Toc toc ! [Rin Shibuya]

Ah le lycée ! De mon point de vue un gigantesque frigo rempli de mets délicieux. J'ai tellement hâte d'y être inscrite mais, pour l'heure je fais surtout les heures de sortie pour chasser. Parfois le soir il m'arrive de m'y introduire pour me familiariser avec les lieux, je me balade dans la cours et je regarde par les fenêtres. Je peux voir les salles de cours avec tous ces bureaux vides alignés, le réfectoire, les équipements sportifs à l'extérieur et, mon préféré, je peux voir à l'intérieur du dortoir. Vue directe sur l'intérieur des chambres où les volets n'ont pas été fermés. Je peux alors regarder les élèves dormir à poings fermés, m'imaginant déjà en train de les besogner dans ce même lit dans quelques semaines ou mois. Aaaaah j'ai hâte ! Je passe ainsi d'une fenêtre à l'autre, comme une touriste regardant les cartes de tous les restaurants d'une rue pour se décider. De temps en temps, il m'arrive de tomber sur des élèves en train de faire l'amour et de les observer.

Ce fut le cas ce soir. Alors que je passais d'une fenêtre à l'autre j'ai surpris une jeune-fille en train de coucher avec un garçon, je prends plaisir à observer la scène, elle semble avoir l'habitude. Alors qu'elle jouit, je la vois aspirer sa force vitale par un baiser tandis que son amant éjacule. Oh ? Voyez-vous ça. Une semblable ! J'observe cette lycéenne quelques temps à travers la vitre. Elle continue encore et encore, orgasme après orgasme, jusqu'à ce que sa victime tombe dans les pommes à force de se faire pomper et solliciter de la sorte. Cela devait faire des heures qu'ils s'étreignaient ainsi. Comme si ça ne lui suffisait pas, la jeune-femme a continué à se masturber après que son amant ait tourné de l’œil.

Je me fais la réflexion suivante : une autre succube ferait une excellente cobaye pour mes expériences à Biogenix, je pourrais tester des choses intéressantes sur elle. Ne reste qu'à l'emmener là-bas mais, ça ne devrait pas être très compliqué. Elle est excitée, si je fais en sorte qu'elle me voit et qu'elle m'invite à rentrer je pourrais la capturer sans grand problème. C'est quand même ironique que la première pensée d'une succube traquée dans cette situation soit de vouloir capturer quelqu'un d'autre. Je me contente tout bêtement de toquer à sa fenêtre et sitôt cette dernière ouverte je m'y penche avec un grand sourire pour lui demander le plus normalement du monde :

"Je peux entrer ? À moins que tu ne préfères les plaisirs solitaires ?"

Quelque chose me dit qu'elle ne refusera pas.

Ahhh... Les dortoirs... N'y avait-il pas meilleurs endroit au monde qu'un bâtiment remplis de camarades de cours, tous plus vigoureux les uns que les autres ? Un lieu où l'on pouvait faire des tas et des tas de plan cul sans avoir les parents sur le dos ? Probablement pas, et c'était bien là la raison première, pour laquelle Rin avait souhaiter vivre ici la semaine, alors que sa maison n'était qu'à l'autre bout de la ville. Certes, elle se privait un peu des aventures dans le métro, mais en comparaison à Mishima, elle n'avait aucun regret.

Ce soir là, comme c'était souvent le cas, ceux que les autres élèves nommaient affectueusement Sakyu-chan, s'était enfermée dans sa chambre avec un des meilleurs sportif du lycée, avec qui elle avait couchée durant des heures et des heures, à effectuer quasiment tout le répertoire du Kamasutra, et avait été en conséquence bien remplie. Mais si on l’appelait "petite succube", ce n'était pas pour rien. Rin était connue parmi les élèves pour être insatiable, à tel point, qu'elle avait la réputation de pomper ses amants et ses amantes, jusqu'à les vider de leurs forces. Pour eux, c'était la promesse d'une nuit intense jusqu'à ce que le sommeille ne vous gagne. Malheureusement, cela finissait toujours de la même manière pour la lycéenne... Ces partenaires de jeu tombaient de sommeil et elle se retrouvait obligée de finir le travail avec ses doigts, pour enfin se satisfaire...

Son amant était donc profondément endormi à ses coté, alors que Rin faisait des vas et viens dans son intimité dégoulinante de semence, soupirant de plaisir, mais jetant de temps à autre un regard noir envers le garçon inerte, lui reprochant silencieusement son manque d’endurance. D'ailleurs, il lui semblait que tout les élèves de Mishima avaient une sérieuse carence à ce niveau là. Mais ce fut au moment où elle s’apprêtait à jouir une énième fois, que Rin entendit des bruit provenant de sa fenêtre. Se retournant, elle stoppa net toute activité, regardant éberluée cette fille qui lui faisait coucou de l'autre coté de la vitre... Euh... Sa chambre n'était-elle pas au 3e étage ?

Elle vit alors les ailes battre doucement, pour maintenir la fille dans les aires, les cornes sur sa tête, et la queue qui se terminait en pic, se balançant doucement derrière elle. Rin mit plusieurs secondes pour réagir, peinant à admettre ce qu'elle voyait : une authentique succube qui lui rendait une petite visite nocturne... Alors ça existait réellement ? Pour de vrai ? Elle se leva précipitamment pour ouvrir la fenêtre, un large sourire sur les lèvres.

- Je peux entrer ? À moins que tu ne préfères les plaisirs solitaires ?

- Hein ? Euh... Oui, bien sûr ! Si ça te dérange pas que je sois déjà pleine à raz bord !

Elle laissa échapper un léger rire, tandis qu'elle la laissait entrer, avant de refermer derrière elle. Toutefois, elle ne bougea pas par la suite, fixant toujours la succube devant elle qui prenait ses aises, son regard très concentré non pas sur ses formes alléchantes, mais sur ses attributs démoniaques.

- Euh... Tu es bien réelle hein ? C'est pas un rêve éveillé que je fais ? J'arrive pas à croire que les succubes existent pour de vrai... Tu sais que tu tombe à pique ? Je commence à en avoir marre des partenaires de jeu qui tombent de sommeil, avant de me satisfaire...

Comme prévu elle me laisse rentrer. Je lui fais un petit signe de la main pour qu'elle se pousse un peu et je prends mon élan avant de rentrer mes ailes, entrant par la fenêtre les pieds en premiers et atterrissant dans la chambre. J'aurais bien eu envie de gueuler bien fort un "TADAM !" en levant les bras mais, à cette heure là dans un dortoir ce n'est pas une bonne idée. Je regarde la lycéenne, elle ne ressemble vraiment pas à une succube, elle n'a quasiment pas de poitrine, même si ça ne l'empêche pas d'être mignonne. Par curiosité je me concentre pour voir son aura et là je tombe sur une aura titanesque, comme si depuis le début de sa vie elle avait passé le plus clair de son temps à se faire sauvagement tringler. Mais bon, vu l'état du pauvre mec qui est par terre je crois que c'est plutôt logique en fait.

Enfin, pas besoin de faire dans le subtil cette fois-ci. Je suis une succube, elle est une succube et nous avons toutes les deux envie de baiser, voilà qui simplifie bien les choses. Sans lui répondre immédiatement je pose ma main gauche entre ses seins, enfin, au milieu de sa planche à pain plutôt. Visiblement elle n'est pas au courant de sa véritable nature et doute même de mon existence, le fait que je la touche prouve que j'existe et le fait que ma queue de succube vienne caresser son bas-ventre prouve que je suis bien une succube. Ma queue descend un peu pour caresser son intimité et récupérer une partie du sperme du jeune sportif. Je l'amène jusqu'à ma bouche, avant de la lécher avec gourmandise :

"Hi hi ! Hum ! Du dessert ! Ah oui c'est vrai, oui j'existe bien, oui je suis une succube et le fait que tu sois pleine à raz bord ne me dérange pas car ..."

Je la pousse doucement pour qu'elle s'étale sur le lit, avant de me jeter à genoux entre ses cuisses, léchant une première fois son intimité, frissonnant en goûtant ce délicieux sperme que j'aime tant. Puis je relève ma tête pour dire après avoir avalé :

"Car ça ne va pas durer ma jolie !"

Je replonge aussi sec ma tête entre ses cuisses maculées de sueur, de cyprine et de foutre froid. Je m'amuse avec son intimité, j'embrasse son sexe, je passe et repasse ma langue sur ce dernier, parfois je prends un sadique plaisir à le mordiller, n'oubliant pas de sucer son adorable petit clitoris. À chaque coup de langue je ramène un peu du sperme qui remplit sa jolie chatte imberbe, aspirant ce doux mélange de saveurs avec avidité. Bon en temps normal on ne commence pas par le dessert mais, là c'est exceptionnel, je vais pas gaspiller quand même. M'aidant de mes mains, je commence à caresser l'intérieur de ses cuisses, histoire de l'exciter davantage. La mollesse des derniers instants de son étalon avait dû l'ennuyer, il convenait donc de rallumer le désir de la demoiselle, lui montrant qu'il y avait mieux que les doigts pour se finir. Je me relève, laissant volontairement un filet de sperme échapper à mes lèvres pour dévaler mon cou et plonger dans mon décolleté.

"Merci pour le dessert. Et maintenant ... Le plat principal !"

Je n'ai pas envie de perdre de temps alors je fais purement et simplement disparaitre mon haut et mon string, garder les bottes et les gants me donne un petit côté sexy qui ne me déplait pas. D'un ton de défis je lui lance en la pointant du doigt :

"Facile de fatiguer un lycéen ! Montre moi plutôt comment tu comptes fatiguer une succube petite perverse !"

Sitôt est-elle entrée, qu'elle se retourna de suite vers la lycéenne et usa de sa queue pour récolter la semence qui coulait de ses orifices, l’amenant ensuite à ses lèvres. Le délicieux contact de sa queue sur son intimité était une preuve suffisante quant à la véracité de son existence, et promettait un moment amusant pour la suite des événements.

- Hi hi ! Hum ! Du dessert ! Ah oui c'est vrai, oui j'existe bien, oui je suis une succube et le fait que tu sois pleine à raz bord ne me dérange pas car ...

Rin fut poussée sur son lit, et celle-ci écarta les cuisses au maximum, un sourire avide accroché sur le visage. Elle n'attendit que quelques secondes, avant de projeter la tête en arrière, poussant un long gémissement au petit coup de langue. Il ne fallait pas oublier qu'avant de voir la succube, Rin était sur le point de jouir de sa masturbation. Son plaisir était donc toujours assez élevé.

- Car ça ne va pas durer ma jolie !

- Hmmm ♥ Je te fais confiance là dessus... Haaaaaaa ♥

Rin ferma les yeux pour profiter au mieux des sensations offertes par la langue de la succube. Elle était douée, aucun doute là dessus. Probablement aussi douée qu'elle. Continuant de gémir et de soupirer sous les caresses de son invitée imprévue, la lycéenne plongea une main dans la douce chevelure rousse de son amante et caressa longuement cette dernière, son autre main tortillant un de ses tétons dresses entre ses doigts. Rin regrettait qu'elle ne se soit pas mise en 69 au dessus d'elle, car elle aurait bien aimer goûter à son intimité, elle aussi. Son plaisir atteignit bientôt un nouveau pic, et son corps se cambra.

- Hum... Tu veux du rab ? A-Attend... Mon jus arrivaaAAAAAAAAA ♥♥

Elle n'eu pas le temps de finir sa phrase, qu'un long jet de cyprine quitta son intimité, pour s’étaler sur le visage et dans la bouche de la succube, suivit d'un second, puis d'un troisième. Elle continua ainsi une vingtaine de seconde, lorsque la rousse finit par se redresser, dans une vision purement excitante, faisant du même coup disparaître son haut et son bas.

- Merci pour le dessert. Et maintenant ... Le plat principal ! Facile de fatiguer un lycéen ! Montre moi plutôt comment tu comptes fatiguer une succube petite perverse !

- Hmm... Tu va comprendre pour quoi on  me surnomme "petite succube" ♥

Elle venait de jouir. Elle estimait donc que c'était cette fois-ci à son invité de mouiller ses draps. A l'aide de ses jambes, elle retourna la succube, qui se retrouva allongée sur le dos, et se redressa au dessus d'elle. Rin se mit ensuite à genoux devant son intimité pour goûter à sa mouille, mordillant son clito et ainsi se venger un petit peu de ne pas l'avoir laisser goûter au début, avant de passer aux choses sérieuses.

- N'hésite pas à crier, les autres élèves ne dorment pas, mais sont adeptes du voyeurisme... ça en excite pas mal de se contenter d'écouter et d'imaginer ♥

Mais avant, juste avant de la faire hurler de plaisir, Rin se pencha sur son amante et l'embrassa langoureusement... Non, en fait, elle dévorait littéralement ses lèvres, passionnément et intensivement, faisant de nombreux bruits humides avec sa langue et sa salive. Nombre de filles succombaient à ses baisés et, si elle se doutait que ce ne sera probablement pas le cas de la succube, cela lui laissait entrevoir la suite de la nuit. La lycéenne l'embrassa ainsi longuement, sans vraiment prendre le temps de respirer, ou du moins pas petites goulées, chaque fois que ses lèvres se décollaient suffisamment, et, sans prévenir, enfonça trois doigts dans le vagin déjà humide de son amante, refermant sa main pour former comme une pince, le pouce sur son bouton d'amour. Ainci, tout en faisant des vas et viens dans son intimité, le pouce frottait sur le clitoris de la belle. Il arrivait même parfois que Rin ne plie et ne déplie ses doigts, pour varier les sensations.

De son autre main, la lycéenne attrapa la queue de la succube, et l’amena sur l'un des seins opulent de son amante. Elle posa le bout en forme de pic juste sur son téton, et commença à le caresser avec sa queue, le pinçant parfois au travers de celle-ci, s'occupant ainsi de deux points sensibles en même temps, d'une seule main. Maintenant qu'elle était en position, elle continua longuement en conservant le même rythme, sans avoir besoin que l'on vienne s'occuper de son corps, étant déjà excité comme une folle, rien qu'en agissant ainsi. Une vraie petite perverse. Il fallut de longues minutes, pour que Rin obtienne un premier orgasme de son amante, mais elle ne s'arrêta pas pour autant, et n'en tint même pas compte, continuant comme si de rien n'était. Durant son orgasme, elle absorba même un peu de son énergie vitale, sans y faire attention. Elle attendit toutefois qu'elle ait fini de jouir, pour lâcher ses belles lèvres et venir lécher son cou, non pas parce qu'elle n'avait plus la force de l'embrasser, mais parce qu'elle voulait aussi l'entendre gémir ouvertement, l'entendre crier, ivre de plaisir.

- Hmmmm ♥ J'adore entendre ta petite voix de salope en chaleur ♥ Haaaaaaaa ♥ Dis ? t'aurais pas un genre de pouvoir succubique, pour qu'on jouisse toutes les deux comme de vraies petites folles ?

Et elle retourna la besogner, continuant de lécher son cou comme une gourmande, en attendant sa réponse, sa mouille gouttant toujours sur le bas ventre de son amante...

En bonne petite affamée qu'elle est, elle s'empresse de me plaquer dos au lit, me chevauchant l'espace d'un instant avant de glisser sa tête entre mes cuisses. Maintenant que mon intimité est accessible, elle a bien l'intention d'en profiter, estimant à juste titre que c'était à mon tour de mouiller. Je sens sa langue s’immiscer entre mes lèvres d'en bas, récolter ma cyprine qui suinte déjà. Sans doute par vengeance je peux sentir ses dents m'infliger une excitante punition, elle mordille mon bouton d'amour comme une petite sauvageonne. Je sens bien qu'elle a l'habitude et qu'elle s'est longuement entrainée sur les élèves, elle sait y faire. Elle sait y faire certes mais, si elle avait conscience de sa véritable nature elle pourrait faire tellement plus. Plus ça va et plus cette lycéenne m’intéresse, elle ferait une amante et une cobaye remarquable.

"N'hésite pas à crier, les autres élèves ne dorment pas, mais sont adeptes du voyeurisme... ça en excite pas mal de se contenter d'écouter et d'imaginer."
"Les humains sont bizarres. Si j'entendais deux filles gémir je me précipiterais pour participer ... Ils préfèrent vraiment se masturber seuls dans leur coin ?"

J'ai toujours eu du mal à comprendre cette retenue chez les autres races. Nous sommes faits et faites pour nous reproduire, pour baiser comme des animaux, pour séduire, nos corps sont faits pour ça, nos esprits également. Alors pourquoi se retenir ? Pourquoi se priver volontairement de ces plaisirs ? Qu'il y a-t-il de mal à vouloir baiser quelqu'un ? De mon point de vue la seule explication logique serait qu'à l'état naturel un mâle et une femelle en train de se reproduire sont vulnérables, ainsi il convient de se cacher lorsqu'on baise pour ne pas attirer un prédateur. Mais ça fait très longtemps que les humains ne sont plus soumis à ce genre de menaces. Alors pourquoi continuer à avoir peur de se montrer, de coucher les uns avec les autres ? Je n'arrive pas à comprendre cette logique.

Quoi qu'il en soit, celle avec qui je partage ma soirée n'a pas peur elle, elle m'a ouvert sa fenêtre de bon cœur et n'a pas honte d'éprouver du plaisir. Elle monte sur moi pour m'embrasser et qu'est-ce que c'est bon. Le baiser est long, passionné, elle dévore littéralement mes lèvres et je lui réponds, je joue avec sa langue. Lorsqu'elle veut reprendre sa respiration je viens lui mordiller la lèvre inférieure pour qu'elle ne s'échappe pas trop loin, puis je la tire vers moi pour qu'elle m'embrasse à nouveau. Ses doigts me pénètrent, pendant que mes mains à moi caressent sa peau nue, ma main droite glissant sur sa hanche, ses reins, ses fesses, ma main gauche elle, joue avec son sein droit, jouant avec son téton du bout des doigts. Son charme ressemble un peu à celui de ma forme humaine, son corps est celui d'une lycéenne parfaitement normale en apparence, avec des formes modestes. Mais ce qui la rend irrésistiblement attirante c'est son attitude, ses sourires, sa perversité, il y a ce même côté touchant et excitant de la fille banale qui se révèle être une salope de premier choix. Quelque part c'est plus excitant de voir une fille qu'on prenait pour banale se dévoiler et montrer l'étendue de son appétit sexuel, plutôt que de constater cela chez une bombe sexuelle.

Les sons sont étouffés par la bouche de Rin mais, je gémis doucement, appréciant ses caresses buccales, ainsi que les autres. Je me serais bien laissée aller à la paresse, la tentation de la laisser faire tout le boulot et de profiter de ma chance est grande. Je me vois bien blottie contre cette charmante jeune-fille toute la nuit, me délectant de sa frustration tout en prenant mon pied. Cependant, lorsque cette pensée me vient je me remémore ses petits yeux brillants lorsqu'elle m'a ouverte la fenêtre. Pour une fille aussi perverse je dois être une sorte de fantasme, je n'ai pas le droit de la décevoir, je veux qu'elle passe une soirée inoubliable, puis nous passerons aux expériences dans les laboratoires de Biogenix. Là-bas aussi je m'assurerais que tout cela soit le plus plaisant possible pour elle. Pour l'heure elle attrape ma queue, frottant cette dernière contre mon téton, quelle délicieuse idée ! Réunir ainsi deux zones aussi sensibles de mon corps, j'en frisonne, laissant échapper un petit :

"Humph ..."

Le plaisir monte graduellement, de fil en aiguille je commence à haleter, à couiner lubriquement sous ses assauts, mes mains se déplacent sur son corps. L'une d'entre elle va agripper sa nuque, caressant ses cheveux tout en maintenant bien ses lèvres contre les miennes. L'autre lui donne de petites fessées, histoire de lui rappeler que, même si elle est au-dessus de moi, je reste l'ainée ici. J'adore gifler son joli petit cul pendant qu'elle me gâte comme ça cette vilaine. Mon corps se cambre sous l'effet du plaisir, agité de petits spasmes, mes doigts se crispent lorsqu'elle touche un point sensible, lui permettant ainsi de revenir dessus pour insister et me procurer encore plus de plaisir. Elle sait écouter ce que mon corps lui dit et moi aussi je sais écouter le sien et lui donner ce qu'il veut. Bien vite je ne vois plus le temps passer, les minutes défilent, mes couinements étouffés sont devenus des cris étouffés. Affectés par mes pouvoirs de succube les autres élèves se masturbent et baisent ensembles tout autour de nous, sans même nous voir. Ma mauvaise influence transfert mon excitation à tous les êtres vivants alentours, si une capacité semblable émane également de la lycéenne, tout le dortoir risque de passer une nuit aussi courte que mémorable. Finalement elle abandonne ma bouche pour venir lécher mon cou me laissant de m'exprimer :

"HAAAAAN ... Ah ! HUUUUMPH !"

C'est à ce moment là que j'ai réalisé que je ne savais pas quel nom crier, bah tant pi ! Elle veut voir mes pouvoirs de succube à l’œuvre en tout cas et j'ai deux idées. Une qui va lui donner beaucoup de plaisir et qui nous permettra de continuer et une autre qui mettra fin à nos ébats ici mais, lui procurera encore plus de plaisir. Autant commencer par la première ! Ma queue se met à gonfler sur ses trente derniers centimètres, formant une sorte de sexe caudal en forme de gros crayon et se met à éjaculer un liquide aphrodisiaque, lubrifiant et dilatant sur ma poitrine à la consistance, l'odeur et l'apparence du sperme. Les doigts qui retenaient cette queue, plein de ce lubrifiant très efficace, sont incapables de la retenir lorsqu'elle s'échappe. Aussitôt elle va se coller dans le dos de Rin, descendant doucement vers ses fesses, laissant une trainée de simili-sperme derrière elle. Finalement elle s'arrête juste devant son anus, caressant sa petite rondelle brune sans la pénétrer.

"Aaaaah ... Tu voulais jouir ... Comme une petite folle ... C'est bien ça ? Huuuuum ... AAAAAAH !!!"

Et plop !

A vrai dire, Rin disposait d'un pouvoir similaire à celui qu'utilisait la succube, bien qu'elle n'en sache rien. Le seul défaut, c'est que ses phéromones n'agissait pas à travers les murs. Dans une pièce presque close comme une chambre, ces dernières ne pouvaient donc passer que par l'interstice de la porte, et affecter un élève qui passerait dans le couloir. Avec un peu de chance, la surveillante qui passait de temps en temps pour son inspection était tombée sous l'emprise de ses dernières, et se masturbait en écoutant leurs ébats...

Dans tout les cas, Rin lui avait demandée si elle avait des pouvoirs, et son amante s’exécuta, transformant sa queue de succube en une sorte de gode à la fois caoutchouteux et dur, qui se mit à éjaculer un peu de foutre chaud sur sa poitrine. Rin se lécha les lèvres avec gourmandise, à la vue de cette petite scène, et la queue glissa hors de sa main, venant se frotter à son petit cul, qui se dilatait tout seul au contact de ce nouveau jouet.

- Aaaaah ... Tu voulais jouir ... Comme une petite folle ... C'est bien ça ? Huuuuum ... AAAAAAH !!!

- HAAAAAAAAAAAAN !!!

Rin se cambra de plaisir lorsqu'elle sentit la queue caudale s'enfoncer entre ses petites fesses. Cette poussée de plaisir, l’amena à venir coller sa fente toute dégoulinante de mouille contre celle de la succube, les deux clitoris se collant l'un à l'autre. Puis vinrent les vas et viens, rapides et puissants, qui enfoncèrent toujours plus loin la queue dans son fondement. En bougeant ses hanches sous l'effet de ce plaisir, Rin frotta son bouton d'amour contre celui de son amante, d'avant en arrière. Se penchant vers l'avant, l'élève attrapa ses seins, un dans chacune de ses mains, et s'amusa à les presser dans celles-ci, ses pouces jouant avec ses tétons bien durs, les écrasant parfois, alors qu'elle léchait le "sperme" étalé sur sa poitrine, l'aspirant dans un bruits pervers et le remuant longuement dans sa bouche. Ce truc avait beau avoir la consistance du sperme, cela n'en avait pas le goût... mais c'était bien meilleur, et ça avait même le mérite de l'exciter encore plus...

Mouillant désormais comme une vraie fontaine, intarissable, Rin attrapa les lèvres de la succube avec les siennes et, partageuse, l'embrassa goulûment, en versant dans sa bouche une partie du sperme qu'elle avait récupérée, avalant l'autre moitié. Et la voilà repartit pour un intense baisé, alors qu'elle continuait de jouer avec ses seins et de se frotter contre son antre des plaisir, couinant comme une pucelle en chaleur. Par fois, elle la relâchait un peu, pour la motiver à coulisser plus vite et plus fort en elle.

- Hannnn.... Haaaaaa.... C'est géniaaaal ! Haaaaaa.... Continuuue ♥ Haaaaaaaaa ♥ Enfonce là tout au fond... de mon cuuuul !! Haaaaaaaaa !!! Ouiiiiiiiiiiiiii ♥

Ma queue de succube, lorsqu'elle gonfle ainsi, ressemble a une sorte de gros gode au bout d'un tentacule. Il y a trois grosses différences avec un pénis classique. D'abord elle éjacule en permanence un simili-sperme aphrodisiaque, dilatant et lubrifiant. Ensuite elle n'est pas soumise aux contraintes physiques d'un sexe, elle peut aller n'importe où à l'intérieur des orifices de quelqu'un et provoquer des sensations uniques. Et finalement, n'étant pas rattachée à un bassin, elle peut se mouvoir beaucoup plus vite et avec une plus grande précision. C'est ce qui en fait un outil de jouissance particulièrement puissant. Je commence doucement, avec des vas et viens assez lents, correspondant à la cadence d'un être humain lambda, ce à quoi elle devait être habituée en temps normal. Pendant ce temps ma queue lâche de petits jets de fausse-semence qui vont dilater son anus au maximum et le lubrifier suffisamment pour que la suite ne la blesse pas et ne soit que pur plaisir. Si je la prenais à sec en y allant à fond dès le départ, la pauvre petite serait tiraillée d’atroces douleurs due aux frottements intenses. Or le but est de lui offrir une bonne soirée, donc prudence.

Sous l'effet du plaisir naissant, elle s'est collée contre moi, vulve contre vulve, venant m'embrasser pendant que je préparais son derrière pour la suite. Elle s'est empressée de venir déposer dans ma bouche un petit peu de mon propre aphrodisiaque. Message reçu petite insatiable, je ne me retiendrais pas. Je pose mon doigt sur ses lèvres, lui imposant le silence et la poussant légèrement en arrière, tandis que ma queue s'immobilise en elle :

"Tu trouves déjà ça "génial" hein ? Pauvre petite ... Moi je vais te montrer un truc vraiment génial !"

Ma queue s'est mise à la pilonner, plus comme un marteau-piqueur que comme un pénis. Elle va monstrueusement vite, heureusement qu'elle est bien lubrifiée et que le lubrifiant continue d'abonder dans son cul, sinon elle aurait vite horriblement mal. Pour obtenir une sensation semblable dans le monde des humains, il lui faudrait ce genre de machines qu'on peut voir dans certains pornos, des godes montés sur de gros vérins et qui envoient en permanence du lubrifiant dans les orifices des actrices.

Pendant ce temps je la serre contre moi, ma joue contre la sienne pour la laisser crier comme bon lui semble. Nous restons ainsi pendant de longue minutes, je lui caresse le dos, les fesses, tandis que ma queue lui défonce le fondement. Je suis restée ainsi le temps de nous procurer plusieurs orgasmes, c'est aussi un excellent test de son endurance au lit, plus éprouvant que deux ou trois lycéens qui lui passeraient dessus. Ma main glisse dans ses cheveux, en dessous de nous les draps sont complétement détrempés et moi je gémis joyeusement tout le long en la prenant sauvagement. Finalement je ralentis la cadence, je ne suis pas fatiguée mais, j'ai envie que nous fassions autre chose. Ma queue ressort de son cul dans un "pop" sonore et je lui demande avec le sourire :

"Han, han ... Alors ? Han ... Ton étalon ne t'as jamais fais quelque chose comme ça hein ? Et si tu me montrais tes talents de succube maintenant ?"

Baiser avec cette fille, cette succube, c'était vraiment le pied, pour une petite perverse comme Rin. Se faire défoncer par la queue de la démone, si semblable à un tentacule mou, rien au monde ne valait pareille expérience. Et pourtant, la lycéenne était loin de se douter de tout le potentiel de cette queue. La succube l'éloigna légèrement en arrière en posant un doigt sur ses lèvre, lui demandant par ce geste de se taire quelque instants.

- Tu trouves déjà ça "génial" hein ? Pauvre petite ... Moi je vais te montrer un truc vraiment génial !

La suite fut incroyable. Le sexe tentaculaire de la rousse bougeait si vite en elle, pistonnant son cul à une telle vitesse, que Rin poussa un véritable hurlement de plaisir, son fondement ruisselant de ce liquide transparant et lubrifiant, tandis que le regard de Rin se révulsa légèrement. Jamais elle n'avait ressentit quelque chose de si intense. En plus, elle s'enfonçait vraiment très loin en elle, faisant remuer sa queue dans tout son ventre. Il ne lui fallut pas longtemps avant de jouir une première fois, inondant sa partenaire de son doux nectar sucré, hurlant à s'en casser la voix. Et pourtant, il n'y avait aucune souffrance dans ces cris, comme le montrait le ton de sa voix. N'importe quel homme l'entendant ainsi hurler en banderait aussitôt, car Rin restait malgré tout très sensuelle, à sa façon de s'exprimer, même ainsi.

Après son orgasme, Rin enfonça ses doigts dans l'intimité de la succube, et les bougea rapidement entre ses chairs, presque aussi vite que le piston perforant son cul, jusqu'à y mettre toute sa main, puis son avant bras, la fistant presque aussi vite que la queue caudale en elle. Pour ce faire, Rin avait dû changer un peu de position, mais elle y allait à présent de bon cœur, ne s'arrêtant pas lorsque la rousse lui jouissait dessus, tout comme elle même. Et puis, quand son bras fut suffisamment trempé, Rin alla prendre un très gros double gode de sous son oreiller, qu'elle inséra dans son vagin dilaté, avant de prendre sauvagement son amante en missionnaire.

Rin ne sut combien de temps durèrent leurs ébats. Elles jouirent en de nombreuses reprises, sans jamais prendre de pauses, comme si toutes deux étaient aussi infatigables l'une que l'autre. C'était à croire qu'elles se pompaient mutuellement leur force vitale, leur permettant ainsi de tenir bon indéfiniment. Lorsque la succube mit enfin un terme à ses vas et viens, le lit était complètement détrempé, et l'aube commençait à se lever. En fait, la lycéenne avait tout simplement passée la nuit à baiser, et elle n'était même pas épuisée par cette très longue nuit blanche. La rousse fini par retirer sa queue dans un bruit sonore et pervers, et elles se sourirent.

- Han, han ... Alors ? Han ... Ton étalon ne t'as jamais fais quelque chose comme ça hein ? Et si tu me montrais tes talents de succube maintenant ?

- Haaaaaa.... Haaaaaaaaa... Avec plaisir ma belle... Haaaaaaa.... Haaaaaaaaa... Laisse moi juste prendre d'autres jouets ♥

L'embrassant langoureusement une fois encore, durant une ou deux minutes, Rin fini par se redresser et alla chercher quelques accessoires pour continuer leurs jeux. Tout en dandinent du cul, duquel coulait le "sperme" de la succube, elle enjamba son "étalon" deux fois et revint avec de nombreux jouets, comme des œufs vibrants, un gode avec des lanières et deux pinces en métal, dans lesquels pouvaient passer du courant. Rin enfourna son amante avec les œufs, les poussant dans son utérus après les avoir activés, puis de reboucher l'accès avec le double gode, qu'elle mit également en mode vibrant. Rin enfonça ensuite le gros gode vibrant entre ses fesses, et l'attacha ensuite à son bassin grâce aux lanières, avant d’accrocher les deux pinces aux tétons de la succube et d'y faire passer un faible courant électrique, juste assez puissant pour l'excité. Rin la prit ensuite en levrette et enfonça son sexe factice bien au fond de son vagin, avant de la prendre énergiquement, soupirant de plaisir et de bonheur, face à une amante aussi endurante.

- Haaaa !! Haaaa !! Haaaaaan ouiiii !! Haaaa !! J'suis p'tête pas une vraie succube, Haaaaaa !! Haaaa !! Mais j'risque pas de m'avouer vaincue facilement !! Haaaa !! Haaaaa !! Huuuuuuu... ♥

Les seins de son amante ballottaient d'avant en arrière sous les coups de butoir de Rin et cette dernière était tellement en extase, qu'il était étonnant que personne ne soit encore venu ouvrir la porte. Elle avait même prit en bouche la queue caudale de la succube, qu'elle léchait et suçait comme si c'était un vrai pénis. Néanmoins, un autre partenaire allait sans doute bientôt les rejoindre. En effet, le précédant amant de la lycéenne commençait à reprendre ses esprits et, lorsqu'il ouvrit finalement les yeux, ce fut pour voir deux filles se faire l'amour en hurlant comme des nympho.

Elle porte bien son surnom, une vraie petite succube infatigable. Si seulement elle savait, toutes les possibilités qu'elle a, elle ne soupçonne même pas sa véritable nature. Plus le temps passe dans cette chambre et plus je la vois comme une future amie et amante que comme un cobaye. Oh je ferais quand même mes expériences mais, en douceur, sous forme de jeux pervers. Avant même de m'en rendre compte la nuit s'était passée, comme si le temps passait plus vite. Elle n'avait peut-être pas encore sa queue de succube mais, c'était tout comme. Les humains ont inventés plein de choses sympathiques pour prendre du plaisir. Je me repose peut-être trop sur mes pouvoirs ? Quoi qu'il en soit, elle m'a prise en levrette une bonne partie de la nuit sans faiblir, ça mérite une récompense digne de ce nom, pour plus tard.

Le moins que l'on puisse dire c'est que la lycéenne est bien équipée. Godes et jouets en tout genre, sa chambre ressemble plus à un mini club libertin qu'à une chambre d'étudiante. Je me suis retrouvée avec plusieurs œufs vibrants insérés dans mon sexe, bloqués à l'intérieur par le double-gode vibrant avec lequel elle m'a prise jusque là. Puis elle a enfoncé un gode plus gros encore dans mon cul, vibrant lui aussi. Ah ces vibrations, il faudrait que j'apprenne à reproduire cette sensation avec ma queue, je suis sûre d'en être capable avec de l’entraînement. Elle me réservait pourtant le plus délicieux pour la fin. Installant deux pinces sur mes tétons pour y faire passer un courant électrique. Ça faisait mal, délicieusement mal et ces impulsions électriques, les humains ont tant de bonnes idées malgré leur faiblesse. Finalement elle a prit ma queue en bouche, la suçant comme un pénis. Excellente idée ma petite Rin, parce qu'elle est aussi sensible qu'un pénis. Nous gueulions comme des animaux et la seule raison pour laquelle personne n'est encore venu voir ce qu'il se passe est que mes pouvoirs mentaux transmettent mon excitation aux êtres vivants à proximité. Tous ceux qui ont tenté de s'approcher se sont retrouvés à genoux dans le couloir, incapables de se retenir de se masturber. Les élèves des chambres voisines devaient être épuisés à force de se baiser les uns les autres sous le coup de cette même excitation. Toute notre zone du dortoir a ainsi été transformée en bordel improvisé.

"J'suis p'tête pas une vraie succube, Haaaaaa !! Haaaa !! Mais j'risque pas de m'avouer vaincue facilement !!"

Je me suis mise à rire à cette remarque. Pas une vraie succube hein ? Si tu savais ma pauvre Rin, tout ce que tu rates à ne pas en avoir conscience. Mais voyons plutôt tout cela plus tard, je ne veux pas qu'elle s'arrête en aussi bon chemin et nous avons un nouveau participant qui émerge. La pièce est saturée des phéromones de ma partenaire et mes pouvoirs mentaux oppressent le jeune homme qui bande comme un âne. Il n'a jamais été soumis à telle excitation et son esprit humain peine à subsister au milieu de toute cette débauche. Je le regarde dans les yeux, il ne faudra pas grand chose pour qu'il devienne une véritable bête. Je le charme, dès lors il éprouve une attirance sexuelle irrépressible pour moi et ne peut plus me désobéir. Je peux voir sa bave couler le long de son cou, son sexe pointant vers le plafond, il meurt d'envie de nous le mettre bien profondément à toutes les deux. Haletante je peine à lui donner mes instructions :

"Fuuuuuaaah ! Haaaan ! Toiiiiiiaaaah !! Encule la ! AAAAAAAAH ! Oooh …"

Le pauvre va probablement éjaculer dès que son sexe sera bien au chaud dans le cul de la petite succube mais, même après avoir craché son sperme en elle il ne pourra pas s'arrêter. Il titube vers nous, se place derrière elle et suit mes ordres à la lettre, prenant sa camarade par le cul comme une chienne. Comme prévu, après seulement quelques secondes à l'intérieur de ma nouvelle amie il s'est mit à jouir abondamment en elle. Et comme prévu, malgré cela il continua à la prendre, luttant contre l'extrême sensibilité de son sexe après sa jouissance. Parfait mais, il se pourrait qu'il ai des séquelles plus tard, il deviendra probablement accroc au sexe et aux phéromones de sa camarade. Il ne pourra probablement plus s'empêcher de la suivre et de réaliser tous ses caprices pour lui plaire et avoir de nouveau droit à ces plaisirs intenses.

Le soleil monte de plus en plus dans le ciel, je ne veux pas m'arrêter mais, il faut que je pense à mon objectif. Juste quelques minutes de plus, pour profiter encore un peu, juste un peu plus … Finalement je me redresse brutalement, poussant le sportif du pied, se dernier continuant de se masturber à terre pour jouir sur le sol comme un vulgaire esclave sexuel. Puis je me retourne pour plaquer Rin contre le lit, la chevauchant, continuant de m'empaler volontiers sur son jouet. Je l'embrasse en ralentissant le rythme progressivement, rendant l'échange plus doux, plus passionné mais, nous faisant redescendre doucement. Je retire le gode de mon arrière train, avant de me lever au-dessus d'elle, emportant avec moi le double-gode qui reste fiché dans mon sexe. Je le fait glisser lentement hors de moi, avant de le jeter sur le côté tandis que ma mouille goutte sur le ventre de ma partenaire, les œufs vibrants suivent, rebondissant sur son ventre pour s'éparpiller sur le lit. Je retire également les pinces que je jette sur le lit. Finalement je descends du lit pour embrasser le sportif sur la bouche et prendre mon petit-déjeuner. Le renvoyant bien vite à ses rêves érotiques.

"Tu dis que tu n'es pas une vraie succube. Mais ton pouvoir d'absorber la force des autres et tes phéromones, ce sont clairement des pouvoirs de succube. Je pense que tu ignores ta véritable nature, tu dois toi aussi avoir une forme démoniaque dont tu ignores l'existence."

Joignant les actes aux mots, j'ai pris ma forme humaine sous ses yeux pour lui montrer. Instantanément mon corps fut nettoyé de tous nos ébats et habillé, devenant celui d'une jeune brune à lunettes.

"Tu vois ? Moi aussi je peux prendre forme humaine pour passer inaperçue. Suis-moi et je t'aiderais à découvrir tes pouvoirs et ta forme démoniaque. Nous pourrons chasser et nous amuser ensemble. Qu'en penses-tu ma belle ?"

Quand Rin avait fait remarquée qu'elle n'était pas vraiment une succube, que ce n'était qu'un simple surnom, sa partenaire avait rit, comme à une bonne blague de lycéenne. Bien que surprise, elle n'avait nullement ralentie le rythme, et avait donc continuée à défoncer son antre des plaisir, le gode glissant dans leur deux sexes comme dans du beurre, tant ils étaient lubrifiés. Cette succube était sans nul doute la meilleure partenaire sexuelle qu'elle avait jamais eu. Et alors qu'elle se demandait si elle allait sécher les cours pour continuer à jouer avec elle, son amant précédant fini par refaire surface.

- R..Rin ? Quel heure il est ? Et... C'est qui elle ?

Le pauvre bandait comme un taureau et était tellement dans le vague qu'il n'avait même pas capté les attributs démoniaques de son amante.

Fuuuuuaaah ! Haaaan ! Toiiiiiiaaaah !! Encule la ! AAAAAAAAH ! Oooh …

- Oui... Tout de suite...

Son regard était étrangement devenu vitreux, comme s'il n'avait plus aucune volonté. Bien qu'un peu maladroit, il s’exécuta et enfila son membre dur comme le roc entre les deux petites fesses fermes de Rin, qui expira délicieusement dans l'oreille droite de sa partenaire, lorsqu'il éjacula copieusement dans son fondement, avant de faire des vas et viens, certes lents, mais tellement bons.

- Hmmmm... Ahhhhhhh... Ouiiiii... Tu.... Tu remonte.... Haaaan... Un peu dans mon estime... Aaahn !

Un tout petit peu. S'il pouvait y aller plus vite, ce serait parfait. En même temps, baiser des le réveil, c'était probablement un peu trop lui demander. Finalement, les trois jeunes restèrent dans cette position une bonne heure de plus. Dehors, avec la fenêtre toujours ouverte, on pouvait entendre les autres élèves arriver dans la cours et saluer leurs camarades internes, tandis que d'autres se demandait pourquoi ceux du troisième étage n'étaient toujours pas descendus. Son étalon sportif avait déjà jouis trois fois entre ses fesses et ne s'arrêtait toujours pas, soupirant lourdement. Rin pressait les seins de la succube en lâchant plusieurs jets de cyprines, lorsque la rousse décida que c'était suffisant pour le moment, se dégageant en venant aspirer l'énergie vitale du lycéen, pendant sa jouissance, avant de sombrer à nouveau. N'aimant pas le gaspillage, Rin ramassa le sperme chaud avec ses doigts, avant de les enfiler entre ses lèvres gourmandes.

- Tu dis que tu n'es pas une vraie succube. Mais ton pouvoir d'absorber la force des autres et tes phéromones, ce sont clairement des pouvoirs de succube. Je pense que tu ignores ta véritable nature, tu dois toi aussi avoir une forme démoniaque dont tu ignores l'existence.

La lycéenne s'arrêta net, de nouveau surprise, deux doigts dans la bouche, tout en observant la succube prendre une forme humaine, lui ressemblant étonnamment. Non pas qu'elle était un sosie parfait, mais plutôt qu'elle avait la même dégaine qu'elle : petite, faible poitrine, d'apparence innocente.

- Tu vois ? Moi aussi je peux prendre forme humaine pour passer inaperçue. Suis-moi Rin et je t'aiderais à découvrir tes pouvoirs et ta forme démoniaque. Nous pourrons chasser et nous amuser ensemble. Qu'en penses-tu ma belle ?

L'idée était séduisante, y'avait pas à dire... Pouvoir prendre une apparence de succube mignonne et sexy, et partir en quêtes de partenaires de jeux avec sa nouvelle amie, ou simplement baiser avec elle. Mais ce qu'elle imaginait le plus, c'était de pouvoir faire de la magie, non pas pour faire des sorts de feu, mais pour désinhiber les autres et faire un peu ce qu'elle souhaitait avec eux...

- J'en pense que c'est une chouette idée ♥ Mais ma maman adoptive m'a toujours dit de ne pas suivre les inconnus. Mais si tu me dis ton nom, tu ne sera plus une inconnue ♥ Laisse moi juste m'habiller, je sais pas encore le faire instantanément moi.

Elle lui tira la langue, le plus innocemment du monde, avant de chercher les différentes parties de son uniforme. En guise de sous-vêtements, elle mit à la place des classiques culotte et soutien-gorge, son habituel micro-bikini blanc transparent, avec juste assez de tissu pour couvrir ses tétons durs et le bas de sa vulve. Elle s'habilla toutefois en prenant son temps, faisant glisser doucement et sensuellement les vêtements sur son coups, tel un streep-tease inversé, puis lui fit de nouveau face, mains croisés dans le dos.

- A y'est, j'suis prête. Bon, quel est ton plan pour sortir d'ici, en évitant tout les élèves entre cette porte et la grille du lycée ? Et au fait, moi c'est Rin ♥

"J'en pense que c'est une chouette idée ♥ Mais ma maman adoptive m'a toujours dit de ne pas suivre les inconnus. Mais si tu me dis ton nom, tu ne sera plus une inconnue ♥ Laisse moi juste m'habiller, je sais pas encore le faire instantanément moi."

Ah ah ! Saleté ! D'emblée je t'aime bien toi ! Elle me tire la langue, c'est vrai qu'on a baisé comme de vraies salopes sans même s'échanger nos prénoms. Il faut dire que tout s'est enchaîné si vite, nous étions tellement sur la même longueur d'onde elle et moi, que j'en ai oublié toute politesse. Surtout qu'à part Maman et Mieko c'est la première autre succube que je rencontre. J'ai tellement hâte de faire mes petites expériences sur elle, de découvrir ses pouvoirs, son apparence démoniaque, de coucher avec sa forme démoniaque, de chasser avec elle. Mais avant toute chose elle me demande mon nom, ce qui est effectivement un bon début à toute relation ... Bien que sa demande soit légitime je ne réponds pas de suite, appréciant la séance d'habillage. Je pense que j'aurais pu faire la même chose mais, je n'y ai pas pensé. Mes pouvoirs me font parfois oublier qu'il y a d'autres façons de faire et qu'elles sont parfois préférables. Avec un petit sourire j'ai remarqué ses sous-vêtements, un micro-bikini qui ne cache pas grand chose. Ceci-dit ne rien mettre en dessous est devenu tellement classique, que des sous-vêtements aussi suggestifs sont peut-être encore plus excitants. Je sens que nous allons beaucoup apprendre l'une de l'autre. Ah oui les noms, j'allais déjà ré-oublier ce détail :

"Jolis sous-vêtements, je m'appelle Inuko. Et toi ?"

J'avais dis cela juste avant qu'elle ne termine de s'habiller. Elle me répond simplement qu'elle s’appelle Rin avant de poursuivre, sitôt son uniforme enfilé :

"A y'est, j'suis prête. Bon, quel est ton plan pour sortir d'ici, en évitant tout les élèves entre cette porte et la grille du lycée ?"

Un plan ? Juste pour ça ? Pas besoin, je savais déjà comment faire sans avoir besoin d'échafauder un plan compliqué. Je me dis toutefois que ce que j'ai en tête peut l’intéresser, je suis curieuse de voir sa réaction. J'ouvre la porte de la chambre sans prendre de précaution particulière. J'ai besoin d'une victime, de quelqu'un qui est encore dans ce bâtiment si possible et qui soit suffisamment éloigné pour ne pas avoir été affecté par nos pouvoirs. Si cette personne pouvait également être seule ce serait l'idéal mais, les lycéens n'aiment pas trop rester seuls en général. Ça s'empresse d'aller s’agglutiner en groupes d'amis à la première occasion. Suivie par ma nouvelle copine succube, j'ai descendu les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée, espérant trouver un élève isolé que je pourrais charmer. Par chance il y a toujours un intello qui se réfugie dans un coin pour réviser avant son contrôle de la journée et le hasard a voulu que l'un d'entre eux profite du départ des internes pour se mettre sous le préau juste devant l'internat. Nous sommes sorties sans spécialement nous faire remarquer et je lui ai adressé la parole pour qu'il me regarde dans les yeux avant de le charmer :

"Hey toi ! Hé hé ! Tu vas aller au milieu de la cour, te déshabiller complètement et te ruer sur la première fille que tu verras en lui gueulant qu'elle est trop bonne et que tu as envie de la baiser. Si tu arrives à l'attraper, frotte toi contre elle et essaye d'éjaculer sur son uniforme. Surtout fait le plus de bruit possible salope.
Oui, bien sûr Maîtresse."

L'intello, que nous appellerons petite salope sans intérêt n°1, s'est immédiatement exécuté, abandonnant ses affaires scolaires pour se rendre au centre de la cour. Il s'est ensuite déshabillé comme demandé, pour l'instant je ne bouge pas, ma diversion est en cours et puis, je veux voir le résultat. Je m'adosse calmement au mur, profitant du spectacle avec Rin. Les autres élèves, incrédules, voient cet intello asocial et timide se déshabiller en pleine cour sans être gêné, lui qui a pourtant la réputation d'être un élève sérieux et particulièrement ennuyeux.

"C'est quoi son problème ?"
"Qu'est-ce qu'il fout cet abruti ?"
"Hey viens voir ! Il se fout à poil !"
"Il a peut-être perdu un pari …"
"Ou alors il a perdu la boule."
"T'ES TROP BONNE TOI JE VEUX TE BAISER !!!"
"HYYYYAAAA !!!"
"Hein ?"
"Il a perdu la boule …"
"NON VA-T-EN PERVERS !!! NON !!!"
"Bon bah, on va lui casser la gueule."
"Attend un peu, Saya-chan est mignonne comme ça."
"Oui ses joues sont toutes rouges."
"Je crois que je bande …"
"NOOOON !!!"
"C'est moi ou il vient d'éjaculer sur sa jupe ?"
"Bon, là on peut aller lui casser la gueule !"
"Allez-y, moi je m'occupe de réconforter Saya-chan !"
"Continue comme ça et je commence par toi …"

Je prends Rin par la main, contente de ma petite diversion et je l’entraîne vers la sortie. Tout le monde est alors captivé par l'agression sexuelle et le début de bagarre qui ont lieu au milieu de la cour. Trop captivés pour regarder qui passe la grille pour s'éclipser discrètement. Fière de moi, je lui demande en souriant :

"Alors ? Impressionnant hein ? Je me demande quels pouvoirs tu as toi … Je suis curieuse de découvrir ça !"

A priori, Inuko ne semblait pas avoir besoin de plan précis pour s'esquiver sans attirer l'attention. L'impro, c'était sympa aussi. Sortant le plus normalement du monde , Rin ne put s'empêcher de sourrir en voyant que les autres élèves s'étaient déchaînés dans l'étage. Il y'avait des traces de foutre et des flaques de mouilles un peu partout, sans compter les deux ou trois couples qui étaient profondément endormis dans le couloir. Sortant son portable de sa poche, elle prit rapidement une photo, histoire de l'envoyer plus tard sur son blog. Rin était sans doute une vraie salope, mais elle restait une des filles les plus populaires de Mishima, ayant même droit à son petit surnom.

- Ça, ça va faire des émules.

Elle suivie ensuite sa nouvelle amie jusqu'au hall et l'observa faire. Observatrice, la lycéenne constata que sa copine cherchait à regarder le garçon droit dans les yeux pour lui donner ses instruction, qu'il exécuta sans se poser de question, amenant une scène improbable, mais qui la fit sourire. Ça ressemblait à une forme d'hypnose instantanée. Inuko devait s'amuser à créer toutes sortes de situations avec ce truc. Se laissant entraîner par la main, elles se retrouvèrent rapidement dans la rue, et personne n'avait remarqué que "Sakyu-chan" avait séchée les cours avec une complète inconnue.

- Alors ? Impressionnant hein ?

- Entre l'orgie du dortoir et ça, le journal de l'école va écouler tout son stock de papier avant la fin de la journée, ha ha ! T'as des pouvoirs vachement fun en tout cas.

Rin avait aussi prit une photo au moment où l'intello avait éjaculé sur la jupe de l'élève. Elle allait bien s'amuser sur son blog, aujourd'hui.

- Je me demande quels pouvoirs tu as toi … Je suis curieuse de découvrir ça !

- Hum... Il se pourrait que t'en découvre un, si on prend le bus ou le tram pour aller dans ton... "repaire".

Rin ne savait pas encore qu'elle était succube, mais comme toutes les ados un peu penchée vers le sexe, elle croyait un peu en la magie rose. En allant sur un site internet spécialisé dans le domaine, elle avait lue qu'un des envoûtement consistait à toucher sa proie pour influer sur sa libido et ses pensées. Sur le moment, Rin avait crue que la magie marchait vraiment, mais peut être que cela était uniquement dû à sa nature de succube. Par le passé, elle l'avait appliqué en fantasmant sur des situation, alors qu'elle tenait la main de ses partenaires éphémères. Là, elle voulait essayer son pouvoir sur de parfaits inconnus. Et quoi de mieux que les transports en communs ?

La lycéenne ignorait où vivait habituellement Inuko, aussi se contenta t-elle de la suivre jusqu'à être dans le transport en question, au milieu d'une foule d'individus. Rin observa les différentes personnes, jusqu'à voir une jeune femme, probablement une étudiante à l'université, les yeux rivés sur un petit carnet, probablement en train de faire une révision de dernière minute avant un examen. Elle se pencha légèrement vers Inuko et murmura, sourire aux lèvres.

- Regarde la fille la bas, avec son carnet et ses grosses lunettes... C'est le type de fille qui doit avoir une vie terriblement ennuyeuse... Si ce que je vais faire est effectivement un de mes pouvoir, il devrait t’intéresser ♥

Rin fit mine de se diriger dans sa direction, comme pour chercher une place libre, avant de trébucher et bousculer un peu l'étudiante, en s'excusant. Aucun contact visuel, et le contact physique fut assez bref. Mais durant les quelques secondes, pendant lesquelles Rin était collées contre elle, elle avait imaginer l’étudiante venir déboutonner le pantalon du cadre assit devant elle pour sucer sa queue, en faisant beaucoup de bruit avec sa bouche. L'étudiante releva la tête de son carnet, le regard un peu dans le vague, puis regarda l'homme assit devant elle, qui lisait tranquillement son journal.

Elle retira alors ses lunettes et s'agenouilla devant lui, ouvrant sa braguette et libérant le membre, qu'elle s'empressa de sucer comme la pire des salopes, soupirant bruyamment. L'homme en question fut bien évidement très surpris et regarda cette étudiante sans bouger, se demandant s'il n'était pas en train d'halluciner, comme la plupart des autres personnes autour. Des regards se détournèrent, des femmes critiquaient le comportement des jeunes d'aujourd'hui, mais un groupe d'hommes se forma bientôt autour de la jeune femme, la masquant rapidement aux regards. Rin finit par réussir à revenir de son petit tour près d'Inuko, l'air choquée et se plaignant bien fort.

- C'est complètement dingue ce truc... D'habitude, les molesters sont des pervers qui hésitent pas à tripoter les lycéennes... Mais c'est la première fois que je vois une femmes faire ça...

C'était pas vrai, vu que c'était elle qui avait déclenchée ça, mais qui irait soupçonner une pauvre petite lycéenne de 16 ans, en état de choc ? Elle fit même mine de fondre en larmes devant sa copine, sa Senpai, vu qu'elle était plus âgée qu'elle, et de tomber dans ses bras. Elle chuchota alors dans son oreille, légèrement tremblante.

- Alors, t'en pense quoi ?

Le moins que l'on puisse dire, c'est que je suis encore loin d'être à l'aise avec les transports en commun terriens. Si j'étais capable de me défendre correctement voler serait beaucoup plus pratique. Quoi que voler en plein jour dans un monde aussi ignorant en matière de magie, ce serait un truc à me faire tirer dessus … Nous prenons donc le bus, par chance le lycée se trouve à un carrefour des différentes lignes avec un plan détaillé de tout le réseau de la ville. Après quelques minutes de recherches sur le plan j'identifie la ligne qui mène au centre commercial. Volontairement je ne demande pas d'aide à Rin, il faut que j'apprenne à me débrouiller seule dans cette ville, ça pourra toujours être utile plus tard. Le bus arrive assez vite à l’arrêt et il n'est heureusement pas trop rempli. Comme le chauffeur fait toujours une petite pause à cet endroit, j'ai le temps d'acheter tranquillement mon billet. Très gentil il m'aide même à lui donner la somme exacte, remarquant que je ne suis pas très à l'aise avec les yens. Et m'explique qu'il faut mettre le ticket dans l'appareil qui fait du bruit en cas de contrôle. J'applique bêtement ce qu'il me dit pour être sûre de ne pas avoir de soucis.

Je m'avance dans le bus lorsque Rin me montre une étudiante à lunettes plongée dans ses révisions. Elle semble vouloir tester quelque chose, comme si elle avait déjà identifié l'un de ses pouvoirs. Intéressée, je me contente de sourire et d'observer avec attention ses prochains gestes, il faut que je comprenne ce qu'il va se passer. Elle se dirige vers sa proie, fait mine de trébucher et … rien, elle s'est loupée ou quoi ? Mais brusquement l'étudiante s'est mise à genoux et a commencé à ouvrir le pantalon d'un homme qui était tranquillement assis devant elle. Visiblement elle a besoin d'un contact physique et pour lui donner cet ordre je ne sais pas comment elle a bien pu faire. Par la pensée peut-être ? Très pratique en tout cas, lorsqu'elle aura appris à l'utiliser correctement. Car elle a fait une grosse erreur, une erreur de débutante. Lorsqu'elle revient vers moi elle me demande ce que j'en ai pensé, jouant mon rôle de Senpai je la regarde avec sévérité avant de lui mettre une pichenette sur le front. Je lui murmure alors :

"Ton pouvoir est très utile mais, tu n'es pas assez discrète lorsque tu l'emploies. Qu'est-ce qui t'as prit de commenter l'incident juste après l'avoir déclenché ? Fais comme si ne rien était, une personne silencieuse attirera toujours moins l'attention. Si tu tombes sur quelqu'un d'intelligent c'est la meilleure façon de dire : "regardez c'est moi qui ait fait ça !". Regarde, ça c'est discret."

J'ai regardé l'homme qui se faisait sucer dans les yeux, ce dernier commence à rougir, il n'a rien demandé et se retrouve au centre de l'attention. Il va finir par la repousser lorsque la pression sociale sur sa personne sera trop forte. Il sait qu'on lui pardonnera sa surprise et la période de flottement, mais, en tant qu'adulte responsable il est de son devoir d'arrêter cette jeune fille et il le sait, le sexe en public, comme ça devant des enfants, c'est mal. Dès qu'il croise mon regard je lance mon charme sur lui, il n'attend alors plus que mes ordres. Mais comment les donner discrètement ? J'ai ma petite idée. J'utilise mon pouvoir permettant d'influencer le sens du toucher pour faire vibrer ses tympans, produisant une sorte de voix imaginaire qui lui tint ce discours :

"Agrippe lui les cheveux, critique sa lenteur avec sévérité, biffle-la et enfonce ta bite dans sa gorge pour la baiser brutalement. Je t'interdis de jouir ailleurs que sur son visage. Exécution esclave !"

L'homme plonge sa main gauche dans les cheveux de la jeune-fille et sert son poing dans ses derniers, les tirant sans ménagement. Les autres passagers pensent probablement qu'il va l'éloigner et la sermonner, soulagés que cette situation gênante prenne fin. Moi je reste immobile, je regarde la scène sans rien dire, sans rien faire, un petit sourire aux lèvres tout de même. L'homme se lève, coinçant l'étudiante entre lui et le siège de devant, de sa main libre il saisit la base de sa bite et l'écrase contre sa joue dans un claquement sonore. Les passagers stupéfaits restent muets, hésitant à intervenir, ils ne savent pas quoi faire, les deux semblent consentants même si c'est très incorrect. Finalement personne n'ose bouger et ils regardent tous passivement, le chauffeur lui fait comme si ne rien était, tout aussi gêné que les autres. L'homme se met a sermonner la jeune-fille :

"Tu n'as jamais appris à sucer un homme correctement petite salope ? Tu es trop lente ! C'est ennuyeux ! Regarde, c'est comme ça qu'on fait !"

Joignant le geste à la parole il met sont autre main dans ses cheveux et se cramponne à sa tête avant d'enfoncer son sexe au fond de sa gorge. La suite consiste en de brutaux vas et viens, ponctués de bruits gutturaux qui choquent et/ou excitent les autres passagers. Finalement, après de longues minutes, l'homme ressort sa verge de la bouche qui lui sert de fourreau pour déverser son foutre chaud sur le visage de l'étudiante. Satisfaite du spectacle je m'adresse discrètement à ma complice :

"Tu vois. Qui pourrait soupçonner que c'est moi ait provoqué ça ? Ne jamais réagir trop intensément lorsqu'on vient de jouer un mauvais tour. Et si on peut ne pas réagir du tout c'est encore mieux mais, ton pouvoir est très intéressant. Comment il marche exactement ?"

Nous arrivons à l'arrêt du centre commercial, je prends Rin par la main pendant qu'elle répond et nous descendons du bus, laissant nos deux victimes se rendre compte de ce qu'ils ont fait. J'aime bien lui tenir la main de la sorte, c'est un peu comme si nous étions une sorte de couple. Les regards intéressés des mâles me font rire et le contact avec sa petite main est agréable. Je la traîne ainsi jusqu'au restaurant qui sert de couverture à l'antenne de Biogenix. Le patron m’accueille, prenant bien garde à tenir sa langue en présence de Rin.

"Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous."
"Tout va bien, je me porte garante pour elle. Ouvrez l'accès au complexe s'il vous plaît."
"Je vois. Je déverrouille l'accès agent 666. Passez une bonne journée avec votre protégée."

J'ai simplement souri. Oh oui, la journée va être excellente je le sens. Je mène la lycéenne qu'à une chambre froide qui abrite un ascenseur dissimulé. Nous y entrons et il se met à descendre, jusqu'à une sorte de complexe scientifique d'un blanc étincelant. Je me met à parler un peu plus librement, reprenant directement ma forme de succube :

"Essaye d'imaginer que des cornes poussent sur ta tête, que des ailes poussent dans ton dos, qu'une queue de démone pousse elle aussi au-dessus de tes fesses, que ton corps devient plus féminin, avec une grosse poitrine. Imagine tout ça en même temps, essaye de visualiser ta forme de succube. Fie-toi à ton instinct, trouve à quoi tu ressembles en réalité et tu devrais pouvoir te transformer normalement. Il faut vraiment que tu sois toi-même convaincue que tu vas te transformer, il faut que ce soit naturel. Comme lorsque tu veux tendre le bras en avant, tu ne te demande pas si ton bras va répondre à ton désir ou pas, tu le fais bouger et c'est tout. Dis-toi que c'est ton vrai corps, c'est ta forme actuelle qui est une illusion."

Rin pouvait bien faire des erreurs de débutante. Après tout, contrairement à sa Senpai, aucune succube ne s'était occupée de sa formation, apprenant et expérimentant la sexualité toute seule dans son coin. C'est ce que la lycéenne appris après avoir écoutée et observée Inuko, lorsqu'elle fit plus ou moins comme elle sur l'homme qui se faisait sucer, et qui devint aussi consentant que l'étudiante, y allant plus fort dans sa bouche. Ainsi, si Inuko avait besoin d'un contact visuel, le sien était au contraire plus physique. En revanche, elles semblaient toute deux bénéficier de la télépathie, à moins que ce soit autre chose ?

- Tu vois. Qui pourrait soupçonner que c'est moi ait provoqué ça ? Ne jamais réagir trop intensément lorsqu'on vient de jouer un mauvais tour. Et si on peut ne pas réagir du tout c'est encore mieux mais, ton pouvoir est très intéressant.

- Hum hum ! Fit-elle en hochant la tête.

- Comment il marche exactement ?

Elles descendirent du bus et entrèrent dans le centre commercial, tandis que Rin lui expliquait la chose.

- J'ai lue sur un site de magie rose, sur internet, qui existait un envoûtement, qui consistait à penser très fort à des situations cochonnes ou à imaginer la sensibiliser ou la libido plus élever, puis de transmettre sa volonté vers sa main par la pensé. En touchant sa cible ou soit même, on peut alors devenir plus chaude ou plus sensible, et contrôler les envies de ses partenaires... A l'époque, je pensais que j'avais réussie à contrôler cet envoûtement, mais depuis que tu m'as dis que je suis une succube, j'me dis que ce doit d’avantage être un de mes pouvoirs...

Comme quoi, le hasard faisait parfois bien les choses. Tout en continuant à marcher, Rin se demandait à quoi pouvait bien ressembler la cachette d'une succube, dans un lieu aussi fréquenté. Un sex-club peut être ? Ou bien un bordel ? Suivant l'étage où l'on allait, il n'y avait pas les mêmes boutiques. Par exemple, tout ce qui avait trait au cul, était au premier sous-sol. Aussi, Rin fut assez surprise d'entrer dans ce qui semblait être un simple restaurant traditionnel.

- Bonjour mademoiselle, que puis-je faire pour vous.

- Tout va bien, je me porte garante pour elle. Ouvrez l'accès au complexe s'il vous plaît.

- Je vois. Je déverrouille l'accès agent 666. Passez une bonne journée avec votre protégée.

Complexe ? Agent ? Rin avait l'impression que l'antre de la succube était en fait un complexe gouvernemental ultra secret. Ou peut être que c'était un centre avec toute sorte de démons ? C'est sans doute plus moderne que les cavernes obscures et les lac de lave. Lorsqu'elles furent seules, Inuko repris sa forme normale sans chercher à se cacher, et Rin en profita pour lui glisser une petite remarque.

- Agent 666 ? Ils t'ont pris pour le diable en personne, c'est ça ?

L’ascenseur commença alors sa descente.

- Essaye d'imaginer que des cornes poussent sur ta tête, que des ailes poussent dans ton dos, qu'une queue de démone pousse elle aussi au-dessus de tes fesses, que ton corps devient plus féminin, avec une grosse poitrine. Imagine tout ça en même temps, essaye de visualiser ta forme de succube. Fie-toi à ton instinct, trouve à quoi tu ressembles en réalité et tu devrais pouvoir te transformer normalement. Il faut vraiment que tu sois toi-même convaincue que tu vas te transformer, il faut que ce soit naturel. Comme lorsque tu veux tendre le bras en avant, tu ne te demande pas si ton bras va répondre à ton désir ou pas, tu le fais bouger et c'est tout. Dis-toi que c'est ton vrai corps, c'est ta forme actuelle qui est une illusion.

Rin hocha de nouveau la tête et se détendit au maximum, avant de fermer les yeux, décontractés. Mine de rien, ce n'était pas si simple. N'ayant jamais pris sa forme de succube, elle se mit à imaginer toutes sortes de formes possibles, jusqu'à la blonde hyper bien roulée avec des siens énormes. Mais, au fil des minutes, ce qu'elle avait en tête devint plus modeste Elle se voyait avec des seins plutôt moyen, des yeux rouges comme ceux des démons, et ses cheveux avaient une teinte rose pâle, parce qu'elle avait toujours trouvée que cette couleur s'appliquait très bien au sexe. Elle se voyait aussi avec des ailes, une queue et et des cornes, différentes, plus sombres et un peu plus petites que celles de son aînée. Rin pensait à tout cela, et sentait des picotements sur ses tempes, son Coccyx et ses omoplates. Des picotement à la fois agréables et douloureux.

- Je crois que je sens quelque chose... Mais ça fait un peu mal par contre.

Rin s'imagina alors en train de devenir succube dans l'ascenseur, comme ça, tout ces attributs sortant en même temps. Elle eu alors un mal de chien aux cinq points mentionnés plus haut et en eu les jambes coupées, tombant à genoux et le souffle court. Néanmoins, elle pouvait sentir qu'elle était... différente. D'une part, elle pouvait sentir deux seins moelleux écrasés entre son torse et ses jambes. Ensuite, qu'elle était nue, alors qu'elle ne s'était pas déshabillée et, enfin, qu'elle avait deux excroissance sur la tête. En rouvrant les yeux, ceux-ci étaient embués par ses larmes, à cause de la douleur qui, déjà, était partie, et vit alors ses cheveux roses. D'une voix un peu pâteuse et affaiblie, elle constata le changement, surprise.

- Ça... Ça a marché ? C'est complètement... dingue...

Après quoi, elle perdit connaissance.

-- Fin du Rp --
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