La belle petite Reine se laissait progressivement aller. Le plaisir inondait en elle, de plus en plus fort, quelque chose auquel elle n’était pas habituée. Elle avait donc du mal à y répondre, du mal à repousser les pulsions de son corps, et, pour l’heure, Adamante se refusait encore à agir. Elle aurait pu participer, bien sûr, mais elle trouvait ces deux femmes tellement belles ensemble… Elena n’avait pas l’habitude du sexe, encore moins avec Nümba… Pour elle, Nümba avait toujours été un peu comme une grande sœur, là où Adamante était sa meilleure amie. Faire l’amour avec elle était donc on ne peut plus surprenant, et la Reine laissait les mains de la druidesse caresser son corps, filant ensuite sous sa petite culotte pour titiller son intimité.
« Hum… »
La Reine se mordillait les lèvres, sentant la bouche de Nümba jouer sur son corps. Elle hoquetait et gémissait, se tortillant un peu sur place, au rythme des doigts joueurs de Nümba. La druidesse jouait plutôt bien avec elle, ses doigts se glissant dans sa culotte, caressant ses poils pubiens, sa toison brune. Elena, en effet, ne s’était jamais épilée, et c’était, là aussi, une chose sur laquelle Adamante voulait se pencher. Le fait est que la Reine n’avait clairement pas une grande sensibilité sexuelle, et qu’elle était en train de rattraper des années de retard. Tout contre Nümba, elle laissait cette dernière jouer avec ses cuisses, sentant effectivement un feu brûler dans son corps. Elle avait écarté ses jambes, et sentait ces dernières trembler sous l’effet du plaisir qu’elle ressentait. La belle Reine n’en pouvait plus, et était en sueur, son corps vibrant lentement sur place.
Nümba ne la pénétrait pas directement. Habile, elle jouait avec la culotte de la Reine, ses doigts glissant sur le tissu fin et délicat de sa peau. Elle enfonçait des plis de la culotte en elle, dans son trou, et, à chaque fois, Elena gémissait et couinait, se pinçant les lèvres à plusieurs reprises. La druidesse jouait avec elle, et elle la laissait faire, sans rien dire, et surtout sans pouvoir la repousser. Nümba était joueuse, et cherchait à exciter la Reine autant que possible… Et, comme si Nümba se disait qu’il était inutile de ne pas laisser les lèvres de la Reine à l’air libre, elle se pencha vers elle, et lui offrit un nouveau baiser. Elena, qui en était très friande, ferma les yeux en soupirant longuement, sa main venant s’agripper à la nuque de Nümba, qui l’embrassa goulûment, sa langue venant caresser ses lèvres, cherchant à forcer le passage… Ce qu’elle lui laissa faire, en entrouvrant volontiers les siennes.
« Hmmmmmmmmmmmmmmmmmmmm… »
Elena se tortillait à nouveau, et, yeux clos, elle appréciait pleinement ce baiser, un baiser magnifique et humide, sa langue répondant délicatement à celle de Nümba, jouant avec celle-ci… Elle agissait timidement, avec un manque d’assurance perceptible, mais qui était compensée par une soif forte et brûlante. Elle l’embrassait fort, et, quand Nümba feignait de se retirer, ou qu’Elena avait l’impression qu’elle se retirait, sa bouche allait se rapprocher, et, sans même s’en rendre compte, elle mordilla à plusieurs reprises ses lèvres, tirant dessus en grognant, ses mains retournant, dans la foulée, se poser sur les fesses de Nümba. Sans trop pouvoir se l’expliquer, Elena adorait le fessier de Nümba, elle adorait le caresser, le palper, le remuer, malaxer ses belles fesses. C’était aussi simple que ça, et elle ne pouvait rationnellement se l’expliquer.
Le baiser dura un certain temps, et, alors qu’Elena ne pensait désormais à plus rien d’autre que le corps de Nümba, qu’à ses seins heurtant les siens, à ses mains sur ses fesses, et à la sensation merveilleuse de sa bouche contre la sienne, Adamante s’avança un peu, et posa alors ses propres mains sur le cul d’Elena, venant pincer ses fesses, faisant sursauter la belle Reine.
« Haaaa… !
- Et bien, Elena, je vois que tu t’amuses bien… »
Elena tourna la tête vers Nümba en rougissant, et entrouvrit les lèvres pour parler… Mais Adamante l’en en empêcha, en posant une main sur son menton, en se penchant vers elle, et en l’embrassant doucement, goûtant à ses belles lèvres. Elle lécha ensuite ces dernières en retirant sa bouche.
« Tu préfères quelle bouche, Elena ? La mienne, ou celle de Nümba ? »
Pour toute réaction, Elena bafouilla en rougissant, incapable d’offrir la moindre réponse concrète et ferme. Adamante sourit à nouveau, et donna une petite tape sur les fesses de la Reine.
« Bien, bien… Je crois qu’il est temps de commencer un petit jeu… »
Adamante restait énigmatique, et elle glissa alors sur les yeux d’Elena un masque noir, qui lui recouvrit les yeux, et Adamante, en souriant, conduisit Elena sur le fauteuil, où cette dernière alla s’asseoir un peu gauchement.
« J’ai un jeu à proposer… Nümba et moi allons t’embrasser à tour de rôle, et tu devras dire qui t’embrasse… Si tu échoues… Hum… Nous trouverons toutes les deux un gage à te faire subir… »
Adamante, fière de son idée, se tourna vers Nümba, un sourire sur le coin des lèvres.
« Qu’est-ce que tu en dis ? »
Elena, elle, soupirait lentement, les seins tendus, sa culotte commençant à avoir des marques humides… Elle n’avait pas répondu à Adamante, à cause de son trouble. En silence, elle acquiesçait aux souhaits et aux désirs de la magicienne.