Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Une succube saoul derrière les barreaux. [ PV peut être reservé]

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Kiniro

Humain(e)

Je vit un sentier, une sentier de cerisier en fleur. Ma mère était derrière moi et me disait d'attendre, que cela pourrai être dangereux d'être séparées, mais je m'amusait trop. Je sentit une main me prendre par le col et là je vit un monstre qui me disait bonjour avec un sourire malsain.

Je me réveilla en sueur, la main droite sur mon front en regardant mes pied. Je senti un courant d'air et mon lit était dure. Je regarda autour de moi encore paniquée par mon cauchemar, non ce n'était pas un cauchemar, je m'en rappelait trop bien. C'était un souvenir. Le lieux était sombre et je vit des barreaux, dès cette instant je porta mes mains à mes oreilles, les boucles d'oreilles étaient encore là.

Je poussa un soupir de soulagement, dire que ces bijoux contiennent tous mes souvenirs et ceux que je me ferais. Je me leva et fit une récapitulation de ce qui venait de se passer.

- J'ai eut mes souvenirs, je suis allée boire et là …

je poussa un soupir de frustration.

- La seule solution pour que je me trouve dans cette prison, c'est que j'ai blessée des mec de bar et qu'ils ont appelés les flics. L'important c'est que j'ai mes boucles d'oreille, ma robe japonaise et ma sacoche.

Les policier semblaient m'avoir mit sans prendre le temps de faire quoi que se soit. Une migraine me transperçait le crâne et oui la gueule de bois du lendemains me touchais aussi. Je sortie de quoi crocheter la serrure, mais cela ne servit à rien. Elle était plus compliquée que les menottes. Je renifla  un de mes avant bras, elle puait les vapeur d'alcools. J'avais vraiment du dépasser la dose conseillées à boire. Je m'assit les cuisse sur mes fesses, ferma les yeux et réfléchit à la manière de sortir de ce lieu désagréable.

-Je peut sortir en tordant les barreaux de cette cage, mais il faudra miser sur l'hypnose pour sortir, la deuxième solution est d'attendre que quelqu'un viennent, mes esclaves ne pourront pas rentrer et serais capturés, ça ils le savent. Il vaudrait une personne  extérieur, qui ne me connaisse pas.

N'ayant pas envie d'attendre, je prit la décision de me barrer, le fer ne fit pas le poids face à la force des lianes, je sortie et me dirigea vers ce  qui me sembla être la sortie, en faite ce fut un cul-de-sac.

Je sentit la présence de quelqu'un et ce fut à ce moment que j'eus un flash de souvenir m'obligeant à appuyer mon corps contre un mur.   
« Modifié: jeudi 16 avril 2009, 20:06:14 par Succubus »

Sinclaire

Terranide

Tout au bout du couloir, la succube entendit juste un "boum" assourdi, de loin. Ce n'était que les trompettes qui annoncaient une arrivée plutôt innattendue.

Une autre explosion, une autre encore. Un grand tumulte s'était emparé de certains couloirs, les prisonniers semblaient surexcités, mais on ne savait pas si c'était de la peur, de la colère ou de la joie, avec tous les piaillements simultanés. Evidemment, c'était encore loin, on ne pouvait pas dire que la source de leur énervement était proche.

Seulement, elle avait tout intérêt à passer au peigne fin cette prison, parce qu'un fameux magot l'attendait. Sinclaire passait en revue chaque cellule, mais ne trouvait pas ce qui lui fallait. De plus, les gardes et le système de sécurité étaient plutôt étrange, quelque chose de jamais vu, probablement dû au royaume innaccessible de cette partie du continent, que peu de natifs de sa région ont déjà vu, rien que de loin.

Mais ce royaume ne figurait pas sur sa liste de tâche d'aujourd'hui, loin de là. Elle devait retrouver un vieillard croupissant, qu'elle savait pertinemment en possession d'une vieille clé pour ouvrir des portes vers des richesses à présent jamais égalées. Et elle trouverait ce croulant, coûte que coûte...

Encore des explosions. Les briques volaient, la fumée emplissait les couloirs faisant tousser la capitaine et 3 hommes de son équipage, et les détonations continuèrent, causant de plus en plus de tumulte dans les cellules. Mais finalement, non loin du couloir où venait de s'échapper Succubus, on entendit une voix de femme s'exclamer.


- Enfin je te trouve, vieux sénile ! Tu croyais que tu allais avoir la paix, à croupir dans cette prison ?

Une autre voix, celle d'un vieil homme au ton tremblotant probablement à cause de la sous-nutrition de toutes ces années l'ayant rendu chétif et faible...

- N-non... Comment tu as su que j'étais ici, hein ?...

- C'est ton second, pour quelques pierres il m'as dit où tu planquais la clé. Alors tu va me la donner tout de suite, vieux shnock, ou je te le prendrai par la force. Je vais être sympa avec toi si tu coopères: tu me donnes la clé, et je te libère. "

- J'ai aucune garantie de...

- LA FERME ! Soit tu me donnes la clé, soit je te laisse croupir ici pour le restant de tes jours, il me semble qu'ils DÉTESTENT ceux qui tentent de s'évader, non ?

- Ca va, ça va...

- Comme promis, je vais te libérer. Tu me connais: je n'ai qu'une parole...

On put voir la silhouette du capitaine dégainer son sabre, et le passer à travers les barreaux. Vu le son, elle avait bien touché la cible, empalée sur son arme.

- Je t'ai bien libéré, mais je n'ai pas dit que j'allais ouvrir la porte... Hi hi hi... Bon, voyons voir si il n'y as rien de ce côté...

Quelques pas qui se rapprochent...Un cul de sac... Et un autre cul.

- Tiens, tiens, tiens, qu'est ce que nous avons là ? Ne serais-ce pas une petite fugitive qui as essayé de profiter du bordel que j'ai mis ici pour mettre les voiles ?

Sourire au lèvre, la capitaine s'approcha, sa queue remuant déjà de satisfaction. Une clé et une nouvelle esclave, que demander de plus ? Celle là ira directement dans ses petites favorites...
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Kiniro

Humain(e)

J'entendis une vois féminine parler et un corps flou venir, le restant d'alcool combiné aux flash de souvenir ne me permettait pas de voir de qui il s'agissait. Mais il serait ma clé pour sortir de ce lieu. Je devais tous miser sur cette opportunité pour sortir, même si cela me coûterait mon corps, de toute façon je n'était pas en état pour combattre, seul l'intimidation par les mots pourrait marcher. Je me décala du mur, non sans mal et dit avec autant de franchise que mon états pouvait le permettre. De plus je n'aimais pas l'enfermement qui me causait une tremblement de mes membre, similaire à un états de peur.

- Je ne sais pas qui vous êtes, mais aidé moi à sortir de ce lieu sordide. Je m'appelle Nana de la Rosiaire, j'ai de quoi vous payer mon billet de sortie. Si ce sont des esclaves qu'il vous faut j'ai là aussi de quoi vous satisfaire, étant une esclavagiste je pourrait aussi vous en chercher à votre goût. Je ne demande qu'une chose, que vous me sortiez de cette énorme cage.

Je sortie de ma sacoche un joyau qui était un trésor à lui tous seul, dans les marché noir elle n'avait aucune valeur, tellement le prix aurait été élevé. Son éclat rivalisait avec celle de la lune, douce et apaisante.

- Voici un premier acompte de ma sortie.

Je voulut me diriger vers la personne et sentit mes jambes me lâcher, par réflexe mes ailes jaillirent et finirent de mettre en lambeau la robe japonaise dévoilant ma tenue habituelle (voir avatar). Je sentit à ce moment que cette personne avait une odeur reconnaissable. Celui de la chasseuse.

je me releva aussi vite que possible et me frappa l'arrière du crâne contre le mur, ce qui eut l'effet de chasser ma gueule de bois et d'arrêter le flot de souvenir, je pouvait dés à présent voir la personne à qui j'avais demandée mon aide. Je fut surprit de voit la terranide, une pirate au vue des deux zigoto qu'elle trimballait derrière elle. Je sentait le sang frais, en vit son sabre gouttant celui de sa victime.

Une pirate n'était pas facile à berner, aussi séduisante soit-elle. Mais je voulut tenter un coup de bluff.

- Je peut si vous le désirez chercher des informations sur des trésors de grande valeur.

En fait je n'avait aps de réseau assez fiable pour trouver ces soi disant trésors, mais il fallait avoir la confiance de cette pirate, peu importait le prix.

Sinclaire

Terranide

A la première impression, cette pauvre fille n'était qu'une paumée parmi tant d'autres dans cette prison, enfermée pour raison X et qui n'avait plus aucun garde qui ne soit pas monté dessus.

Mais la chair fraîche était bien cachée derrière ce déguisement de pauvresse. Et c'était bien cela qui avait alléché la pirate: trouver une dominante... D'habitude, elle n'avait ramassé que des adolescentes stupides et naïves ou des femmes aux foyer soumises et usées, que de l'usuel, rien de très intéressant sinon un corps encore sain et attirant.

Mais elle était différente. Ca se voyait. Quelque chose de terriblement intéressant sommeillait en elle, et la pirate brûlait de le savoir... Et si jamais son intuition était faussée, cette idiote paierait de sa vie d'avoir fait ainsi languir la capitaine pour rien.


- Une esclavagiste, hein ?... Terrrriblement intéressant, ça...

Elle ne fit qu'étouffer un petit rire nerveux causé par l'excitation d'avoir trouvé une telle poule aux oeufs d'or. Mais a la vue de la pierre précieuse, l'image de la poule se transforma aussitôt en corne d'abondance. Or et esclaves, tout ce qu'elle demandait, à portée de main et sur commande ! Grâce à elle, elle sera la femme la plus riche du monde... A pouvoir s'en bâtir un royaume pour elle toute seule !

- Un acompte ?! Eh bien...

Elle fis quelques pas rapide en avant, pour réceptionner la succube qui allait manquait de se casser le nez par terre... Ca aurait été bête de gâcher une perle pareille ! Autant elle que le joyau que la pirate venait d'extirper des mains de l'esclavagiste. De plus, la succube tenant visiblement une grosse couche, la trimballer sera encore plus simple.

- Ha, ha ! Pas la peine de me promettre des trésors, tu va tout d'abord m'offrir ceux que tu possèdes déjà, ensuite on en reparlera ! Allez, tout le monde à bord !

Elle empoigna bien fermement les poignets de Succubus, et la coinça dans son dos, pour lui éviter de faire des bêtises. Et ils retraversèrent les couloirs où jonchaient des briques explosées, des trous béants percés dans les murs à coup de dynamite. Direction: le Jolly Jack, navire de la Terranide.

Une fois sorti de prison, elle poussa Succubus sur la passerelle, arrivant droit sur le pont, et il remontèrent l'ancre une fois que tout le monde était à bord, le navire s'en allait, Succubus au milieu de la bande de flibustier, la capitaine regardait d'un air salace et avide la succube à sa merci.


- Tout d'abord, bienvenue sur mon navire, le Jolly Jack ! L'autre bonne nouvelle, c'est que tu es pour le moment invitée parmi mon charmant équipage. Alors essaie d'être polie avec eux, compris ? Règle numéro 2: ne pas se plaindre, je déteste ça. Et enfin: ne tente rien de stupide, parce que j'arrive toujours à faire payer ceux qui m'ont emmerdés. Est-ce bien compris, mademoiselle ... ?
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Kiniro

Humain(e)

a terranide me prit les poignet et m'emmena hors du cette prison qui semblait avoir subit un bombardement intensif. Je monta sur le bateau et elle me laissa au milieu de ces compagnons de métier. J'écouta ce qu'elle dit et fit un  récapitulatif à voix haute, pour montrer que je n'était pas bête.

- Donc si je suis gentille, polie et que je ne fais pas de crasse tous ce passera bien. Ok. J'ai comprit, je me tiendrait tranquilles.

Ce que je ne dit pas c'était : pour l'instant. Je sentais qu'elle voulait s'amuser avec moi, mais le plus important c'était de cacher mes boucle d'oreille, sans que le mouvement ne soit perçut ni de la terranide, ni de son équipage. Je savait que les prendre ne causerai pas leur destruction, mais c'était mon trésor le plus précieux, et tant pis si je devais mourir pour les protéger.

L'air du large me fit un bien fou, je reprenait de mieux en mieux mes esprit, un des hommes voulut me toucher. Par pure réflexe je lui décocha un coup de pied verticale, l'envoyant s'étaler une mètre plus loin. J'eus un petit sourire, ils étaient nombreux et certainement entrainés. Ma victime se releva, le nez en sang et voulut m'embrocher, par rage certainement.

Je me glissa derrière lui et pointa son propre sabre sous sa gorge. Je m'approcha de ces oreilles et dit, de manière assez forte pour que tous le monde entendent.

- Ne crois pas que je ne sache pas me battre, petit vermisseau. Tu as de la chance que je doit être gentille et polie, sinon tu aurais dit bonjour à la dame avec la faux. Alors la prochaine fois demande, au lieu d'agir.

Pour l'équipage, la phrase voulait dire que je n'était pas une prisonnière qui se laissait faire, mais qui était prête à accepter pour peu que l'on demande. Je relâcha ma prise et en guise de remerciement me prit une baffe, me faisant rouler à terre jusqu'au mat que mon dos prit de plein fouet. Ils avaient décidés de m'énerver soit ils allaient être servit.

Je sortie de ma sacoche une fausse pièce en émeraude et le plaça devant mes yeux, ces abrutie mordirent à l'hameçon et se retrouvèrent tous hypnotisé, dès ce moment je leur fit faire le tour du bateau en imitant la poule. L'exercice était assez hilarant, mais je commença vite à m'épuiser, j'avais du mal à respirer. Il faut dire que je n'avait jamais hypnotisé autant de gens en une seule fois. Il ne firent que deux tour avant que je ne coupe le lien hypnotique. Je voulut sauter du pont mais mes mains m'arrêtèrent et je vit l'eau. A ce moment une vrais peur s'empara de moi.

J'avais peur de l'eau et donc je ne savait pas nager. Je me retourna et eut un douleur fulgurante au crâne, obligeant mon corps à s'écrouler de lui même, mes mains sur mon visage. Je revoyais le visage du monstre, puis du sang par terre, puis une tombe avec aucune inscription dessus. La terranide devait croire que j'avais une crise de folie ou d'hallucination .

Je resta à terre à bouger pour atténuer cette douleur. Je ne devait pas perdre espoir que tous mes souvenir reviennent, même si cela était d'une douleur insoutenable. Je sentit des mains me maitriser, et j'hurla en tentant de me débattre comme une démone, quelqu'un me bâillonna, sans doute que ma voix était trop bruyante à leurs oreilles.

Sinclaire

Terranide

Pas mécontente de voir que sa captive allait gentiment obéir à sa capitaine, celle-ci eut un sourire satisfait.

- Bien. Je vais aller voir ce que vaux ton petit "acompte"...

Elle regarda son équipage d'un air sévère

- Et surtout, que personne ne me dérange.

La Terranide se dirigea vers la cabine du capitaine et y entra. Seulement...

Elle se doutait bien qu'avec un poisson de cette taille, elle allait entraîner des ennuis aussi proportionnels qu'elle allait la rendre riche. Et forcément, il fallut qu'elle fasse sa forte tête pour ennuyer l'équipage et mettre le souk sur le Jolly Jack...

La capitaine, retournée dans ses quartiers pour inspecter la pierre et s'assurer que c'était bien une vraie et, si c'était le cas, évaluer les carats, ne se rendit pas compte du bazar que leur invitée mettait sur le pont.

Les forbans, mécontents d'avoir été maté par ce qu'il considéraient comme une pauvre garce, étaient bien décidé à lui couper une oreille pour cet affront, histoire qu'elle sache les bonnes manières à bord.

Le coup de la pièce hypnotisante eut bien l'effet escompté, et l'équipage du navire eut le loisir d'imiter le gallinacé en rond sur le pont, provoquant un brouhaha de caquètement rauques.

La capitaine, irritée, était prête à se lever lorsque le sort cessa, la replongeant dans son oscultation de la pierre. Les pirates, revenus à eux, foncèrent droit sur la succube, et l'un porta un coup à la tête, avec une matraque. Une fois assomée, ils la baîllonèrent et la ligotèrent, et une idée très sadique leur vint à l'esprit.

Revenue à elle, Succubus eut le loisir de constater qu'à son réveil, elle était paisiblement allongée dans la couche du capitaine, à l'intérieur même de sa cabine, alors qu'elle était en train de jubiler en comptant des pièces d'or, comme une gamine qui fait un château géant en Lego. Et le réveil de la succube ne parut pas inaperçu, seulement quelque chose manquait: les boucles d'oreilles. Subtilisées probablement alors qu'elle était inconsciente...


- Comme d'habitude, je remarque que mes invités sont toujours d'une telle ingratitude... Vous avez attaqué l'équipage sans raison, et en plus vous avez voulu vous enfuir... Je suis très déçue de votre attitude, tss...

Fit-elle en prenant un ton de sermon, suivi d'un rire nerveux, la capitaine se leva, cheveux détachés, son chapeau extravagant reposant sur un portemanteau.

- Qu'est ce que tu va faire pour te racheter, mmh ?
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Kiniro

Humain(e)

Je fut assommée sans ménagement, à mon réveille je constata que mes boucles d'oreilles avaient disparut. Mes yeux montrait ma frayeur, la terranide, elle, comptait ces pièces tranquillement. Je ne fit pas attention à ce que dit à la capitaine et cria presque, en étant dans un état de panique jamais vue, limite en pleure.

- Où sont mes boucle d'oreilles, où elle sont ! Je dois impérativement les garder, elles sont … elles sont … Elles sont ma raison de vivre, mon trésor, mes souvenirs ! Si ils étaient brisées je perdrait tous.

Je ne pensait plus que à une chose récupérer ce trésor, quoi qu'il m'en coute, même si je devait crever sous la lame de cette garce. Je me leva de la couche, l'air autour de moi se fis suffoquant, si la terranide était sensible aux aura, elle aurait sentit la mienne, un aura de peur, de haine et de meurtre.

Je fusilla du regard la capitaine et reposa ma question de manière clair, en utilisant mes armes de succube, mes ongle c'étant un peu allongé, en tant normale je ne l'utilisait jamais, mais ce cas n'était pas normale, elle pouvait décider de ma vie avenir.

- Dites moi qui a mes boucles d'oreilles. Qu'ils me les rendent tout de suite, sinon vous pourriez le regretter amèrement.

Je trancha l'acompte net, sans que cela ne blesse la terranide, bien que l'envie ne me manquait pas.

- Je peut vous en donner d'autre comme ça, mais dite moi d'abord qui est le microbe qui m'a prit mes boucles, que je le tue et expose son corps au soleil et que les rapaces des mer le bouffe.

Je pensait  vraiment ce que j'avais dit, le type qui m'avait prit mon trésor ne survivrait pas une seconde de plus, peu importait si je devais subir la colère de la terranide plus tard. Je continua de vider mon sac, en ne baissant même pas le ton de ma voix. Des larmes commençait à couler le long de mes joue, j'en avais marre que l'on ne me laisse pas tranquille deux minutes.

- Je veut bien servir de martyr, de défouloir ou de cobaye, mais pas sans ces boucle, cela fait vingt ans, vingt longues année que je cherchais mes souvenir des mes dix première années, je ne les retrouve en douceur que depuis hier et vous voulez me retirer ce droit durement acquit !

Tous le bateau devait entendre ce que je disait. Les oreilles de la terranide devaient souffrir et cela me faisait un peu de bien. Je me calma ma voix.

- Ce que je demande n'est pas dure, qui a signer son arrêt de mort, pour m'avoir volée.

Ils n'auraient pas du me les prendres, si ils voulaient que je devienne méchante, alors ils avaient tous gagné y comprit la douleur.

Sinclaire

Terranide

Une deuxième erreur de cette succube fut de toucher aux précieuses richesses de la capitaine, mais qu'à cela ne tienne, elle avait plus de self-control que cette démone...

La Terranide sursauta presque en voyant sa captive s'agiter comme ça, en pleurs et presque prête à péter les plombs. Mais elle avait compris ce qu'elle voulait: les boucles d'oreilles... Si elle y tenait tant, elle allait bien s'amuser à extraire tout ce qu'elle pouvait d'elle en utilisant les fameux bijoux comme monnaie d'échange. Déjà dans sa tête, Succubus était déjà à la merci de la Terranide, l'esclavagiste ne valait pas plus que ses prisonnières à présent...


- Calme t...

Le bruit d'un coup sur la table, et elle vit le précieux diamant tranché net. Les pupilles de la capitaine se rectractèrent: comment avait-elle osé toucher à SA pierre précieuse ? Personne n'avait jamais osé détruire les richesses de la capitaine, et ça elle allait le payer très cher. Mais pour l'instant, mieux valait la tenir tranquille et faire quelques accords...

Seulement cette succube qui piaillait sans arrêt, sa voix à casser les oreilles, la Terranide ne put s'empêcher de se boucher les oreilles avec les mains et esquisser une grimace de douleur. Il fallait que cela cesse, immédiatement...

Aussitôt, quelque chose coupa la respiration de la succube alors qu'elle se calmait: un coup de pied administré droit dans le ventre avait plaqué Succubus contre le mur, qui pouvait admirer le faciès enragé de la capitaine, qui elle aussi avait haussé le ton.


- LA FERME, MERDE ! Je me contrefous de tes droits et de tes boucles d'oreilles à la con, si tu veux revoir tes précieux bijoux tu va me donner tout de suite tous les joyaux comme celui que tu viens d'exploser, et j'éviterait peut-être de te faire du mal !

Elle retira sa botte, pour laisser Succubus respirer, et elle approcha son visage gravé d'un sourire profondément sadique et emplit de rancune

- Ou sinon, je balance tes boucles d'oreilles par dessus bord, et tu les suivra. C'est compris ?

Elle se rassit sur sa chaise, bras croisés sous sa poitrine opulente et croisa les jambes.

- J'attends. Etale l'or, et je te rends tes bijoux. Et surtout, tu arrêtes de gueuler, ou je t'arrache les cordes vocale.
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Je sentit un coup de pied me plaquer contre le mur avec violence, la botte de la terranide resta comprimée sur mon ventre me faisant encore plus souffrir et  m'empêchant de bien respirer. Elle ne semblait pas avoir appréciée que je lui pète un bijou qui n'avait aucune valeur par rapport à mes boucles d'oreilles. Elle avait elle aussi hausser le ton pour me calmer et passer un peu ces nerfs. Je n'était pas prête à lui donner un seul centimes, mais je fut plus compréhensive quand elle me menaça de balancer les boucles. La garce retira sa botte et je put reprendre mon souffle, en toussant un peu, mon corps n'était décidément pas fait pour ce battre.

Je passa ma main dans mon haut et sortie une trentaine de joyaux identique en tous point à celui fendu sur la table. Ma colère n'avait pas cessée, mais je devait me montrer plus prudente, maintenant qu'elle semblait pouvoir faire disparaître mon trésor dans la mer. Dans ce cas là, je n'aurait plus qu'à mes jeter à l'eau pour les récupérer et tenter de survivre. Je dit d'une voix calme et doux

- Voilà c'est tous ce que j'ai sur moi.

Je voyait ma sacoche sous la table de la terranide. Il y avait dedans des produits paralysant vendue dans des commerce que cette pirate devait connaître, ainsi qu'un poignard dont la lame était bénite. J'avais d'habitude ce poignard sur moi en cas d'agression de démon plus fort que moi, l'ennuie c'est que cette lame marchait aussi sur moi.

Je pria en silence, pour qu'elle n'y ai pas regarder de trop près. Je resta un moment silencieuse en réfléchissant.

Elle allait continuer il y avait beaucoup de chance, je pouvais demander, mais dans ce cas acceptera-t-elle vraiment de me les rendre. Il y avait là aussi peu de chance, tous ce que je savais, c'est que j'allais souffrir. D'une part parce que je lui est péter un des joyaux et ensuite pour lui avoir casser les oreilles. Dans la situation où j'étais je ne risquait plus rien, elle allais s'amuser avec moi soit, mais elle ne jetterais pas mes boucles, c'était ma faiblesse et elle ne le savait que trop.

- Je vous ai donnée ce que vous vouliez, puis-je récupérer mes boucle s'il vous plait.

Je me comportais comme quand j'étais une esclave, et cette pensée eut le réflexe de me mordre la lèvre inférieur jusqu'au sang, en l'attente de la réponse

Sinclaire

Terranide

La vue des joyaux fit sourire la capitaine. Au moins, elle avait eu l'intelligence de lui obéir sans faire d'histoire et bien entendu, la servitude méritait une petite récompense...

Elle ouvrit un des tiroirs du bureau où elle avait disposé les pièces, et en sortit les fameux bijoux, qu'elle jeta au visage de la succube en riant, ramassant les diamants quant à elle... Elle se demandit si ce n'était pas prématuré de lui rendre les boucles d'oreilles maintenant, elle aurait pu continuer à lui faire cracher un peu d'or...

Au final, tant qu'elle serait sur ce navire, Succubus ne pouvait rien faire: à présent éloigné des côtes, elle ne pourrait jamais atteindre la terre à la nage sans finir noyée une fois morte d'épuisement. Et probablement que les requins se seraient chargée d'elle avant la mer... Parce qu'il est de coutume qu'avant de jeter quelqu'un par dessus bord, on lui fasse une profonde entaille dans un membre pour le faire gigoter davantage et diffuser son sang dans l'eau, attirant les squales qui confondent le malheureux/la malheureuse avec un poisson blessé, repas favori des requins.


- Mais bien sûr. Les voilà, tes bijoux. Mais crois-moi, si tu hurles, emmerde l'équipage ou touche encore à mes affaires, je t'ouvre le ventre et 'offre en pâture aux requins.

Elle regarda un peu plus attentivement de haut en bas la succube. Elle n'allait quand même pas s'en tirer à si bon compte...

- Maintenant... Tu va me dire où tu caches tes esclaves. J'ai bien envie de voir leur tête quand il verront le sort que je réserve à leur maîtresse pour avoir transgressé les règles de ce navire...

Elle eut un petit ricanement, et passa sa main dans une mèche de cheveux.

- Quoique... Il faut que je sois entraînée avant la démonstration en face de tes petits protégés...

Elle ravança un peu sa chaise, plantée devant le bureau sous lequel reposait le sac de Succubus sachant pertinemment ce qu'il y avait à l'intérieur, recroisa les bras et les jambes et dit d'un ton sec, avec un rictus mauvais

- Déshabille toi.
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J'eus meilleur mine, quand elle me jeta les boucles d'oreille, heureusement elle semblait intact et n'avait pas perdu de leur éclats, que je m'empressa des les mettre, quand la terranide me dit où ce trouvais mes esclaves, pour que je serve d'exemple sous leurs yeux. Je passa ma langue sur l'index de ma main droite, puis eut un petit sourire. J'avais reprit du poil de la bête et ayant eut ce que je voulait il fallait maintenant  trouver un moment pour sortir de la cabine et s'échapper par les air, bien sur je ne pourrait pas faire tous le trajet en volant, le reste se ferra à la nage. Mais encore fallait-il réussir à sortir de la cabine et à s'envoler. Le bémol fut que la terranide au vu de sa position par rapport à ma sacoche, savait ce qu'elle contenait et cela me gênait un peu. Mais rien de dit qu'elle aurait le temps de sortir le poignard. Il fallait quand même tenter le coup au moment où elle baisserait la garde. Je parla calmement, mais l'on sentait ma determination dans chaque mot.

- Tu ne feras rien apprendre à mes esclaves, je suis peut être une pétasse quand je les captures, mais je leur montre un minimum de respect et ils me le rende bien. Ils n'éprouveront rien d'autre que de la haine envers toi ... terrannide, et plus de respect envers moi. Si tu veus les voir ils sont dans une grotte marine où est ma demeure. Elle devrais se situer à deux, trois heure au sud de la prison et tu as de la chance on peut y accoster un navire.

J'avais bien insisté sur le mot qui fâchait, terranide, peu de créature de cette race supportaient que l'on ne le prononce de cette manière et la dernière phrase était prononcée sou la moquerie qui sous entendait qu'elle ne connaissait rien à l'orientation. Il n'était pas question de laisser cette garce me prendre pour son jouet. Les tiques éait pour la faire oublier le contenu de la sacoche et une diversion, pendant ce temps j'essaya de faire apparaître une liane derrière moi et le résultat fus satisfaisant, la terranide ne pouvait pas le voir et je le fit disparaître.

Le bois du navire permettait de faire appel au liane sans problème. La terranide avait la force et le terrain pour elle, moi je n'avait que mon pouvoir et encore il ne marcherais qu'avec un effet de surprise.

Je me déshabilla, pour avoir le temps de réfléchir comment avoir cette hybride. Je fixa mes boucle d'oreille sur ma langue et retint un crie de douleur. Au moins, elle aurait plus de mal à me les prendre. Il fallait à tous prit l'empêcher de les reprendre, sinon cet enfer continuerais.

Restais à savoir ce qu'elle tentais de faire, il aurait été plus humiliant de se faire avoir par un homme et non une femme. Ce dernier point me tracassait un peu, elle semblait cacher quelque chose et la révélation pourrait être surprenante.

Le but maintenant était d'attendre une ouverture et de l'attaquer à ce moment précit.

Sinclaire

Terranide

Oser discuter l'autorité de la capitaine était d'une audace (et d'une folie) encore jamais connue à se jour. Mais on lui laissait le bénéfice de l'ignorance, mais malgré tout elle paierait cher cet affront. Cette idiote ne perdait strictement rien pour attendre...

Elle savait très bien ce qui restait à la succube avant de pouvoir tenter quoi que ce soit: le sac. Il fallait écarter ce problème, déjà réglé vu qu'elle montait la garde à côté. Et elle allait bien profiter d'elle durant de loooongs moments avant qu'elle ne revoie ses précieuses affaires...

Ses doigt s'enfoncèrent dans la chair de ses bras en entendant ce mot. "Terranide"... A cette époque, traiter quelqu'un de Terranide venait presque à dire qu'il était un esclave, un soumis, quelqu'un d'inférieur. Elle voulait qu'on la reconnaisse en tant que capitaine... Elle allait devoir apprendre l'obéissance et le respect.

La botte de la capitaine rencontra encore une fois le ventre de la succube, mais sans la plaquer cette fois, juste histoire de lui couper le souffle à nouveau pendant que la capitaine reprenait place sur sa chaise.


- J'en ai rien à secouer des états d'âme de tes esclaves. Je garderai ceux qui me plaisent et je revendrai les décevants. Et je commence à me demander si je n'irai pas te vendre, toi aussi... Je te vois très bien avec un joli collier autour du cou et faire les 4 volontés des nobles de Nexus. Alors maintenant, si tu veux éviter ce sort-là, déshabille-toi.

Qu'elle les mette donc où elle veut, ses boucles d'oreille. Si elle voulait les reprendre, elle n'aurait qu'à tirer dessus et ça viendrait tout seul, avec un bout de langue en prime.

- Bien. Maintenant, je vais commencer à t'apprendre où est ta place. Amuse-moi, danse. Et je veux quelque chose d'excitant.

Il fallait rester calme, tant qu'elle gardait ses affaire, la laisse était encore dans sa main. Et elle allait pas hésiter à tirer dessus très fort pour apprendre à cette garce qui est la patronne...
You are a pirate !
You are an adult pirate !
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Fifteen man's on a dead's men chest (merci Bleiz, encore)
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Avatar par Jolly Jack.

Kiniro

Humain(e)

Le coup de botte me mit à terre, je reprenais mon souffle mais difficilement. Elle me dit ensuite qu'elle allais vendre les esclaves que j'avais durement éduqués et garder les meilleur pour elle. La remarque comme quoi je serais vendu pour les nobles de pacotille m'énerva. Je me mordais la lèvre tellement fort, que du sang parcourut mon corps à présent nu. J'étaie revenu à l'époque de mon maître, sensualité et douleur, ces deux sentiment, mon regard reflétait le même regard meurtrier. Qu'elle me touche, m'abuse allais encore, mais elle n'aurait pas le plaisir de toucher à mes esclaves. Elle voulait une esclave docile, soit elle l'aurait, mais ma vengeance sera terrible. Le premier but était de l'éloigner du sac, les produits m'affectais, mais le plus dangereux était le poignard qui ma causait d'horrible douleur et empêchait de refermer la plaie.

Je virevoltais, pour moi une danse n'était pas un fardeau, c'était de l'amusement, j'ai arrêter de compter le nombre de fois où mon ancien maître m'avait demandé de danser. Tous mon corps n'était que grâce et la terranide devait en être satisfaite, car il est rare de voir une succube à l'origine et encore moins de la voir danser sans en payer le prix.

- Cette danse est-elle à votre goût ? Je ne voudrais pas que madame s'ennuie.

Je me moquait un peu d'elle qui prenait la sacoche en otage, si elle n'était pas aussi près de ce dernier j'aurais tentée de fuir, mais elle avait la possibilité de sortir le poignard et de me clouer au sol. Je voulut relancer une tique.

- Vous avez un …

D'un coup un flash revint, encore plus douloureux que la précédente. Cette fois c'était comme une vidéo, celle de mes  sept ans. Je voyait ma mère et mon père en fasse de moi avec d'autre gens. Il y avait un gâteau et des cadeaux en face de moi. Cela dit je n'ouvrit que celui  de mon père et de ma mère. Celui de mon père était un livre sur l'histoire des symboles dans le monde des humains, celui de ma mère un livre parlant du pouvoir des succube; cette dernière dit même.

- Quand une succube croit être bloquée dans une situation alors elle tranche le problème, même une succube peut tomber, l'important c'est que tu croit que ce soit juste. L'art des succubes n'a pas de limite pour peu que tu y mettes quelques chose de valeur.

-Je comprend pas maman

- Tu le saura un jour où tu sera dans cette situation.

Elle me posa un baiser sur mon front et dit d'une voix calme.

- A tes dix ans tu ne te rappelleras de rien, car tel est la tradition dans notre famille. Tu devras les retrouver et les protéger comme moi je le ferais bientôt pour toi.

Je vis une larme couler sur sa joue.

Je me réveilla de ce souvenir, étant par terre,   ayant bougée au vue des marque de frottement sur le sol et j'étais en sueur. Ainsi ma perte de mémoire était faite par ma mère. Je voulait encore plus savoir ce qu'il était advenu d'elle et de mon père. Je me releva et dit.

- Veuillez excuser ce moment de faiblesse

Et je repartie dans ma danse, en pensant à ce qu'avait dit ma mère.
« Modifié: vendredi 17 avril 2009, 13:22:53 par Succubus »

Sinclaire

Terranide

Ayant réfléchi deux fois, la capitaine se dit que finalement cette punition était peut-être trop légère pour ce qu'elle avait fait... Normalement, elle aurait été jetée à la mer une fois les bras coupés depuis un bon bout de temps. Mais elle était prometteuse, ou du moins la promesse de richesses incroyable donnait envie à la capitaine de rester encore un chouïa tolérante, mais une fois qu'elle aurait eu ce qu'elle voulait, elle ne ferait pas de quartier...

Sinclaire put retrouver le sourire en voyant l'obéissance immédiate de sa prisonnière, elle eut l'impression que ce n'était pas la première fois qu'elle était dans cette situation... Elle profitait de l'expérience de la succube pour mieux se satisfaire, c'était bien le genre de truc qui la bottait.

Voir son corps se déhancher comme cela ne pouvait pas tarir le sourire satisfait et arrogant de la capitaine, profitant bien sûr de son point de vue sans vergogne, examinant bien chaque parcelle de peau et jauger un peu de la beauté de ce corps, qui atteignait déjà un très bon score auprès de la Terranide. Seulement...


- Huh? Qu'est ce que tu fiches ?

Elle venait de tomber par terre et à présent se tortillait comme un ver, comme si elle avait été frappée de folie. Mais avant même que la capitaine ne se lève pour inspecter l'état de Succubus, celle-ci reprit ses esprits...

- T'excuser ? Pas question. Tu penses que je vais me contenter d'une prestation aussi minable ? Si tu veux mériter ton séjour ici, on va devoir passer a la vitesse supérieure il me semble.

Elle avait du mal de retenir un ricanement. Elle pointa du doigt sa couche, comme on ordonne au chien d'aller à la niche.

- Va au lit, et agenouille toi face à moi.

La capitaine se leva, et se mit juste en face d'elle. La terranide avait un peu jaugé la distance entre sa position et le sac, un simple bond en arrière lui permettrait d'accéder à l'attirail intéressant qu'il contiens... Parce qu'elle savait très bien de quelle race était Succubus, et elle connaissait aussi la propriété de la dague... Un simple coup d'oeil avait suffi.

- Maintenant, tu va retirer ma ceinture, et baisser mon pantalon. Et je veux voir ton visage contre mon entrejambe... Avec le sourire...

Elle plaça une main derrière la tête de Succubus, tenant ses cheveux. Ainsi, non seulement elle pourrait déterminer la cadence, mais aussi la tenir au cas où elle tenterait de faire des bêtises.

A l'intérieur, sa partie masculine bouillonnait d'impatience. Gonflée et dure, elle n'attendait que son heure pour pouvoir visiter Succubus par toutes les voies disponibles, et cela plusieurs fois si nécéssaire...
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Kiniro

Humain(e)

Mon corps brulait de rage, je voulait l'écorcher vive en la laissant se vider de son sang, que je boirait. La terranide pointa sa couche et me dit de m'y  placer en face d'elle. J'obtempèra, mais la situation ne fut pas meilleur. Elle était tous aussi cruelle que mon ex-maître et cela me donnait vraiment envie de la tuer, l'ennui c'est qu'elle était encore trop proche de la sacoche et mes lianes n'aurais pas suffisamment le temps de la ligoter. Il fallait attendre, patienter. Une chose de sur, je lui ferait payer cette mascarade plus chère qu'elle.

Elle me prit par les cheveux en tirant un peu, ce qui me fit pousser un petit crie de douleur, mes cheveux étaient sensible et elle osait les prendre comme si cela n'était qu'une laisse. Elle me dit de baisser son pantalon et de me placer contre elle. Je rageais, elle était comme mon maître, elle aimait humilier et dominer les autres, cela dit elle baisserais plus facilement sa garde. Je m'exécuta et eut une mauvaise surprise, il y avait deux sexe, un mâle et une femelle. J'eus un sourire. Et dit de manière provocante.

- Je pensait que les personne ayant ce genre de tare étaient débile. Pff … Je comprend mieux.

Je me plaça comme elle le voulait et attendit les ordres. Cette surprise pouvait me permettre un retournement de situation. Si j'avais le sexe mâle dans la bouche, je pourrais la ligoter avec mes lianes et lui faire comprendre qu'un sexe comme celui là était sensible aux dents. C'était le plan parfait, encore fallait-il que les facteurs soient tous présent. L'autre solution était de faire la gentille et attendre qu'elle jouisse pour agir, car à ce moment là le cerveau a un moment d'absence et c'est à ce moment précis qu'il fallait agir.

- Il faut dire que tu caches bien ton joujou. Une pirate de ton envergure aurait-elle honte de cette difformité.

J'eus un sourire, mais la terranide n'avait visiblement pas appréciée mes remarques. Elle ne devait pas aussi appréciée le fait que je la tutoyait, ce qu'une bonne esclave n'aurait jamais fait.


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