Quand la queue caudale d’Inuko se retira de son fessier, Mélinda soupira lentement. Ses fesses se refermèrent légèrement, et elle put se coucher un peu mieux sur le dos. Tout ce sang de succube venait de follement l’exciter, et tout son corps vibrait, tremblant dangereusement, sa queue bandant très bien. Elle se dressait devant elle, tel un vigoureux mât, et voir Inuko au-dessus était monstrueusement excitant… Allait-elle s’empaler sur elle ? Mélinda en rêverait presque, sentant pour l’heure seulement sur son membre viril les écoulements de mouille d’Inuko, s’échappant de son sexe bien épilé pour caresser sa verge, la faisant soupirer… Et puis, au lieu de vouloir s’empaler sur elle, elle s’écarta un peu. Macy resta en retrait, se cantonnant pour l’heure au rôle d’observatrice… Pour l’heure.
La succube agissait comme si elle était chez elle, sans aucune retenue envers le fait qu’elle n’était, pour l’heure, qu’une petite squatteuse. Autrement dit, c’était une démone dans toute la force de l’art. Elle agissait avec efficacité, baignée dans son domaine de prédilection, celui qu’elle se devait de maîtriser à la perfection : le sexe. Les deux femmes se connaissaient à peine, et étaient pour l’heure déjà en train de faire l’amour… Et, même au-delà de ça, elles avaient été jusqu’à s’échanger mutuellement leurs vies, la première en aspirant sa force vitale par un mortel baiser, la seconde en la mordillant jusqu’au sang. En somme, une indéfectible amitié venait d’ores et déjà de se lier entre les deux femmes, car elle reposait sur la confiance mutuelle. Mélinda ne chercherait pas à en faire une esclave… Du moins, pas trop. Elle voulait en savoir plus sur elle, savoir qui étaient les gens qui l’avaient attaqué, quel était son passé, et savoir comment s’attacher ses services, de préférence de manière permanente. Pour l’heure, elle vit le sexe de la succube se retrouver sous son nez, ses jambes à gauche et à droite de sa tête, et elle comprit alors très bien ce qu’elle comptait faire.
«
Haaaa… »
Elle avait entrouvert les lèvres, venant goûter à la mouille de la succube, qui descendait de sa fleur ouverte… Puis Inuko fléchit les genoux, et s’assit tout simplement sur elle, son sexe à hauteur de ses lèvres. Mélinda sentit contre son nez, son menton, et, bien évidemment, ses lèvres, ce trou tendre et visqueux. Son gémissement fut étouffé par les cuisses de la femme, et elle posa ses mains en appui sur ses hanches, puis entreprit de lécher, soupirant de plaisir, avalant cette mouille,mastiquant et suçant. Rapidement, Inuko donna la réplique, se penchant vers sa queue, vers ce mât dressé, et fort douloureux. Quand un chibre était dressé de cette manière, il envoyait dans le corps de son propriétaire de furieux élancements de douleur. Une douleur grisante qui était liée à la frustration, et qui était énormément exploitée dans bien des séances sadomasochistes. L’idée était de stimuler cette verge le plus possible afin de transformer l’homme en une bête sauvage qui ne se retiendrait plus, et défoncerait joyeusement sa Maîtresse, la déboîterait à tel point qu’elle resterait ensuite sur le carreau.
Inuko joua évidemment avec cette sensation. Elle aurait pu directement prendre ce sexe en bouche, mais elle choisit d’être facétieuse. Elle commença par l’embrasser à la base, faisant hoqueter la vampire, puis, par la suite, sa langue remonta le long de cette verge. Son sexe était humide, recouvert de sa propre mouille, le rendant donc plus… Plus
agréable, pour ainsi dire. Les pensées de Mélinda s’embrouillaient, et elle ne pensait qu’à enfoncer sa langue dans le corps de la femme, remuant cet appendice lingual comme une petite chienne en chaleur, ses ongles pointus s’enfonçant dans la chair de la succube, s’appuyant dessus, serrant. La succube était terriblement efficace.
«
Mhhhhmmm-mhhhhmmmm… »
Mélinda couinait et soupirait, remuant ses jambes d’avant en arrière… Et sentit alors Macy revenir à la charge. Inuko s’était éloignée d’elle, mais elle pouvait désormais s’attaquer aux pieds de sa Maîtresse, pour encore mieux la frustrer ! La vampire sentit ainsi la langue de Macy caresser ses doigts de pied, sa bouche venant les suçoter, léchant ensuite sa plante, puis ses doigts de pied. Macy connaissait tout le fétichisme de sa Maîtresse, et en profitait donc volontiers. Inuko avait déclenché une sorte de tornade rose, qui était progressivement en train d’emmener avec elles les autres esclaves de la vampire.
Inuko continua son traitement, remplaçant sa langue par ses doigts, serrant sa hampe de chair entre sa main, son autre main venant alors doigter le fessier de Mélinda, la faisant soupirer et couiner. Elle se tortilla un peu, grognant et haletant, ses griffes continuant à meurtrir un peu la chair de sa belle amante. Elle couinait davantage, et sentit finalement Inuko approcher enfin ses lèvres. Mélinda était tendue comme une corde à violon, son visage invisible, mais ses soupirs, eux, bien audibles. Inuko avait même mordillé sa verge !
*
Maudite succube !*
Elle allait la rendre
folle, à force ! Finalement, elle sentit Inuko se pencher en avant, et sa bouche vint avaler son sexe, l’enfouissant en elle.
«
HHNNNNNNNNNNNNNNNNN !!! »
Mélinda soupira, se tortillant un peu, redressant son dos sur quelques centimètres. Les seins d’Inuko heurtèrent son estomac, et elle sentit la bouche de cette dernière filer jusqu’à la base de son sexe. Oh oui ! Voilà bien pourquoi on pardonnait tout à ces maudites succubes ! Elles étaient
si douées, si efficaces ! Comment leur en vouloir longtemps ? Comment leur en vouloir tout court ? Elles jouaient avec vous, mais on finissait toujours par avoir ce qu’on voulait. Même Edessa n’était pas différente, et ce malgré tout l’amour qu’elle éprouvait pour sa Maîtresse. Elle sentit les doigts d’Inuko toujours dans ses fesses, et elle-même entreprit de déplacer les siennes. Il n’y avait pas de raison qu’Inuko soit la seule à s’amuser, et Mélinda lui fit aussi goûter un peu de sodomie. Elle aventura ses mains un peu à l’aveuglette, tâtant des fesses de la femme.
Peinant à y arriver, elle allait décrocher quand une nouvelle femme vint les rejoindre.
«
Laissez-moi faire, Maîtresse… » intervint alors une douce et tendre voix.
Cette femme était l’une des filles avec lesquelles Macy avait joué,
Solène, une femme avec de longs cheveux blancs-gris. Elle venait de les rejoindre sur la table, et ne tarda pas à enfoncer son index dans les fesses de la succube, et Mélinda sentit alors pointer sur son front, la texture arrondie et effilée d’un gode… Solène avait dû profiter de ce moment pour enfiler une culotte-gode.
Quitte à avoir une succube, autant lui offrir un traitement royal, non ?