Acte I - Le corps dompté

Le soleil était haut sur Terra. Une légère brise soufflait sur les hautes herbes et les buissons qui encombraient la plaine. Une silhouette sombre et élancé glissait sur le sol en silence. Seul les bruissements de son manteau qui se secouait témoignait de sa présence.
Il tenait entre ses bras une jeune femme à la peau claire, entièrement nu. Sa chevelure noire dansait elle aussi au gré du vent, tandis qu'elle était porté comme une princesse, les yeux clos par l'épuisement.
S'en était presque romantique, si on faisait abstraction de la silhouette inquiétante qui marchait sans une bruit.

Personne ne put les voir avancer, personne ne les intercepta... définitivement personne ne viendrait plus jamais sauver la pauvre Leafa. Arraché à son foyer et à sa vie d'innocence.
Azmeth la tenait et les intentions qu'il lui nourrissait étaient toutes particulières. Pour l'heure, il se dirigeait vers une grotte que lui et son frère avait coloniser.
Tokmeth s'y trouvait déjà, continuant son inlassable travail... préparant leur sombre dessein.

L'intérieur de la grotte était sombre mais traversé de fin faisceaux lumineux, faible lueur du jour qui se glissait à l'intérieur de l'antre d'Azmeth.
Lui et sa captive avaient parcouru des heures de dédales pour enfin arriver dans cette petite salle... elle y fut déposer avec une extrême douceur... et la créature l'abandonna, la laissant se réveiller à son aise. Patientant, tapis dans l'ombre.

Je me réveillait dans une petite pièce sombre. Une très légère lumière perce à travers l'entrée. Je suis allongée sur un doux matelas. Je me lève et me rend compte que j'étais nue comme un ver.
Où étais-je ?

Je décidai d'avancer. J'entrouvris la porte et aperçut une grande grotte encore assez sombre. Des babioles en tout genre traînaient dans toute la pièce.
Dans un coin, j'aperçut la silhouette encapuchonnée. Je tombe à la renverse alors que mes souvenirs refont surface.
Cette... chose avait des tentacules et je me souviens de ce qu'il m'a fait avec.

Quelques minutes plus tard, je me décidai à sortir. Je longeais les murs discrètement, les yeux rivés sur la chose affairée. Elle ne m'avait pas vue lorsque je me saisis d'un couteau.
Je trouva aussi des sous-vêtements. Je ne devais pas être leur première victime. Je me vêtis et avançait encore vers l'inconnu.

Un simulacre de chambre... pour la mettre à l'aise, ou pour le confort d'Azmeth ? Difficile de le savoir. En tout cas, il se réjouit de la voir sortir de la pièce, curieuse et vive d'esprit. Les précédentes s'étaient roulé en boule sur le matelas... ne cherchant plus à fuir, se laissant mourir de faim, frappé par l’effroi de leur petit accouplement.
Mais son instinct à elle lui dictait de fuir, elle serait probablement toujours combative. La créature la laissa partir vers l'inconnu, restant tapis, la suivant à distance sans se faire voir... guettant qu'elle ne fasse pas de bêtise, ou qu'elle ne se mette en danger. Il l'a voulait encore pour lui... et la perspective de disposer de son corps à sa guise était une nouveauté pour l'être. Sûrement dû au fait qu'elle était bien plus réceptive qu'aucune autre...

Elle avança d'un pas décider... sans détour, sans hésitation. Une faculté étonnante qui appuyait l'hypothèse d'une volonté de ne pas se laisser aller à son sort funeste.
La pauvre se dirigea vers l'une ses grottes principales, dans celle ci, Tokmeth avait envoyé ses tentacules en tout sens, déplaçant les corps sans vie de dizaine de personne. Il était en train de les compacter en un tas... arrachant leur membre, leur tête et les disposant dans une logique qui échapperait sûrement à Leafa. Les affaires et les vêtements des défunts gisaient à même le sol, et il fut facile pour la belle de trouver se qu'elle voulait... parmi les vêtements il y avait aussi énormément d'arme et armure, et même des choses plus farfelu. Lors de leur moisson de macchabée, ils prenaient absolument tout ceux qu'ils trouvaient sans distinction.
Opportuniste, débrouillarde... amusante !

La jeune femme observa la scène quelques instants, curieuse peut être. Quelques minutes durant lesquels Tokmeth aurait eut tout le temps de la manger, mais son frère aînée s'y opposait avec fureur, faisant bien comprendre que celle-ci resterait encore en vie. Pour l'instant tout du moins...
Leafa s'habilla rapidement et se recula, sortant de cette immense grotte pour retourner dans les galeries de leur repaire. Elle se perdit, bien entendu... elle n'avait aucun moyen de trouver la sortie, surtout vu la profondeur dans lesquels Azmeth l'avait emmené.

Celui-ci apparu lentement devant elle au détour d'un couloir. Il était calme, il était silencieux et ses gestes étaient toujours aussi lent.
Son visage sans regard observa la jeune femme. Il ne dit rien pendant de longue seconde, avant de levé un doigt décharnée vers le couloir derrière lui. Cherchant probablement à lui indiquer un endroit où aller, ou un nouveau piège à prendre.
Azmeth continuait de l'observer calmement.

Je continuais d'avancer dans cette galerie. D'un pas décidé, je traversais de longs couloirs, de grandes salles bondées d'objets divers dans lesquels je me servis. Je pris quelques couteaux de lancer et même un petit arc avec son carquois et ses flèches.

J'avançais encore dans l'inconnu sans arrêt. J'eut l'impression de repasser plusieurs fois aux mêmes endroits. Je désespérais lorsque cet chose encapuchonnée arriva devant moi.

Je mis instinctivement la main sur mes couteaux et l'observais. Il ne bougeait pas. Il n'était pas rassurant ni bienveillant mais il n'était pas non plus agressif. Nous sommes restés là à nous fixer durant de longues secondes jusqu'à ce qu'il m'indique une direction avec sa main squelettique.

Sans prévenir, je lançai un couteau qui se planta dans sa main puis me jetai sur lui, armée de deux autres lames. Je les gardais dans mes mains et les dirigeai droits vers la gorge de l'être.

Parfait ! Elle se défendait... sans crainte, et avec même pas mal de réussite pour une jeune fille de son âge et sans réelle expérience du combat.
Le couteau se planta dans la main d'Azmeth qui grogna... sous son manteau, ses tentacules s'agitèrent et semblaient vouloir en sortir pour attaquer. Mais la tigresse était vive et courageuse, elle s'était littéralement jeté sur lui, une dague dans chaque main.
La créature n'eut le temps de réagir qu'elle planta l'acier froid dans sa gorge ! La tête d'Azmeth partie en arrière et il chuta, agrippant Leafa de ses bras décharnées, l'entraînant dans sa chute...

La jeune femme se retrouva à califourchon sur la dépouille d'Azmeth. Il ne bougeait plus, tête sur le côté, avec deux lames plantés dans la gorge.
Une plaisanterie ? Probablement car le corps de la créature se mit à onduler, comme si il riait. Son visage se retourna subitement vers Leafa et elle pu apercevoir pour la première fois, deux yeux dorés. Les voir remplissait le corps d'une sensation chaude, presque familière...
Une vois murmure ensuite dans la tête de la jeune femme. Quelques mots seulement, qui se répétait en résonnant dans son crâne.

- Tu es à moi ! Soumise !

Et le manteau du monstre s'ouvrit, laissant des dizaines de tentacule s'échapper de la dépouille sur laquelle la pauvre humaine se trouvait.
Si elle avait sur finir à cheval sur un amas de tentacule gluante et baveuse... peut être aurait elle rangé sa bravoure pour s'encourir à nouveau.
Les membres noirâtres ne l'avaient pas encore saisi, mais ça ne saurait tarder.

Ils se dressèrent en tout sens, plongeant la pauvre fille dans une forêt de tentacule... mais se contentèrent d'établir une périmètre de sécurité, se balançant nerveusement, attendant une réaction pour agir à leur tour.

Mes lames ont atteint leur cible ! Je l'ai tué ?!
Non, bien sûr que non. Cette créature était beaucoup trop puissante pour être vaincue de la sorte. Je vis avec horreur son corps se décomposer et être remplacé par un amas de tentacules grouillantes.
Une voix lugubre résonna dans ma tête, me hurlant que j'étais sienne. Que j'étais sa soumise.
Je vis les tentacules former une barrière autour de moi. Je saisis mes lames et tentai de me frayer un chemin mais les tentacules évitaient mes coups. Je pus en couper une ou deux mais rien de plus.
Je suis piégée.

Pauvre petite chose ! Si fragile, si amusante, à espérer l'avoir tuer... à continuer de lutter, frappant de toutes ses forces certain tentacule plus petit s'approchant trop près d'elle. Et c'est qu'elle parvient même à en couper... cela se payerait pour sûr.
Elle était belle, comme une tigresse qui montrait les crocs et les griffes. La créature éprouvait une sensation proche du désir, et comme il le lui avait dit, ce qu'il désirait c'était de la voir sienne. Totalement soumise à sa volonté...

Tous ces viols, ces violences physiques n'étaient pas non plus là par hasard. Certes il aurait pu la torturer pour soumettre la dame... mais qu'elle drogue plus enivrante que le sexe ?
L'homme tuait pour cela. Il violait, s’emparant de force de ce qu'il désirait, quitte à damner son âme et se perdre dans la noirceur de l'humanité. Et c'était à cela, qu'Azmeth aspirait avec elle.
Il voulait qu'elle puisse tuer pour sa dose... il espérait lui lessiver le cerveau, sous une cascade de foutre aphrodisiaque et de plaisir inimaginable.

Elle était toujours à califourchon sur un lit grouillant de tentacule... ceux-ci grimpèrent lentement le long de ses cuisses, recouvrant l'entierté de son corps jusqu'à son ventre. D'autres membranes s’emparèrent de ses poignets, de ses bras et de son cou pour la maintenir immobile.
la main d'Azmeth sorti de l'amas de limace gluante pour la gifler. Sa tête sorti à son tour, puis son buste... il se tenait droit en face de Leafa, ses yeux toujours brillant d'une lueur couleur or.
La créature pencha la tête sur le côté, se montrant plus attentif...
L'humaine put sentir les dizaines de tentacules grouillant sur le bas de son corps s'activer, se remuer, gesticulant dans tout les sens. Et ce fut des centaines et des centaines de caresses qui attaquèrent la peau de Leafa. N'épargnant particulièrement pas son intimité et ses fesses.

Je n'arrivais toujours pas à me débarrasser de ce mur visqueux tandis que mon adversaire se mit à bouger.
Je sentis avec dégout des dizaines, non, des centaines de petites limaces baveuses courir le longe de mes cuisses, puis de mon ventre. D'autres se mirent à me bloquer.
Très rapidement, je me retrouvais bloquée dans cette prison gluante.
L'être que me pensais mort se leva devant moi. Il m'observa de la même façon qu' un chasseur regarde sa proie bloquée et se demandant comment il va la manger.

Je tentais de lui mettre un coup de couteau. J'y suis presque arrivée mais un tentacule me bloqua à dix centimètres de son visage.
Il continuait à me fixer d'un air sadique tandis que je lui jetais un regard noir.

Sa résistance était honorable et jouissive ! La main décharnée d'Azmeth se posa calmement sur sa joue. Le couteau planté il y a peu avait disparu et la plaie ne semblait avoir jamais existé.
Les yeux de la créature semblaient danser doucement, cacher sous son capuchon de tissu de mauvaise qualité. Leafa était assez proche de lui. Elle pu entendre comme un souffle rauque, et sentir une haleine nauséabond. Le visage se rapprocha d'elle, jusqu'à sortir légèrement de l'ombre créé par la capuche... Il était assez semblable à celui d'un homme, mais ses traits ne ressemblaient à rien, comme si le visage n'arrivait à s’inscrire dans la mémoire. Ainsi, lorsqu'elle fermerait les yeux, elle aurait oublier à quoi il pouvait bien ressembler. C'était difficile à concevoir.

Le visage s'approcha encore plus près et un semblant de lèvre se posa sur celle de la jeune femme... une poignée de petite langue cherchèrent à s’introduire dans sa bouche, pour se glisser toujours plus loin en elle. Après la maîtrise par la force, la séduction ? Ou une forme primitive, comme pour témoigner d'une sensation particulière qu'il éprouvait avec elle.
Décidément, il n'allait pas la manger tout de suite... et ce "baiser" était comme une marque de... tendresse ? Ou de quelque chose qui s'en rapprochait.

Sous ses jambes, la pauvre humaine ne fut pourtant pas épargner, car une succession de tentacule de taille varié la pénétrèrent. Continuant de se rependre sur ses jambes et à présent en elle.
Elle ne pouvait les compter, mais il y en avait beaucoup... d'autant plus qu'une série d'entre elles partirent si loin qu'elles venait tendre et distordre la peau de son ventre...
La créature retira ses lèvres et son visage disparu sous sa capuche, comme si il n'avait jamais été. Il agrippa la tête de Leafa à deux mains, la forçant à garder ses yeux plongés dans les siens. Ceux-ci avaient gardé leur teinte dorée et continuaient de danser sous ses yeux, comme pour l'hypnotiser !

- Soumise aujourd'hui... et pour toujours ! Tu es mienne !

Répéta-t-il !

Les tentacules m'immobilisèrent et ma main lâcha mon couteau. J'étais entièrement bloquée.
Je vis la main cauchemardesque de cet être s'approcher de mon visage puis caresser ma joue.
Son toucher était glacé. Je voulu tourner la tête mais j'étais paralysée. Je fus forcée de voir son visage inhumain, comme détruit et déformé. Il s'approcha du mien jusqu'à m'embrasser. Son haleine était absolument nauséabonde et ses lèvres aussi froides que sa main.

Mais si cet être réagit comme un animal et que je ne suis que la victime de son excitation, pourquoi fait-il cela ? Serait-il... Non !

Je sentais ses tentacules entrer et s'enfoncer en moi. Je sentais ces membres visqueux gesticuler dans mon cil et mon vagin.
Lorsqu'elles allèrent trop loin, je criai sous la douleur. Mes organes ne pouvant supporter ces présences.
J'articulai difficilement un :

"Arrête !"

Dans son empressement et son excitation, il avait complètement oublier de la travailler, lui faisait subir sans détour un mauvais traitement inhumain. L'expression de douleur sur son visage ne manqua pas d'attiser d'avantage le feu bestial qui l'animait.
Mais il ne s'arrêta pas pour autant, maintenant fermement la prise sur son visage, continuant de la fixer de ses yeux luisants. De sa capuche, jailli un tentacule dégoulinant d'un liquide épais et blanchâtre qu'elle avait ingurgité à outrance précédemment.
Le membre épais et gluant se jeta dans sa bouche et déversa en grande quantité son foutre, comme un biberon sur lequel on appuyait. Des litres chauds et pâteux inondèrent la bouche de l'humaine qui ne put tout avaler, laissant le reste se répandre sur sa poitrine.

La voilà à nouveau gavé de son nectar aphrodisiaque si particulier, un cocktail à l'amour tentaculaire qui était en effet bien trop violent pour être supporter d'une simple adolescente.
Mais il ne fallait pas stopper un mal pour un autre... C'est pourquoi, après près d'une minute de flot ininterrompu dans la bouche de Leafa, la tentacule s'arracha dans un gros bruit humide, faisant gicler une importante quantité de foutre de ses lèvres remplis à ras bord.
Les mains maintenant sa tête, s'en allèrent, portant leur dévotion sur sa généreuse poitrine qu'il malaxa de ses longs doigts. Les fin doigts se glissèrent ensuite sous son soutien gorge qu'il arracha d'un coup sec. La pauvre s'était rhabiller pour être dévêtu presque aussitôt.
Le visage se rapprocha alors de cette poitrine fraîchement mise à nu. Elle ne le vit pas, mais pu sentir ce semblant de langue fait de multitude de petite tentacule, se rependre sur sa peau ferme. Enlaçant ses tétons et malaxant ses seins.

Il ne cessa pas son étreinte et m'enfonça un tentacule dans la bouche et me força à en avaler le jus. Sa semence coulait dans ma gorge et me dégoûtait. Puis je m'aperçut du goût enivrant de ce liquide. Je tentai donc instinctivement d'en avaler le plus possible.

À chaque gorgée, je me sentais libérée de tout poids et la douleur que je ressentais dans mon ventre fit place à un intense plaisir.
À ma grande déception, le tentacule repartit soudainement. Je regardais donc cet être mystérieux qui arrêta de me fixer.
Je le regardai descendre sa main vers mes seins qui furent mis à nu aussitôt. Il descendit placer son visage devant et commença à lécher ma poitrine.

Je tremblais comme une feuille, oscillant entre dégoût et plaisir.

Elle ne ressentait plus de douleur, ses yeux ne mentaient pas... et ses lèvres gourmandes non plus. Il était presque plus méchant de lui retirer le tentacule que de les lui enfoncer plus loin.
Azmeth la sentait trembler comme une feuille, mais il ne savait l'interpréter. Il ne comprenait pas bien le langage corporel humain, et s'en moquait totalement à vrai dire. Seul les émotions fortes et sous leur forme les plus primitives lui parlait. La peur, l'angoisse, le stresse, la colère... ces choses là lui parlait plus. Et les cries plaintifs plein de plaisir de Leafa aussi.
Il se fit une joie de saisir entre ses dents l'un des tétons avant de le serrer. Sa langue au multitude de membrane fit un régale de ce morceau de chair, prisonnier des crocs de la créature. Glissant dessus, cherchant à s'y introduire comme de vilaine petite anguilles frétillantes.

Les tentacules massacrant le cul et le vagin de l'humain redoublèrent d'effort, doublement attisé par la perspective qu'elle ne souffrait plus et qu'elle en ressentait un immense plaisir. Ainsi donc, lorsqu'un tentacule enfoncé trop profondément venait déformer son ventre, "l'innocente" jeune femme poussait un gémissement de plaisir non dissimulé. Le jeu se poursuivit donc ainsi de longue minute. Les membres noirâtres éjaculaient à tour de rôle, laissant la place à un autre, inondant peu à peu l'endroit où ils se trouvaient et le corps de celle-ci.

Beaucoup d'autre tentacules encerclaient les deux tourtereaux. Tous se balançaient lentement, attendant qu'un orifice se libère... laissant un épais filet de foutre couler de leur bout, comme si ils n'en pouvaient plus d'attendre. Les mains et les lèvres de la jeune fille étaient pourtant disponible... peut être qu'Azmeth avait fini de s'imposer, pour simplement la baiser...

Tout mon corps était délicieusement malmené. Mon entrejambe, mon arrière-train et mon ventre se faisaient pénétrer sans relâche. Je sentais les membres visqueux se mouvoir en moi durant de longues minutes, puis se gonfler pour finalement se vider en moi ou sur moi.

Ma poitrine se faisait malaxer et mes tétons mordre de façon absolument jouissive. Je ne me contrôlaient plus.

Je voulus attraper des tentacules qui dansaient autour de moi mais mes mains entravées ne purent atteindre leur but.

Elle se montra plus qu'entreprenante à présent, du moins d'un certain point de vu. Car soumis à une entité de pareil nature, difficile d'être réellement entreprenant.
La créature lâcha les entraves sur ses poignets et enroula ses tentacules autour de sa taille afin de la soulever. Elle s'éleva sans peine jusqu'à ce que ses pieds ne touches plus le sol. Ses jambes furent maintenues en l'air, permettant encore et toujours a une flaupé de membrane noirâtre et répugnante d'aller et venir, éjaculer et passer leur tour à d'autre.

Azmeth, assisté de ses tentacules se dressa également à sa hauteur, afin de ne pas perdre un instant pour se délecter de cette poitrine frémissante sous ses morsures et son attention baveuse.
Plusieurs autres tentacules s'approchèrent du visage de Leafa, comme un appel à d'avantage de gourmandise. Et maintenant qu'elle avait les mains libres, il lui était possible de démontrer à Azmeth son envie dévorante. Envie qu'il présentait. Son désir était clairement palpable pour la créature qui pensait peu à peu parvenir à ses fins... Il le lui avait dit précédemment. Elle serait sienne !

Dans une autre grotte, Tokmeth ressenti cette effluve de plaisir et de désir... son frère, tout comme lui, travaillait à rendre leur hôte plus docile, plus soumise. Alors que lui, inlassablement, et personne ne semblait savoir pourquoi, continuait d'empiler des cadavres. Créant d'ailleurs d'étonnant résultat... Cette humaine, sous ses airs de nymphomane tout juste bonne à avaler du foutre tentaculaire, aurait d'ici peu, un rôle très important. Jusque là, les deux jumeaux s'amuseraient avec elle...