine, c'était son père. C'était probablement l'explication de tout ces viols avant le meurtre : Une profonde envie de revanche... Ou alors y avait-elle prit goût ? Non, probablement pas... Mais si elle aimait le sexe ? Ce serait alors une sorte de variante du syndrome de Stockholm ? Avec le temps, son esprit embrumé avait prit goût à ce qui l'avait fait souffrir il y a si longtemps ? Oh, et sa mère. Sa mère semblait être la seule et unique chose qui lui offrait une certaine stabilité. Morte. Il ne fallu pas longtemps à Lionel pour considérer que le père l'avait liquidée.  Et la mort du père par un canidé expliquait probablement la cynophobie. Soudain, une idée naquit au creux de son esprit. Elle avait cette phobie car l'animal avait tué son père... Mais si elle avait aimé ce que lui faisait ce monstre ? D'où le fait qu'elle possède les mêmes peurs que lui et qu'elle apprécie ce qu'il lui a fait subir au point de le reproduire... Alors comme ça, elle aurait calqué le comportement de son père ? Pour se protéger de lui ou pour devenir comme lui ? Peur ou Admiration ? Dur de trancher.

Alors que son cerveau continuait d'empiler les idées plus curieuses les unes que les autres, il eut un maigre sursaut en voyant que la page sur la tablette était noire d'encre. Poussant un soupir, il en ouvrit une nouvelle pour cacher la précédente, verrouillant ensuite l'appareil électronique. Il adorait ce genre de technologies pour leur aspect pratique. Après, vous vous dites sûrement qu'aux vues de son secret, il serait fort imprudent pour lui d'utiliser des outils autant connectés n'est-ce pas ? Faux. Il se contente de faire ses analyses de psychiatres sur ces machines et aussi d'autres trucs de cuisine. Mais à aucun moment il ne marque en gras ''Coucou je bouffe des gens'' ou ne met dans sa barre de recherche ''Comment découper un corps ?''. Ce serait débile... Et il était loin de l'être. Alors qu'il allait se chercher un verre d'eau, il poussa un soupir d'effort. Régler ce cas serait dur, surtout avec une instable pareil. Mais il avait besoin d'en savoir plus. Placard, verre, frigo, bouteille. Il se servit un grand verre d'eau frais, calme. Il porta le verre à ses lèvres quand, soudainement, il entendit un bruit.

Arrêtant immédiatement tout mouvement, il tendit l'oreille. Lucrezia, à l'étage ? Elle foutait quoi !? Lionel n'aimait pas du tout l'idée qu'elle fouille chez lui, même si il doutait fortement qu'elle trouve quoi que ce soit ! Malgré cela, cette optique ne plaisait vraiment pas au psychiatre. Reposant le verre sur le comptoir du mini-bar, il partit à l'étage. Ses pieds qui se posaient sur le sol ne faisaient absolument plus aucuns bruits, sa démarche n'ayant pourtant quasiment pas changé. Ses déplacement étaient d'une furtivité affolante ! Enfin, il arriva dans le couloir où se trouvait Lucrezia qui semblait perdue et ouvrait des portes pour voir l'intérieur des pièces. Alors qu'elle se retourna, elle pu voir son hôte à trois mètres d'elle. Il était simplement en jean, toujours aussi froid dans son regard. Ayant une sorte de déclic, il prit la poignée de la pièce à sa droite et ouvrit la porte, allumant la lumière. La salle de bain ! C'est bien ce qu'elle cherchait non ? Calme, il prit la parole

« Profitez-en pour vous rafraîchir si vous le souhaitez. »

Avoir cette odeur de mort sur soit, c'est jamais agréable même pour un serial-killer. Dans tout les cas, qu'elle porte une chemise à lui ou pas, qu'elle se douche ou pas, il changerait les draps. Ou les brûleraient. Dans tout les cas, il ne voulait pas garder des preuves aussi conséquentes. Quoi qu'il en soit, il tourna le dos à la jeune femme, lui souhaitant bonne nuit une nouvelle fois. Ses pas s'étaient remit à faire un son ''normal'', permettant de savoir qu'il se déplaçait. Mais bon sang, quand il était arrivé prêt d'elle un peu plus tôt... Il avait été un véritable fantôme ! Effrayant, ce psychiatre. Et quand on sait ce qu'il cache d'autre, on a vraiment des raisons d'avoir peur.

Il rejoignit son canapé et s'y allongea calmement avant de fermer les yeux. Dormir un peu lui ferait un bien fou. Demain, il ferait à manger à la psychopathe et parlerait avec elle... à moins qu'elle ne se réveille en première et lui réserve des surprises ? Tout cela était à voir. Il avait réellement hâte d'être demain~

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 8 dimanche 18 janvier 2015, 21:54:51

Bien que ce trouvant dans une literie propre, le sommeil de lulu n'en fut pas moins agité. La tueuse était bien souvent victime de sons sommeil tortueux et malsain, tapissé d'imagerie macabres représentant les corps et les visages de ses victimes. Cet ainsi qu'aux alentours de trois heures du matin, la tueuse vint à se réveiller. Dans les premières secondes, elle tenta vainement de chasser toutes ces images de sa têtes, avant de finalement essayer de se rendormir... en vint. Pas moyens de trouver le sommeil... Elle eut beau se tourner et ce retourner dans le lit, rien n'y fit. C'est donc avec une grande discrétions, que Lulu se mise à chercher la salle d'eau. Là, maigrement vêtue de sa culotte, la tueuse déambula  aussi discrètement que possible dans cette vaste maison au milieux de nul part, foulant le parquet cirer de ses pied nues. Toutefois, dans la pénombre, il était difficile pour elle de ce repérer, elle décida donc d'ouvrir une à une toutes les portes qui ce présentait à elle.

*Merde... Elle est où cette putain de salle d'eau !* ce dit elle alors en elle même en ouvrant une énième porte... sans résultat.

Cet alors qu'une effroyable sensation vint à perturber notre Duchesse en plein dans ses recherches, sensations qui la fit frissonner sur place. Lentement, La tueuse vint à ce retournée avec une certaine crainte au fond des yeux et... Cet alors qu'elle vit à trois mètres d'elle, son hôte la regardant silencieusement. Ce dernier semblait calme et aussi froid que tout à l'heure. l'espace d'une seconde lucrezia fronçât les sourcils, avant de finalement de détourner le regard vers le sol tout en cachant son opulente poitrine avec des bras.

Je...

A peine eut elle le temps de dire quelque chose, que l'homme vint à ce saisir de la poignée ce trouvant à coté de lui, ouvrant ainsi la voie vers la salle d'eau.

« Profitez-en pour vous rafraîchir si vous le souhaitez. »

Sans rien dire, l'homme repartie vaquer à ses occupations et... Merde ! Quand diable était il arrivée !? Lulu ne l'avait pas entendue venir ! Diantre, qu'il est fourbe ce fumier ! Bref... Maintenant que Lulu avait accès à la salle de bains, elle n'aller pas ce plaindre. C'est donc avec une certaine "attention" que Lulu entra dans cette belle salle d'eau bleu cobalt et noire et, la première chose qui lui sauta aux yeux, ce fut la baignoire ! Combien de fois lulu avait put s'imaginer barboter dans l'eau chaud, finement parfumée d'une baignoire comme celle là... Seigneur oui  ! Lulu allait enfin pouvoir se relaxer un peu, malgré l'étrange impression qu'elle avait toujours vis a vis de ce type.
Lucrezia considéra longuement les quelques flacons qui ornait le rebords de la baignoire, tendis que l'eau chaude coulait dans le fond de cette dernière. Finalement, Lucrezia eu choisie de prendre de l'eau de Cologne à la rose, eau de Cologne qu'elle versa dans son bain, avant d'attraper un flacons de bain moussant et d'en mettre là encore dans la baignoire. Finalement, Lucrezia enleva sa culotte et, avec un charme typiquement féminin, elle prit compte de la température de l'eau, en plongeant le bout de son pied dans la baignoire, avant d'y entrer petit à petit de la manière la plus lascive qu'il soit. Une fois dans l'eau, la femme émit un grand soupir, en ce délectant de cette eau chaude et délicatement parfumée.

Un bon bain chaud... Dieu que ça faisait longtemps que lulu n'en avait pas prit ! Dans un premier temps, elle apprécias longuement son bain, puis de finalement elle se laver les cheveux et le corps. Elle resta une bonne heure dans l'eau, avant d'en sortir, le corps nue, ruisselant de mousse et d'eau. Elle se séchât avec une grande serviette noire, avant de ce l'enrouler autour du corps, repartant finalement dans sa chambre, comme ci de rien n'était... Tient, n'aurait elle pas oublier sa culotte ? Howf... Pas grave... Il la ramassera.
Une fois de retour dans sa chambre, Lulu se recoucha dans son lit, en prenant le temps cette fois ci, de ce câliner. Oui, elle ce câlina longuement dans ce lit qui n'était pas le siens, enfonçant dans son antre juteuse, ses doigts fins et délicat, alternant entre les phase de frottement et de pénétration et ce, jusqu'à ce que la jeune femme ne finisse par s’abandonner totalement dans un râle de plaisir maigrement étouffé. Au final, elle se léchât les doigts avec gourmandise, avant de s'endormir de la plus douce des manières.



Hmmmm...

Délicatement, Lulu émergea de sa douce torpeur... Elle était toujours là... Chez ce docteur. Lecter... Cette idée ne lui plaisait guère mais... Au moins elle aller pouvoir jouir du gite et du couvert durant toute sa "thérapie" et ça, ce n'était pas rein.
Elle resta une dizaine de minutes encore dans le lit, avant de ce lever d'un pas maladroit... Elle était  nue et... sa tenue de Latex avait disparue... Surement que cet homme lui avait prise, afin de la laver. La tueuse se gratta la tête en regardant l’armoire de l'homme, puis, sans rien demander, elle  allât y farfouiller, afin d'y trouver quelque chose à ce mettre. Rapidement, elle emprunta une chemise noire ainsi qu'un boxer anthracite, qu'elle enfila en vitesse, avant de descendre au rez-de-chaussée... Il était dix heure et ce type était déjà debout. Lucrezia humât l'air ambiant et... Elle put alors sentir l'odeur de café ce mêlée à celle du pais grillé... Lentement, la femme entra dans la cuisine et là, elle vit le Docteur Lecter entrain de faire à manger.

Sans rien dire, la femme se déplaça vers le comptoir du mini bar, sans même dire un bonjour à l'homme... Lulu n'était pas vraiment d'humeur matinal.


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 9 lundi 19 janvier 2015, 11:49:55

Depuis le salon, Lionel entendit les sons produits à l'étage. Il semblerait que chaque nouveau morceau de son ami kryptonien qu'il mangeait développait ses pouvoirs... On vous laisse deviner ce qu'il a mangé ce midi. L'oreille tendue, il pouvait entendre le robinet de la baignoire remplir celle-ci, progressivement. Elle allait se laver ? Une bonne chose. Même si elle aurait dû le faire avant d'aller dans les draps. Cela aurait clairement éviter qu'il ait à les changer. Mais passons ! Il entendit l'eau couler puis la baignoire se vider après un long bain ! Elle avait sûrement dû faire des ''trucs'' alors qu'elle se lavait... Non. Ce fut dans sa chambre qu'elle le fit. Percevant à peine les petits sons qu'elle émettait, ce fut le cri peu étouffé qui le mit sur la piste. Accroc au sexe. Il fallait l'être pour se masturber alors qu'on est dans le lit d'un mec qui nous fait flipper et qui n'a pas l'air intimidé par une sociopathe. Il ajouta ça à son mémo cérébral comme un symptôme supplémentaire pour son diagnostic. Poussant un long soupir en se disant que changer les draps devenait une obligation, il ferma enfin les yeux. Ses pouvoirs se développaient mais pour que son ouïe puisse capter des sons aussi faible, il devait être dans un endroit vraiment silencieux. Sa demeure était parfaite. On entendait pas la circulation, rien. Ses paupières s’alourdirent et enfin, il sombra dans un profond sommeil réparateur.

- - - - - - -

Réglé au poil, son horloge biologique le fit se réveiller à 6h du matin. Une fois de plus, il réagit de manière on ne peut plus mécanique. Il se leva, alla dans sa chambre et vit la Duchesse, endormie. La serviette noire était au sol tout comme la combinaison de la jeune femme... Sans un mot et toujours avec sa discrétion terrifiante, il s'éloigna vers l’armoire pour en sortir sa tenue de sport. Il prit au passage la combinaison de Lucrezia et alla la mettre dans la buanderie. Suite à quoi, il saisit son iPod et s'évada pour un jogging matinal.

L'air était frais. Arrivait petit à petit les basses températures et avec ça, il devrait trouver un autre sport à pratiquer. Pourquoi pas du Yoga tiens, ça pourrait être sympathique... Il verrait. Sur le chemin forestier, il se mit à repenser à son mémo de la veille. Cette femme était une véritable énigme pour lui ! Il voulait la comprendre, la démanteler, la cerner. Il pourrait ainsi diagnostiquer une nouvelle pathologie peut-être ? En tout cas, le profil de Lucrezia ; alias la Duchesse ; était typiquement le type de profil qui le fascinait ! Elle avait donc été violée par son père et, apparemment, elle aimait le sexe. Pas qu'un peu. Qu'est-ce que ça pourrait induire ? Qu'est-ce que ça pourrait signifier ? Serait-elle devenue totalement dingue de ce qui la faisait souffrir ? Y avait-elle prit goût ? Ou alors se persuadait-elle d'aimer ça pour ne pas sombrer dans sa propre folie ? Quelle mécanique complexe qu'est le cerveau humain~ Ravi de pouvoir cogiter sur un tel sujet, il repartit pour chez lui en remarquant que son jogging avait duré beaucoup, beaucoup plus longtemps que prévu. Il était déjà 8h !? Bien... Pourquoi ne pas aller en ville ?

Toujours dans sa tenue de sport, son jogging l'amena à rejoindre la ville. Il cherchait une boulangerie gérée par des français fort sympathique. Ils étaient bien les seuls à savoir correctement faire du pain. Enfin, correctement... Disons simplement que les critères culinaires de Lionel sont très élevés ! Il partit dans cette fameuse boulangerie pour prendre de la brioche et du pain. Ceci fait, il fit demi-tour et repartit chez lui. Avec tout ça, il avait passé presque 3h30 à courir... Un peu trop mais bon, ce n'était pas tout les jours qu'il ferait ça. Une fois rentré, il avait encore des trucs à faire !

Premièrement, il se déshabilla et mit ses vêtements à la machine, avec la tenue de Lucrezia. Il allait faire disparaître tout ce sang et laver ses fringues par la même occasion. Ceci fait, il prit un boxer qu'il avait emporté au préalable tout à l'heure. L'ayant mit sur le canapé, il l'enfila et remit son jean. Pas de t-shirt ? Pas grave. Il se contenta d'une chemise blanche aux manches retroussées jusqu'aux biceps. Ceci fait, il pu commencer à cuisiner. Prenant la brioche, il en coupa plusieurs tranches qu'il disposa dans une assiette. Coupant du pain, il se mit à le griller et ne profita pour lancer sa machine à café. Splendide machine qui allait lui verser un café bien fait, pas comme ces capsule... Celle-ci s'occupait elle même de moudre le grain , ce qui était non négligeable comme atout pour le goût ! Dans un sourire en coin, il poussa un soupir de satisfaction et se mit à cuisiner des pancakes. Dans le doute, sait-on jamais. Du sucre pour attendrir le corps et l'esprit. Il allait bercer la jeune femme avec cela. En parlant d'elle, la voici.

Elle semblait fatigué, la tête ailleurs. Pas un sourire, pas un bonjour. Voilà un air bien sympathique à voir le matin, se dit-il avec ironie. Un regard discret et le voici qui s'approche du comptoir en lui servant un jus d'orange. Torse nu, devant elle, il lui posa aussi une assiette de pancakes et amena aussi la brioche avec le pain griller. Pâte d'amande, pâte goût noisette, miel, beurre, confiture. Il déposa tout ça sur la table dans un plateau qui les contenaient habituellement. Puis avec un air toujours aussi froid, il s'assit devant elle

« Bonjour Lucrezia. Vous avez bien dormit ? »

Il prit un pancakes et le grignota alors qu'il beurrait une brioche pour y mettre de la confiture. Il allait manger un morceau avant de changer ses draps et de faire un diagnostic de cette fille. Alors qu'il profitait de ce délicieux mélange d'odeur, il continuait sa préparation en expliquant

« Si tu as des questions, pose les moi maintenant. Après ce repas, c'est moi qui t'en poserai. J'ai dans l'idée de faire un diagnostic de votre psychologie... J'en aurais besoin pour ma curiosité personnelle. J'espère que ça ne vous déranges pas ? »

Il haussa un sourcil en demandant cela, comme pour lui rappeler qu'elle lui devait la liberté ! Elle pouvait bien rendre ce service à une personne aussi bienveillante n'est-ce pas ? Même si celle-ci fait preuve de nombreux détails plutôt affolants et pouvant presque éveiller les curiosités...

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 10 lundi 19 janvier 2015, 21:46:32

« Bonjour Lucrezia. Vous avez bien dormit ? »
Hm... maugréât elle alors, en haussant vaguement les épaules.

Lulu n'était pas spécialement aimable au réveil. Et ce, d'autant plus qu'elle était chez un type étrange dont elle ne savait pratiquement rien.
Cependant, elle devait bien avouer que... Toutes ses choses lui donnait très envie ! Elle les regardait d'une œil discret et, alors que la faim commençait à méchamment ce faire sentir, Lulu vint à apercevoir une beau morceau de pâte d'amande. Timidement, Lucrezia vint à ce saisir d'un morceaux de l’appétissante confiserie, la considérant alors durant quelque secondes, visualisant ainsi les multiples petit grains de vanilles, attestant de la haute qualité de cette dernière.

« Si tu as des questions, pose les moi maintenant. Après ce repas, c'est moi qui t'en poserai. J'ai dans l'idée de faire un diagnostic de votre psychologie... J'en aurais besoin pour ma curiosité personnelle. J'espère que ça ne vous déranges pas ? »

Le regard de la Duchesse déviât alors vers celui de 'homme et, l'espace de quelque seconde, les deux protagoniste ne dirent rien... Finalement, Lucrezia vint à baisser les yeux en secouant légèrement la tête, l'air de dire, "je m'en fout" et, au fond, c'était plus ou moins ce qu'elle en pensait, elle n'avait pas vraiment de question à lui poser... Et elle n'avait pas non plus tellement envie d'en savoir plus sur lui, du moins, pas maintenant. La femme fini donc par prendre un bouché de pâte d'amande, appréciant ensuite cette savoureuse confiserie  pendant de longue secondes. La pâte d'amande... Lulu, en grande amatrice de sucre, ne pouvait qu'adorer cette préparation culinaire aussi vieille qu’Hérode et, le moins qu'elle puisse dire, c'est que cette pâte d'amande était bonne ! Une fois ça bouchée fini, la jeune femme vint à prendre une gorgée de jus d'orange, avant de reprendre une autre délicieuse bouché de pâte d'amande. Dieux qu'elle était bonne !

Hmm...

Les mains de la Duchesse se mirent à timidement parcourir le plateau, prenant au passage une morceaux de brioche et deux pancakes qu'elle avalât avec gourmandise... Enfin, avec une gourmandise qu'elle tachait toutefois de dissimuler à son hôte. Ça faisait des lustre que Lucrezia n'avait pas eu droit à un tel festin ! Et un festin de sucreries en plus ! Lulu adorait le sucre ! Les viennoiserie et autres gâteaux délicatement décorés... Dieu qu'elle aimait ça ! Mais, ce qu'elle aime par dessous tout notre Duchesse, ce sont les chocolats !
Oh grand oui ! De délicieux chocolats extra-fins au véritable cacao d'origine, garnie de délicieuses ganaches aux fruits exotiques ou de caramels savoureux. Durant quelque instant, Lucrezia dévisagea sa tranche de brioche avec envie... Avant de regarder le psychiatre qui était quant à lui toujours aussi calme et froid. Dans ça tête de malade, Lulu venait d'avoir une autre idée salasse... Oui... Là, dans sa tête, Lulu ce voyait manger cet appétissant morceaux de brioche, garnie d'un sirop assez particulier. Cependant, Lulu chassa bien vite cette idée sordide mais oh combien excitante de ça tête, avant de finalement ce mettre à manger son bout de brioche.

* N'empêche... Avec du foutre ça serait bon...*

Une psychopathe à l'état pur... Constamment perturbée par ses fantasme et par sa libido salasse et malsaine. Lucrezia ne payait peut être pas de mine comme ça, mais au fond, l'homme hébergeait chez lui une véritable bombe à retardement... A un moment ou à un autre, Lulu serait obligée de tuer... Cet homme aurait beau l'entretenir pendant des nuits entière, jamais il ne pourrait retenir les "vrai" fantasmes de Lucrezia, ceux qu'aucun homme en ce monde ne peut combler, ceux que seule une femme peuvent assouvir... Le genre à ce  finir avec des cris et des larmes, avant de s'éparpiller sur le sol, tel un amas de boyaux sanguinolent.

Un fois sa tranche de brioche fini, Lulu vint à regarder par la fenêtre, visualisant alors de sa place, un magnifique plan d'hortensia, malheureusement fané... La femme plongea alors brièvement dans ses pensés, oubliant son hôte l'espace de quelque instant. Lulu aimait les hortensias mais, en cette saison, ils étaient malheureusement plus en fleurs. Cet alors que Lucrezia vint à ce remettre à regarder l'homme, avant de lui adresser ces quelques mots sur un ton monocorde :

Hmmm... Nan rien...

Oui... Lulu était bien étrange parfois.


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 11 mardi 20 janvier 2015, 15:15:28

Quelle drôle de femme. Enfin, drôle, ce n'était peut-être pas le mot. Curieuse correspondait un petit peu plus à ce qui la qualifiait. Cette femme était juste en face de lui. Là, devant elle, elle avait un psychopathe hautement dangereux qui lui avait offert l'asile. Drôle comme expression, dans la situation présente, vous ne trouvez pas ? Le psychiatre observait et détaillait chaque réaction de Lucrezia. Le matin, elle n'aimait pas ça. Rien de bien intéressant, lui il arrivait bien à courir plusieurs heures dés son réveil. Mais ce qui le dérangeait, c'était la façon dont elle se cachait de lui. Elle essayait de dissimuler ses sentiments et ça, il le sentait. Il n'arrivait pas à savoir ce qu'elle ressentait, ni rien, et ça prouvait une certaine capacité à se contrôler. Comme quoi, ce n'était pas seulement une sociopathe.. Ou bien si ? Dur de la cerner. Elle était plus complexe que prévu. Ou peut être trop simple ? Se faisait-il des idées ? Ou était-elle vraiment si complexe ? Dur de le savoir mais ça ne resterait pas un mystère très longtemps.

Alors que la belle perdit son regard dehors, Lionel tenta de plonger dans son regard pour essayer d'y desceller quelque chose, n'importe quoi... Il finit par voir, ce qu'elle observait. Des Hortensias ? Oh, intéressant. Enfin, sûrement. L'Hortensia avait une signification toute particulière mais partagée. Une moitié considèrent que cette fleur représente la vanité et la vantardise ; probablement pour des raisons d'apparence, la forme de la fleur est parfaitement arrondie et bordée de somptueux pétales ; alors que l'autre moitié considère que c'est une marque de reconnaissance et de tout ce qui est chaleureux. Deux point de vue diamétralement opposés... Mais tout le monde s'accorde sur une chose : Cette fleur possède grâce et une longévité très rare. C'était ça qui plaisait à Lionel. Le fait que ce genre de fleur vivait longtemps dans son jardin et animait ses matinées d'un délicieux parfum~

Mais pourquoi elle fixait cela.. ? Elle aimait cette fleur pour son parfum ? Pour sa signification ? Si oui, dans quel sens interprétait-elle cela ? Peut-être aimait-elle simplement cette fleur. Chaque réaction de Lucrezia devenait une énigme. Il en faisait peut-être un petit peu trop.. Mais passons. En la regardant dans les yeux, finit par lui dire d'une voix très calme

« Bien. Dans ce cas, j'aimerai beaucoup que tu me parles de toi. Prends le temps de manger. »

Il partit. Direction la chambre. S'approchant des draps, il eut un hoquet en inspirant l'odeur de la chambre... Immédiatement, il se dirigea vers la fenêtre et l'ouvrit. L'air frais, vite. Poussant un long soupir, il prit les draps qui sentaient le fer à cause du sang et le sexe à cause de... Bon. Il retira tout les draps et les changea, très calmement. De nouveau, quand il balança les draps sales dans la buanderie, il pouvait profiter de la délicieuse fraîcheur de sa chambre. Il referma la fenêtre pour ne pas que le froid s'ancre trop dans la chambre et observa sa chambre. Il avait tout bien rangé, bien mit en place, bien organisé. Voilà à nouveau sa chambre qu'il aime~ Poussant un soupir calme, il redescendit vers la cuisine pour y découvrir la jeune femme. Son regard planté dans celui de Lucrezia, il en avait profité pour prendre son iPad. Dégainant son stylet, il se mit devant elle et lui demanda avec un calme légendaire

« Nous allons commencer par des questions simples. Comme vous le savez, vous êtes recherchée par la police et estimée comme une dangereuse sociopathe. On identifie souvent votre style à Jack l'éventreur. Mon objectif est donc de voir si vous êtes simplement totalement tarée et vous contenter de le recopier connement sans vouloir faire passer un message ou si c'est simplement une série de psychoses qui vous fait en arriver là. »

Son regard se plongea au plus profond de celui de cette femme. Il n'allait pas la ménager, mais il allait en même temps essayer de comprendre tout ce qu'il pouvait. Ses yeux ancrés dans les yeux, il souffla de sa voix la plus calme et la plus profonde

« Votre enfance a été dramatique mais je n'ai pas encore votre point de rupture. J'aimerai donc savoir : Quand avez vous tué pour la première fois ? Et à quels moments vous viennent ces pulsions ? »

Après tout, sa scolarité s'était passé sans meurtres non..? Un détail sur lequel il devrait fait lumière. Elle gardait un morceau de ses victimes. Pour lui, c'était donc une pulsion intentionnelle qu'elle devait et voulait assouvir. Il allait avoir du mal, mais maintenant, tout ce bazar allait s'éclaircir. Après une première réponse dont il tira quelques conclusions et autres... Il s'apprêta à dire quelque chose... Mais il y réfléchit bien avant. C'était dur, c'était compliqué. Cette femme était dangereuse et instable et aussitôt il l'aurait comprit qu'il lui tranchera la gorge ou fera en sorte qu'elle se fasse coffrer... La remettre en liberté ? Oh, oui, c'était une idée aussi. Il pourrait ainsi lui foutre des meurtres en plus sur le dos et ramasser des morceaux pour ses repas au passage. Quoi qu'il en sois, il su qu'il devait poser la question. Il soupira donc, calmement :

« Parlez moi de votre père. »

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 12 jeudi 22 janvier 2015, 20:50:59

« Votre enfance a été dramatique mais je n'ai pas encore votre point de rupture. J'aimerai donc savoir : Quand avez vous tué pour la première fois ? Et à quels moments vous viennent ces pulsions ? »

Voilà donc la première question d'une looongue liste... Lucrezia, toujours aussi inexpressive et réservée, regarda la tablette électronique de l'homme, avant de lever son regard vers celui de ce dernier. Pensait il sincèrement réussir à percer le secret de notre Duchesse ? Le pourquoi du comment, une aussi jolie jeune femme c'était mise à violemment éviscérer de pauvre femmes et jeunes filles de manière sordide. Bien des psychiatre avant lui avaient essayés.... Avant de finalement abandonnés. Lulu, lorsqu'elle était à l'Asile, avait était une patiente très coriaces qui, lorsqu'elle ne frappait pas les autres patients, ce refermait sur elle même, ce murant dans un silence de plomb et ceux pendant des heures durant. Cet homme voulait donc savoir qu'elle avait était le premier meurtre de Lucrezia... Soit... Au fond, il n'était pas tellement difficile de répondre à cette question... En revanche, expliquer comment peuvent lui venir ses "pulsions"...ça, c'était un chouilla plus compliqué.

Toutefois, Lulu accepta de lui répondre... Elle se tassa un peut sur sa chaise, en regardant vaguement par le fenêtre, puis...

Mon premier meurtre remonte à l'époque ou j'officier encore dans l'un des hôpitaux de seikusu... Elle s'appelait Ashley Taylor... 17 ans... Les cheveux châtain, coupé en carrée plongeant... Elle était atteinte d'une infection pulmonaire... Elle était belle et malgré la maladie, elle restait joyeuse en toute circonstance. La première fois que je l'ais vue j'ai sue qu'il y avait un truc... J'avais cette irrépressible attirance envers elle... Un truc que je peut pas expliquer... C'est comme un déclic, une éclair sourd... ça monte d'un coup et après...
Calmement, Lulu reprit une gorgée de jus d'orange, avant de ce remettre à parler sur un ton calme et monocorde.
C'était un vendredi soir aux alentours de minuit... Je suis rentrée dans la chambre d'Ashley et... Je lui ais injectée une dose de drogue afin que je puisse la toucher sans qu'elle ne me repousse... Puis J'ai eu des "rapport" oraux avec elle et, une fois que j'ai eu jouis... je lui ais remis une dose... létal cette fois...

La femme papillonna brièvement des yeux... Ce remémorer son premier meurtre était vraiment quelque chose de fort pour elle. Elle passât ensuite sa mains des ses cheveux, reprenant alors une autre gorgées de jus d'orange.

J'ai adorée ça... J'ai toujours eu une attirance particulière pour les femmes... mais ce que j'aime par dessus tout... Ce sont les petites filles...
En disant cela, Lucrezia fit passer le bout de sa langue sur sa cicatrice qui ornait sa lèvre supérieur, avant de faiblement soupirer... Oui... En plus d'être une sinistre et cruelle nymphomane, Lucrezia était aussi une abjecte  pédophiles...
Le regard de Lucrezia vint ensuite à ce porter vers les yeux du psychiatre qui, du bout de son stylet, noté ce que la femme lui disait. Lucrezia n'était pas vraiment très à l'aise pour le coup... Elle se tassa un peu plus sur sa chaise, frissonnant légèrement sur cette dernière. Ce type était vraiment louche... Lulu n'arrivait pas à ce défaire de cette sensations... Nan, il y avait vaiment un truc qui clochait avec lui.

« Parlez moi de votre père. »

Bam... C'est mots résonnèrent dans l'esprit malade de notre duchesse qui, d'un coup, ce figea sur place. La femme eut alors la chair de poule au niveaux des bras avant d'être une nouvelle fois, traversée par un frissons. L'homme la regardait toujours au travers de ses yeux perçants, ce qui n’arrangeât pas les choses.

Je...

Lucrezia serrat brièvement les poing tout en détournant son regard de celui de l'homme puis... plus rien... La femme s'enferma dans un silence de plomb...
« Modifié: vendredi 23 janvier 2015, 14:12:39 par Lucrezia.H.Nietzsche »


Lionel Lecter

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 13 vendredi 30 janvier 2015, 23:27:45

Lionel était très attentif à chaque parole de Lucrezia. Elle n'avait pas mal réagit à ses questions et franchement, pour une tueuse psychopathe, c'est pas mal du tout ça ! Son regard posé sur elle, il écoutait ses paroles. Une fille de 17 ans ? C'est jeune. Et apparemment, il y avait eut un rapport avant le meurtre. Pourquoi cette violence sexuelle ? Pourquoi appliquerait-elle cette chose sur des filles qui avaient été comme elle ?... Oh non, avait-il trouvé ? Il lui manquait une information. Une misérable petit information et il pourrait en arriver à une conclusion vraiment bouleversante ! Les paroles de Lucrezia continuaient de défiler et il les analysaient quand soudain, elle avoua... Elle avait un problème avec les gamines.

Merde, il avait raison. Il était persuadé que cette fille reproduisait, plus ou moins, ce qu'elle avait subit afin de mieux le vivre. Et très étrangement, ça lui rappelait d'autres tueurs. Comme lui ? Non, pas du tout. Lui, lorsqu'il faisait manger de la chair humaine à quelqu'un ; ce qui était excessivement rare ; c'était pour révéler quelque chose en cette personne. La chair humaine, il se la réservait. Mais en tout cas, avec ces propos, il arrivait à de nouvelles idées. Elle ne répondit pas pour son père. Normal après tout, il comprenait une chose importante. Une chose réellement profonde qui lui permit de voir plus profondément en elle.

Elle n'était pas méchante, elle était juste pourrie. Un bon fruit troué par un vers. Et maintenant qu'il le savait, il allait pouvoir finir sa thèse ! Une excellente chose de faite~ Maintenant, que pouvait-il faire d'elle ? La tuer ? Non, il pourrait toujours imiter son style un jour ou l'autre pour lui faire porter le chapeau sur un meurtre où il récupérerait quelque organes. Mais qu'allait-il faire d'elle maintenant ? Il ne savait pas trop. Il se contenta de finir d'écrire et posa sa tablette sur son bureau, la verrouillant. Il finit par s'approcher de la jeune femme pour tenter quelque chose. Il posa une main dans le dos de la jeune femme et lui caressa, tendrement

« Tout va bien Lulu... Si tu ne veux pas en parler, n'en parles pas. Si un jour tu en as envie, quand tu seras prête, je t'écouterai volontiers d'accord ? »

Il lui offrit un grand sourire et posa alors un baiser dans les cheveux de la jeune femme. Elle sentait encore le shampoing... Oui, ce qu'il testait, c'était sa réaction à la tendresse ! Pourquoi ? Simplement pour voir si elle y était sensible. Si non, cela voudrait sûrement exprimer une certaine soumission et une habitude de ne pas avoir ce genre d'attention. Si oui ? Hé bien, il ne saurait quoi dire. Peut-être serait-ce une preuve qu'elle voulait ou pouvait ressentir autre chose que du plaisir brut ? Intéressant à développer. Il n'irait sûrement pas jusqu'à la faire tomber amoureuse de lui, mais il pourrait tout de même tester ses réactions, ses tics, ses tocs... Des éléments supplémentaires pour sa thèse. Et puis, lorsque la police viendrait fouiner, il se débrouillerait pour la dégager de chez lui. Mais pour l'instant, il devait encore voir les détails intéressants et ce qu'il pouvait ressortir d'elle ! Enfin, psychologiquement parlant~

« Tu as une idée de ce que tu veux faire aujourd'hui Lucrezia ? »

Dans un air plus tendre, avec un léger arc de cercle comme sourire, il s'assit de nouveau devant elle. Cette soudaine tendresse, cette surprenante familiarité... Il était doué pour ça. Pour tenter de comprendre les gens... Et puis, il avai réussit à mettre un kryptonien en confiance alors pourquoi pas une femme un peu paumée ? Dans un très léger sourire, il plongea son regard dans le sien. Voyons ce qu'il pourrait y lire.

C'est là que la recherche devient intéressante~

DC de Tryzox

Lucrezia.H.Nietzsche

Humain(e)

Re : Le Narcisse et l'Hortensia (PV : Dr.Lecter <3)

Réponse 14 dimanche 01 février 2015, 19:01:15

Lulu était à présent troublée... Confuse... La question de l'homme avait fait remonter à les surface les brides de son enfance dissoute et monstrueuse. Le regard de la Duchesse était maintenant porté sur un bête morceau de pains, morceau de pains qu'elle ne regardait même pas... Enfaîte, elle était complètement ailleurs, entre la réalité et ses pensées. C'est dans des moments comme ça que l'on peut ressentir toute la souffrance que Lucrezia ressent au fond d'elle. Lucrezia, comme la quasi totalité des tueurs en séries, ne reflétait en rien l'image que les gens on habituellement des tueurs, soit, celle d'un monstre froid et violent, tuant tout sur son passage et ce, sans éprouver le moindre remord... Nan, la réalité est un chouilla différente... Il faut voir Lucrezia comme une boule de sentiment qui, à force d'être réprimés ou détruits ce sont entremêlés et on dévié vers une sorte de mélange explosif, une alchimie perverse et salasse qui la pousse à tuer. Lucrezia ne tue pas par absence de sentiments, mais par une incompréhensions de ces derniers, mais aussi par l’incapacité de pouvoir réprimer ses pulsions mortifères.  Lucrezia, au fond, n'était rien autre qu'une gamine immature, une femme perdue dans les méandres de sa solitude et de sa tristesse qu'elle n'a jamais peu combler autrement qu'en baisant, en ce droguant et en tuant.

La jeune femme fut arrachée à ses pensée par la mains réconfortante de cet homme lui caressant le dos. A son contact, Lucrezia sursauta légèrement, avant de regardait le Doc d'un air un peu troublé. Que faisait il ? Pourquoi ce sourire ? Lulu baissa timidement les yeux, ne sachant trop quoi penser de cet acte de tendresse soudain, quand l'homme vint à finalement lui parler sur un ton doux.

« Tout va bien Lulu... Si tu ne veux pas en parler, n'en parles pas. Si un jour tu en as envie, quand tu seras prête, je t'écouterai volontiers d'accord ? »

La tueuse ne répondit pas à l'homme, ce contentant seulement d'humer son after-shave silencieusement. Elle était un peut troublée mais... C'est vraiment le baiser que ce Dr.lecter vint à lui faire sur la tête qui la fit frémir. La femme crispât lentement ses poing, avant de se figer net sur sa chaise. Qu'essayait il de faire ? Pourquoi il se mettait à la tutoyer tout à coup ? Aurait il vraiment envie de ce la faire, là, dans sa cuisine ? Nan... Et puis... Bizarrement, Lulu n'avait pas franchement envie de faire des trucs. L'homme lui demandât ensuite ce qu'elle voulait faire aujourd'hui... Ce sur quoi la femme mit plusieurs minutes à répondre, s'extirpant mollement de ses pensés. Ce qu'elle voulait faire ?... Elle n'en savait trop rien... Qu'est ce qu'elle pouvait faire franchement ?
Menait un semblant de vie "classique" ? Nan, pour l'heure lulu ne savait foutrement pas quoi faire de sa journée avec cet homme. Le regard de la Duchesse glissa sur plusieurs chose dans cette pièce et, elle constatât qu'une fois encore, l'homme m'observait avec insistance, ce qui l’amenât à encore baisser les yeux... Elle était timide...  bien qu'elle soit très souvent prête à offrir sont cul à n'importe qui, là, Lulu se sentait vraiment "bizarre"... Ce type exerçait une aura assez singulière sur notre Duchesse... Un truc qu'elle n'aurais sue expliquer... Une sorte d'attirance repoussante qui malmenait son esprit déjà complètement détruit.

Je...

Sont regard se leva alors vers celui de son interlocuteur puis...

Auriez vous des vêtements plus adapté pour moi...

Elle se mordit légèrement les lèvres avant de reprendre un bout de pate d'amande, le portant ensuite à sa bouche.
On pourrait penser que cet homme exerçait une force sur lulu et que, de ce fait, il était en sécurité mais... Bien qu'elle soit plutôt réservée face à l'homme, Lucrezia était toujours une dangereuse tueuse en série... Lucrezia était instable... Et bien que face à une homme elle soit plus "soumise", elle n'en reste pas moins une femme capable d'une violence inouïe... Chose que cet homme n'avait pas intérêt à oublier et d'autant plus s'il comptait la garder chez lui afin de la questionner.



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