Le Grand Jeu - Forum RPG Hentai

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Un cadeau pour une Reine [Leafa]

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Sarah Kerrigan

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Un cadeau pour une Reine [Leafa]

mardi 23 septembre 2014, 01:32:16

« On ne peut pas voir la Déesse sans un cadeau digne de ce nom. »

Takeshi hocha lentement la tête. C’était la cinquième fois que Kenji répétait la même idée : s’ils allaient déranger la Déesse dans son Temple sans une offrande, ils risquaient de le regretter amèrement. Takeshi le comprenait, mais le pauvre homme n’en pouvait plus. Débarquant tout droit de l’école de police de Tokyo, il était un policier infiltré, ayant pour mission de s’infiltrer dans une secte qui sévissait dans les profondeurs de Seikusu, et qui était responsable de la disparition de plusieurs personnes, généralement des prostituées, et parfois des lycéennes. Les cibles étaient toujours des femmes, et, quand on les retrouvait, elles étaient mortes, après avoir été violées un nombre incalculable de fois... Quand on les retrouvait. L’enquête piétinait, les résultats n’avançaient pas, mais la police avait réussi à mettre la main sur plusieurs suspects. N’ayant pas de femme, et des parents éloignés, et peu d’amis, Takeshi avait été un parfait choix pour cette mission à risques, mais prometteuse. Depuis plusieurs semaines, il s’était infiltré, en rejoignant les squats de la Toussaint, et en se faisant passer pour un camé ayant perdu son job, et qui était à la recherche d’une aide. Il avait ainsi rejoint les membres de la secte, en suivant des informations distribuées ici et là par des junkies et des clochards, des informations lui disant de se rendre dans les égouts. Il s’y était donc rendu, et il était tombé sur eux.

Les membres de la secte n’étaient pas nombreux, mais Takeshi n’avait pas encore pu voir leur gourou, qu’ils appelaient « Déesse ». Cependant, il lui avait donné une drogue hallucinogène, quelque chose qui avait développé ses capacités sexuelles, et l’avait conduit à violer une pute de la Toussaint. La drogue était un cadeau de leur Déesse, mais cette dernière ne voulait pas voir ses cultistes s’ils n’avaient pas un bien à lui fournir... Et, par bien, Takeshi avait compris qu’il s’agissait d’une jeune fille. Depuis plusieurs semaines, Takeshi était ainsi partagé entre sa conscience policière, qui lui disait d’appeler les collègues pour cuisiner ces types, et d’autres pulsions. Son sens du courage lui disait d’y aller franco, de rencontrer cette fameuse Déesse, de trouver le repaire de la secte... Et son organisme commençait à montrer des signes de dépendance à la drogue, qui l’amenait à être de plus en plus pervers. Tout simplement.

Kenji était son « grand-frère », et lui avait expliqué que la voie menant vers la Déesse était celle de la Transcendance, une voie qui, si on la suivait bien, permettait d’être choisi par la Déesse pour devenir l’un de ses serviteurs, et rejoindre la Conscience Collective. Ainsi, l’esprit de l’élu était perpétuellement relié à celui de la Déesse, et il n’était alors plus jamais seul... Et, pour parfaire le tout, la Transcendance le dotait de pouvoirs surnaturels. Un pur délire de fanatiques drogués, pour Takeshi, mais il avait parfois vu, dans les égouts où la secte se réunissait, plusieurs Transcendés. Ils avaient de longs costumes noirs, étaient massifs, et, sous leurs épaisses lunettes noires, il avait vu des yeux verdâtres, qui se mettaient parfois à s’illuminer. Pure hallucination ? L’homme commençait à douter. Il avait parfois tenté de les suivre, mais sans succès.

Lui et Kenji se trouvaient dans une voiture, et de grosses gouttes de sueur parcouraient le corps de Kenji. Il avait déjà vu la Déesse, il y a plusieurs mois, et il parlait toujours d’elle avec une franche adoration dans la voix. L’homme avait perdu tous ses cheveux, et Takeshi avait déjà pu constater les ravages physiques que la drogue de la secte engendrait sur son organisme. Il commençait à perdre ses cheveux, et par avoir des crises d’insomnie... Sans parler des troubles hormonaux.

« Il en faut une, une, seulement une, et nous pourrons allons voir la Déesse... »

Pour Takeshi, c’était l’épreuve du feu. Il devrait appeler ses supérieurs, mais il n’y arrivait pas... Voir cette femme devenait une obstination, une obstination motivée par la drogue qu’il avait été forcé de prendre pour rejoindre la secte... Et il avait déjà franchi la ligne rouge de toute manière, notamment en participant aux tournantes organisées par les disciples sur des femmes qu’ils capturaient, ou des femmes que les Transcendés leur offraient parfois en signe de gratitude.

« Là, en v’là une ! »

Ils étaient près du lycée Mishima, et Takeshi vit une jeune femme apparaître le long du trottoir.

« Elle sera parfaite... C’est ton initiation, mec ! Va la chercher, et fous-là dans le coffre ! Si tu te foires, repointe plus jamais le bout de ton nez ! Allez, merde, fonce !! »

Takeshi sortit précipitamment. La voiture puait le sperme et la sueur, car Kenji se branlait souvent, sans crainte qu’on puisse le voir. Takeshi fut donc assez heureux de sortir, et vissa sur son crâne une casquette, destinée à dissimuler sa calvitie en cours. Il s’avança rapidement vers la femme, sentant une érection naître en matant son cul.

*Putain, Take’, tu deviens maboule ! Il faut que tu arrêtes ça, t’en sais assez pour aller faire ton rapport, maintenant... Arrête ça !*

Il devrait suivre cette saine voix... Mais ce n’était pas ça qui le guidait. Au lieu de ça, il marchait rapidement vers la femme.

« Madame ? l’appela-t-il. Madame ?! »

Takeshi se disait que la kidnapper ne serait pas si grave, car il comptait la libérer. Il avait avec lui son pistolet, une arme de service. De plus, dès qu’il serait dans le temple, il appellerait les renforts, afin de pouvoir tous les coffrer... Mais, pour ça, il fallait encore attraper cette fille.

Si elle se mettait à courir à bride abattue, il n’aurait qu’à la poursuivre et la neutraliser.

Surtout, il fallait qu’il arrête de loucher sur son si joli cul !
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 1 mardi 23 septembre 2014, 19:22:24

Voilà deux semaines que cette secte d'illuminés s'est installée en ville. très peu d'infos ont fuité mais les médias ont quand même avertit les jeunes femmes de ne pas sortir seules dans la rue. Avant, même si ce n'était pas officiel, elles ne devaient prendre leurs précautions que dans la Toussaint. Dorénavant elles devaient sortir en groupe et de préférence accompagnées de mecs.

Mais Leafa n'aimait pas la compagnie. Encore moins si elle était entourée de mecs. C'est donc seule qu'elle sortait mais elle avait tout de même ses propres précautions. Elle ne mettait que des tenues décentes : au placard les mini-shorts et débardeurs. Elle ne mettait que des pulls à capuche et des joggings. Mais au delà de ces soucis de tenue, elle prenait soin d'emmener au moins un ou deux couteaux et un pistolet. Ses talents de combattante et de gymnaste lui permettait de se protéger de cette bande de drogués.

Elle fut d'ailleurs plusieurs fois attaquée par des membres de la secte des "Loques", comme elle se plaisait à les appeler à cause des ravages de la drogue sur leurs corps. Mais après leur avoir cassé un bras ou une jambe, l'altercation prenait fin et Leafa ne les revoyait jamais.

Ce jour-là commença normalement : elle commença par mettre ses écouteurs dans les oreilles et lança sa musique. Musique qu'elle aimait assez dynamique pour la revigorer si quelque chose tournait au vinaigre.
( https://www.youtube.com/watch?v=U25UkqNM62Q )
Puis elle mit son pull noir à capuche et son jogging assorti. Elle vérifia de bien avoir ses légers couteaux dans les replis de son jogging et son Beretta 92 à la taille.
Elle sortit enfin de chez elle et se dirigea vers le centre commercial. Habitant un peu à l'extérieur de la ville, elle devait traverser plusieurs patés de maisons avant d'arriver à sa destination.

Les ennuis arrivèrent bien vite. Leafa se fit interpeller par un inconnu. Elle se retourna et vit un homme grand, brun, bien bâti. Il était vêtu assez normalement. Cet homme semblait tout à fait banal mais c'est le reste qui dérangea Leafa. L'homme sortait d'une voiture qui empestait le sperme. C'était déjà un signe assez distinctif de la secte. De plus, dans le véhicule se trouvait un homme au visage ravagé et aux cheveux en grande partie perdus. C'était des "Loques".

Leafa n'attendit pas un instant et fuit les deux inconnus. Elle mit sa capuche pendant sa course tandis qu'elle fonçait dans une ruelle. Cela était sans doute une très mauvaise idée pour une jeune femme normale, mais pas pour Leafa.
Dès qu'elle trouva l'endroit idéal, elle se mit à grimper aux gouttières et aux fenêtres avec une grâce féline. Une fois sûre d'être hors d'atteinte, elle attendit et observa ses poursuivants arriver en contrebas.
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

"Il y a deux moyens de se débarrasser d'un problème : le résoudre ou le détruire." Andrew Ryan, 1960

Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 2 vendredi 26 septembre 2014, 01:35:18

Elle se mit à fuir à toute allure, décampant rapidement, et Takeshi s’élança à sa poursuite. Il faisait régulièrement de l’entraînement pour être un bon flic, et la traqua rapidement, ne lui disant pas de s’arrêter. Ça n’aurait servi à rien, et, en la poursuivant, il arriva dans une ruelle, pour la voir grimper rapidement sur la gouttière extérieure d’un bâtiment, s’en servant pour rejoindre des fenêtres, en hauteur. Takeshi se retrouvait au niveau du sol et pesta, en relevant la tête vers la femme. Elle était hors d’atteinte, ce qui le rendait furieux. S’il ne la capturait pas, il ne rejoindrait jamais leur temple... Et, au-delà de ça, ses instincts primaires avaient été excités par cette course-poursuite. Takeshi était furieux, comme un prédateur contemplant sa proie, et n’arrivant pas à l’atteindre. Cependant, il avait encore des as dans sa manche, des atouts à utiliser... Et il brandit son pistolet, levant son bras, visant la femme en serrant les dents.

« Ok, chérie ! Arrête de te prendre pour un chat, et descends, ou je te tire dessus ! » ordonna-t-il d’une voix forte, qu’il voulait impressionnante.

Comme pour bien se faire comprendre, il ouvrit le feu, tirant juste à côté d’elle. La balle heurta le mur en résonnant, et il la tenait en joue, les deux mains sur le pistolet. Takeshi n’avait jamais été trop mauvais au tir, et cette femme était relativement proche. Il pouvait tout à fait lui tirer dans la jambe pour la faire descendre, et, depuis le peu de hauteur, la chute ne serait pas mortelle... Cependant, il préférerait éviter de l’abîmer, afin d’offrir à la Déesse un cadeau qui soit propre, pur, et qui n’appellerait pas à réparation.

Il préférait donc attendre qu’elle se rende par elle-même, et, dans le pire des cas, il ferait feu. Impossible qu’il la loupe, vu la faible distance entre eux. Et Takeshi ne pouvait pas se permettre d’échouer. Kenji était là, derrière, restant dans la voiture, à l’attendre. Il était son supérieur, le seul capable de décider si Takeshi méritait de voir cette femme... Celle derrière tout ça, celle qui devait être arrêtée impérativement... Du moins, c’est ce qu’il essayait de se dire.

Ce n’était tout de même pas une gamine qui allait contrecarrer sa destinée !
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 3 vendredi 26 septembre 2014, 21:16:03

Cette Loque n'était vraiment pas normale. N'importe lequel d'entre eux serait partit chercher une autre fille à harceler dès qu'il aurait vu Leafa détaler. Et la voir perchée à un endroit inaccessible pour le commun des hommes aurait fini de le décourager. Mais celui-là tenait bon et avait même sorti son arme.

La vue du pistolet finit de faire douter Leafa de l'identité de cet homme. C'était le modèle standard des policiers de la ville. Elle les connaissait assez pour en avoir vu beaucoup durant ses garde-à-vue pour port d'arme non autorisé. Elle en avait même volé un une fois.
Malgré sa volonté de garder le silence, Leafa demanda :

"Des flics Loques ? Depuis quand ?"

L'homme resta muet et son opposante de fut pas plus loquace. Après un moment à se fixer ainsi, Leafa décida de passer à l'action. Elle leva les bras comme pour se rendre puis "fit apparaître" un couteau dans sa main droite à la manière d'un magicien faisant apparaître une carte. Elle lança aussitôt l'arme en direction de l'épaule droite du policier.
Mais la lame ne se planta pas dans la chair et coupa juste. Pas de quoi le rendre invalide mais suffisant pour déconcentrer l'homme qui tira à nouveau. La balle arriva deux mètres à côté de Leafa qui avait déjà recommencé à grimper et avait presque atteint le toit du bâtiment.
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

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Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 4 lundi 29 septembre 2014, 01:52:44

Cette petite était une teigneuse, et visiblement dotée de pouvoirs magiques... Ou alors, elle avait un couteau que Takeshi n’avait pas vu. Fort heureusement, elle loupa son coup, mais effleura suffisamment son épaule pour lui faire mal, déchirant sa chemise. Takeshi savait que ce qu’il faisait était contre ce qu’il avait juré de faire, mais, en ce moment, voir que cette salope continuait à lui résister ne faisait que l’énerver. En relevant la tête, il vit qu’elle était désormais trop loin... De plus, s’il arrivait à lui tirer dessus, elle ferait une chute mortelle. Le policier sentit deux émotions s’emparer de lui : la panique à l’idée de ne pas voir la Déesse, et la rage à l’idée qu’une gamine puisse ainsi le tourner en ridicule. Le flic’ n’osait pas l’admettre, mais il rêvait de la Déesse en secret... Il s’imaginait une femme magnifique, d’une beauté surnaturelle, et se réveillait à chaque fois avec une forte érection, sa verge dure comme un bout de bois, assoiffée comme elle ne l’avait jamais été auparavant, même quand il imaginait sa première petite amie dans des dessous coquins vus dans un magazine de lingerie féminine. Takeshi essayait de se convaincre qu’il voulait rencontrer cette sorcière pour l’arrêter, mais ce n’était pas ce que ses pensées profondes disaient. En somme, tout était confus chez lui, partagé entre son sens du devoir et des instincts plus profonds, plus sauvages.

Et, pour l’heure, il voulait capturer cette fille. Il regarda rapidement autour de lui, puis se dirigea vers une porte de service, et l’ouvrit d’un grand coup de pied. L’immeuble abritait un restaurant de quartier, et il débarqua dans une allée de service, longeant la cuisine. Un cuisinier s’approcha de lui, et lui posa une question. Takeshi le vit remuer ses lèvres, mais n’écouta pas, et, quand le cuisinier tendit sa main vers lui, plus inquiet qu’autre chose en voyant les traces de sang qui commençaient à orner la chemise du policier, Takeshi s’agaça, et le frappa avec la crosse de son arme, envoyant le visage rondelet de l’homme se fracasser contre le mur.

« Fous-moi la paix, connard ! Fils de pute, enculé, va chier, va chier, VA CHIEEEERRR !! »

Takeshi poussait des hurlements furieux, des borborygmes inhumains en frappant avec ses pieds le cuisinier, le rouant de coups. Il se retourna ensuite, voyant d’autres insectes... Des êtres gras et laids, informes et ignobles. Il était en rage, furieux, frustré qu’une simple gamine puisse le ridiculiser à ce point, et ces types, ces crevards, venaient le gêner. Il pointa son arme sur eux.

« Putain d’enculés, vous voulez quoi ?! Allez crever !! Allez crever, putain !! »

Takeshi tira sur l’un des types, l’atteignant à l’épaule, et il entendit des hurlements paniqués venant des profondeurs du restaurant. Il se dépêcha de courir, atteignant un escalier. Il y avait des habitations au-dessus, et une porte s’ouvrit sur un étudiant, en débardeur, qui se demandait probablement ce qui se passait. Takeshi le poussa violemment contre le mur, puis recommença à grimper, sautant les marches deux par deux.

*Je vais la buter, cette salope, je vais la buter !!*

Il l’imaginait en train de se moquer d’elle, de rire sur cet homme incapable de l’arrêter. Il voyait Kenji lui dire qu’il n’était décidément bon à rien, et qu’il ne verrait jamais la Déesse, car elle n’aimait pas les incompétents. Tout ça le rendait furieux, plus dingue qu’il n’aurait jamais été. C’était presque comme si une autre personnalité était en train de faire surface, cet être fait uniquement de pulsions, qui ne voulait qu’une chose : rencontrer sa Déesse, et lui plaire. En d’autres circonstances, Takeshi aurait peut-être pu prendre du recul, un recul nécessaire pour l’aider à réaliser ce qu’il faisait. Pour l’heure, tout ce qu’il voulait, tout ce à quoi son esprit malade arrivait à penser, c’était à capturer cette femme.

Le policier atteignit le toit, mais la porte était fermée. Furieux, il tira sur la serrure, puis l’ouvrit d’un violent coup de pied, et débarqua rapidement. Sa chemise était ornée des tâches de sang des personnes qu’il avait frappé pour arriver jusqu’ici, de la sueur coulait le long de son visage, et ses soupirs rauques n’avaient plus grand-chose d’humain, abritant quelque chose de bestial.

« Où tu te caches, salope ?! » hurla-t-il.

Il s’avança lentement en la cherchant, quand il sentit une voix étrangère, mais ô combien délicieuse, pénétrer dans son crâne.

*Capture-là pour moi, et tu seras récompensé...*

Il n’avait jamais entendu cette voix, mais il savait à qui elle appartenait... Et  constater que la Déesse pensait à lui provoqua en lui une érection... Dans les tréfonds de son esprit, une autre voix s’inquiétait, en se disant que, si cette femme était vraiment capable de communiquer avec lui, alors elle savait forcément qu’il était un policier infiltré... Mais qu’était la raison quand vous aviez une érection ? Rien d’autre qu’un murmure de plus en plus inaudible, comme c’était le cas en ce présent...

... Et il devait retrouver cette salope. Elle allait apprendre qu’on ne se moquait pas impunément de lui.

Oh oui !
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 5 lundi 13 octobre 2014, 21:44:09

Cette Loque était teigneuse. D'habitude ils ne s'acharnent pas comme ça sur une personne, spécialement quand cette personne en question était aussi forte que Leafa. Mais ce qui dérangeait la lycéenne, c'était le métier de la Loque. Un flic. Un flic bordel ! C'était définitif, dans cette histoire, la seule autorité capable de sortir Leafa de ce pétrin, c'était elle-même.
( https://www.youtube.com/watch?v=KmL-J1IghZM )
Elle se prépara donc en conséquence, chargeant son flingue et équipant le silencieux. Durant ses préparatifs, elle entendit les cris et les coups de feu venir d'en bas. Nan, sérieusement, ce type est un sacré malade. Il faut l'arrêter avant qu'il ne tue des gens. Mais il est flic, et si Leafa tuait un flic, elle serait recherchée morte ou vive, vu ses tensions déjà très importantes avec les forces de police. Létal, non létal, tel était le dilemme de la jeune femme.

Lorsqu'elle entendit l'homme débouler sur le toit, elle n'eut que quelques secondes pour se cacher. La Loque, car cette personne n'avait plus grand-chose d'humain à la vue de la bave qui coulait de sa bouche, de sa sueur et de ses muscles tendus à l'extrême, se mit à chercher Leafa en vociférant toutes sortes d'insulte à son égard. Se cache-cache éveilla soudainement les réflexes guerriers acquis depuis longtemps par Leafa.
Guidée par son instinct, elle s'était cachée à l'endroit où la Loque chercherait le moins : le petit toit au dessus de l'accès au sommet de l'immeuble. La Loque étant arrivée par là, elle n'avait en aucun cas vu celle qu'il croyait être sa proie.

La jeune femme devenue guerrière se mit sur ses quatre appuis afin d'être la plus discrète possible se glissa derrière son humain jouet. Elle se laissa tomber du haut de la petit construction et atterrit avec une légèreté plus que surprenante. La jeune femme semblait aussi légère qu'une plume.

Et arriva donc juste derrière sa proie et se releva. La Loque toujours beuglante n'eut pas le temps de comprendre ce qui lui arrivait. La chasseresse lui attrapa le poignet et lui torit le bras de façon à provoquer une douleur nerveuse intense. La Loque lacha donc son arme et Leafa l'attrapa aussitôt. Elle prit appui sur le dos de sa victime afin de se projeter en arrière.
Le temps que l'homme reprenne ses esprits et se retourne, Leafa avait fait quelques pirouettes, s'était éloignée à plusieurs mètres de son ennemi et pointait les deux flingues sur lui. On pouvait clairement voir son sourire en coin et ses yeux emplis de malice à la manière d'un félin lorsqu'il attrape sa proie avant de la dévorer.
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

"Il y a deux moyens de se débarrasser d'un problème : le résoudre ou le détruire." Andrew Ryan, 1960

Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 6 jeudi 16 octobre 2014, 01:40:32

Takeshi avait perdu son arme, et voyait maintenant que cette femme en avait deux, les pointant sur lui. Il déglutit lentement. Le coup qu’il avait reçu l’avait calmé, et il leva les mains, sentant son cœur bondir dans sa poitrine. Est-ce que cette femme comptait le tuer ? Il l’ignorait... Elle avait l’air jeune, mais cette ville était remplie de tellement de déments qu’il ne savait clairement pas quoi en penser.

« Je... ‘Me tue pas... Okay, okay, je... J’ai peut-être un peu déconné, et... »

Le policier ne savait plus quoi faire pour s’en sortir, quand il entendit du bruit dans son dos... Des grognements sombres. Il se retourna... Et son hurlement mourut dans sa gorge quand la bestiole violette lui bondit dessus. Les crocs se plantèrent dans sa chair, à hauteur de sa nuque, arrachant sa peau, puis des tendons, des veines, et quelques os. La créature disposait de pattes dorsales avec des griffes, qui se plantèrent dans la chair de l’homme. Takeshi remuait en gémissant, essayant de se libérer de l’emprise de ce monstre, tellement plus lourd que lui .Comme une espèce de gros chien furieux, ses griffes épaisses s’enfonçaient dans ses épaules. La bestiole releva la tête, arrachant un long morceau de peau, et du sang se mit à fuser tout autour de la tête de l’homme. La bête planta à nouveau ses crocs, et se redressa ensuite. Les yeux rouges du Zergling fixèrent alors Leafa en grognant, et il s’avança un peu, sa gueule ensanglantée libérant un mélange de salive verdâtre et du sang de Takeshi. Sa tête avait à moitié disparu, et les griffes du monstre, recouverts de sang, entourés par des morceaux de veines et de tendons, se rapprocha d’elle, grondant comme un chien furieux.

Même si Leafa se mettait à lui tirer dessus, les balles ne suffiraient pas à blesser ce monstre. Il était résistant, mais, de toute manière, le véritable danger viendrait depuis le dos de la femme, où une flaque noire était en train de s’avancer. Les exploits de Takeshi avaient attiré trop d’attention, et Thorne avait décidé d’intervenir, afin de calmer les choses, et pouvoir maîtriser ces deux idiots... Tout en s’occupant de cette femme. Thorne prit son apparence normale dans le dos de la femme, jusqu’à ce que Leafa puisse se rendre compte qu’elle n’était plus toute seule.

La main de Thorne agrippa la femme par la nuque, et la souleva sans problème, serrant sa gorge. Ses pieds ne touchant plus le sol, elle était en train de s’étouffer, et la Cérébrate l’observait.

« Tu es une femme très surprenante, petite humaine... Ma Mère appréciera sûrement de t’avoir à ses pieds... »

Thorne balança la femme sur le sol. Elle était d’un tout autre niveau que Takeshi, et le Zergling se rapprochait en grognant. S’il ne voulait que dévorer les hommes, face aux femmes, le Zergling agissait comme un pur Formien, ayant des envies de reproduction.

« Mon Zergling a envie de toi. Sois une gentille fille, et ouvre tes cuisses pour lui... »

Thorne avait lâché cette phrase avec un sourire vicieux sur les lèvres.
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 7 jeudi 23 octobre 2014, 16:02:37

Leafa était perdue. Un être humain venait de se faire déchiqueter devant ses yeux et la bête responsable de ce meurtre la regardait, bavante et grondante. La jeune femme venait aussi de se faire presque étrangler par une... humaine, sans doute. Ces deux nouveau ennemis n'avaient rien de normal. Quand l'étrange femme parla, Leafa put assembler quelques morceaux pour tenter de comprendre. Elle sut que la bête était l'animal de compagnie de l'humanoïde et que les deux créatures ne lui voulaient pas du bien, mais voilà tout ce que leafa put comprendre et cela lui suffit.

( https://www.youtube.com/watch?v=9r6j0N8xrYQ )
Le sang de la combattante se figea tandis qu'elle se relevait. Elle se maintint immobile, sur ses deux pieds, une main au sol et l'autre tenant fermement son pistolet.
Une petite voix lui souffla une indication :

Ne te contente pas de ces acrobaties. Utilise ton vrai pouvoir.

Premièrement, Leafa refusa cette idée. Elle savait la puissance de ses armes. Même si la jeune femme n'en possédait qu'une sur elle, elle était capable de détruire bien plus de choses que la plupart des armes humaines.
Mais à la vue de ses ennemis, la guerrière fut obligée de recourir à cette ultime solution mais il lui fallait retourner chez elle afin de récupérer son équipement.

Elle fonça d'un bond vers le Zergling et prit appui sur sa tête pour passer au dessus. Elle se mit à fuir mais, sans surprise, la bête s'était lancée à sa poursuite et la rattrapait. Leafa n'avait pas abattu toutes ses cartes, loin de là.
Une lame sortit de la crosse de son pistolet et émettait des lueurs étranges. Des cercles bleutés sortaient de la garde et parcouraient la surface de la lame jusqu'à la pointe. La fréquence de ces ondes augmentait jusqu'au moment où Leafa sauta. Dans les airs, elle se retourna et pointa la lame en direction de son poursuivant. L'arme luit entièrement d'une aura bleutée et libéra un rayon de même couleur vers la bête.
Cette dernière esquiva et le rayon continua sa route jusqu'à une bouche d'aération. Le choc causa une grande explosion qui projeta les trois êtres présents sur le toit. Leafa manqua même de tomber mais se rattrapa de justesse à une gouttière.
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

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Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 8 samedi 25 octobre 2014, 02:12:58

C’était une belle petite proie, mais elle était agile, et, visiblement, tomber sur un monstre ne la terrorisa pas... Pas au point de la paralyser, en tout cas. Thorne la vit courir, surprenant le Zergling en bondissant par-dessus lui. La bête grogna, et s’élança à sa poursuite. Sagement, Leafa avait choisi de ne pas utiliser le pistolet de feu Takeshi. Les balles auraient blessé le Zergling, mais la créature était résistante, suffisamment solide pour que les balles ne l’atteignent pas énormément. Au lieu de ça, elle fila vers le rebord du toit, puis se retourna alors, tenant entre ses doigts une espèce de dague bleutée... Un projectile magique ! Cette femme était pleine de surprise, et la dague fila droit vers le Zergling. De justesse, la bête bondit sur le côté, évitant le tir qui fila au milieu du toit, provoquant une violente explosion. La déflagration souleva le Zergling. Fort heureusement, il s’était écarté du centre névralgique en poursuivant la femme, et rebondit sur le toit, renversant une antenne. L’explosion avait frappé à côté de Thorne, et sdon corps disparut dans la déflagration, tandis que Leafa, emportée également par le souffle, bascula du toit, s’agrippant de justesse à une gouttière.

Le Zergling se remit rapidement sur ses pieds, et bondit vers la femme en hurlant. Ses pattes solides s’appuyèrent sur la gouttière, achevant de la faire tomber sous son poids. Ses crocs claquèrent dans le vide, car la gouttière se rompit, faisant tomber Leafa et le monstre. La chute aurait été mortelle pour Leafa, mais, tandis qu’elle tombait, jaillissant du sol, des espèces de jets noirs apparurent, semblables à de l’encre, et l’attrapèrent, s’enroulant autour d’elle. Le Zergling termina sa chute sur le sol, se fracassant les os dans une ruelle serpentant entre ce bâtiment et un autre, tandis que Leafa s’étala sur le sol, recouverte de cette flaque noire.

« Tu es forte, petite... Pleine de vigueur... »

Thorne, parmi toutes les Cérébrates de Kerrigan, était une créature puissante, une sorte de Slime formienne avec des propriétés liquides tout à fait fascinantes. Leafa allait pouvoir en faire la démonstration. Elle était prisonnière de Thorne, recouverte par ce liquide noirâtre, collant... Mais pas étouffant. Elle pouvait respirer, tandis que la texture noire avalait ses vêtements, les faisant fondre, la mettant toute nue. Si une personne venait de l’extérieur, elle ne verrait rien d’autre qu’une étrange flaque noire sur le sol, avec le corps d’une femme qui gesticulait à l’intérieur.

« Ces deux imbéciles ne seront au moins pas morts pour rien... Mère adorera te baiser, mais je pense qu’elle ne sera pas contre l’idée que j’en profite un peu... »

La voix semblait émaner de nulle part, car il n’y avait aucune bouche visible. Leafa était totalement prisonnière, et la texture noirâtre recouvrant son corps se mit à remuer un peu, formant des bosses à hauteur de certaines parties intimes du corps. En somme, une verge noirâtre s’enfonça dans son vagin, un tentacule plus petit titilla son fondement, et des langues vinrent frotter ses seins. L’explosion avait endommagé Thorne plus qu’elle ne voulait l’admettre, ce qui expliquait pourquoi elle préférait rester sous cette forme liquide, le temps de pouvoir se reconstituer sans aucune difficulté.

« Là, ma belle... Laisse-toi aller... Tout ça n’est qu’un avant-goût du monde merveilleux qui t’attend... Un monde où tu ne connaîtras plus que le plaisir, sans jamais avoir à te demander autre chose... Tu seras la reine des putes, Leafa. »
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 9 samedi 25 octobre 2014, 18:49:00

Leafa vit le Zergling s'écraser au sol tandis qu'elle se faisait attraper par des... choses gluantes et difformes. Malgré le fait que ces choses l'aient rattrapée, la jeune femme était sonnée par sa chute. Elle sentit donc, impuissante, ces choses noirâtres l'entourer puis la toucher à ses endroits les plus intimes. Elle fut secouée lorsqu'une verge la pénétra. Une voix résonna autour d'elle et certains mots dessinaient l'avenir proche de Leafa.

Mère adorera te baiser... Tu seras la reine des putes...

La guerrière n'allait pas se laisser faire ainsi. Elle resserra sa poigne sur la crosse de son pistolet qu'elle n'avait pas lâché. La lueur bleuté revint mais cette fois, le rayon fut plus rapide et moins destructeur. Leafa ne voulait pas se carboniser et avait lancé un rayon aux caractéristiques bien différentes du précédent.
Le rayon partit donc et traversa le liquide noir qui ne freina son assaut. Le rayon quand à lui, continua sa course, traversant un mur et partant se perdre au loin.

La masse visqueuse réagit et tordit le poignet de la jeune femme qui lâcha son arme.
Leafa perdit tout espoir et toute combativité. Elle préféra se laisser sombrer dans l'inconscient causé par le choc de la chute plutôt que d'avoir à supporter le viol de la créature. Juste avant de perdre conscience, la guerrière articula :

Profite... Tant que tu le peux...
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

"Il y a deux moyens de se débarrasser d'un problème : le résoudre ou le détruire." Andrew Ryan, 1960

Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 10 lundi 27 octobre 2014, 01:34:50

« Debout, la Belle au bois dormant... »

La douce voix fluette semblait émaner des profondeurs de l’inconscient, mais son message eut l’effet escompté, réveillant Leafa. Difficile de dire où cette dernière se trouvait. Ce qui est sûr, c’est qu’elle n’était plus dans la ruelle, ni recouverte par le slime de Thorne. Elle se trouvait dans ce qui semblait être une grande structure, comme un immense conduit aux parois larges et recouvertes d’une matière organique violette et sombre. Entièrement nue, elle était maintenue en l’air, suspendue dans le vide par quatre tentacules qui la maintenaient aux poignets et aux chevilles, écartant chacun de ses membres, la mettant en croix. Un peu de lumière émanait du plafond, et, au fur et à mesure que les yeux de Leafa s’habituaient à l’obscurité, elle pourrait mieux comprendre où elle se trouvait... Ses oreilles devraient entendre les bruits grouillants des tentacules quand ces derniers se déplaçaient, se frottant entre eux. Les quatre qui les retenaient répandaient une sorte de bave qui coulait légèrement sur la peau de Leafa, agissant comme une sorte de colle ayant pour but, non seulement de retenir davantage Leafa, mais aussi d’éviter d’irriter sa belle peau. Elle était prisonnière d’une espèce d’immense tube tentaculaire, et, devant elle, sur une plateforme lui faisant face, se dressait une femme qui semblait avoir plusieurs pattes d’araignées dans le dos.

Sarah Kerrigan se dressait face à sa nouvelle proie, son corps parcouru de lumières violettes qui luisaient dans la nuit. Belle et terrible, elle observa sa proie. Les tentacules l’immobilisant remuaient un peu, et déplacèrent Leafa, la rapprochant de la femme.

« Je te souhaite la bienvenue chez moi, Leafa... Je m’appelle Sarah Kerrigan, mais on me connaît aussi sous le nom que tu utiliseras désormais... La Reine des Lames. »

Sa main alla caresser la joue de la femme, ses doigts griffus remuant sur sa belle peau. Un sourire vicieux éclaira alors les lèvres de Kerrigan, tandis que d’autres tentacules continuaient à remuer. On pouvait également voir, dans le dos de Kerrigan, plusieurs Zerglings qui grognaient en regardant ce corps nu. La main de Sarah se déplaça alors de sa joue pour caresser tendrement son ventre, à hauteur de son estomac.

« Tu as rencontré ma fille, Thorne... Et elle t’a enfanté. Tu portes en toi de futures larves qu’il va falloir ensemencer pour qu’elles soient plus fortes. »

Leafa ne devait sans doute pas tout comprendre, mais ce n’était pas dans l’objectif de Sarah de l’aider à comprendre ce qui lui arrivait. Elle lui sourit à nouveau, et la poussa légèrement, tandis que d’autres tentacules s’approchèrent. L’un d’entre eux avait une forme phallique prononcée, et les tentacules immobilisant les jambes de la femme tirèrent davantage, révélant ainsi sa vulve, sans aucune protection. Le tentacule s’enfonça alors en elle, sans attendre plus longtemps, commençant à la prendre, remuant en elle, tandis que d’autres tentacules se rapprochaient.

Bras croisés, Sarah observait la scène. Pour elle, c’était son passe-temps favori... Voir ses pondeuses se faire prendre, surtout quand elles venaient d’arriver.

Leafa se trouvait bien loin de Seikusu... Elle avait fini dans les profondeurs de la Fourmilière. L’endroit rêvé pour n’importe qui.
DC d’Alice Korvander.

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Leafa

Humain(e)

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 11 samedi 01 novembre 2014, 01:58:15

Le premier sens que Leafa retrouva fut l'ouïe. Elle commençait à entendre des gargouillis étranges et inquiétants qui l'entouraient lorsqu'une femme s'exprima.

Debout, la Belle au bois dormant...

Mais l'humaine était loin de se trouver dans un conte de fée. Elle put d'ailleurs s'en rendre compte très vite lorsqu'elle retrouva le sens du toucher et qu'elle sentit les choses visqueuses lui entourant les membres, la suspendant en croix dans les airs. Lorsque la guerrière retrouva la vue, elle put admirer la salle où elle était prisonnière. Les choses la retenant étaient des tentacules qui sortaient des murs de la pièce.
La mystérieuse femme devant Leafa se présenta. La Reine des Lames... c'était le surnom que les Loques donnaient souvent à ce que la lycéenne pensait être leur gourou. Alors c'est elle, la responsable de tous ces enlèvements et ces Loques... Ces enlèvements ? Merde !

La guerrière se débattit, tentant par tous les moyens de se libérer de ses liens. Elle ne voulait pas finir comme ces Loques, totalement obsédée par le sexe et par cette personne ! Mais malheureusement, ses efforts furent vain et Leafa se vida d'une grande partie de ses forces avant d'abandonner, voyant que les tentacules ne se déserraient en rien.

Tu as rencontré ma fille, Thorne... Et elle t’a enfanté. Tu portes en toi de futures larves qu’il va falloir ensemencer pour qu’elles soient plus fortes.

Des larves ? Ensemencer ? Leafa réassembla les bribes de tout ce qu'elle savait et arriva à une conclusion bien pire que ce qu'elle imaginait. Cette créature utilisait donc les jeunes femmes capturées en tant que porteuses pour faire reproduire des bestioles.
La guerrière devenue encore plus rebelle suite à cette révélation se remit à se débattre, toujours en vain.
Les tentacules retenant ses chevilles tirèrent et un tentacule s'enfonça dans l'intimité de la lycéenne qui étouffa un cri de surprise, de souffrance dûe à sa virginité et de... plaisir ?
Dans ce torrent d'émotions causée par la pénétration, Leafa put articuler une question à l'intention de la femme qui la regardait sadiquement.

Pour... quoi... tout... ça ?

La guerrière fusilla son interlocutrice du regard alors qu'elle ressentait dans son bas-ventre de la souffrance, du dégout et un honteux et intense plaisir.
Thème musical de Leafa : http://www.youtube.com/watch?v=lMSkC2PGyTs

"Il y a deux moyens de se débarrasser d'un problème : le résoudre ou le détruire." Andrew Ryan, 1960

Sarah Kerrigan

Créature

Re : Un cadeau pour une Reine [Leafa]

Réponse 12 lundi 03 novembre 2014, 01:17:33

Assez rapidement, les tentacules s’enfoncèrent en elle, sans ménagement, avec cette vigueur et cette vélocité propre à la Fourmilière et aux Formiens. Ménager Leafa ne faisait pas partie des intentions de la Reine, et elle la regarda donc se faire prendre par le devant, tandis qu’un autre tentacule s’approchait de ses fesses. D’autres tentacules continuaient à l’immobiliser, et, même malgré sa volonté de se débattre, elle n’avait pas pu se libérer. Les tentacules serraient fort, et elle était surtout au-dessus d’un gouffre abyssal. Si elle réussissait à trancher les tentacules, elle se contenterait de tomber... Et d’autres tentacules viendraient la reprendre. Leafa était dans les quartiers de Kerrigan, une partie de la Fourmilière où l’Annexienne étendait sa propre volonté à tout ce que la Fourmilière était capable de construire. Rien ne pouvait lui échapper, et, tandis que Leafa gesticulait en demandant une explication, Sarah décroisa ses bras, et caressa l’un des seins de l’humaine avec sa main griffue. Elle malaxa ce sein sans rien dire, se contentant juste de l’observer, pinçant un peu son téton. Le corps de Leafa s’était rapproché du sien, ses jambes filant à gauche et à droite du corps de la Reine des Lames. Pourquoi, avait-elle demandé...

*Ces humains... Ils ne comprennent décidément rien...*

Leafa était torturée par la peur, la honte... Mais le plaisir était là. Elle était l’allégorie de la condition humaine, son sens du devoir et de la retenue se heurtant aux sentiments profonds agitant son être. Voilà ce qu’était l’être humain : un animal intelligent et arrogant, si arrogant qu’il pensait pouvoir oublié ses racines. Sa main continuait à pétrir le sein de Leafa, et l’autre remonta pour caresser sa joue, ses griffes glissant sur sa belle peau. Pendant ce temps, un autre tentacule était contre ses fesses, frottant sa croupe, glissant le long de sa raie, près de son anus.

Il ne la pénétra pas immédiatement, commençant en fait par faire sortir de lui un petit tentacule, aussi épais qu’un petit doigt, et l’enfonça dans sa rondelle, afin de répandre autour de lui un liquide lubrifiant ayant pour but de faciliter la pénétration.

« La raison est simple... Tu es belle et fertile. Il est temps d’accomplir ton devoir entre la Nature. »

Le tentacule qui pénétrait Leafa se retira, car il manquait de place pour la prendre. Sarah se concentra alors. À hauteur de son sexe, des plaques de chitine s’écartèrent, révélant sa moule, son intimité trempée... D’où une verge violette ne tarda pas à s’échapper, tapant entre les cuisses de la femme. Un sourire sur le coin des lèvres, un sourire malicieux et pervers, Sarah posa ses mains sur les hanches de la femme, avant de les glisser pour empoigner ses fesses. Des tentacules partirent de son sexe, s’enfonçant dans l’intimité de Leafa, et se collèrent, comme des espèces de ventouses, à ses parois, et tractèrent ainsi la verge de Sarah en elle.

Dans un soupir, la Reine des Lames s’enfonça ainsi dans le corps de Leafa, et les petits tentacules ayant servi de ventouses se rétractèrent alors. Sarah commença alors à remuer, défonçant les parois internes de Leafa. Elle était étroite, signe qu’elle ne devait pas avoir une grande expérience sexuelle... Une erreur sur laquelle Sarah comptait revenir.

« Ne t’inquiète pas, ma douce, je vais te faire un cadeau... »

Un beau cadeau, même. Alors que Sarah commençait à la pénétrer, un autre tentacule s’approcha, en forme de seringue, et se planta dans le cou de Leafa, répandant dans ses veines un aphrodisiaque qui devait l’aider à se détendre.

Quelques secondes après, un tentacule s’enfonça dans ses fesses, et, pendant ce temps, le premier tentacule à l’avoir pénétré caressait le ventre de Leafa. Le bout du tentacule était recouvert d’un mélange de mouille et de sperme, laissant sa trace sur le corps de Leafa, en la caressant affectueusement... Et elle avait, en plus, l’immense privilège d’être baisée par la Reine des Lames en personne.

Que demander plus ?
DC d’Alice Korvander.

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