Le Grand Jeu
Plan de Terra => Territoire de Tekhos => Prison Eternum => Discussion démarrée par: Kiniro le jeudi 16 avril 2009, 19:57:52
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Je vit un sentier, une sentier de cerisier en fleur. Ma mère était derrière moi et me disait d'attendre, que cela pourrai être dangereux d'être séparées, mais je m'amusait trop. Je sentit une main me prendre par le col et là je vit un monstre qui me disait bonjour avec un sourire malsain.
Je me réveilla en sueur, la main droite sur mon front en regardant mes pied. Je senti un courant d'air et mon lit était dure. Je regarda autour de moi encore paniquée par mon cauchemar, non ce n'était pas un cauchemar, je m'en rappelait trop bien. C'était un souvenir. Le lieux était sombre et je vit des barreaux, dès cette instant je porta mes mains à mes oreilles, les boucles d'oreilles étaient encore là.
Je poussa un soupir de soulagement, dire que ces bijoux contiennent tous mes souvenirs et ceux que je me ferais. Je me leva et fit une récapitulation de ce qui venait de se passer.
- J'ai eut mes souvenirs, je suis allée boire et là …
je poussa un soupir de frustration.
- La seule solution pour que je me trouve dans cette prison, c'est que j'ai blessée des mec de bar et qu'ils ont appelés les flics. L'important c'est que j'ai mes boucles d'oreille, ma robe japonaise et ma sacoche.
Les policier semblaient m'avoir mit sans prendre le temps de faire quoi que se soit. Une migraine me transperçait le crâne et oui la gueule de bois du lendemains me touchais aussi. Je sortie de quoi crocheter la serrure, mais cela ne servit à rien. Elle était plus compliquée que les menottes. Je renifla un de mes avant bras, elle puait les vapeur d'alcools. J'avais vraiment du dépasser la dose conseillées à boire. Je m'assit les cuisse sur mes fesses, ferma les yeux et réfléchit à la manière de sortir de ce lieu désagréable.
-Je peut sortir en tordant les barreaux de cette cage, mais il faudra miser sur l'hypnose pour sortir, la deuxième solution est d'attendre que quelqu'un viennent, mes esclaves ne pourront pas rentrer et serais capturés, ça ils le savent. Il vaudrait une personne extérieur, qui ne me connaisse pas.
N'ayant pas envie d'attendre, je prit la décision de me barrer, le fer ne fit pas le poids face à la force des lianes, je sortie et me dirigea vers ce qui me sembla être la sortie, en faite ce fut un cul-de-sac.
Je sentit la présence de quelqu'un et ce fut à ce moment que j'eus un flash de souvenir m'obligeant à appuyer mon corps contre un mur.
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Tout au bout du couloir, la succube entendit juste un "boum" assourdi, de loin. Ce n'était que les trompettes qui annoncaient une arrivée plutôt innattendue.
Une autre explosion, une autre encore. Un grand tumulte s'était emparé de certains couloirs, les prisonniers semblaient surexcités, mais on ne savait pas si c'était de la peur, de la colère ou de la joie, avec tous les piaillements simultanés. Evidemment, c'était encore loin, on ne pouvait pas dire que la source de leur énervement était proche.
Seulement, elle avait tout intérêt à passer au peigne fin cette prison, parce qu'un fameux magot l'attendait. Sinclaire passait en revue chaque cellule, mais ne trouvait pas ce qui lui fallait. De plus, les gardes et le système de sécurité étaient plutôt étrange, quelque chose de jamais vu, probablement dû au royaume innaccessible de cette partie du continent, que peu de natifs de sa région ont déjà vu, rien que de loin.
Mais ce royaume ne figurait pas sur sa liste de tâche d'aujourd'hui, loin de là. Elle devait retrouver un vieillard croupissant, qu'elle savait pertinemment en possession d'une vieille clé pour ouvrir des portes vers des richesses à présent jamais égalées. Et elle trouverait ce croulant, coûte que coûte...
Encore des explosions. Les briques volaient, la fumée emplissait les couloirs faisant tousser la capitaine et 3 hommes de son équipage, et les détonations continuèrent, causant de plus en plus de tumulte dans les cellules. Mais finalement, non loin du couloir où venait de s'échapper Succubus, on entendit une voix de femme s'exclamer.
- Enfin je te trouve, vieux sénile ! Tu croyais que tu allais avoir la paix, à croupir dans cette prison ?
Une autre voix, celle d'un vieil homme au ton tremblotant probablement à cause de la sous-nutrition de toutes ces années l'ayant rendu chétif et faible...
- N-non... Comment tu as su que j'étais ici, hein ?...
- C'est ton second, pour quelques pierres il m'as dit où tu planquais la clé. Alors tu va me la donner tout de suite, vieux shnock, ou je te le prendrai par la force. Je vais être sympa avec toi si tu coopères: tu me donnes la clé, et je te libère. "
- J'ai aucune garantie de...
- LA FERME ! Soit tu me donnes la clé, soit je te laisse croupir ici pour le restant de tes jours, il me semble qu'ils DÉTESTENT ceux qui tentent de s'évader, non ?
- Ca va, ça va...
- Comme promis, je vais te libérer. Tu me connais: je n'ai qu'une parole...
On put voir la silhouette du capitaine dégainer son sabre, et le passer à travers les barreaux. Vu le son, elle avait bien touché la cible, empalée sur son arme.
- Je t'ai bien libéré, mais je n'ai pas dit que j'allais ouvrir la porte... Hi hi hi... Bon, voyons voir si il n'y as rien de ce côté...
Quelques pas qui se rapprochent...Un cul de sac... Et un autre cul.
- Tiens, tiens, tiens, qu'est ce que nous avons là ? Ne serais-ce pas une petite fugitive qui as essayé de profiter du bordel que j'ai mis ici pour mettre les voiles ?
Sourire au lèvre, la capitaine s'approcha, sa queue remuant déjà de satisfaction. Une clé et une nouvelle esclave, que demander de plus ? Celle là ira directement dans ses petites favorites...
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J'entendis une vois féminine parler et un corps flou venir, le restant d'alcool combiné aux flash de souvenir ne me permettait pas de voir de qui il s'agissait. Mais il serait ma clé pour sortir de ce lieu. Je devais tous miser sur cette opportunité pour sortir, même si cela me coûterait mon corps, de toute façon je n'était pas en état pour combattre, seul l'intimidation par les mots pourrait marcher. Je me décala du mur, non sans mal et dit avec autant de franchise que mon états pouvait le permettre. De plus je n'aimais pas l'enfermement qui me causait une tremblement de mes membre, similaire à un états de peur.
- Je ne sais pas qui vous êtes, mais aidé moi à sortir de ce lieu sordide. Je m'appelle Nana de la Rosiaire, j'ai de quoi vous payer mon billet de sortie. Si ce sont des esclaves qu'il vous faut j'ai là aussi de quoi vous satisfaire, étant une esclavagiste je pourrait aussi vous en chercher à votre goût. Je ne demande qu'une chose, que vous me sortiez de cette énorme cage.
Je sortie de ma sacoche un joyau qui était un trésor à lui tous seul, dans les marché noir elle n'avait aucune valeur, tellement le prix aurait été élevé. Son éclat rivalisait avec celle de la lune, douce et apaisante.
- Voici un premier acompte de ma sortie.
Je voulut me diriger vers la personne et sentit mes jambes me lâcher, par réflexe mes ailes jaillirent et finirent de mettre en lambeau la robe japonaise dévoilant ma tenue habituelle (voir avatar). Je sentit à ce moment que cette personne avait une odeur reconnaissable. Celui de la chasseuse.
je me releva aussi vite que possible et me frappa l'arrière du crâne contre le mur, ce qui eut l'effet de chasser ma gueule de bois et d'arrêter le flot de souvenir, je pouvait dés à présent voir la personne à qui j'avais demandée mon aide. Je fut surprit de voit la terranide, une pirate au vue des deux zigoto qu'elle trimballait derrière elle. Je sentait le sang frais, en vit son sabre gouttant celui de sa victime.
Une pirate n'était pas facile à berner, aussi séduisante soit-elle. Mais je voulut tenter un coup de bluff.
- Je peut si vous le désirez chercher des informations sur des trésors de grande valeur.
En fait je n'avait aps de réseau assez fiable pour trouver ces soi disant trésors, mais il fallait avoir la confiance de cette pirate, peu importait le prix.
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A la première impression, cette pauvre fille n'était qu'une paumée parmi tant d'autres dans cette prison, enfermée pour raison X et qui n'avait plus aucun garde qui ne soit pas monté dessus.
Mais la chair fraîche était bien cachée derrière ce déguisement de pauvresse. Et c'était bien cela qui avait alléché la pirate: trouver une dominante... D'habitude, elle n'avait ramassé que des adolescentes stupides et naïves ou des femmes aux foyer soumises et usées, que de l'usuel, rien de très intéressant sinon un corps encore sain et attirant.
Mais elle était différente. Ca se voyait. Quelque chose de terriblement intéressant sommeillait en elle, et la pirate brûlait de le savoir... Et si jamais son intuition était faussée, cette idiote paierait de sa vie d'avoir fait ainsi languir la capitaine pour rien.
- Une esclavagiste, hein ?... Terrrriblement intéressant, ça...
Elle ne fit qu'étouffer un petit rire nerveux causé par l'excitation d'avoir trouvé une telle poule aux oeufs d'or. Mais a la vue de la pierre précieuse, l'image de la poule se transforma aussitôt en corne d'abondance. Or et esclaves, tout ce qu'elle demandait, à portée de main et sur commande ! Grâce à elle, elle sera la femme la plus riche du monde... A pouvoir s'en bâtir un royaume pour elle toute seule !
- Un acompte ?! Eh bien...
Elle fis quelques pas rapide en avant, pour réceptionner la succube qui allait manquait de se casser le nez par terre... Ca aurait été bête de gâcher une perle pareille ! Autant elle que le joyau que la pirate venait d'extirper des mains de l'esclavagiste. De plus, la succube tenant visiblement une grosse couche, la trimballer sera encore plus simple.
- Ha, ha ! Pas la peine de me promettre des trésors, tu va tout d'abord m'offrir ceux que tu possèdes déjà, ensuite on en reparlera ! Allez, tout le monde à bord !
Elle empoigna bien fermement les poignets de Succubus, et la coinça dans son dos, pour lui éviter de faire des bêtises. Et ils retraversèrent les couloirs où jonchaient des briques explosées, des trous béants percés dans les murs à coup de dynamite. Direction: le Jolly Jack, navire de la Terranide.
Une fois sorti de prison, elle poussa Succubus sur la passerelle, arrivant droit sur le pont, et il remontèrent l'ancre une fois que tout le monde était à bord, le navire s'en allait, Succubus au milieu de la bande de flibustier, la capitaine regardait d'un air salace et avide la succube à sa merci.
- Tout d'abord, bienvenue sur mon navire, le Jolly Jack ! L'autre bonne nouvelle, c'est que tu es pour le moment invitée parmi mon charmant équipage. Alors essaie d'être polie avec eux, compris ? Règle numéro 2: ne pas se plaindre, je déteste ça. Et enfin: ne tente rien de stupide, parce que j'arrive toujours à faire payer ceux qui m'ont emmerdés. Est-ce bien compris, mademoiselle ... ?
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a terranide me prit les poignet et m'emmena hors du cette prison qui semblait avoir subit un bombardement intensif. Je monta sur le bateau et elle me laissa au milieu de ces compagnons de métier. J'écouta ce qu'elle dit et fit un récapitulatif à voix haute, pour montrer que je n'était pas bête.
- Donc si je suis gentille, polie et que je ne fais pas de crasse tous ce passera bien. Ok. J'ai comprit, je me tiendrait tranquilles.
Ce que je ne dit pas c'était : pour l'instant. Je sentais qu'elle voulait s'amuser avec moi, mais le plus important c'était de cacher mes boucle d'oreille, sans que le mouvement ne soit perçut ni de la terranide, ni de son équipage. Je savait que les prendre ne causerai pas leur destruction, mais c'était mon trésor le plus précieux, et tant pis si je devais mourir pour les protéger.
L'air du large me fit un bien fou, je reprenait de mieux en mieux mes esprit, un des hommes voulut me toucher. Par pure réflexe je lui décocha un coup de pied verticale, l'envoyant s'étaler une mètre plus loin. J'eus un petit sourire, ils étaient nombreux et certainement entrainés. Ma victime se releva, le nez en sang et voulut m'embrocher, par rage certainement.
Je me glissa derrière lui et pointa son propre sabre sous sa gorge. Je m'approcha de ces oreilles et dit, de manière assez forte pour que tous le monde entendent.
- Ne crois pas que je ne sache pas me battre, petit vermisseau. Tu as de la chance que je doit être gentille et polie, sinon tu aurais dit bonjour à la dame avec la faux. Alors la prochaine fois demande, au lieu d'agir.
Pour l'équipage, la phrase voulait dire que je n'était pas une prisonnière qui se laissait faire, mais qui était prête à accepter pour peu que l'on demande. Je relâcha ma prise et en guise de remerciement me prit une baffe, me faisant rouler à terre jusqu'au mat que mon dos prit de plein fouet. Ils avaient décidés de m'énerver soit ils allaient être servit.
Je sortie de ma sacoche une fausse pièce en émeraude et le plaça devant mes yeux, ces abrutie mordirent à l'hameçon et se retrouvèrent tous hypnotisé, dès ce moment je leur fit faire le tour du bateau en imitant la poule. L'exercice était assez hilarant, mais je commença vite à m'épuiser, j'avais du mal à respirer. Il faut dire que je n'avait jamais hypnotisé autant de gens en une seule fois. Il ne firent que deux tour avant que je ne coupe le lien hypnotique. Je voulut sauter du pont mais mes mains m'arrêtèrent et je vit l'eau. A ce moment une vrais peur s'empara de moi.
J'avais peur de l'eau et donc je ne savait pas nager. Je me retourna et eut un douleur fulgurante au crâne, obligeant mon corps à s'écrouler de lui même, mes mains sur mon visage. Je revoyais le visage du monstre, puis du sang par terre, puis une tombe avec aucune inscription dessus. La terranide devait croire que j'avais une crise de folie ou d'hallucination .
Je resta à terre à bouger pour atténuer cette douleur. Je ne devait pas perdre espoir que tous mes souvenir reviennent, même si cela était d'une douleur insoutenable. Je sentit des mains me maitriser, et j'hurla en tentant de me débattre comme une démone, quelqu'un me bâillonna, sans doute que ma voix était trop bruyante à leurs oreilles.
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Pas mécontente de voir que sa captive allait gentiment obéir à sa capitaine, celle-ci eut un sourire satisfait.
- Bien. Je vais aller voir ce que vaux ton petit "acompte"...
Elle regarda son équipage d'un air sévère
- Et surtout, que personne ne me dérange.
La Terranide se dirigea vers la cabine du capitaine et y entra. Seulement...
Elle se doutait bien qu'avec un poisson de cette taille, elle allait entraîner des ennuis aussi proportionnels qu'elle allait la rendre riche. Et forcément, il fallut qu'elle fasse sa forte tête pour ennuyer l'équipage et mettre le souk sur le Jolly Jack...
La capitaine, retournée dans ses quartiers pour inspecter la pierre et s'assurer que c'était bien une vraie et, si c'était le cas, évaluer les carats, ne se rendit pas compte du bazar que leur invitée mettait sur le pont.
Les forbans, mécontents d'avoir été maté par ce qu'il considéraient comme une pauvre garce, étaient bien décidé à lui couper une oreille pour cet affront, histoire qu'elle sache les bonnes manières à bord.
Le coup de la pièce hypnotisante eut bien l'effet escompté, et l'équipage du navire eut le loisir d'imiter le gallinacé en rond sur le pont, provoquant un brouhaha de caquètement rauques.
La capitaine, irritée, était prête à se lever lorsque le sort cessa, la replongeant dans son oscultation de la pierre. Les pirates, revenus à eux, foncèrent droit sur la succube, et l'un porta un coup à la tête, avec une matraque. Une fois assomée, ils la baîllonèrent et la ligotèrent, et une idée très sadique leur vint à l'esprit.
Revenue à elle, Succubus eut le loisir de constater qu'à son réveil, elle était paisiblement allongée dans la couche du capitaine, à l'intérieur même de sa cabine, alors qu'elle était en train de jubiler en comptant des pièces d'or, comme une gamine qui fait un château géant en Lego. Et le réveil de la succube ne parut pas inaperçu, seulement quelque chose manquait: les boucles d'oreilles. Subtilisées probablement alors qu'elle était inconsciente...
- Comme d'habitude, je remarque que mes invités sont toujours d'une telle ingratitude... Vous avez attaqué l'équipage sans raison, et en plus vous avez voulu vous enfuir... Je suis très déçue de votre attitude, tss...
Fit-elle en prenant un ton de sermon, suivi d'un rire nerveux, la capitaine se leva, cheveux détachés, son chapeau extravagant reposant sur un portemanteau.
- Qu'est ce que tu va faire pour te racheter, mmh ?
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Je fut assommée sans ménagement, à mon réveille je constata que mes boucles d'oreilles avaient disparut. Mes yeux montrait ma frayeur, la terranide, elle, comptait ces pièces tranquillement. Je ne fit pas attention à ce que dit à la capitaine et cria presque, en étant dans un état de panique jamais vue, limite en pleure.
- Où sont mes boucle d'oreilles, où elle sont ! Je dois impérativement les garder, elles sont … elles sont … Elles sont ma raison de vivre, mon trésor, mes souvenirs ! Si ils étaient brisées je perdrait tous.
Je ne pensait plus que à une chose récupérer ce trésor, quoi qu'il m'en coute, même si je devait crever sous la lame de cette garce. Je me leva de la couche, l'air autour de moi se fis suffoquant, si la terranide était sensible aux aura, elle aurait sentit la mienne, un aura de peur, de haine et de meurtre.
Je fusilla du regard la capitaine et reposa ma question de manière clair, en utilisant mes armes de succube, mes ongle c'étant un peu allongé, en tant normale je ne l'utilisait jamais, mais ce cas n'était pas normale, elle pouvait décider de ma vie avenir.
- Dites moi qui a mes boucles d'oreilles. Qu'ils me les rendent tout de suite, sinon vous pourriez le regretter amèrement.
Je trancha l'acompte net, sans que cela ne blesse la terranide, bien que l'envie ne me manquait pas.
- Je peut vous en donner d'autre comme ça, mais dite moi d'abord qui est le microbe qui m'a prit mes boucles, que je le tue et expose son corps au soleil et que les rapaces des mer le bouffe.
Je pensait vraiment ce que j'avais dit, le type qui m'avait prit mon trésor ne survivrait pas une seconde de plus, peu importait si je devais subir la colère de la terranide plus tard. Je continua de vider mon sac, en ne baissant même pas le ton de ma voix. Des larmes commençait à couler le long de mes joue, j'en avais marre que l'on ne me laisse pas tranquille deux minutes.
- Je veut bien servir de martyr, de défouloir ou de cobaye, mais pas sans ces boucle, cela fait vingt ans, vingt longues année que je cherchais mes souvenir des mes dix première années, je ne les retrouve en douceur que depuis hier et vous voulez me retirer ce droit durement acquit !
Tous le bateau devait entendre ce que je disait. Les oreilles de la terranide devaient souffrir et cela me faisait un peu de bien. Je me calma ma voix.
- Ce que je demande n'est pas dure, qui a signer son arrêt de mort, pour m'avoir volée.
Ils n'auraient pas du me les prendres, si ils voulaient que je devienne méchante, alors ils avaient tous gagné y comprit la douleur.
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Une deuxième erreur de cette succube fut de toucher aux précieuses richesses de la capitaine, mais qu'à cela ne tienne, elle avait plus de self-control que cette démone...
La Terranide sursauta presque en voyant sa captive s'agiter comme ça, en pleurs et presque prête à péter les plombs. Mais elle avait compris ce qu'elle voulait: les boucles d'oreilles... Si elle y tenait tant, elle allait bien s'amuser à extraire tout ce qu'elle pouvait d'elle en utilisant les fameux bijoux comme monnaie d'échange. Déjà dans sa tête, Succubus était déjà à la merci de la Terranide, l'esclavagiste ne valait pas plus que ses prisonnières à présent...
- Calme t...
Le bruit d'un coup sur la table, et elle vit le précieux diamant tranché net. Les pupilles de la capitaine se rectractèrent: comment avait-elle osé toucher à SA pierre précieuse ? Personne n'avait jamais osé détruire les richesses de la capitaine, et ça elle allait le payer très cher. Mais pour l'instant, mieux valait la tenir tranquille et faire quelques accords...
Seulement cette succube qui piaillait sans arrêt, sa voix à casser les oreilles, la Terranide ne put s'empêcher de se boucher les oreilles avec les mains et esquisser une grimace de douleur. Il fallait que cela cesse, immédiatement...
Aussitôt, quelque chose coupa la respiration de la succube alors qu'elle se calmait: un coup de pied administré droit dans le ventre avait plaqué Succubus contre le mur, qui pouvait admirer le faciès enragé de la capitaine, qui elle aussi avait haussé le ton.
- LA FERME, MERDE ! Je me contrefous de tes droits et de tes boucles d'oreilles à la con, si tu veux revoir tes précieux bijoux tu va me donner tout de suite tous les joyaux comme celui que tu viens d'exploser, et j'éviterait peut-être de te faire du mal !
Elle retira sa botte, pour laisser Succubus respirer, et elle approcha son visage gravé d'un sourire profondément sadique et emplit de rancune
- Ou sinon, je balance tes boucles d'oreilles par dessus bord, et tu les suivra. C'est compris ?
Elle se rassit sur sa chaise, bras croisés sous sa poitrine opulente et croisa les jambes.
- J'attends. Etale l'or, et je te rends tes bijoux. Et surtout, tu arrêtes de gueuler, ou je t'arrache les cordes vocale.
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Je sentit un coup de pied me plaquer contre le mur avec violence, la botte de la terranide resta comprimée sur mon ventre me faisant encore plus souffrir et m'empêchant de bien respirer. Elle ne semblait pas avoir appréciée que je lui pète un bijou qui n'avait aucune valeur par rapport à mes boucles d'oreilles. Elle avait elle aussi hausser le ton pour me calmer et passer un peu ces nerfs. Je n'était pas prête à lui donner un seul centimes, mais je fut plus compréhensive quand elle me menaça de balancer les boucles. La garce retira sa botte et je put reprendre mon souffle, en toussant un peu, mon corps n'était décidément pas fait pour ce battre.
Je passa ma main dans mon haut et sortie une trentaine de joyaux identique en tous point à celui fendu sur la table. Ma colère n'avait pas cessée, mais je devait me montrer plus prudente, maintenant qu'elle semblait pouvoir faire disparaître mon trésor dans la mer. Dans ce cas là, je n'aurait plus qu'à mes jeter à l'eau pour les récupérer et tenter de survivre. Je dit d'une voix calme et doux
- Voilà c'est tous ce que j'ai sur moi.
Je voyait ma sacoche sous la table de la terranide. Il y avait dedans des produits paralysant vendue dans des commerce que cette pirate devait connaître, ainsi qu'un poignard dont la lame était bénite. J'avais d'habitude ce poignard sur moi en cas d'agression de démon plus fort que moi, l'ennuie c'est que cette lame marchait aussi sur moi.
Je pria en silence, pour qu'elle n'y ai pas regarder de trop près. Je resta un moment silencieuse en réfléchissant.
Elle allait continuer il y avait beaucoup de chance, je pouvais demander, mais dans ce cas acceptera-t-elle vraiment de me les rendre. Il y avait là aussi peu de chance, tous ce que je savais, c'est que j'allais souffrir. D'une part parce que je lui est péter un des joyaux et ensuite pour lui avoir casser les oreilles. Dans la situation où j'étais je ne risquait plus rien, elle allais s'amuser avec moi soit, mais elle ne jetterais pas mes boucles, c'était ma faiblesse et elle ne le savait que trop.
- Je vous ai donnée ce que vous vouliez, puis-je récupérer mes boucle s'il vous plait.
Je me comportais comme quand j'étais une esclave, et cette pensée eut le réflexe de me mordre la lèvre inférieur jusqu'au sang, en l'attente de la réponse
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La vue des joyaux fit sourire la capitaine. Au moins, elle avait eu l'intelligence de lui obéir sans faire d'histoire et bien entendu, la servitude méritait une petite récompense...
Elle ouvrit un des tiroirs du bureau où elle avait disposé les pièces, et en sortit les fameux bijoux, qu'elle jeta au visage de la succube en riant, ramassant les diamants quant à elle... Elle se demandit si ce n'était pas prématuré de lui rendre les boucles d'oreilles maintenant, elle aurait pu continuer à lui faire cracher un peu d'or...
Au final, tant qu'elle serait sur ce navire, Succubus ne pouvait rien faire: à présent éloigné des côtes, elle ne pourrait jamais atteindre la terre à la nage sans finir noyée une fois morte d'épuisement. Et probablement que les requins se seraient chargée d'elle avant la mer... Parce qu'il est de coutume qu'avant de jeter quelqu'un par dessus bord, on lui fasse une profonde entaille dans un membre pour le faire gigoter davantage et diffuser son sang dans l'eau, attirant les squales qui confondent le malheureux/la malheureuse avec un poisson blessé, repas favori des requins.
- Mais bien sûr. Les voilà, tes bijoux. Mais crois-moi, si tu hurles, emmerde l'équipage ou touche encore à mes affaires, je t'ouvre le ventre et 'offre en pâture aux requins.
Elle regarda un peu plus attentivement de haut en bas la succube. Elle n'allait quand même pas s'en tirer à si bon compte...
- Maintenant... Tu va me dire où tu caches tes esclaves. J'ai bien envie de voir leur tête quand il verront le sort que je réserve à leur maîtresse pour avoir transgressé les règles de ce navire...
Elle eut un petit ricanement, et passa sa main dans une mèche de cheveux.
- Quoique... Il faut que je sois entraînée avant la démonstration en face de tes petits protégés...
Elle ravança un peu sa chaise, plantée devant le bureau sous lequel reposait le sac de Succubus sachant pertinemment ce qu'il y avait à l'intérieur, recroisa les bras et les jambes et dit d'un ton sec, avec un rictus mauvais
- Déshabille toi.
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J'eus meilleur mine, quand elle me jeta les boucles d'oreille, heureusement elle semblait intact et n'avait pas perdu de leur éclats, que je m'empressa des les mettre, quand la terranide me dit où ce trouvais mes esclaves, pour que je serve d'exemple sous leurs yeux. Je passa ma langue sur l'index de ma main droite, puis eut un petit sourire. J'avais reprit du poil de la bête et ayant eut ce que je voulait il fallait maintenant trouver un moment pour sortir de la cabine et s'échapper par les air, bien sur je ne pourrait pas faire tous le trajet en volant, le reste se ferra à la nage. Mais encore fallait-il réussir à sortir de la cabine et à s'envoler. Le bémol fut que la terranide au vu de sa position par rapport à ma sacoche, savait ce qu'elle contenait et cela me gênait un peu. Mais rien de dit qu'elle aurait le temps de sortir le poignard. Il fallait quand même tenter le coup au moment où elle baisserait la garde. Je parla calmement, mais l'on sentait ma determination dans chaque mot.
- Tu ne feras rien apprendre à mes esclaves, je suis peut être une pétasse quand je les captures, mais je leur montre un minimum de respect et ils me le rende bien. Ils n'éprouveront rien d'autre que de la haine envers toi ... terrannide, et plus de respect envers moi. Si tu veus les voir ils sont dans une grotte marine où est ma demeure. Elle devrais se situer à deux, trois heure au sud de la prison et tu as de la chance on peut y accoster un navire.
J'avais bien insisté sur le mot qui fâchait, terranide, peu de créature de cette race supportaient que l'on ne le prononce de cette manière et la dernière phrase était prononcée sou la moquerie qui sous entendait qu'elle ne connaissait rien à l'orientation. Il n'était pas question de laisser cette garce me prendre pour son jouet. Les tiques éait pour la faire oublier le contenu de la sacoche et une diversion, pendant ce temps j'essaya de faire apparaître une liane derrière moi et le résultat fus satisfaisant, la terranide ne pouvait pas le voir et je le fit disparaître.
Le bois du navire permettait de faire appel au liane sans problème. La terranide avait la force et le terrain pour elle, moi je n'avait que mon pouvoir et encore il ne marcherais qu'avec un effet de surprise.
Je me déshabilla, pour avoir le temps de réfléchir comment avoir cette hybride. Je fixa mes boucle d'oreille sur ma langue et retint un crie de douleur. Au moins, elle aurait plus de mal à me les prendre. Il fallait à tous prit l'empêcher de les reprendre, sinon cet enfer continuerais.
Restais à savoir ce qu'elle tentais de faire, il aurait été plus humiliant de se faire avoir par un homme et non une femme. Ce dernier point me tracassait un peu, elle semblait cacher quelque chose et la révélation pourrait être surprenante.
Le but maintenant était d'attendre une ouverture et de l'attaquer à ce moment précit.
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Oser discuter l'autorité de la capitaine était d'une audace (et d'une folie) encore jamais connue à se jour. Mais on lui laissait le bénéfice de l'ignorance, mais malgré tout elle paierait cher cet affront. Cette idiote ne perdait strictement rien pour attendre...
Elle savait très bien ce qui restait à la succube avant de pouvoir tenter quoi que ce soit: le sac. Il fallait écarter ce problème, déjà réglé vu qu'elle montait la garde à côté. Et elle allait bien profiter d'elle durant de loooongs moments avant qu'elle ne revoie ses précieuses affaires...
Ses doigt s'enfoncèrent dans la chair de ses bras en entendant ce mot. "Terranide"... A cette époque, traiter quelqu'un de Terranide venait presque à dire qu'il était un esclave, un soumis, quelqu'un d'inférieur. Elle voulait qu'on la reconnaisse en tant que capitaine... Elle allait devoir apprendre l'obéissance et le respect.
La botte de la capitaine rencontra encore une fois le ventre de la succube, mais sans la plaquer cette fois, juste histoire de lui couper le souffle à nouveau pendant que la capitaine reprenait place sur sa chaise.
- J'en ai rien à secouer des états d'âme de tes esclaves. Je garderai ceux qui me plaisent et je revendrai les décevants. Et je commence à me demander si je n'irai pas te vendre, toi aussi... Je te vois très bien avec un joli collier autour du cou et faire les 4 volontés des nobles de Nexus. Alors maintenant, si tu veux éviter ce sort-là, déshabille-toi.
Qu'elle les mette donc où elle veut, ses boucles d'oreille. Si elle voulait les reprendre, elle n'aurait qu'à tirer dessus et ça viendrait tout seul, avec un bout de langue en prime.
- Bien. Maintenant, je vais commencer à t'apprendre où est ta place. Amuse-moi, danse. Et je veux quelque chose d'excitant.
Il fallait rester calme, tant qu'elle gardait ses affaire, la laisse était encore dans sa main. Et elle allait pas hésiter à tirer dessus très fort pour apprendre à cette garce qui est la patronne...
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Le coup de botte me mit à terre, je reprenais mon souffle mais difficilement. Elle me dit ensuite qu'elle allais vendre les esclaves que j'avais durement éduqués et garder les meilleur pour elle. La remarque comme quoi je serais vendu pour les nobles de pacotille m'énerva. Je me mordais la lèvre tellement fort, que du sang parcourut mon corps à présent nu. J'étaie revenu à l'époque de mon maître, sensualité et douleur, ces deux sentiment, mon regard reflétait le même regard meurtrier. Qu'elle me touche, m'abuse allais encore, mais elle n'aurait pas le plaisir de toucher à mes esclaves. Elle voulait une esclave docile, soit elle l'aurait, mais ma vengeance sera terrible. Le premier but était de l'éloigner du sac, les produits m'affectais, mais le plus dangereux était le poignard qui ma causait d'horrible douleur et empêchait de refermer la plaie.
Je virevoltais, pour moi une danse n'était pas un fardeau, c'était de l'amusement, j'ai arrêter de compter le nombre de fois où mon ancien maître m'avait demandé de danser. Tous mon corps n'était que grâce et la terranide devait en être satisfaite, car il est rare de voir une succube à l'origine et encore moins de la voir danser sans en payer le prix.
- Cette danse est-elle à votre goût ? Je ne voudrais pas que madame s'ennuie.
Je me moquait un peu d'elle qui prenait la sacoche en otage, si elle n'était pas aussi près de ce dernier j'aurais tentée de fuir, mais elle avait la possibilité de sortir le poignard et de me clouer au sol. Je voulut relancer une tique.
- Vous avez un …
D'un coup un flash revint, encore plus douloureux que la précédente. Cette fois c'était comme une vidéo, celle de mes sept ans. Je voyait ma mère et mon père en fasse de moi avec d'autre gens. Il y avait un gâteau et des cadeaux en face de moi. Cela dit je n'ouvrit que celui de mon père et de ma mère. Celui de mon père était un livre sur l'histoire des symboles dans le monde des humains, celui de ma mère un livre parlant du pouvoir des succube; cette dernière dit même.
- Quand une succube croit être bloquée dans une situation alors elle tranche le problème, même une succube peut tomber, l'important c'est que tu croit que ce soit juste. L'art des succubes n'a pas de limite pour peu que tu y mettes quelques chose de valeur.
-Je comprend pas maman
- Tu le saura un jour où tu sera dans cette situation.
Elle me posa un baiser sur mon front et dit d'une voix calme.
- A tes dix ans tu ne te rappelleras de rien, car tel est la tradition dans notre famille. Tu devras les retrouver et les protéger comme moi je le ferais bientôt pour toi.
Je vis une larme couler sur sa joue.
Je me réveilla de ce souvenir, étant par terre, ayant bougée au vue des marque de frottement sur le sol et j'étais en sueur. Ainsi ma perte de mémoire était faite par ma mère. Je voulait encore plus savoir ce qu'il était advenu d'elle et de mon père. Je me releva et dit.
- Veuillez excuser ce moment de faiblesse
Et je repartie dans ma danse, en pensant à ce qu'avait dit ma mère.
-
Ayant réfléchi deux fois, la capitaine se dit que finalement cette punition était peut-être trop légère pour ce qu'elle avait fait... Normalement, elle aurait été jetée à la mer une fois les bras coupés depuis un bon bout de temps. Mais elle était prometteuse, ou du moins la promesse de richesses incroyable donnait envie à la capitaine de rester encore un chouïa tolérante, mais une fois qu'elle aurait eu ce qu'elle voulait, elle ne ferait pas de quartier...
Sinclaire put retrouver le sourire en voyant l'obéissance immédiate de sa prisonnière, elle eut l'impression que ce n'était pas la première fois qu'elle était dans cette situation... Elle profitait de l'expérience de la succube pour mieux se satisfaire, c'était bien le genre de truc qui la bottait.
Voir son corps se déhancher comme cela ne pouvait pas tarir le sourire satisfait et arrogant de la capitaine, profitant bien sûr de son point de vue sans vergogne, examinant bien chaque parcelle de peau et jauger un peu de la beauté de ce corps, qui atteignait déjà un très bon score auprès de la Terranide. Seulement...
- Huh? Qu'est ce que tu fiches ?
Elle venait de tomber par terre et à présent se tortillait comme un ver, comme si elle avait été frappée de folie. Mais avant même que la capitaine ne se lève pour inspecter l'état de Succubus, celle-ci reprit ses esprits...
- T'excuser ? Pas question. Tu penses que je vais me contenter d'une prestation aussi minable ? Si tu veux mériter ton séjour ici, on va devoir passer a la vitesse supérieure il me semble.
Elle avait du mal de retenir un ricanement. Elle pointa du doigt sa couche, comme on ordonne au chien d'aller à la niche.
- Va au lit, et agenouille toi face à moi.
La capitaine se leva, et se mit juste en face d'elle. La terranide avait un peu jaugé la distance entre sa position et le sac, un simple bond en arrière lui permettrait d'accéder à l'attirail intéressant qu'il contiens... Parce qu'elle savait très bien de quelle race était Succubus, et elle connaissait aussi la propriété de la dague... Un simple coup d'oeil avait suffi.
- Maintenant, tu va retirer ma ceinture, et baisser mon pantalon. Et je veux voir ton visage contre mon entrejambe... Avec le sourire...
Elle plaça une main derrière la tête de Succubus, tenant ses cheveux. Ainsi, non seulement elle pourrait déterminer la cadence, mais aussi la tenir au cas où elle tenterait de faire des bêtises.
A l'intérieur, sa partie masculine bouillonnait d'impatience. Gonflée et dure, elle n'attendait que son heure pour pouvoir visiter Succubus par toutes les voies disponibles, et cela plusieurs fois si nécéssaire...
-
Mon corps brulait de rage, je voulait l'écorcher vive en la laissant se vider de son sang, que je boirait. La terranide pointa sa couche et me dit de m'y placer en face d'elle. J'obtempèra, mais la situation ne fut pas meilleur. Elle était tous aussi cruelle que mon ex-maître et cela me donnait vraiment envie de la tuer, l'ennui c'est qu'elle était encore trop proche de la sacoche et mes lianes n'aurais pas suffisamment le temps de la ligoter. Il fallait attendre, patienter. Une chose de sur, je lui ferait payer cette mascarade plus chère qu'elle.
Elle me prit par les cheveux en tirant un peu, ce qui me fit pousser un petit crie de douleur, mes cheveux étaient sensible et elle osait les prendre comme si cela n'était qu'une laisse. Elle me dit de baisser son pantalon et de me placer contre elle. Je rageais, elle était comme mon maître, elle aimait humilier et dominer les autres, cela dit elle baisserais plus facilement sa garde. Je m'exécuta et eut une mauvaise surprise, il y avait deux sexe, un mâle et une femelle. J'eus un sourire. Et dit de manière provocante.
- Je pensait que les personne ayant ce genre de tare étaient débile. Pff … Je comprend mieux.
Je me plaça comme elle le voulait et attendit les ordres. Cette surprise pouvait me permettre un retournement de situation. Si j'avais le sexe mâle dans la bouche, je pourrais la ligoter avec mes lianes et lui faire comprendre qu'un sexe comme celui là était sensible aux dents. C'était le plan parfait, encore fallait-il que les facteurs soient tous présent. L'autre solution était de faire la gentille et attendre qu'elle jouisse pour agir, car à ce moment là le cerveau a un moment d'absence et c'est à ce moment précis qu'il fallait agir.
- Il faut dire que tu caches bien ton joujou. Une pirate de ton envergure aurait-elle honte de cette difformité.
J'eus un sourire, mais la terranide n'avait visiblement pas appréciée mes remarques. Elle ne devait pas aussi appréciée le fait que je la tutoyait, ce qu'une bonne esclave n'aurait jamais fait.
-
Elle avait bien du culot pour essayer de lui tenir tête a un moment pareil... Il suffisait que la pirate s'énerve, sorte son sabre et lui tranche le cou, l'affaire était réglée parce que de toute manière, elle avait livré l'emplacement de ses esclaves... Elle n'aurait qu'à récupérer le magot et elle aurait tout gagné.
Mais l'arrogance de cette succube commençait à vraiment l'agacer, elle ne savait pas ce qui l'attendait. Enervée, la capitaine resserra sa poigne dans les cheveux de la succube et écrasa son visage contre son membre de chair.
- Il me semble que tu as une bien grande gueule, pour quelqu'un dans ta situation. Tu ferais mieux de te servir de tes jolies lèvres ce à quoi elles sont destinées, plutôt que de raconter des conneries.
La seconde remarque elle aussi mettait a bout la patience de la pirate, qui écrasa encore plus la face de Succubus contre son sexe masculin.
- La ferme ! Je vais te faire taire, moi... Passe ta langue dessus et la prochaine fois que tu t'adresses à moi appelles moi maîtresse, ou sinon je vais devoir te priver d'une oreille...
La colère lui avait fait perdre son sang-froid, qui avait failli lui faire faire une grave erreur.
-
La terranide était furax, parfait, du fait de son attitude elle avait baissée sa garde. Même si elle serra sa prise sur mes cheveux elle ne pourrait pas me retenir si j'exécutais mon plan. Elle plaqua mon visage sur son membre avec force, encore mieux.
- Si tels sont tes ordres maîtresse.
Elle m'avait bien dit de l'appeler maîtresse, mais pas de la vouvoyer. Je prit avec précaution le membre et le lécha de haut en bas en ne laissant pas un miette. Il était encore assez mou et le durcir offrirais une meilleur douleur au moment de la morsure, mes bijoux ne me gênèrent pas et offrais une meilleur sensation, du fait que ma langue ne pouvais être complètement aplatit sur le sexe.
Il fallait encore attendre, la menace de me couper les oreilles ne me faisait pas peur, je connaissait plus d'un moyen de les faire repousser. De plus je lui avait donnée mon, ancien emplacement, entre temps j'avais changée, je ne supportais pas l'humidité et mes esclaves non plus, tous ce qu'elle aurait ce serait des systèmes de défense bien chiant et un coffre de rubis sans la moindre valeur sur le marché. Je m'arrêta deux seconde pour demander d'une voix presque innocente, n'allant pas avec mon tempérament.
- Dois-je continuer ?
Je me foutais de sa tronche, mais royal.
-
Et malgré tout, elle continuait d'enfoncer le bouchon. Ca commençait vraiment à bien faire, jamais elle n'avait eu une effrontée pareille dans sa cabine, elle paierait très cher les affronts.
Fort heureusement, elle savait se débrouiller avec sa langue et en faire profiter la capitaine qui ne pouvait s'empêcher de pousser quelques petits gémissements, les bijoux attaché a sa langue étaient encore plus délicieux. Chaque coup de langue était terminé par un petit appui sur la tête, pour accentuer la sensation de la langue sur son sexe.
La seconde phrase, quant à elle, mit à bout la patience de la capitaine. Le foutage de gueule, elle commençait à en avoir par dessus la tête et elle allait bien lui faire comprendre.
- Toi, il me semble que tu parles beaucoup trop !
Presque aussitôt, elle lui boucha le nez et enfonça brutalement la totalité de son sexe à l'intérieur de la bouche de Succubus, forcément causant douleur a l'intérieur de la gorge pour avoir rentré un sexe de cette taille aussi brusquement, elle ne voulait plus être gentille avec sa captive et commençait déjà les coups de reins a l'intérieur de la bouche de celle-ci
- Voilà qui est mieux: lorsque tu te tais et tu fais ce à quoi t'es destinée: me servir !
Mais l'impatience de la capitaine lui coûterait peut-être cher.
-
La terranide aimait mes coups de langues et gémissait un peu. Elle n'apprécia pas la phrase et me boucha le nez, par réflexe j'ouvris la bouche et c'est là qu'elle me mit son sexe sans ménagement, qui qui eut comme effet une douleur et tenter de tousser, mais c'était dure au vue de la grosseur du sexe. Je positionna mon corps de tels sorte à ce que ma gorge puisse subir les assaut du sexe de la terranide, cela dit c'était le moment de mettre en route mon plan.
Je profita que son sexe soi bien en profondeur dans ma gorge et la mordit férocement, tout en la ligotant avec mes lianes, et pas n'importe lesquelles, ceux avec des épines acérée comme des couteaux, l'une d'elle coupa mes cheveux pour me libérer et je put m'éloigner de la terranide, du sang de son sexe perlait mes lèvres, je le retira avec un coup de langue. La terranide était bien ligotée, en tous cas suffisamment pour que le moindres mouvement lui fasse très mal.
- Tu m'as bien fais patienté pétasse, maintenant c'est à moi de jouer avec toi. Je vais …
Il y eut un bruit à la porte, apparemment mes lianes avaient fait beaucoup trop de bruit et avait alerté l'équipage. Un plan n'est jamais parfait. Je chargea des lianes de barricader la porte et de tuer quiconque réussissait à entrer. Je regarda la terranide, elle allait connaître le mot douleur. Je me rhabilla et remit mes boucles aux oreilles.
- Voyons maintenant ce que ton équipage pensera de ton état une fois passée entre mes mains.
-
Sa position de force lui plaisait, maintenant qu'elle se taisait pour de bon elle allait pouvoir profiter de cette scéance comme elle le voulait. Mais seulement, dans sa colère, elle avait complètement oublié que c'était en voulant l'humilier qu'elle avait offert une ouverture. Une des plus pires erreurs de son existence...
Tout d'abord, ce fut un arrêt. Quelque chose la bloquait. Aussitôt, une vive douleur s'empara de son corps, et arracha un cri inhumain à la capitaine. Autre chose: quelque chose remontait ses jambes, et se saisit de ses bras. Des ronces. Des ronces venaient de s'emparer d'elle, de quelle diablerie avait-elle été victime ?!
- YAAARG ! Salope ! Relâche moi tout de suite, que je t'étripes espèce de garce !
Elle eut bien essayé de bouger, mais ça ne faisait que lui arracher davantage de cris de douleur, les épines s'enfoncant dans sa peau. Mais heureusement, ses matelots avaient été avertis du danger, et ils comptaient bien sur leur capitaine, l'une des plus prometteuse car elle avait, en deux ans, ramené 2 fois plus de richesses à bord que l'ancien capitaine.
Elle ne pouvait plus compter que sur eux, ses mousquets et son sabre étaient au sol avec son pantalon, impossible de tirer une balle entre les deux yeux de la succube ou lui couper une aile. Mais elle continuait de garder un air fier.
- Ta gueule ! Attends un peu que mes matelots rentrent ici, ils vont te réduire en charpie !
Seulement, que dirait l'équipage si ils voyaient ainsi le secret de leur capitaine ? Ils n'étaient pas au courant... Mais ça, Succubus ne le savait pas. Après tout, elle devait les prendre pour une bande de pirates soudés et qui n'ont plus rien à se cacher.
- Tu prendra rien d'ici, t'entends ? Tout ce qui est sur ce navire m'appartiens, et si tu oses y toucher je vais t'égorger comme une truie ! ALLEZ-Y VOUS AUTRES, ENFONCEZ MOI LA VITRE !
Un couteau passa à travers celle-ci, projetant des bouts de verre en tout sens, et quelques flibustiers tentèrent de rentrer à l'intérieur, sabre en bouche et prêt à en découdre avec le démon qui se cachait sur leur bâtiment.
-
L'équipage voulut passer par la vitre, certes j'étais surprit qu'ils passent par là, mais je me reprit très vite, j'appella des lianes se terminant en un bout pointue et riposta, tous les pirates ayant voulut entrés étaient tous dehors, certains à la mer et risquant de se faire bouffer, les autres avait battu en retraite. Ils n'étaient pas grand chose comparé aux divers créature que mon ancien maître m'imposait comme compagnons de cellule.
- Bon tes copain vont nous laisser la paix, un petit moment le temps qu'ils s'occupent de leurs blessure et de tenter un assaut multidirectionnel.
Je regarda deux liane aux teint violette.
- Vous deux vous allez remettre un petit cadeau à ces imbéciles.
Je m'approcha et retira le haut qui retenait sa poitrine. Bien sur elle pesta, mais je n'en avait que faire. Une des lianes le prit et partie remettre le cadeaux.
- Je pense qu'ils vont être content, je me demande d'ailleurs si le fait de cacher ton sexe est du au fait qu'ils ne le savent pas. Ce serais marrant de sortir par la porte et de te montrer nu devant tes amis d'infortune.
Je prit ma sacoche et sortie mes potions et la dague que je plaça de façon ordonné sur la table en balayant de ma main, les pièces et les cartes qui gênaient le plan de travail. Quand aux armes de la terranide ? Je les avait balancés par la vitre. Je prit une des potions qui avait un teint verdâtre et mauvais au goût
- Commençons par ceci. Cela va te paralyser le sens de la vue pendant une dizaine de minute.
Bien sur la terranide voulut résister, je prit la dague et assena un coup à l'abdomen, l'obligeant à crier et donc à ouvrir la bouche, elle le but et je soigna la blessure, autant la faire souffrir longtemps. Il ne restait plus qu'à attendre les effets de la potion.
-
Ce n'était pas possible, comment la situation avait-elle pu se retourner de la sorte ? Elle n'arrivait même pas à croire que cela soit vrai, c'était probablement un cauchemar et quand elle se réveillait, elle serait paisiblement allongée dans sa couche et tout cela n'aurait été qu'un vilain cauchemar...
Si seulement cela aurait été possible, elle aurait été bien soulagée. Seulement, là, ce n'était pas du tout le cas et la douleur qui se propageait dans ses bras et ses jambes étaient là pour lui rappeller qu'elle avait fait une erreur qui lui coûtait cher.
Son haut envolé autant que sa dignité, la capitaine recommença à hurler comme une furie, si elle avait eu ne fus ce que n'importe quel pouvoir, ça lui aurait explosé à la figure qu'elle n'aurait rien vu arriver.
- Rends moi ça tout de suite, salope ! Je te jure, une fois que tes saloperies m'auront lâché tu va regretter ce que tu m'as fait subir, je vais adorer t'entendre hurler de douleur !
Il fallait qu'elle arrive à atteindre une des différentes caches d'armes de sa chambre. Bien dissimulés et nombreux, cette chambre était un véritable piège mortel une fois que la pirate serait libre de ses mouvement.
- Plutôt crever que d'avaler ton poison ! Argh !...
Le coup dans le ventre remonta jusqu'au bout de ses ongles, une douleur atroce provoquée par la lame dans son ventre la fit pousser un cri, qui fut saisi par cette démone pour lui faire avaler sa mixture dégoûtante, qu'elle tenta de recracher. Malheureusement, sa vue commençait à se brouiller, elle voyait de plus en plus flou... Jusqu'à ne plus rien distinguer du tout. Du blanc, rien que du blanc.
- NOOON ! Je ne vois plus rien ! Arrête ça tout de suite, pétasse, et viens te battre à la loyale que je te scie les membres avec les dents, je foutrai du sel sur les moignons !
Le désespoir de la capitaine la força à s'agiter, provoquant de plus en plus de douleur mais son désir de se libérer était plus fort que tout, répandant du sang sur ses jambes et ses bras, elle ne voulait pas retourner à sa vie initiale, elle aussi...
-
Elle se débattais tellement que les épines en souffraient, elle avait du subir un passée similaire au mien pour vouloir se libérer quitte à y perdre tous sont sang. Je réfléchit vite comment contenir cette furie, qui allait détruire mes lianes pourtant résistante, elle en avait de la force. Je ne devais pas paniquer, cela serais une erreur fatal, elle voulait vraiment me tuer, mais elle n'était pas dangereuse aveugle. Je joua le même jeu que cette garce, pour qu'elle se rende mieux compte, ce qu'elle ma fait subir.
- Si tu arrêtes de brailler comme une gosse je te soulagerais de certaine douleur, mais ne t'attend pas à ce que je libère une otage qui pourra me permettre de remettre un pied sur terre. Je n'aime pas le paysage monotone qu'offre la mer.
Il fallait agir et vite, j'entendais que sur le pont il y avais de l'agitation. Mes lianes revinrent de leur mission avec un mot. Je le lut et eut un petit rire.
- Tu devrais écouter ce que tes camarades ont marqués. Nous voudrions que vous relâchiez notre capitaine, en échange de quoi nous somme prêt à vous débarquer où bon vous semblera avec votre parole que vous ne divulgueriez rien de notre accord.
Je froissa le bout de papier, le jeta par la vitre et balada mon index sous le menton de la terranide en faisant attention à ne pas être mordu, cela aurait fais mal.
- Une personne normale aurait accepter, mais il est assez connue chez les pirates qu'ils n'ont aucun honneur et encore moins envie de relâcher une perle comme moi, même si je suis empoisonnée.
Je prit la dague et commença à mettre le reste de ces vêtements en charpie, comme ça si elle se sauvait elle serait nue devant l'équipage. J'en profita aussi pour remplacer les lianes épineuse par des simple et serrer le plus possible pour l'empêcher de forcer, sa respiration serait certes rapide pour compenser le manque d'espace pour inspirer convenablement, mais elle n'en mourra pas.
-
La rendre aveugle ne la calmait pas, d'habitude il est de coutume qu'une personne qui ne voit rien devienne subitement muette, mais ce n'était pas son cas. Son envie de liberté et la connaissance de la situation lui donnait la rage au ventre et la poussait à se débattre, quitte à y laisser la vie, elle ne se ferait pas prendre. Elle n'avait pas fait tout ce chemin pour qu'une abrutie vienne tout détruire avec ses pouvoirs. Non, jamais elle ne laisserait détruire ce qu'elle avait forgé de ses propres mains et à la sueur de son front, une des plus grandes victoires de sa vie, surtout que sa véritable quête n'était pas finie.
- Plutôt crever que de t'obéir... Si je suis prisonnière, tu sera toi aussi prisonnière de ce navire, tu restera avec nous en mer jusqu'à ce que la faim, la soif te fasse sortir ou que le sommeil ne te frappe, et ils te débiteront en carrés sanglants !
Mais elle n'arrivait pas à croire que ses pirates aient écrit pareille stupidité... Ils n'étaient pas du genre à conclure des accords à la hâte, connaissant la mentalité de leur capitaine, ils seraient bien prêt à faire le siège autant qu'il le faudra pour qu'elle sorte et qu'ils lui tombent dessus.
Elle tenta bien de mordre le doigt de la succube à l'aveuglette, sans succès. Il fallait dire que des crocs de Terranide étaient plutôt pointus, et donc affreusement douloureux.
A présent, les lianes étaient moins douloureuses, mais encore plus serrées, donnant une désagréable sensation que ses membres s'endormaient, seulement elle ne voulait pas baisser les bras et continuait de s'agiter comme un animal enragé.
- Espèce de petite merdeuse ! Tu crois franchement que tu tiens le contrôle ?! Tu ne sais strictement rien de nos coordonnées, tu ne pourras pas diriger ce navire toute seule et si on s'approche trop des ports de la ville, ils vont nous couler à coup de canon, et même avant ça mes pirates t'auront réduit en charpie ! Tu peux retourner le problème comme tu veux, tu es foutue !
-
Je m'esclaffe de rire, presque à me rouler par terre. Elle avait effectivement raison sur le point que je ne pouvait pas négocier avec l'équipage et que les ports ouvrirais le feux sans somation, mais ce qui me faisait rigolé c'était quelle croient encore tous contrôler.
- Je suis une succube, donc de la branche démoniaque, tu crois vraiment que j'ai besoin de manger, de boire ou encore de dormir. Il suffirait que je boivent un peu de ton fluide sexuel toutes les semaines. Je peu faire des micro siestes, tout en faisant en sorte que les lianes ne disparaissent pas.
Je plaqua le métal froid de la dague sur le bout des seins de la terranide, qui devait le sentir. Je regada mes autres potion, elle allait bientôt retrouver la vue et j'allais lui supprimer la parole pendant 48 heures. Bien sur elle ne voulut pas boire encore une de mes décoctions. Je retira la potion de son nez.
Je prit la lame de la dague dans ma mains, me causant une horrible douleur et enfonça le manche dans le vagin de la terranide sans ménagment, qui eut la réaction adéquate pour lui faire prendre cette maudite potion. Ce qui était marrant, c'est qu'elle ne pouvait plus parler, mais elle serait toujours apte à gémir et crier de douleur. Je retira le poignard, saisit la tête de la terranide, qui devait voir dès à présent et lui faire sentir ma mains. Elle sentait le brulé et la marque de la lame y serait incrustée pendant une bonne journée, si l'on pratique les soins appropriés. Je me plaça derrière elle et lui murmura à ces oreilles.
- Je vais te confier un secret, si je sors toute seule, je me ferais tuée, mais si tu es devant moi et que ton corps me protèges de tout assaut, alors ils hésiteront. Il est dure aussi pour un pirate de trouver un chef. Et c'est à ce moment là que je me tirerai par les air en t'emportant, je te lâcherais dans l'eau à dix mètres du navire pour que tu puisses vivre.
Je vit la terranide frémir un peu ce qui me fit rire. Je continua mes explications.
- Dès que les préparatifs seront près je t'hypnotiserait et si tu résistes je te saignerais jusqu'à que tu sois en mon pouvoir. Une fois cela fait je mettrait mon plan à exécution, mais je peut tout aussi bien attendre un, deux, trois jour, ou plus si cela me chante. Si tu veux dire quelque chose fait le, je sais lire sur les lèvres. C'est un marché équitable, tu garde les joyaux, tu es libre, tu n'entendra plus parler de moi et en échange je continue mon boulot.
-
Evidemment qu'elle allait tenir cette garce à bord. Elle crèverait de sa main, elle se le jurait, personne n'avait osé l'humilier comme ça et elle n'allait pas lâcher le morceau, elle allait payer de sa vie pour ce crime. La fureur de la capitaine était telle qu'elle aurait été capable d'exploser des chaînes en métal à la force de ses bras.
- Pourriture infernale ! C'est pas tes pouvoirs qui vont m'empêcher de faire un trophée avec ta tête, personne ne se fous de moi comme ça sans le payer !
La capitaine retint sa respiration en sentant quelque chose de froid, comme du métal, se coller à ses seins. Peu après, le blanc infini sembla se diviser... D'autres couleurs apparaissaient dans son champ de vision, qui se plaçaient selon certains schémas précis et familiers, les couleurs se fixèrent, devinrent plus nettes... Aussi vite qu'elle avait perdu la vue, elle l'avait recouvré, voyant à présent parfaitement bien l'horreur qui s'était emparée de sa cabine.
Evidemment, elle n'ouvrit pas la bouche pour boire cette cochonnerie infâme qui allait encore l'entraver. Seulement, le manche de la dague en elle lui fit pousser un cri, à nouveau elle se fit faire avaler de force cette potion, et l'empêchait de parler. Seulement, ses hurlement de fureur et ses grognements restaient audible, et elle ne se privait pas de manifester son mécontentement.
Elle ne se priva pas de lui raconter le fond de sa pensée sur son plan, qui se traduisait par un
- Espèce de petite salope, si jamais tu t'en tires et que je te croises à nouveau, je vais t'écorcher vive et ton cadavre me servira de figure de proue.
-
Devant sa menace j'éclata de rire. Je m'approcha de la terranide pour faire un peu joujou, quand j'eus un autre flash qui me fit perdre l'équilibre tombant sur la terranide qui me mordit sauvagement l'épaule.
Le flash montrait ma mère où du sang coulais de son front, je pleurait et elle me disait de rester calme et là une autre image apparut, deux tombe avec des noms, mais je n'arrivait pas à les voir. Je reprit mes esprit et la terranide affirmais sa prise, la vision m'avais fait lâcher la dague. Je n'avait pas de marque de débattement, ce qui voulait dire que mon corps était resté figé pendant mon flash, dire que mon plan était parfait, mais je savais ces flash n'était pas programmable, je devait m'y faire à cette idée. L'important était de sortir de sa mâchoire avant que je ne perde trop de sang, ce qui aurait résulté de la disparition des lianes et dons que je serais à la merci de la terranide et de son équipage.
Devant m'économiser, je fit disparaître les lianes inutiles en ne conservant que le stricte nécessaire, de quoi riposter à un assaut extérieur et maintenir le ligotage de la terranide. Mon souffle se fit saccadé, j'avais intérêt à m'en sortir et vite, je n'avais pas la force de bouger mes bras et donc de me soigner, il fallait agir et très vite, sinon ma vie serait un enfer, voir courte. Je me doutais bien qu'avant de me tuer, elle me torturais comme elle ne l'a jamais fait à quiconque, il faut dire que ce n'est pas tous les jours que l'on est retenue en otage par sa prisonnière. J'eus un petit rire à cette idée. Je dis d'une voix faible et rauque.
- Tous plan n'est jamais parfait.
-
Sa torture fut de courte durée, au grand plaisir de la Terranide, qui se demandait justement si une autre de ses absences allait survenir bientôt. Et comme si les dieux l'avaient entendue, une nouvelle "transe" se produisit, plongeant une Succubus absente contre elle, et elle ne se priva pas d'enfoncer ses crocs dans l'épaule, presque le cou de Succubus, et ne lâchait pas.
Sa position de faiblesse fut vite remarquée. Les pirates a l'extérieur virent très vite la disparition de certaines tentacules, et des lianes dans la cabine venaient de disparaître, au fur et à mesure que le sang démoniaque coulait dans la bouche de la capitaine, qui enfoncait ses crocs de plus en plus profondéments dans les veines, les muscles et la chair.
A présent, à nouveau, les rôles s'inversaient. Tant que la succube était entre les crocs de la capitaine, il suffirait de continuer à tenir la prise pour qu'elle finisse par se vider de son sang et succombe... Et puis toute forme de douleur, physique ou psychologique, infligée à cette damnée succube faisait jubiler Sinclaire qui ne pouvait que se réjouir d'un tel retournement de situation. Et ça ne faisait que commencer, une fois libre elle paierait cher, très cher ce qu'elle as fait...
-
Je réussit à bouger mes bras, mais cela me coûtait une grande partie de mon énergie restante, je tira avec mes dernière force la mâchoire de cette garce, mais elle tenait bon, mes lianes commençait à perdre de leurs puissance, en plus de perdre mon énergie je devait leur en donner pour qu'ils existent. Dès l'instant où les lianes censées protéger ce lieux disparurent, je sus que j'avais perdu ce combat, il ne faudrait pas longtemps pour que l'entrave de la terranide cède. Si j'avais été prévoyante j'aurais brisée les autres potions, qui avaient des effets plus douloureux, ils privaient de plusieurs sens et donnais des impressions tels que brulure, gèle, perforation ect … . Les pirates ne semblait pas avoir tiltés que ma défense était réduit en miette. J'arriva à articuler avec difficulté.
- Ce n'est pas mon jours on dirait.
J'arracha mes boucles de mes oreilles, non sans crier, je les imbiba de mon sang et les avala. Mon sang ferait office de protections contre le attaques des sucs, elle devrait me tuer pour récuperer ce bien, autant mourrir en les protégeant d'elle, qui pourrait les fracasser. Il ne me restai plus que deux choses à faire avant que les autres débarquent et m'empêche de le faire.
Avec l'ongle de mon index je me fit une entaille à la cuisse en psalmodiant le seul sort de succube que je connaissait et seulement dans son langage originel. Une marque apparut sur mon front, un goutte de sang noir traversé par deux aile, une blanche et l'autre rouge. Ce sort me protègerait pendant cinq minute maximum de la douleur et me permettrait de ne pas crever de mes saignement. La deuxième chose fut la dernière attaque envers la terranide, je lui griffa la joue. Dix seconde plus tard les lianes l'entravant disparurent et j'eus le droit à un coup de pied me fracassant le dos contre le mur opposé. Je ne sentais pas la douleur, mais cela n'allait pas durée, plus j'encaissai de coup, plus cela réduisait le temps effectif du sort. Sachant que toute les douleurs accumulées me submergeront d'un coup. Ce coup phénoménale avait du réduire le temps à trois minute.
-
Enfin, son heure était venue... Peut-être qu'elle n'avait pas recouvré la parole, mais au moins elle allait pouvoir défouler la rage qui la consumait depuis un petit moment déjà. Et la rage de la capitaine serait pire que les feux de l'enfer, encore plus puissante que la plus déchaînée des tempêtes.
Dommage qu'elle eut avalé son trésor, elle aurait pris grand plaisir de les mettre en miette sous ses yeux. Tant pis, à l'instar de mettre les bijoux en morceaux, ce serait les os de la succube qu'elle mettrait en miettes...
Les crocs toujours enfoncés, elle ne put rien faire en voyant la succube gober ses bijoux, mais au moins elle savait qu'elle perdait le contrôle. Une a une, les lianes disparaissaient, la cabine devenait libre et l'étreinte des tentacules s'affaiblissait, permettant a la Terranide de se débattre davantage. Et une fois libre de ses mouvements, magie ou pas, elle ne pris pas son temps pour réagir.
Un premier coup de pied, simple messager de toute la rage que la capitaine avait accumulé ces dernières minutes, était déjà assez pour faire peur à n'importe qui. Et elle ne s'arrêta pas là. Fonçant tel un buffle à la charge, Sinclaire enfonça son poing droit dans le ventre de Succubus, suivi de quelques crochets et un coup de pied retourné dans le buste comme elle en avait le secret, une fois jetée contre l'autre mur, la Terranide nue pouvait se déclarer vainqueur de cette altercation, ayant fait passer le temps d'antidouleur de 5 minutes à zéro avec des coups d'une puissance pareille. Même si elle ne pouvait parler, elle ne put s'empêcher de prononcer:
- Et maintenant, tu va faire quoi, abrutie ?...
- Hoy ! Capitaine, ça va ?!
Les pirates purent voir leur capitaine de dos, nue, a partir de la vitre. Heureusement, ils ne virent rien du fameux secret de la capitaine, qui s'énerva. Ne pouvant parler, elle fit un geste de la main leur faisant signe de partir, la Terranide en profita pour fermer les volets de la vitre brisée et refermer la porte, à présent la succube à sa merci allait passer un sale quart d'heure... Et tant qu'à faire, autant se débarasser d'un poids qu'elle supportait depuis un petit moment... Positionnant la succube de manière à avoir les fesses relevées, les jambes repliées et la tête et le buste bien à plat, ainsi servie elle était très appétissante...
La capitaine se plaça derrière elle, caressant doucement les fesses de la succube, prête à bien lui rendre la monnaie de sa pièce...
-
Les coups s'enchainèrent sans me laisser le temps de faire quoi que ce soit, à la fin de cette enchainement, je senti mon sort se briser emmenant à cette instant le flot de douleur redoutés. J'avais tellement mal que je suffoquait presque. Mes ailes étaient intact heureusement, mais elle me faisait autan souffrir que mon dos. Un pirate demanda à la terranide si elle allait bien, cela me permit de souffler un peu, elle n'en avait pas finit avec moi, cela se voyait dans ces yeux. La terranide fermât tout à double tour. Je voulut dire quelque chose, mais mon corps avait encore les séquelles de l'assaut.
- Putain … de … merde.
C'est tous ce que je put dire avant de sentir mon corps perdre complètement ces force, ma blessure à l'épaule ne c'était pas soignée comme je l'aurais espérée et du sang continuait à couler, mon sang était chaud, une chaleur annonçant l'approche de l'évanouissement. La terranide me mit dans une position que je connaissait très bien et cela s'annonçait douloureux pour moi. Elle semblait avoir comprit que je n'avait plus de force. J'avais la chance qu'elle ne me fasse pas boire les potions qui trainait encore sur la table, par peur je les regardèrent et ce geste signa ma perte, il était tellement voyant qu'il n'échapperais pas aux yeux de la capitaine. Ce que je pouvais être conne des fois.
-
Oh oui, à présent qu'elle était à sa merci elle allait bien s'amuser, et les affaires de son sac y contribuerait pour quelque chose... Elle regretterait bientôt d'avoir apporté ce sac ici, car si Succubus connaissait les doses raisonnable à administrer, Sinclaire serait du genre à lui faire tout boire d'un seul coup, et probablement la tuer dans d'atroces souffrances.
Pour l'instant, l'heure étais aux simples humiliations. Tenant fermement les fesses de la succube d'une main, elle administra quelques claques à celles-ci, pour les faire rougir un peu.
Une fois bien préparée, la Terranide se leva, et marcha vers le sac... Elle se saisit de la dague, et d'une fiole au hasard... Avec de la chance, c'était un des poisons qui la ferait souffrir, seulement elle ne connaissait rien à leur contenu.
Elle revint vers Succubus et lui pinça le nez, la fit boire le contenu de la fiole et gardait l'arme à proximité, qu'elle planta contre le mur. A présent, elle pris tout son temps pour caresser l'orifice serré de la succube... Et pour commencer, elle se releva légèrement, prit son membre masculin en main et, lentement, commençait à s'enfoncer à l'intérieur de l'anus de la succube, afin de rallonger le temps de pénétration.
-
Elle me claque les fesses, je sentit ces dernières rougir et chauffer un peu, peu elle lâcha sa prise, je me retourna et vit la terranide revenir avec un potion d'apparence dorée, elle n'allait pas me faire boire toute la bouteille.
- Il faut un petite dose pour celle …
Elle me prit ma tresse et tira violemment me faisant crier et me mit toute la bouteille dans ma bouche. Je ne le bu pas, même si ce fut très dure, je me retourna et vit la capitaine se relever, à ce moment la peut me fit ingurgitée la mixture.
- Tu n'oserai tous de même pas …
Mon corps semblait être gelé, l'extérieur en tous cas, l'intérieur me brulais, sans compter l'effet le plus dévastateur de cette décoction. Elle multipliais par vingt la moindre sensation et la pénétration de la terranide fut pour moi quelque chose de terrible, je ne pouvait m'empêcher de hurler de douleur. Mon corps ne bougea pas, enfin presque, je serrait les fesse par réflexe, ce qui augmenta encore d'un cran la douleur que me causait son membre dans mon anus. Je hurlais comme jamais, en tentant de retrouver mon souffle entre chaque douleurs, m'épuisant très vite et manquant de souffle pour crier, j'avais la bouche grande ouverte sans qu'aucun son ne puisse sortir, sauf celui de mes tentative pour respirer. Elles étaient bougrement efficace ces saletés de potion.. Je cria
- Arrête ça tous de suite salope, fille de pute, terranide esclave.
Je dit aussi d'autre insulte à cette garce. Le pire c'est qu'elle prenait du plaisir à me voir souffrir. je voulut utiliser une de mes ailes pour soigner ma plaie qui continuait de saigner.
-
Comme quoi, le hasard faisait tellement bien les choses. En fin de compte, Sinclaire prenait un peu ça pour une petite leçon de vie: on était venu lui rappeller que la vie était dure, et qu'elle ne devait pas se reposer sur ses lauriers au vu de sa position. Seulement, sa détermination et sa rage (et un peu de chance) étaient venu à bout de sa tortionnaire, à qui elle allait faire passer de longues, très longues heures de douleur...
Pour Succubus, au vu de ses cris, c'était quelque chose d'affreusement douloureux. Pour Sinclaire, elle se sentait au paradis... Ca faisait tellement longtemps qu'elle n'avait plus ressenti ça, ça lui faisait un bien fou. Cet intérieur chaud, doux, qui la serrait si fort, c'était un pur délice, décidément elle n'était pas si mécontente que ça d'avoir accueilli cette jeune succube dans son navire... Mais elle lui réservait le traitement d'honneur.
Complètement absorbée par les plaisirs du corps de sa captive, la terranide ne répondit pas directement aux insultes, sinon par quelques claques administrée sur les fesses de la succube histoire de la faire crier encore plus. Ses mouvement étaient rapide et brutaux, semblable à ceux d'un animal, et après ces longues minutes de "Torture", la terranide se retira doucement et retourna brusquement Succubus sur le dos, la mettant en face d'elle. Elle articula avec attention pour qu'elle comprenne bien.
- Si tu me trouves un antidote pour me rendre ma voix, je te promets que ta torture sera courte et que tu pourras parcourir le monde à nouveau.
Et aussitôt, elle la repénétra lentement, pour la faire crier, et bien lui faire signifier qu'elle subirait ça encore un très long moment si elle n'obéissait pas...
-
Je put soigner ma plaie, elle n'était pas belle, mais au moins elle ne saignait plus. Je sentit la terranide me donner encore des claques et accélérer la cadence, c'en était trop pour mon corps déjà affaiblit, tous les muscles se relâchèrent, apaisant un peu ma douleur. Les effets c'étaient vite dissipés et je sentais la douleur moins importante certes douloureuse, mais je pouvait mieux respirer. Les crie furent moins fort, mais étaient plus nombreux. J'avais l'impression d'avoir souffert pendant toute une journée et me redis compte que ce n'était que quelque minutes.
La terranide me mit sur le dos, le contact assez brutal avec les sol me fit pousser un crie de douleur, de plus je sentait deux douleur à mes ailes, dans son mouvement elle me les avait foulée, je voulut les faire bouger un peu et sentit une horrible douleur, c'était pire, elle me les avaient brisée cette garce. Je ne pourrait plus voler pendant une bonne semaine, voir un peu plus. Elle me demanda l'antidote avec comme récompense de souffrir moins et d'être libre. Elle me pénétra une seconde fois, mais là je me mordit les lèvres pour ne pas crier. J'attendis qu'elle arrête son mouvement pour dire.
- Dans ma sacoche, il y a deux flacon, un de sel et un de sucre, il suffit que tu distilles les deux dans de l'eau et que tu le boive, les effets disparaitront en cinq seconde maximum.
Je la vit partir faire l'antidote et concentra mes forces sur un objectif, se barrer, même si je devait me faire bouffer par les requins, ils valaient mieux que cette terranide cinglée. J'ouvris la porte en prenant ma dague, que cette garce avait lancée, dans la cuisse gauche .
Je me traina, avec lenteur, sur le pont et entendit des sifflements, je me retourna et vit l'équipage qui me regardaient, je continua ma tentative de fuite en prenant le bord du bateau comme appuie et voulut sauter par dessus bord, mais quelqu'un me prit par les cheveux et me rejeter en arrière sans ménagement, c'était encore cette pouffiasse de terranide qui c'était changée très vite.
Je bougea convulsivement, mon sang saignait par la plaieà la jambe et la lame me brulais, de plus j'avais atterrit sur mes ailes, toute ces douleurs était pire que ce que me faisait subir la capitaine.
-
Lui faire mal, quel bonheur. L'entendre gémir et crier de douleur, elle aurait bien voulu qu'elle implore le pardon, mais cela aurait été trop beau... Rien que la voir souffrir était largement suffisant. Et pour l'instant, elle allait suspendre la "torture" quelques instants.
Se retirant soudainement, elle laissa Succubus à son sort et récupérer de ses dernières souffrances. La pirate, ne se préoccupant pas de la succube qui s'enfuyait, prépara la mixture désignée, avant de l'avaler. Une atroce brûlure parcourut sa gorge, ses cordes vocales: elles étaient fonctionnelles à nouveau. Quel plaisir de s'entendre parler... Elle avait bien compris à quel point c'était bon d'être en bonne santé, après avoir été aveugle et muette.
Maintenant, c'était l'heure de payer, mais avant un petit passage par la garde-robe...
De retour sur le pont, les pirates avaient déjà repéré la succube qui tentait de s'enfuir. Et c'est en entendant le rire sadique de la capitaine que sa main attrapa les cheveux de la succube, et la traîna au sol. Posant sa botte sur le ventre de la femme étalée sur le pont, elle ne put pas s'empêcher de ricaner en se tenant sur le genou.
- Alors, on voulait me fausser compagnie ? C'est vraiment très ingrat, ça ! On t'invite gentiment, et voilà que tu veux te tirer sans la permission de ta maîtresse... Tss, on va devoir te rappeller à qui tu appartiens et à qui tu obéis ! Vous deux, préparez moi le matériel, on va lui mettre dans la tête qu'elle reste MON jouet, et personne d'autre. Préparez le matériel, on va rire.
Elle attrapa la succube par les cheveux, et la traîna jusque dans la cale. Au fond, plusieurs compartiments visiblement habités vu les gémissements d'esclaves enfermés là, elle passa sans leur accorder un regard et plaqua la succube contre une table en métal, sur le dos. Deux pirates tinrent les bras de la succube, deux autres tenaient ses jambes. Un cinquième, lui, semblait occupé avec un espèce de four dans lequel il faisait chauffer une barre en fer... Probablement un fer à marquer.
- Ce fut très amusant, mais maintenant la partie est finie pour toi. Tu as cru gagner, mais sache que je suis et je resterai toujours supérieure à toi, et je vais faire en sorte que tu t'en souviennes que tu es à MOI, et c'est tout.
Il ne fallut pas longtemps pour que le fer aie bien chauffé, magnifiquement rouge vif à son extrémité, il représentait le drapeau des pirates accompagné des initiales de la capitaine, sa propre marque.
- Attention, ça va piquer.
Elle plaqua le fer contre le sein gauche nu de la succube, laissant le fer la brûler une ou deux seconde, avant d'enlever le fer et constater une belle plaie à la place, très nette, représentant la marque a la perfection, à l'endroit.
- Parfait... La touche finale, et c'est fini !
Dans un sac elle pris du sel, habituellement utilisé pour l'appliquer sur les blessures des esclaves afin de les punir, elle l'étala bien sur la plaie marquée sur le sein de la succube.
- Voilààà... C'est fini ! Maintenant, chaque fois que tu verra cette marque sur ton corps, tu sauras que tu n'es rien d'autre que mon objet !
Elle la laissa récupérer un peu, avant de la ramener dans sa cabine, fière d'avoir appliqué sa marque sur une victime pareille, c'était pas tous les jours que ça arrivait. La jetant sur sa couche, elle referma a nouveau volets et porte, en ouvrant son pantalon dans un ricanement.
- Je dois t'avouer que maintenant que j'y repense, que je me sacrément bien amusée ! Personne ne m'avait tenu tête comme ça depuis des années, à un moment même j'ai bien cru que j'étais finie... Mais les meilleures sont les plus courtes. N'est-ce pas ?
Elle donna une gifle dans le sein de la succube, avant de la remettre dans la position de tout à l'heure: les fesses relevées, le visage contre le lit, elle s'apprêtait à la pénétrer, et à nouveau elle y alla lentement, très lentement...
- Mmmmh, c'est toujours aussi bon...
-
La garce mit son pied sur mon ventre en y mettant tous son poids, qui se répercutais sur mes ailes, qui me fit souffrir. Elle dit quelque chose comme quoi j'étais sa maîtresse et que je lui devait le respect en tant que jouet. J'articulai avec difficulté.
- Va cuire en enfer pouffiasse.
La suite fut peu reluisant, la terranide dit de préparer le matériel, j'eus une mauvaise impression. Elle me traina, toujours par les cheveux dans la cale, la dague bougeait dans ma cuisse et ma faisait mal, je profita d'un endroit sombre pour le retirer et le balancer dans un coin que les pirates auraient peu de chance de voir. Je fut mit sur une table froide, cela soulagea mes ailes de la douleur, je sentit quelque chose chauffer, je sus tous de suite de quoi c'était, un fer à marquer, mon ancien maître s'amusait à me marquer chaque jour à un endroit différent, chaque fois. Je vit la terranide approcher le fer rougit vers mon sein gauche, je me mordit les lèvres et tenta de bouger comme une folle, mais les pirate me retenaient fermement. Je cira de douleur quand le fer entra en contact avec ma peau, cela faisait trop longtemps que mon corps avait oublié cette expérience. Il se le rappela très vite. Les pirate me lâchait et je me tortilla sous la douleur je cria.
- Attend que je te croise sur la terre ferme pétasse de terranide inférieur, je te montrerais que sur terre c'est moi qui est la meilleur.
Je devais économiser ma force, je récupérais petit à petit, j'avais assez de force pour faire un soin et cinq lianes basique. Je profita du moment de répit pour soigner ma blessure à ma jambe, bien sur elle en pouvait pas totalement guérir et la marque de la pétasse non plus, elle y avait mit du sel ce qui marquerait à vie mon corps. Ma plaie ne saigna plus beaucoup, elle me ramena dans sa cabine et me jeta comme un sac de patate sur sa couche. Elle ferma de nouveau la porte et la vitre, une fuite serait dure, il fallait compter sur ma dague, mes lianes et l'hypnose, La terranide servirait de sauf conduit. Tous ce qu'il fallait c'est attendre que la marque me fasse moins mal, que la terranide soi inattentif et que les pirates soient un peu coopératif. La terranide était sur de sa domination, mais elle oubliait une chose essentiel, le chasseur peut devenir une proie. Elle avait reprit des armes, stupide, je savais m'en servir, bon je n'avait pas la même précision que la terranide, mais je savait mettre une balle dans un corps sans problème et je savait où viser. Elle souffrirait longuement et pourrait en crever sans soin. Cette idée fit briller mes pupilles un instant. Elle me donna une claque sur la marque se qui me fit pousser un petit cri de douleur, me prit la tête et me la cala contre le matelas, elle voulait encore s'amuser avec mon corps, mais je n'allais pas lui donner satisfaction, je me mordit la langue et continua pendant qu'elle me pénétrait, elle sembla y prendre joie et s fut à cette instant que je lança mon attaque une liane la prit au cou l'étranglant à moitié et je m'extirpa de la terranide en ayant un cri étouffée, je me jeta sur ces armes et prit le sabre et un flingue. La lame se retrouva sous le cou de la terranide et le flingue, avec le chien d'armé sur le membre de la garce. J'eus pour une fois un sourire qui annonçais une mauvaise nouvelle. En haletant je dis.
- Tu m'a marquées, certes, mais l'on ne marque quelqu'un que si cette personne lui est totalement dévouée. Maintenant je vais faire comme mon plan de prévue.
Je refis le sort pour ne rien sentir et soigna mes ailes, puis je plaqua son visage contre le mien, les yeux les plus près possibles et je l'hypnotisa avec toute la haine que j'avais envers cette terranide des mers qui m'avait traité d'inférieur, le sort hypnotique s'en trouva plus puissant. La terranide pouvait penser, parler, mais son corps était sous mon contrôle. Je prit des affaire dans son dressing, une robe écarlate avec des fil d'or. Je la fit habillée, j'étais trop gentille et je le remarqua.
- Je sais ce que c'est d'avoir un secret et aussi la loyauté, aussi ne vais-je pas t'humilier comme tu m'as fait tout à l'heure, même ce cela me démange au point de vouloir te supprimer ton sexe en trop d'un coup de fusil et de t'écorcher vive, mais tes hommes ne pourrait pas bien le prendre. Allez avance.
Les mains de la terranide ouvrirent la porte, l'équipage acclamèrent leur chef, il le firent moins quand ils me virent derrière elle avec le canon du flingue dans le dos et la lame près de la nuque. Un seul mots de trop et elle y passait, elle devait en être conscient et faire passer un message n'aurait servit à rien à part la tuer.
- Si vous voulez votre capitaine, préparée moi un canot, sans vivre, sans eau, juste des rames. Je dois admettre que vous êtes des adversaires que je n'aimerais pas croiser tous les jours, je promet sur la marque sur ma poitrine que je ne dirait rien de ce qui c'est passez. Je sais que cette marque me lie à vous et donc que si je dit quelque chose je serais aussi inculpée. Donc j'attends votre réponse vous la voulez ou non.
Je murmura à la terranide.
- Si tu veut vivre laisse moi partir et si tu veus que l'on règle ça, laisse moi le temps de récupérer. Une succube n'a qu'une parole, tu devrais le savoir. Si tu veus faire passer un message, va voir Herman Nodge, il me le transmettra. Je n'oublie pas que tu m'as quand même sortie de la prison, alors en échange de ma liberté je te donne les joyaux promit. Tu pourras aller voir Herman pour les récupérer. Alors qu'en dis-tu ? Sachant que si tu refuse tu peus dire adieu à ton sexe que tu aimes temps et à une dizaine de tes hommes, avec aussi ta vie si je m'en sert comme bouclier.
Mon temps était comptée, je devais faire au plus vite, j'était attentive au moindre battement de cil. Le but serait de monter dans le canot avec la terranide et de la pousser dans la flotte à trente mètres du bateau, comme ça la terranide survivrait et moi je pourarit m'envoler dans les airs, bien sur j'avais peu une chance sur trois de mourrir pendant le trajet et une chance sur deux que dès la contact de ma blessure dans l'eau les squales me repère. Il fallait tous tenter, meêm si cétati la dernière chose de ma vie. Je commanda à un liane de m'apporter la dagur qu'elle me mit dans ma sacoche que j'avait en pandouillère. Restait à savoir si l'équipage tennait vraiment à leur capitaine.
-
Elle n'aurait jamais pensé qu'elle aurait pu récupérer aussi, il n'y avait que quelques minutes qu'elle avait failli tomber dans les pommes sous la fatigue de son siège qui fut très court, de plus son assaut et celui de son équipage avaient bien eu raison de son endurance. Et le traitement qu'elle avait appliqué ne lui avait pas laissé une seule seconde de repos ! Elle était plutôt surprenante.
La liane l'attrapa au moment où elle s'y attendait le moins. Surprise, elle se mit à suffoquer, en tirant de toute ces forces sur la tentacule qui voulait l'étrangler, la succube avait su profiter de ce moment pour se saisir de ses armes... Qu'elle avait négligemment laissé traîner par terre, depuis qu'elle avait réduit en charpie l'autre tenue.
- Encore tes lianes ! Je commence à en avoir marre de tes tricheries...
Son hypnose ne la plongea pas dans l'inconscience, la sensation de ne pas savoir ce qu'on as fait étant extrêmement désagréable, seulement son corps ne réagissait plus aux impulsions de son cerveau. Mû par une force inconnue, la succube la força à se rhabiller d'une robe, ce qu'elle détestait porter sur son navire et sans s'être "correctement préparée", les robes dessinant les silhouettes à la perfection étaient presque faite pour trahir son secret.
- Compte là dessus, pétasse, je vais revenir te chercher, même si je dois faire le tour du monde pour te retrouver... Tu t'es bien fichue de moi, je ne vais pas te laisser t'en tirer à si bon compte. Crois-moi, tu va entendre encore parler de moi très bientôt, et je n'aurai aucune pitié...
Ca lui brisa sa fierté et son coeur, mais elle ordonna aux pirates de lui obéir. En peu de temps, le canot était prêt et les flibustiers s'approchèrent pour l'escorter de près et la suivra jusqu'au canot. Bien sûr, la capitaine se demandait quand allait-elle détourner le regard pour renverser la situation. Il ne fallait surtout pas qu'elle se fasse embarquer... Etre mouillée serait très dangereux pour son secret. Surtout que l'eau des environs était infestée de squales...
- Hin hin, au moins tu reconnais bien là ton statut d'esclave: tu n'oses même pas me rendre la monnaie de ma pièce... Les vraies dominantes ne montrent pas de pitié. Si on veut régner, il faut écarter les obstacles sans hésitation !
Montées dans le canot, les pirates les mirent à l'eau.
-
La terranide ne semblait pas apprécier être habillé d'une robe, il faut dire qu'une pirate en robe c'est assez rare. Je fut ravit d'entendre la terranide dire, à contre cœur, de faire ce que je disais. La préparation prit un certain temps, ils trainaient un peu les pieds pour me garder le plus possible à bord, mais les préparatif furent finit rapidement, il fallut être attentive quand la terranide et moi même montèrent dans le canot. Je resta concentrée sur la capitaine, si un des marin d'eau douce s'amusait à faire un mauvais geste, alors je descendrait la terranide de sang froid. Le canot toucha l'eau et j'ordonna au corps de Sinclaire de ramer.
Il aurait été débile de ramer sois même, sans compter que mon sort ne faisait plus effet, l'hypnose devait commencer lui aussi à faiblir un peu, mais pas de quoi la permettre de bouger ces jambes ou ces bras. Je put dire ce que je pensait de sa façon de penser.
- Tu dis que je ne suis pas un dominante. T'es conne ... voici la preuve de ta sois disante domination. Pour vraiment dominer il faut savoir certes écarter les obstacles, mais il faut aussi laisser s'en dresser. Sinon à la longue tu perdra une pensée essentiel : Toute proie peut devenir prédateur par peur.
Je continuait à pointer le flingue vers la terranide en fouillant dans ma sacoche. Je prit une potion ainsi qu'un flacon avec du sucre que je compléta avec de l'eau de mer. La potion soigna ma blessure à la jambe et ne saigna presque plus et l'antidote qui me redonna le sens du toucher.
- Tu as de la chance, au départ je voulait te jeter par dessus bord et filer par les airs, mais il est clair que tes amis vont me plomber dès que possible. J'aurais fait de même. Pour ta menace de tout à l'heure je n'ai pas peur, étatn habituée à la mer sur terre tu seras plus faible indéniablement et moi plus forte. Cela rendra le jeu plus amusant.
Il était temps de la fausser compagnie, je me leva prit ma sacoche, le mit autour de mon coup et d'un geste sans prévenir je lâcha les armes et fit un salto en arrière, droit dans le flotte. Le contact réveilla la douleur de la marque qui n'appréciait pas l'eau froide. JE nagea vite et senit une balle m'effleurer, la terranide avait reprit le contrôle de son corps et voulait m'infliger une blessures. il ne restait plus que deux choses à faire, nager pour éviter que les pirates me repêchent ou la capitaine et faire attention qu'un requin ne me prenne pour un plat repas. Je plongea, comme ça j'était moin facile à viser, l'ennuie c'est que je le serait quand je referais surface.
-
Elle ne voulait même pas l'entendre plus longtemps, ce n'était que blasphème à ses oreilles. Et puis, elle avait rarement entendu le gibier lui donner des conseils sur sa manière de faire... Si elle le pouvait, elle lui aurait décoché une belle baffe sur la joue, peu importait les conséquences, quoique elle l'aurait fait de manière à être capable de la flanquer par-dessus bord.
La forcer à ramer, elle... Décidément, plus ca se prolongait et plus l'envie de l'abattre la prenait aux tripes. Vivement que ce sort se brise, qu'elle lui règle son compte une bonne fois pour toute... En plus de ne rien comprendre à sa façon de penser - qu'elle considérait comme la seule véritable -, ca faisait une raison de plus de lui en vouloir.
- En fait t'y connais rien, j'en suis sûre. Tu racontes vraiment n'importe quoi.
Encore un de ces antidotes fait-maison avec du chlorure de sodium... A croire que toutes les solutions étaient à base de sel. L'eau de mer n'avait jamais semblé aussi saine...
- Tu crois trop en toi-même, petite emmerdeuse. Ne crois pas que c'est parce que j'ai toujours les pieds sur un bateau que tu sera meilleure que moi sur le plancher des vaches, et tu va regretter de m'avoir sous-estimée sur ce terrain.
Une fois mise à l'eau, la pirate prit son fusil et ni une ni deux une détonation claqua dans l'air, la balle fendit l'air mais pas la chair de la succube, à son grand désarroi. Tant pis...
Elle rama en sens inverse, et fut accueillie par ses flibustiers. Mais, de très mauvaise humeur, elle aboya à ses hommes de sortir les harpons pour faire feu dès que la démone ressortirait de la surface de l'eau, pendant que la capitaine partait se changer, mettre des vêtements moins "moulants".
-
Je nagea aussi vite que possible, pour avoir un meilleur taux de survie il fallait, minimiser les respirations et prendre le plus de distance possible. Un squale me filait, bien que je ne pouvait pas le voir je le sentais. Mes poumons commencèrent à me bruler. L'air manquait et il fallut refaire surface. J'entendis des coups de canons, il était impossible de tirer des boulets à cette distance. Je me retourna et vit des objets sombre qui étaient reliés au bateau par des corde. C'est dès le moment où je vit ce que c'était que je paniqua. Des harpons, il comptais me ramasser avec un harpon ou peut être me tuer tous simplement.
Je nagea en tentant d'éviter les projectiles, la fatigue commençais à m'envelopper, ils allaient finir par me tuer de fatigue. il y eut une autres slaves et ce coups ci un harpon eut un drôle d'effet. Il avait atterrit à côté de moi en me blessant le bras gauche, ricocha de manière bizarre et je me trouva entravée, mes jambes s'agitèrent très rapidement, le requin voulut me bouffer à cet instant, heureusement, le fond marin regorgeait d'épave et donc de bois. Le requin fut déchiqueté. Mes ailes servirent à offrir une meilleur résistance à l'attraction terrestre volant me noyer.
- Pfff ... Faire tous ça pour se trouver encore comme ceci. Je comprend mieux pourquoi la voyante me disait que des jours sombres allait s'abbatrent. La prochaine fois je l'écouterai
Je bougea mes mains pour atteindre la sacoche et trouva le poignard, au point où on était, une blessure de plus ne couterait rien, je le prit à pleine main avec la main droite et commença à couper le filin. Mes jambes commençait à s'épuiser, moi aussi. Si l'on devait faire le compte du sang perdu, le résultat serait effrayant.
-
Avec tout ces évènement, Sinclaire eut le temps de passer des vêtements plus décents. Mais elle eut une mauvaise surprise en voyant un des pirates tirer le harpon et voir que la corde avait été coupée. Elle avait préféré garder le projectile et s'en sortir...
- Merde !
Dans un accès de rage, elle jeta son couvre-chef au sol. Succubus allait trop loin que pour continuer à être poursuivie, si il aurait été question de chasse à la baleine le compte aurait été vite réglé avec le Jolly Jack, mais là c'était un tout autre registre: la chasse à l'homme en pleine mer n'était pas facile, surtout quand on les voulait vivants, ils finissaient rapidement noyé: ce qui serait le cas de Succubus, probablement. Vu la distance des côtes et les nids de requins pullulant dans les eaux du coin, les diverses blessures de Succubus allaient allécher les squales qui s'en feraient un apéritif.
- Grr, saloperie...
En époussetant son chapeau, la capitaine n'eut d'autre choix que de continuer le cap initialement prévu avant la récupération de Succubus, et devoir s'en passer. Seulement elle n'avait rien oublié: elle irait la chercher, coûte que coûte, et lui ferait ravaler sa fierté pour avoir osé toucher à sa sainte personne.
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je vis le bateau continuer sa route et j'en fut ravie. Il ne me restait plus qu'à réussir à rejoindre le rivage avant que les squales soient en nombre trop important pour riposter. Je n'avais pas suffisament de force pour faire un soin et encore moins pour relancer le sort. il ne me restati plus que la nage. Soudain j'entendis une voix dans ma tête.
*Maîtresse où êtes vous, nous vous cherchons depuis hier.*
Je me mit à rire, Misty avait réussit à me contacter, je savais qu'une fille pouvant avoir le pouvoir de parler dans la tête des gens me serait utile.
* Près de la prison au sud à une distance trop grande du rivage pour que je puisse y aller en une seule fois, j'ai des blessures aussi. Qu'est-ce que tu me conseil*
*Allez y doucement nous allons vous chercher, un intrus à voulut prendre Anaïs mais il est repartie de peur de se faire tuer*
Je me mit à rigoler plus fort. Misty avait toujours réussit à voir les situation d'un côté très optimiste, voir trop, mais c'est ce qui m'avait plut.
* J'ai aussi des petite sardine qui me suivent, comment je peut les chasser.*
* Maitresse, je croit que votre hypnose peut servir dans ce cas là ,non ? EN faire des gardes du corps serait assez marrant*
Je n'y avait pas pensée, il faut dire que Misty avait été la première esclave à me montrer du respect et à me considerer comme une amie et non comme son maître, cela ne me gênaitpas . Un squalle s'approche trop près et je l'hypnotisa, c'était à vrais dire plus facile que Sinclaire. La suite fut simple, le requin m'amena sur le rivage et je put laisser mon corps blessé à mes servates. Une chose de sur, j'avait évitée la mort aujourd'hui, la prochaine fois que je vais boire j'amène Misty, comme ca elle me reprimandera quand je commencerait à ête trop saoule.
Fin du premier round ;D