! Attention !
La séquence qui vas suivre (du moins, le final) est assez dure, c'est pourquoi si vous êtes quelqu'un de sensible, je vous invite à passer votre chemin pour ce post.
La voiture du couple impériale traversat les tues bondées d'Herzeleid. Liddell pouvait entendre les gens hurlait son nom et celui de sa femme. Les yeux de Liddell d'une folie des plus pure et sincère, son regard fixait celui de sa femme avec hardeur et envie. Cette dernière lui avoua vouloir, elle aussi, passer à des choses beaucoup plus torrides. Malheureusement, les deux femmes ne pouvait décemment pas faire l'amour ici, faute de temps et d'espace. Liddell frotta son nez contre celui de son impératrice blanche, avant de l'embrasser à son tour sur la bouche, mordillant délicatement ses lèvres.
Je vous croquerais bien mon amour... hihihi !Cet alors qu'un homme vint à violemment s'abattre sur la vitre de la voiture, juste au niveau de la portière de Liddell, faisant sursauter cette dernière.
Mein Führer ! Je vous en supplie... Laissait moi vous approcher !Mais à peine l'homme avait il prononcé ses mots, que deux
officiers vinrent à l'arracher de ça place a grand renfort de coup de matraque et ce sous le regard de Liddell. Le pauvre homme se faisait à présent tabasser au sol, devant des centaines d'autres personnes, ces dernières n'en firent d'ailleurs rien. Il était interdit d'importuner de l'Orbestfürher... Et il en vas de même pour l'impératrice Ashnardienne. à présent, cet homme allait surement se faire enfermer, afin qu'il comprenne bien à quel point son acte était grave.
Pfiu... Quel imbécile ! hmmmm... Où en étions nous mein herz ? Lâchât elle alors, comme ci de rien n'était.
Ah !... oui... Je me souviens, ihihi !Tendrement, Liddell vint à caresser avec hardeur le corps de sa compagne, l'embrassant avec fougue et désire. Marta qui était sur le siège passager commençait à avoir une belle érection, la contraignant à croiser les jambes, afin que cette dernière ne ce voie pas de trop. Cependant, Grizellda, qui conduisait, avait remarquée la bosse bien avant que Marta ne cherche à la cacher. Ce petit détail la fit d'ailleurs légèrement sourire.
Et bien Marta... Tu ne déballe ta chose aujourd'hui ?Tu vas voir ou je vais la mettre ma chose... Salope...Grizellda remua légèrement sa tête de gauche a droite en soupirant,regardant au passage deux impératrices entrain de s'embrasser par le biais de son rétroviseur. La General arquât brièvement un sourcil, avant de ce remettre à regarder la route. Intérieurement, Grizellda savait que ce soir, au palais, certaine choses allait être un chouilla plus "festives" qu'à leur habitude. Plus tôt dans la semaine, Les cuisinier avaient, sous les ordres de Grizzelda, préparés trois femmes qu'ils avaient préalablement engraissée pendant 6 mois, afin d'avoir le meilleurs foie gras possible. Mais ci l'horreur de ce banquet s'arrêter là, ça irait, mais c'est mal connaitre l’appétit et les gout culinaires de Liddell, que croire que de simple foie gras lui suffirait. La Führer aime la chair tendre... Celle qui n'a pas vaincue longtemps...
Bientôt, les véhicules arrivèrent devant le palais de Liddell. Ce dernier avait subit quelque modifications, accroissant sa taille de plusieurs étages. Sur le coté du châteaux, une sorte d'énorme bâtiments avait poussé, ce dernier n'était autre que les Abattoirs, une gigantesque usine de mort, où était entreposé un nombre incalculable de kilos de viandes. Les Abattoirs se divisait en plusieurs sinistres compartiments, tous plus glauques les un que les autres. Des salle de traitements, de découpes, de tris... Mais plus sinistre encore, l'atroce centre d'engraissage, la triperie, les bains de sel, les broyeuses ou encore... Les couveuses.
Les Abattoirs n'était toutefois pas les seules endroits monstrueux de ce châteaux infernal. Il y a aussi salle de torture récréative du boucher, où fleurissent d'innombrables objets rouillés et tranchants, comme des crochets au bouts desquels les corps d'innombrable jeunes filles et femmes pendent, pendant que les cris insoutenables des suppliciés ce font entendre.
Pilori, Poires d'angoisses, araignées, vierge de fer, chaise de judas, mécanisme d’écartèlement, bains d’acide, fausse d'aiguilles et une foule d'outils permettant de trancher, de brûler, d’éviscérer, d'énucléer, de castrer, d'avorter et occasionnellement, de tuer, sont consciencieusement rangés.
Mais... Que serait cet endroit sans les magnifique abat-jour en peau humaine, la chaise royal fait d'ossements humains, les cranes qui orne les mur, les magnifique banderole en mamelons et... Une foule de corps mutilés, tranché puis recousue afin de créer des masses informes et dégueulasse, à moitié en décomposition.
Après cela, on est en droit de ce dire que l'enfer est clos... Mais malheureusement... La folie de Liddell n'a pas de limite et la libido de Marta non plus, du coup, quoi de mieux qu'un harem entièrement consacrée à cette dernière ? hm ? Certes, tout le palais est plus ou moins son Harem, mais là, c'est une total redispositions de ses appartements, afin d'en faire une chambre de la luxure. Une luxure violent et salasse, un bordel de cuir et d'instrument sadomasochiste, ou peut de jeune femme son conviées.
Et enfin, la cerise sur cette effroyable gâteau morbide et puant la folie à plein nez... Les laboratoires de Minerva. Le summum de la torture et de la monstruosité. Si le Boucher peut tenir une victime torturée en vie pendant plusieurs heures
, Minerva, elle, peut le faire pendant des jours, des semaines voir, des mois. Imaginais, un mois avec des bout de fer planter dans le corps, un mois pendant lequel vous serez constamment sous perfusions ou dans un état proche de celui d'un légume, un mois a subir une batterie de teste biologique, psycho-moteur, hormonale, chirurgicale et j'en passe.
Un mois de souffrance pure, un mois ou le peu de nourriture que vous aurez serait les restes à moitiés manger des repas impériaux, reste préalablement transformé en bouillie, bouillie dans laquelle plusieurs sortes de drogues et de virus ont était mis, afin de voir ce que ça fait. Un mois... Un mois à entendre les autre patient crier, a servir de jouer à une bande de psychopathes, un mois a ne plus dormir et... Un mois...
Le pire dans cet enfer blanc, c'est qu'il n'y a aucune échappatoire et bien entendue, aucuns moyens de vous donnez la mort... du moins, pas par vos propre moyens.
Hélas, le châteaux regorge d'autres petits détails morbides, mais après tout, qui s'en soucis, hm ? Les servantes ? Liddell part du principe qu'elle ne sont que de la "viandes" et des jouets... point barre, fermait les guillemets.
Un énorme nuage/vortex prend sa base au sommet de la tour de Liddell, surplombant ensuite toute la ville, ce nuage sinistre n'est autre que la folie de Liddell, la folie pure qui part de se château monstrueux, un folie qui, avec le temps, à imprégnée le sol et les alentours d'Herzeleid, un folie qui grandie de jour en jour et qui ne fait qu'alimenter la puissance de Liddell.
Le petit couple impérial sorti de la voiture, accompagnée par Marta, Grizellda, Chess et, bientôt, ce cher Morten ne tarda pas à rejoindre le sinistre groupes. Le dit groupe traversa le pont menant au palais, palais dont les portes ne tardèrent pas à s'ouvrirent, montrant alors une petite escouade de servantes, prêtes à s'occuper du couple impériale, ainsi que de Marten.
Toutefois, quand trois servantes allèrent pour prendre les affaires de Liddell, cette dernière refusa, pointant alors du doigt, une seule servante.
Je veux que ce soit toi qui me déleste... Patricha.Patricha... L'une des servantes "préférée" de Liddell... La pauvre femme avait un ventre rond car, 9 mois plus tôt, Elle était tombée enceinte d'un des majordomes avec qui elle avait eu une amourette, seulement, il en fallut peu à Liddell pour le découvrir, comme il en fallut peu au pauvre homme pour mourir. Suite à ça, Patricha devint en quelque sorte la servante attitrée de Liddell, du moins, jusqu'à sa mort. La pauvre femme peinait attrocement à cause de sa grossesse et c'est d’ailleurs pour cela que Liddell la faisait toujours plus travailler que les autres, au risque de tuer le bébé, ce qui, soyons honnête, était son bute. La pauvre Patricha était devenue une sorte de souffre douleur et, pour ne rien arranger à la chose, elle était maladroite comme pas deux et ça grossesse n'arrangeait rien, bien entendue. Dernièrement, Marta lui était passé dessus pendant trois bonnes heures et pas par vois conventionnelle, ce qui la faisait à présent boiter de douleur. La pauvre femme n'en pouvait plus, mais le pire, c'est qu'elle savait que sa mort était toute proche.
La servante avançat, peinant à se déplacer, la mains sur son gros ventre. Avec difficulté, elle tachat d'enlever le grans manteau de cuir de Liddell, mais sans le vouloir, elle lui tira une mèche de cheveux, ce qui, bien évidement, crispat notre petite Führer sur place.
AIE !Oh... Je... Excusez moi... M... Mein...La femme peinait à Parler et les autres servantes commencèrent à se sentir très mal pour elle... Affreusement mal enfaite, l'une d'elle allant mêm jusqu'à vouloir prendre la relève mais... Rien n'y fit, elle fut séchement remise en place par Grizellda, et ce grace à un magistrale revert de sa main droite
Reste la, chienne !Y... Ya General Varassian... Lachat elle platement en baissant ses yeux rendue humide par la scène qui se présentai à elle.
Patricha... ? demandât Liddell à sa servante.
Ou... Oui Meine Fûhrer... Kyuuuu...Je... Je peut voir ton bidoux ? Là... Patricha fut comme traversée par une onde de peur qui la figea sur place, tendis que les autres servantes se retenaient de ne pas fondre en larmes sur place face à une telle cruauté. Grizellda et Marta ? howf... Elles, elles s'en foutait pas mal à vrai dire, au contraire, ça allait les divertir un peu, les coup de sang de l'impératrice était toujours amusant à voir. D'une main hésitante et tremblante, Patricha leva sa robe de servante, mettant à nue son gros ventre.
Là, délicatement, Liddell se mise à le toucher, éprouvant la chose avec douceur et curiosité.
Fufufu ! Il me donne des coups...Cette phrase fit pouffer de rire Marta qui s'allumait un cigare, comme ci de rien n'était.
Je... Je trouve ça drôle moi... De mettre des coups... Nan ?Patrica était entrain de pleurer, de grosses larmes se mirent à ruisselait le long de ses joues boursouflées par les coups qui Liddell lui donnait à longueur de temps.
Mein Fûhrer... Je vous en sup... Je vous en supplie... Il est tous ce que j'ais... Pitié...pitié... Le regard emplie de folie de Liddell se levât brièvement vers celui de Patricha, puis, un immense sourire carnassier vint à s'afficher au bout de ses lèvres.
Nan Patricha... Ici... Rien n'ais à toi... Pas même ta propre vie... Tu entend... Rien... Tu n'as rien... Ihih... Ihihih... IhihihIHIHIHAHAHAHAHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHAHAHAHAHAHAHHAAH !Et VLAM ! Liddell envoyât un grand coup de poing dans le ventre de sa servante qui s’écroulât au sol dans un hurlement, L'impératrice, du haut de sa monstrueuse folie, ruât la pauvre femme de coups de pied, visant son ventre et sa tête avec hargne et démence.
IhihihHAHAHAHAHAH HAHAHAHA CRÈVE ! CRÈVE ! CRÈVE !!!!!!!! JE VEUX QUE TU CRÈVE ! TOI ET TON PUTAIN DE GOSSE ! AHAHAHAHAAH JE TE HAIS ! JE VOUS HAIS TOUTES ! VOUS ME REPUGNAIIIIIIHAHAHAHAAHAHAH ! CRÈVE ! CREEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEVE AHAHAHAAAAAHAHAHAHAAHAHHAAHAIHIHIHIHIH IHI AHAHAHAHAAA !La poche des eaux de Patricha c'était ouverte, rependant sur le sol un mélange de sang et de liquide amniotique. La pauvre femme avait le visage ensanglantée, les lèvres éclatées le nez brisé et elle allât jusqu'à recracher des morceau de dents sur la sol en damier du châteaux.
Sur ce... Liddell la laissât totalement inconsciente, avant de faire signe à trois garde de l'emmener, non pas vers les abattoirs, mais vers les labos.
L'es s'hommes s'éxécutèrent, demandant tout de même les directive à leur dirigeante.
Dite à minerva de la soigner et de lui retirait l'enfant... Je veux qu'il me soit servie se soir même, avec des champignons et une délicieuse sauce au yeux ! AhahahaaAaAaAA !Aucune limite... La démence de Liddell n'avait aucune limite... L'une des servantes qui regardait la scène s'était évanouie face à tant d'abjecte cruauté et ses collègue n'en menait pas bien large non plus. Leur cœurs était au bords des yeux, des yeux inondés par un flots de larmes retenue de force, de peur de connaitre le même triste sort.
Bon... Allons y à présent...Comme ci de rien n'était, Liddell reprit la mains de sa femme, s’avançant ensuite vers la salle à manger. Il y avait d'ailleurs énormément de tableaux représentant les deux femmes seules ou ensembles, accrochés au mur. Bien vite, tout se beau petit monde vint à arriver dans une vaste salla à manger, au mileiux de laquelle, il y avait une grande table noire drapée de rouge et, au bout de cette dernière, on pouvait trouver deux grand siège, dont un, fait avec des ossements humains, encore une fois. Les deux jeunes impératrices prient place en premières, suivit des autres. C'était l'heure du thé les amis !