La crainte de subir une éventuelle punition s'est dissipée sous mes actions. Alors que je m'attendais à ce qu'elle se sente gênée d'être à présent réduite à un animal de compagnie, elle se montre joyeuse et imite le miaulement d'un chat tout en redoublant d'ardeur pour me satisfaire. Elle a toutefois fait couler une larme, petit vestige de sa peur de la punition, et me pose une question, tout en continuant :
- Miaou Maîtresse, Kanede est mignonne en néko ?
Ce à qui je répond, avec un très léger temps d'attente :
- Ma foi, si cela te plaît d'être ainsi déguisée, je peux toujours m'amuser. ♥
J'enchaîne en posant ma main sur sa tête. La différence de taille entre nous deux est assez conséquente, et, à moins de prendre la main, il serait peu possible que l'on puisse s'embrasser. La petite semble ralentir le mouvement, et semble perdre le rythme. Serait-elle sur le point de jouir ? Pour une humaine c'est bien probable. Elle a même relativement bien tenu, pour une humaine pénétrant une kitsune, après tout n'était-il pas dis que nous autres Kitsune ont le meilleur vagin parmi toute la catégorie des créatures non humaine, Succube comprises. Ce n'est pas pour rien que nous n'avons rien à envier aux lamias. Si elle ont du mérite en étant capable de contrôler a volonté les muscles de leur bas ventre, pour une kitsune c'est instinctif, on s'adapte naturellement à nos éventuels partenaires qu'il soient de plumes, de fourrure, d'écaille ou autres.
Il n'était donc pas difficile pour moi de repérer que la petite palpitait en moi, et qu'elle allait bientôt arriver.
- Ah miaou, c’est pour vous Maîtresse? Je fais ça bien?
Je ne lui répond pas, au lieu de cas deux de mes queues la poussent de coté en même temps qu'un coup de bassin de ma part, ceci dans le but de la mettre couchée pour que ce soit moi dessus à présent. Je m'empale profondément sur son chibre factice avant de me courber pour l'embrasser quelques secondes. J'abrège le baiser pour lui dire :
- Comme je m'y attendais, même si tu ne te rappelle pas des entraînements de ta maîtresse, ton corps s'en souvient. Mais je te sens sur le point de jouir, viens donc, envoie tout au fond. ♥
Je n'était pas aussi joyeuse que mon ton le laissait entendre, mais après une vie passée en fille de joie, simuler le plaisir à la perfection est un point à prendre. J'embrasse à nouveau la petite le temps de sentir son jus le loger au fond de moi. Pas besoin de se presser, de toutes manières elle est à moi, et elle le resteras un long moment. Je profite de ce moment pour lui caresser les seins de mes mains et son entrecuisse, qui doit se sentir un peu délaissée depuis tout à l'heure, de mes queues. Une fois les spasmes de la verge factice terminé, je peux sa sentir rapetisser de plus en plus jusqu'à disparaître, rendant à la petite son clitoris tout frémissant. Je romps le baiser et appelle mon orbe à moi, afin d'aspirer le sperme qui s'égoutte lentement de mon entrejambe, avant de regarder à nouveau la petite pour lui dire :
- Maintenant, tournes toi et montre moi tes fesses. Ta maîtresse va t'autoriser à faire sortir ce qui attend la dedans. ♥
J'attends qu'elle s'exécute, et je commence lentement à dévisser le plug. Lentement, c'était le mot, je veux l'entendre gémir, et soupirer de plaisir quand à sentir son petit trou se faire taquiner de la sorte. Après quelques minutes de jeu ainsi, je finis par lui retirer le plug d'un coup sec. Une fois fait, je dis à la petite tout en plaçant mon orbe juste devant son trou :
- Allez, petite, fais tout sortir devant ta maîtresse. ♥
Chose demandée, chose reçue, la petite fit sortir sans trop tarder le sperme qui gisait dans son fondement. Je laisse mon orbe aspirer le tout quelques instant, pendant lequel je susurre :
- C'est bien, petite, c'est bien, tu es gentille. ♥
Peu de temps après, je retire mon orbe qui a finit son travail et la pose à nouveau près du lit. J'en aurais encore besoin, car j'ai l'intention d'éprouver davantage la petite, sexuellement parlant. Je caresse du doigt son trou encore ouvert, dû sûrement au plug, avant de le glisser à l'intérieur. Entendre gémir mes proies... Partenaires, est un plaisir qui ne me lasseras jamais. J'approche mes lèvres et lèche son fondement ouvert, après tout, il était devenu tout propre pour le moment, et si je pouvais ainsi faire réagir la petite, c'était tout bénéfice pour moi. Toutefois, je ne taquine pas de trop, Un autre trou m'est davantage intéressant. Pour le déguisement, je replace une nouvelle fois le plug dans son trou. Ceci fait, je lui ordonne :
- retournes toi à nouveau, ma petite chatte, je vais à présent m'occuper de ton minou. ♥
Chose dite, chose faite, et c'est avec un plaisir évident que j'approche mes lèvres à son entrejambe pour lui dévorer sensuellement. Deux de mes queues lui attrapent ses mains et les posent sur ma tête, juste à coté de mes oreilles animales. Qu'elle joue avec ou non, ça me permettra de percevoir encore mieux si ma langue lui fait du bien.